BE449236A - - Google Patents

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BE449236A
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    • GPHYSICS
    • G03PHOTOGRAPHY; CINEMATOGRAPHY; ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ELECTROGRAPHY; HOLOGRAPHY
    • G03BAPPARATUS OR ARRANGEMENTS FOR TAKING PHOTOGRAPHS OR FOR PROJECTING OR VIEWING THEM; APPARATUS OR ARRANGEMENTS EMPLOYING ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ACCESSORIES THEREFOR
    • G03B1/00Film strip handling
    • G03B1/18Moving film strip by means which act on the film between the ends thereof
    • G03B1/20Acting means
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    • G03B1/32Friction grippers or rollers

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  • General Physics & Mathematics (AREA)
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Description

       

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 EMI1.1 
 



  PERFECTIOn''1lSEîTS AUX APPAREILS CIÎAI'OG¯iA.r'"HIUES. 



   La présente invention est relative aux appareils cinématographiques et plus particulièrement à des dispositifs perfectionnés d'entraînement saccadé de films destinés à coopérer par exemple avec des systèmes de télévision. De telles installations sont utilisées, en particulier, d'une part à l'émission lorsque l'on veut transmettre par télévision une scène enregistrée sur film, et d'autre part lorsque l'on veut recevoir et enregistrer sur film une scène transmise par télé- vision. 



   Dans ces deux cas, il suffira de considérer d'une manière générale un ensemble qui comprendra le film, un dispositif approprié d'entraînement de celui-ci, un système optique et un tube de télévision : ce dernier serait, dans 

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 le premier cas considéré plus haut, un tube approprié de prise de vues, par exem- ple du type Emitron, le film étant alors éclairé par une source convenable; dans le second cas, le tube en question serait un tube cathodique approprié à haute in- tensité lumineuse. 



   Les divers systèmes proposés jusqu'à maintenant rentrent dans deux catégories : 
1 - Les systèmes à déroulement continu du film. 



   2 - Les systèmes à déroulement intermittent du film, 
Dans les systèmes à déroulement continu, on a utilisé des appareils à enchainement d'images, par miroirs ou lentilles mobiles, et tels qu'il se forme en permanence sur la plaque active du tube de télévision l'image optique d'une image complète du film ; cette image optique est explorée comme s'il s'agissait d'une prise de vues directe. Selon un autre procédé, le tube de télévision explore constamment une même ligne; cette liane est amenée par le jeu du système optique à correspondre successivement à tous les éléments horizontaux obtenus en décompo- sant la scène imprimée sur le film de la façon classique en vue de son analyse en télévision.

   Pratiquement tous les procédés utilisant un déroulement continu du film souffrent des mêmes défauts dus notamment à l'impossibilité de corriger les retraits inégaux de la pellicule et également à celle de réaliser un éclairement suffisamment uniforme de la totalité de la fenêtre de projection, fenêtre dont la hauteur utile est de 2 à 3 images de film. 



   Dans les systèmes à déroulement intermittent, on a proposé d'utiliser le procédé consistant à projeter pendant un temps très court (dans la période de retour du faisceau, entre deux explorations verticales du tube de prises de vues) une image fortement éclairée. La substitution d'une image de film à l'autre se fait pendant la durée d'une ou plusieurs explorations verticales et ne présente aucune difficulté mécanique. Par contre, le tube de prise de vues doit présenter des caractéristiques spéciales et ceci restreint les possibilités d'emploi du pré- cédé. 



   Un autre procédé bien meilleur (c'est même le seul réellement satis- faisant) consiste à projeter sur la plaque sensible du tube le prise de vues   1'images   du film immobile et à faire avancer ce dernier pendant l'intervalle entre deux explorations verticales. Ce procédé assure d'excellentes conditions de fonc- tionnement au tube de prise de vues, mais l'escamotage ultra-rapide du film amène des difficultés d'ordre mécanique telles qu'aucune solution satisfaisante n'avait encore été obtenue* Un procédé de compromis qui a été utilisé consiste à augmenter 

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 l'intervalle entre deux explorations verticales et à tolérer qu'une partie de ces explorations verticales se fasse pendant que le film est en mouvement.

   On obtient ainsi une image brouillée en haut et en bas, mais par contre, on peut utiliser un appareil normal de cinéma. Cette solution, si elle est immédiate, est peu satis- faisante. 



   L'objet de la présente invention est de réaliser un ensemble mécanique et électrique permettant de résoudre dans de bonnes conditions le problème de dé- placer le film de la hauteur d'une image pendant 1/250 ou même   1/5CO   de seconde. 



   Il a été trouvé qu'une pellicule normale résiste bien aux efforts d'accélération qui résultent de son propre mouvement et qui sont du même ordre que ceux qui se présentent dans les cameras "à ralentir" où on enregistre jusqu'à 200 images par seconde. Par contre, les efforts d'inertie dus à ces mêmes accélérations et agissant sur des pièces métalliques qui auraient à se déplacer en même temps que le film pour entrainer celui-ci, seraient prohibitifs. 



   Les difficultés sont résolues selon l'invention par l'application d'organes d'entrainement du film qui oscillent constamment à une fréquence telle que la durée d'une demi-période ne dépasse pas   1'intervalle   entre deux explorations verticales. Cette fréquence d'oscillation est de préférence un multiple, entier ou   fractionnaire,   de la fréquence d'exploration verticale du tube de prise de vues. 



  Ces organes d'entraînement comportent des griffes qui sont normalement rentrées; celles-ci ne sont aux prises avec le film que pendant une demi-période d'oscilla- tion de   l'orgae   d'entrainement où celui-ci descend et cela une fois toutes les n oscillations de cet organe, de façon à n'entraîner le film qu'à la fin d'une explo- ration verticale complète. 



   Afin de faire mieux comprendre l'objet, les caractéristiques et les avantages de l'invention, il en sera décrit schématiquement des exemples de réali- sation non limitatif s. Dans la   fig.l,   une source de lumière 1 de type connu éclaire aussi uniformément que possible une image 2 du film 3. Un système optique 4 forme sur la plaque sensible 5 du tube électronique 6 une image de la scène enregistrée sur le film. Cette image est explorée de la façon connue. 



   Le dispositif d'entraînement 7, objet de l'invention, comprend un le- vier 8 articulé en 9. Une bielle   10,   commandée par une manivelle 11 calée sur l'ar- bre 12, imprime au levier 8 un mouvement de va et vient sensiblement sinusoidal. 



  Afin d'éviter une réaction trop forte sur la bielle   10,   un ressort 13 lié au le- vier 8 présente une élasticité telle qu'il y ait résonance, à la fréquence d'oscil- lation du levier 8, entre l'inertie de l'équipage mobile et l'élasticité du ressort 

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Les griffes 14 servant à l'entraînement du film sont normalement ren- trées dans le corps du levier 8 mais elles sont poussées en prise au moment vou- lu grâce à une came 15 montée sur un arbre 16 lié à l'arbre 12 par une démulti- plication 17 appropriée, réalisée dans l'exemple représenté par une transmission à pignons reliés par une chaine. L'arbre 12 est entrainé, en particulier, par un moteur synchrone 18 alimenté par des courants d'une fréquence multiple de la fré quence d'exploration verticale. 



   On sait que dans les systèmes modernes de télévision, cette dernière fréquence est obtenue par démultiplication d'ordre élevé de la fréquence d'un maitre oscillateur stable A titre d'exemple, dans un équipement construit par la Société demanderesse, le maitre oscillateur a une fréquence de   22.75C   p/s. 



  La fréquence d'exploration verticale (50 p/s) est obtenue par démultiplication d'ordre 455 de la fréquence du maitre oscillateur, en trois étages de 7,13 et 5 Dans ce cas, la fréquence d'oscillation du levier 8 serait par exemple de 250 p/s., le moteur synchrone 18 aurait 26 pôles et il serait alimenté en courant à 3.250 p/s., prévelé à la sortie du premier diviseur par 7 et amplifié, ou bien encore le moteur 18 serait muni de 91 ou 182 pôles et alimenté directement par des courants à 22.750 p/s; avec ou sans superposition de courant continu. 



   La vitesse de l'arbre 16 serait par exemple de 25 t/s., obtenue au moyen d'un train   d'engrenages   17 de rapport 10. Il faut noter que la commande par un moteur synchrone à fréquence élevée donne une bonne   rélarité   de rota- tion : toutefois il y a lieu de vérifier que la période de fonctionnement de la came 15 coïncide exactement avec l'intervalle entre deux explorations verticales successives. L'opérateur peut vérifier ceci par exemple par une méthode strobos- copique au moyen d'une lampe à effluves 19 s'allumant pendant cet intervalle et éclairant un repère 20 porté par la came 15. 



   Lors de la mise en route, le moteur synchrone 18 n'est pas alimenté et c'est un moteur 21 qui entraine les arbres 12 et 16. Lorsque la phase voulue, constatée   stroboscopiquement,   est obtenue, on enclenche le moteur synchrone 18 ; le moteur 21 continue à fournir une partie de la puissance totale nécessaire. 



  Le réglage une fois fait se maintient constamment. 



   Afin de pouvoir laisser tourner en permanence le moteur 18, il est prévu une commande 22 qui permet de supprimer l'action de la came   15-,quand   on veut immobiliser le film, Ce système de débrayage peut être constitué par un levier   angulaire   22 qui est relié à une entretoise 22' disposée entre les tiges coulissantes des griffes (traversant le levier   8   et le levier 20' commandé par 

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 la came 20, Lorsque le levier 22 occupe la position représentée en pointillé, l'entretoise 22' s'efface et le levier 20t ne peut plus actionner les griffes. 



   Cette commande de débrayage 22 peut être actionnée manuellement, mais il est avantageux de la faire actionner automatiquement. On sait, en effet, que la vitesse normale des films est de   24   images par seconde. Pour que   l'explo-   ration verticale dans le tube 6 puisse quand même se faire à la fréquence de 25 (explorations simples) ou de 2 x 25 (explorations entrelacées) par seconde, il suffit qu'une image du film sur 24 soit exposée deux fois de suite, en d'autres termes que la commande de débrayage 22 soit actionnée une fois par seconde ou plus généralement chaque fois que cela sera nécessaire. Dans ce but, le galet débiteur denté   supêrieur   23 est actionné par un moteur 26 à vitesse réglée de telle sorte que le film se déroule à la vitesse convenable, par exemple 24 images par seconde.

   Un dispositif tel qu'un doigt 24 actionne soit directement, soit électriquement le débrayage 22 chaque fois que la boucle supérieure 25 devient trop courte. L'observation de la longueur de la boucle peut encore se faire au moyen d'une cellule photoélectrique selon des moyens connus. Pour immobiliser le film on voit qu'il suffit d'arrêter le moteur 26 du débiteur 23 : la boucle 25 se raccourcit alors et la mise hors d'action des griffes se fait automatiquement. 



   Le dispositif de lecture du son sur le film et le restant de l'appa- reil cinématographique sont d'un type connu, tous ces organes étant entrainés par le moteur 26. 



   Afin de ne pas fatiguer le film, le couloir de projection 27 compor- tant les glissières 28 et le cadre presseur 29 de préférence feutré, est aménagé spécialement. La pression du cadre 29 est supprimée un peu avant et pendant la première partie de la descente du film (période d'accélération) et rétablie pen- dant la seconde partie (période de décélération). La commande de ce dispositif se fait par une came 30 calée sur l'arbre 16. Le trait interrompu A représente sché- matiquement la liaison mécanique entre les éléments   30   et 29. S'il le faut, un obturateur 31 supprime l'image optique sur la plaque 5 pendant la période de dé- placement du film, Le trait mixte B schématise la liaison entre les éléments 16 et 31. 



   Il va sans dire que dans le cas où un cadrage précis du film est con- sidéré comme nécessaire, on utilisera avantageusement le'procédé connu basé sur l'emploi de broches de cadrage (dont la   désignation   technique en anglais est "régistering pins") commandées de façon convenable à partir de l'arbre 16. 



   La fig.2 représente à titre d'exemple une autre réalisation de   l'in-   
A 

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 -vention relative à un dispositif d'enregistrement sur film des images reçues par télévision. Les éléments 52, 53, etc.. correspondent aux éléments respectifs 2,3, etc.. de la   fig.l.   Le tube 56 est un oscillographe cathodique à haute ten- sion présentant de préférence un écran fluorescent 55 de forme plane. Il n'y a évidemment pas d'élément correspondant à la source 1 de lumière. 



   Si l'on désire enregistrer à raison de 24 images de films par seconde alors que l'émission de télévision reçue se fait avec 25   images   complètes par se- conde, on utilisera le système de débrayage déjà décrit qui fait appel aux élé- ments 72, 74, 75 qui correspondent respectivement aux éléments 22, 24, 25 de la   fig,l   et jouant le même rôle. Toutefois, afin d'éviter une double exposition du film au moment où fonctionne le débrayage   72,   on supprime par des moyens connus le faisceau cathodique du tube 56, cette suppression étant commandée par un con- tact approprié lié à la commande 72.

   Celle-ci est agencéede telle sorte que dans une de ses positions (position de travail} la came 65 actionne un contact non représenté qui commande la suppression du faisceau cathodique dans le tube 56 ; le rétablissement de ce faisceau se fait après un tour complet de l'arbre 66 lorsque le dispositif de commande 72 est revenu à sa position de travail et que la came 65 a actionné les griffes de façon à faire avancer d'une image le film. 



  En d'autres termes, il se produit une exploration verticale complète "pour rien" ou "dans le noir" chaque fois qu'il le faut pour rattraper la différence de vi- tesse entre la cadence d'exploration verticale et celle de déroulement du film. 



   Dans le cas où l'émission reçue est entrelacée d'ordre n ,il est évident que la descente du film ne se fera que toutes les n explorations verti- cales et c'est cet ensemble de n explorations qui constitue une image complète, 
De plus, la fig.2 représente une réalisation différente de l'invention par rapport à la fig.1, sur plusieurs points. Les griffes 64 sont montées sur une lame ressort 82 fixée à l'extrémité d'un levier 58 qui joue le même rôle que le levier 8 de la   fig.l.   Un deuxième levier 58b, de préférence identique, vibre en sens inverse, les axes d'articulation étant en 59 et en 59b.  Une   maseelotte 82b remplace sur le levier 58b la masse de la lame 82 sur le levier 58. Des ressorts 63, 63b assurent facultativement la résonance mécanique de ces ensembles sur la fréquence de travail.

   Une platine rigide et fixe 85 sert à l'assemblage de ces éléments. Le mouvement alternatif est communiqué à partir de la manivelle 61 par la bielle 60 à la crosse 84 coulissant sur la platine 85. 



   Des biellettes 83, 83b transmettent le mouvement aux leviers 58, 58b qui oscillent autour des axes 59, 59b, les points 82, 82b se rapprochant puis   @   

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 s'éloignant symétriquement par rapport à la platine 85 au cours de cette oscilla- tion. La réaction sur cette platine est très réduite et on évite des vibrations de l'ensemble de l'appareil préjudiciables à la netteté de l'image enregistrée. 



   La came 65 est ici en creux : un levier 86 agit sur la tête 87 portée par la tige 88; celle-ci porte un poussoir 90 qui   engage   dans le film 53 les grif- fes 64 lorsque la tige 88 sollicitée par le ressort 89 s'est déplacée vers la gau- che, ce qui se produit quand le doigt du levier 86 pénètre dans le creux de la came 65. Toutefois, si le levier 72   attirâ   par l'électro-aimant 91 (qui est alimenté par les contacts 92) a pivote, la tige 88 reste dans sa position de droite (repré3entée en pointillé) et les griffes 64 ne s'engageant pas dans le film, car l'élasticitê des lames 82 les retient en arrière. 



   Le contrôleur 74 de la longueur de la boucle 75 actionne un contact- 92 qui, comme on l'a vu, peut servir entre autres à actionner   1'électro-aimant   91. 



   L'arbre   6   est actionné par un système de moteurs analogues aux mo- teurs 18 et 21 de la fig.1. L'arbre 66 est attaqué par l'arbre 62 par   l'intermé-   diaire d'une démultiplication appropriée comme il a été dit plus haut. Un autre moteur 76 actionne les débiteurs 73, 93, les réenrouleurs de film, etc.. nécessaire au fonctionnement correct de l'ensemble à la vitesse désirée. 



   Il va sans dire que les exemples donnés qui ont été très schématisés ne sont nullement limitatifs,en particulier la mise en oscillation des éléments 8, 58, 58b, pourrait se faire électromécaniquement par des électro-aimants parcourus par des courants à fréquence voulue dérivés par multiplication et démultiplication de fréquence des signaux de synchronisation du système de télévision. D'autre part, les précautions mentionnées contre les vibrations peuvent être ou non nécessaires selon le cas. 



   Il est bien évident qu'un moyen de mettre en oeuvre l'invention con- syste à prendre un mécanisme de caméra "ralentisseuse", de   synchroniser   à partir des signaux du système de télévision comme il a été dit et d'y ajouter un système qui ne laisse les griffes s'engager dans le film qu'une fois tous les n cycles de déplacement de ces griffes, c'est-à-dite seulement quand le balayage d'explora- tion verticale du tube de télévision annexé au système est dans la phase "retour". 



   On peut d'autre part, appliquer l'invention par exemple dans les studios de télévision pour projeter, sur un écran dêpoli, des images cinématogra- phiques destinées à jouer le rôle de décor pour les scènes à transmettre. Grâce à la durée très courte des périodes de substitution de telles images et en faisant coïncider les dites périodes avec celles du retour de balayage dans la caméra de 

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 prise de vues, on peut créer, non seulement des images de fond fixes, mais aussi des images mobiles de ce genre, ce qui jusqu'ici a été impossible dans les studios de télévision. 



   Enfin le procédé de déplacement rapide du film est applicable à d'autres cas que   ceùx   où l'appareil de cinéma travaille en liaison avec un système de télévision. 



    RESUME   ------------------ 
Procédé de commande d'entrainement d'un film cinématographique de telle sorte que la période de déplacement du film soit très brève devant l'inter- valle entre deux déplacements comportant notamment des moyens d'entrainement ef- fectuant continuellement des cycles rapides de fonctionnement, un de ces cycles sur n étant réellement actif et produisant l'avancement du film; pendant les n-1 cycles intermédiaires restants les moyens   d'entrainement   n'engagent pas le film. 



   A titre d'exemple, l'application de l'invention au télécinéma tant pour l'enregistrement de films que pour la reproduction par télévision de ceux-ci. 



   Moyens perfectionnés de synchronisation avec l'équipement de télévi- sion, respectant l'indépendance entre la cadence d'exploration de celui-ci et la cadence de déroulement du film. 



   A titre d'exemple, deux formes de réalisation représentées schémati- quement, l'une correspondant au cas de l'émission d'images et l'autre à leur enre- gistrement par le poste récepteur de télévision.



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  PERFECTIOn''1SEîTS TO CIÎAI'OG¯iA.r '"HIUES.



   The present invention relates to cinematographic apparatus and more particularly to improved devices for jerky motion of films intended to cooperate, for example, with television systems. Such installations are used, in particular, on the one hand in the program when it is desired to transmit by television a scene recorded on film, and on the other hand when it is desired to receive and record on film a scene transmitted by television.



   In these two cases, it will suffice to consider in general an assembly which will include the film, an appropriate device for driving the latter, an optical system and a television tube: the latter would, in

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 the first case considered above, a suitable filming tube, for example of the Emitron type, the film then being illuminated by a suitable source; in the second case, the tube in question would be a suitable high light intensity cathode ray tube.



   The various systems offered so far fall into two categories:
1 - Continuous film unwinding systems.



   2 - Intermittent film unwinding systems,
In the continuous unwinding systems, we have used devices with a sequence of images, by mirrors or moving lenses, and such that the optical image of a complete image is permanently formed on the active plate of the television tube. of the film; this optical image is explored as if it were a direct shooting. According to another method, the television tube constantly explores the same line; this vine is brought about by the operation of the optical system to successively correspond to all the horizontal elements obtained by breaking down the scene printed on the film in the conventional way with a view to its analysis on television.

   Practically all the processes using a continuous unwinding of the film suffer from the same defects due in particular to the impossibility of correcting the uneven shrinkages of the film and also to that of achieving a sufficiently uniform illumination of the whole of the projection window, window of which the useful height is 2 to 3 film frames.



   In intermittent unwinding systems, it has been proposed to use the method consisting in projecting for a very short time (in the return period of the beam, between two vertical scans of the viewing tube) a strongly illuminated image. The substitution of one film frame for another is done during the duration of one or more vertical explorations and does not present any mechanical difficulty. On the other hand, the viewing tube must have special characteristics and this limits the possibilities of employing the above.



   Another much better method (it is even the only one really satisfactory) consists in projecting on the sensitive plate of the tube the taking of images of the still film and in advancing the latter during the interval between two vertical scans. . This process ensures excellent operating conditions for the camera tube, but the ultra-rapid retraction of the film leads to mechanical difficulties such that no satisfactory solution had yet been obtained. compromise that was used is to increase

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 the interval between two vertical explorations and to tolerate that part of these vertical explorations is done while the film is in motion.

   This gives a scrambled image above and below, but on the other hand, you can use a normal cinema device. This solution, if it is immediate, is unsatisfactory.



   The object of the present invention is to provide a mechanical and electrical assembly making it possible to solve under good conditions the problem of moving the film by the height of an image for 1/250 or even 1 / 5CO of a second.



   It has been found that a normal film resists well to the acceleration forces which result from its own movement and which are of the same order as those which occur in "slow" cameras where one records up to 200 images per second. . On the other hand, the inertia forces due to these same accelerations and acting on metal parts which would have to move at the same time as the film to drive the latter, would be prohibitive.



   The difficulties are resolved according to the invention by the application of film drive members which constantly oscillate at a frequency such that the duration of a half period does not exceed the interval between two vertical explorations. This oscillation frequency is preferably a multiple, whole or fractional, of the vertical scanning frequency of the image pickup tube.



  These drive members include claws which are normally retracted; these are grappling with the film only during a half-period of oscillation of the training organ where it descends and that once every n oscillations of this organ, so as to n ' drive the film only at the end of a full vertical scan.



   In order to provide a better understanding of the object, the characteristics and the advantages of the invention, it will be described schematically examples of non-limiting embodiments. In fig.l, a light source 1 of known type illuminates as uniformly as possible an image 2 of the film 3. An optical system 4 forms on the sensitive plate 5 of the electron tube 6 an image of the scene recorded on the film. This image is explored in the known manner.



   The drive device 7, object of the invention, comprises a lever 8 articulated at 9. A connecting rod 10, controlled by a crank 11 wedged on the shaft 12, gives the lever 8 a back and forth movement. comes noticeably sinusoidal.



  In order to avoid too strong a reaction on the connecting rod 10, a spring 13 linked to the lever 8 has an elasticity such that there is resonance, at the oscillation frequency of the lever 8, between the inertia of the movable assembly and the elasticity of the spring

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The claws 14 serving to drive the film are normally entered into the body of the lever 8 but they are pushed into engagement at the desired moment by means of a cam 15 mounted on a shaft 16 linked to the shaft 12 by a appropriate demultiplication 17, carried out in the example shown by a transmission with pinions connected by a chain. The shaft 12 is driven, in particular, by a synchronous motor 18 supplied with currents of a frequency multiple of the vertical scanning frequency.



   We know that in modern television systems, this latter frequency is obtained by high-order reduction of the frequency of a stable master oscillator By way of example, in equipment built by the Applicant Company, the master oscillator has a frequency of 22.75C p / s.



  The vertical exploration frequency (50 p / s) is obtained by demultiplication of order 455 of the frequency of the master oscillator, in three stages of 7.13 and 5 In this case, the oscillation frequency of lever 8 would be by example of 250 p / s., the synchronous motor 18 would have 26 poles and it would be supplied with current at 3,250 p / s., taken from the output of the first divider by 7 and amplified, or else the motor 18 would be provided with 91 or 182 poles and supplied directly by currents at 22,750 p / s; with or without direct current superimposition.



   The speed of the shaft 16 would for example be 25 t / s., Obtained by means of a gear train 17 of ratio 10. It should be noted that the control by a synchronous motor at high frequency gives a good reality of rotation: however it should be checked that the period of operation of cam 15 coincides exactly with the interval between two successive vertical explorations. The operator can check this for example by a stroboscopic method by means of a corona lamp 19 lighting up during this interval and illuminating a mark 20 carried by the cam 15.



   When starting, the synchronous motor 18 is not powered and it is a motor 21 which drives the shafts 12 and 16. When the desired phase, observed stroboscopically, is obtained, the synchronous motor 18 is engaged; the motor 21 continues to supply part of the total power required.



  The setting once made is maintained constantly.



   In order to be able to let the motor 18 run permanently, a control 22 is provided which makes it possible to suppress the action of the cam 15-, when one wants to immobilize the film, This disengagement system can be constituted by an angular lever 22 which is connected to a spacer 22 'arranged between the sliding rods of the claws (passing through the lever 8 and the lever 20' controlled by

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 the cam 20, When the lever 22 occupies the position shown in dotted lines, the spacer 22 'is erased and the lever 20t can no longer actuate the claws.



   This clutch control 22 can be actuated manually, but it is advantageous to have it actuated automatically. We know, in fact, that the normal speed of films is 24 images per second. So that the vertical exploration in tube 6 can still be carried out at a frequency of 25 (single scans) or 2 x 25 (interlaced scans) per second, it suffices that one frame of the film in 24 is exposed. twice in a row, in other words that the clutch control 22 is actuated once per second or more generally whenever necessary. For this purpose, the upper toothed feed roller 23 is actuated by a motor 26 at a speed adjusted so that the film unwinds at the suitable speed, for example 24 frames per second.

   A device such as a finger 24 actuates either directly or electrically the clutch 22 whenever the upper loop 25 becomes too short. The observation of the length of the loop can also be done by means of a photoelectric cell according to known means. To immobilize the film, we see that it suffices to stop the motor 26 of the debtor 23: the loop 25 is then shortened and the disengagement of the claws is done automatically.



   The device for reading the sound on the film and the remainder of the cinematographic apparatus are of a known type, all these components being driven by the motor 26.



   In order not to tire the film, the projection corridor 27 comprising the slides 28 and the pressure frame 29, preferably felted, is specially fitted out. The pressure of the frame 29 is released a little before and during the first part of the descent of the film (acceleration period) and reestablished during the second part (deceleration period). This device is controlled by a cam 30 fixed on the shaft 16. The broken line A schematically represents the mechanical connection between the elements 30 and 29. If necessary, a shutter 31 eliminates the optical image. on plate 5 during the period of movement of the film, the dashed line B schematizes the connection between elements 16 and 31.



   It goes without saying that in the case where precise framing of the film is considered necessary, the known method based on the use of framing pins (the technical designation in English of which is "registering pins") will advantageously be used. suitably controlled from shaft 16.



   Fig. 2 shows by way of example another embodiment of the in-
AT

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 invention relating to a device for recording on film images received by television. The elements 52, 53, etc. correspond to the respective elements 2, 3, etc. of fig.l. Tube 56 is a high voltage cathode ray oscillograph preferably having a fluorescent screen 55 of planar shape. There is obviously no element corresponding to the light source 1.



   If one wishes to record at the rate of 24 images of films per second while the television broadcast received is made with 25 complete images per second, one will use the disengaging system already described which makes use of the elements 72 , 74, 75 which correspond respectively to the elements 22, 24, 25 of FIG, l and playing the same role. However, in order to avoid double exposure of the film when the clutch 72 is operating, the cathode beam from the tube 56 is removed by known means, this removal being controlled by an appropriate contact linked to the control 72.

   This is arranged such that in one of its positions (working position} the cam 65 actuates a contact not shown which controls the removal of the cathode beam in the tube 56; the reestablishment of this beam takes place after a complete revolution of the shaft 66 when the control device 72 has returned to its working position and the cam 65 has actuated the claws so as to advance the film by one frame.



  In other words, a complete vertical exploration "for nothing" or "in the dark" occurs whenever it is necessary to make up for the difference in speed between the rate of vertical exploration and that of the course. movie.



   In the case where the received emission is interlaced of order n, it is obvious that the descent of the film will only take place every n vertical explorations and it is this set of n explorations which constitutes a complete image,
In addition, fig.2 shows a different embodiment of the invention compared to fig.1, on several points. The claws 64 are mounted on a leaf spring 82 fixed to the end of a lever 58 which plays the same role as the lever 8 of fig.l. A second lever 58b, preferably identical, vibrates in the opposite direction, the articulation axes being at 59 and at 59b. A maseelotte 82b replaces on the lever 58b the mass of the blade 82 on the lever 58. Springs 63, 63b optionally ensure the mechanical resonance of these assemblies on the working frequency.

   A rigid and fixed plate 85 is used to assemble these elements. The reciprocating movement is communicated from the crank 61 by the connecting rod 60 to the stick 84 sliding on the plate 85.



   Rods 83, 83b transmit the movement to the levers 58, 58b which oscillate around the axes 59, 59b, the points 82, 82b approaching then @

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 moving away symmetrically with respect to the plate 85 during this oscillation. The reaction on this plate is very low and vibrations of the whole of the apparatus are avoided which are detrimental to the sharpness of the recorded image.



   The cam 65 is hollow here: a lever 86 acts on the head 87 carried by the rod 88; this carries a pusher 90 which engages the clips 64 in the film 53 when the rod 88 urged by the spring 89 has moved to the left, which occurs when the finger of the lever 86 enters the hollow of the cam 65. However, if the lever 72 attracted by the electromagnet 91 (which is supplied by the contacts 92) has pivoted, the rod 88 remains in its right position (shown in dotted lines) and the claws 64 not engaging the film, because the elasticity of the blades 82 holds them back.



   The loop length controller 74 75 actuates a contact 92 which, as seen, can be used inter alia to actuate the electromagnet 91.



   The shaft 6 is actuated by a system of motors similar to the motors 18 and 21 of fig.1. The shaft 66 is attacked by the shaft 62 by the intermediary of an appropriate reduction as mentioned above. Another motor 76 drives the feeders 73, 93, film rewinders, etc. necessary for the correct operation of the assembly at the desired speed.



   It goes without saying that the examples given which have been very schematized are in no way limiting, in particular the setting in oscillation of the elements 8, 58, 58b, could be done electromechanically by electromagnets traversed by currents at the desired frequency derived by frequency multiplication and reduction of the synchronization signals of the television system. On the other hand, the mentioned precautions against vibrations may or may not be necessary depending on the case.



   It is obvious that a means of implementing the invention consists in taking a "slowing down" camera mechanism, to synchronize from the signals of the television system as has been said and to add a system to it. which only lets the claws engage in the film once every n cycles of movement of these claws, that is to say only when the vertical exploration scan of the television tube attached to the system is in the "return" phase.



   On the other hand, the invention can be applied for example in television studios to project, on a frosted screen, cinematographic images intended to play the role of decor for the scenes to be transmitted. Thanks to the very short duration of the substitution periods of such images and by making the said periods coincide with those of the scanning return in the camera of

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 When taking pictures, not only still background images can be created, but also such moving images, which has hitherto been impossible in television studios.



   Finally, the method of rapid movement of the film is applicable to cases other than those where the cinema apparatus works in connection with a television system.



    ABSTRACT   ------------------
Method for controlling the driving of a cinematographic film so that the period of movement of the film is very short compared to the interval between two movements comprising in particular drive means continuously performing rapid operating cycles, one of these cycles out of n being really active and producing the progress of the film; during the n-1 remaining intermediate cycles, the drive means do not engage the film.



   By way of example, the application of the invention to telecine both for the recording of films and for the reproduction by television thereof.



   Improved means of synchronization with the television equipment, respecting the independence between the rate of exploration thereof and the rate of progress of the film.



   By way of example, two embodiments represented schematically, one corresponding to the case of the transmission of images and the other to their recording by the television receiver.


    
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