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Perfectionnements relatifs aux structures de bâtiments.- @ La présente invention concerne des bâtiments destinés à divers usages, tels que habitations, camps, casernes, etc...
Dans le brevet français n 914.180, du 10 Septembre 1945, de la Société déposante, il est décrit un batiment qui est composé d'éléments préfabriqués, lesquels sont assujettis ensemble, de façon démontable, essentiellement dans tout l'en- semble de la structure au moyen de raccords à coins d'une for- me nouvelle. Cette invention représente un progrès important dans la technique des bâtiments préfabriqués et la présente invention a à la fois pour but de développer et de perfection- ner l'invention décrite dans ledit brevet et aussi de prévoir d'autres moyens pour assurer d'une façon encore plus efficace
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certaines fonctions des éléments de bâtiment, décrites dans ce brevet.
D'une façon spécifique, la présente invention a pour but de perfectionner les raccords à coins utilisés dans le- dit bâtiment d'une manière telle que tous ces éléments de raccords puissent être installés dans les panneaux, ou dans d'autres éléments de bâtiment,à l'usine, ce qui a pour effet de simplifier l'opération de l'assemblage sur place du bâti- ment et de réduire la main-d'oeuvre nécéssaire à cet assem- blage.
Dans le bâtiment indiqué dans le brevet antérieur, on a utilisé un revêtement assorti en raison de la manière dont étaient installés les bandes d'obturation définitives appe- lées à dissimuler les lignes de coins. Cela permettait de re- tirer facilement ces bandes d'obturation, après quoi certai-ns coins essentiels pour la cohésion du bâtiment pouvaient être aussi facilement supprimés et le bâtiment pouvait être ainsi facilement démonté.
Bien que cette caractéristique ait présen- té ses avantages, en particulier lorsque les bâtiments de- vaient être utilisés à des fins provisoires (telles, par exem- ple, que le logement d'ouvriers d'entreprises de construction, ou d'autres ouvriers appelés à se déplacer rapidement d'un endroit à l'autre), elle représente néanmoins un inconvénient très net dans les bâtiments destinés à servir de legement d'une manière plus permanente. L'un des objets de la présente invention consiste, en conséquence, à metre au point un mode de construction dans lequel cet inconvénient doit être écarté.
Le revêtement assorti, avec ses lignes de jonction ou ses gorges, soulève aussi des objections dans les bâtiments d'un genre dans lequel des parois unies sont bien préférables et un autre objet de la présente invention consiste à réaliser un mode de construction dans lequel on ,peut employer à volonté
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l'un ou l'autre genre de revêtement. Dans certains cas aussi, des parties de la jonction de panneaux contigus, à moins qu'elles ne soient exécutées avec beaucoup de soin, laissent passer des courants d'air considérables et la présente inven- tion a pour but de surmonter cette difficulté.
L'invention sera facilement comprise à l'aide des cons- tructions ci-après décrites à titre d'exemple en se référant aux dessins.
Dans les dessins:
La fig. 1 est une vue à l'état démonté des pièces les plus essentielles d'un joint de bâtiment construit conformé- ment à la présente invention;
Les fig. 2, 3 et 4 sont des vues perpectives montrant les stades successifs de l'application d'un procédé type pour l'assemblage des éléments de la structure du joint;
La fig. 5 est une vue perspective, avec certaines par- ties en coupe, destinée à mieux illustrer le mode de cons- truction et montrant le stade définitif de l'assemblage des quatre éléments de bâtiment réunis en un joint quelconque par un raccord à coins constituant une forme de réalisation de la présente invention;
La fig. 6 est une vue en coupe à proximité immédiate du raccord d'une structure de joint constituant une forme de réalisatioh de la présente invention;
La fig. 7 est une vue en coupe horizontale à travers une paroi de bâtiment à la jonction de deux tronçons;
La fig. 8 est une vue analogue à la fig. 7, mais éta- blie en un point au-dessus du raccord à coins.
Ainsi qu'il est indiqué ci-dessus, la présente inven- tion utilise de préférence des éléments de charpente ou des éléments de bâtiments standards en soi connus par le brevet sus-rappelé. Dans les dessins ci-joints, chacune des pièces)
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latérales et des pièces terminales est supposée faite d'une solive de 2 x 4, 2 x 3, ou de tout autre rapport approprié.
Chacune de ces pièces d'arête a une surface d'arête plate ± (fig.l), ménagée entre deux surfaces biseautées 4-4 et cela est vrai, qu'il s'agisse de pièces latérales ou de pièces terminales. Ces surfaces biseautées forment entre elles un an- gle de 90 et elles forment des angles de 45 avec les surfa- ces d'arête c. Quatre de ces éléments d'arête sont reliés dans tout joint de bâtiment, ainsi qm'il est indiqué, par exemple, dans les fig. 7 et 8, mais dans certains de ces joints un tron- çon de charpente ou un panneau de paroi ou de plancher sera remplacé par une bande de garniture telle que celles qui sont indiquées en 2' dans les fig. 7 et 8.
Le raccord a coins prévu par la présente invention comprend un raccord en deux parties consistant en des éléments en forme de plaques 10 et 10' (fig. 1) et deux pièces trans- versales 12-12 qui, lorsque le joint a été achevé, sont asso- ciées avec les premières selon la méthode illustrée dans la fig. 4. Ainsi qu'il a été indiqué ci-dessus, à chaque joint de bâtiment quatre de ces solives ou pièges d'arête 2 sont assujetties ensemble au moyen d'un ou de plusieurs raccords à coins. A cet effet, chacune des quatre pièces 2 est fendue par intervalles ainsi qu'il est indiqué en e, et chaque fente e est intersectée par une autre fente ou mortaise f découpée dans ladite pièce à partir de la surface d'arête c.
Dans l'assemblage des parties, les portions arquées des deux pièces transversales 12-12 sont insérées dans les fentes d'arête f-f de deux solives opposées 2-2 qui doivent être re- liées ensemble. L'une de ces pièces transversales est inversée par rapport à l'autre parce que leurs portions fendues, plus longues et à bord rectiligne sont destinées à se chevaucher l'une l'autre ainsi qu'il est indiqué dans les fige 3 et 4, mais ce chevauchement est destiné à avoir environ seulement, lorsque
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les fentes sont amenées à coïncider l'une avec l'autre, la même épaisseur totale que l'épaisseur des portions arquées des pièces transversales.
Les pontions arquées de ces par- ties 12-12 sont également fendues et, après qu'elles sont insérées dans les solives 2-2, des coins semblables à ceux qui¯ sont représentés en 13, sont enfoncée à travers les fen- tes 3-3, et à travers les fentes pratiquées dans les pièces transversales, les coins amarant à demeure lesdites pièces transversales dans les solives respectives. Les épaulements g-g (fig.l) constitués à la partie élargie de chaque pièce transversale, viennent buter contre la surface d'arête c aux extrémités des fentes f et limitent le mouvement en arrière des pièces transversales dans les solives correspondantes.
Les deux parties 10 et IO' du raccord sont assujetties de façon similaire dans leurs solives respectives 2-2 par des coins 13 et ces parties comportent des épaulements h destinés à s'engager sur les surfaces d'arête ± et à limiter leur mou- vement en arrière dans les solives. Ces épaulements sont par- faitement indiqués dans la fig. 6. De préférence, les coins 13 sont cannelés sur les surfaces opposées à celles qui enga- gent les éléments de raccords à coins de façon à mordre dans le bois et à assurer un meilleur maintien. Toutes ces pièces peuvent être assujetties à leurs solives respectives à l'usi- ne où ces opérations et l'enfoncement des coins peuvent être exécutés d'une façon plus efficace.
Des éléments de joint similaire sont assujettis de la même façon en des points espacés l'un de l'autre à des dis- tances égales le long du périmètre de chaque élément de bâti- ment. Dans le mode de construction représenté dans la présent brevet, tout ce travail qui eonsiste à assujettir les éléments de raccords à coins aux éléments de bâtiment est accompli à l'usine.
Lorsque quatre de ces éléments de bâtiment doivent être réunis dans l'assemblage d'un bâtiment quelconque constituant
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une forme de réalisation de la présente invention, trois de ces éléments d'arête 3 sont tout d'abord assemblés essen- tiellement selon la méthode indiquée dans la fig. 5, les pièces transversales 12-12 de deux de ces éléments étant ame- nées à chevaucher l'une l'autre, puis placées sur l'élement de raccord 10, ainsi qu'il est indiqué dans ladite figure.
Ces stades sont représentés dans les fig. 2, 3 et 4, les éléments de bâtiment étant manipulés de façon telle qu'à chaque joint l'une des parties 12 soit placée tout d'abord par-dessus son élément de raccord correspondant 10, ainsi qu'il est indiqué dans la fig. 2, après quoi le troisième tronçon est disposé de façon similaire avec sa pièce transversale 12 chevauchant la première pièce transversale, et ces deux pièces étant blo- quées entre elles et avec l'élément 10 de façon à pouvoir ê- tre dégagées. Le stade final du blocage entre eux de l'élé- ment 10' avec la partie 10 reste à accomplir.
A cet effet, l'arête du quatrième élément 2, dans laquelle est assujettie la pièce de raccord -10', est placée essentiellement dans la rainure formée par les surfaces d'arête des trois autres so- lives 2 et elle est glissée dans le sens indiqué par la flè- che dans la fig. 5 jusqu'à ce que les crochets de la partie 10' soit engagés solidement sous les crochets correspondants k de la pièce de raccord 10.
Si l'on admet que ces parties 2 sont des éléments latéraux d'un tronçon de bâtiment standard, il y aurait trois de ces raccords à coins, et, en conséquence, trois de ces crochets j, qui agiront en association avec leurs crochets respectifs k. Cependant, les bords biseautés des deux pièces latérales dans lesquelles sont assujettis les éléments transversaux 12 sont déjà associés avec le troisième élément en portant les éléments de raccord 10 de façon telle qu'ils servent de guide à la quatrième solive 2 avec ses trois cro- chets j dans un rapport de coin avec les crochets des parties
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10.
Il est facile de voir en considérant la fig. 6 que les crochets 1 et k ont des surfaces inclinées de façon telle, par rapport au sens du mouvement relatif de ces éléments) qu'il se produit une jonction solide à la façon d'un coin pour ces éléments. Et ce mouvement non seulement bloquntre elles les parties 10 et ICI des raccords, mais encore il a- git par l'intermédiaire de ces raccords pour attirer les élé- ments d'arête dans lesqqels ils sont assujettis ensemble jus- qu'à ce que la poursuite de ce mouvement se trouve empêchée par l'engagement en forme de coin des surfaces biseautées de la totalité des quatre pièces entre elles. Cela apparait clai- rement si -1)on considère la fig. 7.
Il convient de noter à cet égard que, alors que les deux parties 2-2, dans lesquelles sont situées les pièces transversales 12-12, ne sont pas attirées l'une vers l'autre par l'effort qui vient d'être décrit, elles sont empêchées de s'écarter l'une de l'autre par le blocage des pièces trans- versales avec la raccord 10. Mais l'engagement coulissant des deux crochets 1 et j'et dans chaque joint attire de façon positive les deux éléments de raccord 10 et 10' l'un vers l'autre dans le sens latéral et attire en même temps les deux solives 2-2, auxquelles les deux éléments sont amarrés, vers l'intérieur en direction de l'axe central commun, le long du- quel se coupent les plans des surfaces biseautées d-d des qua- tres solives et à partir duquel rayonnent les quatres parties du joint par raccord à coins.
Un ample jeu est prévu au cen- tre de l'assemblage de sorte que ce mouvement radial relatif vers l'intérieur, est seulement limité par la rencontre des surfaces biseautées d entre elles dans une butée réciproque en forme de coin. Toutefois, à ce moment, les quatres pièces d'arête 2 se trouvent dans le rapport voulu l'une avec l'au- tre.
Les divers trongons de parois, de planchers, de pla- fonds, de portes, de fenêtres de toit et autres du bâtiment
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même peuvent être assujettis ensemble de la manière et des bâti- ments peuvent être fabriqués avec cette nouvelle structure de joint tout en procurant un avantage d'économie en raison du degré plus élevé d'assemblage qui peut être exécuté à l'usine et de la valeur, réduite en conséquence, du temps et de la main d'oeuvre nécessités par le montage sur place du bâtiment.
La construction de bâtiments peut être exécutée essentiellement à la manière connue par le brevet sus-rappelé, les seules différences étant celles occasionnées par le fait que les parties du bâtiment sont livrées sur le lieu de la construction prêtes à être reliées immédiaitement les unes aux autres, et aussi par cet autre fait que le stade final dans l'achèvement d'une réunion quelconque de l'un des tron- çons de bâtiment avec un autre est réalisé en faisant glisser en place une bande de garniture, ou bien le quatrième tron- çon, dans un sens propre à bloquer entre eux les crochets avec leurs éléments coopérants respectifs k.
Bien que, comme il a été dit ci-dessus, quatre de ces éléments de bâtiment 2 soient reliés directement ensemble à chaque joint de bâtiment, la nature des parties associées avec ces solives 2 variera nécéssairement avec le caractère des tronçons standards réunis en un joint individuel quelcon- que.
Par exemple, la fig. 7 montre un mode de construction type,dans une paroi, un plafond, un plancher ou un toit de bâtiment. Les deux tronçons latéraux qui apparaissent dans cet- te figure sont recouverts par des éléments de revêtement ou de recouvrement et les deux autres tronçons 2'-2' sont des pièces ou des bandes de garniture. L'un des objets de la pré- sente invention consiste à produire une jonction si serrée des soient tronçons que ces joints'essentiellement étanches aux intempé- ries et qu'aucun passage d'air susceptible de donner lieu'à
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des critiques ne se produise à travers ces joints.
Dans la disposition représentée dans la fig. 7, les bandes de garni- ture 2' sont munies de fentes e'-e' qui sont fermées à l'une de leurs extrémités, leur autre extrémité étant laissée ouverte pour l'enfoncement des coins 13-13, mais chaque piè- ce 2' est étendue latéralement dans des sens opposés à par- tir de sa partie principale et est munie d'une arête à redan, l'une de ces arêtes étant représentée en G et l'autre en H au sommet de la fig. 7. Les arêtes contigues des parties 16- 16 comportent des redans complémentaires adaptés de façon étanche contre les arêtes G et H de sorte que des joints é- tancheà aux intempéries sont assurés le long de ces surfaces.
En outre, le prolongement interne de l'arête G (fig. 7) obtu- re la totalité des fentes à coin e' qui, sans cela, seraient laissées ouvertes le long de la bande de garniture 2' repré- sentée à la partie supérieure de la fig. 7. Sur l'arête oppo- sée de la bande de garniture supérieure 2', la fente e de la pièce d'arête de droite 2 est obturée par la portion prolon- gée H' de la pièce de garniture, et l'arête à redan 8 qui vient buter contre la surface d'arête uomplémentaire de la partie 16 produit un joint à travers lequel toute fuite d'air sensible est excluepriori.
Au bas de la fig. 7, le même mode de construction est prévu avec le même résultat. Ici, l'arête G de la pièce de garniture 2' obture l'extrémité ouverte de la fente à coin e', parce que l'arête à redan opposée H coopère avec la pièce de revêtement 16 de la même manière que les éléments semblables représentés à la partie supérieure de la fig. 7. Le prolonge- ment H' de la pièce de garniture inférieure obture également l'extrémité de la fente e dans la partie 2 immédiatement au- dessus de la fente qui, sans cela, serait ouverte.
Une telle obturation des parties contre les fuites d'air
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selon ce procédé simple est rendue possible par le fait que les deux tronçons d'arête de chaque bande de garniture 2' ne sont pas symétriques par rapport au plan longitudinal mé- dian de cet élément, l'un des côtés, qui comprend la partie H', étant prolongé dans le sens latéral considérablement plus que l'autre.
Ce rapport asymétrique des pièces de garniture présen- te cet autre avantage de donner lieu à une construction d'an- gle sur un bâtiment, ainsi qu'il apparait si l'on considère la fig. 8. Dans cette figure, l'angle exposé à l'extérieur consiste simplement en deux pièces de garniture, mais celles- ciont jointes l'une à l'autre, ainsi qu'aux deux tronçons standards selon le procédé décrit ci-dessus. Les arêtes G et H des deux bandes de garniture coopèrent cependant l'une avec l'autre à l'angle extrême du batiment pour donner lieu à une jonction très étanche, résistante aux intempéries, tandis que leurs arêtes opposées coopèrent avec les tronçons standards selon le procédé décrit ci-dessus en corrélation avec la fig.
7. Ce n'est'pas là seulement une amélioration du mode de cons- truction du point de vue des fuites d'air et de l'étanchéité aux intempéries, mais il s'agit aussi d'une plus forte résis- tance du point de vue mécanique, en particulier lorsque les tronçons du bâtiment sont utilisés horizontalement dans une paroi.
En plus des avantages de ce mode de construction qui sont mentionnés ci-dessus, il permet aussi l'utilisation de matériaux soit lisses, soit cannelés, ou encore d'autres maté- riaux spéciaux de revêtement ou de recouvrement, et la bande d'obturation qui était nécessaire dans le mode de construction précédent a été éliminée. Ainsi, l'inconvénient résultant de l'utilisation d'une bande pouvant être facilement enlevée pour rendre les coins plus apparents et pour permettre le
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démontage du bâtiment par une personne inexpérimentée, se trouve écarté.
En même temps, l'avantage de pouvoir démonter le bâtiment, lorsque cela devient nécessaire ou utile, est maintenu,, parce que, pour le faire, il suffit de retirer tout d'abord la dernière des bandes de garniture insérées pendant la construction du bâtiment, puis de procéder au démontage inverse des autres tronçons dans l'ordre de celui suivi dans l'assem- blage ou la construction du bâtiment.
Bien que seule une forme de réalisation préférée de l'invention ait été décrite et représentée, il est évident que l'invention n'est pas limitée à cette seule forme de réa- lisation, donnée à titre d'exemple.
REVENDICATIONS.
----------------------------- 1.- Dans un batiment du genre comprenant la combinaison de quatre éléments de bâtiment placés arête à arête autour d'un axe commun, chaque élément ayant des arêtes biseautées pla- cées dans un rapport de butée avec les arêtes correspondantes des éléments situés sur les côtés opposés au premier, un joint reliant lesdits éléments et comprenant quatre parties rayonnant à partir dudit axe, et des moyens amarrant lesdits éléments de bâtiment auxdites parties rayonnantes respectives, caractérisé en ce que ce joint comprend, à sa portion centra- le, des parties coincées ensemble pour bloquer les éléments de bâtiment avec leurs arêtes biseautées dans ledit rapport de butée.