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" Télérupteur à minuterie avec moteur d'équipage mobile ".
L'invention se rapporte à un télérupteur à minuterie, en particulier pour éclairage de cage d'escalier ou analogue, lequel est mis en marche par une impulsion de commande, par exemple par enfoncement d'un interrupteur à bouton poussoir.
Il allume par exemple, à la mise en action du bouton poussoir l'éclairage de la cage d'escalier et l'éteint après l'écou-
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lement d'un certain temps.
On connaît des minuteries à moteur dans lesquelles une partie mobile commandée par moteur, forcée dans la position de départ sous l'action d'une force de rappel, est reliée avec le moteur pour la mise en action de l'interrupteur au moyen d'un accouplement embrayable et débrayable, dont le dispositif d'embrayage et de débrayage est commandé par une armature ac- tionnée par le stator du moteur et soumise à l'action d'une force de lancement. Dans ces minuteries, aussi longtemps que le moteur est enclenché, ltarmature de l'accouplement est at- tirée et maintient embrayé l'accouplement entre le moteur et la partie mobile. Aussitôt que la partie mobile a atteint sa position de fin de course la manoeuvre à temps est terminée, et en même temps le moteur est déclenché.
Par la chute de l'ar- mature de l'accouplement, l'accouplement est débrayé, et la partie mobile retourne sous l'action de la force de rappel à la position de départ.
L'invention fait également usage d'un télérupteur à mi- nuterie avec moteur d'équipage mobile, et d'un organe mobile forcé par une force de rappel dans la position de départ pour actionner l'interrupteur ainsi que l'accouplement débrayable intercalé entre le moteur et l'organe mobile, et dont le dis- positif de débrayage et d'embrayage est commandé par une arma- ture actionnée par le stator du moteur, et se trouvant sous l'action d'une force de lancement.
Selon l'invention les forces magnétiques et de lancement agissant sur l'armature d'accouplement sont ajustées l'une sur l'autre de telle sorte que l'armature n'est attirée que pour une excitation accrue du stator du moteur, c'est-à-dire pour une excitation qui est plus forte qu'il n'est en soi nécessaire pour la marche régulière du moteur. Lorsque l'armature est at- tirée, l'accouplement est débrayé, contrairement à ce qui se
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passe dans les minuteries à moteur connues. Le stator du mo- teur reçoit temporairement par l'impulsion de commande, soit par exemple par enfoncement de l'interrupteur à bouton pous- soir, une excitation accrue.
La partie mobile ouvre dans sa position de fin de course un interrupteur qui tend vers sa po- sition de fermeture, ou qui est amené lors de l'attraction de l'armature de l'accouplement dans la position de fermeture et y reste, et qui, dans la position de fermeture, relie le sta- tor du moteur à une excitation réduite suffisante pour la mar- che du moteur. Cet interrupteur peut en même temps être l'in- terrupteur du courant d'utilisation, ainsi par exemple servir directement pour l'allumage des lampes.
Des exemples d'exécution de l'invention sont représentés sur le dessin.
Les figures 1, 5, 7,8 et 9 représentent différents sché- mas d'une installation d'éclairage-de cage d'escalier.
Les figures 2, 3 et 4 représentent en vue perspective la minuterie à moteur, tandis que la figure 6 représente en per- speotive un relais de fréquence.
A un conducteur principal 1 ( figure 1 ) d'un réseau à courant alternatif est raccordé un pôle d'un petit moteur syn- chrone 2. Sur le même conducteur sont branchées les lampes 3.
L'autre pôle du moteur 2 est relié à une extrémité d'une résis- tance d'amont 4, à laquelle est raccordée également la canali- sation de commande 5 d'une série d'interrupteurs à bouton pous- soir 6. A l'autre extrémité de la résistance 4 est raccordée l'autre ligne d'alimentation 7 pour les lampes 3 et l'interrup- teur 8. Les interrupteurs 6 et 8 sont reliés par leur autre côté au deuxième conducteur de réseau 9. Le petit moteur syn- chrone 2 ( figure 2 ) entraîne par un réducteur 10 la vis sans fin 11, et par la roue 12 et la vis sans fin 13, ainsi que par une autre roue à vis 14, un organe mobile 15 qui bande un res-
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sort 16 contre la butée 17.
Sur le trajet de l'organe mobile 15 fait saillie un verrou de blocage à ressort 18 qui bloque un interrupteur à mercure 8 mobile autour de l'axe 19 dans la position de fermeture, dans laquelle l'interrupteur 8 peut se mettre par basculage dans le sens de la flèche. Dans cette po- sition le mercure 20 réunit les électrodes qui sortent du tube en 21 et 22. L'électrode 21 est raccordée au conducteur 9 fi- gure 1, l'autre électrode 22 à la résistance 4 et à la canali- sation 7. Sur l'interrupteur 8 est fixée une tige 23 qui ooo- père avec un organe de bâti 25 mobile autour de l'axe 24. Dans cet organe sont portées la roue 12 et la vis sans fin 13. Il est prévu avec un prolongement 26 qui fait prise dans le tra- jet de l'armature 28 supportée en 27 et coopérant avec le sta- tor du moteur.
Le poids de l'armature repousse l'armature con- tre la butée 29.
L'attraction magnétique du stator du moteur, et le poids de l'armature 28 sont adoptés l'un à l'autre de telle sorte que, avec une excitation suff isante pour le fonctionnement normal du moteur l'armature n'est pas encore attirée. La résistance de l'enroulement du moteur 2, et la résistance d'amont 4 sont choisies telles que, à la fermeture de l'interrupteur 8, le moteur 2 a une excitation suffisante pour la marche, mais que, à la fermeture d'un des boutons poussoirs ( figure 1 ), c' est-à-dire si le moteur est intercalé directement entre les conducteurs du réseau 1 et 9, le stator du moteur est excité de façon à attirer l'armature 28.
Le télérupteur à minuterie travaille de la façon suivan- te : lorsqu'on enfonce un des boutons poussoirs 6, le moteur 2, comme on l'a mentionné, augmente son excitation. Son stator attire l'armature 28, qui soulève le prolongement 26 de la piè- ce de butée 25. Par suite au moyen de la tige 23, l'interrup- teur à mercure 8 est renversé dans le sens de la flèche dans
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la position de fermeture et maintenu dans cette position par le verrou 18. Lors du soulèvement de la pièce de bâti 25 les réducteurs à vis sans fin 11, 12 et 13,14 sont mis hors de prise et par suite la partie mobile 15 découplée du moteur 2 démarré entre temps. La partie mobile 15 est alors ramenée par le ressort 16 sur la butée 17, au cas où cela ne se serait pas fait auparavant.
Lorsqu'on lâche le bouton poussoir 6, l'armature 28 tom- be, ainsi que la pièce de butée 25. Par suite les réducteurs à vis sans fin 11 à 14 sont de nouveau couplés. La partie mo- bile 15 est alors entraînée par le moteur sous la tension du ressort 16, mais l'interrupteur 8 est maintenu par le verrou 18 dans la position de fermeture.
A la fermeture de l'interrupteur 8, les lampes 3 ont été mises en circuit. A la fin du temps de marche de l'interrup- teur à minuterie qui peut être réglé par déplacement de la bu- tée 17, l'organe mobile 15 atteint le verrou 18 et le repousse.
L'interrupteur 8 retourne, sous l'action du ressort qui agit sur lui, dans la position d'ouverture. Par suite, le moteur 2 et les lampes 3 sont coupés en même temps. Les réducteurs à vis sans fin 11 à 14 restent toutefois connectés contraire- ment à ce qui se passe dans les minuteries à moteur connues.
Si le bouton poussoir 6 est actionné de nouveau il se passe les mêmes phénomènes que ceux décrits ci-dessus. Lors du dé- couplage des réducteurs à vis sans fin la partie mobile 15 retourne dans la position de départ, de sorte que le verrou 18 est libéré et peut bloquer l'interrupteur 8 dans la posi- tion de fermeture.
Si la durée d'éclairage doit être prolongée il suffit toujours d'actionner de nouveau un des boutons poussoirs 6.
Chaque usage du bouton poussoir provoque un soulèvement de l'armature 28 et de la pièce de butée 25, un découplage de la
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partie mobile 15 et un retour de cette partie dans sa position de départ. Il n'est par suite pas nécessaire, comme dans dif- férentes minuteries d'esoalier connues, pour renouveler la ma- noeuvre du bouton poussoir d'attendre l'extinction des lampes.
L'invention offre de plus l'avantage d'une grande sûreté de manoeuvre, car des petits moteurs de ce genre développent des forces de manoeuvre relativement élevées. Il est également avantageux qu'un moteur unique exécute toutes les fonctions des manoeuvres, et que l'on y arrive avec un seul enroulement d'éleotro-aimant.
La figure 3 représente une forme d'exécution analogue.
Dans celle-ci sont utilisés pour les pièces correspondantes les mêmes chiffres de référence. Le verrou 18 est supprimé. On utilise pour cela un interrupteur à ressort qui tend vers la position de fermeture et n'est ouvert que dans la position fi- nale de l'organe mobile 15. Entre l'organe mobile 15 et son arbre de commande est intercalé un appareil tendeur 30 en soi connu avec un arrêt dit mécanique 31. L'arrêt mécanique doit opérer une transmission de mouvement par sauts entre l'organe de commande tournant avec une vitesse continue et l'organe à commander. Dans le cas présent, l'interrupteur 8 doit être ouvert par à-coups par le petit moteur synchrone 2 au moyen de l'organe mobile 15, afin d'éviter la formation d'étincelles aux contacts, et ainsi l'usure prématurée de ceux-ci. L'organe mobile 15 est fixé à un plateau 15a qui porte une came 15c.
Le plateau-came 15a tourne autour de l'axe 15d et est relié par celui-oi avec un deuxième organe mobile 15b entraîné par le petit moteur synchrone 2. Une tige 15c fixée à la partie mobile 15b est guidée dans une rainure 15fdu plateau 15a et sert à limiter la rotation du plateau 15a par rapport à la par- tie mobile 15b. La butée de départ 17 pour la partie mobile qui coopère avec une contrebutée 3 2 liée à l'organe mobile 15b
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peut être déplacée par un dispositif d'ajustage 35 pourvu d'une échelle 33 et d'une aiguille 34. On peut ainsi faire varier la durée d'action de la minuterie.
Si l'on enfonce le bouton poussoir, alors en relevant l'armature 28 comme on l'a dit ci-dessus, l'organe mobile 15 est découplé et retourne sous l'action du ressort 16 avec la butée 32 jusqu'à la butée 17, libère le ressort de manoeuvre 30 et ferme ainsi, comme il est représenté sur la figure 3, l'interrupteur 8. Après qu'on a lâché le bouton poussoir la partie mobile 15 est oou- plée avec le moteur.
Le fonctionnement est analogue à celui de la figure 2.
L'organe mobile 15 est alors tourné avec le plateau 15a, ainsi que l'organe mobile 15b et sa butée 32 sous l'action du res- sort 16 par le moteur 2, en partant de la position représentée, dans le sens de la flèche jusqu'à sa position finale. Dans sa rotation la came 15c du plateau 15a arrive à l'arrêt 31 et res- te d'abord immobile car l'arrêt porte sur la butée 31a. L'or- gane mobile 15b tourne au contraire davantage dans la direc- tion de la flèche. Le centre de rotation pour le plateau 15a est alors reporté sur l'axe 15d lié au deuxième organe mobile 15b. Lors de la rotation ultérieure du plateau 15b, le plateau 15a avec la came 15c est soulevé sous l'action du ressort 30 jusqu'à la libération de cette came à l'arrêt 31.
Après cela le plateau à came 15a se déplace brusquement sous la détente du ressort 30 jusqu'à ce que l'organe mobile 15 atteigne le ressort de fermeture 80, et ouvre l'interrupteur 8 en levant les ressorts de traction 80 de dessus les ressorts de contre- contact 81. La position finale décrite est alors atteinte.
On peut naturellement aussi utiliser d'autres interrup- teurs que les interrupteurs à mercure ou à ressort. Il n'est pas non plus néoessaire que l'interrupteur 8 opère directement l'éclairage de la cage d'escalier, mais dans les grandes
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installations il peut actionner un contacteur, ou à côté de l'interrupteur 8 qui relie le moteur au réseau par la résis- tance d'amont on peut prévoir encore un interrupteur spécial pour les lampes, actionné par l'organe mobile.
L'invention se rapporte de plus à un dispositif d'inver- sion pour une installation d'éclairage de cage d'escalier qui permet une inversion de l'éclairage par minuterie sur l'éclai- rage permanent, et sur une position de blocage sans lumière.
Ce dispositif consiste essentiellement en un interrupteur pour l'ouverture des interrupteurs à boutons poussoirs ( interrup- teur de circuit des boutons poussoirs), un interrupteur pour la coupure du circuit de moteur ( interrupteur de circuit du moteur ) qui se trouve en série avec l'interrupteur pour l'ex- citation réduite du moteur, et en un autre organe pour le dé- couplage de la partie mobile par rapport au moteur ( organe de découplage ) lequel agit soit mécaniquement, soit magnétique- ment sur l'armature de découplage, ou bien est formé par un interrupteur qui ferme momentanément le moteur sur une excita- tion augmentée, et par suite opère indirectement une traction de l'armature de découplage et ainsi un débrayage de l'accou- plement entre le moteur et l'organe mobile.
Dans la position des connexions pour l'éclairage à minu- terie, l'interrupteur du circuit des boutons poussoirs et l'in- terrupteur du circuit du moteur sont fermés, mais l'organe men- tionné de débrayage est rendu inactif. Lors des connexions pour l'éclairage permanent, l'organe de découplage est rendu inactif au moins passagèrement, au contraire l'interrupteur des boutons poussoirs et celui du circuit du moteur sont ouverts. Lors du blocage de la lumière, l'organe de découplage est inactif, l'in- terrupteur est déclenché, mais l'interrupteur de circuit du moteur est fermé. Le dispositif d'inversion peut être actionné à la main par un relais de commande à distance ou par une hor-
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loge à contacts.
A un des conducteurs principaux, figure 4,d'un réseau à courant alternatif est raccordé, par l'interrupteur M, un pale d'un petit moteur synchrone 2. Sur le même conducteur se trouvent les lampes 3. L'autre pôle du moteur 2 est relié à une extrémité d'une résistance d'amont 4, à laquelle est relié également par l'interrupteur D le conducteur de commande 5 d'une série d'interrupteurs à boutons poussoirs 6. A l'autre extrémité de la résistance 4 est raccordée l'autre conducteur d'alimentation 7 pour les lampes 3 et les interrupteurs de re- lais 8. Les interrupteurs 6 et 8 sont raccordés par leurs au- tres pales au deuxième contacteur de réseau 5.
Le petit moteur synchrone 2 entraîne, comme dans la figure 3, au moyen d'un réducteur 10 la vis sans fin 11, et par.la roue à vis 12 et la vis sans fin 13, ainsi que par une autre roue 14, un organe mobile 15, repoussé par un ressort 16 et le doigt 32 oontre la butée 17. Entre l'organe mobile 15 et son arbre de commande est intercalé un dispositif tendeur 30 avec arrêt mécanique 31.
La pièce mobile 15 est fixée à un plateau 15a qui porte une came 15c. Le plateau à came 15a est lié par un axe 15d avec une deuxième pièce mobile 15b entraînée par le petit mo- teur synchrone 2. Une broche 15c fixée sur la pièce mobile 15b est guidée dans une rainure 15f du plateau 15a, et doit limi- ter le mouvement du plateau 15a par rapport à la pièce mobile 15b. Les organes de transmission 12, 13 sont portés sur un ca- dre 25 mobile autour d'un axe, et qu'un ressort 33 repousse contre une armature d'accouplement 28 disposée dans le champ de dispersion du moteur 2, et qui de son côté est ramenée par un ressort 34 contre la butée 29. Cette armature est liée à un doigt 35 qui fait saillie sur le trajet d'une came 36. L'in- terrupteur M est commandé par une came plus large 37, l'inter- rupteur B par une came plus étroite 38.
Les interrupteurs M
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et tendent à la position d'ouverture, tandis que le ressort de contact 80 de l'interrupteur 8 tend à la position de ferme- ture. Les cames 36 à 38 sont calées ensemble avec une aiguille 39 et une prise à oreilles 40 sur un arbre de commande 41.
L'aiguille 39 parcourt une échelle 42 portant les positions I à III. La position I est la position pour l'éclairage à minu- terie, c'est-à-dire cette position pour laquelle en appuyant un bouton poussoir 6 les lampes 3 peuvent être allumées par exemple pour trois minutes. II est la position pour l'éclai- rage permanent, et III est la position de blocage dans laquel- le d'une façon générale aucune lumière ne peut être allumée.
Le dispositif fonctionne de la façon suivante : Dans la position représentée de l'éclairage à minuterie les interrup- teurs H et D sont fermés. Si l'organe mobile 15 est amené par le moteur de la position représentée dans le sens de la flèche jusqu'à fin de course dans laquelle il soulève les ressorts de contact 80 de dessus les contre-contacts 81, les lampes 3 et le moteur 2 sont coupés. Si l'on actionne alors un des boutons poussoirs, le moteur 2 reçoit de la canalisation 9, par un in- terrupteur à bouton poussoir 6, la canalisation 5, l'interrup- teur D par l'interrupteur M et la canalisation 1, la pleine excitation par la tension du réseau. Par suite l'armature 28 est soulevée dans le sens de la flèche.
De ce fait le cadre 25 est également soulevé dans le sens de la flèche, et les or- ganes de transmission 12 et 13 viennent hors de prise avec les organes de transmission 11 et 14. Le ressort 16 ramène alors les organes 15, 15a et 15b dans la position représentée jusqu' au contact du doigt 32 sur la butée 17. La came 15c poursuit son avance dans ce sens de rotation jusqu'à l'arrêt 31 en bas- culant ce dernier. Le ressort de contact 80 maintenant libéré ferme l'interrupteur 8, et raccorde par suite les lampes re- liées d'un seul côté à la canalisation 1 avec l'autre côté par
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la canalisation 7 à la canalisation 9. Ainsi les lampes s'al- lument.
Lorsqu'on lâche l'interrupteur à bouton poussoir 6, le premier pôle du moteur 2, qui était auparavant directement relié par un interrupteur à bouton poussoir 6 au conducteur 9 du réseau est raccordé à ce conducteur par la résistance d'amont 4. La résistance 4, l'attraction magnétique du moteur 2 et les forces de rappel agissant sur l'armature 28 sont ré- glées de telle sorte que pour l'excitation actuellement rédui- te du moteur 2 l'armature 28 n'est plus maintenue dans la po- sition d'attraction, mais revient oontre la butée 29. Par sui- te le cadre 25 et les organes de réducteurs 12 et 13 revien- nent aussi dans la position représentée. La pièce mobile 15 est alors entraînée par un moteur 2 avec tension du ressort 16 et éloignement du doigt 32 de la butée 17 dans la direction de la flèche.
Après trois minutes écoulées la pièce mobile 15 rencontre, après libération de la came 15c par l'arrêt sous l'action du ressort tendu 30, le ressort 80 et ouvre par suite l'interrupteur 8. De ce fait les lampes 3 et le moteur 2 sont coupés. Le moteur 2 reste alors dans la position prise, ainsi que l'organe mobile 15, car les réducteurs à vis sans fin 11 à 14 se bloquent d'eux-mêmes. Par là la position de départ est de nouveau reprise. Si la durée d'allumage doit être prolongée, il suffit alors que pendant la marche du moteur un des boutons poussoirs 6 soit actionné. De ce fait la pièce mobile 15 est découplée. Le doigt 32 retourne à la butée 17, et la pièce mobile doit de nouveau exécuter une rotation sous l'action du moteur 2 depuis cette position jusqu'à ce qu'elle atteigne le ressort de contact 80.
Par mise en action répétée d'un des boutons poussoirs 8 on peut ainsi prolonger à volonté la durée d'allumage.
Si l'on doit opérer l'inversion sur l'éclairage en perma- nence, par rotation de la commande 40, l'aiguille 29 est amenée
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sur la position II. Dans cette position les interrupteurs D et M sont ouverts. La came 36 soulève au moyen du doigt 35 l'induit 28, ainsi que le cadre 25. Par suite les pièces de transmission 11 à 14 sont débrayées, de sorte que comme pré- cédemment la pièce mobile 15 avec le doigt 32 retourne à la butée 17 sous l'action du ressort 16. Dans cette position l'interrupteur 8 est fermé, car suivant l'hypothèse, il a ten- dance à la position de fermeture. Les lampes 3 sont fermées en permanence sur l'interrupteur 8. Les boutons poussoirs 6 et le moteur 2 sont sans courant.
Si pendant le jour la lumière doit être bloquée, l'ai- guille 39 est alors mise dans la position III. L'interrupteur D est ouvert, l'interrupteur N est fermé, la came 36 n'est plus en contact avec le doigt 35. Si pendant cette position de l'ai- guille 39, l'interrupteur 8 est fermé, alors le moteur 2 se trouve par l'intermédiaire de l'interrupteur 8, de la résis- tance d'amont 4 et de l'interrupteur 11 relié à l'excitation réduite, et tourne comme on l'a décrit ci-dessus assez long- temps pour que la pièce mobile 15 ouvre l'interrupteur 8. De ce fait les lampes 3 et le moteur 2 sont déclenchés. Si à la rotation de l'aiguille 39 à la position III l'indicateur lui- même se trouve déjà dans la position d'ouverture, alors le mo- teur 2 n'est pas réenclenché.
Il ne peut pas non plus être en- clenché par les boutons poussoirs 6, car l'interrupteur D est ouver t .
Exactement comme l'arbre 41 peut être amené à la main dans les positions I à III, il peut aussi être déplacé automa- tiquement par une horloge à contacts. Si l'horloge à contacts est séparée géométriquement du moteur 2, la came 30 peut ac- tionner un interrupteur pour un électro-aimant qui soulève l'armature 28 ainsi que le cadre 25, ou un interrupteur monté en parallèle avec les boutons poussoirs 6.
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, La figure 5 représente une forme d'exécution avec relais de commande à distance. Pour les organes correspondants, on a utilisé les mêmes chiffres de référence que dans la figure 4.
L'interrupteur M est commandé par un relais de fréquenee 60 qui, dans la figure 6, est encore représenté à part, l'inter- rupteur D par un relais de fréquence 50 de construction ana- logue. En parallèle avec les boutons poussoirs 6 se trouve en- core un interrupteur E qui ne se trouve que passagèrement dans la position de fermeture, et qui est commandé par le relais de fréquence 60.
Pour actionner les relais de fréquence 50, 60 servent trois fréquences f, g, h. La fréquence f est commune comme fréquence d'enclenchement pour les relais de résonance 50,60, la fréquence g est la fréquence de coupure pour le relais 50, la fréquence h est la fréquence de coupure pour le relais 60.
Le relais 60 ( figure 6 ) est de façon connue raccordé par un condensateur d'accord à une canalisation de commande à dis- tance. En regard de son électro-aimant se trouvent deux lan- guettes 61, 62 dont l'une, la languette 61, est accordée sur la fréquence f, et la languette 62 sur la fréquence h. Dans le trajet des fréquences de la languette 61 pénètre le palpeur 63 et dans le trajet d'oscillation de la languette 62 les pal- peurs 64, 68. Tous les manipulateurs sont montés fous sur l'arbre de commande 69 sur lequel sont calées les roues à cli- quet 66 dentées seulement sur une demi-circonférence, et op- posées par leur denture de 180 , de même qu'un plateau-came 67 pour la commande de l'interrupteur M.
Les palpeurs 63, 64 font prise par les rochets 65 dans les dentures des roues 66. En regard du palpeur 68 se trouve l'interrupteur E qui s'efforce vers la position d'ouverture.
La constitution et le mode d'action de tels relais sont en soi connus, mais seront encore expliqués brièvement en vue d'en
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faciliter la compréhension. Si la fréquence f est émise, alors la lame 61 vibre. Le palpeur 63 est périodiquement projeté vers le haut. Il revient toutefois constamment sur la trajec- toire des vibrations de la languette 61. par sa projection il verrouille l'arbre 69 jusqu'à ce que la came 67 ait fermé l'interrupteur M. Alors son rochet 65 ne trouve plus de dents sur la roue correspondante 66. Si l'on émet par contre la fré- quence h, alors la languette 62 projette de même périodique- ment vers le haut le manipulateur 64, lequel alors fait avan- cer l'arbre de commande 69 jusqu'à ce que le plateau-came 67 soit tourné de 180 , et que l'interrupteur M soit ainsi ouvert.
Alors son rochet 65 ne trouve plus de dents sur la roue corres- pondante 66. En même temps que le manipulateur 64 le manipula- teur 68 est également périodiquement projeté vers le haut et ferme périodiquement pour une courte durée l'interrupteur E.
Le relais 50 est exécuté de la même façon, toutefois on actionne, au lieu de l'interrupteur M, l'interrupteur D. Le troisième palpeur et l'interrupteur E manquent. Lors de l'é- mission de la fréquence f, ainsi qu'on l'a expliqué, l'inter- rupteur D'est fermé, et il est ouvert pour l'émission de la fréquence g.
Pour les positions de manoeuvre 1 à III on obtient alors le schéma des connexions suivant :
Position I - L'éclairage à minuterie est provoqué par l'émission de fréquence f, ainsi les interrupteurs M et D sont fermés. Par pression sur un des boutons poussoirs 6 on peut alors, comme il a été expliqué de plus près pour la figure 1, enclencher l'éclairage de la cage d'escalier par minuterie.
Position II - Eclairage permanent. Au cas où la fréquen- ce f n'a pas été émise auparavant, elle est maintenant émise, puis la fréquence h. Lors de l'émission de la fréquence f, M et D ont été fermés s'ils n'étaient pas déjà fermés avant cela.
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Lors de l'émission de la fréquence h, la languette 62 commen- ce par court-circuiter plusieurs fois l'interrupteur E. Par suite le moteur est raccordé à une excitation accrue qui dé- couple les transmissions de l'équipage mobile, et par suite ramène l'interrupteur 8 dans sa position de fermeture. La lan- guette 62 continuant à vibrer l'interrupteur M est enfin ou- vert. L'éclairage est alors connecté en permanence. Le moteur 2 peut par suite de l'ouverture de l'interrupteur M être en- olenché, même si les boutons poussoirs 6 sont aotionnés.
Position III - Position de blocage. Tout d'abord on émet la fréquence f. De ce fait les interrupteurs M et D sont fer- més. Ensuite on émet la fréquence g, et par suite l'interrup- teur D est ouvert. Si l'interrupteur 8 était déjà ouvert, alors le moteur N n'est pas enclenché de nouveau, mais on déclenche seulement les boutons poussoirs 6. Si l'interrupteur 8 était fermé le moteur 2 tourne jusqu'à ce que l'interrupteur 8 soit ouvert.
Tandis que dans la figure 5 le couplage du moteur 2 est utilisé sur l'excitation augmentée pour la mise en action de l'armature de couplage, la figure 7 représente un couplage dans lequel l'armature de couplage 28, ainsi que le cadre 25, ( comparer figure 5), sont soulevés par un aimant spécial de découplage S, lequel est actionné par l'interrupteur . Pour le reste la disposition est la même que dans les figures 5 et 6. Les différentes circonstances des manoeuvres I à III sont créées de la même façon que dans les figures 5 et 6 par émis- sion de fréquences.
L'avantage est que le relais à temps pour l'allumage de la cage de l'escalier peut être inversé de façon simple sur les différents régimes de couplage de l'installation d'éclai- rage de cage d'escalier, que l'inversion se fasse à la main, par une horloge à contacts, ou par commande à distance.
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L'invention se rapporte de plus à un dispositif d'in- version pour un interrupteur à minuterie d'escalier qui per- met une inversion de l'éclairage à minuterie sur l'éclairage permanent, et, le cas échéant, sur le blocage de l'éclairage.
L'équipage d'inversion qui peut être actionné soit à la main, soit par une horloge de couplage, soit par un relais à oomman- de à distance, est prévu avec un interrupteur pour la coupure du cirouit du bouton poussoir ( interrupteur pour circuit du bouton poussoir), un interrupteur de commande qui dans une de ses positions ( position de court-circuitage ) court-cir- culte le circuit de l'interrupteur à bouton poussoir, et dans l'autre position ( position d'inversion ), relie le contact mobile de l'interrupteur auxiliaire entraîné par la partie mobile sur un pôle de moteur.
Dans la position de connexion pour l'éclairage à minuterie, le dispositif d'inversion main- tient l'interrupteur de commande dans la position d'inversion, et l'interrupteur de circuit des boutons poussoirs dans la po- sition de fermeture, pour l'éclairage permanent, il maintient l'interrupteur de commande dans la position de mise en court- circuit, l'interrupteur du circuit des boutons poussoirs dans la position d'ouverture, et pour le blocage de la lumière l'in- terrupteur de commande, le cas échéant après l'avoir mis passa- gèrement dans la position de court-circuit, dans la position d'inversion, et l'interrupteur de circuit des boutons poussoirs dans la position d'ouverture.
L'inverseur auxiliaire dont le contact mobile est relié galvaniquement avec le circuit des boutons poussoirs et au contact mobile de l'interrupteur de commande est exécuté sous la forme d'un inverseur qui, dans une position pour laquelle est fermé l'interrupteur de l'in- stallation, est relié par l'intermédiaire d'une résistance à des conducteurs du réseau, et dans l'autre position directement à un pôle du moteur.
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On obtient une simplification du dispositif d'inversion si l'on établit ce dernier seulement pour l'éclairage perma- nent et l'éclairage à minuterie en renonçant à la position de blocage.-Alors le circuit des boutons poussoirs, en supprimant l'interrupteur du circuit des boutons poussoirs, peut être re- lié directement au premier conducteur de réseau. De plus on peut exécuter l'interrupteur de commande sous forme d'inter- rupteur simple, c'est-à-dire non comme inverseur, en le reliant dans sa première position ( pour l'éclairage à minuterie ) du contact mobile de l'interrupteur auxiliaire avec un pôle du moteur, et dans l'autre position ( lumière permanente ) en le laissant coupé du moteur, et en renonçant à la mise en court- circuit du circuit des boutons poussoirs.
L'enclenchement de l'éclairage permanent est alors exécuté par enfoncement perma- nent d'un bouton poussoir pour toute la durée de l'éclairage permanent.
Les lampes 3 ( figures 8 et 9 ) d'une installation d'é- clairage de cage d'escalier sont raccordées à un conducteur de réseau 1, et par un conducteur 7 à l'interrupteur d'éclairage 80 qui est réuni dans la position de fermeture avec l'autre conducteur de réseau 9. Au conducteur de réseau 9 sont reliés le contact f de l'interrupteur 80, et par une résistance 4 le contact g de l'interrupteur auxiliaire 81, qui correspond à l'interrupteur 8, figures 3 et 4, mais est exécuté comme inver- seur, et de plus le contact b de l'interrupteur de commande S et le contact e de l'interrupteur D du cirouit des boutons poussoirs. Les interrupteurs 81 et 80 sont couplés entre eux.
L'interrupteur 80 arrive, comme l'interrupteur 8, figures 3 et 4, lors du débrayage des roues 11 à 14, à la position de fer- meture. Alors l'interrupteur 81 est en même temps reporté sur le contact g. Si le moteur arrive avec excitation réduite (sens de la flèche, figure 4) à sa position de fin de course, alors
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de façon analogue à ce qui se passe pour l'interrupteur 8, figure 3, l'interrupteur 80, figure 8, est ouvert, et l'in- terrupteur 81 est inversé sur le contact c. Le contact c est relié avec un pôle du moteur 2, dont l'autre pôle est relié au conducteur de réseau 1. Le contact a de l'interrupteur S est raccordé au contact c de l'interrupteur 81.
Le contact mo- bile de l'interrupteur 81 est raccordé par le conducteur 5 à l'interrupteur des boutons poussoirs 6, et par le conducteur 37 au contact mobile de l'interrupteur D.
Les interrupteurs 80 et 81 sont commandés par le moteur 2, ainsi que le ressort 16. L'interrupteur S est actionné par un relais de commande à distance a qui est accordé sur les fréquences f1 et f2. De façon analogue l'interrupteur D est actionné par le relais de commande à distance D qui est accor- dé sur les fréquences f1 et f2. Lors de l'émission de la fré- quenoe f1, ( voir également le tableau suivant ), le relais s reporte l'interrupteur S sur le contact a, tandis qu'en même temps le relais d ouvre l'interrupteur D. A l'émission de la fréquence f2, le relais s inverse l'interrupteur S sur le con- tact b. A l'émission de la fréquence f3, le relais d ferme l'in- terrupteur D. Si le moteur 2 est raccordé par la résistance 4 au réseau, alors son excitation ne suffit pas pour attirer l'armature 28, mais le moteur tourne.
Ln résumé, on a :
EMI18.1
<tb> Fréquences <SEP> Relais <SEP> s <SEP> et <SEP> d <SEP> Interrupteur <SEP> D
<tb>
<tb>
<tb> f1 <SEP> le <SEP> relais <SEP> 8 <SEP> met <SEP> l'inver- <SEP> et <SEP> ferme
<tb> seur <SEP> S <SEP> sur <SEP> le <SEP> contact <SEP> a <SEP> l'interrupteur <SEP> D
<tb> par <SEP> le <SEP> relais <SEP> d
<tb>
<tb>
<tb> f2 <SEP> le <SEP> relais <SEP> s <SEP> met <SEP> l'inverseur <SEP> S <SEP> sur <SEP> le <SEP> contact <SEP> b
<tb>
<tb>
<tb> f3 <SEP> le <SEP> relais <SEP> d <SEP> ferme <SEP> l'interrupteur <SEP> D <SEP>
<tb>
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Dans l'éclairage à minuterie, si les interrupteurs S, D ( figure 8 ) ne se trouvent pas déjà dans cette position, l'in- terrupteur S est raccordé par l'émission de la fréquence f1 sur le contact a,
et par l'émission de la fréquence f3 l'in- terrupteur D est mis en position de fermeture. Dans cette po- sition le moteur est relié au réseau par le circuit des bou- tons poussoirs. Si on manoeuvre un bouton poussoir, le moteur 2 est connecté avec une excitation augmentée. Il attire son armature, découple les roues 11 à 14, figure 1, l'équipage mo- bile 15 retourne sous l'action du ressort 16 à sa position de départ dans laquelle les butées 17 et 32 se rencontrent. L'in- terrupteur 80 pour les lampes 3 est fermé, l'interrupteur 81 inversé sur le contact g. Par suite le moteur 2 est couplé en série avec la résistance 4, de sorte qu'il continue à tourner avec une excitation réduite si entre temps l'interrupteur à bouton poussoir 6 a été de nouveau lâché.
L'organe mobile 15 tourne alors graduellement dans la direction de la flèche fi- gures 2, 3 et 4, jusqu'à la position de fin de course dans la- quelle il ouvre de nouveau l'interrupteur 80 des lampes 3, et met l'interrupteur 81 sur le contact c.
Dans l'éclairage permanent, par émission de la fréquence f2, l'interrupteur S est inversé sur le contact b. Le moteur 2 est par suite raccordé directement au réseau. Il attire par suite son armature 28. L'interrupteur 80 est comme précédem- ment fermé, et l'interrupteur 81 inversé sur le contact g.
Par l'inversion de l'interrupteur 81 sur ce contact, le moteur 2 est coupé du réseau, de sorte que l'interrupteur 80 reste 'dans la position de fermeture.
Lors du passage sur le blocage de la lumière on émet la fréquence f1 par laquelle l'interrupteur S est inversé sur le contact a. Comme auparavant l'interrupteur 81 se trouvait sur le contact g, le moteur est maintenant raccordé au réseau par
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la résistance 4. Lors del'émission de la fréquence f1, ce cir- cuit a été coupé en même temps par l'ouverture de l'interrup- teur du circuit des boutons poussoirs D. Le moteur tourne alors avec excitation réduite jusqu'à sa position de fin de course, dans laquelle l'interrupteur 80 est ouvert et l'inter- rupteur 81 inversé sur le contact c. Lors d'un nouveau passage à l'éclairage à minuterie l'émission de la fréquence f3 ferme de nouveau l'interrupteur D, etc...
Ainsi que le montre la figure 9, le montage peut encore être sensiblement simplifié, si l'on renonce au couplage pour le blocage de la lumière. Cette renonciation est possible sans plus, car à la lumière du jour personne n'aura intérêt à allu- mer l'éclairage de l'escalier en agissant sur les boutons pous- soirs 6. Dans ce schéma simplifié on supprime l'interrupteur du circuit des boutons poussoirs et de même le relais d, et ainsi la nécessité d'une troisième fréquence de commande f3, mais pour le reste le montage est le même que dans la figure 8.
Pour l'éclairage à minuterie l'émission de la fréquence f1 in- verse l'interrupteur S sur le contact a, et pour la lumière permanente rémission de la fréquence f2 inverse sur le con- tact b.
Une autre simplification du montage est possible en exé- cutant l'interrupteur S sous forme d'interrupteur simple en supprimant le contact b. Pour l'éclairage à minuterie il est alors fermé ( contact a ), et pour l'éclairage permanent il est ouvert. Le couplage pour l'éclairage permanent est alors provoqué en appuyant un bouton poussoir. De ce fait le moteur est raccordé par un des boutons poussoirs 6 et par le contact c sur l'excitation renforcée. Par suite l'interrupteur 80 est fermé, et l'interrupteur 81 inversé sur g. Comme l'interrup- teur S est ouvert pour le contact a, de ce fait le moteur 2 est coupé. L'interrupteur 80 reste par suite dans la position
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de fermeture.
Ainsi pendant le régime des connexions corres- pondant à l'éclairage permanent une manoeuvre unique d'un bou- ton poussoir 6 ne provoque pas l'éclairage 3 comme dans l'é- clairage à minuterie seulement après quelques minutes, mais pour toute la durée de fermeture de l'éclairage permanent.
On peut ainsi avec des moyens relativement simples, dans le cas de la commande à distance, avec seulement quelques fré- quences et des relais de commande à distance, inverser l'in- stallation d'escalier sur les différents régimes d'éclairage.
L'ensemble de l'installation n'exige que peu de surveillance et travaille avec une grande sécurité d'exploitation. Un avan- tage particulier réside encore en ce que pour le couplage d'é- clairage à minuterie, au moyen d'une manoeuvre répétée du bou- ton poussoir, la durée d'éclairage peut être augmentée en con- séquence.