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" ARTICLE DE VETEMENT ENTOURANT DES PARTIES DU CORPS "
Les a.rticles de vêtement destinés à entourer des parties du corps, tels que : soutien-gorge et gaines, sup- ports de serviettes périodiques, corsages, corsages lacés, corsets, chemisettes, supports de bas, ceintures de hanches, vêtements de grossesse, ainsi que les articles d'habillement pour l'extérieur, tels que vêtements du soir façonnés sur le corps, de même que costumes de bain, vêtements de sport, etc..., ont été jusqu'à ce jour établis soit entièrement fermes, soit ouverts.
La construction fermée exige des tissus souples, par exemple des tissus tricotés, dans lesquels l'armure de tissage est remplacée par une armure de tricotage, si l'on renonce à l'incorporation, par tissage ou tricotage, de fils élastiques et flexibles, tels que fils de caoutchouc, fila-
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ments ou fils de matières artificielles ou substances simi- laires. Ces constructions fermées, en forme de tube, éta- blies ou non avec des diminutions, présentent des inconvé- nients parce qu'elles font constamment pression sur la par- tie entourée du corps, qu'elles gênent la pénétration de l'air, qu'elles empêchent l'évaporation de la sueur et qu'elles deviennent à la longue désagréables, gênantes, nuisibles pour la santé et inesthétiques.
C'est par conséquent la. construction ouverte de ces articles qui est préférée à l'heure actuelle, bien qu'il n'existe pas encore de fermetures parfaites pour les arti- cles de ce type. S'il est fait usage de boutons, d'une part, de boutonnières ou de boucles, d'autre part, les boutons forment leur empreinte dans les pièces d'habillement exté- rieures, de sorte qu'ils deviennent visibles. De plus, les trous et boucles ne résistent pas -ou au moins pas suffi- samment- aux efforts élevés qui interviennent. D'autre part, sous l'influence de ces forces de traction élevées, ces ar- ticles se froissent et se plient en accordéon en formant finalement un bourrelet analogue à un cordon ou câble.
On a déjà tenté d'obvier à ces difficultés en al- longeant les bords des articles de vêtement, à la zone de fermeture, sous forme de bandes et en reliant ces bandes, après les avoir croisées l'une sur l'autre, à l'aide d'une boucle. Toutefois, dans ce cas, les forces interviennent sous une forme concentrée dans la direction des bandes, de sorte que les inconvénients décrits se présentaient égale- ment.
En vue de résoudre le problème ainsi posé, des articles de vêtement destinés à entourer des parties du
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corps, et qui sont ouverts lorsqu'ils ne sont pas portes, sont caractérisés, conformément à l'invention, par l'appli- cation d'organes de liaison qui renforcent les bords de l'article de vêtement dans la zone de fermeture par leur extension longitudinale au-dessus de ces bords, organes dont les branches effectuant le raidissage des bords sont reliées rigidement entre elles dans la position ajustée de l'article et, avec une construction plate essentiellement parallèle à la surface de limitation du corps, en dépit de l'épaisseur très faible qu'elles possèdent dans la direc- tion perpendiculaire à cette surface,
sont calculées'dans leur largeur de telle sorte que le moment résistant que présentent des branches et leur liaison suffit pour leur permettre de supporter les efforts qui interviennent norma- lement pendant le port de l'article de vêtement, sans défor- mation permanente des organes de liaison, transversalement au plan dans lequel ces efforts se produisent.
Les avantages de cette liaison sont évidents. En raison du raidissage des bords à la zone de fermeture, les efforts qui interviennent sont distribués d'une manière complètement régulière sur la longueur du raidissage, c'est- à-dire pratiquement sur la longueur des bords à la zone de fermeture, étant donné que la portion raidie reçoit une longueur aussi grande que possible. La matière dont sont faits les articles de vêtement est, par conséquent, prati- quement soumise à une force de traction répartie régulière- ment sur toute la largeur des bords de cette matière, ce qui exclut les formations de bandes, le gauchissement, le plisse en accordéon-et les formations de bourrelets, de cordes et de rouleaux.
L'article de vêtement conserve sans
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changement la forme qui lui est donnée à la zone de ferme- tur e , alors même que l'article de vêtement serait porté très longtemps. Toutefois, en raison de la forme plate con- férée aux organes de liaison, on obtient ce résultat que si l'épaisseur qu'exigent ces organes ne représente qu'une fraction de l'épaisseur des étoffes ou matières dont est habituellement fait l'article de vêtement.
Il s'ensuit que, pratiquement, ledit organe de liaison est entièrement invi- sible, il ne bouffe ou ne fait saillie que dans une mesure si faible que l'épaisseur de l'organe de liaison peut être compensée par d'autres artifices, tels que la compression (qu'on peut déjà obtenir en assemblant les couches par cou- ture) de l'étoffe dont est fait l'article de vêtement;. outre que, par la combinaison de branches de renforcement et d'é- léments de transmission de force, qui a pour résultat la formation d'un organe commun, on réalise la simplification désirée avec laquelle on peut, bien entendu,, aussi prévoir les raidissages, en plus d'organes de transmission de force particuliers.
En dépit de la possibilité de construire les orga- nes de liaison sous une forme extrêmement plate, on peut, par une mensuration correspondante de la largeur dans la direction perpendiculaire à celle de l'épaisseur, créer sans difficulté le moment résistant qui est nécessaire pour supporter les efforts sans risque de déformation permanente des organes de liaison, étant donné que, d'une manière ex- trêmement favorable, l'action desdits efforts sur lesdits organes s'exerce dans la direction du profil sur champ, Par contre, les déformations élastiques sont désirées, car elles ont une influence favorable en ce sens qu'elles per-
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mettent aux organes de liaison et à ceux des bords (raidis par ces organes) des articles de vêtement qui se trouvent près de la zone de fermeture,
d'épouser la surface de limi- tation du corps parallèlement à cette surface, ou de s'ap- pliquer directement sur elle, de sorte que les dimensions , donner aux organes de liaison sont déterminées sans équi- voque par ces exigences et desiderata.
L'assemblage des branches de renforcement entre elles peut être réalisé par les moyens les plus divers. Un moyen particulièrement simple réside dans une disposition en forme d'U des organes de liaison, mais ces organes pour- raient cependant être établis sous d'autres formes, telles que celles des lettres H, X, Y, A ou V.
Il existe en principe, deux possibilités relati- ves à la disposition des organes de liaison, selon que ces organes restent constamment attachés à l'un des bords de l'article de vêtement ou qu'ils peuvent en être entièrement détachés, de sorte qu'ils constituent des pièces indépendan- tes.. Dans le premier cas, les organes de liaison sont soli- dement assujettis , de préférence par l'intermédiaire d'une des branches de renforcement, à celui des bords de l'article de vêtement qui correspond à ladite branche et qui est raidi par elle. Cet assemblage peut être réalisé par les moyens les plus divers.
C'est ainsi que les organes de liaison peu- des vent-être cousus par l'entremise d'une/branches l'article de vêtement, que la. branche peut être incorporée par couture audit article, ou qu'elle peut lui être incorporée par tis- sage, tricotage ou tressage. Dans ce dernier cas, les orga- nes de liaison demeurent attachés à l'article, même au cours du blanchissage, alors que, en cas-contraire, ils en sont
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détachés pour leur être de nouveau, attachés ou incorporés par couture. S'il est fait usage de matières artificielles pour la fabrication de l'article de vêtement ou de parties de cet article, on peut aussi envisager les possibilités d'attache ou d'incorporation par collage, pressage, riveta- ge, soudure, soudage ou tous autres modes de fixation connus en so i .
Si les organes de liaison ne sont pas établis sous forme de pièces indépendantes, c'est-à-dire si ces or- ganes sont fixés à demeure à l'article d'habillement a.vant même que cet article ait été directement préparé en vue de son utilisation, c'est la branche de renforcement libre dont il faut se-servir pour fixer l'organe au bord opposé de l'article à la limite de la zone de fermeture. On obtient ce résultat en prévoyant dans ledit bord opposé un évidement qui est assigné à cette branche libre et destiné à la rece- voir.
Au contraire, si les organes de liaison sont établis sous forme de pièces indépendantes, de tels évidements pré- vus dans les deux bords de 1' article, pour autant que cha- cun d'eux limite ou constitue une zone de fermeture, sont assignés à toutes les branches de renforcement restant li- bres.
La disposition la plus simple de ces évidements ou pochas réceptrices est caractérisée par le fait que l'évide- ment a la. forme d'une fente, mais il est évidemment possible d'adopter d'autres dispositions pour les poches réceptrices afin d'adapter ces poches à la forme qu'on envisage de don- ner, dans chaque cas particulier, aux branches de renforcè- ment, qui n'est pas limitée à la forme d'une lame mais peut, au contraire, être ondulée, coudée, hélicoïdale, circulaire, ovale, elliptique ou de toute autre forme.
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Il existe également, pour ce qui est de la forma- tion des évidements destinés à recevoir les organes de liaison, une série de réalisations possibles, qui seront expliquées plus en détail à l'aide des dessins.
La présente invention est en outre basée sur cette constatation qu'il n'existe aucune relation entre la confi- guration et l'ampleur de la partie entourée du corps. On peut sans difficulté tenir compte de cet état de choses par la confection individuelle des articles de vêtement dont il est ici question, par une fabrication en série, mais, jus- qu'à ce jour, il n'existait aucune possibilité d'adaptation d'articles de vêtement fabriqués en série aux conditions de chaque cas particulier. Ceci s'applique tout particulière- ment aux soutien-gorge mais s'applique aussi aux autres arti- cles de vêtement a envisager, en ce sens qu'il arrive sou- vent que des personnes sveltes ont une forte poitrine et que, inversement, des personnes fortes ont peu de poitrine.
Les écarts qui se présentent par suite entre la disposition des bonnets ou poches pour les seins et l'ampleur du soutien- gorge ne peuvent jamais être entièrement compensés par des collections et assortiments de tailles aussi complets soient- ils, sans même tenir compte du fait que, en raison des prix d'achat, des changements de mode, de l'altération de la soie et d'autres facteurs qui font obstacle à l'accroisse- ment de la collection jusqu'à l'infini, les commerces rela- tivement peu importants sont entièrement dans l'impossibili- té d'avoir un stock des soutien-gorge de toutes les grada- tions requises selon la grosseur des bonnets, la conforma- tion et l'ampleur, auxquelles s'ajoutent encore des varia- tions se rapportant aux modèles, aux couleurs, aux fermetu-
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res,
à la. position des fermetures et quantités d'autres facteurs.
Sur la base de cette constatation, il est proposé, conformément à l'invention, d'établir l'article de vêtement à l'aide d'une pièce principale qui, ou bien est adaptée à la configuration des parties entourées du corps, ou bien contraint des parties colles du corps à épouser sa. forme, et d'une ou plusieurs pièces d'insertion supplémentaires, dont la longueur, en concordance avec l'ampleur particuliè- re de la partie habillée ou entourée du corps, peut varier grandement. Il suffit donc de choisir la pièce principale pour l'adapter à la configuration existante ou désirée de la poitrine, s'il s'agit d'un soutien-gorge. Après ce choix effectué sans,qu'il ait été tenu aucun compte de l'ampleur du torse, on détermine alors la pièce d'insertion nécessai- re pour adapter le soutien-gorge à l'ampleur du torse.
Il se présente aussi des cas dans lesquels la position enato- mique et la constitution de l'estomac sont telles que, à la fin des repas, le soutien-gorge précédemment porté occasion- ne une gêne ou est soumis à des efforts auxquels aucune fermeture ne peut résister. On a, dans ce cas, la possibili- té, par le choix d'une pièce d'insertion relativement lon- gue, d'effectuer l'adaptation nécessaire immédiatement et en un tour de main, sans -qu'on ait à craindre la gêne occa- sionnée par le port du soutien-orge, ou à se passer tota- lement de celui-ci.
Cette proposition, qui a en soi le caractère et l'importance d'une invention, est toutefois subordonnée dans une grande mesure à la construction de la fermeture. et à saperfection. Les pièces d'insertion, qui devront de
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préférence.être établies avec un haut degré d'élasticité mais peuvent aussi ne pas être élastiques, pourraient sans doute aussi être reliées à la pièce principale à l'aide de fermetures à boutons, à agrafes, à bandes ou à glissières, mais le type de liaison ou d'assemblage influe sur l'empla- cernent général de la pièce principale,
de sorte que son adaptation précise et sa destination perdent leur sens si elles sont dérangées par des plis en accordéon et par la formation de bourrelets aux points de transition entre la pièce principale et les pièces d'insertion et en partie détruites, surtout si ces variations de forme ont une réper- cussion sur la pièce principale et en modifient la position et la forme.
Le principe sur lequel est basée la proposition en question ne peut donc recevoir la solution qui aboutit à la perfection que par l'application ou la disposition d'or- ganes de liaison qui renforcent les bords de l'article de vêtement dans la zone de fermeture existant entre la pièce principale et les pièces d'insertion par leur extension lon- gitudinale-au-dessus de ces bords, organes dont les branches effectuant le raidissage des bords sont reliées rigidement entre elles dans la position ajustée de l'article et, avec une construction plate essentiellement parallèle à la sur- face de limitation du corps;
, en dépit de l'épaisseur très faible qu'elles possèdentdans la direction perpendiculaire à cette surface, sont calculées dans leur largeur de telle sorte que le moment résistant auquel sont soumises ces bran- ches et leur liaison suffit pour leur permettre de supporter les efforts qui interviennent normalement pendant le port de 1 'article de vêtement, sans déformation permanente des organes de liaison transversalement au plan dans lequel ces
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efforts se produisent.
Les dessins annexés représentent, à titre d'exem- ple, une forme de réalisation du principe, de l'invention, dans son-application à un soutien-gorge, ainsi que d'autres applications possibles de ce principe, par exemple pour des vêtements de soirée.
Sur ces dessins :
Fig. 1 représenté, vu de dos, le torse de la per- sonne portant un soutien-gorge établi conformément au prin- cipe de l'invention.
Fig. 2 reproduit par une vue en élévation à plus grande échelle des détails de la fermeture et de la pièce d'insertion.
Fig. 3 est une coupe du soutien-gorge et de sa fermeture, par la ligne III-III (fig. 2), à une échelle faussée en ce sens que l'épaisseur est exagérée par rapport la. longueur.
Fig. 4 représente une construction quelque peu modifiée des organes de liaison.
Fig. 5 est une vue en élévation d'une partie de robe de soirée comportant des organes de liaison proposés, conformément à l'invention, dans le cas d'une fermeture dorsale.
Fig. 6 est une vue analogue à la figure 5, mais se rapportant à une fermeture latérale.
Fig. 7 représente la portion de droite de la par- tie dorsale d'un soutien-gorge dans lequel l'organe de liai- son est maintenu par une liaison positive, celle-ci étant assurée par la construction élastique du dispositif de ren- forcement recevant une des branches de l'organe de liaison.
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Fig. 8 est une vue de côté de l'organe de liaison dont il est fait usage à la, figure 7.
Fig. 9 est une vue en plan de la zone de fermeture conforme à la figure 7, mais à plus grande écnelle; et
Fig. 10 représente finalement l'organe de renfor- cernent par une vue de côté dans la direction indiquée par la ligne X-X de la figure 9.
Comme on le voit sur le dessin, le soutien-gorge conforme aux figures 1 à 3 se compose d'une pièce principa- le exactement adaptée à la configuration des seins ou con- traignant ceux-ci à prendre une forme déterminée, pièce dont les extrémités, qui se terminent au dos de la, personne qui porte le 'vêtement, sont visibles en 1 et 2.
Cette pièce principale peut être établie d'une manière quelconque, sur la base de toutes les connaissances et expériences actuel- les en la matière; elle ne fait pas l'objet de cette inven- tion et, au contraire, ne présente d'intérêt pour celle-ci que 'dans la mesure où elle donne la possibilité, sans qu'il soit tenu aucun compte de l'ampleur de la poitrine de la personne portant la vêtement, de remplir le rôle qui lui est assigné, à savoir de soutenir et conformer les seins, d'une manière aussi parfaite que possible.
Toutefois, con- formément à l'invention, cette pièce principale est complé- tée par une pièce d'insertion 3 dont la longueur est suscep- tible d'être modifiée en conformité avec l'ampleur de la poitrine, c'est-à-dire avec l'ampleur de la. partie du corps qui, dans tout cas particulier, doit être entourée, vêtue.
Dans le cas de l'exemple de réalisation, la pièce d'inser- tion se compose d'une petite longueur de bende de caout- chouc. Au lieu de la bande de caoutchouc, on peut constituer
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la pièce d'insertion par d'autres matières, par exemple par- des bandes non élastiques. Il n'est pas non plus néces- saire de se limiter à une seule pièce d'insertion, car il peut en être prévu plusieurs.
Par exemple, on pourra faire usage de bandes non élastiques lorsque la pièce principale elle-même sera déjà établie élastiquement ou comportera des garnitures élastiques, comme c'est souvent le cas des gaines ou ceintures de hanche dans le but de permettre d'ef- fectuer déjà l'aplatissement de l'abdomen à partir des han- che s.
Selon une autre caractéristique de la réalisation de l'objet de l'invention, les bords 4 et 5 des extrémités
1 et 2 - qui constituent la zone de fermeture # de la pièce principale, sont renforcés par des organes de liaison, en ce sens qu'une des deux branches, 6, de ces organes, qui possèdent la forme d'un U, est reçue dans le bord 4, ou 5, de l'article de vêtement.
Dans l'exemple de réalisation, ce résultat est obtenu en raison du fait que, grâce à des pi- qûres 7 et 8 prévues sur toute la hauteur des extrémités
1 et 2, d'une part, à des piqûres 9 et 10 ne s'&tendant pas entièrement sur toute cette hauteur et, finalement, à des piqûres transversales 11 et 12, des poches ou fentes 13 et
14 sont constituées dans lesquelles sont reçues les bran- ches 6.
En raison du fait que les piqûres 9 et 10 ne s'éten- dent pas sur toute la hauteur des extrémités 1 et 2, on obtient une ouverture d'introduction 15 ou 16 par laquelle l'organe de liaison peut être introduit dans les extrémités
1 et 2 ou dans leurs poches ou fentes 13 et14 ou retiré .de celles-ci. Bien entendu, ceci n'est possible que si, a cet endroit, les extrémités 1 et 2 on t été établies avec
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une double paroi. Ceci peut être effectué par les moyens les plus divers. Dans l'exemple de réalisation, cette dis- position à double paroi résulte du fait que la matière 17 dont est faite la pièce principale du soutien-gorge (voir fig. 3) a été doublée dans les parties constituant les ex- trémités 1 et 2 par les renforcements de matière 13.
Grâce aux figures déjà mentionnées 10 et 8, à la piqûre longitu- dinale 19 et aux deux piqûres transversales 20 et 21 des bords, les renforcements 18 sont reliés (cousus) solidement à la matière 17 de la pièce principale du soutien-gorge.
Les piqûres 10, 8, 19, 21, 20 et 12 rétrécissent d'autre part à tel point l'épaisseur de la matière 17 au voisinage des renforcements 18 que, malgré ces derniers et malgré la réception de la branche 8 des organes de liaison, l'épais- seur de matière au voisinage de l'extrémité 2 de la pièce principale ne dépasse pas celle de cette pièce dans la ré- gion restante. Ce quia été représenté pour l'extrémité de droite'2 dans la moitié de droite de la figure 3 s'applique essentiellement à l'extrémité de gauche 1 du soutien-gorge, qui n'a pas été représentée en section transversale.
Pour établir le, liaison avec la pièce d'insertion 3, les dispositifs suivants ont, d'autre part, été prévus.
La bande de traction que constitue cette pièce 3, et qui est par conséquent établie avec un entrelacement de fils de caoutchouc (fig. 3, à gauche), est également montée dans un organe de renforcement qui, contrairement au renfor- cement en tissu 18, est fait de matériaux rigides, par exem- ple de tôles ou de gaines inoxydables en métal léger.
Comme on le voit à la figure 3, à gauche, ces montures métalliques ont la forme d'un U en section transversale. Entre les bran.
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ches libres 22 et 23 des montures 24 sont donc disposées les extrémités 24' et 25' - assignées aux extrémités 1 et 2 de la pièce principale du soutien-gorge - de la bande de traction formant pièce d'insertion 3, les branches 22 et 23 étant reliées entre elles par des rivets 26 qui com- priment les extrémités 24' et 25' de telle sorte que l'é- paisseur du tissu 17, combinée avec celle de l'ourlet de bord 27, ou l'épaisseur des parties 17 et 18 y compris celle de l'ourlet de bord 27 au voisinage des renforcements 18, ne sont pas dépassées.
Dans les montures 24, sont en outre pratiqués des évidements en forme de fente 28 qui débouchent en haut et en bas, de sorte que la seconde, 29, des bran- ches des organes de liaison, dont il n'avait précédemment pas été fait mention peut être reçue dans les montures 24.
De plus, le guidage des branches 29 dans les fentes 28 est très précis, de sorte que, outre qu'une introduction 'aisée est assurée par le fait que les fentes se terminent quelque peu coniquement vers le bas (non représenté), un maintien ferme des branche 29 dans les montures 24 est réalisé, En raison d'une portion en retrait prévue en 30 sur les montu- res 24, il est tenu compte de la largeur des portions média- nes 31 des organes de liaison 6, 29, 31. De plus, les piqû- res transversales 11 et 12, qui se comportent comme des "pinces" empêchent les branches 6 de glisser versle bas dans les évidements 13 et 14.
Il ressort de la figure 3 que les organes de liai- son 6,29, 31 renforcent les bords 4 et 5 de l'article de vêtement dans la zone de fermeture constituée par les extré- mités 1 et 2 de la pièce principale de construction ouverte au soutien-gorge, en raison de l'extension longitudinale de
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ces organes sur toute la. hauteur desdits bords, que les ôranches 6 effectuant le renforcement des bords, dont fait partie la branche 29 renforçant les bords 24', 25' des pie- ces d'insertion 3, sont rigidement reliées entre elles, dans la position ajustée, par les portions médianes 31 et que, avec une construction essentiellement plate (fig.
3) par rapport à la surface de limitation du corps, en dépit d'une très faible épaisseur dans la direction perpendiculai- re à cette surface, les branches des organes de liaison sont, dans leur largeur, calculées de telle sorte que le moment résistant qui est appliqué aux branches 6,29 et 31 dans le plan de liaison des bords 4 et 5 (ou 24' et 25') suffit pour supporter, transversalement au plan dans lequel les efforts se produisent, les forces qui interviennent nor- malement pendant le port du soutien -gorge, sans qu'il en ré- sulte une déformation des organes de liaison 6, 29, 31. Cn se rend compte qu'on a toute latitude, entre de larges limi- tes, dans la mensuration des largeurs des branches 6, 29 et 31.
Lorsque ces organes de liaison sont faits de métal, l'expérience montre que des largeurs de 4 à 6 mm sont entiè- rement suffisantes pour les branches, avec une épaisseur de 1 à 2 mm. Cette épaisseur est comprise entre les limites de la flexibilité élastique des couches de tissu lors de la couture, de sorte que la liaison proposée ne constitua pra- tiquement pas un surcroît d'épaisseur pour les articles de vêtement. Lorsqu'il est question, dans cette description, de déformations des organes de liaison, on entend par là des déformations essentiellement permanentes; les déforma- tions élastiques, qui ont pour effet que les organes de liaison épousent la forme de la surface du corps, sont au
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contraire désirées.
-L'exemple de réalisation montre aussi des organes de liaison qui sont établis avec un certain degré d'indé- pendance à la façon de pièces entièrement séparables de l'article de vêtement, excepte à l'état prêt à servir de cet article, c'est-à-dire de pièces qui ne sont pas fixées audit article d'une manière permanente. Cette disposition a l'avantage de permettre aux matières non textiles d'être entièrement séparées des textiles, ce qui est désirable lors du blanchissage, bien que ceci ne soit pas indispen- sable. Il est aussi possible de pouvoir remplacer les mon- tures 24 par des dispositions conformes à la moitié de droite de la figure 3. Il n'est pas non plus indispensable de prévoir la liaison indiquée des deux côtés de la pièce d'insertion 3.
La bande de traction 3 pourrait aussi, d'un coté, être cousue ou reliée de quelqu' autre manière à la portion extrême y afférente. Il en découle seulement, dans ce cas, qu'on perd jusqu'à un certain point de l'interchan- geabilité constante de la pièce d'insertion 3.
Si l'on renonce à l'avantage de la disposition selon laquelle les organes de liaison sont entièrement séparables d'avec l'article de vêlement, il va de so i qu'- une des deux branches de l'organe de liaison peut rester constamment attachée à l'article de vêtement, par exemple par couture. Toutes ces variations restent dans le cadre de l'invention et l'on ne s'écarte pas de son principe s'il est renoncé à l'un des avantages que l'invention permet d'obtenir en faveur d'une simplification correspondante de la construction ou de la disposition.
La mise en place du soutien-gorge selon les fieu-
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res 1 à 3 s'effectue d'une manière très simple. Apres le choix.de la pièce principale, effectué d'après la forme des seins et de manière à assurer le meilleur soutien possible, et après le choix de la pièce d'insertion 3, effectué sur la base de l'ampleur du buste, on pose le soutien-gorge de telle manière que, une fois les organes de liaison insé- rés dans les poches 13 et 14, les extrémités 1 et 2 se pla- cent.sur la partie antérieure du corps. On introduit alors les branches ainsi libres 29 dans les fentes 28 de la mon- ture, ou bien on glisse la bande de traction 3 sur lesdites branches 29.
On fait alors tourner le soutien-gorge, en soumettant la bande 3 à une légère tension, jusqu'à ce que les bonnets de l'article reçoivent les seins. On passe alors les bandes ou épaulettes 32, 33 (figure 1) par des- sus les épaules.
La figure 4 représente une forme de réalisation légèrement modifiée des montures 24 et des organes de liai- son 6, 29,31, cette forme étant destinée aux femmes dont la poitrine est très forte ou à celles qui, en raison de leur activité à la maison, ou dans des professions entraî- nant une grande activité des organes du corps et des mouve- ments violents, par exemple dans la pratique de certains sports, etc... soumettent leur soutien-gorge des efforts particulièrement élevés, de telle sorte que l'assemblage à friction des branches 6 et 29 n'est plus suffisant pour maintenir celles-ci dans leurs poches ou fentes.
La soli- dité de la.liaison par frottement pourrait d'abord être accrue par l'action de re'ssorts. A cet effet or. pourrait, par exemple, prolonger à fond vers la droite la fente 28 indiquée à gauche de la figure 3 et soumettre les languet-
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tes libres ainsi constituées à une déformation par pliage. ou mise sous tension sous l'influence de laquelle les extré- mités de ces languettes se rejoignent avant que la branche 29 ait été insérée. Lorsqu'on introduit les branches 29, l'élargissement élastique que subissent de ce fait les lan- guettes a. pour effet que ces branches reçoivent desdites languettes une poussée élastique telle qu'elles sont main- tenues en place avec une force accrue.
Dans la partie massi- ve qui se trouve au-dessus des fentes 28, on pourrait aussi disposer des billes montées sur des ressorts de manière qu'elles s'engagent dans des alvéoles sphériques pratiqués' dans les branches 29. Selon une disposition simplifiée, il suffirait d'emboutir une calotte sphérique sur une des lan- guettes résultant de la formation d'une fente dans la pièce 24 et de prévoir dans la branche 29 une creusure ou conca- vité appropriée dans laquelle s'engagerait la calotte con- vexe, la disposition cinématiquement inversée de ces moyens étant d'ailleurs possible. Une sécurité encore plus grande peut,bien entendu, être obtenue à l'aide d'une liaison plus positive, représentée avec des moyens extrêmement simples à la figure 4.
La branche 29 comporte à cet effet, en 34, une saillie en forme de crochet, et la largeur de la fente 28 est choisie telle que, en dépit de cette saillie, la branche-peut être- introduite de bas en haut dans cette fente de la monture 24. En outre, la monture 24 présente aussi une portion en retrait, en 35. La saillie formant crochet 34 fait saillie hors de la partie en retrait 35 sous l'in- fluence de la force de traction constamment exercée, dès que la, branche 29 a été passée à travers la fente 28, ce qui établit une liaison positive.
Le cas échant, pour ne plus
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être tributaire de la liaison sous tension ou élastique qui établit cette liaison positive, on peut encore interposer une cale entre la branche 29 et la paroi de limitation de droite de la fente. Pour que la branche 6 puisse être main- tenue dans la poche 13 avec la même sécurité, cette branche est cousue en 36. Comme il suffit à cet effet de quelques points, l'enlèvement et le rétablissement de ces points avant et après le blanchissage n'offre pas de difficultés.
La figure 5 représente une application du présent organe de liaison à la fermeture dorsale d'un vêtement de soirée. Sur le collet 37 est prévu un organe de liaison 6, 29, 31 avec des branches d'égale longueur et avec réception, de chaque côté, à l'aide de poches de tissu établies comme indiqué en 13 ou 14. Bien entendu, les parties marginales que comporte le vêtement à la zone de fermeture peuvent aussi être garnies de montures du genre de la monture 24, par exemple faites de matières artificielles possédant une certaine souplesse et une richesse de coloris appropriées.
En 38, la branche médiane 31 recouvre à la façon d'un pont une fente 39 prévue dans le vêtement pour exposer le.dos nu. Dans ce cas, la branche médiane, également exposée, cors titue un ornement, en ce sens qu'elle est faite de métaux précieux et garnie de pierres précieuses ou qu'elle est autrement décorée ou établie sous forme d'une parure.
La, figure 6 représente l'application des organes de liaison à une fermeture latérale. Des costumes de bain, vêtements de sport, etc... peuvent être constitués d'une manière analogue. L'invention n'est d'ailleurs nullement limitée à son application aux vêtements et articles d'ha- billement pour dames, son principe étant au contraire évi-
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- déminent applicable aux articles de vêtement pour hommes et enfants. Ceci est également avant tout principalement le cas des articles de vêtement pour bains et plages, des cos- tumes de sport, des vestes, des costumes très ajustés, tels que les vêtements d'escrime ou d'armes, les toilettes et costumes de danse, les costumes de théâtre, les vêtements de dessous, caleçons, etc.,.
Dans l'exemple de réalisation selon les figures
7 à 10, la branche droite 6 de l'organe de liaison est cou- sue, grâce à des trous 36 pratiques dans cette branche, à la portion 2 de la partie dorsale du soutien-gorge, les piqû- res étant indiquées en 40. A cet effet une poche 41 est constituée dans cette portion 2 à l'aide des piqûres 42.
L'autre branche, 29, comporte, comme dans l'exemple de réa- lisation selon la. figure 4, une saillie en forme de crochet
34, cette branche 29 étant reliée à la branche 6 par une portion ou branche médiane 31. La présente construction diffère toutefois de celle de la figure 4 en ce que, au lieu que la saillie formant crochet soit reçue dans une portion en creux 35 de la monture 24, cette dernière, qui a la forme d'un U en section, présente en 43 une ouverture qui est destinée à recevoir le crochet 34 aussitôt que le soutien-gorge a été fermé par l'insertion de la branche 29 dans la fente 28 de la monture 24.
Cette monture 24 comporte, en 44, des languettes ou griffes s'étendant }.*une vers l'au- -tre et obtenues par matriçags, lesquelles languettes s'en- gagent dans la pièce d'insertion 3, comme on le voit à la figure 9, et fixentainsi fermement la, pièce 3 à la monture ou organe de renforcement 24. Pour que le crochet 34 reste en toute sécurité engagé dans le trou 43 une fois le soutien-
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gorge mis en place et qu'il ne risque pas d'être dégagé de ce trou sous l'influence d'une traction violente, la monture 24 n'est plus du type fermé à son extrémité inférieure, comme elle l'était -aux figures 2 et 3, cette extrémité étant au contraire ouverte.
Les pattes libres 24' et 24'' ainsi constituées sont, d'autre part, resserrées l'une contre l'au- tre, de telle sorte que la distance qui les sépare est plus petite, à l'état normal non déformé que l'épaisseur de la portion médiane 31 (voir figure 10). Il en résulte que les pattes élastiques 24' et 24'' maintiennent l'organe de liaison, après que la branche 29 a été introduite dans la fente 28, dans une position dans laquelle le crochet 34 reste dans le trou 43. Ceci empêche que le soutien-gorge fermé ait la possibilité de s'ouvrir de lui-même.
L'invention n'est pas limitée aux formes de réali- sation représentées et est au contraire susceptible de recevoir d'autres formes et de nombreuses modifications.
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"ARTICLE OF CLOTHING SURROUNDING PARTS OF THE BODY"
Articles of clothing intended to surround parts of the body, such as: bras and girdles, sanitary napkin holders, bodices, lace-up bodices, corsets, blouses, stockings supports, hip belts, pregnancy clothes , as well as articles of clothing for the outside, such as evening clothes shaped on the body, as well as bathing suits, sports clothes, etc., have so far been established to be entirely firm , or open.
Closed construction requires flexible fabrics, for example knitted fabrics, in which the weave weave is replaced by a knit weave, if the incorporation, by weaving or knitting, of elastic and flexible yarns is dispensed with, such as rubber threads, fila-
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elements or threads of artificial materials or the like. These closed, tube-shaped constructions, whether or not established with decreases, present drawbacks because they constantly put pressure on the surrounded part of the body, obstructing the penetration of air, that they prevent the evaporation of sweat and that they eventually become unpleasant, annoying, harmful to health and unsightly.
It is therefore the. The open construction of such articles is presently preferred, although there are as yet no perfect closures for articles of this type. If use is made of buttons, on the one hand, buttonholes or loops, on the other hand, the buttons form their imprint in the outer pieces of clothing, so that they become visible. In addition, the holes and loops do not resist - or at least not sufficiently - the high forces involved. On the other hand, under the influence of these high tensile forces, these articles crumple and accordion-fold, ultimately forming a bead similar to a cord or cable.
Attempts have already been made to overcome these difficulties by lengthening the edges of the articles of clothing, at the closure zone, in the form of bands and by connecting these bands, after having crossed them one over the other, to using a loop. In this case, however, the forces intervene in a concentrated form in the direction of the bands, so that the described disadvantages also arose.
In order to solve the problem thus posed, articles of clothing intended to surround parts of the
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body, and which are open when not worn, are characterized, in accordance with the invention, by the application of connecting members which reinforce the edges of the article of clothing in the closure zone by their longitudinal extension above these edges, members of which the branches carrying out the stiffening of the edges are rigidly connected to each other in the adjusted position of the article and, with a flat construction essentially parallel to the limiting surface of the body, despite of the very small thickness that they have in the direction perpendicular to this surface,
are calculated in their width such that the moment of resistance exhibited by the branches and their connection is sufficient to enable them to withstand the forces which normally occur during the wearing of the article of clothing, without permanent deformation of the organs connection, transversely to the plane in which these forces occur.
The advantages of this link are obvious. Due to the stiffening of the edges at the closure zone, the forces involved are distributed in a completely regular manner over the length of the stiffening, that is to say practically over the length of the edges at the closure zone, being since the stiffened portion is given as long a length as possible. The material of which articles of clothing are made is, therefore, substantially subjected to a tensile force evenly distributed over the entire width of the edges of this material, which excludes banding, warping, puckering. accordion-and the formations of beads, strings and rollers.
The article of clothing retains without
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change the shape given to the closure area even though the article of clothing would be worn for a very long time. However, owing to the flat shape conferred on the connecting members, this result is obtained only if the thickness required by these members is only a fraction of the thickness of the fabrics or materials of which the fabric is usually made. article of clothing.
It follows that, in practice, said connecting member is entirely invisible, it only bulges or protrudes to such a small extent that the thickness of the connecting member can be compensated by other devices, such as the compression (which can already be obtained by stitching the layers together) of the fabric of which the article of clothing is made ;. besides that, by the combination of reinforcing branches and force transmission elements, which results in the formation of a common organ, the desired simplification is achieved with which it is of course also possible to provide the stiffening, in addition to special force transmission devices.
Despite the possibility of constructing the connecting members in an extremely flat form, it is possible, by corresponding measurement of the width in the direction perpendicular to that of the thickness, to create without difficulty the resistance moment which is necessary for withstand the forces without risk of permanent deformation of the connecting members, given that, in an extremely favorable manner, the action of said forces on said members is exerted in the direction of the profile on the field, On the other hand, the deformations elastic bands are desired because they have a favorable influence in that they allow
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put articles of clothing which are located near the closing zone to the connecting members and those of the edges (stiffened by these members),
to conform to the limiting surface of the body parallel to this surface, or to apply directly to it, so that the dimensions, given to the connecting members are unequivocally determined by these requirements and desiderata.
The assembly of the reinforcing branches together can be achieved by the most diverse means. A particularly simple way is a U-shaped arrangement of the connecting members, but these members could however be established in other forms, such as those of the letters H, X, Y, A or V.
There are in principle two possibilities relating to the arrangement of the connecting members, depending on whether these members remain constantly attached to one of the edges of the article of clothing or whether they can be completely detached from it, so that 'they constitute independent pieces. In the first case, the connecting members are firmly secured, preferably by means of one of the reinforcing branches, to that of the edges of the article of clothing which corresponds to said branch and which is stiffened by it. This assembly can be achieved by the most diverse means.
Thus the connecting members can be sewn through a / branches the article of clothing, that the. branch may be incorporated by stitching to said article, or may be incorporated therein by weaving, knitting or braiding. In the latter case, the binding organs remain attached to the article, even during laundering, whereas, otherwise, they are.
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detached to be again, attached or incorporated by sewing. If artificial materials are used for the manufacture of the article of clothing or parts thereof, the possibilities of attachment or incorporation by gluing, pressing, riveting, welding, welding can also be considered. or any other fixing methods known in so i.
If the connecting members are not established in the form of independent parts, that is to say if these organs are permanently attached to the article of clothing a. Even before this article has been directly prepared in view of its use, it is the free reinforcing branch which must be used to fix the member to the opposite edge of the article at the limit of the closure zone. This result is obtained by providing in said opposite edge a recess which is assigned to this free branch and intended to receive it.
On the contrary, if the connecting members are established as independent parts, such recesses provided in the two edges of the article, insofar as each of them limits or constitutes a closing zone, are assigned. to all the reinforcement branches that remain free.
The simplest arrangement of these recesses or receiving pochas is characterized by the fact that the recess has the. form of a slit, but it is obviously possible to adopt other arrangements for the receiving pockets in order to adapt these pockets to the shape which it is envisaged to give, in each particular case, to the reinforcing branches. ment, which is not limited to the shape of a blade but may, on the contrary, be wavy, angled, helical, circular, oval, elliptical or any other shape.
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There is also, as regards the formation of the recesses intended to receive the connecting members, a series of possible embodiments, which will be explained in more detail with the aid of the drawings.
The present invention is further based on this finding that there is no relationship between the shape and size of the surrounded part of the body. This state of affairs can easily be taken into account by the individual making of the articles of clothing in question here, by mass production, but until now there has been no possibility of adaptation. of articles of clothing produced in series under the conditions of each particular case. This applies particularly to bras but also applies to other articles of clothing to be considered, in the sense that it often happens that slender people have a large breast and that, conversely, strong people have little breasts.
The discrepancies which arise as a result between the arrangement of the cups or breast pockets and the fullness of the bra can never be entirely compensated for by collections and size ranges, however complete they may be, without even taking the fact into account. that, due to purchase prices, changes in fashion, alteration of silk and other factors which hinder the growth of the collection to infinity, the rela- very small are entirely in the impossibility of having a stock of bras of all the required gradations according to the size of the cups, the conforma- tion and the size, to which are added further variations. statements relating to models, colors, closures
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res,
to the. position of closures and amounts of other factors.
On the basis of this observation, it is proposed, in accordance with the invention, to establish the article of clothing using a main part which either is adapted to the configuration of the surrounded parts of the body, or well constrained glued parts of the body to marry his. shape, and one or more additional inserts, the length of which, in accordance with the particular size of the dressed or wrapped part of the body, can vary greatly. It is therefore sufficient to choose the main part to adapt it to the existing or desired configuration of the breast, if it is a bra. After this choice has been made without taking any account of the size of the torso, the insertion piece required to adapt the bra to the size of the torso is then determined.
There are also cases in which the enato- mic position and the constitution of the stomach are such that, at the end of the meals, the previously worn brassiere causes discomfort or is subjected to forces to which no closure. cannot resist. In this case, we have the possibility, by choosing a relatively long insert, to carry out the necessary adaptation immediately and in a jiffy, without having to fear the discomfort caused by wearing the barley support, or doing without it altogether.
This proposal, which in itself has the character and importance of an invention, is however to a large extent dependent on the construction of the closure. and saperfection. The inserts, which must be
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preferably. be made with a high degree of elasticity but also may not be elastic, could arguably also be connected to the main piece using button, hook, tape or zipper closures, but the type connection or assembly influences the general location of the main part,
so that its precise adaptation and destination lose their meaning if disturbed by accordion folds and the formation of beads at the transition points between the main part and the inserts and partly destroyed, especially if these variations shapes have an impact on the main part and modify its position and shape.
The principle on which the proposition in question is based can therefore only receive the solution which results in perfection by the application or arrangement of connecting members which reinforce the edges of the article of clothing in the zone of. closure existing between the main piece and the insert pieces by their longitudinal extension above these edges, members of which the branches carrying out the stiffening of the edges are rigidly connected to each other in the adjusted position of the article and, with a flat construction essentially parallel to the boundary surface of the body;
, despite the very small thickness that they have in the direction perpendicular to this surface, are calculated in their width so that the moment of resistance to which these branches are subjected and their connection is sufficient to enable them to withstand the forces. which normally occur during the wearing of the article of clothing, without permanent deformation of the connecting members transversely to the plane in which these
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efforts occur.
The accompanying drawings show, by way of example, an embodiment of the principle, of the invention, in its application to a brassiere, as well as other possible applications of this principle, for example for women. evening wear.
On these drawings:
Fig. 1 shown, seen from behind, the torso of the person wearing a bra made in accordance with the principle of the invention.
Fig. 2 shown as an enlarged elevation view of the details of the closure and insert.
Fig. 3 is a section of the bra and its closure, by line III-III (fig. 2), on a scale distorted in that the thickness is exaggerated with respect to the. length.
Fig. 4 shows a somewhat modified construction of the connecting members.
Fig. 5 is an elevational view of part of an evening dress comprising connecting members provided, in accordance with the invention, in the case of a back closure.
Fig. 6 is a view similar to Figure 5, but relating to a side closure.
Fig. 7 shows the right portion of the dorsal part of a brassiere in which the connecting member is held by a positive connection, the latter being ensured by the elastic construction of the receiving reinforcement device. one of the branches of the connecting member.
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Fig. 8 is a side view of the connecting member which is used in FIG. 7.
Fig. 9 is a plan view of the closure zone according to FIG. 7, but on a larger scale; and
Fig. 10 finally shows the reinforcing member in a side view in the direction indicated by the line X-X in FIG. 9.
As can be seen in the drawing, the bra according to Figures 1 to 3 consists of a main part exactly adapted to the configuration of the breasts or forcing them to take a specific shape, part of which the ends, which end at the back of the person wearing the garment, are visible at 1 and 2.
This main piece can be established in any way, on the basis of all current knowledge and experience in the matter; it is not the subject of this invention and, on the contrary, is of interest to it only in so far as it provides the possibility, without taking any account of the extent of the breast of the person wearing the garment, to fulfill the role assigned to it, namely to support and conform the breasts, as perfectly as possible.
However, in accordance with the invention, this main part is completed by an insertion part 3, the length of which is liable to be modified in accordance with the size of the breast, that is to say - say with the magnitude of the. part of the body which, in any particular case, must be surrounded, clothed.
In the case of the exemplary embodiment, the insert consists of a short length of rubber band. Instead of the rubber band, one can constitute
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the insert by other materials, for example by non-elastic bands. It is also not necessary to limit oneself to a single insert piece, since several can be provided.
For example, non-elastic bands could be used when the main part itself will already be established elastically or will have elastic gaskets, as is often the case with sheaths or hip belts in order to allow ef- already flatten the abdomen from the hips.
According to another characteristic of the embodiment of the object of the invention, the edges 4 and 5 of the ends
1 and 2 - which constitute the closure zone # of the main part, are reinforced by connecting members, in the sense that one of the two branches, 6, of these members, which have the shape of a U, is received in edge 4, or 5, of the article of clothing.
In the exemplary embodiment, this result is obtained due to the fact that, by virtue of the stitches 7 and 8 provided over the entire height of the ends
1 and 2, on the one hand, to stitching 9 and 10 not extending entirely over this entire height and, finally, to transverse stitching 11 and 12, pockets or slits 13 and
14 are formed in which the branches 6 are received.
Due to the fact that the stitches 9 and 10 do not extend over the entire height of the ends 1 and 2, an insertion opening 15 or 16 is obtained through which the connecting member can be introduced into the ends.
1 and 2 or in their pockets or slits 13 and 14 or withdrawn from them. Of course, this is only possible if, at this location, the ends 1 and 2 have been established with
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a double wall. This can be done by the most diverse means. In the exemplary embodiment, this double-walled arrangement results from the fact that the material 17 of which the main part of the brassiere is made (see fig. 3) has been doubled in the parts constituting the ends 1 and. 2 by material reinforcements 13.
Thanks to the already mentioned figures 10 and 8, to the longitudinal stitching 19 and to the two transverse stitching 20 and 21 of the edges, the reinforcements 18 are connected (sewn) firmly to the material 17 of the main part of the bra.
The stitches 10, 8, 19, 21, 20 and 12 on the other hand shrink the thickness of the material 17 in the vicinity of the reinforcements 18 to such an extent that, despite the latter and despite the reception of the branch 8 of the connecting members , the thickness of material in the vicinity of the end 2 of the main part does not exceed that of this part in the remaining region. What has been shown for the right end '2 in the right half of Figure 3 essentially applies to the left end 1 of the brassiere, which has not been shown in cross section.
To establish the connection with the insert 3, the following devices have, on the other hand, been provided.
The traction band which this part 3 constitutes, and which is therefore established with an interlacing of rubber threads (fig. 3, left), is also mounted in a reinforcing member which, unlike the fabric reinforcement 18 , is made of rigid materials, for example stainless steel sheets or light metal sheaths.
As seen in Figure 3, on the left, these metal frames have the shape of a U in cross section. Between the bran.
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The free ends 22 and 23 of the frames 24 are therefore arranged the ends 24 'and 25' - assigned to the ends 1 and 2 of the main part of the bra - of the traction band forming the insert 3, the branches 22 and 23 being interconnected by rivets 26 which compress the ends 24 'and 25' so that the thickness of the fabric 17, combined with that of the edge hem 27, or the thickness of the parts 17 and 18 including that of the edge hem 27 in the vicinity of the reinforcements 18, are not exceeded.
In the frames 24, there are also formed recesses in the form of a slot 28 which open out at the top and at the bottom, so that the second, 29, of the branches of the connecting members, which had not previously been made mention can be received in 24 mounts.
In addition, the guiding of the branches 29 in the slots 28 is very precise, so that, besides an easy introduction is ensured by the fact that the slots end somewhat conically downwards (not shown), a maintenance closing of the branches 29 in the frames 24 is achieved, Due to a recessed portion provided at 30 on the frames 24, account is taken of the width of the medial portions 31 of the connecting members 6, 29, 31. In addition, the transverse stitches 11 and 12, which behave like "clamps" prevent the legs 6 from sliding down into the recesses 13 and 14.
It can be seen from FIG. 3 that the connecting members 6, 29, 31 reinforce the edges 4 and 5 of the article of clothing in the closure zone constituted by the ends 1 and 2 of the main construction part. open to the bra, due to the longitudinal extension of
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these organs all over the. height of said edges, that the ôranches 6 effecting the reinforcement of the edges, of which the branch 29 reinforcing the edges 24 ′, 25 ′ of the insertion pieces 3, are rigidly connected to each other, in the adjusted position, by the middle portions 31 and that, with an essentially flat construction (fig.
3) in relation to the limiting surface of the body, despite a very small thickness in the direction perpendicular to this surface, the branches of the connecting members are, in their width, calculated in such a way that the resisting moment which is applied to branches 6, 29 and 31 in the connecting plane of edges 4 and 5 (or 24 'and 25') is sufficient to support, transversely to the plane in which the forces occur, the forces which normally occur during wearing the throat support, without causing any deformation of the connecting members 6, 29, 31. We realize that we have complete latitude, between wide limits, in the measurement of the widths branches 6, 29 and 31.
When these connecting members are made of metal, experience shows that widths of 4 to 6 mm are entirely sufficient for the branches, with a thickness of 1 to 2 mm. This thickness is within the limits of the elastic flexibility of the fabric layers when sewing, so that the proposed bond will not substantially add thickness to the articles of clothing. When it is a question, in this description, of deformations of the connecting members, by this is meant essentially permanent deformations; elastic deformations, which cause the connecting members to conform to the shape of the body surface, are at
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otherwise desired.
The exemplary embodiment also shows connecting members which are established with a certain degree of independence as fully separable pieces of the article of clothing, except in the ready-to-use state of this article, that is to say parts which are not permanently attached to said article. This arrangement has the advantage of allowing non-textile materials to be completely separated from textiles, which is desirable in laundering, although this is not essential. It is also possible to be able to replace the frames 24 by arrangements conforming to the right half of FIG. 3. It is also not essential to provide the indicated connection on both sides of the insert 3.
The traction band 3 could also, on the one hand, be sewn or connected in some other way to the end portion thereof. It only follows, in this case, that the constant interchangeability of the insert 3 is lost to a certain extent.
If one dispenses with the advantage of the arrangement that the connecting members are entirely separable from the article of clothing, it goes without saying that one of the two branches of the connecting member may remain constantly attached to the article of clothing, for example by sewing. All these variations remain within the scope of the invention and one does not depart from its principle if one of the advantages which the invention makes it possible to obtain in favor of a corresponding simplification of construction or layout.
The placement of the bra according to the fieu-
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res 1 to 3 is done in a very simple way. After the choice of the main piece, made according to the shape of the breasts and in such a way as to ensure the best possible support, and after the choice of the insert 3, made on the basis of the size of the bust, the bra is placed in such a way that, once the connecting members have been inserted into the pockets 13 and 14, the ends 1 and 2 are placed on the anterior part of the body. The thus free branches 29 are then introduced into the slots 28 of the frame, or else the traction strip 3 is slipped over said branches 29.
The bra is then rotated, subjecting band 3 to slight tension, until the cups of the article receive the breasts. The bands or epaulets 32, 33 (Figure 1) are then passed over the shoulders.
FIG. 4 shows a slightly modified embodiment of the frames 24 and the connecting members 6, 29,31, this form being intended for women with very large breasts or for those who, due to their activity in the breast. home, or in professions involving a great activity of the organs of the body and violent movements, for example in the practice of certain sports, etc ... subject their bras to particularly high efforts, so that the friction assembly of the branches 6 and 29 is no longer sufficient to hold them in their pockets or slots.
The strength of the friction bond could first be increased by the action of springs. For this purpose gold. could, for example, fully extend to the right the slot 28 indicated to the left of Figure 3 and subject the tabs
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your free thus formed to a deformation by folding. or under tension under the influence of which the ends of these tongues meet before the branch 29 has been inserted. When the branches 29 are introduced, the elastic widening which the tongues a undergo thereby. with the effect that these branches receive from said tongues an elastic thrust such that they are held in place with increased force.
In the massive part which is located above the slots 28, it is also possible to place balls mounted on springs so that they engage in spherical cells formed in the branches 29. According to a simplified arrangement, it would suffice to emboss a spherical cap on one of the tabs resulting from the formation of a slot in the part 24 and to provide in the branch 29 a suitable recess or concavity in which the convex cap would engage. , the kinematically reversed arrangement of these means being moreover possible. Even greater security can, of course, be achieved with the help of a more positive connection, shown with extremely simple means in Figure 4.
The branch 29 has for this purpose, at 34, a projection in the form of a hook, and the width of the slot 28 is chosen such that, despite this projection, the branch may be introduced from bottom to top in this slot. of the frame 24. Further, the frame 24 also has a recessed portion, at 35. The hook projection 34 projects out of the recessed portion 35 under the influence of the constantly exerted tensile force. that the branch 29 has been passed through the slot 28, which establishes a positive connection.
If necessary, so as not to
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be dependent on the connection under tension or elastic which establishes this positive connection, it is also possible to interpose a wedge between the branch 29 and the right limiting wall of the slot. So that the branch 6 can be held in the pocket 13 with the same security, this branch is sewn at 36. As a few stitches are sufficient for this purpose, the removal and re-establishment of these stitches before and after laundering. does not offer difficulties.
FIG. 5 represents an application of the present connecting member to the back closure of an evening garment. On the collar 37 is provided a connecting member 6, 29, 31 with branches of equal length and with reception, on each side, by means of fabric pockets established as indicated at 13 or 14. Of course, the marginal parts of the garment at the closure zone may also be provided with frames of the type of frame 24, for example made of artificial materials having a certain flexibility and an appropriate richness of colors.
At 38, the median branch 31 covers, like a bridge, a slit 39 provided in the garment to expose the naked back. In this case, the middle branch, also exposed, corns is an ornament, in that it is made of precious metals and trimmed with precious stones or is otherwise decorated or established in the form of an adornment.
FIG. 6 represents the application of the connecting members to a lateral closure. Bathing suits, sportswear, etc. can be made in an analogous manner. The invention is moreover in no way limited to its application to clothing and articles of clothing for women, its principle being, on the contrary, obvious.
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- demining applicable to articles of clothing for men and children. This is also primarily the case with articles of clothing for baths and beaches, sports costumes, jackets, tight-fitting costumes, such as fencing or weapons clothing, toilets and dance costumes. , theater costumes, underwear, underpants, etc.,.
In the embodiment according to the figures
7 to 10, the right branch 6 of the connecting member is sewn, thanks to practical holes 36 in this branch, to the portion 2 of the dorsal part of the brassiere, the stitching being indicated at 40 For this purpose a pocket 41 is formed in this portion 2 with the aid of the stitches 42.
The other branch, 29, comprises, as in the exemplary embodiment according to. Figure 4, a hook-shaped projection
34, this branch 29 being connected to the branch 6 by a middle portion or branch 31. The present construction differs, however, from that of FIG. 4 in that, instead of the projection forming the hook being received in a recessed portion 35 of the frame 24, the latter, which has the shape of a U in section, has at 43 an opening which is intended to receive the hook 34 as soon as the brassiere has been closed by the insertion of the branch 29 in the slot 28 of the frame 24.
This frame 24 comprises, at 44, tongues or claws extending}. * One towards the other and obtained by stamping, which tongues engage in the insertion piece 3, as can be seen in Figure 9, and thus firmly fix the, part 3 to the frame or reinforcing member 24. So that the hook 34 remains securely engaged in the hole 43 once the support-
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groove in place and that there is no risk of being released from this hole under the influence of a violent traction, the frame 24 is no longer of the closed type at its lower end, as it was at Figures 2 and 3, this end being on the contrary open.
The free legs 24 'and 24' 'thus formed are, on the other hand, tightened against one another, so that the distance which separates them is smaller, in the normal undeformed state than the thickness of the middle portion 31 (see Figure 10). As a result, the elastic tabs 24 'and 24' 'maintain the connecting member, after the branch 29 has been introduced into the slot 28, in a position in which the hook 34 remains in the hole 43. This prevents that the closed bra has the possibility of opening on its own.
The invention is not limited to the embodiments shown and, on the contrary, is susceptible to other forms and numerous modifications.
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