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La présente invention a pour objet la construction et le fonctionnement d'un dispositif pour le chauffage des fluides du type général suivant lequel une masse ou une co- larme en mouvement en matière réfractaire transmettrice de chaleur est amenée à circuler dune manière à peu près con- tinue versle bas en traversant une série de chambres ou zones superposées pour le chauffage et le refroidissement, la ma- tière en question étant d'abord chauffée dans ces chambres ou .
zones à une température élevée grâce'au passage d'un fluide de chauffage susceptible de trensmettre sa chaleur, après quoi la même matière est refroidie par un transfert de chaleur au contact d'un fluide à chauffer, et est enfin ramenée à la par- tie supérieure de la zone de chauffage par un dispositif ex- térieur appropria formant élévateur.
Un appareil de chauffage /
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de fluide de ce type est généra13L1le.i'J.t appelé dispositif de (;l1,,-ufi,- 2;0 par cailloux bien que l'on. puisse utilise.' une ;9Xlilll8 étendue de matériaux pour le transfert de ohal:.u.r en Q(::-0'3 des cailloux. un a constats que los appareils de ces 1à=#>=s 001':vi0n-, ncnt pour le chauffage en continu de =1];J.iù=ii; à des tU;ljc 31'8- tures finales bien plus élevées que les tcüiy;;;..,turés de fluide correspondant a l'utilisation économique et sans danger des 'cubes sn acier ordinaire ou en acier spécial.
La température finale du fluide chauffe dépend p-ri2xc-i;-e.lo;aellv de le 1:sùijvé- ¯.:::tvtae :,:aJ;1:#;a des matériaux servant au transfert de chaleur dans la one de refroidissement et de 1 llar;'c du contact en vue cie iE:C,1C)lJy de C.L,..:leu:J:. s11.ro le fluide à C-1..C.:t.i:'3.' 80 18 ¯.z=l.:rC:3 transportant des calories. La section droite C1G' 1 t é c = J-î .:;.i i n de 1 niasse c à 1::: * mi i< t 1 1; r 1.':,ï:tik)O:i:'.Ï:',; les s - a - lories doit 1.lis calculée de :..a:Lière à assurer une distribu- tion uniforme des fluides chauffé et chauffant et i+ éviter toute surchauffe des parties du^. la :.o S8 uÂ.'î;uCCil',W '.ilW; c 6e ua- titres, ce qui maintient des conditions de température et peu près L1111i01.ieS dans toute l'étendue de la l.asse à un niveau donné.
Le fonctionnement à grz<nù rendement dépend do : vi- tesse ""a:;dl1lû d'écoulement que l'on permet au fluide à chauf- fer lorsqu'il traverse la idasse de la matière 'c1':¯;jPO:L't:::HJú les calories sans 8o;).10VC18ilt ou transport excessif el":, ces J.é:- tir8S transportant les calories par le fluiac chauffd 1: a±.Jl.
Un C:¯i,-.:.ct8rG intéressant COlilp161J.ent:.iro de ce fonctionnement consiste en ce que la matière transportant les c:.lori,s sort de la zone de refroidissement a une tompjrature pour laquelle elle n'est plus sou-aise a un choc teHilique qui suffise a la :'1 S.Cu:C". 'i,10;^1 ou au bris des 01él.13 ut de cette üit 1Gx'' et en
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même temps on peut manipuler sans risque ladite matière au moyen de dispositifs métalliques d'alimentation et d'élévation
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sans coincement ni grippage des éléments métalliques à la suite d'une dilatation thermique exagérée. Il est donc - normalement nécessaire d'avoir une température d'entrée fai- ble et un contre-courant de fluide à chauffer pour assurer une température de décharge convenable de la matière trans- portant les calories.
La température basse à l'entrée des dites matières ainsi obtenue et la température basse de sor- tie pour le fluide de chauffage assurent une efficacité ther- mique élevée pour l'appareil ainsi que pour le procédé de chauf- fage.
La présente invention a pour objet principal un appa- reil et un procédé perfectionné du type ci-dessus pour le chauffage en continu d'un fluide à capacité relativement .éle- vée jusqu'à une température finale uniforme se trouvant dans une gamme de températures dont la limite supérieure dépend uniquement des limites imposées par ses caractères physiques aux matières transportant les calories et de la nature des réfractaires utilisés pour la paroi de chauffage tout en ré- duisant ou en supprimant tout mélange du fluide à chauffer avec le fluide utilisé pour le chauffage des matières trans- portant les calories.
Un objet plus particulier de l'invention consiste en une construction améliorée d'un dispositif de chauffage à cailloux, caractérisé-par une sortie de fluide assurant une décharge uniforme du fluide chauffé, avec une réduction sensible de l'entraînement des matières transpor- tant les calories avec le fluide sortant e.t enfin des pertes de radiation calorifique minima à partir de la partie étran- glée du dispositif de chauffage; un autre objet particulier de l'invention consiste dans l'établissement d'une séparation perfectionnée en vue de l'élimination des poussières et des .éléments trop petits des matières transportant les calories.
'L'invention couvre encore un mécanisme perfectionné pour la
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commande de la décharge d'une masse de matières solides s'écou- lant d'une chambre sous l'effet d'une pression, ce qui est le cas par exemple de la décharge des matières portant les calo- ries à partir de la zone de refroidissement de l'appareil avec maintien d'une fermeture étanche au gaz efficace à l'extrémité inférieure de la chambre.
L'invention couvre encore un mécanis- me perfectionne pour la commande de le décharge de 1'écoulement d'une masse de matières solides d'une chambra sous pression po- sitive comme dans un chauffeur à cailloux du t@pe décrit, de :,lanière à assurer une décharge continue de la matière solide à partir de la chambre tout en maintenant une fermeture étanche au Gaz 1; l'extrémité de la chambre servant à la décharge.
Enfin, l'invention vise l'établissement d'un dispositif de cha@ffage par fluide, multiple avec des moyens pour assurer au fluide à chauffer une température finale sensiblement supérieure à celle que, l'on peut obtenir avec un seul dispositif de cons- truction analogue, la décharge de la matière transportant la chaleur se faisant néanmoins à p@rtir de chaque dispositif élé- mentaire à une température maintenue dans une gamme suffisamment basse.
Les différents fadteurs de nouveauté caractérisant l'invention sont indiqués plus particulièrement à la fin de la description et dans le résumé, pour mieux comprendre l'invention, les avantages de son fonctionnement et les résultats particu- liers obtenus par son utilisation, on se référera aux dessins ci-Joints et à la description ci-après par lesquels on a repré- senté et décri. des modes d'exécution préférés de l'invention.
Sur ces dessins :
La fig. 1 est une vue schématique d'un dispositif de chauffage multiple conforme à l'invention.
La fig.2 est une vue en coupe élévation à une plus grande échelle d'une partie de l'un des dispositifs de chauffage de la fige 1.
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Les îlC,j, j: et 5 sont des coupes horizon21 es suivent les lignes J-6, ';'-4 et 5-5 respectivement de la fi .;..2.
Li, fis. 6 est une vue en coupe élévation à plus grande échelle du mécanisme de décharge des matières solides représenté aux figures 1 et 2.
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La i.7 est une coupe horizoll'tale suivant la liene 7-'7 de la fi.6 et la fi3.8 est une vue en coupe élévation sché- matique partielle d'une forme d'exécution différente de ce mécanisme de décharge.
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Diins la construction d'un dispositif de c1:1auffac;e suivant les fig, 1 à 7, chaque dispositif éJBlllentaire à cailloux comporte une enveloppe étancha en métal allongée dans le sens vertical, Cette enveloppe 10 de forme circu- luire en section droite est garnie d'une paroi annulaire
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en matière retraduire aux hautes tel.l]50,ratures 11. 1'illté- rieur du dispositif de chauffage est subdivisé en une 01113.111- bie supérieure 1;,, un-- ohshibre inférieure 13 et ces C:131:1- bres sont r'slides par un passage étranglé continu :.:
lloné dans le sens vertical 14 ayant une section droite sensible- ment réduite. Les chambres 12 et 10 et l'étranglement 14 re-
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çoivent nOI'îJa1erlent un remplissase jusqu'aux niveaLuc indi- :UfS au moyen d'une masse en écoulement continu ou colonne constituée ],7.:7.' une matière réfraotsire portant les calories 15 et qus l'on aéorira ci-après avec plus de détails.
Le tube 16 servant à l'entrée de la matière en cir- culation est relié à la partie supérieure de la chambre 12 et un tube 17 servant à la sortie des Gaz de chauffage est commandé par une soupape18 s'ouvrant suivant l'axe de la partie conique supérieure 19 de la chambre. Le tube d'amenée de matières 16 s'ouvre dans la partie inférieure d'un tube auxiliaire de sortie 20 pour le ga de chauffage, ce tube 20
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s' oarus;a.'t a son tour dans la chambre 12.
Une chambre de oom-
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bustioj.1 .5 a peu. près i.nnùl*ire est 1.'omiiéJ par un. épanouisse- ment de l'enveloppe 16 autour Q9 la partie inf'erie'Lure de i 8l:...lj::'8 12. G oi,i .i ci. le c ii i - .l .;: l-; .8 ji = . ± et .1 3 , la -'S.J.10 in- .1 , r - =;:, :i 1 6 la e 1: #; : ,-'.> r l à coibuetion est .i ,ji ; #-. iJ 1 .J u ;l e j; .. i une ¯ . ; : i .'...u.i.L.i ,- - -'.a :..:= .-:.i: Ou ,:1 O:LLj.¯. i' s ;z ' : .t - n ;j : ; :. G V 21'::) le h. ut xxz "..'.r .;,i:1.i rtic. Ce 1 1 u i-e lr, oli.?../.jrc. Lcc ,'.,'-'z 15, e =1: . ::. ± î a i 1.1 l' O.:î tlÍ .: psr 1, 9. ,:.'J .'./..'.:tio;i i. ù ' .,ui . : ;.;..' : : ; .., i; 1 1.> î .:'.?- Q: 1¯' J ±5 lL 1 = iî ::, 1, .. '3no..irj.te ù à ooi.JjUutiOli C il, '1 "? 1: ù: ',1 5, '1 ]- . : di ... ,17:- rci s'écoulent le G 101:8 de cette aorir.'-.
CJOi.Jl:1C on 1 \'.)it, des tuyères 7 ..'.'.lii:-tue z- en i:; :1 1 1# 1,1 ,,.r.'..c;.J l e> ' t 11' i de ,-,2 'ori.-ci.'it 6es x 1> r .d l ; :.ii:= ui;poc3 1 r z : . ...c:s j.iLfj ui.j.ctr. l c - ;,i ;nl .>i<i,ox=s de 1.?. QL:J;J.'ur6 ci c, L-1 0 ;5 et ont iiiJ ...irec- tion . =, x .oe 1=>l'0)S s .t a ii# c ri .l 1 <1 11 pir rapport ii cette <# ù e =' i - 1. i: >? e . cii *. :j ;s¯i tuyore e g &ct .t i; 1 ini,ie ii.t à e i. :/ r ui'i tubs '... :. 1:,5- 1; s 1; 1 '> l'L i : Jb e o:;1-: ; i #i :à ± j. = r soupape et .i; y; ;.: r .J ; :,e enveloppe e ii ' . Em i: .= C ù ..: i i r 1. r - ..p.llc 1 à ,i .J ;.:,l l >.= mi t'db': '..;".n.:;3 e à ' a iç'É; e .a o .: ; .:. L : <: , 1 . L -..# l.;'.n,e brûlant d'.:ir et -'L-1 de o U S j io 1 1) i *: :; i; l'ouverture ù; >; ij 1# 31 0 à:..àl pour ,; 5 >:1 .t i? ec dar.s la .J"= i.i ,.': =.
Je c i; .,. l; ,>.,i ... i, Jà b5 go.às uns pression positive tandis ,)1¯L2 les P, de (J:' 'l-Î.J :l'D.2:8 produits 1 1, iz - z i à.l d s i; ), *¯ crête de le. .=:. :; :. r' o ..6 6 e .l ,p 4 n 1 - tr:.il 1; travers une cérie annulaire de l,iLà:><#s J.j se retre- c 1 1 :.: in ., i; 1 oi r # s à- 1 1- #: ::iciz .t v E;i's l'intriGU.r, ± o=5.. 1 e x #: i; .l 1 les briguas r;.±r. c.t#:,E- r<:J n'il ron.i.e do aoin.''; .:.i: .'.'juvrc.nt la partie inférieure de la c j,i ; :-.:l> 1 c 1 .1 .
Les s ";> =. 5, qà : : s r .l ±. i :-. c .l ::. i. - i = uj ont .i i x, n s 1 1.j 1 à i,;e n la iiéin hauteur eue 1 c:, p.ro"i. annulaire ",,0 et . :.. -.> i...> # i la portie correspondant de e 1 p'.'.ro:! de le, 1, l ?: .im .i bre z i= , 1. ch3bre 12 i x i e o 1# x.t 1 .li à e à> i? une partie e iJ :E # 1 =ar en i o z5,- c Li cône renversé s'étendant de ce 1 ' e x .t r 1.#. i .t inférieure des s i ,=1¯ 1 j; ,, z s à L le, pertie 3').p:ris:'lr8 du passaje .l .?> :. : i> 1# 1 .± 1. 4 ; cvec cette disposition, les - :,i z.1 i ér i transportant les calories dans la c,nu.-.re e 1: . , t.'.'nbent a . #. ' é ;
? ;,i 1..oe veru le dehors en pas- st1nt lJ:I' les lumières - s & prévues pOU:C les G2.Z jusqu'à atteindre
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la paroi 26 jusqu'à ce que la matière prenne son angle d'écoulement naturel en subdivisant ainsi les lumières d'entrée 32 et en facilitant la répartition des gaz de chauffage pénétrant dans la masse sur toute l'étendue de la chambre 12 dans le sens horizontal. La chambre 12 s'évase versl'extérieur au voisinage du sommet normal de la niasse de matières 15 qui s'y trouve de manière à réduire la vitesse d'écoulement du gaz dans la partie supérieure de la masse et à restrcindre ainsi l'effet de soulèvement du gaz sur la matière.
La chambre inférieure 13 apparaît comme ayant uns section droite sensiblement circulaire et uniforme depuis son extrémité supérieure jus-qu'à une petite distance de son extrémité inférieure, l'extrémité inférieure de cette chambre s'amincissant ensuite vers le bas et étant limitée par une toile métallique 35 en forme de tronc de cône ren- versé. La partie inférieure de l'enveloppe 10 entourant la toile métallique 35 se réduit également en section, droite pour former un cône 36 s'ouvrant à la partie inférieure par une ouverture de décharge 37 à une petite distance au- dessous de l'extrémité inférieure ouverte de la toile 35 de manière à permettre à la matière transportant les calo- ries qui a passé à travers la toile métallique, d'atteindre cette ouverture 37.
Les éléments 35 et 36 délimitent en- semble une chambre d'entrée annulaire 38 pour l'entrée de fluide. Dans cette chambre, s'ouvre un ou plusieurs tubes d'alimentation en fluide 39 commandés par soupapes et per- mettant l'introduction du fluide chauffer sous pression positive. L'extrémité supérieure de la chambre inférieure 13 est une voûte plate en briques réfractaires dans laquel- étroites le est ménagé un certain nombre de fentes radiales/40 or.- mant sorties et prévues dans les briques réfractaires en
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forme de coin 41 comme on. li voit on i'iô.L et 4.
Les .extrémités intérieures des briques réfracta ires 41 sont en prise avec une ou plusieurs tuiles coraniques 42 dé- limitant l'étranglement 14 s'évasant vers le bas. Un con- duit 43 annulaire servant à la sortie du fluide entoure la tuile 42 et reçoit l'ouvertur:; des fentes de sortie
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'1(; . Un uu plusieurs tubes de décharge de fluide i12 sont reliés à ce conduit 43.
On peut utiliser une gamme assez étendue de ma-
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tières réfractairas pour former la matiurs 15 servant au transport des calories, les matières choisies dépendent des conditions opératoires à considérer. En général, les matières choisies doivent présenter une résistance et une dureté élevées ainsi qu'une grande résistance aux chocs thermiques et une température d'amollissement élevée.
On
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peut ci';or comme tC-.lle..'Ttï.'ûl(:rE3S, les matières lc:':îC'i;t.7.7.'::S C:r::li11ÇL1'-3.p, les alliages et aciers spéciaux r vlSt::l1''.: ü 18 corrosion en picces de petites dimensions ré:;u.1F;res ou irî:¯;i:Wiî:C'3, tils:,.''::'L;:ll8:1tS cc.l1br38, iss caillcu:'' ou c r 1 => t . , .ir d e 1. ii. l 1 1 .1 <;. , de carbure de silicium, d'alumine ou :-.'u.tr3s S -...9" 1, rc:: # x" J. ±r i:. c t i. i i? s s . Des ,,' ou18 t t es ou y:let cs :1 peu l-11:S sphriquos, de i'or..,e;5 et de dimensions oonctan- tos 00.:8Iji'LU0CS .f<.l' un mél;m\¯3 3 de kaolin )'il13 d5 :jor'ie, cio .:J,O1¯; 6, .iOr;IC brute et '..'un liant ouit sntn envi- ron 1JVO et .ï7JU ont été utilisées J'.'-ït0 ;C:sa.W:¯:Cil'û.
Ces ¯..¯ 1 -- doivent stre d'un diamutre assez 0 .L':. i 018 pour ré- duire: :.'..\..1. minimum les c'nocs thormiques et les f'...:.ti,.,L:.;3 3 Ù ' 5ï.i - pact tout en assurant une grande wLiß':1.'i'',C,. e ii ' 1 c t= =i i calo- rifique, ces j.-lettes .Jtr::l1t cependant 8,.-i:'CZ grandes pour résister à la traversée Ê1 jrande vitesse des iaz 1. travers tba ¯¯=asse des galettes sans se soulsvcr. un a constaté qus
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les diamètres de cailloux entre 12 111.11. et 8 mm. sont sa- tisfaisants.
L'écoulaient vers le bas des matières transportant les calories à travers la chambre supérieure 12, l'étran- glement 14 et la chambre inférieure 13 est commandé par un dispositif d'alimentation étanche à la pression et re- cevant les matières de la sortie 37 des galettes et main- tenant l'étanchéité à la partie inférieure de la 0.1 ambre 13
Le tube de sortie *le)7 s'ouvre dans une petite chambre de détente étanche 50 établie de manière à laisser un espace libre au-dessus des galettes formant leur talus normal dans cette chambre.
La chambre de détente 50 présente une sortie Inférieure 51 avec un prolongement tubulaire réglable 53 se terminant par un bord inférieur aigu et détermine la position réelle de la sortie dans la chambre à soupape 52 au-dessous de lui. Le système d'alimentation est établi de manière à assurer une décharge périodique d'une petite quantité de galettes ou. cailloux à partir de l'extrémité inférieure du manchon 53 formant le prolon- gement de la sortie 51. Le mécanisme utilisé à cet effet comprend une soupape 55 disposée dans la chambre 52 et pré- sentant une surface supérieure concave de préférence en forme de cuvette ou de tasse comportant une partie inté- rieure formant un cône central en 36.
Ce dernier agit de manière à dévier les galettes vers l'extérieur le long de la soupape et facilite son mouvement vers le haut et l'é- vacuation des galettes au delà de la soupape. La soupape verticalement en forme de cuvette 55 peut se déplacer/sous l'action de la tige 57 à partir d'une position supérieure représentée en traits pleins en fig.6 pour laquelle l'angle de talus normal des galettes à la partie supérieure de la soupape est supérieur à l'angle formé entre la périphérie exté- rieure de la soupape et l'extrémité inférieure du manchon
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53. Ainsi les galettes n'ont pas tendance h s'écouler par dessus la périphérie de la soupape lorsque cette dernière est à sa position haute.
La soupape se déplace depuis cet-
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.le position supérieure jusqu'à la position inférieure re- présentée en pointillé et pour laquelle l'angle entre la périphérie de la soupape et la partie inférieure du manchon est supérieure à l'angle de talus naturel cas calottes sur
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la soupape de t0lle sorte que lesdites ^ l'?'t t:
.'S peuvent s'écouler sous l'action de la pesanteur le l@ng de la pé-
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riphérie de la soupape lorsque celle-ci est amenée 1> sa position basse. L'écoulement des galettes est ainsi arrêté lorsque le. soupape en forme de cuvette 35 est amenée à sa
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position haute sriii. qu'il y ait lieu de mettre en contact ladite soupape et l'extrémité inférieure du manchon 5o, ce qui pourrait amener l'écrasement des ¯,::letes tt. la suite d'un tel contact.
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La chambre à soupape 52 présente une sortie infé- rieure 58 cOIl1'J8ndée prr une soupape centrale et s'ouvrant dans une troisième chambre 50. Le passade des galettes de la chambre 52 a. trave.r2yl' ouvertCll'C 58 dans la chambre 59 est commandé par un élément mobile verticalement en forme de cloche formant soupape 60 susceptible de coulisser par
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rapport à li 'cic.:c 57 a l'intérieur de la chambre 59; cette soupape 6C est montée sur une t:L:..;(; Cl'8use ,;1 :::n::'o\11',-'nt la ;;1;j<à 37.
Le calage de la soupape 50 est déterminé de 1.#a.nil- re à .¯' ouvrir après que le soupape en forme de cuvette 55 ait atteint sa position supérieure et à @rrêter l'écoule-
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ment des =;Ct.:a'teS sortant de la partie inférieure du man- 6'l1on 0,j. La descente de la soupape 10 permet au:;.: galettes accumulées dells le fond de la cîitx.:bi?e 52 de tomber d::n3 :Le chambre 39 dont l'ouverture ue décharge à2 est ooaù<iale
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avec l'ouverture 58 et peut être fermée par une soupape en forme de cloche 64 semblable à la soupape 60.
La souepape
64 entoure les tiges de commande 57 et 61 et peut se dépla- cer per rapport à ces dernières ; elle est montée sur une troisième tige 65 qui est creuse et entoure les .tiges 57 et 61. L'ouverture de la soupape 64 permet aux: galettes de tomber dans un tube incliné 66. La soupape 64 est normale- ment fermée lorsque la soupape 60 s'ouvre et inversement de manière à réduire les fuites de fluide dans la chambre 1@ et à maintenir dans cette dernière la pression désirée.
Les différentes soupapes décrites sont montées coaxialement sur les tiges de commande traversant un guidage ou portée ménagé dans le tube de décharge 66.
. La soupape en forme de cuvette 55 et les soupapes en forme de cloche 60 et 64 sont commandées d'une manière intermittente pour assurer une fermeture étanche à tous moments à la partie inférieurs de le, chambre 13. Le mécanis- me de commande comprend à cet effet deux cames 70 et 71 com- mandées par un arbre 73 par l'intermédiaire d'engrenages ap- propriés et d'une commande par courroie entraînée par le moteur electrique 73. Un levier 74 articulé en 75 a l'une ses extrémités an contact de la périphérie de la came 70.
L'extrémité opposée du levier '74 présente uneliaison par étrier avec l'extrémité inférieure de la tige de soupape creuse 65 et un support 77 relie ledit levier à la tige de soupape intérieure 57. Grâce à ce dispositif, le déplace- ment du levier 74 provoque simultanément l'abaissement et le soulèvement des soupapes en forme de cuvette 55 et en forme de cloche 64.
La soupape en forme de cloche 60 est successi- vement levée et abaissée par un second levier 80 articule. en 81 et dont une extrémité est au contact du profil de la came 71. L'autre extrémité du levier 81 est reliée par un étrier avec l'extrémité inférieure de la tige creuse 61. Les,
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... ;,i, i'i.; c .#.. , actives des oaucs 70 et '/1 ont une o 1. a z?i.ie et une .< E. z - position telles par rapport l'arbre r7ij j..:.' Iles assirent e muavament rioaiquee de la soupape en i' o 1.#.., de cuvette 55 e.t des soupapes en i'01'j..j.c àn cloche 00 et G4..
Avec li: <iiiiJosi- tion reprasentse c figure 1.'-'; >=J:ip:;gJe en i?<J;i,i> de Uuv3tte 35 ot los soupapes Gl fonlls de oloclie 60 c.> 34 son'L, louer position supérieure la soupape Gn forme de cuvette se trouve \ C8 :'ilOlllcnt à l'arrivée dans sa position supérieure pour en- 6:L.:;uer l'écoulement dos galettes de la chc1lbre 50 et le noupape 34 est ferhiue après avoir refoulé des'galettes de 10. C11O:'ii::11'8 39 du3 le tuyau SG. Les galettes preaisbier.icnt déchargées pendant que la soupape 55 stait dans sa position inférieure :0' acc'ili:uLml; c d ris le Pond do la cl..:=.,; oz.e 6tS et la soupape GO est sur le c. 0 i de ='é a%-rir? pour permettra ii cette i.ccL-i.-1J- iLtion ci:] c- de toubsr d:ï18 la cl1Q,lbro 59 dont 1 e r- ture inférieure est /:i.-).i...J. tOll9.Á-C féroce c -D r l=> soupape 64.
Les jalettes toLibent dans 18 clr::t!ibre 5S et la soupape CO est dà-
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pour occuper sa position de fermeture supérieure :'près
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quoi la soupape 55 et la soupape 34 sont ramenées sir",u1 Lllé- ient a leur position inférieure. Le i<iocivcii;en"< d'ouverture de la soupape 84 permet aux galettes dans la aii;;,;;b#e 5 de to..;i',jer dans le tube iie décharge u6 tandis que le des'jontj de la sou- pape -cuvette 55 1)01"':.118t a. une nouvelle fournée de due passer pii?-àess1Js cette soupape et de c.tacc'-..L.L"181 dans îe fond de la chaj.ibre 52.
Les dimensions et le calage des uifferents organes sont calculas de i1alliGr8 il réduire au i:iii-:1.;;11Ji>1 tout danger de coinça, se e des galettes entre les soupapes 80 et 34 et les sièges de celles-ci tandis que la soupape 55 est dis- posée de i.ianicre à ne présenter aucun c.i2,(;G Li proprement parler.
Tout l:1O:nGL1Gnt ascendant de la colonne de ¯,";Le.l.tes dans le 1:1an- 01:lOn 33 pendant le soulèvement de in soupape 3â est 1.,l,iO"-'ti dans
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la chambre de détente 50 grâce au mouvement des galettes dans
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l'espace disponible dans cette dernière.
Pour assurer qu'aucune galette ne'puisse être dé- placé-- fortuitement et passer par-dessus le bord de la soupape 55 lorsque cette dernière est dans sa position su- périeure ou d'endiguement , il est prévu un écran ou enve- loppe 105 destins à venir au contact du bord périphérique de la soupape dans cette position haute. L'enveloppe se présente de préférence avec une section droite verticale s'ouvrant dans les deux sens opposés, dont la partie de diamètre minimum a un diamètre égal à celui du bord exté- rieur de ladite soupape de manière à éviter tout grippage.
La sortie inférieure 51 sert de support à un anneau 106 de position réglable en hauteur et relié par des chaines de support flexibles 107 à ladite enveloppe 105. La soupape 55 monte en pénétrant dans la partie évasée vers le bas de l'enveloppe et vient au contact de celle-ci dans sa po- sition haute. Si de# galèttes sont prises entre la soupape et l'enveloppe, la flexibilité du support de l'enveloppe permet à cette dernière d'être soulevée par la soupape.
Le tube de décharge 66 est relié par un joint à di- latation 85 à un second tube incliné 86 aboutissant à une boite 87 au pied de l'enveloppe 88 d'un élévateur. La boite 87 s'ouvre dans cette enveloppe et présente des ouvertures par lesquelles on peut introduire ou enlever des galettes dans le système. L'enveloppe 88 de l'élévateur est soudée de manière à être étanche aux gaz et elle enferme l'élévateur proprement dit 89; on a supposé que cet élévateur est du type à godets à mouvement continu à'vitesse réduite comportant des godets se recouvrant remplis en partie de galettes à l'allure normale de circulation de ces dernières.
L'élévateur est com- mandé par un moteur électrique 90 relié à l'arbre supérieur. de l'élévateur. Les godets se vident dans le tube de décharge vertical 91 dont l'extrémité inférieure s'ouvre dans le tuyau
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incliné ±2; s''-ouvrant par 'un. joint a dilatation dans le tube dtntrée 16. Grâce à cotte disposition, on obtient une circu- latioii à peu près continue des siatiôres servant à transporter les calories qui se maintiennent à l'extérieur du rSchauffeur
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de fluide antre l'ouverture de. décharge inférieure 57 et le
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tube d'entrée supérieur 13, de telle aorte que la masse ou colonne de :..:atiérei transporteuses de chaleur l'intérieur des chambres 13 et lu et de l'etransleusnt 14 descendra .'..'allure
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prévue.
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Pour éviter la souillure des fluides sortant par toutes poussières et due fo27cles pendant la circula- tion de ces glottes, les xia.tii;i%>s transportant les calories et pénétrant par le tube d'entrée 1S sont de préférence aoumi- sos 1;. 1Jn espèce de balayage au uoyen d'une fraction réglable des ;8. ;le chauffage quittant la ci.i*:,:1>ire 1,2 j;:. z. lJ conduit au- xiliaire de sortie ±0 pour les jai. La partie. ini'.J=:1±.ai± ùi: con- duit 20 est .ù i; -. J p o i; F; dE, ±; ;<i-J ni l r a forcer un ' i ,:> 1 1 -1 1 <;: =. i ni; j : : tube rj'entrée ± 1 .o c .J: , i. : 0--': le voit t # .a, ;.i fi:j.2 o .l ;.j La partie infé- rieure de ce conuuit une section dro-ite te-2aiii,ji:L#:..ire 1.. fond incliné 5 et à e::tréi.jLté s'-'ouvr.':'nt latéralement .6.
L fond 95 -'1.;;cn;, au-delà de l'e:,-.lz..,,.ii.t.1 CG 1:J..:r obliger les ;,;'.lottes en- trant éi : . :.: le *. c 1" . :;. ;.. : "> #> L # déplacer i i :> r ± z o e ; . l; c 1 #.; -., : .> #i 'iev'-,l1- les az s0j.'t:...nt do l'appareil, L ' .;. r .l r 51.ii .l sUJ.J.:TLÚl'0 6u tub3 .,0 une e ;" e e 'i j. 1 droite c o 1, :;=r:.:. l .:. i zc e .',3 i ,. :. Jlo :i , a l'c.;:térJ3ur par un Sl.-.:' 1'\:>'-': U.1'1 du type O./C011e C 1 i une O;,.V(;J.' ';1.;.)..'9 infé- rieure. c 1,'L 2 IL uatiares solides décantées =i<j un évent 1CO = o ri > , ia = 1 =j; ; .> la so.'.pape ICI et destiné E 1 ' 1 2 : .. ;# p i# #...: i <i dec ;jaz.
Oatte disposition 1.:.:-a.i=#t lie régler les ,:;oupa es le et ICI soit le ..ain, oit #;:.ia¯,;:¯. ,;iq.i,i;,ixnt de manière :. J=iei le frection de ,;a c'aauds SOl"0,-'l" de 1 é c 1.i a .. , ".> #. é - ...:jJ .I -. L :# :,: r 12 1= j: ù 1 le sortie auxiliaire #i ,,o.:,.i . .a;intanir ls conditions nécessaires de vitesse /"1.i ààÉ.à=.ii "..- ,.-",-. ii.1-5-ià iics "..., -"f"" ,,,.,,¯!., ,.\.1."",(" szrvzat /et a'ssurar bal..\ya;o déliré des -.-ati-res entrantes servant
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tl:113:Lert 6e clale\lr.
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Pendén,:-1e l'v¯:c'l;iomlC,,-Cl1t normal de 1 tci;ß ::,rail. récrit, les zal de chauffage produits dans la chambre de combustion les pénètrent dans la 0:::);".01'6 lZ par los ir,:J81'stioes entre les galettes dans les ü..-va1tu.rGS d'admission des .3E,.: 02 sous une j!r8s.sio¯- déterminée a l'avance ;
ces gaz sont donc distribués d'une lï:l?7.::1'8 uillïOrlTlG' sur toute la surface horizontale de la partie voisine de la masse de matières réfractaires servant au transfert de chaleur. Les.gaz de chauffage s'écoulent vers le haut en traversant la nasse et au contact intime des matières descendantes servant au transfert de chaleur qui arrive à sa température maxima au niveau de l'entrée des 'Gaz de chauffage.
Les matières con- tinuent leur descente à travers l'étranglement 14 jusque.' dans la chambre 16. Le fluide à chauffer tel que l'air, la
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vapeur d'e:.u o-L tout autre Ljaz ou vapeur entre à une tempe- rature et li une pression déterminées dc:ns le tube d'alimen- tation 9 et l. chambre d'entrée 38 pour s'écouler à travers ,le tamis annulaire 35 dans la partie inférieure des matiè- res servant au transfert de cheleur dans la chambre 13.
Les gaz passent ensuite par les interstices dans ces matiè- res en contact intime avec les galettes descendant à contre.-
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cou3n-(lt.
Le uz entrant est à une'température relativement basse de manière à assurer une température de décharge basse pour les galettes, ce qui entraîne un rendement thermique élevé, :.-(-,duit les chocs thermiques sur les galettes et per- met de,manipuler en toute sécurité les galettes dans le tu- be d'alimentation étanche à la pression et dans l'élévateur.
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Le fluide 1:\ chauffer atteint sa température maxima t-1. la par- tie supérieure de la chambre IN et s'écoule par les f'0ntes 40, le conduit 43 et le tube de décharge 44.
On peut éviter tout mélange des atmosphères fluides dans les chambres 12 et 13 en maintenant des pressions relatives déterminées dans les deux
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uhâj.ibres de e -, ,;; n 1 1 i' Li assurer un eooulei.Lent de fluide nul dans i 1, ' ± .t i% :.-;¯ ; L s.::: <:n .t 1 4, . On a indiqué des ,.rises de pres- sion lü;2.:-c 1-Éô i>o::i% la -..i:sà:%e de la différence de pres- sion de p rt et d'autre de l'etranlor.icnt à"à les varia- tio::i de cette différence pur rapport a une ,r.ossio;; ùl- terminée servent a co#,:,.anàcr la position es soupapes lC et lui e.1 pi,r suite 18 pression gazeuse duns 18 J.as.,,-<Jri 12 puur relier 1';' pression l'el c t i vs entre les deux cha-...brcs.
Le retour des galettes dans le tube à'211i.i#ilà%.làLcli et dans
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été
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"l' t ijs:/< i'eiienii' i:u t.abe l'e;ù.lrJc :,.éj#iJi'it. .-'disv.'.teur pour' revenir .'.:u tube en'vr0G ..(jja/dcerit.
.,lors que le ;,l608.ni3"':.6 lu soupape d'a- 1 1 ;à>= n;; i .l 1 J n "v e 1 qu'il a. été décrit fonctionne norr.iolemnt
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pour effectuer le cycle dans un très petit nombre de secon-
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des pour assurer une decnarge 1> pou près continue des ja- ,ie'ites 1. partir do l'ouverture 57 iù'b u.ii ino<;Tiei.iei'it à,eicù:z- dant tie la colonne de glottes dans les Oj-&..br3s 1. et -t 1.';, la jr.'.'iide vitesse de l'échange J. lorifiquc dans la e.:.i.,t>re 1.5 8:::J:o;i,je éJ-IlCC 18 c:àjo.,>i perio'.ique c1::;..;
..alertes dans le cnai,ibre,.uiê..ne dans le cas du c'cle rapide des opérations à '::1"L;.:.:;i':.t*.tion ùéJz>ites, provoquera une 1.ljjl:.e .:.;.,ria"ôion
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dans la température du fluide chauffé, ..lors que de telles
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variations de peuvent,- être néiligées dans la plupart des applications, il peut être -a parfois 1, 1 p 0 r 11 d'assurer une température e. f i o u r- o i i ii pour le fluide
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chauffé. On assure une décharge continue des galettes
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a partir de e == t o u ir e r .t "-u' e lli tout en .1 uaintcnsnt .1 1- ' . = L i i: ie n - tation sous pression, sn ayant recours a iL ' i 1 i i :n ix'i e. t 1 O n :;;oi,1=tiùe suivant la fi.j.3. 1)::.11;.) c E;'.10c1G 0G ,:'0¯:.
S"Cj.' ..lO t i Ojl, la tubulure de sortie 37 p. i #1 x - <; .t z Li a c ,; , ,. ;: .l iL c 1 :'1 :1 .Ô i% 1 .mi -c inj7' cj,ip,'e'ù:ni laquelle <-i'l 1.;oii.l,1 un dispositif d'olii.intation vibratoire Ilv. La secti0ii. droite èi' cov.13",,:..nt dans L'41é-
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ment da tube incliné 37' est réduit par une plaque III qui restreint' l'écoulement des galettes d'un côté de la. section droite du tube en un point au-dessous duquel se trouve une plaque vibrante 113 horizontale. Celle?- , ci est portée et actionné.:
, par un vibreur commandé élec- triquement 113, ce vibreur étant contenu dans une enve- loppe ét@nche 114. La plaque vibrante 112 s'étend dans le tube 37'sur une distance suffisante pour obliger le courant de galettes à prendre son angle de talus naturel sur cette plaque et à arrêter l'écoulement des galettes lorsque ladite plaque 112 reste immobile. Pendant le fonctionnement,
les galettes sont déchargées d'une ma- nière continue à partir de l'extrémité intérieure de la plaque 112 à une vitesse dépendant de la fréquence de vibration pour tomber dans la chambre de détente 50' dont la capacité suffit à assurer le volume de détente e.u-dessus du niveau normal des galettes dans ladite chambre . Les galettes se déchargent périodiquement de la chambre 50 par le tube de sortie 51 et le mécanisme d'alimentation déjà décrit. Avec ce mode de construction, la colonne de galettes descendra d'une, manière continue dans les chambres 12 et 13 à une vitesse. réglable.
Alors qu'un seul dispositif de chauffage par fluide tel qu'il a été représenté aux fig. 2 à 7 est sus- ceptible d'une opération continue avec des rendements relativement élevés pour chauffer un fluide traversant la'chambre 13 à une température élevée, on peut atteindre des températures finales encore plus élevées pour le flui- de en utilisant le dispositif multiple de la fig.l. Les dispositifs élémentaires de chauffage A et B sont de cons- truction analogue et chacun comporte les chambres super-
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pesées de chauffais et- de refroidissement a et 15 re- liées .:.'une Le l'autre par l'étranglement 14 tandis que la 1,,±sse on la colounc de -nlottes traverse ces ÜJ1:
'J,l- bres sous l'action d'une ¯lll¯i,,Il'%.l'7.017 Jtanche et d'un ¯J¯8vatcur cor.ii.ie représenté aux .'1.;.r,'n a 7 ot C11 .ri;.8. vOi.'Olîl:,.:¯iWl1'i; Ct l' il1V6:1't;ioi, 10 dispositif de chauf- àge sert a chauffer l'un des éléments ie la combus- tion qui est, ou bien le combustible, ou bien 1'0 il' ou uutrc C:P2. contenant ds l'oxygène qui doit être refoulé dans la c1l3Yûbre de combustion du dispositif J3, cet éle- :L.nt t;'t;c7.Yli; aen6 hune -Lucu,l r a '6 r elevoe de rl18 ni ère à accroître sensiblement la tel,lpél'8ture maxima des Gaz de chauffage engendrés dans le dispositif B.
En raison de ...:Cs;3:l.i;u, d'une qu.2,tit;J sOl1sibls.l11en';; plus vxa..ilde d 'iI' de combustion, le rendement eS meilleur si l'on chauffe l'air de préférence eu combustible à utiliser dans le dispositif 1..,'ivec U11:; telle disposition et avec un préchauffais continu de tout ou de 1;.; plus gronde partie de 1':. il' e CGi.IulLS i:lOiï poiz7 l'a-.ienor 8 u:ce -:c;l;1'f.
U,' , 1J81' >';;::, Ll. l. ¯'0T:u8 1)::c8..uro tllll fOr!i.lG ( S:11Sibl#J18i1t supérieure a la te.6- rature de COitli)Ll:;lOT1 du combustible, la .te:..;;àr.:.;.li:r5 .:8in- tenue dans la Clt':lilurcv de combustion du dispositif IL se 1:flo.:.?';i=Lia r-8S supérieure à le température maxima que l'on puisse obtenir dans le dispositif de chauffage A.
Les s c.:::.1:: ttes )é110tran t d:ô.n la chambre inférieure du dispositif de Oh81J.rr::G(j .:3 se trouveront ainci . une tem- pérature sensiblement plus élevée que les galettes au point correspondant du dispositif A, oc qui accroîtra
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d'une Lanière correspondante la température finale du
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fluide chauff-é- dans le cli3iiositif::J. Lc rluide chauf- ré dans ce dernier peut être le rü^^e que celui qui est
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chauffé dans A ou bien il.peut en être différent . On a in- diqué en fig. 1 à titre d'exemple non limitatif un dispo- sitif pour la surchauffe de la vapeur à une température éle- vée dans le dispositif de chauffage B.
On fournit de l'air à la température ambiante au dispositif de chauffage A par le tube .39 et cet air monte à travers la masse de galettes à l'intérieur de la chambre inférieure 13 pendant qu'il est chauffé d'une manière continue à une température uniforme par exemple 1095 C avant de sortir par la tubulure de sor- tie 44. L'air ainsi chauffé est amené à la tubulure d'entrée de l'E,ir de combustion 30 du dispositif de chauffage B et les éléments venant au contact de cet air à haute température sont en matière convenable résistant à la chaleur.
L'air de combustion à haute température ainsi admis se mélange au com- bustible ou mélange combustible pénétrant dans la chambre de combustion du dispositif' de chauffage B d'ou il résulte un accroissement sensible de la température de la chambre de com- bustion.
On peut obtenir par exemple facilement des tempéra- tures de chambre de combustion de plus de 1650 C. La vapeur saturée à surchauffer pénètre dans le dispositif de chauffage B par la tubulure d'entrée 39 et s'écoule par le haut en tra- versant la masse de galettes chauffées dans la chambre infé= rieure et il en sort par la tubulure 44 l'état fortement surchauffé vers 1375 'à 1650 par exemple.
On arrive à un, ren- dement thermique très élevé et on obtient un fonctionnement continu' des différents dispositifs en réduisant la température des galettes par la température ,d'entrée du fluide dans dha- que dispositif jusqu'à une valeur pour laquelle on peut lais- ser manipuler en toute sécurité les galettes par le mécanisme d'alimentation et d'élévation de manière à réduire, au minimum le bris des galettes.
Le dispositif multiple décrit ne se limite pas aux dispositifs doubles représentés et l'on peut relier l'un à @
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l'uutre un i]1 ..Il. t C lg lù. >i 1 ;: à 1 , gllc: ù dispositifs po r obtenir des '1 eL ii. G ï ±. '11 Ui 1 .i de fonctionnei.'.en.t client 'li j '௠= g= .,i ' ,¯ ;¯ ¯ ; l;L..i'.'es ad- missibles d'utilisation. des s ¯a 1 e .l .h e et .l à : ji: .:;:, .t 1 ù r ± rcfruc- tL.ires utilisées dcns l'eta.bliss'.nmt de ...'5j)..;.Lblc z ci L'sp- 1>-,rcil de chauffage.
Di.nJ un t81¯ú;8:"lÙe, le fluide que l'on r<ra.1 aix....ai'±cr en lieu zst clia'.i..'f6 ùa.;:,z le drifl;.;iir i<;1,iposj; vi± de la série e e les x dj 1, x p o s 1 .i; ;i :1 #J .l lémen .l Eo 1 re prjcÓde11't3 z s e . ?- z z.i a 6hc.-u.ffer l'un des c#lposrLts s s e r v oe. n t 1.. 1. oe. combustion tel que le e 2 O;.112 1 . ±; '1 i '1 1 ou 11 ir utilisé da;is la à ± 1,". ,., E ± e combustion d'un dispositif ultérieur de 13 série La i' ==lse:-t.Il in?.Tei;.l;ic:-t c o : . 1--ii e .i , ; :: 1. c;;,ie #;t le e g? r 1 oii > à±' ± :.. je tant t iii; co::bustible que de l'air de cl?,uffQ;8 dmis des dispositifs de chauffage distincts du type décrit, ce combustible et. ce fluide :':.l.,:i;:i ensuite ad- i#.:is dans un troisième dispositif de 0 ::'. ul\f'- (: 1,) 0 .l' lui i.,:L;ri:ii% les coipcs.-'nts s ; : u x ± 1 :=; n=g s . c a:>,1.> u z .t 1 "w 1 e .
On peut .1 1.i n s o...a!...ff.'jr :-. ' Ui.: G ;...& ;i ï 1 T ootinuG et 'à ± É à' iL ± : C 1 1 1 fluides S Q5 :1 Â' la oo-..bus- "i ï on à c > u,.l . >as .l 1 ù 1 e s o 1 éi 1 :>1, 1 1" :.> "t)1:.-ls que l'huile ou le =i, jusqu'à des s t ei<::,, 1 r <., .l; >,i t z i j" i z a, l : # ii . x ± E' o :.# ; , s que l'on r =. , . J 1 - dérées 11 j Î.l ù gU. ' é. présent a :Ùé: 1,ie li po.j.'7;.tt 'ü É 1] ,, , à , É .fll àï: 1 vec x..
; j 1 1; g) l 11 É 'Î: 1. Ô de C lE ,. ' ".l Îé t: [il cnstitus à Q5 .. 1 iill..2 construction .¯: é; 1 É,1.li. 'li ' , .. uns S Ù .J;S,.,i'ô #1' <2 E "àég: .], ï' l ù 'uil'2 et une on:...-bre 1 1. ,lfl - tk 2 Llj? =. ;.; i 1 à e 5 j: .¯ un i. iD. S ± :1 à et renfle de section droits réduite, les s .à " '1. éJ ± 1,± ' . ,b l' e et j'nssae bt&nt ji 21 . prs replis par une 7, s en ucouisuent à' Lli'i2 1:ia.li.;IC 1"0f1'QC.:?',i,1')3 ssrvûnt l'é- oli;m;.,e des calories, cette > ,., ;.> .t L .;
r e é .l 1;..<:.8 eoaiii i .l r 1. descendre
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le long de ces chambres et de ce passage, tandis qu'elle est chauffée pendant qu'elle est dans la chambre supérieure et qu'elle chauffe dans la chambre inférieure un fluide à chauffer que l'on fait monter dans la dite chambre inférieure avant d'en sortir par un conduit annulaire entourant le pas- sage étranglé et relié à une. sortie ménagée dans la dite
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011a.,,])re e inférieure.
2.- 1,,;odes d'exécution du dispositif décrit en 1, caractérisés par les dispositions suivantes prises ensemble ou séparément: a).Il est prévu une série annulaire de fentes pour la sortie du fluide reliant le sommet de la chambre inférieure au con- duit annulaire ;
b) La chambre de combustion délimitée par une paroi annulaire entoure la partie inférieure de la chambre supérieure et du combustible peut brûler dans cette chambre tandis qu'une cloison circulaire sépare dans cette chambre de combustion la sortie des .gaz de chauffage de la chambre de combustion proprement dite, les gaz de chauffage entrant dans la chambre supérieure par une série circulaire de canaux ménagés dans la paroi du dispositif de chauffage.
' c) Dans la chambre supérieure s'écoule une masse de matière réfractaire formant transporteur de calories et les gaz de' chauffage pénètrent dans cette chambre pour venir au contact direct desmatières réfractaires qui s'écoulent vers le bas et sont remontées par un.
élévateur recevant les dites matiè- res provenant de la partie inférieure de cette chambre pour les amener dans un conduit qui les ramène à la partie supé- rieure de la dite chambre au-dessus du niveau de la matière contenue dans cette chambre, une sortie étant prévue pour les Gaz de chauffage à la partie supérieure de la chambre de
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nianiare il assurer le balayage pcr las dits Gaz de chauffage des particules trop petites contenues dans la ...attire admise dans la chambre, d) Dans le cas prévu en c)
les gaz de chauffage sortant par
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lu. sortie de ..,c,..z décrite pénétrent Cens un dispositif de ié- paration des ;;az et des solides :jlt1;,:îllé8. c) 1" "'o"'I'-l' des ",COr' de chauffage ::#±na=é:e a 1'" partie supé- rieure de la ül1! tUb:r'0 supérieure est montée et disposée de Lilanière que les dits ga balayent 16s galettes de ;.:37.reS pénétrant dans la c1121Jibre et Ijs déboTrc- S3Gl'L'c de. ;L17.'O ; :l- ticules trop petites. f) Il est prévu une seconde sortie de gaz dans la chambre supérieure du dispositif avec des chicanes pour régler la
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répartition des :;az de G1L'..l:LfaG6 entre les deuu:
sorties. c) Un sas 1)0',,1' l'une des oi1nl!lOreS couporte une entrée des ,:atil';rc3 par le haut et une sortie i'[;'1' le bas avec une soupa- pe pouvant se déplacer par l'f)PP01.C l'entrée des ':.:¯1'Ji:7.'^S entre une position supérieure correspondant à un niveau infé- rieur à l@ dite entrée et pour laquelle l'angle entre la pé-
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ripnarie de cotte entrée et .1 1 périphérie de la soupape 8 [:J i"tlU:l.üCil# que le talus naturel des s :.. ; i; "a 51 ù: i? > s:
1 ce p a ;# i. :"i sur la surface supérieure de la soupape, et une position inférieure pour la uelle l'angle entra ces deux périphéries est supérieur
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il C :
G ...ü,;1.2 de t. lus naturel. h) La "0"""" décrite en s) yT':".^,J:1'C: une surface supérieure :;Ol¯C8.Ve . i) on utilise CO",1.."8 soupape suivant l; = ) une pièce en fon,:c de C.<vc'v'tC CllßÛ:;.'''i:.'' il't une saillie Celï::.1:: e éc i ; 1 , j à disposée suivant Lt'.,:e d'antrée des ...atijr.-s, le dispositil de :.¯¯::Li.'P,C des fluides oomportc-nt une chambre de détente entre li sas et la
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chambre entourant la so-pape, cette \;l18Libl'e de détente étant disposée de manière e à recevoir 10'::;
uatj,i-l'c8 refoulées vers
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le haut au cours 'du mouvement de le# soupape vers le haut.
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1
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j ) Il existe une c1-ai:i souple destinée il coicuander la sortie des ;,;a.1iS;r-#s de :i.";\3l1Ceillte sUl,ér'iG1..1re et une troisième soupape coi..:zrznd::irl la sortie de l'enceinte inférieure, un 1=ic.- oanistïie approprié aois:;:;ndan.l le fonctionnement de ces différentes
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soupapes.
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k) Le e :,;.é c xii 1 s:,i de c#;J1,J,onde des soupapes est cale d3 telle ;tani1'e 'il soulève e't .baisse simultanément la première soupape et la troisième coupape et qu'il lève et abaisse à des triodes, intermédiaires la (W .:1.w.lGlile soupape..
3.- i<:é c e.#'i 1 +r1- pour la des :,:'ti.:1 es s'écoulant d'un réservoir et i'onùées par des éléments solides, comprenant un dispositif pour 1:. sortie nés ...attires de ce réservoir et au- dessous Gu,<j;.i=1 su trouve la surface supérieure d'une soupape mobile disposée sur le trajet des ,:,lr0il;ores sortant de ce ra- D arvoi r a une certaine :ist ;,:l1ce de la dite sortie de .,1±,;Üdre que l'angle entre la périphérie cette sortie et la péri- pi1érie de la soupape, soit inférieur ,l' ,l12;le de talus natu- X'EÙ des s i.iéo:t 1.à r< <3 reposant sur la surface supérieure de cette soupape, de :,:1,L:1:e a endiguer iécôu¯leli: :11-t des' "'"8.ti::-1:",s, des moyens étant prévus pour déplacer cette soupape afin d'as- surer la des :,.e.ti0res par-dessus sa pé r ¯ 1 iJii=l z, 1 e .
4.- àlo à e, d'exécution du mécanisme suivant j, destiné à rece- voir des matières sous une pression fluide et comprenant wi Cx'"::.(1e vibrant aS3i.Lr,:,n' la décharge- continue des :;a '0i,rGs par la sortie décrite, ces :...,:;'t7.;:rvS ét;..nt reçues dans une c:?1:':¯:ï1'e de détente et. 0t'",t ensuite cléol1:::.r;$es d'une manière i:O:0e1'.Üt- tente hors de la e;:è8:,lb:i:'e ds détente par une ,,1:Lr1:llt;\1ïÍO:1 sous pression t, r"dis qu-o la uite e <> 1# 1.;,.'i i: de détente est :i¯:;s'! :1'te1111e sous la :s2':'.SS7.U=1 fluide.
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;j . - ;.)i 0J!0:..>i .Iv i f de C'1.:,'li...:¯,.:. :1 c oi.i p o:e t .i .: un i;...GÜi .18 sui- vant 4: un tuyau de sortie 0 lia partie infarieure du r63.l'vo.LI' avec des ,lOu'GriS pourliniiter lz., section Ci.^'. sor- tie offerts aux ¯....:J.'i;j:'0S qui descendant sur une plaque vi- brants assurant La dachorge continue des Jaat; i èr .3G vi brée 8t ::,::riU.3tt ,.nt d'endiguer les ü3t18I'eS solides lorsque la
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dite plaque 110 vibre pas.
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6.- i!.:-1"üre mode d'exécutior. du dispositif de chauffée 0 0 Cil p;.:"3n.an.t deux dispositifs de chauffage Ô181:l.::i1"09 tr8:J oor.s- ti i,ü.v chacun COi.ù.W '..écrit eu 1, le fluide 1)D83(.:.1'.:.:: Q2ES lo C;i8-..1oro ülliZ7.Gllre de l'un des uiapositifs de cl.ia.=L:8,"..ir= 8'u:¯,11;.: 0Ül.:.Ctitu.G é p ;= 1 l'un. des oouposants s i' c iJii ;#1.il le 1.; 1 L an i combustible dorit 1;- oo-;justio..i produit les s , j c, de C1.' :Lf8.- ';:1 (,00 ';..G'ir::;3 porteuses de culories d':'U15 13 C...1' l!:",,:CG à#- supérieure du second dispositif de c":uf:LL'::;') Qv:,:-.t que les- dites '.i;:;'t:i.1±G ne chauffent 1# Lcur. tour us fluide dans la chambre µ,i:iérie>J1?e de ce second dispositif de cl1;..ufr:;:J.
7.- Constitution du dispositif double suivant 6 ou le com- posant du Y,161one coi.iÎ;c=s-ii.'olc considère traverse :8. c!¯:brG inf cri jure du prei'dier dispositif de ci.ii.ci±à.d#ù au contact dos i,ia.lii;r.::s .l:L.::.i;spor.toeuses ite OU le direct des Matières 'Ljll'.:,.lspor'CGU8eS de oslarias ot ou le fluide à chauffer traverse de i,;Ù.ze la cna-ibro illf8riru re du second dispositif lie Ci4:LlriL:G au contact dirsot de la ..la-
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tiare transporteuse de calories.
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G.- ,¯: .l :1¯ 1 1 ;=: s; t 1 o ;.i , COli4J.e lilc.:S;:;8 de ....;..1Ci:.l'3 ...:ï'2'l.C ire, de e j;== - J-C te.J \3 f -j;c 0 ..:.1 (:.11-i; dans les chaires supérieure et inférieu- ri et dans le passade étrangla, tandis !.,,.1 t Ui1 fluide for- Liant un CGil.i'7.!.uall'L de mélange C'.O,itjLi.S"i:iÎllC trcverse la C1:,:,lblC inférieure a CI')1 trG-COlr\.- n.t par rapport au.. galet- tes chauffées et que le fluide 2i oh-uffer traverse la ci?cL1à- bre inférieure du second dispositif de chauffage a contre- courant par rapport aux galettes chauffées s'écoulant dans s /Î
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la dite chambre.
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9.- Procède de ch@uffage de fluides à une température élevée en utilisant l'appareillage décrit ci-dessus , ce procédé consiste à assurer un écoulement d'une masse mobile de matières transportant des calories à travers les zones de chauffage et de refroidissement d'un échan- geur de chaleur fluide, cette masse de matières étant amende à une haute température dans le zone de chauffage et étant ensuite refroidie dans la zone de refroidisse- ment par transfert de la chaleur absorbée par un fluide formant un constituant d'un mélange combustible et s"é- coulant dans la dite zone de refroidissement au, contact des matières transporteuses de oalories,
un autre écou- lement de matières transporteuses de calories s'effec- tuant simultanément dans les zones de chauffage et de refroidissement d'un second dispositif de chauffage ana- logue ou ces @stières sont amenées à une température éle- vée dans la zone de chauffage de ce second dispositif par les gaz'de chauffage produits par la combustion d'un mélange gazeux contenant le constituant précité, après quoi cette deuxième masse chauffée se refroidit dans la deuxième zone de refroidissement en cédant ses calories à un fluide s'écoulant dans cette sedonde zone de re- froidi ssement.
10.- Mode d'exécution du procédé suivant 9, suivant le- quel la masse chauffée de matières transporteuses de ca- lories est refroidie dans les zones de refroidissement en abandonnant ses' calories à un composant d'un mélange combustible s'écoulant dans cette zone de refroidissement au contactdirect de ces matières et à contre-courant par rapport à celles-ci.
11.- procédé de combustion de combustibles à haute tem- pérature consistant à maintenir un flux de matières soli-
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dans i .l r. : .... s j; .> r i :i .a s e de caloriec z .; ' .L c a :;<1 1 iiù vers s 1 bas à t #i> - vers les :',OT1CS de chauffage et de refroidi 1. ;; s ei.* i# d'-un uisp'o- sitif de e c ;ia L< fà:
j :i , cette asse etan'. cha'Laffae a uue c .t ,.#;;i ;,é - rat'.'Lre élevée dans cette zone de chauffage tandis "p;,e l'on chauffa d'une C Li#ùll 1 .:. î' continue un Qï àil O 1 fl ll'l, ce i..'.j- nj 1. ±:à .i- 'J..#s.lil;le 1 >Jr<e .lei,ipàrc:tu;re ;Jlë;Jée u1iii'or,.:e aiJ.-ù.#,siJz çi.-1 point ù 'r.Il>=ti¯iJje à.ii cojibustible au ,lO:lel1 d'un transfert de calo- ries de la masse chauffée venue e 11 a. i;r 1 none de r2:L:::oic1is- scLn;nt, ce c oi-1p o 1; <: #: '> r 1 , * > ± ± t:int ensuite - 1,; .3 1 an j j É : ;J .i l'autre oom.posant nécessaire à la formation iLi<, 1.: ô 1 ce. x# com- 'J .a r o 1 1> 1 que l'on >? :. i. alors a ii z 2 î # i' ±, des s .l ei.i, ..3 r :..t ir :-. z ±, ? e - vées. i L . - 1 î;:: 1± 1 ai i ;1, ' uJi i' ln: .. i ùe haute température due 1 ' .é é - ;:.l. ==r:i o -.; d'une : 118 S en 1:...0 \ ,"V :'Á.1.; lj,t de e ;
, :..,:...< j, 1 r i transpor- teuses 1<e calories verj le baa en travercant les .-,o-;.e:; de chauffa¯,;, st de e r c j? r > F- 1 <.: s c; >- #: ; ;.. d'un dispositif Je c.-.n.'.Pf.j'j li fl'..ide, ce e d 1.i 'À(É 1 ± ± ".. ' O Q]: ÔIÔ .I. iiÉl en. à. 1. l.ËE . Il 1 2 2 lj 'ü ÎJ ?±ìl ] 13 de ....,'.tiares une tëni, lr..."ôi:rc élevée dana la #;oi¯e de i]::ai±.:.=e "J :: :.: i, i:..i ± r i= i 6 1 <: : z =.i (.18Ui<)c 1.:1.:.:].[.] a : : o : - l'8flC!-':i.S8C:- ..:;..t ù =. :-.. i abandon de aea calorieG a un ca.:.r:-n 1 ' . i t :>:. VS1'- aan'.; la jitc' :> ;:, i i : de r.fraicisaaL-ant au contact dircot des 1 1 .t ù ratières tandis que î ' a ;; 1:ic 1 ;::1 1 i nt un ecouleuent d'une seee..de ...assc analoaue de haut en bas i 1 tr.'-vers les .'.ânes superposées de ch.'uffae et '1; çi ± l' G 1' > .ô 1 Gà 1.
Z S ±. :l ±ïl d'un second ;; 1 s =; z; z 1 .i; =j I à chauffaa, cette ')3C0-,"I,S ,83:3 de e , .-:., h L ' . .res .1 .t . -: .à i. : i i.à .J ... une e .l; <:i,,= 1 1: 1 .t .;i i 1 L ,e=T .l da:.s o'.tte saccade ;;:.iz de ' 'T'''.''' io....i# L'ac.li.;:i> des =a.z de =1.-; .=¯;8±:=.<; .recuits ,¯..'r 1" ,= :z = , ,';..i. ,=; "ô 1 o :; d'LU?. :..:'.l';;:..¯e oou'.pr.'n.'a'.t l'-ir chaud .,'rove- ;¯, 1; , # ù 'iafra:'.diaa.-..n..t "ù a .h..-. o... u calorie.':: au fluiue é; chauffer aui traver.je 1s t ù C itl.ô 1 l.à é #j Q ;1 de. rafraidiss2;nt
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ou o o n.t c. o direct des -'.11 e h"tir:3.