<Desc/Clms Page number 1>
" Alliage perfectionné".
La présente invention est relative à des alliages et a pour objet de fournir un alliage qui conviendra particulière- ment pour résister à l'attaque de l'eau en circulation et en particulier, de l'eau de mer et de l'eau d'estuaire ou eau saumâtre.
On sait que des parties .métalliques en contact avec de l'eau salée très agitée telles que, par exemple, des tubes et des viroles de condenseurs sont soumises à toutes sortes d'attaque corrosive, et jusqu'à présent des alliages de cuivre et de nickel ont été parmi les meilleurs pour ce genre d'usage.
Il est évidemment souhaitable, pour des questions de prix, que la teneur en nickel soit maintenue aussi basse que possible, mais, bien que des alliages contenant seulement 20% de nickel avec des traces de fer en tant qu'impuretés aient été essayés, les résultats n'ont pas donnes entière satisfaa- tion et ces alliages ont été remplacés par d'autres d'une teneur en nickel plus élevée, soit 30% ou plus, et on a trouve en général que ces derniers donnaient des résultats satis- , faisants'
<Desc/Clms Page number 2>
EMI2.1
La présente i:lve,:tio.,. est basée sur la constatation que les alliages cUivre-.:.ickel,' a, oassë teneur de nickel sont rendes beocccLi plus résistants a. l'action corrosive de 1'0-L e.. circulation, par exemple, au choc de l'eau de ';
.6 eontensnt des b 1¯¯es d'air, pir l'addition ia:te .tio.iïc le de petites ç:,t...:;1', b de v'¯e¯, de sorte uue l'invention consiste en des alliages cuivre-nickel ayaiit une teneur eü nickel variant entre 5 et 35% avec adoition de fer dans une proportion va- ri,,,t de C,5 1.1 4/o , tant entendu que le fer 3st ajout... comme fer et non secs forme de ferro-siliciuJilo àot,,j: se rendre compte de la résistllnce des alliages scu- mis in l'attaque de l'eau de .>ier en ;;OL've!26,'j,t, o,. se sert d''n essai qi;1 a ;té agenc- pour i1;oútl'er le co.:Âporterucüt comparatif en servire de différents alliages utilisés peur des tubes de condenseurs, refroidis avec de l'eau de mer ou avec de l'eau
EMI2.2
saaatre Dams cet essai, un jet d'eau de ,.er, iMG'lt.iy:
avec environ 6 d'air, est lance à une vitesse %'environ 18 pieds par seecade, contre la surface d'un schantillcn de l'alliage à examiner. Les réslJltats de l'essai varient quelque peu selon le caractère de l'eau de .fier, particulièrement lorsque l'eau contient des produits exerçant une action bactérienne, et selon la nature de la pellicule qui se forme sur la surfece de l'échantillon .
Des essais exécutas avec cet appareil surdes alliages cuivre-nickel, avec et sans addition de fer donnèrent les résultats suivants :
Des alliages de cuivre et de nickel, de teneur en nickel variant de 5 à 30%, pratiquaient exempts de fer, accusent tous une attaque considérable dans la region où. le jet heurte la surface,
<Desc/Clms Page number 3>
Les alliages contenant :
20% de nickel et 4,5% de fer,
10% de nickel et 4,4% de fer, ne sont pas attaqués, mais les alliages contenait sensiblement au delà de 4% de fer accusent parfois une attaque inter- cristalline sur toute la surface de 1'échantillon, bien que l'attaque ne soit pas plus prononcée dans la région du jet.
On a trouvé que des alliages contenant des pourcentages correspondantsde nickel mais ayant une teneur moindre en fer que ceux déjà mentionnés, par exemple :
20% de nickel et 1% de fer,
10% de nickel et 1,9% de fer, étaient, dans les conditions de cet essai, parfois attaqués et parfois non attaqués.
Toutefois, cet'essai est considéré comme Une épreuve très sévère et ces alliages, bien que moins satisfaisants dans ces conditions, sont malgré tout meilleurs que les alliages correspondants sans fer et pourraient être utilisés avec suc- cès dans des conditions mains dures.
Les alliages contenant moins de 10% de nickel, ont tendance à former une écaille foncée, qui est noire lorsque l'alliage contient des quantités appréciables de fer et qui peut farmer des soufflures. Des essais dans l'eau de mer sta- gnante avec des dépôts de sable sur la surface du métal, mon- trent que, pour une teneur en fer donnée, la résistance des alliages à cette forme d'attaque est d'autant plus grande que la teneur en nickel est plus élevée, et pour une teneur en nickel donnée, elle'est d'autant plus grande que la teneur en fer est plus élevée, pourvu que cette dernière ne dépasse pas sensiblement 4%.
Il s'avère donc que pour obtenir la résistance la plus élevée et la plus efficace à toutes les formes d'attaque par l'eau de mer, des pourcentages relativement plus élevas de fer sont requis avec des alliages de teneur en nickel plus basse.
<Desc/Clms Page number 4>
EMI4.1
En ineiie te;;:ps, tous les alliages contenant du fer en proportio:is variant de CI,5 à 4; sont erlsiblelÚ2r1t plus résistants à
EMI4.2
toutes les formes d'attaque que' les alliages de teneur en nickel similaire, exempts de fer.
EMI4.3
En choisissent l'alliage le pileux approprié à un usage
EMI4.4
particulier, la vicieuse relative des différentes forces
EMI4.5
d'attaque, qLi se présentent pratiquereut, et le ccût de
EMI4.6
l'alliage doivent être pris en considération.
EMI4.7
lour maître la présenta invention en éxécution, an considéré un alliage perfectionne de nickel , cuivre et fer, dont les pcurcentiges des constituants varient dans les prc-
EMI4.8
portions suivantes :
EMI4.9
Nickel ............ de 5 k 25 , Cuivre de 71 à 94,5p , er ............... de 0,5 à 4% Si o.L le désire, 1'pillage peut contenir aussi du ill8nga- nèse jusqu'b, lp, ainsi que de faibles pourcentages d'autres éléments, qui peuvent avoir servi à la dcisoxydat10D du ri-étal fondu avant la coulée.
Les impuretés existant habituelle,Ent dans les matières utilisées dans la fabrication des alliages cuivre-nickel ne so..t pas exclu^s Crin sait que l'on ajcute parfois de l'al¯ù:ainiuu aux alliages cuivre-nickel , soit pour brusquer la trempe si 0,. les refroidit leiltc¯et en partant d'une température elevée, soit pour 811,,1101'er les propriétés mécaniques de l'alliage de il18"Üère satisfai;e i d'autres
EMI4.10
exigences'
EMI4.11
La pr.jse.te 1.-iv?,itioi ne se rG[JlioL'te pas z". 1'P.,.,:oi j'aiuxi,ii;:,> de cette façou et les alliages COJlt 8Ll::-llth?lliS de G.18/ d'ali'J,1.;,1ÍL1l.1 so.-.t exclus de sa portée.
Lorsqu'on constitue dos alliages qui cOnvieil.18.1t pour être étirés en tubes, Ou préfère que la teeLr en nickel ne soit pas Llféderce à 1 environ ellilcul. des teneurs en nickel
<Desc/Clms Page number 5>
variant entre 10 et 25%, on profère ajouter du fer jusqu'à un maximum de 4% environ.
L'addition de fer aux alliages à faible teneur en nickel dans les proportions indiquées ci-dessus, permet d'employer dans beaucoup de cas des alliages de teneur en nickel trop basse pour donner des résultats satisfaisants sans fer et ces alliages peuvent être fabriqués à un prix sensiblement infé- rieur que ceux ayant une teneur en nickel plus élevée.
REVENDICATIONS.
1. Alliages cuivre-nickel, ayant une teneur en nickel variant de 5 à 25%, avec addition de fer dans une proportion variant de 0,5 à 4%.
<Desc / Clms Page number 1>
"Advanced alloy".
The present invention relates to alloys and its object is to provide an alloy which will be particularly suitable for resisting the attack of circulating water and in particular of sea water and seawater. estuary or brackish water.
It is known that metal parts in contact with very agitated salt water such as, for example, tubes and condenser shells are subjected to all kinds of corrosive attack, and so far copper alloys and of nickel have been among the best for this kind of use.
It is obviously desirable, for reasons of price, that the nickel content be kept as low as possible, but, although alloys containing only 20% nickel with traces of iron as impurities have been tried, the The results were not entirely satisfactory and these alloys were replaced by others with a higher nickel content, ie 30% or more, and these were generally found to give satisfactory results. doing '
<Desc / Clms Page number 2>
EMI2.1
The present i: lve,: tio.,. is based on the finding that copper alloys with low nickel content are made more resistant to nickel. the corrosive action of O-L e .. circulation, for example, upon shock of water;
.6 contain b 1¯¯s of air, pir the addition ia: te .tio.iïc the small ç:, t ...:; 1 ', b of v'¯ē, so uue the invention consists of copper-nickel alloys having a nickel content varying between 5 and 35% with the addition of iron in a varying proportion ,,, t of C, 5 1.1 4 / o, as understood that the iron 3st addition ... as iron and non-dry form of ferro-siliciuJilo àot ,, j: realize the resistllnce of the alloys scu- mis in the attack of water.> ier en ;; OL've! 26 , 'j, t, o ,. uses a test qi; 1 has been arranged for i1; where the cost is comparative using different alloys used for condenser tubes, cooled with sea water or with the water
EMI2.2
saaatre Dams this test, a jet of water from, .er, iMG'lt.iy:
with about 6 air, is launched at a speed of about 18 feet per sec, against the surface of a sample of the alloy to be examined. The results of the test vary somewhat depending on the character of the water to be tested, particularly when the water contains products exerting a bacterial action, and the nature of the film which forms on the surface of the sample. .
Tests carried out with this apparatus on copper-nickel alloys, with and without the addition of iron, gave the following results:
Alloys of copper and nickel, with a nickel content varying from 5 to 30%, practiced free of iron, all show considerable attack in the region where. the jet hits the surface,
<Desc / Clms Page number 3>
Alloys containing:
20% nickel and 4.5% iron,
10% nickel and 4.4% iron are not attacked, but alloys containing substantially more than 4% iron sometimes show inter-crystalline attack over the entire surface of the sample, although the attack is not more pronounced in the area of the jet.
It has been found that alloys containing corresponding percentages of nickel but having a lower iron content than those already mentioned, for example:
20% nickel and 1% iron,
10% nickel and 1.9% iron were, under the conditions of this test, sometimes attacked and sometimes not attacked.
However, this test is considered to be a very severe test and these alloys, although less satisfactory under these conditions, are still better than the corresponding alloys without iron and could be used successfully under harsh conditions.
Alloys containing less than 10% nickel tend to form a dark scale, which is black when the alloy contains appreciable amounts of iron and which can cause blistering. Tests in stagnant seawater with sand deposits on the surface of the metal show that, for a given iron content, the resistance of the alloys to this form of attack is all the greater. the higher the nickel content, and for a given nickel content, the higher the higher the iron content, provided that the latter does not substantially exceed 4%.
It turns out, therefore, that in order to achieve the highest and most effective resistance to all forms of seawater attack, relatively higher percentages of iron are required with alloys of lower nickel content.
<Desc / Clms Page number 4>
EMI4.1
In fact ;;: ps, all alloys containing iron in proportio: is varying from CI, 5 to 4; are erlsiblelÚ2r1t more resistant to
EMI4.2
all forms of attack as alloys of similar nickel content, free of iron.
EMI4.3
Choose the alloy the appropriate hair for use
EMI4.4
particular, the vicious relative of the different forces
EMI4.5
of attack, which arise practicing, and the cost of
EMI4.6
the alloy must be taken into consideration.
EMI4.7
Ours master of the present invention in execution, considering an improved alloy of nickel, copper and iron, the component parts of which vary in the preceding
EMI4.8
following portions:
EMI4.9
Nickel ............ from 5 k 25, Copper from 71 to 94.5p, er ............... from 0.5 to 4% Si If desired, the pillage may also contain ill8nganese up to b, lp, as well as small percentages of other elements, which may have served to decisoxide the molten ri-etal prior to casting.
The usual existing impurities, Ent in the materials used in the manufacture of copper-nickel alloys are not excluded ^ s Crin knows that we sometimes add al¯ù: ainiuu to copper-nickel alloys, ie to hasten the quenching if 0 ,. cools them leiltc¯and starting from a high temperature, that is to say for 811,, 1101'er the mechanical properties of the alloy of il18 "Üère satisfai; e i others
EMI4.10
requirements'
EMI4.11
The pr.jse.te 1.-iv?, Itioi is not rG [JlioL'te pas z ". 1'P.,.,: Oi j'aiuxi, ii;:,> in this way and the COJlt 8Ll alloys :: - llth? lliS of G.18 / ali'J, 1.;, 1ÍL1l.1 so .-. t excluded from its scope.
When making alloys which are suitable for being drawn into tubes, or prefer that the nickel layer not be stiffened to about 1 cm. nickel contents
<Desc / Clms Page number 5>
varying between 10 and 25%, add iron up to a maximum of about 4%.
The addition of iron to alloys with a low nickel content in the proportions indicated above makes it possible in many cases to employ alloys of too low a nickel content to give satisfactory results without iron and these alloys can be manufactured at a significantly lower price than those with a higher nickel content.
CLAIMS.
1. Copper-nickel alloys, having a nickel content varying from 5 to 25%, with the addition of iron in a proportion varying from 0.5 to 4%.