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Appareil à ramer,
La présente invention consiste en un appareil à ramer, destina à être employa pour les exercices réalisés sur terre ferme.
Il existe actuellement des appareils à ramer, permettant de réaliser des mouvements similaires à ceux nécessitas par le maniement des rames dans l'eau, ces appareils remportant des éléments de traction pouvant être tendus à l'encontre de l'action de ressorts.'. Ses appareils permettent de se livrer à des exerqices en chambre mais ne constituent pas des engins sportifs de grand air qui procureraient, en plus du même exercice salutaire, de l'agrément et auraient aussi l'avantage de permet etre par cet exercice un développement des poumons en plein air non réalisable dans des locaux fermés,.
Afin de réaliser un tel appareil, la présente invention
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prévoit qu'un appareil à ramer comportant des éléments de trac- tion, somma en eux-mêmes et provoquant un exercice physique si -milaire à celui nécessite pour le maniement des rames dans l'eau, comporte un châssis monté sur des roues actionnées à l'intermédiaire des éléments de traction
La rotation des roues ainsi obtenue par le maniement des éléments de traction provoquera donc le déplacement sur terre ferme de l'appareil à ramer.
Les éléments de traction consistant, de préférence, en courroies, câbles, chaînes ou similaires, l'invention prévoit aissi que les éléments de traction ainsi constitués agissent sur une ou plusieurs roues motrices de l'appareil, à l'intermé- diaire d'un mécanisme à roue libre, tel qu'employa, entre- au- tres, dans les bicyclettes, etc.
Le montage est exécuta de telle façon que la traction exercée sur les oourroies, câbles ou chaînes, qui sont fixés au châssis par des ressorts souples, provoque l'entraînement du mécanisme à roue libre, dans le sens de la propulsion, le retour des courroies, chaînes ou câbles, par suite de l'action des ressorts auxquels ils sont attachés, provoquant la rotation du mécanisme à roue libre en sens opposé du de sorte que, lors xxxx retour des éléments de traction, le mé- canisme à roue libre tourne fou et nfinfluenoe nullement la ou les roues motrices de l'appareil.
La description ci-dessous de plusieurs modes d'exécution d'appareils à ramer selon l'invention, dénommés "Oxford" , est donnée uniquement à titre illustratif.
La fig.l est une vue en perspective d'un mode d'exécution d'un appareil à ramer selon l'invention.
La fig.2 montre le guidage des éléments de traction à pro- ximité d'un mécanisme à roue libre.
La fig.3 montre l'application d'un enroulement en spirale pour un élément de traction relache.
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La fig.4 montre en perspective une variante d'exécution d'un appareil à ramer selon l'invention.
Les fig. 5, 6, 7 et 8 illustrent différents modes 'execu0 tion des éléments de guidage d'appareils à ramer selon l'invention.
La fig.9 indique un dispositif de stabilisation pour appareil à ramer selon l'invention monté sur deux roues.
La fig.10 montre un appareil à ramer selon l'invention monté sur deux roues.
L'appareil à ramer, représente à la fig.l, comporte un ches -sis 1 supporté par les roues motrices 2 et 3 disposées latéralement au châssis, et par les roues de guidage 4 et 5, dispo- sees en dessous du châssis, Sur les moyeux des roues motrices 2 et 3 sont montés des appareils à roues libres 6 et 7 sur lesquels passent des courroies, chaînes ou sables 9 et 10. Une des extrémités de chacune des @ourroies ou similaires 9 et 10, est fixée à un ressort souple de traction 11 et 12 fixé luimême au châssis 1, l'autre extrémité de chacune des courroies ou similaires 9 et 10 étant munie d'une poignée de traction 13 et 14.
Les oourroies ou similaires 9 et 10 passent également sur des roulettes de renvoi 15 et 16, Le châssis 1¯ est pourvu d'un siège 17, pouvant être fixe ou coulissant en direction longitudinale. Les roues de guidage 4 et 5 sont montées sur un axe commun 18 fixe à un pivot 19, essentiellement vertical et passant par un palier 20 solidaire du châssis 1 sur l'extrémité supérieure du pivot 19 est montée une tablette 21 munie de @ lanières 22 pour la pose et le maintien des pieds du conducteur de l'appareil qui peut ainsi imprimer aux roues de guidage 4 et 5 la direction voulue (fig.1 et 5).
L'adhérence des oourroies ou similaires 9 et 10 sur la surface cylindrique entourant les mécanismes à roue libre 6 et 7 peut être assurée au moyen de petites roulettes 23 et 24, dis-
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posées à proximité des mécanismes à roue libre et empêchait la courroie de s'en éloigner (fig.2). Pour augmenter la multiplie cation, on peut aussi faire passer les tracteurs 9 et 10 sur de! buselures de moindre diamètre, solidarisées avec les envelop- pes rotatoires des mécanismes à roues libres.
Au lieu des ressorts à boudin 11 et 12 tels que montrés à la fig.l, on peut aussi employer des ressorts à spirale pro- voquant l'enroulement des courroies ou similaires quand elles sont relachées par le conducteur (fig.3).
Il est à remarquer que les ressorts, de quel-)--que forme qu'ils soient, seront choisis suffisamment souples pour ne pas opposer une résistance inutile aux efforts de traction exercés u par le conducteur, afin de permettre q'un maximum utile de ces efforts soit employé pour la propulsion de l'appareil, et se- ront néanmoins suffisamment solides pour assurer le retour ra- pide des éléments de traction et leur adhérenoe pendant le mou- vement de retour au mécanisme à roue libre;
Dans le mode d'exécution décrit à la figure 1, les roues motrices 2 et 3 se trouvent à l'arrière de l'appareil.
Ces roues motrices peuvent aussi se trouver à l'avant de l'appareil comme montré à la fig.4, auquel cas le double changement de di- rection des éléments de traction est supprimé, ceux-ci passant simplement sur des plateaux rotatoires 25 et 26 disposés à pro- ximité des mécanismes à roues libres 27 et 28. En ce cas les éléments de traction seront constitués, de préférence, par des chaînes 29 et 30 les plateaux de renvoi 25 et 26 étant alors e constituée par des roues dentées, et les surfaces cylidriques des mécanismes à roues libres étant pourvues de dentures en- grenant avec les chaînes 29 et 39 La disposition des roues dentées 25 et 26 vis-à-vis des mécanismes à roues libres 27 et 28 comme indiquée à la fig.4, constitue aussi un guidage réci- proque pour les chaînes 9 et 30.
Au lieu d'être montées comme montré aux fig.1 et 5, les
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roues de guidage peuvent/aussi être montées comme montré à la fig.6 d'après laquelle la position des roues 31 et 32 peut être variée au moyen de tiges repliées 33 et 34, d'après le système déjà en usage pour les petites autos pour enfants.
Le principe régissant le montage des roues de guidage est basé surhls but d'empêcher autant que possible ces roues d'être déplacées par des mouvements du conducteur dus à l'exécution de l'effort et ne tendant pas directement à réaliser un changement de direc- tion : dans cet ordre d'idées,l'appareil à ramer peut aussi être pourvu d'une roue de guidage unique 35 montée à l'extrémité d' un étrier coude 36 maintenu dans un palier 37 solidaire du châssis (fig.7).
On peut aussi prévoir, pour l'emploi de .deux roues de guidage, des plaquettes 38 et 39 montées de façon Basculante sur le châssis, et aotionnant un système de tringlage 40 relié par le-axe vertical 41 à l'axe horizontal 2 dont les extremites supportent les roues de guidage, de sorte que le basculement des plaquettes 38 et 39 (fig.8) provoque la déviation des roues de guidage,
Dans le but d'alléger et de simplifier l'appareil à ramer selon l'invention, celui-ci peut aussi être monté sur deux roues disposées aux extrémités de l'appareil, une roue étant motrice et l'autre étant directrice.
Au cas où 1 équilibre de l'appareil ainsi réalisé devait être stabilisé, pour empêcher le renversement de l'appareil, ceci peut être atteint par l'ap- plioation de deux roulettes latérales 43 et 44 (fig.9) qui peu . vent être disposées, en position d'équilibre absolu de l'appa- reil, à une certaine distance du sol.
La stabilité de l'appareil à ramer monté sur deux roues se trouve favorisée par une disposition telle que le centre le gra evite de l'appareil se trouve en dessous de l'axe passant par les moyeux des roues, une telle disposition est illustréapar la fig.9 dans laquelle le châssis 45 se trouve plus bas que les
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axes de la roue motriqe 46 et de la roue directrice 47.
Sur le châssis 45 se trouve également un siège fixe ou coulissant 48 et les courroies, chaînes ou câbles de traction 49 et 50 sont montés de façon similaire à celle déjà décrite ci-dessus. L'axe de la roue directrice 47 est reli à une barre 51, reliée elle- même par des tirants 52 et 53 à une barre 54, solidaire de la tablette 55, montée de façon pivotante sur le châssis 45 et servant au guidage pédestre de l'appareil.
Il est évident que l'appareil à ramer, tel que décrit,peut subir des transformations d'exécution sans se départir de l'es- prit de l'invention et que cet appareil peut être exécuta à une ou à plusieurs places, en toutes grandeurs et peut notamment être réalisé sous forme de jouet.
Revendications. l Appareil à ramer destiné à des exercices exécutée sur terre ferme, comportant des élements de traction dont l'action- nement provoque un exercice physique similaire à celui néoessi- té pour le maniement des rames dans l'eau, caractérisé par le fait qu'il comporte un châssis monté sur des roues actionnées à l'intermédiaire des éléments de traction.