BE433339A - - Google Patents

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Description

       

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    "PROOEDE   POUR LE TRAITEMENT DE MINERAUX, PARTIOULIEREMENT DU CHARBON". 



   La présente invention concerne la séparation de minéraux de leur'gangue par emploi dtun liquide d'un   poida   spécifique situé entre celui du minéral et celui de la gangue. L'inven- tion sera décrite dans son application à la séparation du char- bon d'avec ses impuretés originaires, particulièrement d'avec les schistes,séparation dans laquelle le procédé et l'appareil sont d'une valeur particulièrement grande, mais il faut savoir que cette description est illustrative et nullement limitative. 



   Il semble que le charbon était connu et employé par les anciens dans quelques faibles mesures; Son emploi en Chine, l'an 1200 environ est¯décrit par Marco Polo et en 1500 environ Agricola a décrit un procédé de libération des minéraux de leur gangue,ce procédé étant l'ancêtre direct du procédé de la- vage par pulsations pour le nettoyage du charbon, qui est aujourd' 

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 hui le plus utilisé. Dans les anciennes époques d'exploitation de mines de charbon en Europe et aux Etats Unis d'Amérique, seule, les couches épaisses furent exploitées. On employa des métho- des d'exploitation manuelles et on n'avait besoin de quoique ce soit,excepté le nettoyage à la main, ou les méthodes mécaniques les plus grossières.

   Mais lorsque les couohes épaisses fûrent épuisées il devint nécessaire d'exploiter des couches minces      et des couches contenant des veines de roche,ce qui imposa la nécessité d'enlever la roche avant de pouvoir vendre le charbon. 



  La méthode qui vint principalement en usage et qui est aujourd' hui le type de séparation du charbon d'avec les schistes,repose sur les taux de descente de corps de différentes densités au travers d'un liquide tel que l'eau. Il est connu que des corps   descendent   au travers d'un liquide suivant des taux qui sont en fonction de leurs densités respectives,les plus denses   desoen-   dant plus rapidement.

   Le lavoir à pulsations type employé dans l'industrie tire un avantage de ce principe, mais au lieu de permettre aux solides de descendre au travers du liquide, le liquide est forcé de passer au travers d'un tamis, sur lequel reposent les solides, dans une mesure qui   soulève   la couche de charbon au dessus des schistes plus lourds,le charbon étant en- trainé par le flot d'eau par dessus un barrage alors que les schistes sont évacués du tamis à un point plus bas: Les lavoirs à pulsations sont hautement développés et sont d'une capacité et d'un fonctionnement excellents.

   Cependant,la concurrence de l'huile a obligé les producteurs de charbon de trouver des moyens de   ne@toyage   du charbon, qui soient plus précis dans la séparation des morceaux utiles d'avec ceux sans utilité ,et les producteurs et inventeurs se sont occupés de ceux des procédés de séparation qui reposent sur l'action séparatrice d'un liquide possédant un poids spécifique situé entre celui du charbon et celui des schis- tes. 



   L'emploi d'un liquide séparateur doit être discerné du flottage   à   la mousse.Le flottage à la mousse ohange le poids 

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 spécifique apparent de corps finement divisés de manière qu'ils flottent sur un liquide d'une moindre densité effective. Par oontre les procédés de séparation reposent sur l'emploi d'un li- quide séparateur dans lequel un ingrédient du mélange descendra au fond et un autre ingrédient du mélange montera et flottera à la surface.Certaines phases du   prooédé à   liquide séparateur touchent au phénomène du changement du poids   spécifique,mais   ils diffèrent du flottage à la mousse. 



   Vers le milieu du   dixneuvième   siècle on a fait la propo-   sition'd'employer   du chlorure ferrique (1856), ou de l'acide sulfurique,en qualité de liquide séparateur pour la séparation du charbon d'aveo les schistes,et des essais ont été faits en Angleterre pour lancer le procédé au chlorure ferrique en con- ourrenoe avec les lavoirs à pulsations,mais les lavoirs à pul- sations étaient déjà alors bien développés, et ces essais fûrent ,un   insuccès.   Le procédé proposé était cependant idéal en théo- rie, et des inventeurs subséquents, tâchèrent de le perfectionner. 



  Une multitude de brevets a été délivrée particulièrement en   An-   gleterre et aux Etats Unis proposant des procédés du type dit à liquide séparateur,mais aucun n'a eu du   succès,excepté   peut être un qui repose sur l'effet séparateur d'une suspension de solides tels que du sable ou de 1'argile dans de l'eau.

   Les pro- cèdes utilisant des milieux séparateurs d'un caractère homogène sont encore toujours inopérants,parce que la perte en liquide séparateur par   attachement   aux solides rend le procédé tellement coûteux que les avantages d'une séparation plus exacte sont per- dus ; les procédés eux-mêmes étant grossiers et non développés, sont incapables de   conoourrir   avec les procédés hautement dé- veloppés déjà en usage dans l'industrie; ce sont des prooédés incomplets, auxquels manque une quantité d'éléments essentiels au succès; et la présence de liquides séparateurs sur le char- bon rend le   oharbon   moins bon pour certains usages.

   Avant la présente invention ces   objections   étaient connues, mais aucun moyen pour les surmonter n'a été   découvert.   

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   Un objet de la présente invention-est d'empêcher l'ad- hésion entre un solide organique et un liquide organique. Un au- tre objet aussi capital de l'invention est de séparer du char- bon d'avec les impuretés par l'emploi d'un liquide séparateur ayant un poids spécifique intermédiaire entre celui du charbon et celui ou ceux des impuretés et comprenant un liquide organique. 



  Un autre objet de l'invention est d'empêcher l'adhésion entre du charbon, ou autres solides carbonés,et des liquides hydracar- bonés. Un autre objet de l'invention est de fournir à l'indus- trie minière un appareil préparateur de charbon capable de faire avec le nouveau procédé une concurrence économique aux meilleurs procédés antérieurement connus dans ce domaine.

   Un autre objet de l'invention est d'appliquer des films protecteurs aqueux aux minéraux qui ne sont pas facilement mouillés par l'eau, au moyen de stabilisateurs de films,- d'établir un registre de différents membres représentatifs de la classe des stabilisateurs de   film,-   de déterminer la dite classe., et de dégager une méthode défi- nie applicable à toutes les substances connues,par laquelle on puisse connaître de toute substance, indépendamment de sa struc- ture chimique et de son état physique, son efficacité relative au point de vue quantitatif et qualitatif, en qualité de stabilisa:. teur de film. Un objet de l'invention est aussi de produire et de livrer des minéraux avec une teneur en gangue sélectionnée d'avance.

   Un autre objet de l'invention est de déterminer faci- lement la teneur en gangue et le poids spécifique d'un mélange de solides. D'autres objet; de l'invention ressortiront et se- ront exposés plus complètement dans ce qui suit: 
Les objets de l'invention sont réalisés ,parlant générale- ment,par mouillage des matières à séparer, aveo une solution aqueuse contenant un stabilisateur de film,lavage des matières avec de l'eau, leur immersion,préférablement sous fermeture hermétique, dans un liquide séparateur d'un poids spécifique intermédiaire entre les poids   spécifiques   des matières à séparer, retrait de la matière hors du dit liquide séparateur après sépa- ration, épurateur des constituants séparés,de préférence sous 

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 fermeture hermétique, au moyen d'un liquide,et leur évacuation du procédé,

  renforcement de la solution aqueuse avec du stabilisateur de film et son renvoi   pour réutilisation   récupération du liquide séparateur du liquide épurateur dans un système de décantation semi-statique à courant continu et distillation des boues,ainsi que réutilisation du liquide épurateur. 



   Les objets de plus vaste portée de l'invention sont réali- sés, généralement   parla @t, par   immunisation de minéraux( ou d'au- tres solides, ou liquides), qui ne sont pas facilement mouillés par de l'eau, ou qui sont plus facilement mouillés par des liqui- des organiques insolubles dans l'eau que par de ,l'eau ,oontre la contamination par des liquides organiques de ce genre, en y appli- quant une solution aqueuse d'un stabilisateur de film, préférable- ment en solution diluée, avant de les porter en contact avec le liquide organique.

   Les stabilisateurs de film sont des substances actives en surface,qui produisent,en solution aqueuse, un optimum de changement différentiel dans la tension superficielle consi- dérée par rapport à la concentration, à des concentrations ne dé- passant pas 2%, et qui forment des films superficiels aqueux stables en présence de liquides organiques essentiellement insolubles dans l'eau. 



   Les objets de l'invention sont aussi réalisés partiellement par la combinaison d'appareils et par les détails de procédé et d'appareils plus complètement décrits dans ce qui suit. 



   Afin de rendre les dessina plus facilement compréhensibles,la première figure a été appelée figure d'ensemble.Les étapes du procédé      ont été numérotées consécutivement de 1 à 9 et les figures des des- sins ont été numérotées pour correspondre aux étapes du procédé aux-      quelles elles se rapportent.Par exemple,sur la figure d'ensemble,le numéro de référence 3 se rapporte   à   la troisième étape du procédé qui comprend   l'étape'de   séparation proprement dite. Les figures qui se rapportent à cette étape sont numérotées de 3 à 3-L. De plus les parties de l'appareil se rapportant à une certaine étape du 

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 procédé ont reçu des numéros dont le premier chiffre correspond au numéro de l'étage correspondante du procédé.

   Ainsi les élé- ments de l'appareil représentés dans les figures 1 à I-f inclu- sivement commencent aveo le chiffre 1. 



   La figure 1 est une vue en coupe verticale dans un appa- reil capable de réaliser d'une manière satisfaisante l'étape de recouvrement'du charbon d'une solution d'eau et d'un stabilisa- teur de film; la figure 1-a est une coupe transversale suivant la ligne 1-a, I-a figure 1; la figure I-b eet une vue en plan de la trémie et du bac convoyeur suivant la tigure I; la figure 1-c est une coupe transversale suivant la ligne   1-ci,   1-c figure 1; la figure I-d est une vue enplan du chenal convoyeur prise suivant la ligne 1-d,1-d figure 1; et la figure I-e est une vue en perspeotive partiellementien coupe, montrant des détails du   ohenal convoyeur et des ailettes ; figure I-f représente un   détail ; la figure I-g est un détail. 



   La figure 3 est une coupe verticale dans un appareil capa- ble de réaliser la seconde étape du procédé. La figure 2-a est une vue en plan suivant la ligne 2-a,2-a figure 2; la figure 2-b est une vue en plan du tamis secoueur représenté dans la figure 2; la figure 2-o est une coupe transversale suivant la ligne 2-c,2-c figure 2; la figure 2-d est une vue en plan du pô- ne   déoanteur   servant à la récupération du stabilisateur de film enlevé par lavage du charbon par l'appareil 2 à 2-c; la fi- gure 2-e est une élévation partiellement en coupe du dit cône décanteur. 



   La figure 3 représente un appareil capable de réaliser la troisième étape du procédé, savoir,la séparation ; la figure 3 est une coupe verticale suivant la ligne A-A de la figure d'en- semble ; la figure 3-a est une coupe transversale suivant la li- gne brisée 3-a,3-a figure 3; la figure 3-b représente un détail, partiellement en coupe d'une variante d'exécution préférée du coin 336-337; la figure 3-c représente une coupe transversale dans l'objet de la figure 3-b ; la figure 3-d est une vue en 

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 élévation, partiellement transparente et partiellement en coupe, montrant l'appareil séparateur; la figure 3-e est une coupe sui-   vant la ligne 3-e,3-e figure 3-d ; lafigure 3-f est une coupe   suivant la ligne 3-f,3-f figure 3-d; la figure 3-g est une cou- pe   suivant la   ligne 3-g, 3-g figure 3;

   la figure 3-h est une coupe suivant la ligne 3-g,3-g figure 3; la figure 3-h est une coupe suivant la ligne 3-h,3-h figure 3; la figure 3-i est une   coupe suivant la ligne 3-i,3-i figure 3 ; lafigure 3-j représen-   te des moyens pour commander la variante d'exécution préférée suivant les figures 3-b et 3-c; les figures 3-k et 3-1 représen- tent une méthode préférée de commande de l'appareil suivant les figures 3-b et 3-c. 



   La   figure'4   est une vue en élévation avec partiespartiel- lement brisées et en coupe,de l'appareil   d'épuration ;   la fi- gure 4-a est une   boupe   suivant la ligne   4-a,4-a   figure 4; la figure 4-b une coupe à plus grande échelle,suivant la ligne 4-b,4b figure 4-d, la partie gauche de la coupe suivant la figure 4-b étant prise suivant la ligne Z-Z figure 4-d,- la partie du milieu une coupe suivant la figure 4-b étant prise suivant la ligne J-J figure 4-d,- et la partie droite de la coupe suivant la figure 4-b étant prise suivant la ligne X-X figure 4-d; la figure 4-o est une coupe suivant la ligne 4-c,4-c figure 4 ; la fi- gure 4-d est une coupe à plus grande échelle dans le dispositif d'étanchement représenté dans la figure 4-c;

   la figure   4-e   est une coupe à plus grande échelle d'un tube arroseur avec tuyères montrant la superposition des jets; 
La figure 5 montre l'appareil servant à. recevoir la   ma-     tière   évacuée du procédé d'épuration, à étancher le procédé d'é- purat ion et à évaouer la matière. 



   Les figures 6,6-a, 6-b et 6-c représentent le second ou prinoipal bac décanteur, constituant la seconde étape dans le système de récupération du liquide lourd, dont la première étape est constituée par le bac déoanteur' de l'appareil   nettoyar(fig.4).   



  La figure 6 est une vue en   plan,avec   parties enlevées et en coupe, du bac décanteur principal; la figure   6-a   est une coupe suivant 

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   la ligne 6a , 6-a ; lafigure 6-b est une coupe verticale sui-   vant la ligne 6-b,6-b; la figure 6-c est une coupe   à   plus gran- de échelle suivant la ligne   6-o,6-a   figure 6. 



   Les figures 7 à 7-c se rapportent au troisième bac décan- teur de la série, dit intercepteur de boues ou schlamms, et à la chaudière de distillation. La figure 7 est une élévation par- tiellement en coupe de l'interoepteur de boues et de la   chaudiè-   re de distillation assemblés l'un à   l'auto   la figure 7a-   est une vue en plan de l'intercepteur de boues ; figure 7-b   est une coupe trnsvarsale dans   l'interoepteur   de boues suivant la ligne 7-b,7-b; la figure 7-a est une vue en plan de la chau- dière de distillation suivant la ligne 7-o,7-c figure 7. 



   Les figures 8 à 8-c ne se rapportent pas   à   la division 8 de l'installation,mais à un appareil au moyen duquel   l'efficaci-   té de la séparation peut être promptement déterminée. La figure 8 est une vue en plan d'une partie de l'appareil partiellement en coupe et la figure 8-a une coupe transversale suivant la li- gne 8-2,8-2 figure 8. La figure 8-b est une vue en   perspecti-     ve d'une pelle ; lafigure 8-c est un détail à plus grande échel-   le du raccordement à charnière. 



   La figure 9 et la figure 9-a sont desvues en plan et en élévation,respectivement ,du condenseur. 



   La figure 10 est une vue de raccordements de tuyaux, tels qu'employés dans toute l'installation. 



   Afin que l'invention puisse être comprise én général, elle sera d'abord décrite par rapport à la figure d'ensemble avant d'être décrite en détail. 



   1 désigne le bac du convoyeur d'alimentation ; 10 ,la tré- mie d'alimentation y raccordée; 124, des moyens pour maintenir constant le niveau dans le bac et la trémie,   à   une hauteur au dessus de l'ouverture entre la trémie et le bac; 11 ,un chenal pour débiter du charbon concassé mélangé avec des impuretés ori- ginaires, dans la trémie d'alimentation 10; 113, un convoyeur 

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 dans le   bac 1,   qui recueille la matière mouillée et l'expulse par le couloir 110. Dans la première étape du procédé le charbon est traité   avec un   liquide comprenant de   l'eau   et un stabilisateur de film.

   Le liquide employé dans cette partie de l'installation,- et dans toute étape similaire de traitement préliminaire,est une solution aqueuse diluée d'un stabilisateur de film, dont la concentration est maintenue substantiellement oonstante. 



   Le mélange de charbon et de schistes,après avoir été expul- sé par le couloir 110, est recueilli sur le tamis 21 et soumis à la seconde   étape du   procédé,comprenant le lavage du charbon traité aveo de l'eau provenant des arrosoirs 216. Pour simpli- fier la compréhension de l'invention,le trajet du charbon par l'installation sera tracé jusqu'à la fin avant de considérer le traitement des liquides employés. Du tamis secoueur 21 et de la seconde étape 2 du procédé,le charbon est versé dans le cou- loir 328 qui l'amène dans la chambre séparatrioe où la matière lourde est séparée d'aveo la matière légère par un milieu liqui- de de poids spécifique intermédiaire.

   Après la séparation le charbon est débarrassé par égouttage du liquide entrainé et est transféré à l'appareil et à ltétape 4 du proéédé, qui est, par rapport au   charbon,un   procédé de nettoyage, enlevant du charbon substantiellement toute trace de liquide séparateur. Dans cette étape de nettoyage, le charbon et les   schistes,séparés,   sont sou- mis à un nettoyage énergique au,moyen d'eau, sous pression, venant des tuyaux collecteurs 442. La troisième et la quatrième étapesdu procédé sont réalisées préférablement dans un système hermétiquement clos.

   Le charbon et les schistes lavés sont ex- pulsés par le boîtier subdivisé 462, sur les convoyeurs 5 à joints hydrauliques,qui servent à soumettre le charbon au dernier rin- çage et à empêcher l'échappement de vapeurs hors des unités her-   métiquement   fermées 3 et   4:   Des convoyeurs 5, le charbon peut être déchargé pour enmagasinage ou sur waggons de chemin de fer, pour être transporté à l'endroit de destination, tandis que les schistes¯peuvent être éloignés. 



   Ayant décrit le procédé d'une manière générale au point de vue action sur le charbon,le procédé sera décrit à présent 

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 au point de vue liquides employés: lorsque le charbon a été lavé dans l'étape ou section 2 du procédé avec de l'eau prove- nant des tuyaux   216.l'eau,   avec le liquide dont elle débarrasse le charbon,passe par le tamis 21 et est recueillie dans la trémie 220 d'où elle est   àmenée   par le tuyau 221 dans le cône à boues'ou schlamms 222. Les boues sont interceptées dans la chambre 226 et sont éventuellement évacuées par le tuyau 237. 



  Le liquide comparativement clair de l'étape de lavage 1 du pro- cédé, dilué par le liquide des arroseurs 216, s'écoule par dessus un barrage situé à la partie supérieure du cône,subit ,un réglage de sa ooncentration en stabilisateur de film par des ajoutes venant par   la-   conduite 241 du réservoir 240,- contenant du stabilisateur de film en solution plus concentrée, ou non dissout,- de manière à présenter un pourcentage qui donne des résultats satisfaisants avec cette solution pour traitement pré- liminaire, et passe par le tuyau   243   à la trémie 10, où il est réutilisé pour le traitement du charbon entrant. 



   Lorsque le charbon passe par la section de nettoyage 4, il est vigoureusement nettoyé avec de l'eau venant des   collec-     teurs 442.   Le charbon continue aon chemin et l'eau passe par le tamis qui portait le charbon et se rassemble avec des boues et avec du liquide lourd dans le bac 406 formant la partie in- férieure de cette section de l'appareillage. De ce bac,les boues sont enlevées par le tuyau 457 pour être   déchargée]3   dans un inter- oepteur ou séparateur de boues ? et le liquide contenant en sus- pension des matières plus légères est déchargé dans le bac dé- canteur principal 6. 



   Par dessus le barrage à la partie supérieure du bac dé- canteur principal 6   s'écoule   du liquide oomparativement olair,      pour être pompé par le tuyau 615 vers les collecteurs 442 dans le but de sa réutilisation dans la section de lavage.   Du'   fond du bac 6,les boues sont retirées par le tuyau 620 et sont pompées vers le séparateur de boues 7. Dans certains cas on peut faire 

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 descendre le contenu substantiellement entier du séparateur de boues 7 dans la chaudière de distillation 8 chauffée à la va- peur, mais en travail normal et de préférence on permet aux ma- tières de se tasser en trois couches,, dont l'inférieure est constituée en grande partie de matières solides,celle du milieu en grande partie de liquide lourd, et celle du dessus substan- tiellement d'eau.

   Par le tuyau   717   qui conduit vers un barrage   à   la partie supérieure du   bac,et   par des soupapes 719 et le tuyau 721, l'eau est évacuée et renvoyée au bac 6. Le liquide lourd est pompé par le tuyau 723 vers le réservoir à liquide employé. 



  Finalement les boues restantes sont déversées-dans la chaudière de distillation 8 chauffée à la vapeur .L'eau passe,ensemble avec le liquide lourd vaporisé, par le tuyau 88-89 au condenseur 9 qui est représenté schématiquement dans cette figure, et du   conden-   seur 9 au refroidisseur 95 et au séparateur   d'eau   96, dans lequel le liquide lourd est séparé par effet de gravité d'avec   l'eau)   Le liquide lourd séparé est amené par les tuyaux 961-962 au réservoir de liquide trais 963, ou au réservoir de liquide em- ployé 964 respectivement.   965   est une conduite reliant le réser- voir à liquide employé au réservoir à liquide frais et 996 est une conduite partant du réservoir à liquide frais.

   Le contenu du réservoir à liquide employé peut être complété par celui du réservoir à liquide frais au travers d'un compteur 967 indiquant la quantité de liquide employé dans le   système.   Le niveau du li- quide lourd dans la section de séparation 3 est maintenu par injection de liquide venant du réservoir à liquide employé 964 par le tuyau   359:   L'excès de liquide lourd s'échappe par le dessus d'un barrage par let uyau 358 et retourne au réservoir à liquide employé.

   Dans les dessins un oercle aveo la lettre désigne une pompe et un cercle avec la lettre x une soupape; les tuyaux   358-359   sont raccordés l'un à l'autre par un tuyau dans lequel est prévue une soupape V-20 
Nombreux étaient les défauts des procédés connus jusqu'ici 

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 qui cherchaient à employer un liquide séparateur,mais le seul défaut qui rendait le procédé incapable d'être employé et qui était insurmontable, était le manque d'un agent susceptible de maintenir un film d'eau sur le charbon ou sur un autre minéral qui,normalement, n'est pas rapidement mouillé par de l'eau, ou pas mouillé de préférence par   l'eau,     L'idée   de revêtir d'un film d'eau le charbon a été essayée et trouvée être une méprise. 



   Sans doute serait-il venu à la pensée de certains inventeurs que, si l'eau elle-même était une erreur,il serait possible que l'em- ploi d'un agent de mouillage méfierait un film d'eau plus épais ou plus complet, et réduirait les¯pertes de   liquide '.   Cependant, il n'en était pas ainsi. Par exemple l'emploi des agents de mouillage ordinaires;' le sulfonate de sodium et de pétrole, le phtalate acide de stenol, le   dilauryle-ammonium-adipate, et   le sodium-lauryle-sulfate,ainsi que d'autres,ne produisaient au- aune amélioration et dans beaucoup de cas augmentaient même la perte en liquide lourd.   Ces   expérienoes ainsi que d'autres, montraient que le problème à résoudre ne résidait pas seulement dans le mouillage.

   En réalisant non expériences pour développer les moyens pour empêcher   1'! adhésion   du liquide séparateur au charbon , ou à d'autres minéraux, qui ne sont pas rapidement mouillés, ou pas mouillés de préférenoe,par l'eau, nous avons dé- couvert que la perte en liquide séparateur peut être diminuée par l'application au charbon d'une solution aqueuse d'un   stabili-   sateur de film ,avant d'introduire le charbon dans le liquide séparateur.

   Les membres de la classe des stabilisateurs de film proviennent de nombreux groupes ohimiques ayant diverses pro- priétés ; néanmoins certains groupes chimiques rentrent entière- rement dans la dite classe.   Certains   membres d'autres groupes y appartiennent également,quoique la classe entière n'est pas in- cluse, un exemple à ce sujet consistant en ce que certains composés connus pour leur utilité en qualité d'agents de   m ouil-   lage sont inolus parce qu'ils ont aussi des propriétés de sta- bilisateurs de films. 

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   Des exemples de stabilisateurs de films sont les suivants, mais il faut comprendre que la liste donnée ci-dessous   n'est   qu'un exemple et qu'elle n'est pas limitatives Elle sert à mon- trer des exemples illustratifsplutôt que de catalogue d'agents entrant en ligne de compte.

   Toute personne s'intéressant à oataloguer tous les stabilisateurs de film parmi les millions de composés connus, peut le faire en suivant le procédé déterminé déorit après la liste: oateohol,resoroinol, quinol,pyrogallol,   dihydroxyphényle,   dihydroxychlorobenzène, acide gallique, aliza- rine, arbutine, acide rubérythrique,   aloi'ne,   aesouline,   apine   glyoyrrhizine, pelargonine, acide tannique, digitaline, sapo- nine, parilline, acide sulfonique de naphtol, acide àisulfonique de naphtol, acide disulfonique de naphtylamine, acide sulfonique d'amino naphtol, acide disulfonique de   dihydroxynaphtalène,   le composé # 8 qui est un produit de oondensation d'aoide sulfonique de naphtalène et d'aldéhyde formique ,

  ID-1 qui est un produit de réaction d'acide sulfonic de phénol avec de l'aldéhyde formi- que,   Fastane,   Tanak, Irgatane, cellulose traitée au sulfite, mé- thyle cellulose, acétate d'amidon,amidon,pectine, gomme arabi- que, gomme mezguite, gomme de oerisier, gomme ohiràz,gomme gutte, gomme de fève de oourbaril, gomme Karaya, gomme adragante, col- le de lichen,dextrine, inuline, albumine d'oeufs, albumine de sang, albumine végétale, fibrine, edestine, glyoinine,   protéine   soluble dans les alcalis(l'espèce provenant des grains convient particulièrement bien), gliadine,   caséine,gélatine,colle   d'os, colle de brochette, colle de lapin , hemoglobine, alcool polyvi-   njlique,     hexamethylène-tetramine,   triéthanolamine, phosphate de sodium,acide oxalique,

   permanganate de potassium: 
Les stabilisateurs de film sont des matières actives en sur- face qui, en solution aqueuse, produisent un changement   différen-   tiel optimum dans la tension superficielle considérée par rapport à la concentration, à des concentrations ne dépassant pas envi- ron 2%, et qui forment des films aqueux superficiels stables en présence de liquides organiques essentiellement insolubles dans l'eau.

   Leur fonction est physique plutôt que ohimique et leur 

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 définition est exprimée nécessairement en termes physiques ou phy-   sico-chimiques.   Le degré de leur solubilité dans le liquide sé- parateur est important, parce qu'une solubilité trop grande dans le liquide séparateur a pour résultat une extraction du sta- bilisateur hors de film d'eau, et par conséquent la destruction de ce dernier. Par conséquent,il faut éviter des solubilités de substances actives en surface, supérieures à environ - .3% à .5%. Une autre caractéristique de ces substances actives en surface est leur faculté de diminuer la tension superficiel- le.

   La diminution en soi de la tension 'superficielle n'est probablement pas la cause de la stabilisation du film, mais la grandeur de la diminution, ensemble avec la concentration de la substance dissoute qui cause la diminution:sont des indicateurs de l'existenoe à la surface du film de oonditions qui provoquent la stabilisation du film. Une solution donnée forme les films les plus stables lorsque la plus grande diffé- rence existe entre la conoentration du stabilisateur de film dana la couche de surface et sa concentration dans la solution considéré comme un tout. La tendance de stabilisation de film peut être exprimée par le rapport du changement dans la ten- sion superficielle   à   la concentration à laquelle le changement de tension superficielle est le plus brusque.

   Par   exemple,ltad-   dit ion à l'eau pure de .001% d'aloool polyvinylique produit un ohangement de tension superficielle de   3.-60   dynes mesuré sur le tensiomètre dit du Nouy, oorrespondant à un rapport de 3.60 sur .001, ou de 3600 sur I. Un ohangement similaire de la concentration de glycérol dans de l'eau   à   10% ,change la ten- sion superficielle d'environ seulement .5 dyne. Dans ce cas le rapport est celui de .5 sur 10, ou de" .05 sur I,. Sur cette   ba-   se l'alcool polyvinylique à une concentration de   .001%   est un stabilisateur de film 72000 fois meilleur que le glycerol.

   Les stabilisateurs de film produisent un taux de changement de ten- sion superficielle relativement grand pour des quantités dif- férentielles d'additions à des concentrations inférieures à en- viron 2%, et quelques uns des meilleurs produisent des résultats exoellents à des concentrations aussi basses que .05%. La rete- 

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 nue d'air à la surface du minéral lorsqu'il plonge dans le bain de mouillage préliminaire ne diminue pas l'action du film stabilisé: Les films stabilisés sont stables   à   l'interface air- liquide et aussi à l'interface liguide-liquide, les conditions générales décrites dans la présente s'appliquant bien entendu dans les deux cas.

   Prenant   ane   solution de .5% pour standard, oelles des matières aotives en surface sont des stabilisateurs de film utiles qui montrent par addition, à cette concentration, à de l'eau pure une diminution de tension superficielle d'en- viron .5 dynes ou plus: 
Certains composés ne sont pas eux-mêmes pas des stabili- sateurs de films, mais réagissent aveo des minéraux dans le système de manière à produire des composés qui sont des stabili- sateurs de films: A cette classe appartiennent du phosphate de sodium,de l'acide oxalique et du permanganate de potassium.' L'invention vise aussi bien l'addition des stabilisateurs dès le début, que leur production dans le système. Une quantité de matières organiques se dissolvent dans l'eau en donnant plutôt des solutions colloïdales que des véritahles solutions.

   Les mé- langes distints sont stabilisés   à   l'état colloïdal à cause de leur caractère fortement hydraté, et sont alors classés comme   colloïdes   dits "émulsoïdes" ou "hydrophiles", par opposition aux colloïdes dits "suspensoïdes" ou "hydrophobes" qui sont stabilisés par la présence d'une charge éleotrique. Les   collor-   des émulsoïdes ,pour lesquels des exemples se trouvent dans la liste donnée plus haut,sont utiles oomme stabilisateurs de film. 



  Parmi les sous-classes des colloïdes émulsoïdes sont les protéi- nes et les hydrates de carbone. Parmi les sous-classes des   protéi-   nes sont les   albumines,les   globulines,les prolamines, les phos-   pho-protérnes,   les   soléro-protérnes   et les chromo-protéines: Parmi les hydrates de carbone sont les dérivés de la cellulose, les amidons, la peotine,les gommes,les extraits des algues.

   Les solutions colloïdales émulsoïdes sont caractérisées par une vis- oosité selativement élevée ; une propriété que   l'où   peut utiliser 

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 pour faire une démarcation grossière entre cette classe et d'autres classes,consiste en ce qu'on peut indiquer qu'elle com- prend les substances ayant un effet augmentateur de viscosité qui est, grosso modo, oinq ou plus de fois supérieur à celui du sucre,- mais le vrai . critère d'efficacité stabilisatrice de film pour ces composés est apparamment la nature colloïdale   émulsorde   du composé, et non la viscosité ou n'importe quel autre attribut. 



   Une épreuve grossière et pas tout à fait exacte pour   stabili-   sateurs de film est d'agiter un liquide séparateur typique, du type employé ,suivant la présente invention,avec .de l'eau en présence d'une pétite quantité de la substance étudiée. 



  Beaucoup de stabilisateurs de film ainsi traités,produisent un film interfaces persistant,visible à l'oeil nu, et qui semble avoir une exist ence individuelle,tout à fait à part de l'eau ou du liquide organique, ce qui fournit une preuve ultérieure que les propriétés des agents actifs ne sont pas seulement cel- les des agents de mouillage. 



   Une autre classe indiquée comme   efficace   par les membres illustratifs donnés dans la liste ci-dessus sont les glycosides. 



  Les meilleurs composés de ce type semblent être ceux dans les- 
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 quels l'aglucone est un compos6-polyhydroxy-azomatique asymétri- que. Les glyoosides des aglucones monooxhydryle et symétriques sont d'une moindre efficacité. Les types principaux de   clyco-   sides sont toutefois effectivement basés sur le type asymétri- que et polyoxhydryle et ils sont tous efficaces.

   Les représen- tants des classes plus importantes sont le type phénolique,tel que l'arbutine, la salicine, et l'acide tannique; le type anthraquinone, tel que l'acide rubérythrique et l'aloïne; le 
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 type ooumarine, tel que l'aesoulinè; le type anthoxantine,tel que   l'apiine   et la   glycyrrhizine;   le type anthocyanine, tel que   la pelargonine; le type digitale, tel que la digitaline ; le   type saponine, tel que la parilline. 



   Etant donné que le grand nombre de composés ohimiques con- nus et la diversité de leurs constitutions et attributs rendent 

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 l'établissement d'une liste du groupe entier des stabilisateurs de film trop onéreux au point de vue temps et trop coûteux pour être pratique, la méthode déterminée donnée ci-après a été   dévelcp   pée comme moyen additionnel pour définir la classe dans son en-   tièreté.   Oette méthode est applicable à toutes les substances connues; un nombre de tubes ayant des fonds transparents et des diamètres égaux sont remplis à profondeur égale de solutions de teinture et de kérosène, les tubes étant disposés de manière à ce que la lumière les traverse de bas en haut au travers desfonds transparents et de la solution de teinture.

   Les tubes sont arran- gés dans l'ordre d'accroissement du pourcentage de teinture. Par exemple, le premier tube peut oontenir   1%   d'une teinture soluble dans l'huile, telle que par exemple du rouge dthuile , le se- cond tube 2., etc. Un échantillon de charbon de propriétés   incon.-   nues est agité doucement dans de l'eau   ordinaire,!''agitation'   étant oontrôlée de manière que la dégradation'du charbon soit tenue   à   un minimum. L'agitation est continuée durant une pério- de exacte de temps,telle que quinze secondes .

   Le charbon est alors séparé d'avec l'eau-et est immergé pour une période de temps déterminée, telle que quinze   secondes   ,dans un liquide organique essentiellement non soluble dans l'eau,tel que du pentachloréthane, dans lequel a été dissout un faible pourcen- tage, tel que 0.1%, de la même teinture qui se trouve dans les tubes à kérosène. Le charbon est séparé d'avec le liquide organi- que,est vigoureusement arrosé d'eau durant une période de temps exacte,telle que vingt secondes, et est immergé dans une quantité pesée de kérosène dans lequel il est doucement agité pendant une période de temps exacte, telle que quinze secondes.

   Le char- bon et le kérosène sont séparés; le kérosène est filtré; le char- bon est pesé, et un tube des mêmes dimensions que les tubes   à   teinture, est rempli à une profondeur identique avec l'extrait de   kérosène.   En comparant la couleur de l'extrait de kérosène avec la couleur dans les tubes,on obtient par simple mathématiques une indication exacte de la perte de liquide sur le type parti- oulier de charbon constituant l'échantillon. 



   Les pertes de liquide varient suivant le type de charbon.. 

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  Un anthracite comptact et dur montre une perte de liquide relativement faible,alors que du-charbon bitumineux friable,qui présente continuellement de surfaces fraîches par suite de dé- gradations,et qui est rempli de fines crevasses et fissures dans lesquelles le liquide peut pénétrer,montre une perte relative- ment grande. 



   Dans la seconde étape du procédé de définition un échan- tillon du même charbon est immergé pour une période de temps identique dans une solution aqueuse du oomposé dont l'efficaci- té est   à   déterminer, par exemple, dans une solution à .1% d'a- cétate   d'amidon,et   autrement la procédure précédente est suivie exaotement de la même manière. Ceux des   composés,dont   la présen- ce dans la seconde étape produit une couleur de moindre   inten-   sité que la couleur produite dans la première étape, sont des stabilisateurs de film, et leur effioaoité comme telle est indiquée avec exactitude par la différence de nuance.

   La mé- thode déterminée décrite ci-dessus demande seulement quelques secondes pour son exécution entière et est applicable dans tous les cas, et dans tous les cas exacts dans des limites pratiques. 



  Ltefficaoité des stabilisateurs de film diffère suivant le type de   charbon,pour   les raisons indiquées plus haut, suivant la na- ture du stabilisateur de film, et suivant le pourcentage de sta- bilisateur de   film,employée   Dans quelques cas .05% de stabili- sateur de film produit des résultats optima. Dans d'autres cas 1%, ou même des solutions plus concentrées de stabilisateur de film, sont nécessaires pour obtenir une efficacité optimum. 



   Cette méthode déterminée définit aussi les caractéristiques de chaque type de charbon et permet à l'opérateur d'être   ., certain   que le stabilisateur de film qu'il emploie est le meilleur type pour le type particulier de charbon, et d'être certain qu'il est employé dans les pourcentages qui produisent le résultat optimum. 



   Avec cette méthode, des réductions de pertes de liquide sépa- rateur de 85% et plus sont coutumières. Par conséquent il est à remarquer que cette méthode présente un procédé d'immunisation de surface d'un solide faiblement mouillé par de   l'eau   contre 

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 l'adhésion d'un liquide organique, d'une grande efficacité*. 



   La solubilité du composé influence son utilité en qualité de stabilisateur de film dans le procédé pour oharbon. Quel- ques composés sont tellement insolubles dans l'eau ou dans des oombinaisons d'eau aveo des solvants bon marché qui ne sont pas mélangeables avec le liquide séparateur qu'ils n'ont aucu- ne valeur pratique. Par conséquent on peut affirmer comme un fait pratique, que dans l'industrie du charbon seuls des composés solubles dans l'eau, ou des composés solubles dans des mélanges d'eau aveo des solvants bon marché qui ne sont pas solubles dans le liquide séparateur,sont d'un   intérêt   pratique.

   Dans des in- dustries traitant des matières d'une plus grande valeur unitai- re la question de prix s'efface et tout stabilisateur de film peut être employé sans égard au prix.' 
En se rapportant aux numéros de référence sur les dessins, 1 désigne d'une manière générale la section de traitement du charbon avec le stabilisateur de film, 10 est une trémie ;    est un chenal menant vers la trémie; 12 est un fond incliné de la   trémie ; 13-13 sont des côtés inclinés de la trémie ; 14 est une paroi de la trémie; 15 est une ouverture dans la paroi 14; 
16 est une vanne qui ferme l'ouverture dans la paroi de la tré- mie ; 17 est un organe en forme de chenal attaché   à   la vanne ; 
18 est une crémaillère dans l'organe en forme de chenal;

   19 est un organe en forme de chenal dans lequel peut glisser verticalement le premier dit organe en forme de chenal; 100 est un pignon s'engrenant avec la crémaillère 18; IOI est une tige sur laquelle est monté le pignon; 102-102 sont des paliers dans lesquels la tige est montée; 103 est une roue pour tourner la tige 101 ; 104 est un moyen flexible, par exemple une chaîne ou corde ou câble, pour faciliter la rotation de la roue 103;   106   est une boite ou bac à convoyeur;   105   est un chenal étanche aux liquides reliant la trémie 10 au bac convoyeur 106; 107 est une ouverture dans le fond de la trémie au dessus des ailettes inférieures du convoyeur   ;108   est un fond incliné du bac convoyeur;   109   est un chenal convoyeur;

   110 est un couloir 

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 à l'extrémité du chenal convoyeur ; 111 est une partie perfo- rée au point le plus bas du   ohenal   convoyeur; 112 est un tuyau de vidange partant du fond du bac convoyeur; 113 est un con- voyeur à ailettes type racloirs ;114 sont des ailettes perfo- rées du convoyeur   à   ailettes ; 115 est un pignon à chaine à l'extrémité supérieure du convoyeur; 116 est une roue porteuse au milieu de la longueur du brin de retour du oonvoyeur   à   ailette,   117.' est   un pignon à chaîne à l'extrémité inférieure du convoyeur; 118 est un pignon à chaîne   à   l'endroit de la courbure du chenal convoyeur ; 119 est un moteur monté sur le bac convoyeur ;

   et 120 sont les engrenages et transmissions combinés de la comman- de du convoyeur. Le moteur est de préférence électrique et à vitesse variable. 121 est un autre moteur monté sur le bac convoyeur ;122 est un petit convoyeur commandé par le moteur 121 dans un but décrit plus loin; 123 est un liquide remplis- sant partiellement le bac convoyeur et la trémie; 124 est une boite s'ouvrant dans le bac convoyeur; 125 est un tube de trop plein dans la boite de trop plein   124,mais   placé en dehors de la paroi du bac convoyeur.

   La commande du premier convoyeur est représentée dans la figure I-o dans laquelle 119 est un moteur monté sur le bac convoyeur; 130 est une roue commandée par le moteur ; 126 est une roue commandée par la première dite roue par transmission brins multiple ou par chaîne et   pignon     à   chai- nê; 127 est un arbre; 128 est une roue dentée   à   l'extrémité de l'arbre; 129 est une roue dentée sur l'arbre 130, ces deux roues dentées collaborant par une chaîne ou un dispositif simi- laire ; 131 et 132 sont des roues à chaîne reliées l'une à l'autre par une chaîne 133; 134 est un arbre monté dans le bac convoyeur et portant des roues à chaîne 135 sur lesquelles sont placées des chaînes faisant partie du convoyeur à ailettes.

   Le fonc- tionnement de la commande est évidente pour les hommes du métier. 



  140 est un tamis pour arrêter le flot des impuretés flottan- tes et 150 est une admission d'eau. 151 est un tamis devant la boite 124. 



   Les figures I-d et 1-e représentent des caractéristiques / 

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 des chenaux oonvoyeurs, 136 montre comment les chenaux con- voyeurs sont ooupés diagonalement pour éviter les oollisions entre joints et ailettes; 137 montre les bords de guidage des chenaux convoyeurs pressés vers le bas de manière à ce que les ailettes approchant,passent doucement d'un chenal à l'autre; et des tantes 141 aux extrémités des chenaux entourent à moitié les boulons 142 des   supports 143.   les chenaux étant pressés vers le   bas par   les rondelles 144 engagées sur les bou- lons. 



   L'appareil 1 suivant l'invention fonctionne comme suit: par le chenal 11 les matières à séparer sont débitées dans la trémie 10. Le fond et les cotés inclinés de la trémie di- rigent les matières vers le chenal 105. Mais avant d'arriver au chenal 105 les matières heurtent le liquide 123 et les écla-   boussures   sont retenues dans la trémie. La vanne 16 est ouverte en tournant la roue 103, qui fait tourner le pignon 100 qui, -en vertu de son engrènement avec la crémaillère   18,soulève   la vanne 16. La matière descend dans le chenal 105 et arrive au travers de l'ouverture 107 dans le chenal convoyeur. Les ai- lettes du oonvoyeur recueillent la matière et la soulèvent le long du chenal convoyeur vers le couloir de déohargement 110.

   Les ailettes du convoyeur sont préférablement perforées, afin de permettre à une partie du liquide entraîné avec le charbon de retourner dans le bac convoyeur: Le niveau du li- quide dans l'appareil est maintenu au moyen du tuyau de trop   @   plein 125. Le trop plein du bao peut être envoyé soit à l'égout, soit dans une appareil récupérateur du constituant actif du li- quide. Les perforations 111 dans le fond du chenal convoyeur donnent une issue aux particules solides fines qui autrement s'accumuleraient   à   cet endroit.

   Les matières solides ainsi recueillies peuvent être   évacuées,ensemble   avec une certaine quantité de liquide, soit de temps , autre, soit de manière con- tinue, suivant le   besoin.'   L'appareil décrit constitue un moyen pour exécuter le traitement préliminaire de la matière avec une solution de stabilisateur de film. 

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   Le numéro de   référence     2   se rapporte d'une manière géné- rale à la seconde étape du   procédé   et à   l'appareil   employé dans son exécution préférée pour réaliser la dite étape. 21 est un tamis seooueur d'un type perforé sur une partie   consi-   dérable de sa longueur; 20 est l'extrémité réceptrice du tamis secoueur qui est située sous le oouloir de   déchargement   110 du convoyeur venant d'être décrit; 22 sont les cotés du con- voyeur, qui sont préférablement protégés par des lattes en bois 23 pour diminuer l'effet abrasif de la matière en chemine- ne nt, et si la matière est du charbon,pour diminuer l'effet abra- sif sur le charbon;

   24-24 sont des planohes élastiques boulonnées à leurs extrémités supérieures aux poutres 25-25 et a leurs   ex-   trémités inférieures aux cornières 26; 27 est le oouloir de dé- chargement du tamis seooueur; 38 sont des fers cornières qui   f orment,ensemble   avec les pièces latérales angulaires 22, le ca- dre du tamis secoueur:

   La partie perforée du tamis secoueur peut être constituée d'une plaque   perforée,d'un   tamis du type répar- tisseur (wedge wire screen) --- ou de toute autre manière appro- priée. 29-29 sont des planches élastiques, 200 est une auge sup- portée par les planches élastiques 29; 201-201 sont des fers à section en forme de chenal formant les côtés de l'auge; 202 est le fond de l'auge qui est attaché par des boulons ou autres moyens appropriés aux côtés en fers en section de chenal; 203 sont les moyens rattachant les planches élastiques à   l'auge; 304   sont des poids placés dans l'auge;   205-205   sont des tiges de commande élas- tiques ;   206&206   sont les moyens d'attache des tiges de commande au tamis 21 et de l'auge 200 respectivement ;

   207-207 est un arbre monté dans les paliers 208 sur le support 209; 210 est un moteur à vitesse variable; 211 est une roue calée sur l'arbre   207;   212 est un moyen de transmission,tel qu'un câble ou oorde, pour commander la roue 211 et l'arbre 207 au moyen du moteur 210; 213-213 sont des excentriques calés sur l'arbre 207; 214-214 sont des excentriques placés en opposition aux excentriques 213 et calés sur l'arbre 207; 215-215 sont des moyens reliant les tiges de   commande 305 aux   excentriques correspondants,et il est   à,   remarquer que le tamis est commandé par une paire d'excentriques / 

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 et l'auge par les excentriques occupant des positions opposées aux premiers;

   216 est un tube d'arrosage aveo tuyères 217, dispo- sé au dessus et transversalement par rapport au tamis secoueur; 220 est un bac oolleoteur placé sous la partie   perforée   du tamis secoueur; 221 est un tuyau de sortie du bac collécteur; 222 est un cône séparateur dont la construction est la suivante! 
222 est un   bao¯cônique   dont les côtés sont inclinés d'un angle suivant lequel les solides   desoenderont;   223 est un barra- ge circulaire à la partie supérieure du cône,par dessus duquel du liquide peut s'écouler dans le chenal formé par le barrage et le côté du   oône;   224 est une boite de sortie et de mélange for- mée par le chenal et par une partie saillante en forme de boite sur le   coté   du cône;

   225 est une soupape dans le court tuyau se trouvant au fond du   cote     ';±µ,'est   une   ohambre à   schlamms; 227 est un tuyau et une soupape au fond de la chambre à schlamms; 228 est une conduite d'eau allant à la chambre à schlamms; 229 est une eoupape dans la conduite d'eau; 230 est une conduite allant du dessus de la chambre à sohlamms'vers l'intérieur du cône;   331.est   une conduite d'amenée d'eau; 232-233 en'sont des branchements; 234 est une soupape dans l'une des dites branches; 235 est une soupape dans l'autre des dites branches; 236 est une soupape allant de la dite conduite   d'eau   de l'autre coté dans le cote à schlamms; 237 est le tuyau d'évacuation à   l'ex-   trémité duquel est raccordée la conduite d'amenée 232;

   les con- duites d'amenée 235 et 236 sont raccordées   à   la base du   cône   d'évacuation des schlamms; 240 est un réservoir; 241 est une conduite allant du réservoir à la boite 224; 242 est une soupape dans la dite conduite; et 243 est une conduite allant   à   la trémie   susmentionnée 10.;    
Le fonctionnement de la seconde section de l'appareil est le suivant.

   La matière,par exemple du charbon est déchargé du couloir 110 sur l'extrémité réceptrice 20 du tamis secoueur 21; celui-ci constitue en même temps un convoyeur   à   secousses, mû en sens alternatifs par les tiges de commande, son poids étant oon- trebalanoé par l'auge oscillante qui est également mûe par les tiges de commande actionnées par les excentriques disposés en      

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 opposition aux autres. L'auge est; chargée de manière   à   ce que les vibrations soient réduites   à   un minimum.

   Le tamis secoueur est suspendu suivant un angle tel que le charbon se déplace graduellement de l'extrémité réceptrice vers l'extrémité d'éva- cuation du tamis, en étant- uniformément réparti sur la surface de ce dernier par le mouvement alternatif .Lorsque le charbon et les impuretés qui l'accompagnent passent sous   let uyau     216   ils sont arrosés d'eau ou d'un autre liquide convenable sor-      tant des tuyères 217. Après avoir été arrosé, le charbon est éva- oué en   27   dans la trémie ou couloir 328. Le liquide qui fût employé pour arroser le charbon passe par le tamis et dans le   b ac   collecteur 220, d'où il est amené par le tuyau 221 au cône séparateur 333.

   Le liquide ainsi transporté contient une   quan-   tité considérable de matières solides fines et un peu de stabi- lisateur de film. Le cône est mis en état de fonctionnement en fermant la soupape 227, en ouvrant la soupape 225 et en remplis- sant le cône à hauteur du barrage aveo de   l'eau .  Le débit du du tuyau 221 est reçu dans le cône, et provoque le débordement de l'eau par dessus le barrage. Les solides fins contenus dans l'eau descendent dans celle-ci ou le long des oôtés du cône, au travers du tuyau et de la soupape 225 dans la ohambre à   sohlamms   226, en déplaçant l'eau dans cette dernière.

   Le liquide est déplacé vers la partie supérieure du   oône à   un état clair, s'écoute par dessus le barrage, passe dans la boite 224 du barra- ge, et subit une concentration en stabilisateur de film par ad- dition de stabilisateur de film. venant du réservoir 240 par la soupape 242 et la conduite 241, jusqu'à la concentration qui produit le résultat optimum: De la botte à   barrage, 224   le liquide passe par le t uyau 243 vers la trémie d'alimentation10. Si à un moment queloonque l'addition de liquide par la trémie d'alimen- tation 10 fait monter le niveau du liquide dans le convoyeur, le débordement étant assuré par la boite de trop plein   134., et   le tuyau 125.

   Lorsque le cône   à     sohlamms   226 à été rempli de   sohlamms,la   soupape 225 est fermée,la soupape   227   est ouverte et de l'eau est amenée sous pression par les conduites 233 et les 

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 soupapes 235 et 236 dans la ohambre   à   schlamms, en chassant les sohlamms ensemble aveo les liquides mélangés aveo elle, au travers de la soupape 127 et la conduite 237 vers une fosse d'évaouation, ou vers un dispositif pour récupérer tout ingrédient de valeur qui aurait pû être séparé ou intercepté. Lorsque la ohambre 226 est vidée, l'eau est arrêtée par fermeture des sou- papes   355 et 336,     lascupape 227   est fermée et la soupape   229   est ouverte.

   De   1:!eau   pure passe par la conduire 228 et la soupape 229 dans la chambre à schlamms jusqu'à ce que celle-ci soit rem- plie,ce qui est indiqué par un débordement d'eau par le tuyau 230 dans la partie supérieure du cône. La¯soupape   229   est alors fermée et la soupape   225   ouverte. Les schlamms dans le cône commencent alors à descendre graduellement dans la ohambre 226, une descente violente ou éclaboussante de l'eau du cône à schlamms étant ainsi évitée. Si la conduite 237 est obturée par des schlamms elle peut être   purgée   par de l'eau admise par la con-   duite 2@2   et la soupape 234. 



   Dans les figures 3 à 3-1 la chambre séparatrice est repré-   sentée.En   se référant aux numéros de référence, 3 désigne un bac clos,31 des bords en forme de chenal appartenant à des   ouvertuses   dans le dessus du bac; 32 sont des couvercles pour les dites ouvertures ; 33 sont des rebords sur les dits couveroles,dimen- sionnés de manière à s'emboîter dans les dits borde en forme de chenal des dites ouvertures; 34 est un liquide remplissant par- t iellement chaque chenal bordant les dites ouvertures et :b rmant un joint étanche" ;35 est un tube d'aérage; 37 est un support de moteur monté sur le'dit bac;38 est un moteurà vitesse variable; 39 est un mécanisme de changement de vitesse d'une construction usuelle comprenant une suite de roues menantes et menées,grandes et petites;

   300 est un arbre disposé transversalement par rap- port aux et dépassant légèrement les côtés du bac; 301 et 302 sont des pignons à chaîne ,oalés sur l'arbre 300 aux extré- mités opposées de ce dernier ; 303-304 sont des chaînes sur les   cotés   opposés du bac commandées par les dits pignons respective- ment ;305-306 sont des pignons à chaîne montés sur les extrémités 

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 des arbres   30.7-et   308 respectivement ,les dits arbres passant au travers de la paroi du dit   bao  ;309-309 sont des boites à bourrage-ou d'étanchéité qui peuvent être remplies de graisse de l'extérieur du bac par des tubes d'accès 310; 312 sont des roues à chaine calées sur l'arbre 308; 313 sont des roues montées sur les arbres 314 qui sont montés dans le bac;

   315 est un tendeur manoeuvrable par ooin,au moyen duquel un jeu de roues 313 peut être déplacé dans le sens longitudinal de la machine, pour compenser le flottement de la   chaine.   Un tendeur est placé à chaque extrémité du jeu de roues 313. 316 est une vis pour ac- tionner le coin et déplacer ainsi lejeu de   roues 313;   317-317 sont des chaines de convoyeur; 318 sont des ailettes convoyeuses montées sur les ohaines 317 du convoyeur; 318 sont des perfora- tions dans les ailettes convoyeuses;320 est un chenal convoyeur oourbé à l'endroit 321 et possédant un couloir de déchargement 322; 323 est un tamis répartisseur   ----------------------------   formant le fond de la partie supérieure du chenal convoyeur;

   324 est une portion de la patoi du bac disposée à un écartement augmenté du dit tamis, afin de permettre au liquide de passer au travers du tamis et de se rassembler dans la dite partie du bac convoyeur ; 325 est un chenal allant de la partie 324, exté- rieurement au bac, et la reliant à l'intérieur de ce dernier en 326; 327 sont des raccordements de purge pour permettre de refoula un courant d'eau ou d'un autre liquide dans le bac à cet endroit ; 328 est un couloir s'étendant au travers du côté du bac; 329 sont des parois de subdivision dans le dit couloir; 330 est la plaque dorsale d'une trémie ; 331 sont des perforations dans la partie postérieure de la trémie; 332 est une partie de la plaque dorsale de la trémie ,qui est inclinée diagonalement vers l'avant et qui présente les perforations 331;

   3320-3320 sont des par- ties perforées de la dite plaque dorsale de la trémie qui   s'éen-   dent au delà des plaques latérales de la trémie; 333-334 sont des parois latérales de la dite trémie, les deux étant inclinées vers l'intérieur au degré nécessaire pour obliger toute matière entrant par la trémie 328 et passant au fond du bac, de tomber dans le chenal convoyeur; 335 est la paroi de devant de la dite / 

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 trémie,qui.,- suivant la forme d'exéoution de l'invention repré sentée dans la figure 3,- est construite en forme d'unité avec le chenal convoyeur de devant; 336 est une partie de la dite paroi inclinée diagonalement vers l'extrémité réceptrice, et 337 est une partie de la dite paroi,inclinée vers l'extrémité de aortie, pour présenter ainsi une faoe en forme de coin vers l'extrémité d'entrée;

   338 est un chenal convoyeur; 339 est un tamis   répartisseür     ------------- formant   le fond de la partie supérieu- re du dit   ohenal   convoyeur; 340 est un couloir de sortie raccor- dé au, ou formant partie du, dit chenal convoyeur; 341-341 sont des pignons à chaîne sur l'arbre   307   sur lesquels passent des chaînes 342-342 d'un convoyeur à ailettes 343;344 est une courbure dans le dit chenal convoyeur ;   .345 est   un arbre portant deux pignons à ohaine à l'endroit de la dite oourbure; 346 est un prolongement du chenal convoyeur au delà des pignons à chaine 345 et se prolongeant vers le bas pour former le coin susmentionné;

   347 sont des moyens pour régler la position des pignons à chaîne 348 qui sont montés sur un tourillon pour sup- porter le convoyeur à ailettes type racloirs   343; 349   est un chenal s'étendant d'un coté de la machine à l'autre,pour inter- oepter le liquide passant par le tamis 339 et pour le renvoyer au liquide dans le bac; 350 est un évidement d'évacuation avec tamis au point arrière et le plus bas du bao,le fond du dit évi- dement étant préférablement inoliné; 351 est une champble nous le dit tamis; 352 est un tuyau avec scoupape permettant d'évacuer les   sohlamms   ou boues qui peuvent s'accumuler et passer par le dit tamis; les dits schlamms étant amenés par le dit tuyau dansun bac   déoanteur   qui sera déorit ci-de ssous, la continuation du dit tuyau niétant pas représentée;

     353 est   une chambre racoor- dée à la paroi du bac; 354 est une vis montée dans un éorou 355 fixé au   bao;356;est   une boite   à   bourrage par laquelle passe la dite vis; 357 est un cylindre attaché à la dite vis; 358 est un tube s'étendant dans la chambre ou boite 353 ainsi que dans le cylindre 357 en s'emboîtant aveo ce dernier de manière mobile et étanohe aux liquides soit par usinage ,soit par usage d'une      

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 matière d'étanchement appropriée; 359 est un tuyau à soupape raccordé à la boîte 353; 360 sont des ouvertures sous le niveau du liquide séparateur,reliant le bac 3 à la boîte ou chambre 353; 3601 est une ouverture reliant la boite 353 au bac au dessus du niveau d'eau; 361 est une botte close avec barrage sur le côté de la machine;

   362 est un barrage à tube dans la dite boite pour contrôler le niveau du liquide. Le tube 362 est relié au bac dé- canteur. 363 est un tube oommuniquant en 364 et 365 avec le bac convoyeur ; 366 est un indicateur creux dans le tube 363 et s'étendant au dessus de ce dernier. La tige creuse 366 du dit indi cateur est préférablement calibrée sur son   coté   extérieur et son creux est utilisé pour introduire ou enlever dans et hors de l'in- dicateur des grains de plomb ou une autre matière lourde, de fa- çon qu'on puisse le standardiser par rapport au poids spécifi- que du liquide séparateur se trouvant dans l'appareil,afin de   lire exactement son niveau ; sont des parties creuses   saillantes sur les   ôotés   de l'appareil;

   369-670 sont des couver- cles amovibles,retenus par des boulons ou autres moyens appro- priés non représentés, afin d'obturer hermétiquement les ouvertu- res de celles des dites parties saillantes qui ne sont pas em- ployées ;   371-371   sont des brides sur les dites parties saillantes, destinées a être raccordées et former un joint hermétique avec des (joints similairement disposés ou avec des parties saillan- tes similaires de l'appareil 4 qui réalise l'étape suivante du procédé;   3280   est un colleoteur formant partie du couloir 328, raccordé à un appareil aspirateur non représenté et au dit cou- loir par des ouvertures 3281, dans le but d'intercepter tous gaz de fuite; 372 est le chassis supportant le bac; la ligne   373   indique le niveau supérieur des liquides dans le bac ;

   la ligne 374 indique   l'interface   entre le liquide séparateur et le liqui- de léger;   375   est une ouverture de tuyau dans le   bao,dont   le but sera décrit oi-dessous;   377-377   sont des cornières supportées soit par les organes 333 et 337, soit par les côtés du bac par l'in- termédiaire de barreaux qui couvrent les chaînes du convoyeur 

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 et empêohent leur endommagement par les sohistes descendants;   379   est un tamis s'étendant préférablement sur toute la profon- deur du liquide, pour empêcher que les matières légères ne soient entrainées par le liquide en sens arrière dans la trajec- toire du convoyeur extérieur;

   le tamis s'étend de paroi en pa- roi du bac entre le oouloir d'arrivée et le convoyeur extérieur, et d'un point situé légèrement au dessus du niveau du liquide   à   un point tout près du convoyeur inférieur. 



   Cet appareil servant à réaliser la troisième étape du   procédé,fonctionne   comme suit: la soupape du tuyau 359 est ou- verte et du liquide lourd est admis dans le bac par'les ouver- tures   360   jusqu'à ce que le niveau   374   est indiqué par l'indi-   cateur 366   .'Ensuite de l'eau est admise dans le bac par les ori- fioes 375 jusqu'à avoir atteint le niveau 373: Un courant con- tinuel d'sau par l'appareil peut être maintenu par le tuyau 375 et le trop plein 362, si on le désire, ou de l'eau peut être ad- diticnnée par intermittence et suivant le besoin: La hauteur du niveau du liquide séparateur dans le bac est réglée par le trop plein 357.

   Lors de l'admission du liquide celui-ci monte dans le bac et dans'la boite 353 jusqu'à ce qu'il atteigne le dessus ouvert du cylindre 357, d'où il coule vers le bas par le dit trop plein et par la soupape et le tuyau 358 vers le bac à liquide usé. 



  La soupape dans le dit tuyau 358 peut être tenue ouverte,pour qu' un courant oontinu de liquide passe dans la chambre par le tuyau 359 et de ce dernier par le t uyau 358, ou l'opération peut être   exècre   par intermittence,en contrôlant par observation de l'in- dioateur à vue.' 
Lorsque lebac a été rempli jusqu'au niveau approprié par le liquide, du charbon est passé par la seconde étape du procédé, dé- crite plus haut,et est délivré par le convoyeur dans le couloir ou trémie 328, en descendant en quatre veines ou courants le long des   divisions 339   par lesquelles il est distribué sur la largeur du bac.

   Le couloir 328 peut être placé sur l'un ou l'autre côté de l'appareil,comme indiqué dans la figure   3-e,une   ouverture étant prévue sur chaque côté,l'ouverture non employée étant fermée par 

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 une plaque 376. L'appareil est mis en marche; les moteurs com- mandent les deux convoyeurs soit   à   la même vitesse ou à des vi- tesses différentes, ce qui dépend dans une certaine mesure de la quantité de matière que chacun d'eux doit traitér.

   Le charbon, les schistes, et les autres Impuretés accompagnantes tombent dans la couche d'eau pendant   qu'ils   se trouvent encore toujours dans le couloir 328, de sorte qu'ils sont dispersés par l'eau   avant d'atteindre le liquide séparateur ; leséclaboussures pro-   voquées par la   ohute   des matières sont supprimées et du gaz en- trainé est   éliminé   avant qu'ils ne quittent le couloir.Après avoir   traversé   la couche d'eau ils entrent dans le liquide sépa- rateur, dont la densité a été choisie de manière   à   se trouver entre celle du charbon et celle des   schistes.Le   charbon flotte à la surface du liquide séparateur,les schistes y descendent en étant dirigés par la   trémie 534;

     et en entrant dans le chenal convoyeur, sont recueillis par les ailettes du convoyeur à ra- cloirs, et sont entrainés vers la sortie. Le charbon flottant à l'interface des liquides est recueilli par le convoyeur 343 et est entrainé vers et sur le chenal convoyeur 346. Le poids spécifique du liquide est choisi préférablement de manière à être seulement de peu inférieur, à celui des matières moyennes. Les matières moyennes, ou simplement les moyennes,sont celles des parties du mélange qui contiennent en un seul morceau aussi bien des schistes que du oharbon. Les moyennes tendent   à   descen- dre seulement lentement dans le liquide,alors que les schistes descendent instantanément et que le charbon flotte. 



   Chacun des convoyeurs agit comme une pompe,dont   l'effetpeut        être varié par l'usage d'ailettes-racloirs de section soit fer- mée,soit perforée, le nombre des ouvertures dans les dites ai- lettes-raoloirs étant variable ,pour assurer des effets de pompage de différentes intensités.' Lorsque le convoyeur exté- rieur entraine les matières descendues dans le liquide séparateur 

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 le long de son chenal convoyeur et les fait monter suivant l'in- olinaison vers la sortie, une certaine quantité de liquide tend à tomber en retour par les orifices dans les ailettes ,

  et la majeure partie du liquide qui reste est aspirée hors de la   matiè-   re lorsque celle-ci est propulsée sur le tamis répartisseur   333.Le  sohistes sont évacués par le couloir 322 dans le bac 41 formant partie de l'appareil 4 décrit plus bas. Le plateau infé- rieur du chenal convoyeur du oonvoyeur intérieur 338 s'étend Suffisamment derrière le pignon 345 et est alors plié vers le bas comme indiqué   en 346 ,   de sorte que la matière flottante est entrainée sur le chenal convoyeur sans   concernent   entre les ailettes et le chenal.

   En étendant le bac convoyeur au delà deh pignons à   chaine     345,la   chaine reçoit la possibilité de se plier vers le haut, et on lui laisse asez de liberté pour que, dans le cas où du charbon tenderait à se   coincer   dans le con- voyeur en diminuant le jeu de la   chaîne,11   puisse sauter et re- lâcher la chaîne sans causer des dommages.

   Les ailettes convoyeu- ses entrainent alors le charbon vers le haut le long du chenal incliné, et sur le tamis de drainage répartisseur   --------------     ----------------   339 ,et l'éjectent par le couloir 340 dans l'auge   42   qui constitue une partie de l'appareil 4 décrit ci-des- sous    Le'liquide     entrajné   par le convoyeur extérieur passe par le tamis répartisseur ------ 323 en descendant ensuite par la chambre 334,extérieurement à la paroi principale du bac, par le passage 325 et l'ouverture 326, dans la chambre formée derrière la   cloison 336-337     :

  ,Le   liquide qui est entraîné par le convoyeur intérieur est amené le long du chenal convoyeur inoliné,passe par le tamis répartisseur   --------------------   339, s'écoule en descendant sur le plateau de drainage   349   et est ramené dans la ohambre derrière la cloison 336-337. Les côtés 333-334 de la trémie intérieure,ensemble avec les   oôtés   du bac,forment des tubes 380-381 ,par lesquels le liquide venant du chenal 325 et de la chambre derrière la cloison   336-337   peut passer vers l'ex- trémité réceptrice de l'appareil, en entrant à nouveau dans la 

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 chambre séparatrice par les orifices 331 de la plaque 330.

   Le fluide séparateur et le liquide obturateur qui lui est superpo- sé sont ainsi maintenus en mouvement constant de l'extrémité ré- ceptrice vers l'extrémité de sortie de l'appareil. La longueur de la chambre   séparatrice ,   à savoir la distance entre la plaque 330 et le   coin 336-337,est   telle que les morceaux de charbon sont montés à lâ surface du liquide séparateur et que les mor- ceaux de schistes sont tombés au fond,avant d'être arrivés jus- qu'au dit coin,mais que les moyennes,- grâce   à   la sélection d'un liquide séparateur d'un poids spécifique seulement un peu plus léger, - soient tenues en suspension en descendant lentement. 



  Les moyennes riches en charbon descendent   à   un taux plus lent que les moyennes pauvres en charbon,par suite de leurs différentes densités, et une classification des moyennes a lieu avant   qu'el-   les n'arrivent au dit coin  Alors le coin dirige les moyennes plus riches vers le haut dans le charbon et les moyennes pau- vres en charbon vers le bas, dans les sohistes: 
Dans les figures 3-b et 3-c sont représentés des moyens pour faire varier la proportion des moyennes dirigées dans le charbon, ainsi que des moyens qui contribuent substantielle- ment à la production ou obtention du charbon aveo une teneur de cendres standardisée.

   Dans ces figures 346 désigne le fond du chenal convoyeur   à   charbon; 383 est une plaque; 382 est une charnière reliant la plaque à l'extension ou bord du dit chenal convoyeur; 385 est une seconde plaque et 386 est une charnière reliant la plaque 385 à la plaque 383; 387 sont des organes en forme de crochet,qui s'engagent sous les bords des fers cor- nières 377 en vue de glisser par rapport à ces derniers. Au pla- teau 383,   à   un endroit situé près de la charnière 386, est re- liée une tige ou câble de soulèvement   387   qui s'étend vers le haut entre les convoyeurs et la paroi du bac,ainsi qu'au travers d'une boite à joint hydraulique 388 montée sur le côté du bac, à un point extérieur duquel il peut être manipulé. 389 sont des tiges.

   Une traction vers le haut sur l'une des tige; provoque la montée de la plaque 383, d'où la plaque   385   se déplace angu- lairement vers l'extrémité réoeptrioe de l'appareil. Du fait, 

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 le bord 386 du coin aura été soulevé et une proportion plus grande dès moyennes est ainsi dirigée dans les schistes,en don- nant un charbon d'une teneur diminuée en cendres. Si, d'autre part, on veut avoir du charbon d'une teneur augmentée en cen- dres, une seconde tige attachée à l'extrémité inférieure de la plaque 385 et s'étendant au travers de la paroi du bac de la même manière,peut être manipulée pour tirer la plaque 385 vers l'arrière et abaisser ainsi l'angle 386.

   Comme représenté dans la figure 3-h ,il existe assez de place entre le bord des ailet- tes des convoyeurs et la paroi du bac pour permettre le passage d'une tige, et en disposant et étanchant la botte 388 entière- ment en dehors de la paroi 3,on n'aura à   oraindre   aucune colli- sion entre les convoyeurs et les tiges. L'extrémité inférieure de la tige peut être attachée au coin par un câble,oomme repré- senté. 



   Dans les figures 3-k et 3-1 est représenté un autre moyen pour régler le coin. Dans ces figures 3 désigne le bac; 390-390 sont des boites allongées sur les côtés extérieurs du   bao(un'   coin d'une telle boite étant représenté en lignes pointillées dans la figure 3);      sont des fentes reliant l'intérieur du bac avec les dites bottes; 392-392 sont des articulations atta-   ohées   aux angles inférieurs'du   coin;393-393   sont des chevilles fixées aux articulations,ces chevilles passant par les fentes   391   et étant montées dans des coulisseaux 394; 395-395 sont des tiges attachées aux dits coulisseaux ces tiges étant forées et filetées ;

   396-396 sont des vis amovibles montées dans des sup- ports qui sont attachés aux côtés des boites et portent à leur tête des pignons qui s'engrènent avec des pignons d'un arbre 398 qui est monté dans les parois latérales du bac et s'étend au travers de la paroi d'une des bottes et d'une boite   à   bourrage   397; 399   est un volant pour manoeuvrer l'arbre 398. 



   Le fonctionnement de cet appareil est le suivant: on tourne le volant 399, en faisant ainsi tourner les pignons qui sont en prise entre eux et les vis 396 qui déplacent les coulisseaux 394 

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 dans   l'un   ou l'autre sens en vertu de leur engagement dans les filets intérieurs des tiges 395 attachées aux coulisseaux. En étant ainsi déplacés le long des boilles les coulisseaux 394 poussent les articulations 392 attachées aux angles de coin 385 et déplaçant ainsi ce dernier comme indiqué partiellement par des lignes pointillées dans la figure 3-k. 



   Oi-dessous sera donnée une brève description de l'appareil: la matière   à   séparer entre par le couloir dans l'extrémité ré- ceptrice de l'appareil et est recueillie par la trémie qui en- toure la partie de l'appareil dans laquelle a lieu la séparation proprement dite du minéral d'avec la gangue.

   L'effet de pompage produit par les convoyeurs tient le liquide en circulation con- tinuelle de l'extrémité   récepttice   de la chambre de,séparation   jusqu'à   son extrémité de   sortie   Le convoyeur supérieur entraine les matières flottantes sur le chenal convoyeur correspondant, et l'état détendu des   chaines   du convoyeur permet aux ailettes convoyeuses de sauter et de se libérer de toutes particules qui auraient la tendance de se coincer contre l'extension ou bord d' entrée du chenal convoyeur. Les ailettes inférieures de l'autre convoyeur recueillent les matières desoendues au fond et les en- mènent hors de la chambre de séparation.

   Les moyennes sont ame- nées par le courant vers le coin qui constitue l'extrémité de sortie de la chambre de -séparation et sont divisées suivant les proportions de schistes et de charbon qu'elles oontiennent, celles plus lourdes, à cause de leur forte teneur en schistes, étant dirigées dans les rebuts,tandis que celles plus légères à cause de leur teneur utilisable en charbon étant dirigées dans la chase des matières flottantes:

   Les matières séparées sont obligées par leurs convoyeurs   respectifs   de passer sur des tamis 
 EMI34.1 
 répart'isseurs'######-#######.##-t# ou sur d'autres moyens de drainage appropriés,qui enlèvent la plus grande partie des liquides entrainés,et les matières elles-mêmes sont déchar- gées par les convoyeurs sur des chenaux collecteurs ou auges 

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 collectrices des tamis, qui seront déorit oi-dessous. Le liqui- 
 EMI35.1 
 de séparateur qui passe par les tamis xpart3.seeûrs. .------------ !-!"-------'-1i-rr'.-!l-8Ôt renvoyé le long des oôtés de 1 appa- reil et extérieurement à la chambre de séparation vers l'ex- trémité réceptrice de   l'appareil,une   circulation continue étant maintenue de cette manière.

   Le niveau du liquide lourd est main- tenu à n'importe quelle hauteur désirée par le barrage régla- ble et étanche à l'extrémité de l'appareil et le niveau du flui- de formant joint est maintenu par la boite à barrage sur le côté de   l'appareilAinsi   sont rendues possibles une addition et une évacuation continues de liquide au travers de l'appareil, aussi bien que des additions intermittentes si   celles-oi   de- viennent nécessaires: Des moyens sont prévus pour purger l'es- pace en dessous des chenaux convoyeurs ainsi que des moyens pour l'enlèvement des boues du fond du bac.

   Lorsqu'on fait usage d'une étape de mouillage préliminaire avec des matières de 1/4" ou moins l'efficacité de l'appareil de séparation est 
 EMI35.2 
 réduite par suite d'accumulations 
Lorsque le charbon a   é@é   séparé d'aveo   les   impuretés ori- ginaires,les deux sont   soumis à   une épuration vigoureuse. Afin d'éviter toute perte de liquide par évaporation ou autrement, l'épuration est exécutée préférablement dans une ohambre herméti- quement close* Un tamis secoueur est employé dans le but de ren- dre possible un lavage à fond du oharbon et le problème de transmission de force   gotrioe   au tamis sans permettre des accès d'air dans l'appareil n'était pas facile   à   résoudre.

   Cependant il a été résolu par les moyens décrit   ci-dessous.   Brièvement parlant,le charbon est transporté au travers d'un raccordement, hermétiquement fermé vers l'extérieur,de l'appareil séparateur dans la section de lavage, où il est constamment remué, ou retour- né,par un tamis à secousses tout en étant soumis simultanément à un lavage énergique afin d'enlever toutes les particules fines et substantiellement tous les liquides qui ont été employés dans le procédé.,Le charbon et les sohistes sont alors déversés du 

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 tamis dans des bains d'eau de convoyeurs à joints hydrauliques. 



  Le liquide usé est passé sur une table de concentration qui tend   à   précipiter tous les solides suspendus et à former des rassem- blements plus importants de liquide suspendu,le tout s'écoulant vers un bac formant le fond de l'appareil, où un barrage divise les liquides,qui contiennent seulement des solides légers sus- pendus,d'avec les boues lourdes. Ces fractions sont respective- ment retirées et traitées dans un système de récupération qui sera plus complètement décrit ci-dessous. 



   Dans les dessins les figures 4 à 4-e servent à illustrer cette partie de l'invention. Dans les figures le numéro 4   désigne d'une manière générale l'appareil de lavage ; est   un tamis seooueur;   41   est un conduit à charbon formant partie du dit tamis; 42 est un conduit à schistes formant partie du dit tamis;   43   est une pièce séparatrice divisant le tamis longi- tudinalement en deux parties pour empêcher le charbon et les schistes séparés de se mélanger. 44 sont des lattes en bois ou d'une autre matière similaire capable de résister   à   l'action abrasive du charbon et des sohistes; 45 est une partie perforée   à   l'extrémité d'entrée du t amis, qui permet de drainer du li- 
 EMI36.1 
 quide;

   46 est un tamis répatisseur ----------------- ------ qui constitue la face de la partie du tamis qui s'appro- che de l'extrémité de sortie; 47 est un fond non ajouré du ta- mis à la sortie; 48 sont des rampes d'évacuation. 



   La construction du tamis est la suivante : des fers cor- nières 49 forment les encadrements latéraux du tamis et   s'éten-   dent longitudinalement desconduits d'entrée jusqu'au plateau de sortie   47.   La pièce séparatrice 43 est aussi un fer à sec- tion angulaire s'étendant des conduits d'entrée jusqu'au pla- teau 47; 400 sont des pièces angulaires reliant les parties latérales du châssis de l'appareil au cadre principal du tamis; 401- 401 sont des pièces à section en forme de J d'une hauteur considérable;   402-402   sont des tirants reliant la pièce   sépa-   

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 ratrioe 43 du cadre du tamis aux parties inférieures de la piè- ce à section en forme de J; 403 est un tirant reliant les deux fers J directement   l'un à   l'autre;

   404 est un garde boue lon- geant la partie ajourée ou perforée du tamis. 



   405-405 sont le support de l'appareil épurateur ou laveur entier ; 406 est un bac formant le fond de l'appareil; 407 est une paroi de ce bac; 408-408 sont des pièces à section angulai- re formant des ohenaux avec 407 et   416   respectivement,qui s'étendent longitudinalement par rapport aux et du côté inté- rieur des parois   407   et 416;   409   est le fond incliné   du '1 9;   410 est une paroi du bac   s'étendant   le long de   llappareil   et formant un barrage divisant le bac en deux parties; 411 est le fond du bac au delà du barrage; 412 est la paroi extérieure du bac, placée en   l'occurence   loin au delà de la paroi extérieure de la partie à tamis de l'appareil; 413 est le dessus du oôté saillant dont il est question ci-dessus;

   414 est une ouverture rectangulaire, à section transversale en forme de chenal et for- mant un siège pour le couvercle 415. En remplissant partiellement d'eau la pièce à section en forme de chenal on obtient un joint hydraulique   et anche   aux gaz. 416 est une paroi formant partiellement la parai extérieure de l'appareil et partiellement une paroi séparant les deux compartiments du bac;   417   sont des tirants attachés aux   cotés   en regard des chenaux 408; 418 est une barre supportée par les tirants 417;   419   sont des pla-      teaux latéraux s'étendant longitudinalement, un sur chaque côté de l'appareil;

   421 sont des plateaux latéraux attachés aux ti- rants   403-403,s'étendant   longitudinalement sur chaque côté de l'appareil et recouvrant les parties verticales des chenaux 408, du oôté intérieur de ces derniers; 420 sont des écrans attachés aux pièces   419   pour empêcher le liquide tombant du tamis d'en- trer dans les chenaux   408;422   :Sont des écrans attachés aux parois de la ohambre de tamisage et s'étendant dans les chenaux fermés aux bords des tamis par des pièces à section angulaire 49 et par 

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 les pièces   à   section en forme de J,   401-401;   423-423 sont des parois de la section de tamisage de l'appareil; 424 est le des- sus de l'appareil;

   425 est un couvercle pour l'obturation d'une ouverture dans le dessus de l'appareil,ce couvercle présen- tant une bride ou rebord continu 426; 437 sont des chenaux con- tinus dans le dessus de l'appareil de dimensions telles que le rebord continu du couvercle 425 puisse se loger dans ces ' chenaux qui sont partiellement remplis de liquide et forment ainsi des joints hydrauliques efficaces: 428-428 sont des sup- ports attachés et saillant à angle droit aux branches extérieures des pièces   à   section en forme de J;   429-489   sont des planches élastiques en bois; 430 sont des poutrelles auxquelles les plan- ches élastiques sont boulonnées; 431-431 sont des planohes élas- tiques suspendues aux poutrelles 430; 433 sont des poids suspen- dus aux dites planches élastiques;

   433-433 s ont des guides montés sur le châssis 405 de l'appareil;   434-434   sont des organes tampons se rapprochant des contrepoids; 435 est un arbre monté sur le châssis 405 ; 436 est une roue susceptible d'être   oomman-   dée par courroie ou moyens similaires de transmission de force motrice,la dite roue étant calée sur l'arbre 435 pour entrai-   nerce   dernier ;   437-437   sont des excentriques; 438-438 sont des tiges de commande attachées aux exoentriques 437 et attachées d'autre part au moyen de raccords 439 aux cadres   à   section en forme de J des tamis; 440 sont des excentriques montés aur l'ar- bre en positions opposées aux excentriques 437, et extérieurement aux parties 405 du chassis;

   441-441 sont des tiges de commande '' reliant les exoentriques 440 aux contrepoids 432. Les   exoentri-   ques, le chassis et le dispositif de oommande à l'extrémité de sortie de l'appareil sont séparés du reste de la figure par une cassure pour montrer qu'en réalité ils sont plus éloignés du bac qu'il n'était possible de le représenter dans le dessin. 



     442-442   sont des tuyaux collecteurs qui peuvent être sus- pendus aux poutrelles 430 au moyen d'attaches 443 comprenant une bande entourant le tuyau collecteur et garnie d'un crochet 

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 qui s'engage dans un oeillet prévu dans une pièce intermédiaire attachée aux poutrelles 430. 444 sont des tuyaux raccordés aux tuyaux oolleoteurs et pénétrant dans la chambre de lavage au tra- vers de joints hermétiques 45; 446 sont des Soupapes dans les tuyaux 444; 447 sont des manomètres raccordés aux tuyaux 444;

   449 sont des tuyètes d'arrosage raccordées aux tuyaux 448 de manière   à   ce que le liquide dans les tuyaux 448 puisse être dirigé suivant l'angle le plus efficace sur la matière se trouvant sur le tamis 40;450 sont des supports attachés au bac à des intervalles appro-   priés;451   sont des ohicanes supportées par les supports 450 et s'étendant transversalement par rapport au bac;452 sont des chenaux au bas des chicanes pour récolter les gouttes et pour diriger le liquide ainsi interoepté vers les côtés du tamis dans les che- naux formés par les cornières 49 et les côtés 401 du cadre; 453 sont une série de supports s'étendant transversalement entre les parois   407-416   de l'appareil et inclinés sur l'horizontale;

   454 est un plateau supporté par les supports 453, s'étendant sur la longueur substantiellement entière de   l'appareil,incliné   en ver- tu de   l'inclinaison   des supports 453 et se terminant peu avant la paroi 416; 455 sont des supports qui s'étendent également entre les parois 416 et 407,et qui possèdent des inclinaisons opposées à celles des supports 453; 456 est un plateau nervuré ou rayé, d'une longueur substantiellement égale ou correspondant à celle de l'appareil et s'étendant de la paroi  416    jusqu'à   une ligne située à faible distance de'la paroi 407. 



   Suivant la figure 4-a le tamis est partiellement enlevé par brisure en 454 pour montrer le plateau plat 454; sur la même figure le tamis et le plateau 454 sont partiellement enlevés par brisure en 456 pour montrer les nervures du plateau incliné 456. 



    457   est une sortie au fond du bac 406 à l'endroit de jonction du fond incliné 409 avec le barrage'.410; 458 est une ouverture pour raccordement d'un tuyau,sortant de la partie du bac située au delà du barrage;459 est un tuyau de purge par lequel de l'eau sous 

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 pression peut être introduite dans le bas pour évacuer les boues du fond du bac par les orifices 457;   460   est une chicane à   l'ex-   trémité da chenal formé par les pièces 49 et   401;   461 est un ohe- nal coupé dans les pièces 49-49 de sorte que tout liquide dans le dit chenal puisse s'évacuer sur la surface du tamis et passer par la partie perforée ou ajourée de ce dernier ;

   462 est un boi- ties sous l'extrémité de sortie 47 du tamis,séparé du bac comme représenté dans la figure 4 et divisé en son milieu par la cloison 463 empêchant le mélange du charbon avec les schistes. 



   La figure 4-e représente une disposition des tuyères d'ar- rosage telle qu'il en résulte un double recouvrement ou superpo- sition des jets d'eau. Grâce à cette disposition l'obstruction ou l'absence d'un jet n'influencera pas le lavage du charbon par- ce que les deux jets voisins se recouvreront encore toujours. 



   Le fonctionnement de l'appareil qui vient d'être décrit, considéré d'une manière un peu plus détaillée, se présente comme suit:le charbon venant du convoyeur des matières flottantes de l'appareil séparateur est déversé sur le conduit récepteur 41 tandis que les schistes venant du convoyeur des matières descen- dant au fond sont déversés sur le conduit récepteur 42. La bran- che la plus longue des parties d'encadrement à section en forme de J du, tamis est d'une hauteur décroissante à partir de   l'ex@rémi-   té réceptrice à l'extrémité de sortie du tamis, alors que la branche la plus courte,   c' est   à dire celle qui est attachée aux planohes élastiques, est d'une hauteur uniforme.Il en résulte que les planches élastiques sont de longueur uniforme alors que le tamis est supporté en position inclinée.

   Le tamis est divisé à sa partie du milieu par une pièce séparatrice empêohant le mé- lange du charbon et des schistes séparés.   Le mécanisme   de commande impose au tamis un mouvement alternatif suivant un taux qui ré- pond au meilleur rendement et les matières sont déplacées graduel- lement de l'extrémité réceptrice à l'extrémité de sortie tout en étant énergiquement arrosées par une multitude de douches ou de 

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 jets dispersés,,, Le mouvement du tamis en combinaison avec les jets retourne le charbon toujours à nouveau sur lui-même, de sorte que tous les cotés sont exposés au et sont lavés à fond par le li- quide épurateur,en réalisant ainsi un enlèvement du liquide sépa- rateur suivant l'efficacité du stabilisateur de film. 



   Les conduits récepteurs 41-42 du tamis sont non perforés, puis le tamis est ajouré soit par percement de trous au travers du plateau, soit par l'emploi de tamis ordinaires,soit par d'autres moyens.! La partie finale du tamis est constituée par un tamis répartisseur ---------------,dans le but de retires-du charbon et des matières séparées d'avec lui substantiellement la totalité d'eau entrainée avant qu'ils n'arrivent sur les oon- duits de sortie   47   et dans le boitier subdivisé. Le tamis pour- rait être entièrement d'un seul type de fil métallique,mais l'ar- rangement représenté produit des résultats supérieurs,tous fac- teurs considérés.

   De l'eau est préférablement employée pour le lavage de la matière et elle est introduite sous pression dans les collecteurs 442   d'où.   elle passe pat les tuyaux descendants aux tuyaux d'arrosage 448 en sortant finalement par les tuyères 449. La vitesse des jets est telle qu'une partie considérable du liquide   est   éclaboussée en atteignant le charbon et le tamis.) La direction des jets provoquerait la formation de courants d'air passant de l'extrémité réceptrice   à   l'extrémité de sortie de l'ap- pareil et du fait des quantités considérables de liquide dispersé ou pulvérisé provenant des-jets et contenant du liquide récupéra- ble,passeraient par dessus le tamis et desoenderaient dans le' boitier subdivisé où elles seraient perdues et contamineraient le charbon,

   mais pour éviter de tels défauts des chicanes ou plateaux de rencontre   451   sont disposés devant chaque tube d'arro- sage ,de sorte que le brouillard des jets d'arrosage précédents est intercepté sur la face de la   ohinane,descend   en ruissellement dans le chenal   451   et   s'écoule   dans les chenaux formés par les pièces 49 et 401 du tamis, d'où le liquide ainsi récupéré passe vers l'extrémité de sortie et est déversé par les orifices   461   sur le tamis répartisseur   -------------------  .Substantiellement tous les liquides qui sont amenés dans l'appareil avec le charbon sont 

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 enlevés du charbon et passés par les tamis.En outre les jets enlèvent une quantité considérable de particules solides fines,

   constituées principalement par de la terre et par des particules finement divisées de charbon et de   schiste s,toutes   celles qui ont des dimensions inférieures à une certaine limite passant avec le liquide de lavage au travers des tamis. 



   Les liquides qui passent avec les solides entrainés au travers des tamis, sont empêchés d'atteindre les côtés du bac par les écrans 404. et par les plateaux 419,420,421 et 408. Il est   à   remarquer que les plateaux   419   qui sont rigidement disposés par rapport au chassis de l'appareil présentent des ouvertures par lesquelles passent les tirants 403-403 du tamis, ces ouvertu- res dans le plateau 419 ayant des dimensions permettant le dé- placement alternatif du tamis.

   Peut éviter une entrée de liquide par cette ouverture dans le joint liquide,les plateaux 421, ayant des dimensions appropriées pour couvrir les dites ouvertures dans toutes les positions du tamis, sont montés sur les tirants 402-403 et un écran 420 détourne tout liquide découlant du côté   du pla-   teau 419, autour et au delà du dit plateau 421. Par conséquent tout liquide qui passe par le tamis, tombe sur et descend en cou- lant suivant l'inclinaison du plateau   454.   qui est un plateau pos- sédant une surface assurant un transport maximum désirable du liquide.

   Le plateau 454 se termine à peu de distance de la paroi latérale et les liquides en déooulent substantiellement sur l'en- droit le plus élevé du plateau nervuré   456.I1s   descendent sur le dit plateau nervuré,les solides tendent   à   se précipiter,et des globules de liquide lourd tendent à devenir des globules plus   '.   grands de sorte qu'au moment où les liquides ont finalement parcou- ru la longueur du plateau   nervuré, il   une séparation partielle des constituants s'est produite.

   La plateau nervuré se termine   à   peu de distance de la paroi latérale 407 de l'appareil,et le cou- rant passe pas dessus son extrémité en tombant dans le bac 406, dont toutes les parties du fond sont inclinées vers le point cen- tral profond dans le voisinage de la sortie   459.Le  boues et quel- que peu de liquide séparateur se rassemblent dans le voisinage de l'ouverture 457 et le liquide qui charrie seulement des 

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 particules solides comparativement fines,s'écoule par dessus le barrage 410 dans l'autre division du bac en étant pompé par l'o-   rifice   456 vers le second bac déoanteur,oomme décrit plus en détail à un autre endroit de la présente spécification.

   Les boues sont pompées par l'orifice   457   vers le troisième bac   déoan-   teur, qui est également déorit plus en détail à un autre endroit de la présente spécification. Si les boues se sont accumulées à l'orifice 457 en une épaisseur- telle que les pompes   à   boues ne peuvent pas les retirer du bac, un boyau peut être racoordé au tuyau 459 pour chasser les boues de la chambre du bac par   in-     jection   d'eau sous pression.,' 
Le tamis est contrebalancé par l'emploi de contrepoids sus- pendus à des planches élastiques et commandés par des   excentri-   ques de disposition opposée sur le même arbre.

   Les couvercles donnant accès   au bao   sont fermés par joints hydrauliques grâce   à   l'emploi de couvercles à brides ou rebords s'emboitant dans des pièces à section en forme de chenal ,remplies d'eau et fixées   à   l'enveloppe de l'appareil. 



   Pour oommander le tamis qui est à l'intérieur du bac ou enveloppe au moyen de mécanisme de commande se trouvant en dehors sans permettre aux vapeurs de s'éohapper, des pièces en forme de chenal, partiellement remplies d'eau,sont prévues sur chaque côté de   l'appareili   Le cadre du tamis présente une section en forme de   J,chaque   J s'étendant dans le liquide dans les dits che- naux et étant plus court que ces derniers de la longueur de l'oscillation.' La partie supérieure du bac, ou enveloppe, est alors, pour ainsi dire placée dans le crochet du J, de sorte que son boro inférieur se trouve sous le niveau d'eau dans le chenal,;

   Par conséquent lecadre à section en forme de J se meut alternati- vement dans un joint hydraulique qui empêohe efficacement un échappement ou fuite de gaz, et la construction de l'appareil décrite plus haut,empêche la contamination du lipide dans les dits chenaux. 



   Dù tamis,le charbon et les schistes tombent dans le boitier 

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 subdivisé   463.De  couvercles 464 à joints hermétiques donnent accès à l'intérieur de ce boitier. A . un côté du boitier est hermétiquement raccordée la boite à oonvoyeur 51 étanche aux liquides,   et à   l'autre côté du boitier une boite similaire à convoyeur 53. Le   boitier   reçoit ainsi deux oouloirs,un pour le charbon et un pour les schistes.

   Une description de l'un de ces convoyeurs suffira pour les deux. 51 est la boite du con- voyeur en général,formée par un bac étanohe aux gaz et aux liqui- des,constitué en métal ou en une autre matière appropriée ; 53 est une trémie dans le dit bac convoyeur,possédant une paroi in- clinée 54 pour diriger la matière,qui tombe du tamis dans le bac convoyeur, suivant un angle qui entraine le moindre heurt      avec les ailettes descendantes du convoyeur; 510 est le côté in-   cliné   inférieur du bac convoyeur; 511 est une partie déportée du dit côté;

   512 est une partie perforée formant une continuation de la   partie 5,10   du fond, les parties 511 et 512 formant en- tre elles un espace d'une capacité appropriée pour recevoir tel liquide qui peut y être déchargé, provenant des solides qui sont transportés hors du bac par les ailettes. 505 est un chenal convoyeur ;506 sont des ouvertures dans la partie inférieure du chenal convoyeur; 507 est une partie constituée par un tamis   ..   répartisseur   -------------------,formant   le fond du dit chenal convoyeur   à   un endroit précédant de peu la rampe de sortie du dit chenal; 58 est la rampe ou couloir de sortie du chenal convoyeur par lequel la matière entraînée par le convoyeur est expulsée; 59 est un prolongement de support du bac convoyeur ; 513 est un convoyeur à ailettes type racloirs;

   514 sont des pignons à chaine sur lesquels passent-les chaines   convoyeuses;     516   est un moteur monté sur le chassis 517 du convoyeur; 518-519-520-521-522-523 est un dispositif combiné de transmission de force et réducteur de vitesse,constitué, dans l'exemple d'exécution représenté, par une série de roues dentées alternativement grandes et petites coo- pérant entre elles soit directement ou par l'intermédiaire de moyens de commande flexibles ,tels que chaînes ou câbles.524 

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 est une roue commandée par les moyens 523 et calée sur l'arbre 525 sur lequel sont oâlés les pignons à chaine 514; 526 sont des paliers sur le bac qui supportent l'arbre 525; 527 sont des blocs de support parallèles;

   529 est un arbre monté à une extré- mité avec jeu dans les dits blocs 527 et à son autre extrémité dans des blocs de support complémentaires non représentés,situés à l'autre oôté du bac convoyeur.! 530 est une tige fixée par une extrémité à l'arbre 529 et présentant à son extrémité supérieure un écrou 532; 531 est une tige filetée coopérant par filet de vis avec l'écrou 532. Une de ces tiges est attachée à chaque extrémi- té de l'arbre 529. Le tiges   531   sont montées sur une tige qui traverse et est'attachée   auxcôtés   du bac.

   Le convoyeur peut s'é- carter du   chenal/convoyeur   en vertu du jeu des coulisseaux ou du jeu de l'arbre 529 dans les coulisseaux 527, et il peut être ajusté à la main au moyen des écrous 532. 541 est une ouverture à la base de la partie   SII, à   laquelle est raccordé un tuyau, non   représenté,raccordé d'autre   part à la partie inférieure du convoyeur, pour renvoyer le liquide,- retiré de la matière au travers du tamis répartisseur - ---------- ,- à un point plus profond du bac convoyeur; 542 est un tuyau d'amenée avec soupape par lequel du liquide peutêtre introduit dans le bac convoyeur;

   543 est un tuyau de sortie avec soupape au fond du convoyeur, permettant l'évacuation des boues qui peuvent s'y déposer.' Le tuyau 543 est raccordé soit à une fosse d'évacuation ,soit à un bac décanteur déorit plus bas avec plus de   détails.'544   est une boite   à   liquide en dehors de l'appareil, et 545 est   un;    tube de trop plein dans la dite boite à liquide.' 
Le fonctionnement de l'appareil se présente comme suit: le charbon est versé par le bord de sortie 48 du tamis, au tra- vers du boitier subdivisé, dans la trémie.

   La trémie et le convoyeur sont remplis, jusqu'au niveau 546, d'eau ou d'un autre liquide approprié* Le charbon est donc versé dans l'eau au dessus de la hauteur de la trémie et est dirigé pat l'incli- naison du conduit   54   à un endroit dans le voisinage des ailettes 

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 descendantes du convoyeur. Le charbon passe entre ces ailettes et directement vers le chenal convoyeur, où il est recueilli par les ailettes montantes,débarrassé du liquide en passant sur le tamis répartisseur et évacué par le couloir de sortie 58. Le niveau du liquide dans l'appareil est maintenu à   la hau-   teur 546, de sorte qu'aucune vapeur,ni liquide,venant par l'ex- trémité de sortie du tamis ne peuvent s'échapper dans l'air.

   Le liquide qui est drainé au travers du tamis répartisseur rempli l'espace entre le chenal convoyeur et le bac et passe en- suite par le tamis 512 dans l'espace situé en dessous,duquel il est retiré par   le tuyau     541   qui le renvoie au fond du bac con- voyeur, ou autre part.

   Des moyens sont prévus,non représentés, dans les dessins, pour purger l'espace entre le chenal convoyeur et le fond du bac,ces moyens étant constitués par une tuyère par laquelle de l'eau peut être refoulée sous pression en 459 comme décrit plus haut pour une autre partie de l'appareillage.' 
Les liquides qui lavent le charbon dans la section de la- vage ou d'épuration,enlèvent du charbon et des schistes substan- tiellement tout le liquide lourd et les particules fines qui sont produites par abrasion ou qui   sont char@iées   au travers de l'appa- reillage. Dans le bac   décanteur,au   fond de l'appareil laveur le liquide contenant des matières fines en suspension est séparé d' avec les boues lourdes par le barrage.

   Les boues lourdes, sont pompées du fond du bac par le tuyau 457 dans le bac décanteur 7, représenté dans les figures 7 à 7-c, et le liquide contenant des matières légères en suspension est amené par le tuyau 458 dans le bac décanteur principal 6, représenté dans les figures 6 à 6-c. 



   Le système comprend trois bacs décanteurs ou séparateurs interoonnectés dont le premier, situé à la base de la section de lavage produit une division préliminaire entre les boues et le liquide contenant des matières légères en suspension,le second appelé dans des buts de différenciation le bac décanteur prin- cipal,sépare les matières relativement légères en suspension d'a- veo le liquide de lavage, et le troisième,appelé dans des buts de oommodité l'interoepteur de boues,reçoit les boues des deux   bars   / 

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 du premier et du seoond. Dans le domaine considéré on a souvent fait valoir qu'il est impossible de séparer du charbon de fines dimensions d'avec du liquider de lavage par des procédés statiques quelconques.

   Le procédé décrit dans la présente spé- cification et destiné   à   produire ce résultat est croit-on le seul qui a eu du   succès*   
Dans les figures 6 à 6-c, qui représentent le bac décan- teur ou séparateur dit principal,6 désigne l'appareil sépara- teur dans son ensemble;458 est l'extrémité de sortie du tuyau conduisant le liquide avec matières légères en suspension ve- nant du bac décanteur primaire; 61 est le dessus du bac;   610   est un organe tubulaire passant par et s'emboîtant exaotement dans une ouverture dans le dessus   61,   611 est un fer cornière qui relie le tube 610 au dessus 61 avec joint hermétique. La jonction peut se faire par soudage ou par une autre fermeture her- métique appropriée.

   L'organe tubulaire s'étend vers le fond du bac. 612 sont dés ouvertures dans les côtés de l'organe tubulaire au dessus de la ligne d'eau opérante; 613 est un couvercle pourl'organe tubulaire 610 percé par le tuyau dtarrivée   458;   62 un fond   tronoônique   du bac; 621 est un collecteur rac- oordé au tronc du cône. Ce collecteur peut être considéré comme étant formé par un plan passant.diagonalement par un cylindre. 



  622est le plan diagonal divisant le"cylindre" 621 et formant un fond diagonal du collecteur,en dirigeant les matières qui s'y accumulent vers le tuyau d'évacuation 620 et la   soupape ;633;   624 est une conduite'd'eau sous pression,cette dernière étant utilisée pour déplacer les boues sur le fond du collecteur 621 si et lorsque les dites boues deviennent trop solides pour être évacuées par des pompes; 625 est une tige montée dans le sup- port 626 etdans le plateau   633. et   passant par la boite à bour- rage 614 dans le couvercle 613;   616   est une poignée attachée à l'extrémité   àupérieure   de la tige 625;

   626 sont des bras   atta-     chés à   la partie inférieure de la tige 625 de manière à pouvoir être tournés avec la poignée 616 et la tige   635; 637   sont des racloirs disposés diagonalement sur les bras 626 de manière   à   ce 

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 que leur mouvement déloge les boues accumuléessur le fond côni- que 62 et les poussera vers le collecteur   621;   617 sont des couvercles à joint hydraulique dont la construction est similai- re   à   celle des couvercles   à   joint hydraulique décrits autre part dans la présente spécification;

   630 est un organe à section angulaire ayant une profondeur croissante d'un côté du bac vers l'autre, cet organe étant soudé ou autrement fixé à l'intérieur du bac 6 dans la partie supérieure de ce dernier; 631 est une latte en bois formant barrage de forme circulaire fixée   à     l'orga-   ne de section angulaire 630;   633   est une boite de sortie au point le plus bas du chenal formé par le bac 6 et l'organe à section angulaire 630 ; 615 est un tuyau raccordé à la dite boi- te 633; 640 est un chenal circulaire suspendu du dessus 61 du bac dans l'espace entouré par le chenal et possédant un rebord 
641 qui est un peu plus bas que le bord supérieur du barrage 
631; 642 sont des tuyaux s'étendant vers l'intérieur,du chenal 
640 vers le fond du bac;

     65   sont des supports pour le bac, comprenant des pieds métalliques attachés au bac. 



   Le fonctionnement de cet appareil se présente comme suit : le liquide contenant des matières légères en suspension en quanti- tés plus ou moins grandes entre dans le bac par le tuyau   458   et le tube 610   .Il   se répand sous le tube 610 en tendant de pré- cipiter vers le fond les matières en suspension plus lourdes et de monter vers la surface, dont le niveau est établi par le barrage 631. Les vibrations causées par la ohute de l'eau du tuyau 438 dans la masse d'eau se trouvant dans le bac,sont largement amorties dans le tube 610, de sorte que le liquide dans le reste du bac est comparativement calme. Le chenal formé entre le barrage et l'enveloppe du bac est incliné et augmente de dimen- sions vers la sortie.

   Le liquide qui coule par dessus le barrage suit l'inclinaison descendante vers la boite   633   et est ramené par le tuyau 615 dans les tuyaux collecteurs 442, où il est utilisé à nouveau au lavage des matières solides sur le tamis . 

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  Une écume légère tend à flotter à la surface du liquide dans le bac, et la direction des courants de liquide dans le bao en- traineront cette écume normalement par dessus le barrage. Les ouvertures 612 servent à la décharge des pressions intérieures. 



  Entre le barrage et le tube 610 est interposé le chenal ou gouttière   à   écume 640.   Lorsque'l'écume,   flottant à la surface de l'eau et   entraînée par   le courant vers le barrage, flotte par dessus le bord 641 du chenal à écume, qui est légèrement plus bas que le barrage,et vient en contact avec le côté du chenal à écume,l'écume tend à se précipiter dans ce dernier. Y étant   précipitée,son   poids spécifique apparent augmente à un point tel qu'elle descend dans les tubes   642   dans la zone inférieure du bap, où elle se déposera sur le fond et sera évacuée avec les boues.

   Les boues qui se concentrent sur le fond sont de temps à autre raolées vers le   oolleoteur   et pompées au travers des soupapes 623 et le tuyau   620vers   l'intercepteur de boues. Si le tuyau est obstrué il peut être purgé par injection d'eau par le tuyau 624. 



   Les figures 7 à 7-c représentent la disposition de l'in- teroepteur de boues et de la chaudière de distillation. La fono- tion de l'intercepteur de boues est ,premièrement, de séparer l'eau contenant des matières.légères en suspension et de la ren- voyer au bac décanteur principal en vue de son traitement 'ulté- rieur; secondement,de séparer du liquide lourd isolé et de le renvoyer au réservoir de liquide lourd; et,troisièmement   d'in-   jeoter tous les liquides et solides restants dans une chaudière de distillation,en vue de la récupération de toute quantité de liquide séparateur qui pourrait. y être contenue. 



   Suivant ces figures   457   et 620 sont des tuyaux venant du premier bac décanteur et du bac   décanteur   principal, respecti- vement. 7 désigne   l'interoepteur   de boues dans son ensemble;   71   est le tuyau par lequel passent les boues venant par les tuyaux   457   et 620; 710 est un verre de regard,maintenu d'une 

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 manière étanche aux liquides et aux gaz entre les plaques ou brides ?Il et 712; 713 est un tuyau d'entrée,d'un diamètre con- sidérablement plus grand que celui du tuyau 71, dans le but de diminuer la vitesse des matières introduites, de leur assurerune entrée facile dans l'intercepteur de boues et de ne pas rem- plir entièrement le verre de regard 710;

   714 est une pièce tu- bulaire à l'intérieur du bac   interoepteur,par   laquelle la matiè- re est délivrée dans ce dernier; 715 est un couvercle à joint hy- draulique du type qui a été décrit plus haut; 716 est un barrage circulaire dans la partie supérieure du bac; qui forme avec les parois du bac un chenal ayant une inclinaison suffisante pour drainer tels liquides qui passent par dessus le barrage, vers la boite de sortie 717; 718 est une paroi chicane s'étendant dans l'espace entouré par le barrage.

   Le bord inférieur de la chicane est situé en dessous du niveau du liquide dans   l'appareil,et - '   très près du barrage, de manière   à   former un joint substantielle- ment infranchissable aux vapeurs. 719 sont une série d'ouvertures à soupapes,débouchant dans le bac intercepteur à différents ni- veaux ; 720 est un tuyau collecteur reliant les dites ouvertures à soupapes entre elles ; 721 est un tuyau purgeur partant du tuyau collecteur; 722 est une fente   à   verre de regard, par la- quelle le contenu du bac peut être observé substantiellement sur toute sa hauteur; 723 est un tuyau monté dans le flanc du bac; 724 est un tronçon disposé à angle droit au précédent; 725 est une articulation à rotule étanche aux liquides;

   726 est un tron- çon de tuyau raccordé de manière mobile au tronçon 724 par l'in- termédiaire du coude 727 et l'articulation à rotule 725; 728 est une pièce de raccordement attachée par l'oeillet au tuyau 726 et par la oonnection 730 à la tige   731   qui passe par une boi- te à bourrage dans le dessus du bac intercepteur; la tige 731 est attachée à une glissière 732 montée de manière verticalement déplaçable entre les guides 733-733; 734 est une crémaillère fixée 

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 sur la face de la glissière 732;735 est un pignon fixé sur l'arbre   736   qui est monté dans les paliers   737,montés   à leur tour sur les supports 738 fixés au bac; 739 est une roue, action- née par une   ohaine   ou autrement,et fixée sur l'arbre 736.

   Par la rotation de la roue 739 la tige 731 peut être montée au descendue, en soulevant ou en abaissant oorrespondamment le tuyau 726; 740 est un fond   conique   du bac interoepteur; 741 est une soupape dans les tuyaux 742 reliant le bac intercepteur de boues   à   la chaudière de distillation   8;743   sont des supports du bac intercepteur. 



   Le fonctionnement de l'appareil qui vient d'être décrit se présente comme suit: les boues venant des sources débiteuses de boues sont amenées au travers du verre de regard 710 et le tuyau 713 dans le bac, où les boues se déposent au fond,tandis que le liquide lourd forme une couche sur la surface des boues, et l'eau se sépare au dessus du liquide lourde L'état des in- grédients est tel que dans beaucoup de cas on obtient une sépa- ration tellement claire, ou nette, qu'il est possible de retirer une partie du liquide par déoantation,du liquide substantielle- ment clair passant par dessus le barrage et s'évacuant par le tuyau 717, d'où il peut être renvoyé au bac décanteur, au bac décanteur principal, ou être évacué.

   Entre la couche de boues située au fond et la couche de liquide léger à la surface, il peut se former une couche du liquide séparateur lourd d'une pureté suffisante pour être retirée pour enmagasinage ou réu- tilisation immédiate. La séparation de cette couche intermédiai- re est réalisée par le tuyau mobile 726, qui est monté ou abaissé suivant les observations faites sur le contenu du bac   in-   tercepteur par le verre de regard 722. Au fur et   à   mesure que la couche du liquide intermédiaire devient plus mince la posi- tion de l'orifice du tuyau 726 est réglée de manière à ne puiser ni dans   l'une   ni dans l'autre couche située de part et d'autre du liquide formant la couche intermédiaire.

   De cette manière,la 

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 couche intermédiaire peutêtre retirée sans déranger les couches voisines. Lorsque la couche intermédiaire a été évacuée, ou avant cela, du liquide clair situé dans la partie supérieure du bac peut   être   retiré à toute hauteur voulue par les ouvertures 719 et le collecteur 720. Par l'observation au travers du ver- re de regard 722 l'opérateur choisit la soupape jusqu'au niveau de laquelle il désire faire descendre le niveau du liquide dans le bac,puis il ouvre la soupape choisie, et le liquide passe par gravité, ou par emploi d'une pompe, dans le tuyau 721, et est enmené soit pour réutilisation dans les tuyaux collecteurs, soit dans le bac décanteur, ou autre part.

   Lorsque les liquides relativement clairs ont été retirés du bac intercepteur de boues,la soupape 741 est ouverte et la matière restante est chassée dans la chaudière de distillation 8 à l'aide de jets d'eau 754. Lorsque le bac intercepteur de boues a été vidé, la      soupape 741 est fermée et l'interoepteur de boues est rempli à nouveau. 



   Dans les figures 7 et 7-c,8 désigne la chaudière de dis- tillation ohauffée à la vapeur, dans son ensemble; 81-82 sont des parois respectivement extérieure et intérieure de la chau- dière de distillation,assemblées par endroits par les pièces 83 qui peuvent encercler la chaudière,mais qui sont préférablement ouvertes par endroits,afin de permettre le drainage d'eau de la partie supérieure vers la partie inférieure de la chemise; 84 est une chemise de vapeur   à   la base de la chaudière ; 85 sont des ouvertures par lesquelles de la vapeur peut être direc- tement injectée dans la chambre distillatoire de la chaudière; 86-86 sont des tubulures d'admission de vapeur et 87-87 des tubulures d'évacuation de vapeur et d'eau condensée;

   88 est une ouverture dans le dessus de la chaudière de distillation reliant cette dernière par le t uyau 89 aux oondenseurs qui seront décrits plus bas; 810 est un tuyau de sortie au fond de la chaudière de distillation ; 811 est une soupape dans le dit tuyau; 812 est une ouverture dans le dessus de la chaudière;   813   est une ferme- 

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 ture amovible de cette ouverture,maintenue en contact herméti- que avec le bord de   l'ouverture   par des boulons 814 ou par d'autres moyens appropriés;   815   sont des supports pour la ohau- dière de distillation; 820 est une conduite d'eau;

   821 sont des tuyaux allant de la dite conduite d'eau à la base   de la     chaudiè-   re, en constituant un moyen pour rendre fluide le résidu solide de la distillation et pour éjecter ce résidu par le tuyau 810; 822 est une conduite d'évacuation de vapeur passant par le des- sus de la chaudière de distillation; 823 est une soupape dans la conduite d'évacuation de vapeur   822;   750 est une conduite d'éva- cuation de vapeur communiquant avec   l'intérieur   de l'intercepteur de boues par le dessus de ce dernier ; 751 est une soupape dans la conduite d'évacuation de vapeur   750.

   La   conduite d'évacuation de vapeur 822 est branohée sur la conduite d'évacuation de va- peur 750. est une conduite   dLévacuation   de vapeur à laquelle les deux autres 822 et 750 ,sont raccordées. Cette conduite   d'é@a-   ouation de   vapeur '752, ensemble   aveo tous les autres tuyaux d'é- vacuation de vapeur de l'appareil,sont dirigés vers un système d'épuration tel à jets d'eau d'arrosage qui élimine les vapeurs entrainées.

   Le système épurateur étant d'une construction stan- dard, n'est pas représenté,et   à   titre de simplicité toutes les conduites d'évacuation sont représentées ouvertes à l'extrémité supérieure. 753 est une conduite d'amenée d'eau encerclant la base de l'intersepteur de boues; 754 sont des conduites de chas- se entrant dans l'enveloppe de l'intercepteur de boues à la base de ce   délier,permettant   de classer le résidu lourd de l'intercepteur de boues par la soupape   741   dans la chaudière de distillation* 
Le fonctionnement de la chaudière de distillation se pré- sente comme suit: Après avoir fait descendre une charge par le tuyau 742 dans la chaudière de distillation,de la vapeur est admise par les ouvertures 86 dans la chemise et directement dans la charge. par les ouvertures 85.

   Un préchauffage avant l'admis- 

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 sion de la vapeur dans la charge est parfois avantageux. Le liquide lourd et l'eau contenus dans la chaudière de distilla- tion sont vaporisés à une température inférieure à celle de la décomposition du liquide et la vapeur de liquide lourd ainsi que la vapeur d'eau s'en vont ensemble par l'ouverture 88 et le tuyau 89, qui les dirige aux condenseurs. Lorsque les dernières quantités de liquide lourd ont été récupérées, on ouvre la sou- pape 811 et l'eau sous pression venant de la source 820 expulse les déchets résiduels contenus dans la chaudière dedistilla- tion,par le tuyau 810. vers sa destination. On peut aussi se servir de la pression de vapeur d'eau pour aider l'expulsion des boues. 



   Les figures 9 et 9-a montrent le système condenseur. 



  Deux rangées standard de radiateurs à quatre unités chacune, constituent, conformément à notre découverte,un   oondenseur   excel- lent lorsqu'il est employé en combinaison avec un seul jet en forme de queue de poisson pour chaque unités Dans le dessin 910 sont les quatre unités d'une rangée standard de radiateurs et il! sont les quatre unités d'une seconde rangée standard de radiateurs. 912 est un tuyau d'amenée d'eau ; 913 y représente une soupape; 9I4 sont quatre tuyaux s'étendant au dessus des ran- gées de radiateurs; 915 sont des jets individuels au dessus des unités de chaque rangée de radiateurs. 



   L'appareil fonctionne comme suit:par le tuyau 89 est amené le distillé de la chaudière de distillation, et il passe par les radiateurs dans la direction des flèches. Chaque rangée de radiateurs est arrosée d'eau froide et le distillé est condensé et est dirigé par le tuyau 891 vers le refroidisseur 95. 



   La figure 10 représente un type de raccord utilisé dans tout l'appareillage. Les ingénieurs savent que la majorité des tuyaux de ce système charrient des matières en suspension outre le liquide et que les matières en suspension auront la ten- dance de se déposer par précipitation partout où il y a un raccord. 

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  Dans le but de rendre possible le nettoyage de tous ces raccords, ceux-ci sont construits comme suit: t est une conduite; m est un   raccord   de tuyau ou coude; n est une conduite; 2 est un tuyau fileté en o-o et garni d'un chapeau jg amovible. Lorsque le rac- cord m oontient un dépôt trop conséquent, le chapeau g est en- levé et un boyau   d'amenée d'eau   sous pression est raccordé au filet de vis o-o. Lorsque l'eau est admise elle chasse tous les schlamms accumulés ou dép8ts, hors du raccord. Le boyau est enlevé et le chapeau g est remis en place. En dirigeant le cou- rant de liquide du tuyau n par le tuyau t, les schlamms s'accu- mulent dans le tuyau o jusqu'à ce qu'il soit substantiellement rempli. Après cela l'effet érosif de l'eau est supporté par les   sohlamms   accumulés et non par la conduite. 



   Dans les figures 8,8-a et 8-b est représenté un appareil pour déterminer le pourcentage de charbon dans les matières des- cendant au fond et le pourcentage de schistes dans les matières flottantes, - en d'autres termes, pour déterminer la teneur en , cendres du charbon nettoyé tel que délivré par le système, afin ou de sorte que les moyennes puissent être   ..réparties   avec le meilleur profit.

   Dans ces figures,75 désigne en général une lon- gue auge, constituée   préférablement'd'un   métal résistant aux attaques chimiques;   750-750   sont des parois qui divisent l'au- ge en une série de compartiments; 751-751 sont des cuvettes pos- sédant des fonds perforés, ou ajourés, 752, et de préférence des côtés non perforés,la forme des cuvettes épousant substan- tiellement celle des compartiments de l'auge.

   Chacun des compar- timents de l'auge est garni d'une cuvette.' Les cuvettes sont ar- tioulées par une extrémité à l'auge,avantageusement de la ma- nière teprésentée dans la figure 8-a.' 753 sont des organes en forme de U fixés par soudage ou autrement au bord extérieur des cuvettes   751;754   est un tube, ou autre pièce.de section circulaire attaché au, ou formant le bord de l'auge   75;     755   sont des boulons passant par les extrémités des organes en forme de V 753; 756 sont des manches ou poignées, attachés au bord de chaque cuvette 751, opposé à l'articulation;   757   sont des butées placées 

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 de manière à prendre contact avec le bord des dites ouvettes et d'empêcher ces dernières de venir en contact avec le fond de l'au- ge 75;

   758 sont des tuyaux avec soupapes,conduisant   à   chaque compartiment,dans des buts de vidange; 759 sont des barres d'ar- rêt placées approximativement au milieu des et s'étendant dans le sens de la longueur des côtés des cuvettes;   760   est une pel- le ayant un fond perforé ou ajouré 761 et un manche 762; 763 sont des moyens pour supporter l'auge;   764   est un plateau s'é- tendant longitudinalement devant l'auge et possédant un rebord 765 pour empêcher l'échappement de liquide, ainsi qu'un chenal de drainage   768   et tuyau d 'évacuation 767 pour le dit liquide; 768 est un tamis pour empêcher l'échappement de solides le long du canal de drainage. 770 est un moyen,tel qu'une conduite de vapeur, pour régler la température du bain. 



   En travail normal l'appareil aura vraisemblablement dix compartiments. Chaque compartiment est rempli à la même profon- deur avec un liquide. 769 désigne un niveau de liquide. Par exem- ple, le premier compartiment contiendra un liquide d'un poids spé- cifique 1.9; le suivant aura un poids spécifique de 1.85; le suivant 1.8; le suivant 1.78; le suivant 1.76; etc. les poids spécifiques étant choisis de manière   à   donner le maximum d'in- formation pour le charbon particulier, ou autre minéral,traité suivant le procédé au moment considéré. Par exemple, un échantil- lon est pris sur le charbon qui sort du convoyeur BOUS joint hydraulique et une portion pesée de ce charbon est placéedans le premier compartiment.

   En supposant que le poids spécifique du compartiment a été correctement choisi pour la première é- preuve,une partie considérable de la charge   desoendra   au fond et le reste flottera. L'opérateur prend alors la pelle   760,   place son bec dans la cuvette,comme représenté dans la figure 8a, la fait glisser le long des barres d'arrêt qui sont à égale profondeur dans chaque compartiment et retire les matières flot- tantes .Le liquide peut s'écouler par les trous 761 dans le fond 

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 perforé de la pelle et les matières flottantes sont   plaoées   dans la ouvette suivante, dont le poids spécifique est un peu moin- dre. Cette façon de faire est continuée jusqu'à ce que l'éohan- tillon ait été divisé suivant les poids spécifiques.

   En tirant par les manches 756 les cuvettes peuvent être culbutées autour des tubes 754,en laissant retourner l'eau par les trous 752 dans l'auge 75, et la matière desoendue au fond peut être déversée dans un récipient ou autre moyen convenable placé sur le plateau   764.'   
Le système est d'abord calibré par détermination de la teneur en cendres du type particulier de charbon à séparer,une détermination du poids spécifique des matières entrantes-étant d'abord faite, dans le but de déterminer le poids   spécifique        du liquide séparateur à employer dans le bac 3.

   Après le   oommen--   cement du travail,des échantillons sont pris aussi bien des ma- tières desoendant au fond que des matières flottantes et des dé- terminations de la teneur en cendres sont   continuellement   faites pour calibrer le système.' Ensuite la détermination des poids spé- cifiques est effectuée en comparant les échantillona subséquents avec le contrôle.

   De cette manière peuvent être déterminées la teneur des sohistes en charbon et la teneur du charbon en schis- tes, et suivant les données recueillies on peut effectuer le ré- glage en vue du changement du pourcentage de schistes dans le charbon comme déorit plus haut.' Dans chaque cas on aura un con- trôle exact de la distribution des moyennes, puisque, si les poids spécifiques se rangent entre celui dans lequel du charbon pur seul flotte et celui dans lequel des sohistes seuls descen- dent, les poids spécifiques des échantillons qui descendent dans des bains successifs seront en rapport direct avec leurs teneurs , respectives en charbon et en roches.

   Une solution de chlorure de zinc est un agent satisfaisant pour usage dans cet appareil parce qu'il peut facilement être dissout à des poids spécifiques précis,mais tout autre liquide satisfaisant peut être utilisé. 

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  Après avoir déterminé la distribution des moyennes comme effec- tivement réalisée par l'appareil,on peut procéder à un prompt changement dans le réglage de l'appareil,de manière à obtenir, en cas de désir, une distribution différente et plus favorable. 



   La figure d'ensemble montre un schéma des conduites,dans lequel certaines soupapes, ou vannes,ont été désignées,à titre de simplicité,par les signes de référence V-I,   1-2,etc..   En se ré- férant à ce sohéma,la section de l'installation où est réalisée la séparation est remplie de liquide en ouvrant la soupape   V-14   et à l'aide d'une pompe P-2et de la conduite correspondante du liquide séparateur est refoulé dans la ohambre 353 et dans le bac e, jusqu'à ce que le niveau du barrage 357 soit atteint. Après cela,le niveau du liquide est maintenu   par déversement   par des- sus le barrage   357,la   soupape V-8 et le tuyau 358 allant au réservoir à liquide utilisé.

   Le courant peut être maintenu cons- tant, ou des additions de fluide peuvent être faites de temps à ' autre,par l'emploi des soupapes V-8 et V-14. Une fois que le liquide a atteint son niveau la soupape V-14 peut être fermée,en coupant ainsi l'admission du liquide séparateur,la soupape   V-8   posant soit être fermée,soit rester   ouverte   suivant le désir . 



  Si à un moment quelconque il est désirable de vider le bac 3,on fermera les poupapes V-8,V-5 et V-14 on ouvrira les soupapes V-6,V-7 et V-20, le bac étant vidé directement dans le réservoir 964. S'il s'agit d'évacuer des boues du fond du bac,la vidange se fera par les poupapes V-6,V-5,V-4 et la pompe P-2 dans le bac à boues 7. 



   Si l'on désire évacuer les boues du fond de la section 4 de l'installation,on ouvre la soupape V-3 ,on ferme les soupapes V-2 et V-4 et les boues sont pompées directement dans le bac 7. 



  Si l'on désire évacuer les boues du bac 6, on ouvre les soupapes 623 et   v-2,   on ferme les soupapes V-3 et V-4, et les boues sont pompées dans le bac 7. Le liquide du séparateur 96 est dirigé soit dans le réservoir de liquide frais,soit dans le réservoir de liquide utilisé,par la manoeuvre appropriée correspondante des soupapes   V-13   et V-12. 

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   L'appareil décrit offre une méthode excellente de réalisa- tion du procédé suivant   l'invention.'   Cependant,ce n'est pas le seul appareil qui peut être utilisé pour réaliser le procédé et des modifioations considérables,aussi bien au point de vue géné- ral qu'au point de vue des détails peuvent être apportés. Par exemple l'étape 1 du procédé pourrait être remplacée par un mouillage à fond au moyen de douches, contenant une solution de stabilisateur de film pendant que le charbon passe sur un tamis. 



  Le tamis peut avoir toute longueur nécessaire pour assurer un mouillage à fond du charbon aveo la solution de l'agent actif, 
La seconde étape du   procédé,comprenant   le lavage du char- bon,peut être omise, mais ceci entrainerait la perte de tout le stabilisateur de film,ce qui tenderait à augmenter le coût du procédé. Par conséquent, quoiqu'il est   théoriquement/possible   d'omettre la seconde étape, on ne l'omettra pas dans la forme d'exéoution préférée de l'invention. 



   Dans l'étape de séparation le liquide employé est de préférence organique et du type hydrocarboné halogénéisé.   Oepen-   dant, l'étape de séparation du procédé n'est pas limitée à ces agents,car tout agent séparateur ayant un poids spécifique ef-   ficace   et inerte par rapport aux matières à séparer, peut être utilisée Les facteurs désirables sont : que la matière ait un point d'ébullition élevé afin qu'il n'y ait qu'une faible ten-   sion de vapeur aux températures de travail ; point de fusion   bas,afin que la matière soit liquide à la température de travail et afin que soient évités les frais pour maintenir le mélange li- quide par apport de chaleur;

   faible solubilité dans l'eau, afin que le liquide séparateur ne soit pas contaminé par le liquide d'étanohement, et ne soit pas emporté sur   les¯matières   séparées ; stabilité aux conditions de travail,comprenant:stabilité par rapports aux agents, à l'air, à la lumière, et à la   chaleur,,   faible capacité à l'hydrolyse,faible toxicité pour éviter des pré- judices aux opérateurs lorsque l'appareil est nettoyé, faible vis- 

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 cosité,et prix bas. La relation entre stabilisateur de film et liquides organiques non solubles dans l'eau, a   déjà,   été exposée. 



   Parmi les composés que nous avons trouvés être utiles et qui peuvent servir d'exemples pour la classe préférée de liqui- des séparateurs sont les suivants : pentachloropropane, 3,4 di- bromo 2,2 diméthyle butane, iodobutane, hexachloropropane, 1 chloro 3 bromopropane, 1 bromo 2,3 dichloro n butane, I io- dobutane ,1 chloro 1 bromoéthane, 1,3 dibromo 2,2 diméthyle propana,..

   2,4 dibromopentane, pentachloroéthane, 2,3 dibromo- pentane, 1,2 dibromo 2 méthyle butane, 1 chloro 2 bromoéthane, 2 iodopropane, 1,5 dibromopentane, 1,4 dibromopentane, hepta- chloropropane, 1,2 dibromopentane, I   @iodoheptane,   2-chloro I   iodobutane  ,1,1 chloro 1 bromoéthane, 1,1 dibromo 2,2 méthyle propane, 1,4,7 tribromoheptane,   I,I,I   trichloro 2 bromopropane, 
2,2 dibromopropane, 1,2 dibromo 2 méthyle propane, 1,3 dibromo- butane, 1,4 dibromobutane, 1,2 dibromobutane, 1,3 dibromo 2 mé- thyle propane, 2,3 dibromobutane,   2,2,Z-   trichloro 1 bromoéthane, 2 chloro I   lodopropane,,   3 chloro 1 iodopropane,   @   ohloro 1,2 dibromobutane, iodoéthane, 2 fluoro   I,I,2,2     tetràbromoéthane,   diohlorobromométhane,

   1,2 dibromopropane, 1 chloro 2,3 dibromo- butane, 1,3 dibromopropane, chlorobromométhane, tribromo 2 méthyle pentane, 3 chloro 1,2 dibromopropane, dichlordodopropane, 1,6 diiodohexane , trichlorobromométhane, 1 chloro I iodoéthane, 2 ohloro 1,2 bromopropane, 1,3 dichloro 1,2 dibromopropane, fluoro 1,2   dibromopropane   1,1 dibromoéthane, 2,3 dichloro 1,2 dibromopropane, 2 fluoro 1,1 dichloro 1,2 dibromoéthane, 1 chloro I,I dibromoéthane, 2 chloro I iodoéthéne,   1,2,2   tribromobutane, 1,2,3 tribromobutane, 1,1,2 bromobutane, 1,2 dibromoéthane, 1,5 diiodopentane, 2 bromo 2 iodopropane, 2,2 di- chloro 1 iodoéthane,   1,2,3   tribromobutane, 2,2 difluoro 1 iodo- éthane, 1,1 difluoro 1,2 dibromoéthane,   I,1,2   trifluoro 1,2 di- bromoéthane, 1 fluoro 1,2 dibromoéthane, 2 chloro 1,

  2   dibromoétha   ne, iodure de méthyle, I,I dichloro 1,2 dibromoéthane, 1,2 dichlo- ro 1,2 dibromoéthane, 2,2,2   trichloro   1,1 dibromoéthane, 1,3 io- 

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 dobutane, 1,4 iodobutane, 2,2 difluoro 1,1 dibromoéthane, 1,2,2 tribromopropane,   1,4,7     triiodoheptane,     1,1,2   tribromopropane, trichloro iodométhane, 2,2 dichloro 1,1 dibromoéthane, 3   ohloro   1,2,2 tribromopropane, dibromo dichlorométhane, 1,2,3   tribromo-   propane, 1,2,2 trichloro   1,1,2   tribromoéthane, dibromo chloro- 
 EMI61.1 
 méthane, Z,à àiiodo propane, chloro iodométhane, dichloro iodo¯ méthane, dichloro tribromobutane, 1,2 diiodopropane, 1 bromo 1 iodoéthane, 2 bromo I iodoéthane,   1,1,4,

  4   tetrabromobutane, 
 EMI61.2 
 bromure de méthylène, I,I,2,3 tetrabromo 2 méthyle propane, 1,1,2 trifluoro   1,2,2     tribromoéthane,     1,3     diiodopropane,   1,1,2 tribromoéthane, 1 chloro   1,1,2     tribromoéthane,   1,1 difluoro   1,1,2   tribromoéthane,   1,1,2     tribromoéthane,   1,2 dichloro   1,1,2   tribromoéthane, 1,2,2,3 tetrabromopropane, 2 fluoro   1,1,2   tribro- 
 EMI61.3 
 moéthane, 1,4 dichloro 1,2,3,4 tétrabromobutane, T, I 2, 3 tetra- bromopropane, 1,1 diiodoéthane ,bromoforme,   hexabromobutane,   
 EMI61.4 
 1,1,1,2 tetrabromoéthane, iodobromométhane, I,I,â,2 tetxabxomo¯ propane, 1,1,2,2 tetrabromoéthane, I,1,2,2,

  3 pentabromopropane, diiodo ohlorométhane, pentabromoéthane,   iodure   de méthylène, 1 ohloro   1,1,2,2   tetrabromoéthane, perchlorure d'éthylène, 2,3 
 EMI61.5 
 dibromopenténé-' 2,1,1,2,3,3,3, hexaohloropropène-1, 2- iodo- propène-1, 2 chloro I bromoéthène, 3-lodopropène-1, I,3 dibromo 2 méthylepropène-I, 1,2 d3.ahloro-I bromoéthène ,x,2 dibromobu- téne-1, 2,2 diohlÓro'1"bromoéthène, 2-chloro' 3-iodopropène-I, 1 chloro 3 iodopropbne-1, 1,2 dibromopropène-1, 3 iodopropine-I, 1,1,2 ohloro ][ bromoéthène,'- I iodopropine¯I, I,3dibromopropêne¯S, 1,3 dibromoprôpine-1, 2 ohloro 1 iccloéthêné, 1 chloro 1,2 dibro- moéthêne, 1,2 dibromotihbne, 2 fluoro 1,1 dibromoéthéne, I,2 di- fluoro 1,2 dibromo6thêne,, 1,2 'dichloro 1,2 dibromoéthène, 1,2,3 tribromopropène-1, 1,2 diiodopr0pêne-1, 2 bromo 1 iodoéthéne,

   fluoro tribromoéthyiène, tribromoéthylène, 2,2 dibromo 1 io- doéthêne, 1,2 iôàoéthéne, iodooyclohexane, I,à dibromôcyclohexane, 3,4 dibromo 1,3 diméthylêbenzëne, 3,4 dibromotoluêne, 2,6 di bro- motoluène 2,5 dibromotoluéne, iodôbenzêne, I iodo 2 chlorobenzènq 1,3 dibromobenzène, 1,2 dibromobenzëne, trichloréthylène,4 Qhloro- éthane et tétrachlorure de carbone. 

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  * La liste indique principalement les hydrocarbures halogé- néisés mais il est   à   remarquer que tout liquide possédant les qualités désirables susmentionnées peut être employé, pour autant que l'étape de séparation seule est visée. Le kérosène, le ben- zène et la naphtaline et d'autres hydrocarbures,ainsi que d'autres liquides organiques essentiellement insolubles dans l'eau et miscibles avec les liquides séparateurs préférés ou choisis,par-   ticulièrement   ceux d'un bas point d'ébullition et d'une basse tension de vapeur,peuvent être employés comme diluants pour modifier ou changer le poids spécifique des liquides séparateurs. 



  Si leur poids est suffisant, de tels liquides organiques essen- tiellement insolubles dans   l'eau,pouvant   être employés comme liquides séparateurs,indépendamment de la classe préférée.' Si des' stabilisateurs de film sont employés avec eux,ils doivent présenter par rapport   à   eux les propriétés indiquées plus haut. 



   Le poids spécifique du liquide séparateur employé sera si- tué entre les poids spécifiques da minéral et de la gangue à sé- parer. Le liquide séparateur contenu dans le bac sera couvert d'une couche ou nappe d'eau ou d'un autre liquide inerte par rapport à lui qui servira à empêcher l'évaporation du liquide séparateur et à rejeter du liquide séparateur qui se rassemble sur la matière flottante. Les liquides peuvent être répartis de manière à remplir le bac entier, ou à remplir seulement une partie du bac. 



   Il est recommandable d'exécuter la chambre dans laquelle a lieu la séparation proprement dite en tenant comptee particu- lier du minéral à traiter. Par exemple s'il s'agit de séparer un minerai de fer finement divisé d'avec sa gangue, on aura be- soin d'une chambre plus longue, afin de donner à toutes les par- ticules fines l'occasion de répondre à l'action séparatrice du liquide. D'autre part, dans les cas où on n'observe pas une accu- mulation des particules,et où la séparation s'exécute rapide- ment et complètement,on peut employer une chambre courte. Une au- tre méthode pour tenir compte de ces variations est de varier 

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 ou ohanger la vitesse de oheminement du liquide dans la chambre de séparation,en variant ou en changeant ainsi la durée du temps pendant laquelle on permet aux matières de se séparer. 



   Le liquide séparateur peut être constitué d'un liquide, ou il peut être un mélange de liquides complètement miscibles de différents poids spécifiques: Ainsi un mélange de C2H2BR4 et de C2H2Cl4 donnera une gamme de poids spécifiques de 2.95 à 1.59.   Ce'principe   peut être utilisé pour régler le poids spécifique du liquide de   manière   à obtenir un poids spé-   oifique   dans lequel les moyennes descendront dans une propor- tion qui est la plus favorable jour la séparation au moyen de   l'appareil.'On   peut tirer profit de cette sélection du poids spécifique pour assurer une séparation particulière   clés  s moyennes dans un appareil pourvu d'un coin déviateur immobile. 



   La vitesse avec laquelle les convoyeurs cheminènt dans cet appareil détermine le point auquel les moyennes seront des- oendues au moment ou elles entrent en contact avec le coin: Ainsi en accélérant ou en ralentissant le cheminement des   oon-   voyeurs la vitesse du liquide peut être augmentée ou diminuée,en réalisant ainsi une variation de la proportion des moyennes à teneur de schistes contenue dans le charbon..En accélérant la marche des convoyeurs le liquide cheminera plus vite,les moyennes ne seront pas descendues aussi loin et un pourcentage plus élevé de moyennes à faible teneur de charbon sera incorporé dans le   charbon*En   ralentissant la marche gles convoyeurs,

  le liquide sé- parateur cheminera plus lentement et seules les moyennes plus riches en charbon seront incorporées dans le charbon.' 
Une troisième méthode pour varier la teneur du charbon en schistes et la teneur des schistes en charbon consiste dans le réglage de l'endroit du coin par soulèvement et abaissement de ce dernier.' Des moyens pour le faire ont été décrits dans la spécification. 



     Ces   trois méthodes de division ou de répartition des moyen- nes peuvent être utilisées séparément, ou l'une avec l'autre, 

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 ou toutes les trois ensemble, et lorsqu'elles sont employées de cette manière elles donnent la plus grande souplesse au système. 



   Les figures   3-k   et 3-1 représentent des moyens mo- difiés pour le réglage du coin.Le long du bac principal 3 sont prévues des boites 390. Des fentes 391 relient les dites boites au bac principal   .392-392   sont des pièces d'attache articulées à l'extrémité Inférieure du coin; 393-393 sont des goupilles reliant les pièces d'attache 392 au coulisseaux 394 glissant dans les boites 390; 395 sont des bras intérieurement filetés fi- xés aux coulisseaux 394; 396 sont destiges ilet ées vissées dans les bras 395 des coulisseaux et pouvant être tournées au moyen de pignons 397 fixés à leurs extrémités;398 est un arbre péné- trant dans le   bac 3   et muni de pignons   qui s'engrènent   aveo les pignons 397 dans les boites 390;

   399 est un volant pour tour- ner l'arbre 398 dans le but d'actionner les pignons et de dépla- cer les coulisseaux et les pièces d'attache 392 dans l'un ou l'autre sens,pour régler ainsi la position du coin. Une boite de bourrage empêche les fuites de liquide autour de l'arbre. 



   Cette description a été rapportée d'une manière plus ou moins spécifique à la séparation du charbon dé ses impuretés originaires.   Oependant   le procédé n'est pas limité aux charbons et il est applicable à la séparation des minéraux en général quoiqu'dl est aisément compréhensible,comme décrit autre part dans la présente spécification,que pour assurer les meilleurs résultats avec un minéral particulier la vitesse du milieu liqui- de, la densité du liquide séparateur et la longueur de la chambre de séparation peuvent être variées. Substantiellement tous les minerais sont obtenus à l'état natif en mélange avec des   impureté:   originaires. Dans certains cas le minéral est le plus lourd et la gangue,la plus légère.

   Dans ces cas la gangue flottera à la sur- face du liquide séparateur et le minéral descendra au fond et sera évacué par les convoyeurs inférieurs. Dans d'autres cas, 

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 oomme dans celui du charbon,l'inverse est vrai. La conception du système convoyeur peut être avantageusement modifiée ou changée pour répondre ou s'accomoder aux quantités de minéral et de gan- gue auxquelles il faut s'attendre avec un procédé particulier , Une autre variation qui doit être .considérée par l'ingénieur en traitant différents minéraux consiste en ce que les poids spé- fioiques des minéraux   eux'mêmes   varient.

   Ainsi   l'anglésite   varie de 6.1 à 6.4; le charbon anthracite varie de 1.3   à     1.7   et le charbon bitumineux varie de 1.1 à 1.5.Parmi lesminéraux qui peuvent être séparés de leurs gangues suivant le présent procédé, se trouvent les suivants:

   amiante, charbon bitumineux, charbon anthracite, ohrysooolle, garniérite, quartz, feldspath, diamant noir,mica, fluorine, wad, sidérite, calamine,   rhodocrosi-   te, diamant(degré pierre précieuse), cyanite, limonite, azurite, psilomélane, malachite, grenat,corindon,   sph alérite,     willemite,          ohaloopyrite,     smithsonite,   withérite, rutile,   àtannite,     chromite,   barytine, tetréhédrite, ilménite, énergite, pyrrhotite, covellite, pentlandite, molybdénite, braunite, pyrolusite, bormite, hématite, pyrite, magnétite, franklinite   mille:

  rite,   zincite,   chalcocite,   ouprite, sheelite, anglésite, vanadate (plomb) cérusite, heubnéri- te,   oassitérite,     wolframite,   galène,fer , niccolite, ferbérite,   cinabre,cuivre(natif)     largent,platine   et 'or. 



   Ces minerais n'exigent pas tous un traitement avec un stabilisateur de film,parce que dans certains cas le minéral est :rapidement mouillé par l'eau et retient l'eau d'une manière suffisamment ferme pour empêcher son déplacement oun enlèvement substantiel par le liquide séparateur. Dans des cas pareils l'em- ploi d'un stabilisateur de film n'est pas nécessaire. D'autre part, les minéraux qui ne sont pas rapidement mouillés par l'eau, ou desquels, lorsqu'ils sont mouillés par l'eau, cette dernière est substantiellement déplacée ou enlevée par le liquide séparateur; sont organophiles et doivent recevoir un traitement préliminaire avec une solution aqueuse d'un stabilisateur de   film.'   

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Beaucoup de modifications de la phase d'épuration du procédé sont possibles.

   Outre les jets représentés dans les des- sins et décrits plus haut, on peut diriger des jets du côté in- férieur du tamis pour seconder l'épuration ou le lavage du charbon. Le plateau de concentration et le plateau nervuré peu- vent être supprimés,mais leur suppression n'est pas recommanda- ble si l'on veut obtenir des résultats   préférés.)Il   a été fait état dans la littérature qu'il n'existe pas de moyens statiques ca- pable de séparer des particules ténues de charbon ou boues de charbon d'avec l'eau de lavage. La méthode de séparation de ce genre décrite dans la présente spécification est orue être la première réussie avec succès pour séparer des particules ténues ou boues de charbon, ou de solides,d'avec du liquide par un pro- cédé semi-statique.

   Dans cette séparation le plateau nervuré joue un rôle important en tendant de précipiter les fines, de coaguler les globules menues du liquide séparateur,et de séparer l'eau. Ceci, en combinaison aveo les trois bacs décan- teurs ou clarificateurs du type à barrage de débordement,cons- titue un système de grande efficacité, avec lequel la récupération du liquide lourd est presque quantitative. Le barrage peut être omis dans l'appareil dit intercepteur de boues, et l'eau qui s'ac- cumule dans la couche supérieure peut être évacuée uniquement par les soupapes ou vannes collectives sur le côté de cet appa- reil. L'efficacité des deux premiers bacs est telle qu'il est quelques fois possible de supprimer l'intercepteur de boues et de diriger les boues des deux premiers bacs directement dans la chaudière de distillation pour distillation à la vapeur. 



   Toute méthode satisfaisante de distillation peut être uti- lisée pour récupérer le liquide lourd des boues. Celle repré- sentée et décrite a été donnée parce qu'elle donne d'excellents résultats. 



   Le condenseur type radiateur est une installation dont le prix est d'environ un dixième de celui d'un système condenseur standard du type capable de traiter une quantité égale de con- densé, et qui économise des quantités énormes   d'eau.   / 

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Le refroidisseur dont la destination est de réduire la température du condensé est d'une conception et construction "standard". Il est représenté schématiquement sous forme de che- mise entourant le tuyau qui relie le condenseur 9 au séparateur d'eau 96, la chemise étant fermée à ses extrémités et étant munie d'une entrée près d'une extrémité et d'une sortie prés de l'autre extrémité .pour un courant de liquide refroidisseur. 



   Dans la séparateur d'eau le liquide séparateur et l'eau, étant immisoibles et de différents poids spécifiques,se séparent. 



  Le liquide séparateur est   oonduit   aux réservoirs et l'eau est préférablement renvoyée dans une autre section de l'installation, par exemple dans le bac décanteur   principale-   
Le système des réservoirs représenté, dans lequel un réser- voir   à   liquide frais est disposé au dessus d'un réservoir de liquide utilisé, quoique convenant bien,n'est pas essentiel au procédé. D'autres systèmes d'enmagasinage peuvent être employés. 



  Cependant,la plupart de ces systèmes impliqueront le principe d'ajouter du liquide frais au liquide utilisé suivant les besoins. 



  L'addition de liquide frais au liquide utilisé peut avoir lieu dans le bac de séparation, ou dans le réservoir, ou autre part suivant ce que l'ingénieur jugera être approprié. 



   Le fonctionnement effectif du système est en équilibre presque parfait: Substantiellement la totalité d'eau employée est récupérée et renvoyée au   système,substantiellement   la tota- lité du liquide séparateur employé est renvoyé au système,et sub- santiellement la totalité de stabilisateur de film est utilement   employéeIl   peut être affirmé avec entière exactitude que le système ne demande qu'un minimum de surveillance,et un minimum de fluides travaillants, et on obtient des rendements qui sont égaux à, ou meilleurs que ceux qui furent jusqu'ici considérés comme théoriquement possibles.

   Par exemple dans l'ouvrage De Taggart   "Handbook   of Ore Dressing) (Manuel de préparation de minerais) il est dit,que la méthode standard employée dans les laboratoires 

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 pour déterminer le degré de séparation auquel les dernières quantités utiles de charbon son récupées et les dernières quan- tités inutiles de schistes sont éliminées,est la méthode par descente et flottement tel que réalisée dans un gobelet. Taggart dit aussi que cette perfection de séparation est impossible d'atteindre. Cependant en vertu du développement du présent procédé et de l'appareillage,la perfection de séparation que Taggart mentionne comme étant atteignable dans un gobelet ,est réalisée   à   une échelle industrielle et commerciale. 



   Un avantage de la présente invention,considérée dans son ensemble,oonsiste en ce qu'elle constitue un procédé d'épura- tion de charbon basé sur l'emploi d'un liquide séparateur, capa- ble de   concourrir   avec les procédés hautement développés et perfectionnés employés jusqu'ici dans le domaine considéré. Un autre avantage de l'invention consiste en ce que par le procédé qu'elle a pour objet, les pertes de liquide séparateur coûteux sont réduites à un point qui rend le procédé industriellement et commercialement réalisable et le rend même effectivement beau- coup   moimooûteux   que les procédés antérieurs.

   Un autre avantage de l'invention réside dans la rapidité avec laquelle le procédé peut être réalisé avec des résultats satisfaisants.Une unité ayant seulement quatre pieds oarrés de surface de séparation fût essayée au point de vue rapidité et sépara d'une manière satisfai- sante 140 tonnes par heure, sa capacité étant ensuite limitée par la capacité des convoyeurs qui travaillaient au maximum de leur capacité et ne pouvaient pas traiter plus. La capacité maximum du système est présentement encore inconnue.A des vitesses de fonc- tionnement normales comparativement lentes,sa capacité est environ dix fois celle des systèmes antérieurs présentant des dimensions égales de surface de séparation*' 
Du charbon peut être préparé suivant ce procédé avec toute teneur en cendres que l'opérateur désirera.

   Les systèmes antérieurs d'épuration de charbon faisaient une séparation gros- 

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 sière entre charbon et schistes,mais le pourcentage de char- bon dans les schistes et le pourcentage de schistes dans le charbon variaient de minute en minute. Ltidée de produire du charbon d'une teneur standard en cendres était un désidératum sans les moyens satisfaisants pour l'atteindre. Un rendement de 
85% fût considéré comme bon pour les procédé d'épuration de char- bon et beaucoup de grands terrils rencontrés dans les régions charbonnières contiennent 15 à 35% de combustible utilisable. 



   Par le procédé suivant la présente invention ces grandes quanti- tés perdues peuvent être retirées avec profit. 



   Au sens générique l'invention offre une'méthode au pro- cédé pour immuniser la surface d'un solide carboné contre l'ad- désion d'un liquide organique,ce qui semble ne pas avoir été réalisé   antérieurement.En   ce sens,l'invention est applicable à une grande variété d'emplois et dans des domaines très éloignés du domaine minier. Toutes ces applications entrent dans la por- tée ou le domaine couvert par la présente invention. 



   Vu que des applications de la présente invention très différentes les unes   de   autres peuvent être réalisées sans que l'on s'écarte de son esprit et de sa portée, il est   à   remarquer que nous ne nous limitons pas aux applications ou réalisations   @   spécifiques de l'invention excepté celles définies dans les re-   vendications.   



   Il est encore à remarquer que l'objet de la présente inven- tion,qui est d'une part,un procédé complet et, d'autre part, les moyens et installations servant à réaliser ce procédé com- plet, se compose d'une série d'objets divisionnaires indiqués au début de la présente spécification et dans les descriptions dé- taillées faisant partiede   cette.spécification.   Or, il est bien entendu que la présente spécification couvre ces objets aussi bien séparément, qu'en combinaison appropriée quelconque, que dans leur ensemble, cet ensemble constituant une unité formant l'entièreté du procédé, ainsi que les moyens et les installa- tions servant à le réaliser. 



   /



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    "PROOEDE FOR THE TREATMENT OF MINERALS, PARTIALLY COAL".



   The present invention relates to the separation of minerals from their gangue by using a liquid of a specific weight between that of the mineral and that of the gangue. The invention will be described in its application to the separation of coal from its original impurities, particularly from shales, in which separation the process and the apparatus are of particularly great value, but it It should be noted that this description is illustrative and in no way limiting.



   It seems that coal was known and used by the ancients in some small measure; Its use in China, around 1200 AD is described by Marco Polo, and in around 1500 Agricola described a process for liberating minerals from their gangue, this process being the direct ancestor of the pulsating washing process for the coal cleaning, which is today

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 hui the most used. In ancient times of coal mining in Europe and the United States of America, only the thick layers were mined. Manual operating methods were employed, and nothing was needed except hand cleaning, or the coarser mechanical methods.

   But when the thick layers were depleted it became necessary to mine thin layers and layers containing rock veins, which imposed the necessity of removing the rock before the coal could be sold.



  The method which came mainly in use and which is today the type of separation of coal from shales, is based on the rates of descent of bodies of different densities through a liquid such as water. It is known that bodies descend through a liquid at rates which are a function of their respective densities, the denser falling more rapidly.

   The typical pulsating washer used in industry takes advantage of this principle, but instead of allowing the solids to descend through the liquid, the liquid is forced to pass through a sieve, on which the solids rest. to an extent that lifts the layer of coal above the heavier shales, the coal being carried by the flow of water over a dam while the shales are discharged from the sieve at a lower point: The pulsating washhouses are highly developed and are of excellent capacity and operation.

   However, competition from oil has forced charcoal producers to find ways of cleaning the charcoal, which are more precise in separating useful pieces from those without use, and producers and inventors have taken care. those of the separation processes which rely on the separating action of a liquid having a specific weight between that of the coal and that of the shales.



   The use of a separating liquid should be distinguished from foam float; foam float changes the weight

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 apparent specificity of bodies finely divided so that they float on a liquid of less effective density. On the other hand, the separation processes are based on the use of a separating liquid in which one ingredient of the mixture will sink to the bottom and another ingredient of the mixture will rise and float to the surface. Certain phases of the liquid separator process touch on the phenomenon. change in specific gravity, but they differ from foam floating.



   Towards the middle of the nineteenth century the proposal was made to employ ferric chloride (1856), or sulfuric acid, as a separating liquid for the separation of coal from aveo shales, and were made in England to initiate the ferric chloride process in conjunction with the pulse washers, but the pulse washers were already well developed, and these attempts were unsuccessful. The proposed process was, however, ideal in theory, and subsequent inventors attempted to perfect it.



  A multitude of patents have been issued particularly in England and the United States proposing processes of the so-called liquid separator type, but none have been successful, except perhaps one which is based on the separating effect of a suspension. solids such as sand or clay in water.

   Processes using separating media of a homogeneous character are still ineffective, because the loss of separating liquid through attachment to solids makes the process so expensive that the advantages of more exact separation are lost; the processes themselves being coarse and undeveloped, are unable to co-operate with the highly developed processes already in use in industry; they are incomplete procedures, lacking a quantity of elements essential to success; and the presence of separating liquids on the charcoal makes the charcoal less good for certain uses.

   Prior to the present invention these objections were known, but no way to overcome them has been discovered.

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   It is an object of the present invention to prevent the adhesion between an organic solid and an organic liquid. Another also capital object of the invention is to separate the charcoal from the impurities by the use of a separating liquid having a specific weight intermediate between that of the charcoal and that or those of the impurities and comprising a organic liquid.



  Another object of the invention is to prevent the adhesion between carbon, or other carbonaceous solids, and hydrocarbon liquids. Another object of the invention is to provide the mining industry with a coal preparation apparatus capable of competing economically with the new process with the best processes previously known in this field.

   Another object of the invention is to apply aqueous protective films to minerals which are not easily wetted by water, by means of film stabilizers, - to establish a register of different representative members of the class of stabilizers of film, - to determine the said class., and to identify a defined method applicable to all known substances, by which we can know of any substance, independently of its chemical structure and its physical state, its effectiveness relative to the quantitative and qualitative point of view, as a stabilizer. film maker. It is also an object of the invention to produce and deliver minerals with a predetermined gangue content.

   Another object of the invention is to easily determine the gangue content and the specific gravity of a mixture of solids. Other object; of the invention will emerge and will be explained more fully in what follows:
The objects of the invention are achieved, generally speaking, by wetting the materials to be separated with an aqueous solution containing a film stabilizer, washing the materials with water, their immersion, preferably under a hermetic seal, in an aqueous solution. separating liquid having a specific weight intermediate between the specific weights of the materials to be separated, removing the material from said separating liquid after separation, purifying the separated constituents, preferably under

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 hermetic closure, by means of a liquid, and their evacuation from the process,

  reinforcement of the aqueous solution with film stabilizer and its return for reuse recovery of the separating liquid from the scrubbing liquid in a semi-static direct current settling system and sludge distillation, as well as reuse of the scrubbing liquid.



   The wider objects of the invention are achieved, generally speaking, by immunization of minerals (or other solids, or liquids), which are not easily wetted by water, or which are more easily wetted by organic liquids insoluble in water than by water, against contamination by such organic liquids, by applying thereto an aqueous solution of a film stabilizer, preferably in dilute solution, before bringing them into contact with the organic liquid.

   Film stabilizers are surface active substances which produce, in aqueous solution, an optimum differential change in the surface tension considered with respect to the concentration, at concentrations not exceeding 2%, and which form aqueous surface films stable in the presence of organic liquids essentially insoluble in water.



   The objects of the invention are also partially achieved by the combination of apparatus and by the details of the method and apparatus more fully described in the following.



   In order to make the drawings easier to understand, the first figure has been called the overall figure. The process steps have been numbered consecutively from 1 to 9 and the figures in the drawings have been numbered to correspond to the process steps in the drawings. What they relate to. For example, in the overall figure, the reference numeral 3 refers to the third step of the process which includes the actual separation step. The figures that relate to this step are numbered from 3 to 3-L. In addition, the parts of the apparatus relating to a certain stage of the

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 process have received numbers, the first digit of which corresponds to the number of the corresponding stage of the process.

   Thus the elements of the apparatus represented in figures 1 to I-f including start with the number 1.



   Figure 1 is a vertical sectional view in an apparatus capable of satisfactorily performing the step of coating the carbon with a solution of water and a film stabilizer; Figure 1-a is a cross section along line 1-a, I-a figure 1; Figure I-b eet a plan view of the hopper and the conveyor tank according to tigure I; Figure 1-c is a cross section along line 1-ci, Figure 1-c; Figure I-d is a plan view of the conveyor channel taken along line 1-d, 1-d in Figure 1; and Figure I-e is a partially sectioned perspective view, showing details of the conveyor ohenal and fins; Figure I-f shows a detail; figure I-g is a detail.



   Figure 3 is a vertical section through an apparatus capable of performing the second step of the process. Figure 2-a is a plan view along line 2-a, 2-a figure 2; Figure 2-b is a plan view of the shaker screen shown in Figure 2; Figure 2-o is a cross section along line 2-c, 2-c Figure 2; FIG. 2-d is a plan view of the de-gravitating pole for the recovery of the film stabilizer washed away by washing the carbon by the apparatus 2 to 2-c; Figure 2-e is a partially sectional elevation of said settling cone.



   Fig. 3 shows an apparatus capable of performing the third step of the process, namely, separation; Figure 3 is a vertical section taken on the line A-A of the general figure; Figure 3-a is a cross section along the broken line 3-a, 3-a in Figure 3; FIG. 3-b shows a detail, partially in section, of a preferred variant embodiment of the corner 336-337; Figure 3-c shows a cross section through the object of Figure 3-b; the figure 3-d is a view in

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 elevation, partially transparent and partially in section, showing the separator apparatus; Figure 3-e is a section along line 3-e, 3-e Figure 3-d; lafigure 3-f is a section along line 3-f, 3-f figure 3-d; FIG. 3-g is a section taken along line 3-g, 3-g in FIG. 3;

   Figure 3-h is a section along the line 3-g, 3-g Figure 3; Figure 3-h is a section on the line 3-h, 3-h Figure 3; Figure 3-i is a section along line 3-i, 3-i figure 3; FIG. 3-j represents means for controlling the preferred variant embodiment according to FIGS. 3-b and 3-c; Figures 3-k and 3-1 show a preferred method of controlling the apparatus according to Figures 3-b and 3-c.



   Figure 4 is an elevational view, partially broken away and in section, of the purification apparatus; Figure 4-a is a section taken along line 4-a, 4-a in figure 4; the figure 4-b a cut on a larger scale, according to the line 4-b, 4b figure 4-d, the left part of the cut according to the figure 4-b being taken along the line ZZ figure 4-d, - the part of the middle a section according to figure 4-b being taken along line JJ figure 4-d, - and the straight part of the section according to figure 4-b being taken along line XX figure 4-d; Figure 4-o is a section along the line 4-c, 4-c figure 4; Figure 4-d is a section on a larger scale in the sealing device shown in Figure 4-c;

   FIG. 4-e is a section on a larger scale of a sprinkler tube with nozzles showing the superposition of the jets;
Figure 5 shows the device used for. to receive the material discharged from the purification process, to quench the purification process and to evacuate the material.



   Figures 6,6-a, 6-b and 6-c represent the second or prinoipal settling tank, constituting the second stage in the heavy liquid recovery system, the first stage of which is constituted by the deoanter tank 'of the' cleaning device (fig. 4).



  Figure 6 is a plan view, with parts removed and in section, of the main settling tank; the figure 6-a is a following cut

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   line 6a, 6-a; Figure 6-b is a vertical section along line 6-b, 6-b; Figure 6-c is a section on a larger scale along the line 6-o, 6-a figure 6.



   Figures 7 to 7-c relate to the third settling tank in the series, called sludge interceptor or slurry, and to the distillation boiler. Figure 7 is a partly sectional elevation of the sludge interceptor and the still boiler assembled together; Figure 7a is a plan view of the sludge interceptor; Figure 7-b is a trnsvarsal section in the sludge interoperator along line 7-b, 7-b; Figure 7-a is a plan view of the distillation boiler taken along line 7-o, 7-c in Figure 7.



   Figures 8 to 8-c do not relate to plant division 8, but to an apparatus by means of which the efficiency of the separation can be readily determined. Figure 8 is a plan view of part of the apparatus partially in section and Figure 8-a is a cross section along line 8-2,8-2 Figure 8. Figure 8-b is a perspective view of a shovel; Figure 8-c is an enlarged detail of the hinge connection.



   The figure 9 and the figure 9-a are desvues in plan and in elevation, respectively, of the condenser.



   Figure 10 is a view of pipe connections, as used throughout the installation.



   So that the invention can be understood in general, it will first be described with respect to the overall figure before being described in detail.



   1 designates the feed conveyor bin; 10, the feed hopper connected thereto; 124, means for maintaining constant the level in the tank and the hopper, at a height above the opening between the hopper and the tank; 11, a channel for delivering crushed coal mixed with original impurities, into the feed hopper 10; 113, a conveyor

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 in the tank 1, which collects the wetted material and expels it through the passage 110. In the first step of the process the carbon is treated with a liquid comprising water and a film stabilizer.

   The liquid employed in this part of the installation, - and in any similar preliminary treatment step, is a dilute aqueous solution of a film stabilizer, the concentration of which is kept substantially constant.



   The mixture of coal and shale, after being expelled through lane 110, is collected on screen 21 and subjected to the second stage of the process, comprising washing the treated coal with water from watering cans 216. To simplify the understanding of the invention, the path of the coal through the installation will be traced to the end before considering the treatment of the liquids employed. From the shaker screen 21 and from the second step 2 of the process, the charcoal is poured into the passage 328 which brings it into the separatory chamber where the heavy material is separated from the light material by a liquid medium of intermediate specific gravity.

   After separation the charcoal is drained of the entrained liquid and is transferred to the apparatus and step 4 of the process, which is, in relation to charcoal, a cleaning process, removing from the charcoal substantially all traces of separating liquid. In this cleaning step, the coal and the shale, separated, are subjected to a vigorous cleaning by means of water, under pressure, coming from the header pipes 442. The third and fourth steps of the process are preferably carried out in a tank. hermetically sealed system.

   The coal and washed shale are expelled through the subdivided box 462, onto the conveyors 5 with hydraulic seals, which serve to subject the coal to the final rinse and to prevent the escape of vapors from the hermetically closed units. 3 and 4: From the conveyors 5, the coal can be unloaded for storage or on railway waggons, to be transported to the place of destination, while the shales can be removed.



   Having described the process generally from the point of view of action on carbon, the process will now be described.

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 from the point of view of the liquids employed: when the carbon has been washed in step or section 2 of the process with water coming from the pipes 216. the water, with the liquid which it frees from the carbon, passes through the sieve 21 and is collected in the hopper 220 from where it is brought by the pipe 221 into the sludge cone or sludge 222. The sludge is intercepted in the chamber 226 and is optionally discharged through the pipe 237.



  The comparatively clear liquid from washing step 1 of the process, diluted by the liquid from the sprinklers 216, flows over a barrier at the top of the cone, undergoes an adjustment of its film stabilizer concentration. by additions coming through line 241 of tank 240, - containing film stabilizer in a more concentrated solution, or not dissolved, - so as to present a percentage which gives satisfactory results with this solution for preliminary treatment, and passes through pipe 243 to hopper 10, where it is reused for processing the incoming coal.



   As the charcoal passes through cleaning section 4, it is vigorously cleaned with water from collectors 442. The charcoal continues on its way and the water passes through the sieve which carried the charcoal and collects with sludge. and with heavy liquid in the tank 406 forming the lower part of this section of the apparatus. From this tank, the sludge is removed through pipe 457 to be discharged] 3 into a sludge interceptor or separator? and the liquid containing suspended lighter materials is discharged into the main settling tank 6.



   Over the dam at the top of the main settling tank 6 flows relatively air liquid, to be pumped through the pipe 615 to the collectors 442 for the purpose of its reuse in the washing section. From the bottom of the tank 6, the sludge is withdrawn by the pipe 620 and is pumped towards the sludge separator 7. In some cases it is possible to do

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 lowering the substantially entire contents of the sludge separator 7 into the steam-heated distillation boiler 8, but in normal operation and preferably the material is allowed to settle into three layers, of which the lower one consists largely solid, the middle one largely heavy liquid, and the upper one substantially water.

   Through pipe 717 which leads to a dam at the top of the tank, and through valves 719 and pipe 721, water is drained and returned to tank 6. Heavy liquid is pumped through pipe 723 to the tank at liquid employed.



  Finally the remaining sludge is discharged into the steam-heated distillation boiler 8. The water passes, together with the heavy vaporized liquid, through pipe 88-89 to the condenser 9 which is shown schematically in this figure, and from the condenser. - sor 9 to the cooler 95 and the water separator 96, in which the heavy liquid is separated by gravity from the water) The separated heavy liquid is brought through pipes 961-962 to the liquid tank 963 , or to the used liquid reservoir 964 respectively. 965 is a line connecting the used liquid tank to the fresh liquid tank and 996 is a line from the fresh liquid tank.

   The contents of the liquid tank used can be supplemented by that of the fresh liquid tank through a counter 967 indicating the quantity of liquid used in the system. The level of the heavy liquid in the separation section 3 is maintained by injection of liquid coming from the liquid reservoir used 964 by the pipe 359: The excess heavy liquid escapes from the top of a dam through the hose. 358 and returns to the used liquid reservoir.

   In the drawings a circle with the letter designates a pump and a circle with the letter x a valve; the pipes 358-359 are connected to each other by a pipe in which is provided a V-20 valve
Many were the defects of the processes known until now

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 which sought to employ a separating liquid, but the only defect which rendered the process incapable of being used and which was insurmountable, was the lack of an agent capable of maintaining a film of water on the coal or on another mineral which , normally, is not quickly wetted with water, or preferably not wetted with water. The idea of coating carbon with a film of water has been tried and found to be a misconception.



   No doubt it would have occurred to some inventors that, if the water itself were an error, it would be possible that the use of a wetting agent would be wary of a thicker or more water film. complete, and reduce ¯ fluid loss'. However, it was not so. For example the use of ordinary wetting agents; sodium petroleum sulfonate, stenol acid phthalate, dilauryl-ammonium-adipate, and sodium-lauryl-sulfate, as well as others, produced no improvement and in many cases even increased loss in heavy liquid. These and other experiments showed that the problem to be solved was not only in the anchorage.

   By carrying out experiments to develop the means to prevent 1 '! adhesion of the separating liquid to carbon, or to other minerals, which are not quickly wetted, or not wetted preferably, by water, we have found that the loss of separator liquid can be reduced by the application with the charcoal of an aqueous solution of a film stabilizer, before introducing the charcoal into the separating liquid.

   Members of the film stabilizer class come from numerous ohimic groups having various properties; however, certain chemical groups fall entirely within the said class. Some members of other groups also belong to it, although the whole class is not included, an example in this connection being that certain compounds known to be useful as molding agents are inolusive because that they also have film stabilizer properties.

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   Examples of film stabilizers are as follows, but it should be understood that the list given below is only an example and that it is not limiting It serves to show illustrative examples rather than a catalog of agents coming into play.

   Anyone interested in cataloging all film stabilizers among the millions of known compounds, can do so by following the process determined after the list: oateohol, resoroinol, quinol, pyrogallol, dihydroxyphenyl, dihydroxychlorobenzene, gallic acid, alizarine , arbutin, ruberythric acid, aloin, aesoulin, apine glyoyrrhizin, pelargonin, tannic acid, digitalis, saponine, parillin, naphthol sulfonic acid, naphthol sulfonic acid, naphthylamine disulfonic acid, amino naphthol sulfonic acid, dihydroxynaphthalene disulfonic acid, compound # 8 which is a condensation product of naphthalene sulfonic acid and formaldehyde,

  ID-1 which is a reaction product of phenol sulfonic acid with formaldehyde, Fastan, Tanak, Irgatane, sulfite treated cellulose, methyl cellulose, starch acetate, starch, pectin, gum arabic, mezguit gum, cherry gum, ohiràz gum, gum gum, bean gum, Karaya gum, tragacanth, lichen glue, dextrin, inulin, egg albumin, blood albumin, vegetable albumin , fibrin, edestin, glyoinin, alkali soluble protein (the species from grains is particularly suitable), gliadin, casein, gelatin, bone glue, skewer glue, rabbit glue, hemoglobin, polyvinyl alcohol, hexamethylene-tetramine, triethanolamine, sodium phosphate, oxalic acid,

   Potassium permanganate:
Film stabilizers are surface active materials which, in aqueous solution, produce an optimum differential change in the surface tension under consideration from the concentration, at concentrations not exceeding about 2%, and which form stable surface aqueous films in the presence of essentially water-insoluble organic liquids.

   Their function is physical rather than ohimic and their

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 definition is necessarily expressed in physical or physical-chemical terms. The degree of their solubility in the separating liquid is important, because too great a solubility in the separating liquid results in the stabilizer being pulled out of the water film, and hence the destruction of the latter. Therefore, surface solubilities of active substances greater than about - .3% to .5% should be avoided. Another characteristic of these surface active substances is their ability to decrease surface tension.

   The decrease in surface tension in itself is probably not the cause of the stabilization of the film, but the magnitude of the decrease, together with the concentration of the dissolved substance which causes the decrease: are indicators of the existence to the surface of the film of conditions which cause stabilization of the film. A given solution forms the most stable films when the greatest difference exists between the concentration of the film stabilizer in the surface layer and its concentration in the solution taken as a whole. The tendency for film stabilization can be expressed as the ratio of the change in surface tension to the concentration at which the change in surface tension is most abrupt.

   For example, the addition of .001% polyvinyl alcohol to pure water produces a change in surface tension of 3.-60 dynes measured on the so-called du Nouy tensiometer, corresponding to a ratio of 3.60 to .001, or 3600 to I. A similar change in the concentration of glycerol in 10% water changes the surface tension by only about .5 dyne. In this case the ratio is .5 to 10, or ".05 to I." On this basis polyvinyl alcohol at a concentration of .001% is a film stabilizer 72,000 times better than glycerol.

   Film stabilizers produce a relatively large rate of change in surface tension for differential amounts of additions at concentrations less than about 2%, and some of the best produce excellent results at such low concentrations. that .05%. The rete-

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 air at the surface of the mineral when it is immersed in the preliminary wetting bath does not reduce the action of the stabilized film: The stabilized films are stable at the air-liquid interface and also at the liquid-liquid interface , the general conditions described in this naturally applicable in both cases.

   Taking a .5% solution as standard, these active surface materials are useful film stabilizers which show on addition at this concentration to pure water a decrease in surface tension of about .5 dynes. or more:
Some compounds are not themselves film stabilizers, but react with minerals in the system to produce compounds which are film stabilizers: To this class belong sodium phosphate, sodium phosphate, 'oxalic acid and potassium permanganate.' The invention relates both to the addition of stabilizers from the start, and to their production in the system. A quantity of organic matter dissolves in water, giving more colloidal solutions than real solutions.

   Distint mixtures are stabilized in the colloidal state because of their highly hydrated character, and are then classified as so-called "emulsoids" or "hydrophilic" colloids, as opposed to so-called "suspensoids" or "hydrophobic" colloids which are stabilized. by the presence of an electric charge. The emulsoid collides, examples of which are listed above, are useful as film stabilizers.



  Among the subclasses of emulsion colloids are proteins and carbohydrates. Among the subclasses of proteins are albumins, globulins, prolamins, phospho-proteins, solero-proteins and chromo-proteins: Among the carbohydrates are cellulose derivatives, starches , pain, gums, seaweed extracts.

   The emulsion colloidal solutions are characterized by a selectively high viscosity; a property that can be used by

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 to make a rough demarcation between this class and other classes, is that it can be said that it includes substances having a viscosity increasing effect which is roughly five or more times greater than that sugar, - but the real one. Criterion for film stabilizing effectiveness for these compounds is apparently the colloidal emulsified nature of the compound, not viscosity or any other attribute.



   A rough and not entirely accurate test for film stabilizers is to agitate a typical separating liquid, of the type employed in accordance with the present invention, with water in the presence of a small amount of the substance under test. .



  Many film stabilizers so treated produce a persistent film interfaces, visible to the naked eye, and which appears to have an individual existence, quite apart from water or body liquid, which provides further evidence. that the properties of the active agents are not only those of the wetting agents.



   Another class indicated as effective by the illustrative members given in the list above are glycosides.



  The best compounds of this type seem to be those in the-
 EMI16.1
 which aglucone is an asymmetric polyhydroxyazomatic compound. The glyoosides of monooxhydryl and symmetrical aglucones are less effective. The main types of cyclicids, however, are effectively based on the asymmetric and polyoxhydryl type and they are all effective.

   Representatives of the larger classes are the phenolic type, such as arbutin, salicin, and tannic acid; the anthraquinone type, such as ruberythric acid and aloin; the
 EMI16.2
 oumarin type, such as aesouline; the anthoxantin type, such as apiin and glycyrrhizin; the anthocyanin type, such as pelargonin; the digital type, such as digitalis; the saponin type, such as parillin.



   Since the large number of known ohimic compounds and the diversity of their constitutions and attributes make

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 In establishing a list of the entire group of film stabilizers which are too time-consuming and too expensive to be practical, the determined method given below has been developed as an additional means of defining the class in its entirety. lukewarmness. This method is applicable to all known substances; a number of tubes having transparent bottoms and equal diameters are filled to an equal depth with dye and kerosene solutions, the tubes being arranged so that light passes through them from bottom to top through the transparent bottoms and the solution of dye.

   Tubes are arranged in order of increasing dye percentage. For example, the first tube may contain 1% of an oil soluble dye, such as for example oil red, the second tube 2, etc. A sample of charcoal of unknown properties is stirred gently in plain water, the "agitation" being controlled so that degradation of the charcoal is kept to a minimum. Agitation is continued for an exact period of time, such as fifteen seconds.

   The charcoal is then separated from the water - and is immersed for a fixed period of time, such as fifteen seconds, in an organic liquid essentially insoluble in water, such as pentachloroethane, in which has been dissolved a a small percentage, such as 0.1%, of the same dye found in kerosene tubes. The charcoal is separated from the organic liquid, is vigorously sprinkled with water for an exact period of time, such as twenty seconds, and is immersed in a weighed quantity of kerosene in which it is gently stirred for a period of time. exact time, such as fifteen seconds.

   The carbon and kerosene are separated; the kerosene is filtered; the coal is weighed, and a tube of the same dimensions as the dye tubes is filled to an identical depth with the kerosene extract. By comparing the color of the kerosene extract with the color in the tubes, simple mathematics gives an exact indication of the loss of liquid on the particular type of charcoal constituting the sample.



   Liquid losses vary depending on the type of coal.

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  A compact and hard anthracite shows a relatively small loss of liquid, while a crumbly bituminous coal, which continually shows fresh surfaces as a result of degradation, and which is filled with fine crevices and fissures into which the liquid can penetrate, shows a relatively large loss.



   In the second step of the definition process, a sample of the same carbon is immersed for an identical period of time in an aqueous solution of the compound, the efficiency of which is to be determined, for example, in a 1% solution. starch acetate, and otherwise the foregoing procedure is followed in exactly the same manner. Those of the compounds, the presence of which in the second step produces a color of less intensity than the color produced in the first step, are film stabilizers, and their effectiveness as such is accurately indicated by the difference in shade. .

   The determined method described above takes only a few seconds for its entire execution and is applicable in all cases, and in all cases exact within practical limits.



  The efficiency of film stabilizers differs depending on the type of carbon, for the reasons given above, depending on the nature of the film stabilizer, and the percentage of film stabilizer employed. In some cases .05% stabilizer. Film processor produces optimum results. In other cases 1%, or even more concentrated solutions of film stabilizer, are required for optimum efficiency.



   This determined method also defines the characteristics of each type of carbon and allows the operator to be certain that the film stabilizer he is using is the best type for the particular type of carbon, and to be certain that 'it is used in the percentages which produce the optimum result.



   With this method, reductions in separator liquid losses of 85% and more are customary. Therefore it should be noted that this method presents a method of surface immunization of a solid weakly wetted by water against

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 the adhesion of a highly effective organic liquid *.



   The solubility of the compound influences its utility as a film stabilizer in the coal process. Some compounds are so insoluble in water or in water combinations with inexpensive solvents which are not mixable with the separating liquid that they are of no practical value. Therefore it can be said as a practical fact, that in the coal industry only compounds soluble in water, or compounds soluble in mixtures of water with inexpensive solvents which are not soluble in the separating liquid. , are of practical interest.

   In industries dealing with materials of higher unit value the question of price disappears and any film stabilizer can be employed regardless of price.
Referring to reference numerals in the drawings, 1 generally designates the section for processing coal with the film stabilizer, 10 is a hopper; is a channel leading to the hopper; 12 is an inclined bottom of the hopper; 13-13 are inclined sides of the hopper; 14 is a wall of the hopper; 15 is an opening in the wall 14;
16 is a valve which closes the opening in the wall of the hopper; 17 is a channel-shaped member attached to the valve;
18 is a rack in the channel-shaped member;

   19 is a channel-shaped member in which the first said channel-shaped member can slide vertically; 100 is a pinion meshing with the rack 18; IOI is a rod on which the pinion is mounted; 102-102 are bearings in which the rod is mounted; 103 is a wheel for turning the rod 101; 104 is a flexible means, for example a chain or rope or cable, to facilitate the rotation of the wheel 103; 106 is a conveyor box or bin; 105 is a liquid-tight channel connecting the hopper 10 to the conveyor tank 106; 107 is an opening in the bottom of the hopper above the lower fins of the conveyor; 108 is an inclined bottom of the conveyor tank; 109 is a conveyor channel;

   110 is a hallway

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 at the end of the conveyor channel; 111 is a perforated part at the lowest point of the conveyor ohenal; 112 is a drain pipe from the bottom of the conveyor tank; 113 is a scraper-type vane conveyor, 114 are perforated vanes of the vane conveyor; 115 is a chain sprocket at the upper end of the conveyor; 116 is a load wheel in the middle of the length of the return run of the vane conveyor, 117. ' is a chain sprocket at the lower end of the conveyor; 118 is a chain sprocket at the location of the curvature of the conveyor channel; 119 is a motor mounted on the conveyor tank;

   and 120 are the combined gears and transmissions of the conveyor control. The motor is preferably electric and at variable speed. 121 is another motor mounted on the conveyor bin 122 is a small conveyor driven by motor 121 for a purpose described later; 123 is a liquid partially filling the conveyor tank and the hopper; 124 is a box opening into the conveyor tank; 125 is an overflow tube in the overflow box 124, but placed outside the wall of the conveyor bin.

   The control of the first conveyor is shown in Figure I-o in which 119 is a motor mounted on the conveyor bin; 130 is a wheel controlled by the motor; 126 is a wheel controlled by the first said wheel by multiple strand transmission or by chain and chain sprocket; 127 is a tree; 128 is a toothed wheel at the end of the shaft; 129 is a toothed wheel on the shaft 130, these two toothed wheels working together by a chain or a similar device; 131 and 132 are chain wheels connected to each other by a chain 133; 134 is a shaft mounted in the conveyor tank and carrying chain wheels 135 on which are placed chains forming part of the vane conveyor.

   The operation of the control is obvious to those skilled in the art.



  140 is a screen for stopping the flow of floating impurities and 150 is a water inlet. 151 is a sieve in front of box 124.



   Figures I-d and 1-e represent characteristics /

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 of conveyor channels, 136 shows how the conveyor channels are cut diagonally to avoid collisions between joints and fins; 137 shows the guide edges of the conveyor channels pressed down so that the approaching fins pass smoothly from one channel to another; and aunts 141 at the ends of the channels half-surround the bolts 142 of the brackets 143. the channels being pressed down by the washers 144 engaged on the bolts.



   The apparatus 1 according to the invention operates as follows: through the channel 11 the materials to be separated are discharged into the hopper 10. The bottom and the inclined sides of the hopper direct the materials towards the channel 105. But before they go. arriving at channel 105 the material collides with liquid 123 and the spatter is retained in the hopper. The valve 16 is opened by turning the wheel 103, which turns the pinion 100 which, by virtue of its engagement with the rack 18, lifts the valve 16. The material descends into the channel 105 and arrives through the opening. 107 in the conveyor channel. The vanes of the conveyor collect the material and lift it along the conveyor channel towards the unloading corridor 110.

   The conveyor fins are preferably perforated, in order to allow part of the liquid entrained with the charcoal to return to the conveyor tank: The level of the liquid in the apparatus is maintained by means of the overflow pipe 125. The too full of the bao can be sent either to the sewer or to an apparatus for recovering the active constituent of the liquid. The perforations 111 in the bottom of the conveyor channel provide an outlet for fine solid particles which would otherwise accumulate there.

   The solids thus collected can be discharged, together with a certain quantity of liquid, either from time to time, or on a continuous basis, as required. The disclosed apparatus provides a means for carrying out the preliminary treatment of the material with a film stabilizer solution.

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   Reference numeral 2 relates generally to the second step of the process and to the apparatus employed in its preferred embodiment to carry out said step. 21 is a seooueur sieve of a type perforated over a considerable part of its length; 20 is the receiving end of the shaker screen which is located under the unloading aisle 110 of the conveyor just described; 22 are the sides of the conveyor, which are preferably protected by wooden slats 23 to reduce the abrasive effect of the moving material, and if the material is charcoal, to reduce the abrasive effect on coal;

   24-24 are elastic planohes bolted at their upper ends to the beams 25-25 and at their lower ends to the angles 26; 27 is the unloading aisle of the seooueur sieve; 38 are angle irons which form, together with the angular side pieces 22, the frame of the shaker sieve:

   The perforated part of the shaker screen may consist of a perforated plate, a wedge wire screen --- or in any other suitable manner. 29-29 are elastic boards, 200 is a trough supported by the elastic boards 29; 201-201 are channel-shaped section bars forming the sides of the trough; 202 is the bottom of the trough which is attached by bolts or other suitable means to the iron sides in the channel section; 203 are the means attaching the elastic boards to the trough; 304 are weights placed in the trough; 205-205 are elastic control rods; 206 & 206 are the means for attaching the control rods to the screen 21 and to the trough 200 respectively;

   207-207 is a shaft mounted in the bearings 208 on the support 209; 210 is a variable speed motor; 211 is a wheel set on the shaft 207; 212 is a transmission means, such as a cable or oorde, for controlling the wheel 211 and the shaft 207 by means of the motor 210; 213-213 are eccentrics wedged on shaft 207; 214-214 are eccentrics placed in opposition to eccentrics 213 and wedged on shaft 207; 215-215 are means connecting the control rods 305 to the corresponding eccentrics, and it should be noted that the screen is controlled by a pair of eccentrics /

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 and the trough by the eccentrics occupying positions opposite to the first;

   216 is a sprinkler tube with nozzles 217, arranged above and transversely to the shaker screen; 220 is an oolleoteur tank placed under the perforated part of the shaker screen; 221 is an outlet pipe from the collection tray; 222 is a separator cone whose construction is as follows!
222 is a baōcônique whose sides are inclined at an angle at which the solids will hang out; 223 is a circular barrier at the top of the cone, over which liquid can flow into the channel formed by the barrier and the side of the oone; 224 is an outlet and mixing box formed by the channel and by a box-shaped protrusion on the side of the cone;

   225 is a valve in the short pipe at the bottom of the side '; ± µ,' is a slam chamber; 227 is a pipe and valve at the bottom of the slam chamber; 228 is a water pipe going to the slam chamber; 229 is a valve in the water pipe; 230 is a pipe going from the top of the chamber at sohlamms' to the interior of the cone; 331.is a water supply pipe; 232-233 are branch lines; 234 is a valve in one of said branches; 235 is a valve in the other of said branches; 236 is a valve going from the said water pipe to the other side in the side in schlamms; 237 is the discharge pipe at the end of which the supply pipe 232 is connected;

   the supply lines 235 and 236 are connected to the base of the slurry discharge cone; 240 is a reservoir; 241 is a pipe going from the reservoir to the box 224; 242 is a valve in said line; and 243 is a line going to the aforementioned hopper 10 .;
The operation of the second section of the apparatus is as follows.

   The material, for example coal is discharged from the passage 110 on the receiving end 20 of the shaker screen 21; at the same time, this constitutes a shaking conveyor, moved in alternating directions by the control rods, its weight being counterbalanced by the oscillating trough which is also moved by the control rods actuated by the eccentrics arranged in

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 opposition to others. The trough is; charged so that vibrations are reduced to a minimum.

   The shaker screen is suspended at an angle such that the charcoal gradually moves from the receiving end to the discharge end of the screen, being evenly distributed over the surface of the screen by the reciprocating motion. coal and the impurities which accompany it pass under the pipe 216 they are sprayed with water or another suitable liquid coming out of the nozzles 217. After being sprayed, the coal is evacuated at 27 into the hopper or lane 328. The liquid which was used to spray the coal passes through the sieve and into the collector b ac 220, from where it is brought through the pipe 221 to the separator cone 333.

   The liquid thus transported contains a considerable amount of fine solids and some film stabilizer. The cone is made operational by closing valve 227, opening valve 225 and filling the cone to the height of the dam with water. The flow from the pipe 221 is received in the cone, and causes the water to overflow over the dam. The fine solids contained in the water descend into it or along the sides of the cone, through the pipe and valve 225 into the sohlamms chamber 226, moving the water therein.

   The liquid is moved to the top of the oone in a clear state, flows over the dam, passes into canister 224 of the dam, and undergoes film stabilizer concentration by addition of film stabilizer. coming from the reservoir 240 through the valve 242 and the line 241, up to the concentration which produces the optimum result: From the boot to the dam, 224 the liquid passes through the pipe 243 to the feed hopper10. If at any time the addition of liquid through supply hopper 10 causes the liquid level in the conveyor to rise, overflow being provided by overflow box 134, and pipe 125.

   When the sohlamms cone 226 has been filled with sohlamms, the valve 225 is closed, the valve 227 is opened and water is supplied under pressure through the lines 233 and the pipes.

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 valves 235 and 236 in the slam chamber, expelling the sohlamms together with the liquids mixed with it, through valve 127 and line 237 to an escape pit, or to a device for recovering any valuable ingredient that could have been separated or intercepted. When chamber 226 is emptied, the water is turned off by closing valves 355 and 336, valve 227 is closed and valve 229 is opened.

   From 1: Pure water passes through line 228 and valve 229 into the slurry chamber until the latter is full, which is indicated by water overflowing through pipe 230 in the section. top of the cone. The valve 229 is then closed and the valve 225 opened. The slimes in the cone then begin to descend gradually into chamber 226, thereby preventing a violent or splashing descent of water from the slime cone. If the line 237 is blocked by slimes it can be purged by water admitted through the line 2 @ 2 and the valve 234.



   In Figures 3 to 3-1 the separating chamber is shown. Referring to the reference numerals, 3 denotes a closed bin, 31 channel-shaped edges belonging to openings in the top of the bin; 32 are covers for said openings; 33 are rims on said covers, dimensioned so as to fit into said channel-shaped edges of said openings; 34 is a liquid partially filling each channel bordering said openings and: providing a tight seal "; 35 is a vent tube; 37 is a motor mount mounted on said tank; 38 is a speed motor. variable; 39 is a gear change mechanism of conventional construction comprising a series of driving and driven wheels, large and small;

   300 is a shaft arranged transversely with respect to and slightly protruding from the sides of the tank; 301 and 302 are chain sprockets mounted on shaft 300 at opposite ends of the latter; 303-304 are chains on the opposite sides of the pan controlled by said sprockets respectively; 305-306 are chain sprockets mounted on the ends

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 shafts 30.7-and 308 respectively, said shafts passing through the wall of said bao; 309-309 are stuffing-or sealing boxes which can be filled with grease from outside the tank by tubes of access 310; 312 are chain wheels wedged on the shaft 308; 313 are wheels mounted on the shafts 314 which are mounted in the bin;

   315 is an ooin operable tensioner, by means of which a set of wheels 313 can be moved in the longitudinal direction of the machine, to compensate for the chain flutter. A tensioner is placed at each end of the wheel set 313. 316 is a screw to actuate the wedge and thereby move the wheel set 313; 317-317 are conveyor chains; 318 are conveyor fins mounted on the ohaines 317 of the conveyor; 318 are perforations in the conveyor fins, 320 is a conveyor channel curved at location 321 and having an unloading lane 322; 323 is a distributor screen ---------------------------- forming the bottom of the upper part of the conveyor channel;

   324 is a portion of the bottom of the tank disposed at an increased spacing from said sieve, in order to allow liquid to pass through the sieve and collect in said part of the conveyor tank; 325 is a channel going from part 324, outside the ferry, and connecting it inside the latter at 326; 327 are purge connections to allow a stream of water or other liquid to flow back into the tank at this location; 328 is a corridor extending through the side of the bin; 329 are subdivision walls in said corridor; 330 is the back plate of a hopper; 331 are perforations in the rear part of the hopper; 332 is a part of the back plate of the hopper, which slopes diagonally forward and has the perforations 331;

   3320-3320 are perforated portions of said hopper backplate extending beyond the hopper sideplates; 333-334 are side walls of said hopper, both of which are inclined inwards to the degree necessary to force any material entering through hopper 328 and passing to the bottom of the tank, to fall into the conveyor channel; 335 is the front wall of said /

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 hopper, which., - in the form of execution of the invention shown in figure 3, - is constructed as a unit with the front conveyor channel; 336 is a part of said wall inclined diagonally towards the receiving end, and 337 is a part of said wall, inclined towards the stinging end, to thereby present a wedge-shaped faoe towards the entrance end ;

   338 is a conveyor channel; 339 is a distributed sieve ------------- forming the bottom of the upper part of said conveyor ohenal; 340 is an exit lane connected to, or forming part of, said conveyor channel; 341-341 are chain sprockets on shaft 307 over which chains 342-342 of a vane conveyor 343 pass; 344 is a curvature in said conveyor channel; .345 is a shaft bearing two ohaine gables at the location of said curvature; 346 is an extension of the conveyor channel beyond chain sprockets 345 and extending downward to form the aforementioned wedge;

   347 are means for adjusting the position of chain sprockets 348 which are mounted on a journal to support the scraper type vane conveyor 343; 349 is a channel extending from one side of the machine to the other, to intercept the liquid passing through the sieve 339 and to return it to the liquid in the tank; 350 is an evacuation recess with a screen at the rear and lowest point of the bao, the bottom of said recess preferably being inolined; 351 is a champble the sieve tells us; 352 is a pipe with scoupape making it possible to evacuate the sohlamms or sludge which can accumulate and pass through the said sieve; said slurries being brought by said pipe dansun deoanteur container which will be deorit below, the continuation of said pipe being not shown;

     353 is a chamber attached to the wall of the tank; 354 is a screw mounted in a éorou 355 fixed to the bao; 356; is a stuffing box through which the said screw passes; 357 is a cylinder attached to said screw; 358 is a tube extending in the chamber or box 353 as well as in the cylinder 357 by fitting with the latter in a movable and liquid-tight manner either by machining or by use of a

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 suitable sealing material; 359 is a valve pipe connected to box 353; 360 are openings below the level of the separating liquid, connecting the tank 3 to the box or chamber 353; 3601 is an opening connecting the box 353 to the tank above the water level; 361 is a closed boot with a dam on the side of the machine;

   362 is a tube dam in said box for controlling the liquid level. Tube 362 is connected to the settling tank. 363 is a tube oommunicating 364 and 365 with the conveyor tank; 366 is a hollow indicator in and extending above tube 363. The hollow rod 366 of said indicator is preferably calibrated on its outer side and its hollow is used to introduce or remove grains of lead or other heavy material in and out of the indicator, so that can standardize it with respect to the specific weight of the separating liquid in the device, in order to read its level exactly; are protruding hollow parts on the sides of the device;

   369-670 are removable covers, retained by bolts or other suitable means not shown, in order to hermetically seal the openings of those of said protrusions which are not used; 371-371 are flanges on said protrusions, intended to be connected and form a hermetic seal with (similarly arranged gaskets or with similar protruding parts of the apparatus 4 which performs the next step of the process; 3280 is a collector forming part of the passage 328, connected to a vacuum cleaner not shown and to said passage through openings 3281, for the purpose of intercepting any leakage gas; 372 is the frame supporting the tank; line 373 indicates the upper level of liquids in the tank;

   line 374 indicates the interface between the separating liquid and the light liquid; 375 is a pipe opening in the bao, the purpose of which will be described below; 377-377 are angles supported either by the members 333 and 337, or by the sides of the tank by means of bars which cover the chains of the conveyor

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 and prevent their damage by descending sohists; 379 is a screen preferably extending to the entire depth of the liquid, to prevent light materials from being carried by the liquid backwards in the path of the outer conveyor;

   the screen extends from the wall of the tank between the inlet passage and the outer conveyor, and from a point slightly above the liquid level to a point very close to the lower conveyor.



   This apparatus, used to carry out the third step of the process, functions as follows: the valve of the pipe 359 is opened and heavy liquid is admitted into the tank through the openings 360 until the level 374 is indicated. by indicator 366. 'Then water is admitted into the tank through ports 375 until it has reached level 373: A continuous current of water through the device can be maintained by pipe 375 and overflow 362, if desired, or water can be added intermittently and as needed: The height of the separating liquid level in the tank is regulated by overflow 357.

   When the liquid is admitted, it rises in the tank and in the box 353 until it reaches the open top of the cylinder 357, from where it flows down through the said overflow and through valve and pipe 358 to the used liquid container.



  The valve in said pipe 358 may be held open, so that a continuous flow of liquid passes into the chamber through pipe 359 and from the latter through pipe 358, or the operation may be abused intermittently, by monitoring by observation of the inter- face at sight. '
When the bin has been filled to the appropriate level with the liquid, charcoal has passed through the second step of the process, described above, and is delivered by the conveyor into lane or hopper 328, descending in four veins or streams along divisions 339 by which it is distributed across the width of the bin.

   The corridor 328 can be placed on either side of the apparatus, as shown in figure 3-e, an opening being provided on each side, the opening not used being closed by

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 a plate 376. The apparatus is started; the motors drive the two conveyors either at the same speed or at different speeds, which to some extent depends on the amount of material each of them has to handle.

   The coal, shales, and other accompanying Impurities fall into the water layer while they are still in lane 328, so that they are dispersed by the water before reaching the separator liquid; the splashes caused by the discharge of the materials are suppressed and entrained gas is eliminated before they leave the corridor. After passing through the water layer they enter the separating liquid, the density of which has been chosen so as to be between that of the coal and that of the shales. The coal floats on the surface of the separating liquid, the shales descend into it, being directed by the hopper 534;

     and on entering the conveyor channel, are collected by the fins of the scraper conveyor, and are drawn towards the exit. Coal floating at the liquid interface is collected by conveyor 343 and is carried to and over conveyor channel 346. The specific gravity of the liquid is preferably chosen so as to be only slightly less than that of the average material. The average materials, or simply the average, are those parts of the mixture which contain in one piece both shale and coal. Averages tend to go down only slowly in liquid, while shales go down instantly and coal floats.



   Each of the conveyors acts as a pump, the effect of which can be varied by the use of scraper blades with either a closed or perforated section, the number of openings in the said scraper blades being variable, to ensure pumping effects of different intensities. ' When the external conveyor carries the material descended into the separating liquid

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 along its conveyor channel and causes them to rise according to the tilt towards the outlet, a certain quantity of liquid tends to fall back through the orifices in the fins,

  and the major part of the liquid which remains is sucked out of the material when the latter is propelled over the distributor screen 333. The sohistes are discharged through the passage 322 into the tank 41 forming part of the apparatus 4 described below. . The lower plate of the conveyor channel of the inner conveyor 338 extends sufficiently behind the pinion 345 and is then bent downwards as indicated at 346, so that the floating material is carried over the conveyor channel without affecting between the fins and the channel.

   By extending the conveyor bin beyond chain sprockets 345, the chain receives the possibility of bending upwards, and it is left enough freedom so that, in the event that coal tends to get stuck in the conveyor by reducing the chain play, 11 can jump and release the chain without causing damage.

   The conveyor fins then drive the coal upwards along the inclined channel, and onto the distributor drainage screen -------------- ----------- ----- 339, and eject it through the passage 340 into the trough 42 which constitutes a part of the apparatus 4 described below under The liquid driven by the outer conveyor passes through the distributor screen - ---- 323 then descending through the chamber 334, outside the main wall of the tank, through the passage 325 and the opening 326, into the chamber formed behind the partition 336-337:

  , The liquid which is entrained by the inner conveyor is brought along the non-linear conveyor channel, passes through the distributor screen -------------------- 339, flows in descending onto drainage tray 349 and returned to the chamber behind bulkhead 336-337. The sides 333-334 of the inner hopper, together with the sides of the tank, form tubes 380-381, through which the liquid coming from the channel 325 and the chamber behind the partition 336-337 can pass to the end. receiver of the device, re-entering the

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 separating chamber through the orifices 331 of the plate 330.

   The separator fluid and the sealing liquid superposed on it are thus kept in constant movement from the receiving end towards the outlet end of the apparatus. The length of the separating chamber, namely the distance between the plate 330 and the wedge 336-337, is such that the pieces of coal have risen to the surface of the separating liquid and the pieces of shale have fallen to the bottom, before having reached the said corner, but that the averages, - thanks to the selection of a separating liquid of a specific weight only a little lighter, - are held in suspension while descending slowly.



  The charcoal-rich averages descend at a slower rate than the charcoal-poor averages, due to their different densities, and a classification of the means takes place before they reach said wedge. Then the wedge directs the averages richer upwards in coal and the middle-poor in coal downwards, in the sohists:
In figures 3-b and 3-c are shown means for varying the proportion of directed averages in the coal, as well as means which substantially contribute to the production or obtaining of the coal with a standardized ash content.

   In these figures 346 denotes the bottom of the coal conveyor channel; 383 is a plate; 382 is a hinge connecting the plate to the extension or edge of said conveyor channel; 385 is a second plate and 386 is a hinge connecting plate 385 to plate 383; 387 are hook-shaped members which engage under the edges of the corner irons 377 with a view to sliding relative to the latter. At the platform 383, at a location near the hinge 386, is connected a lifting rod or cable 387 which extends upward between the conveyors and the wall of the tank, as well as through it. a water seal box 388 mounted on the side of the bin, at an outside point from which it can be handled. 389 are rods.

   An upward pull on one of the rods; causes plate 383 to rise, from which plate 385 angularly moves toward the reopening end of the apparatus. Because,

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 the edge 386 of the wedge will have been raised and a greater proportion of the mediums is thus directed into the shales, giving a coal of a reduced ash content. If, on the other hand, one wishes to have coal of increased ash content, a second rod attached to the lower end of plate 385 and extending through the wall of the pan in the same manner. , can be manipulated to pull plate 385 rearward and thereby lower angle 386.

   As shown in figure 3-h, there is enough room between the edge of the fins of the conveyors and the wall of the tank to allow the passage of a rod, and by placing and sealing the boot 388 entirely outside of the wall 3, there will be no collision between the conveyors and the rods. The lower end of the rod can be attached to the wedge by a cable, as shown.



   In Figures 3-k and 3-1 is shown another way to adjust the wedge. In these figures 3 denotes the tray; 390-390 are boxes elongated on the outer sides of the bao (a corner of such a box being shown in dotted lines in Figure 3); are slots connecting the inside of the bin with the said boots; 392-392 are hinges attached to the lower corners of the wedge; 393-393 are dowels fixed to the hinges, these dowels passing through slots 391 and being mounted in sliders 394; 395-395 are rods attached to said slides, these rods being drilled and threaded;

   396-396 are removable screws mounted in brackets which are attached to the sides of the boxes and carry at their head pinions which mesh with the pinions of a shaft 398 which is mounted in the side walls of the box and s 'extends through the wall of one of the boots and a stuffing box 397; 399 is a steering wheel for maneuvering the shaft 398.



   The operation of this device is as follows: the handwheel 399 is turned, thus rotating the pinions which are in engagement with each other and the screws 396 which move the slides 394

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 either way by virtue of their engagement with the inner threads of rods 395 attached to the sliders. By being thus moved along the balls the sliders 394 push the articulations 392 attached to the corner angles 385 and thus moving the latter as indicated partially by dotted lines in FIG. 3-k.



   Below will be given a brief description of the apparatus: the material to be separated enters through the passage into the receiving end of the apparatus and is collected by the hopper which surrounds the part of the apparatus in which the actual separation of the mineral from the gangue takes place.

   The pumping effect produced by the conveyors keeps the liquid in continuous circulation from the receiving end of the separation chamber to its outlet end The upper conveyor drives the floating materials on the corresponding conveyor channel, and the The relaxed state of the conveyor chains allows the conveyor fins to jump and free themselves of any particles which would tend to get stuck against the extension or leading edge of the conveyor channel. The lower vanes of the other conveyor collect the material from the bottom and lead it out of the separation chamber.

   The mediums are brought by the current towards the corner which constitutes the outlet end of the separation chamber and are divided according to the proportions of shale and coal which they contain, those which are heavier, because of their high shale content, being directed into the scrap, while those lighter because of their usable carbon content being directed into the chase of floating materials:

   The separated materials are forced by their respective conveyors to pass through sieves
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 distributors' ###### - #######. ## - t # or on other suitable drainage means, which remove most of the entrained liquids, and the material itself are unloaded by conveyors onto collecting channels or troughs

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 collectors of the sieves, which will be deorit below. The liquid
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 of separator which passes through the xpart3.seeûrs screens. .------------! -! "-------'- 1i-rr '.-! L-8Ôt returned along the sides of the apparatus and externally to the separation chamber towards the receiving end of the apparatus, continuous circulation being maintained in this manner.

   The level of the heavy liquid is maintained at any desired height by the adjustable and tight barrier at the end of the apparatus and the level of the fluid forming the seal is maintained by the barrier box on the side of the apparatus Thus are made possible a continuous addition and evacuation of liquid through the apparatus, as well as intermittent additions if these become necessary: Means are provided for purging the space by below the conveyor channels as well as means for removing sludge from the bottom of the tank.

   When a preliminary wetting step is used with materials of 1/4 "or less the efficiency of the separation apparatus is
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 reduced as a result of accumulations
After the charcoal has separated the original impurities from it, both are subjected to vigorous scrubbing. In order to avoid any loss of liquid by evaporation or otherwise, the purification is preferably carried out in a hermetically closed chamber. A shaker screen is employed in order to make possible a thorough washing of the coal and the problem of coal. Transmission of gotrioe force to the sieve without allowing air access into the apparatus was not easily resolved.

   However it has been solved by the means described below. Briefly speaking, the charcoal is transported through a connection, tightly closed to the outside, of the separator into the washing section, where it is constantly stirred, or turned over, by a shaking screen while being subjected simultaneously to a vigorous washing in order to remove all the fine particles and substantially all the liquids which have been employed in the process., The coal and the sohistes are then discharged from the

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 sieves in water baths of conveyors with hydraulic seals.



  The spent liquid is passed over a concentration table which tends to precipitate all the suspended solids and to form larger collections of suspended liquid, the whole flowing towards a tank forming the bottom of the apparatus, where a dam divides liquids, which contain only light suspended solids, from heavy sludges. These fractions are respectively removed and processed in a recovery system which will be more fully described below.



   In the drawings, Figures 4 to 4-e serve to illustrate this part of the invention. In the figures the numeral 4 generally designates the washing apparatus; is a seooueur sieve; 41 is a carbon duct forming part of said screen; 42 is a shale duct forming part of said screen; 43 is a separating piece dividing the screen lengthwise into two parts to prevent the separated coal and shale from mixing. 44 are slats of wood or other similar material capable of withstanding the abrasive action of charcoal and sohistes; 45 is a perforated part at the inlet end of the t Amis, which allows li-
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 quide;

   46 is a repairing screen ----------------- ------ which constitutes the face of the part of the screen which approaches the outlet end; 47 is a non-perforated bottom of the screen at the exit; 48 are evacuation ramps.



   The construction of the screen is as follows: corner irons 49 form the lateral frames of the screen and extend longitudinally from the inlet ducts to the outlet plate 47. The separator 43 is also a dry iron. angular section extending from the inlet conduits to the plate 47; 400 are angular pieces connecting the side parts of the frame of the apparatus to the main frame of the screen; 401-401 are pieces with a J-shaped section of considerable height; 402-402 are tie rods connecting the separate part

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 ratrioe 43 from the screen frame to the lower parts of the J-shaped section piece; 403 is a tie rod connecting the two J bars directly to one another;

   404 is a mudguard running along the perforated or perforated part of the screen.



   405-405 are the support of the entire scrubber or scrubber; 406 is a container forming the bottom of the apparatus; 407 is a wall of this tank; 408-408 are pieces of angular section forming ohenaux with 407 and 416 respectively, which extend longitudinally with respect to and from the interior side of the walls 407 and 416; 409 is the inclined bottom of the '1 9; 410 is a wall of the tank extending along the apparatus and forming a barrier dividing the tank into two parts; 411 is the bottom of the tank beyond the dam; 412 is the outer wall of the pan, in this case placed far beyond the outer wall of the screen portion of the apparatus; 413 is the top of the protruding side referred to above;

   414 is a rectangular opening, with a channel-shaped cross section and forming a seat for the cover 415. By partially filling the channel-shaped part with water, a water and gas reed seal is obtained. 416 is a wall partially forming the outer parai of the apparatus and partially a wall separating the two compartments of the tray; 417 are tie rods attached to the sides facing the channels 408; 418 is a bar supported by the tie rods 417; 419 are longitudinally extending side plates, one on each side of the apparatus;

   421 are side trays attached to tie rods 403-403, extending longitudinally on each side of the apparatus and covering the vertical portions of the channels 408, on the inner side thereof; 420 are screens attached to parts 419 to prevent liquid falling from the sieve from entering the channels 408; 422: Are screens attached to the walls of the sieve chamber and extending into the channels closed to the edges of the sieves by pieces with angular section 49 and by

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 J-shaped section pieces, 401-401; 423-423 are walls of the screening section of the apparatus; 424 is the top of the apparatus;

   425 is a cover for closing an opening in the top of the apparatus, this cover having a continuous flange or rim 426; 437 are continuous channels in the top of the apparatus of such dimensions that the continuous rim of the cover 425 can fit in these channels which are partially filled with liquid and thus form effective hydraulic seals: 428-428 are brackets attached and protruding at right angles to outer legs of J-section pieces; 429-489 are elastic wooden boards; 430 are joists to which the elastic planks are bolted; 431-431 are elastic planohes suspended from joists 430; 433 are weights suspended from said elastic boards;

   433-433 s have guides mounted on the frame 405 of the apparatus; 434-434 are buffer members approaching the counterweights; 435 is a shaft mounted on the frame 405; 436 is a wheel capable of being driven by a belt or similar motive force transmission means, said wheel being wedged on the shaft 435 for the last drive; 437-437 are eccentrics; 438-438 are control rods attached to the exoentrics 437 and on the other hand attached by means of fittings 439 to the J-shaped section frames of the screens; 440 are eccentrics mounted on the shaft in positions opposite to eccentrics 437, and externally to parts 405 of the frame;

   441-441 are control rods '' connecting the exoentrics 440 to the counterweights 432. The exoentrics, the frame and the control device at the output end of the apparatus are separated from the rest of the figure by a break. to show that in reality they are further from the tank than it was possible to represent it in the drawing.



     442-442 are header pipes which can be suspended from joists 430 by means of clips 443 comprising a band surrounding the header pipe and fitted with a hook

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 which engages in an eyelet provided in an intermediate piece attached to the joists 430. 444 are pipes connected to the oolleoteurs pipes and entering the washing chamber through hermetic joints 45; 446 are Valves in pipes 444; 447 are manometers connected to pipes 444;

   449 are sprinkler nozzles connected to the pipes 448 so that the liquid in the pipes 448 can be directed at the most effective angle onto the material on the screen 40; 450 are brackets attached to the appropriate intervals; 451 are channels supported by brackets 450 and extending transversely of the tank; 452 are channels at the bottom of the baffles for collecting the drops and for directing the liquid thus intercepted to the sides of the screen in the channels formed by the angles 49 and the sides 401 of the frame; 453 are a series of supports extending transversely between the walls 407-416 of the apparatus and inclined to the horizontal;

   454 is a tray supported by brackets 453, extending the substantially entire length of the apparatus, inclined towards the inclination of brackets 453 and terminating shortly before wall 416; 455 are supports which also extend between the walls 416 and 407, and which have inclinations opposite to those of the supports 453; 456 is a ribbed or ribbed tray, of a length substantially equal to or corresponding to that of the apparatus and extending from wall 416 to a line located a short distance from wall 407.



   According to figure 4-a the screen is partially removed by breaking at 454 to show the flat plate 454; in the same figure the screen and the plate 454 are partially removed by breaking at 456 to show the ribs of the inclined plate 456.



    457 is an outlet at the bottom of the tank 406 at the junction of the inclined bottom 409 with the dam '410; 458 is an opening for the connection of a pipe, leaving the part of the tank located beyond the dam; 459 is a drain pipe through which water under

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 pressure can be introduced at the bottom to evacuate the sludge from the bottom of the tank through the orifices 457; 460 is a baffle at the end of the channel formed by parts 49 and 401; 461 is a channel cut from parts 49-49 so that any liquid in said channel can drain onto the surface of the screen and pass through the perforated or perforated part of the latter;

   462 is a box under the outlet end 47 of the screen, separated from the tank as shown in FIG. 4 and divided in its middle by the partition 463 preventing the coal from mixing with the shales.



   FIG. 4-e represents an arrangement of the sprinkling nozzles such as there results a double covering or superposition of the water jets. Thanks to this arrangement, the obstruction or the absence of a jet will not influence the washing of the carbon because the two neighboring jets will still always overlap.



   The operation of the device which has just been described, considered in a little more detail, is as follows: the coal coming from the conveyor of the floating materials of the separator device is discharged onto the receiving duct 41 while shales coming from the bottom material conveyor are discharged onto receiving duct 42. The longer branch of the J-shaped frame portions of the screen is of decreasing height from the receiving end at the outlet end of the sieve, while the shorter branch, that is to say the one which is attached to the elastic planks, is of a uniform height. Resilient boards are of uniform length while the screen is supported in an inclined position.

   The sieve is divided in its middle part by a separating piece preventing the mixing of the coal and the separated shales. The control mechanism forces the screen to reciprocate at a rate that responds to the best efficiency and the material is gradually moved from the receiving end to the outlet end while being vigorously watered by a multitude of showers or of

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 dispersed jets ,,, The movement of the sieve in combination with the jets always turns the carbon back on itself, so that all the sides are exposed to and are washed thoroughly by the scrubber liquid, thus achieving a removal of separating liquid depending on the effectiveness of the film stabilizer.



   The receiving conduits 41-42 of the sieve are unperforated, then the sieve is perforated either by piercing holes through the tray, or by using ordinary sieves, or by other means. The final part of the sieve is constituted by a distributing sieve ---------------, with the aim of removing the carbon and the materials separated from it substantially all of the entrained water before they reach the output leads 47 and in the subdivided box. The screen could be made entirely from one type of wire, but the arrangement shown produces superior results, all factors considered.

   Water is preferably used for washing the material and is introduced under pressure into the manifolds 442 from where. it passes through the down pipes to the garden hoses 448, finally exiting through the nozzles 449. The speed of the jets is such that a considerable part of the liquid is splashed on reaching the coal and the screen.) The direction of the jets would cause the jet to blow. formation of air currents passing from the receiving end to the outlet end of the apparatus and due to considerable quantities of dispersed or sprayed liquid coming from the jets and containing recoverable liquid, would pass over them the sieve and would drop into the subdivided box where they would be lost and contaminate the carbon,

   but to avoid such defects, baffles or meeting plates 451 are placed in front of each sprinkler tube, so that the mist from the previous sprinkler jets is intercepted on the face of the ohinane, runs down the channel 451 and flows into the channels formed by the parts 49 and 401 of the sieve, from where the liquid thus recovered passes to the outlet end and is discharged through the orifices 461 on the distributor sieve ------- ------------. Substantially all the liquids which are brought into the appliance with the carbon are

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 removed from the charcoal and passed through the sieves. In addition the jets remove a considerable amount of fine solid particles,

   consisting mainly of earth and finely divided particles of coal and shale, all of which have dimensions below a certain limit passing with the washing liquid through the screens.



   The liquids which pass with the solids entrained through the screens are prevented from reaching the sides of the tank by the screens 404. and by the plates 419,420,421 and 408. It should be noted that the plates 419 which are rigidly arranged relative to the The frame of the apparatus has openings through which the screen tie rods 403-403 pass, these openings in the plate 419 having dimensions allowing the alternate movement of the screen.

   Can prevent liquid from entering through this opening in the liquid seal, the trays 421, having suitable dimensions to cover said openings in all positions of the sieve, are mounted on the tie rods 402-403 and a screen 420 diverts any liquid flowing on the side of the plate 419, around and beyond said plate 421. Therefore any liquid which passes through the screen falls on and flows downwards following the inclination of the plate 454. which is a plate having a surface providing maximum desirable transport of the liquid.

   Tray 454 terminates a short distance from the side wall and liquids flow out substantially from it over the uppermost point of ribbed tray 456. They descend onto said ribbed tray, solids tend to precipitate, and globules of heavy fluid tend to become larger blood cells. large so that by the time the liquids have finally traveled the length of the ribbed tray, partial separation of the constituents has occurred.

   The ribbed tray terminates at a short distance from the side wall 407 of the apparatus, and the current passes over its end falling into the tray 406, all parts of the bottom of which are inclined towards the center point. deep in the vicinity of the outlet 459 The sludge and some separating liquid collects in the vicinity of the opening 457 and the liquid which carries only

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 comparatively fine solid particles, flows over weir 410 into the other division of the tank by being pumped through port 456 to the second de-clogging tank, as described in more detail elsewhere in this specification.

   The sludge is pumped through port 457 to the third de-separator tank, which is also described in more detail elsewhere in this specification. If the sludge has accumulated at port 457 to a thickness - such that the slurry pumps cannot remove it from the tank, a hose can be connected to pipe 459 to flush the sludge from the tank chamber by injection. of pressurized water., '
The screen is counterbalanced by the use of counterweights suspended from elastic planks and controlled by eccentrics of opposite arrangement on the same shaft.

   The covers giving access to the bao are closed by hydraulic seals using flanged or rimmed covers which fit into parts with a channel-shaped section, filled with water and fixed to the casing of the device.



   To control the sieve which is inside the tank or casing by means of a control mechanism located outside without allowing the vapors to escape, channel-shaped parts, partially filled with water, are provided on each side of the apparatus The frame of the screen has a J-shaped section, each J extending into the liquid in said channels and being shorter than the latter by the length of the oscillation. The upper part of the tank, or envelope, is then, so to speak, placed in the hook of the J, so that its lower boro is below the water level in the channel;

   Therefore the J-shaped section frame alternately moves in a water seal which effectively prevents escape or gas leakage, and the construction of the apparatus described above prevents contamination of lipid in said channels.



   Due to the sieve, the coal and the shale fall into the box

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 subdivided 463. Hermetically sealed covers 464 give access to the interior of this box. AT . one side of the box is hermetically connected to the liquid-tight oonvoyeur box 51, and to the other side of the box a box similar to conveyor 53. The box thus receives two oouloirs, one for the coal and one for the shale.

   A description of one of these conveyors will suffice for both. 51 is the box of the conveyor in general, formed by an ethanol tank for gases and liquids, made of metal or other suitable material; 53 is a hopper in said conveyor tank, having an inclined wall 54 for directing the material, which falls from the screen into the conveyor tank, at an angle which causes the slightest collision with the descending fins of the conveyor; 510 is the lower inclined side of the conveyor bin; 511 is a part offset from said side;

   512 is a perforated part forming a continuation of part 5,10 of the bottom, parts 511 and 512 forming between them a space of suitable capacity to receive such liquid which can be discharged therein from the solids which are transported. out of the tank by the fins. 505 is a conveyor channel; 506 are openings in the lower part of the conveyor channel; 507 is a part consisting of a sieve .. distributor -------------------, forming the bottom of said conveyor channel at a place shortly before the exit ramp of said channel; 58 is the exit ramp or lane of the conveyor channel through which the material entrained by the conveyor is expelled; 59 is a support extension of the conveyor tank; 513 is a scraper type blade conveyor;

   514 are chain sprockets over which the conveyor chains pass; 516 is a motor mounted on the frame 517 of the conveyor; 518-519-520-521-522-523 is a combined force transmission and speed reducer device, consisting, in the exemplary embodiment shown, by a series of alternately large and small toothed wheels cooperating with each other either directly or through flexible control means, such as chains or cables. 524

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 is a wheel controlled by the means 523 and wedged on the shaft 525 on which the chain sprockets 514 are oâlés; 526 are bearings on the tank which support the shaft 525; 527 are parallel support blocks;

   529 is a shaft mounted at one end with play in said blocks 527 and at its other end in complementary support blocks, not shown, located at the other side of the conveyor tank. 530 is a rod fixed by one end to the shaft 529 and having at its upper end a nut 532; 531 is a threaded rod cooperating by thread of a screw with the nut 532. One of these rods is attached to each end of the shaft 529. The rods 531 are mounted on a rod which passes through and is attached to the sides of the tray. .

   The conveyor can move away from the channel / conveyor by virtue of the slider play or shaft play 529 in the sliders 527, and it can be adjusted by hand using the nuts 532. 541 is a throttle opening. the base of the SII part, to which is connected a pipe, not shown, connected on the other hand to the lower part of the conveyor, to return the liquid, - withdrawn from the material through the distribution screen - ----- -----, - at a deeper point of the conveyor tank; 542 is a supply pipe with valve through which liquid can be introduced into the conveyor tank;

   543 is an outlet pipe with valve at the bottom of the conveyor, allowing the evacuation of sludge which may settle there. ' The pipe 543 is connected either to a drainage pit or to a settling tank deorit below in more detail. 544 is a liquid box outside the apparatus, and 545 is a; overflow tube in said liquid box. '
The operation of the apparatus is as follows: the coal is poured through the outlet edge 48 of the sieve, through the subdivided box, into the hopper.

   The hopper and the conveyor are filled, up to level 546, with water or another suitable liquid * The charcoal is therefore poured into the water above the height of the hopper and is directed by the incline. end of the duct 54 at a place in the vicinity of the fins

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 descenders of the conveyor. The coal passes between these fins and directly to the conveyor channel, where it is collected by the rising fins, freed of the liquid by passing over the distributor screen and discharged through the outlet passage 58. The liquid level in the apparatus is maintained. at height 546 so that no vapor or liquid coming through the outlet end of the screen can escape into the air.

   The liquid which is drained through the distributor screen fills the space between the conveyor channel and the tank and then passes through the screen 512 into the space below, from which it is withdrawn by the pipe 541 which returns it to the tank. bottom of the conveyor bin, or elsewhere.

   Means are provided, not shown, in the drawings, for purging the space between the conveyor channel and the bottom of the tank, these means being constituted by a nozzle through which water can be delivered under pressure at 459 as described more up for another part of the switchgear. '
The liquids which wash the coal in the washing or scrubbing section remove from the coal and shale substantially all of the heavy liquid and fine particles which are produced by abrasion or which are char @ ied through the coal. 'apparatus. In the settling tank, at the bottom of the washing apparatus, the liquid containing fine suspended matter is separated from with the heavy sludge by the dam.

   Heavy sludge is pumped from the bottom of the tank by pipe 457 into settling tank 7, shown in figures 7 to 7-c, and the liquid containing light suspended matter is brought through pipe 458 into the main settling tank 6, represented in figures 6 to 6-c.



   The system comprises three interconnected settling tanks or separators, the first of which, located at the base of the washing section, produces a preliminary division between the sludge and the liquid containing light suspended matter, the second called for differentiation purposes the settling tank. main, separates the relatively light suspended matter from the washing liquid, and the third, called for convenience the sludge interoperator, receives the sludge from the two bars /

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 of the first and the second. In the field under consideration it has often been argued that it is impossible to separate fine-sized coal from washing liquid by any static methods.

   The process described in the present specification and intended to produce this result is believed to be the only one which has been successful *
In figures 6 to 6-c, which represent the so-called main settling or separator tank, 6 designates the separator apparatus as a whole; 458 is the outlet end of the pipe carrying the liquid with light substances in suspension from the primary settling tank; 61 is the top of the bin; 610 is a tubular member passing through and fitting exaotement in an opening in the top 61, 611 is an angle iron which connects the tube 610 to the top 61 with a hermetic seal. The junction can be made by welding or by another suitable hermetic closure.

   The tubular member extends towards the bottom of the tank. 612 are openings in the sides of the tubular member above the operating water line; 613 is a cover pourl'organe tubulaire 610 pierced by the inlet pipe 458; 62 a trononic bottom of the tank; 621 is a collector connected to the truncated cone. This collector can be considered as being formed by a plane passing diagonally through a cylinder.



  622 is the diagonal plane dividing the "cylinder" 621 and forming a diagonal bottom of the manifold, directing the materials which accumulate therein towards the discharge pipe 620 and the valve; 633; 624 is a pressurized water pipe, the latter being used to move the sludge on the bottom of the collector 621 if and when said sludge becomes too solid to be removed by pumps; 625 is a rod mounted in the support 626 and in the plate 633. and passing through the stuffing box 614 in the cover 613; 616 is a handle attached to the upper end of rod 625;

   626 are arms attached to the lower portion of rod 625 so as to be rotatable with handle 616 and rod 635; 637 are scrapers arranged diagonally on the arms 626 so that

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 that their movement dislodges the sludge accumulated on the conical bottom 62 and will push them towards the collector 621; 617 are water seal covers similar in construction to the water seal covers described elsewhere in this specification;

   630 is a member of angular section having an increasing depth from one side of the tank towards the other, this member being welded or otherwise fixed inside the tank 6 in the upper part of the latter; 631 is a wooden slat forming a circular dam fixed to the angular section member 630; 633 is an outlet box at the lowest point of the channel formed by the tank 6 and the member with angular section 630; 615 is a pipe connected to said box 633; 640 is a circular channel suspended from the top 61 of the ferry in the space surrounded by the channel and having a rim
641 which is a little lower than the upper edge of the dam
631; 642 are pipes extending inward from the channel
640 towards the bottom of the tank;

     65 are supports for the bin, comprising metal feet attached to the bin.



   The operation of this device is as follows: the liquid containing light matter in suspension in more or less large quantities enters the tank through pipe 458 and tube 610. It spreads under tube 610 while tending to pre - precipitate the heavier suspended matter to the bottom and rise to the surface, the level of which is established by the dam 631. The vibrations caused by the drop of the water from the pipe 438 into the body of water in the the tray, are largely damped in tube 610, so that the liquid in the rest of the tray is comparatively quiet. The channel formed between the dam and the enclosure of the tank is inclined and increases in size towards the exit.

   Liquid flowing over the dam follows the downward slope to box 633 and is returned through pipe 615 to header pipes 442, where it is used again to wash the solids off the screen.

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  A light scum tends to float on the surface of the liquid in the tank, and the direction of the liquid streams in the bao will carry this scum normally over the dam. The openings 612 serve for the relief of internal pressures.



  Between the dam and the tube 610 is interposed the scum channel or gutter 640. When the scum, floating on the surface of the water and carried by the current towards the dam, floats over the edge 641 of the scum channel , which is slightly lower than the dam, and comes in contact with the side of the scum channel, the scum tends to rush into the latter. Y being precipitated, its apparent specific gravity increases to such an extent that it descends into tubes 642 in the lower zone of the bap, where it will settle on the bottom and be removed with the sludge.

   The sludge which concentrates on the bottom is occasionally swept to the oolleotor and pumped through valves 623 and pipe 620 to the sludge interceptor. If the pipe is clogged, it can be purged by injecting water through pipe 624.



   Figures 7 to 7-c show the arrangement of the sludge switch and the distillation boiler. The function of the sludge interceptor is, first, to separate water containing light suspended matter and return it to the main settling tank for further treatment; second, separating isolated heavy liquid and returning it to the heavy liquid reservoir; and, thirdly, to inject all remaining liquids and solids into a still boiler, for the recovery of any amount of separator liquid which might. be contained therein.



   According to these figures 457 and 620 are pipes coming from the first settling tank and from the main settling tank, respectively. 7 designates the sludge interoperator as a whole; 71 is the pipe through which passes the sludge coming through pipes 457 and 620; 710 is a sight glass, maintained with

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 liquid- and gas-tight manner between plates or flanges? II and 712; 713 is an inlet pipe, of a diameter considerably larger than that of pipe 71, in order to reduce the speed of the materials introduced, to ensure their easy entry into the sludge interceptor and not to return - completely fold the sight glass 710;

   714 is a tubular part inside the interoeptor tank, through which the material is delivered into the latter; 715 is a hydraulically sealed cover of the type which has been described above; 716 is a circular dam in the upper part of the ferry; which forms with the walls of the tank a channel having a sufficient inclination to drain such liquids which pass over the dam, towards the outlet box 717; 718 is a baffle wall extending into the space surrounded by the dam.

   The lower edge of the baffle is located below the liquid level in the apparatus, and very close to the barrier, so as to form a substantially vapor impenetrable seal. 719 are a series of valve openings, opening into the interceptor tank at different levels; 720 is a manifold pipe connecting said valve openings together; 721 is a bleed pipe extending from the collecting pipe; 722 is a sight glass slot, through which the contents of the container can be observed substantially over its entire height; 723 is a pipe mounted in the side of the tank; 724 is a section arranged at right angles to the previous one; 725 is a liquid tight ball joint;

   726 is a section of pipe movably connected to section 724 via elbow 727 and ball joint 725; 728 is a connector attached by the eyelet to the pipe 726 and by the connector 730 to the rod 731 which passes through a stuffing box in the top of the interceptor pan; the rod 731 is attached to a slide 732 mounted vertically movably between the guides 733-733; 734 is a fixed rack

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 on the face of the slide 732; 735 is a pinion fixed on the shaft 736 which is mounted in the bearings 737, which in turn are mounted on the supports 738 fixed to the tank; 739 is a wheel, powered by a chain or otherwise, and attached to shaft 736.

   By the rotation of the wheel 739 the rod 731 can be raised to the lowering, lifting or lowering the pipe 726 correspondingly; 740 is a conical bottom of the interoeptor tank; 741 is a valve in the pipes 742 connecting the sludge interceptor tank to the distillation boiler 8; 743 are supports for the interceptor tank.



   The operation of the device which has just been described is as follows: the sludge coming from the sludge-supplying sources is brought through the sight glass 710 and the pipe 713 into the tank, where the sludge is deposited at the bottom, while the heavy liquid forms a layer on the surface of the sludge, and the water separates above the heavy liquid The state of the ingredients is such that in many cases such a clear, or clean separation is obtained , that it is possible to remove part of the liquid by deoantation, the substantially clear liquid passing over the dam and discharging through pipe 717, from where it can be returned to the settling tank, to the main settling tank , or be evacuated.

   Between the sludge layer at the bottom and the light liquid layer at the surface, a layer of heavy separator liquid of sufficient purity can form to be removed for immediate storage or reuse. The separation of this intermediate layer is carried out by the movable pipe 726, which is raised or lowered according to the observations made on the contents of the interceptor tank by the sight glass 722. As the layer of liquid The intermediate becomes thinner and the position of the orifice of the pipe 726 is adjusted so as not to draw on either layer situated on either side of the liquid forming the intermediate layer.

   In this way, the

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 middle layer can be removed without disturbing neighboring layers. When the intermediate layer has been removed, or before that, clear liquid located in the upper part of the tank can be withdrawn to any desired height through the openings 719 and the collector 720. By observation through the sight glass. 722 the operator chooses the valve to the level to which he wishes to lower the level of the liquid in the tank, then he opens the chosen valve, and the liquid passes by gravity, or by using a pump, in the pipe 721, and is taken either for reuse in the collecting pipes, or in the settling tank, or elsewhere.

   When the relatively clear liquids have been removed from the sludge trap, valve 741 is opened and the remaining material is flushed into the still boiler 8 using water jets 754. When the sludge trap has been removed. emptied, valve 741 is closed and the sludge switch is refilled.



   In Figures 7 and 7-c, 8 denotes the steam-heated distillation boiler as a whole; 81-82 are respectively outer and inner walls of the distillation boiler, assembled in places by the parts 83 which can encircle the boiler, but which are preferably open in places, in order to allow the water to drain from the part. upper towards the lower part of the shirt; 84 is a steam jacket at the base of the boiler; 85 are openings through which steam can be injected directly into the still chamber of the boiler; 86-86 are steam inlet pipes and 87-87 are steam and condensed water discharge pipes;

   88 is an opening in the top of the distillation boiler connecting the latter via the pipe 89 to the condensers which will be described below; 810 is an outlet pipe at the bottom of the distillation boiler; 811 is a valve in said pipe; 812 is an opening in the top of the boiler; 813 is a farm

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 removable ture of this opening, maintained in hermetic contact with the edge of the opening by bolts 814 or by other suitable means; 815 are supports for the distillation boiler; 820 is a water pipe;

   821 are pipes going from said water pipe to the base of the boiler, constituting a means for making the solid residue of the distillation fluid and for ejecting this residue through pipe 810; 822 is a vapor discharge line passing through the top of the distillation boiler; 823 is a valve in the vapor discharge line 822; 750 is a vapor discharge line communicating with the interior of the sludge interceptor from above; 751 is a valve in the vapor discharge line 750.

   The steam discharge line 822 is branohed to the steam discharge line 750. is a steam discharge line to which the other two 822 and 750 are connected. This steam discharge line '752, together with all the other steam discharge pipes of the apparatus, are directed to a purification system such as a sprinkler water jet which eliminates entrained vapors.

   The scrubber system being of standard construction is not shown, and for simplicity all of the discharge lines are shown open at the upper end. 753 is a water supply pipe encircling the base of the sludge interceptor; 754 are flush pipes entering the casing of the sludge interceptor at the base of this unbundle, allowing the heavy residue from the sludge interceptor to be classified through valve 741 in the still boiler *
The operation of the still boiler is as follows: After lowering a charge through pipe 742 into the still boiler, steam is admitted through openings 86 into the jacket and directly into the charge. through the openings 85.

   Preheating before admission

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 The level of steam in the load is sometimes advantageous. The heavy liquid and water in the distillation boiler are vaporized at a temperature below the decomposition temperature of the liquid and the heavy liquid vapor and water vapor go together through the opening 88 and pipe 89, which directs them to the condensers. When the last quantities of heavy liquid have been collected, the valve 811 is opened and the pressurized water from the source 820 expels the residual waste contained in the distillation boiler, through the pipe 810, to its destination. Water vapor pressure can also be used to help expel sludge.



   Figures 9 and 9-a show the condenser system.



  Two standard rows of radiators with four units each constitute, in accordance with our finding, an excel- lent condenser when employed in combination with a single fishtail-shaped jet for each unit In drawing 910 are the four units of a standard row of radiators and there! are the four units of a standard second row of radiators. 912 is a water supply pipe; 913 represents a valve; 9I4 are four pipes extending above the radiator rows; 915 are individual jets above the units in each row of radiators.



   The apparatus operates as follows: through pipe 89 is brought the distillate from the distillation boiler, and it passes through the radiators in the direction of the arrows. Each row of radiators is sprayed with cold water and the distillate is condensed and is directed through pipe 891 to cooler 95.



   Figure 10 shows a type of fitting used throughout the apparatus. Engineers know that the majority of pipes in this system carry suspended solids in addition to liquid and that suspended solids will tend to precipitate out wherever there is a fitting.

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  In order to make it possible to clean all these fittings, they are constructed as follows: t is a pipe; m is a pipe fitting or elbow; n is a pipe; 2 is an o-o threaded pipe with a removable jg cap. When the connection m o contains too much deposit, the cap g is removed and a pressurized water supply hose is connected to the screw thread o-o. When water is admitted, it drives all accumulated slurries or deposits out of the connection. The hose is removed and the cap g is put back in place. By directing the flow of liquid from pipe n through pipe t, slime builds up in pipe o until it is substantially filled. After that the erosive effect of the water is borne by the accumulated sohlamms and not by the pipe.



   In figures 8,8-a and 8-b is shown an apparatus for determining the percentage of coal in the material descending to the bottom and the percentage of shale in the floating material, - in other words, to determine the ash content of the cleaned coal as delivered by the system, so or so that the averages can be distributed with the best profit.

   In these figures, 75 generally designates a long trough, preferably made of a metal resistant to chemical attack; 750-750 are walls which divide the trough into a series of compartments; 751-751 are bowls having perforated or perforated bottoms 752, and preferably unperforated sides, the shape of the bowls substantially matching that of the compartments of the trough.

   Each of the compartments of the trough is furnished with a basin. ' The bowls are articulated at one end to the trough, advantageously in the manner shown in Figure 8-a. 753 are U-shaped members attached by welding or otherwise to the outer edge of the cups 751; 754 is a tube, or other piece of circular section attached to, or forming the edge of the trough 75; 755 are bolts passing through the ends of the V-shaped members 753; 756 are handles or handles, attached to the edge of each bowl 751, opposite the joint; 757 are placed stops

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 so as to make contact with the edge of said opening and to prevent the latter from coming into contact with the bottom of the trough 75;

   758 are pipes with valves, leading to each compartment, for draining purposes; 759 are stop bars placed approximately in the middle of and extending lengthwise from the sides of the bowls; 760 is a film having a perforated or perforated bottom 761 and a handle 762; 763 are means for supporting the trough; 764 is a tray extending longitudinally in front of the trough and having a rim 765 to prevent the escape of liquid, as well as a drain channel 768 and discharge pipe 767 for said liquid; 768 is a screen to prevent the escape of solids along the drainage channel. 770 is a means, such as a steam line, for controlling the temperature of the bath.



   In normal operation the apparatus will probably have ten compartments. Each compartment is filled to the same depth with liquid. 769 denotes a liquid level. For example, the first compartment will contain a liquid with a specific weight 1.9; the next one will have a specific gravity of 1.85; the following 1.8; the next 1.78; the next 1.76; etc. the specific weights being chosen so as to give the maximum amount of information for the particular coal, or other mineral, treated according to the process at the time considered. For example, a sample is taken from the coal exiting the BOUS hydraulic seal conveyor and a weighed portion of this coal is placed in the first compartment.

   Assuming that the specific gravity of the compartment has been correctly chosen for the first test, a considerable part of the load will drop to the bottom and the rest will float. The operator then takes the shovel 760, places its spout in the bowl, as shown in figure 8a, slides it along the stop bars which are at equal depth in each compartment and removes the floating material. liquid can flow through holes 761 in the bottom

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 perforated of the shovel and the floating materials are placed in the next opening, the specific weight of which is somewhat lower. This procedure is continued until the sample has been divided according to the specific weights.

   By pulling through the handles 756 the cuvettes can be tumbled around the tubes 754, allowing water to return through the holes 752 into the trough 75, and the material loosened at the bottom can be discharged into a container or other suitable means placed on the 764 plateau. '
The system is first calibrated by determining the ash content of the particular type of coal to be separated, a determination of the specific gravity of the input materials being first made, with the aim of determining the specific weight of the separating liquid to be employed. in tray 3.

   After the start of the work, samples are taken of both bottom and float materials and ash content determinations are made continuously to calibrate the system. Then the determination of the specific weights is carried out by comparing the subsequent samples with the control.

   In this way the coal content of the coal and the shale content of the coal can be determined, and according to the data collected the adjustment can be made for the change of the percentage of shale in the coal as described above. ' In each case we will have an exact control of the distribution of the means, since, if the specific weights fall between that in which pure carbon alone floats and that in which only sohists descend, the specific weights of the samples which descend into successive baths will be in direct relation to their respective coal and rock contents.

   Zinc chloride solution is a satisfactory agent for use in this apparatus because it can easily be dissolved to precise specific weights, but any other satisfactory liquid can be used.

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  After having determined the distribution of the averages as actually achieved by the apparatus, a prompt change in the setting of the apparatus may be made, so as to obtain, if desired, a different and more favorable distribution.



   The overall figure shows a diagram of the pipes, in which certain valves, or valves, have been designated, for the sake of simplicity, by the reference signs VI, 1-2, etc. With reference to this diagram , the section of the installation where the separation is carried out is filled with liquid by opening valve V-14 and using a pump P-2 and from the corresponding pipe the separating liquid is discharged into chamber 353 and into the tray e, until the level of the dam 357 is reached. Thereafter, the liquid level is maintained by pouring over dam 357, valve V-8 and pipe 358 going to the liquid reservoir used.

   The current can be kept constant, or additions of fluid can be made from time to time, by the use of valves V-8 and V-14. Once the liquid has reached its level the V-14 valve can be closed, thus cutting off the inlet of the separating liquid, the V-8 valve posing either to be closed or to remain open as desired.



  If at any time it is desirable to empty tank 3, close valves V-8, V-5 and V-14, open valves V-6, V-7 and V-20, the tank being emptied directly in tank 964. If it is a question of evacuating sludge from the bottom of the tank, the emptying will be done by valves V-6, V-5, V-4 and the pump P-2 in the sludge tank 7.



   If it is desired to evacuate the sludge from the bottom of section 4 of the installation, the V-3 valve is opened, the V-2 and V-4 valves are closed and the sludge is pumped directly into the tank 7.



  If it is desired to remove the sludge from tank 6, the valves 623 and v-2 are opened, the valves V-3 and V-4 are closed, and the sludge is pumped into tank 7. The liquid from separator 96 is removed. directed either into the fresh liquid reservoir, or into the used liquid reservoir, by the corresponding appropriate operation of the valves V-13 and V-12.

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   The apparatus described provides an excellent method of carrying out the process according to the invention. However, this is not the only apparatus which can be used to carry out the process and considerable modifications, both in general and in detail, can be made. For example, step 1 of the process could be replaced by thoroughly wetting by means of showers, containing a film stabilizer solution while the carbon is passed through a sieve.



  The sieve may have any length necessary to ensure thorough wetting of the carbon with the solution of the active agent,
The second step of the process, comprising washing the carbon, can be omitted, but this would result in the loss of all of the film stabilizer, which would tend to increase the cost of the process. Therefore, although it is theoretically / possible to omit the second step, it will not be omitted in the preferred embodiment of the invention.



   In the separation step, the liquid used is preferably organic and of the halogenized hydrocarbon type. However, the separation step of the process is not limited to these agents, since any separating agent having an effective specific gravity and inert to the materials to be separated, can be used. Desirable factors are: the material has a high boiling point so that there is only a low vapor pressure at working temperatures; low melting point, so that the material is liquid at the working temperature and so that the expense of keeping the mixture liquid by heat input is avoided;

   low solubility in water, so that the separating liquid is not contaminated by the ethanol liquid, and is not washed away on the separated materials; stability under working conditions, including: stability with respect to agents, air, light, and heat, low hydrolysis capacity, low toxicity to avoid injury to operators when the apparatus is cleaned, low screw-

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 cosiness and low price. The relationship between film stabilizer and organic liquids not soluble in water has already been discussed.



   Among the compounds which we have found to be useful and which may serve as examples for the preferred class of separator liquids are as follows: pentachloropropane, 3,4 dibromo 2,2 dimethyl butane, iodobutane, hexachloropropane, 1 chloro 3 bromopropane, 1 bromo 2,3 dichloro n butane, I io-dobutane, 1 chloro 1 bromoethane, 1,3 dibromo 2,2 dimethyl propana, ..

   2.4 dibromopentane, pentachloroethane, 2.3 dibromopentane, 1.2 dibromo 2 methyl butane, 1 chloro 2 bromoethane, 2 iodopropane, 1.5 dibromopentane, 1.4 dibromopentane, hepta- chloropropane, 1.2 dibromopentane, I @iodoheptane, 2-chloro I iodobutane, 1,1 chloro 1 bromoethane, 1,1 dibromo 2,2 methyl propane, 1,4,7 tribromoheptane, I, I, I trichloro 2 bromopropane,
2.2 dibromopropane, 1.2 dibromo 2 methyl propane, 1.3 dibromobutane, 1.4 dibromobutane, 1.2 dibromobutane, 1.3 dibromo 2 methyl propane, 2.3 dibromobutane, 2.2, Z - trichloro 1 bromoethane, 2 chloro I lodopropane ,, 3 chloro 1 iodopropane, @ ohloro 1,2 dibromobutane, iodoethane, 2 fluoro I, I, 2,2 tetràbromoethane, diohlorobromomethane,

   1,2 dibromopropane, 1 chloro 2,3 dibromobutane, 1,3 dibromopropane, chlorobromomethane, tribromo 2 methyl pentane, 3 chloro 1,2 dibromopropane, dichlordodopropane, 1,6 diiodohexane, trichlorobromomethane, 1 chloro I iodoethane, 2 ohloro 1 , 2 bromopropane, 1,3 dichloro 1,2 dibromopropane, fluoro 1,2 dibromopropane 1,1 dibromoethane, 2,3 dichloro 1,2 dibromopropane, 2 fluoro 1,1 dichloro 1,2 dibromoethane, 1 chloro I, I dibromoethane, 2 chloro I iodoethene, 1,2,2 tribromobutane, 1,2,3 tribromobutane, 1,1,2 bromobutane, 1,2 dibromoethane, 1,5 diiodopentane, 2 bromo 2 iodopropane, 2,2 dichloro 1 iodoethane, 1,2,3 tribromobutane, 2,2 difluoro 1 iodoethane, 1,1 difluoro 1,2 dibromoethane, I, 1,2 trifluoro 1,2 dibromoethane, 1 fluoro 1,2 dibromoethane, 2 chloro 1,

  2 dibromoethane, methyl iodide, I, I dichloro 1,2 dibromoethane, 1,2 dichloro 1,2 dibromoethane, 2,2,2 trichloro 1,1 dibromoethane, 1,3 io-

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 dobutane, 1,4 iodobutane, 2,2 difluoro 1,1 dibromoethane, 1,2,2 tribromopropane, 1,4,7 triiodoheptane, 1,1,2 tribromopropane, trichloro iodomethane, 2,2 dichloro 1,1 dibromoethane, 3 ohloro 1,2,2 tribromopropane, dibromo dichloromethane, 1,2,3 tribromopropane, 1,2,2 trichloro 1,1,2 tribromoethane, dibromo chloro-
 EMI61.1
 methane, Z, to iiodo propane, chloro iodomethane, dichloro iodō methane, dichloro tribromobutane, 1,2 diiodopropane, 1 bromo 1 iodoethane, 2 bromo I iodoethane, 1,1,4,

  4 tetrabromobutane,
 EMI61.2
 methylene bromide, I, I, 2,3 tetrabromo 2 methyl propane, 1,1,2 trifluoro 1,2,2 tribromoethane, 1,3 diiodopropane, 1,1,2 tribromoethane, 1 chloro 1,1,2 tribromoethane, 1,1 difluoro 1,1,2 tribromoethane, 1,1,2 tribromoethane, 1,2 dichloro 1,1,2 tribromoethane, 1,2,2,3 tetrabromopropane, 2 fluoro 1,1,2 tribro-
 EMI61.3
 moethane, 1,4 dichloro 1,2,3,4 tetrabromobutane, T, I 2, 3 tetrabromopropane, 1,1 diiodoethane, bromoform, hexabromobutane,
 EMI61.4
 1,1,1,2 tetrabromoethane, iodobromomethane, I, I, â, 2 tetxabxomō propane, 1,1,2,2 tetrabromoethane, I, 1,2,2,

  3 pentabromopropane, diiodo ohloromethane, pentabromoethane, methylene iodide, 1 ohloro 1,1,2,2 tetrabromoethane, ethylene perchloride, 2,3
 EMI61.5
 dibromopentene- '2,1,1,2,3,3,3, hexaohloropropene-1, 2-iodopropene-1, 2 chloro I bromoethene, 3-lodopropene-1, I, 3 dibromo 2 methylpropene-I, 1 , 2 d3.ahloro-I bromoethene, x, 2 dibromobutene-1, 2,2 diohlÓro'1 "bromoethene, 2-chloro '3-iodopropene-I, 1 chloro 3 iodopropbne-1, 1,2 dibromopropene-1 , 3 iodopropin-I, 1,1,2 ohloro] [bromoethene, '- I iodopropinēI, I, 3dibromopropênēS, 1,3 dibromopropine-1, 2 ohloro 1 iccloethene, 1 chloro 1,2 dibro- moethene, 1,2 dibromotihbne, 2 fluoro 1,1 dibromoethene, I, 2 dichloro 1,2 dibromoethene ,, 1,2 'dichloro 1,2 dibromoethene, 1,2,3 tribromopropene-1, 1,2 diiodoprene-1, 2 bromo 1 iodoethene,

   fluoro tribromoethylen, tribromoethylene, 2,2 dibromo 1io-doethene, 1,2 iôàoethene, iodooyclohexane, I, to dibromôcyclohexane, 3,4 dibromo 1,3 dimethylêbenzene, 3,4 dibromotoluene, 2,6 dibromotoluene 2,5 dibromotoluene, iodobenzene, iodo 2 chlorobenzene, 1,3 dibromobenzene, 1,2 dibromobenzene, trichlorethylene, 4 chloroethane and carbon tetrachloride.

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  * The list primarily indicates halogenized hydrocarbons but it should be noted that any liquid having the above desirable qualities can be used, as long as the separation step alone is intended. Kerosene, benzene and naphthalene and other hydrocarbons, as well as other organic liquids essentially insoluble in water and miscible with the preferred or selected separating liquids, particularly those of a low point. boiling and low vapor pressure, can be used as diluents to modify or change the specific gravity of separating liquids.



  If their weight is sufficient, such essentially water-insoluble organic liquids can be employed as separating liquids, regardless of the preferred class. If film stabilizers are employed with them, they should exhibit the properties given above with respect to them.



   The specific weight of the separating liquid employed will be between the specific weights of the mineral and of the gangue to be separated. The separator liquid contained in the tank will be covered with a layer or sheet of water or another liquid inert with respect to it which will serve to prevent the evaporation of the separator liquid and to reject the separator liquid which collects on the floating matter. Liquids can be distributed to fill the entire tank, or to fill only part of the tank.



   It is advisable to carry out the chamber in which the actual separation takes place, taking particular account of the mineral to be treated. For example, if it is a question of separating a finely divided iron ore from its gangue, we will need a longer chamber, in order to give all the fine particles the opportunity to respond to the separating action of the liquid. On the other hand, in cases where particle accumulation is not observed, and the separation proceeds quickly and completely, a short chamber can be employed. Another method to take account of these variations is to vary

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 or changing the rate of flow of the liquid through the separation chamber, thereby varying or changing the length of time during which the materials are allowed to separate.



   The separator liquid can be a liquid, or it can be a mixture of completely miscible liquids of different specific weights: Thus a mixture of C2H2BR4 and C2H2Cl4 will give a specific weight range of 2.95 to 1.59. This principle can be used to adjust the specific weight of the liquid so as to obtain a specific weight in which the averages will drop to a proportion which is most favorable on the day of separation by means of the apparatus. take advantage of this selection of specific gravity to ensure a particular separation of medium keys in an apparatus provided with a stationary deflector wedge.



   The speed with which the conveyors travel in this device determines the point at which the averages will be dropped when they come into contact with the wedge: Thus by accelerating or slowing down the path of the conveyors the speed of the liquid can be increased. or decreased, thus achieving a variation in the proportion of the averages with shale content contained in the coal ... By accelerating the operation of the conveyors, the liquid will travel faster, the averages will not have fallen as far and a higher percentage of averages with low coal content will be incorporated into the coal * By slowing down the conveyors,

  the separating liquid will flow more slowly and only the mediums richer in coal will be incorporated into the coal. '
A third method of varying the coal shale content and the coal shale content is by adjusting the location of the wedge by raising and lowering the wedge. Means for doing this have been described in the specification.



     These three methods of dividing or allocating means can be used separately, or together,

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 or all three together, and when used in this way they provide the greatest flexibility in the system.



   Figures 3-k and 3-1 show modified means for adjusting the wedge. Along the main tray 3 are provided boxes 390. Slots 391 connect said boxes to the main tray. 392-392 are parts hinged fasteners at the lower end of the corner; 393-393 are pins connecting the fasteners 392 to the sliders 394 sliding in the boxes 390; 395 are internally threaded arms attached to sliders 394; 396 are rods screwed into the arms 395 of the sliders and can be turned by means of pinions 397 fixed at their ends; 398 is a shaft entering the tank 3 and provided with pinions which mesh with the pinions 397 in boxes 390;

   399 is a handwheel for turning the shaft 398 for the purpose of operating the pinions and moving the slides and fasteners 392 in either direction, thereby adjusting the position of the corner. A stuffing box prevents liquid from leaking around the shaft.



   This description has been related more or less specifically to the separation of coal from its original impurities. However, the process is not limited to coals and is applicable to the separation of minerals in general although it is easily understood, as described elsewhere in this specification, that to ensure the best results with a particular mineral the speed of liquid medium, the density of the separating liquid and the length of the separation chamber can be varied. Substantially all minerals are obtained in their native state mixed with impurities: originating. In some cases the mineral is the heaviest and the gangue the lightest.

   In these cases the gangue will float on the surface of the separating liquid and the mineral will sink to the bottom and be evacuated by the lower conveyors. In other cases,

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 As in the case of coal, the reverse is true. The design of the conveyor system can be advantageously modified or changed to meet or accommodate the amounts of mineral and slurry to be expected with a particular process. Another variation which should be considered by the engineer. dealing with different minerals is that the specific weights of the minerals themselves vary.

   Thus the angelsitis varies from 6.1 to 6.4; anthracite coal varies from 1.3 to 1.7 and bituminous coal varies from 1.1 to 1.5. Among the minerals which can be separated from their gangues according to the present process, are the following:

   asbestos, bituminous coal, anthracite coal, ohrysooolle, garnierite, quartz, feldspar, black diamond, mica, fluorite, wad, siderite, calamine, rhodocrosite, diamond (gemstone grade), kyanite, limonite, azurite, psilomelane, malachite, garnet, corundum, sph alerite, willemite, ohaloopyrite, smithsonite, witherite, rutile, atannite, chromite, barite, tetrehedrite, ilmenite, energite, pyrrhotite, covellite, pentlandite, molybdenite, braunite, pyrolusite, bormankite, magnetite, hematite, bormanklinite thousand:

  rite, zincite, chalcocite, ouprite, sheelite, anglesite, vanadate (lead) cerusite, heubnerite, oassiterite, wolframite, galena, iron, niccolite, ferberite, cinnabar, copper (native) silver, platinum and gold.



   These ores do not all require treatment with a film stabilizer, because in some cases the mineral is: quickly wetted by water and retains water in a sufficiently firm manner to prevent its displacement or substantial removal by the water. separator liquid. In such cases the use of a film stabilizer is not necessary. On the other hand, minerals which are not quickly wetted by water, or from which, when wetted by water, the latter is substantially displaced or removed by the separating liquid; are organophilic and must receive a preliminary treatment with an aqueous solution of a film stabilizer.

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Many modifications to the purification phase of the process are possible.

   In addition to the jets shown in the drawings and described above, jets may be directed on the underside of the screen to assist in the cleaning or washing of the carbon. The concentration plate and the ribbed plate can be omitted, but their deletion is not advisable if one wants to obtain preferred results.) It has been reported in the literature that there is no static means capable of separating fine particles of coal or coal slurry from the wash water. The separation method of this kind described in this specification is the first to be successful in separating fine particles or slurries of coal, or solids, from liquid by a semi-static process.

   In this separation the ribbed plate plays an important role in tending to precipitate the fines, to coagulate the small globules of the separating liquid, and to separate the water. This, in combination with the three settling tanks or clarifiers of the overflow barrier type, constitutes a very efficient system, with which the recovery of the heavy liquid is almost quantitative. The barrier can be omitted in the so-called sludge interceptor apparatus, and the water which accumulates in the upper layer can be discharged only through the valves or collective valves on the side of this apparatus. The efficiency of the first two tanks is such that it is sometimes possible to remove the sludge interceptor and direct the sludge from the first two tanks directly into the still boiler for steam distillation.



   Any satisfactory method of distillation can be used to recover the heavy liquid from the sludge. The one shown and described has been given because it gives excellent results.



   The radiator-type condenser is an installation costing about one-tenth of that of a standard condenser system of the type capable of handling an equal amount of condensate, and which saves enormous amounts of water. /

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The chiller whose purpose is to reduce the condensate temperature is of a "standard" design and construction. It is shown schematically in the form of a jacket surrounding the pipe which connects the condenser 9 to the water separator 96, the jacket being closed at its ends and being provided with an inlet near one end and an outlet near. on the other end for a stream of coolant.



   In the water separator, the separating liquid and the water, being immovable and of different specific weights, separate.



  The separating liquid is led to the tanks and the water is preferably returned to another section of the installation, for example to the main settling tank.
The tank system shown, in which a fresh liquid tank is disposed above a used liquid tank, although suitable, is not essential to the process. Other storage systems can be used.



  However, most of these systems will involve the principle of adding fresh liquid to the liquid used as needed.



  The addition of fresh liquid to the liquid used may take place in the separation tank, or in the reservoir, or elsewhere as the engineer deems appropriate.



   The actual operation of the system is in near perfect equilibrium: Substantially all of the water used is collected and returned to the system, substantially all of the separating liquid employed is returned to the system, and substantially all of the film stabilizer is returned to the system. It can be said with complete accuracy that the system requires only a minimum of monitoring, and a minimum of working fluids, and yields are obtained which are equal to, or better than, those which have hitherto been considered as theoretically possible .

   For example in De Taggart "Handbook of Ore Dressing) it is said that the standard method used in laboratories

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 to determine the degree of separation at which the last useful amounts of coal are recovered and the last unnecessary amounts of shale are removed is the drop-and-float method as performed in a goblet. Taggart also says that this perfection of separation is impossible to achieve. However, by virtue of the development of the present process and apparatus, the separation perfection that Taggart mentions as being achievable in a beaker, is achieved on an industrial and commercial scale.



   An advantage of the present invention, considered as a whole, is that it constitutes a process for the purification of coal based on the use of a separating liquid, capable of competing with the highly developed and highly developed processes. advanced techniques employed hitherto in the field considered. Another advantage of the invention is that by the process to which it relates, the losses of expensive separating liquid are reduced to a point which makes the process industrially and commercially feasible and indeed makes it much more expensive than. the prior processes.

   Another advantage of the invention resides in the speed with which the process can be carried out with satisfactory results. A unit having only four square feet of separation surface was tested for rapidity and separated satisfactorily. 140 tonnes per hour, its capacity then being limited by the capacity of the conveyors who worked at their maximum capacity and could not process more. The maximum capacity of the system is at present still unknown. At comparatively slow normal operating speeds, its capacity is about ten times that of previous systems with equal dimensions of separation area * '
Coal can be prepared by this process with any ash content the operator desires.

   Previous coal scrubbing systems made a large separation.

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 between coal and shale, but the percentage of coal in the shale and the percentage of shale in the coal varied from minute to minute. The idea of producing coal of a standard ash content was a desideratum without the satisfactory means to achieve it. A yield of
85% was considered good for the coal cleaning process and many large heaps found in coal mining areas contain 15-35% usable fuel.



   By the process of the present invention such large amounts wasted can be profitably removed.



   In a generic sense, the invention provides a method for the process for immunizing the surface of a carbonaceous solid against the addition of an organic liquid, which does not seem to have been carried out previously. The invention is applicable to a wide variety of jobs and in fields far removed from mining. All of these applications fall within the scope or field covered by the present invention.



   Since very different applications of the present invention can be realized without departing from its spirit and scope, it should be noted that we are not limiting ourselves to specific applications or realizations of the invention except those defined in the claims.



   It should also be noted that the object of the present invention, which is, on the one hand, a complete process and, on the other hand, the means and installations used to carry out this complete process, consists of a series of divisional objects indicated at the beginning of this specification and in the detailed descriptions forming part of this specification. Now, it is understood that the present specification covers these objects both separately, and in any suitable combination, and as a whole, this set constituting a unit forming the entire process, as well as the means and installations. serving to achieve it.



   /


    

Claims (1)

REVENDICATIONS EMI70.1 ¯===================¯¯=à 3 3 3 9 I) Procédé comprenant: le lavage, d'une masse discontinue contenant du charbon dans un bain aqueux contenant de l'eau et un stabilisateur de film; l'enlèvement de matières flottantes de la surface de la solution; le retrait de la masse de la solution et son lavage avec de l'eau; l'enlèvement de sédiments du fluide de lavage utilisé ; leréglage du pourcentage de stabilisateur de film dans le dit fluide de lavage à un pourcentage utile en qualité de bain d'immersion initial ; l'immersion du charbon traité dans un liquide séparateur hydrocarboné halogénéïsé, es- sentiellement insoluble dans l'eau et couvert d'eau; l'enlèvement de la masse du bain séparateur ; de la masse avec de l'eau ; CLAIMS EMI70.1 ¯ =================== ¯¯ = to 3 3 3 9 I) A method comprising: washing a discontinuous mass containing charcoal in an aqueous bath containing water and a film stabilizer; removing floating material from the surface of the solution; removing the mass from the solution and washing it with water; removing sediment from the washing fluid used; adjusting the percentage of film stabilizer in said washing fluid to a percentage useful as an initial immersion bath; immersing the treated carbon in a halogenized hydrocarbon separator liquid, essentially insoluble in water and covered with water; removing the mass from the separator bath; mass with water; et la séparation du liquide séparateur d'avec l'eau épura- trioe,pour la réutilisation du liquide séparateur dans la cham- bre séparatrice; le dit procédé étant réalisé substantiellement hors du contact avec l'air. and separating the separating liquid from the purified water, for reuse of the separating liquid in the separating chamber; said process being carried out substantially out of contact with air. 2) Procédé comprenant: le lavage d'une masse interrompue ou discontinue contenant du charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; l'enlèvement de la masse de la dite solution et son lavage avec de l'eau; l'enlèvement de solides de l'eau de lavage qui contient de la solution de stabilisateur de film ; lerenforcement de la dite eau de lavage avec du stabilisateur de film ; usage dans le premier dit bain aqueux ; l'immersion de la masse dans un liquide séparateur essentielle- ment insoluble dans l'eau,comprenant un hydrocarbure halogénéïsé; l'enlèvement de la masse du liquide séparateur; le drainage de ce dernier ; le rassemblement du liquide drainé de la masse ; l'épura- tion de la masse substantiellement libérée du liquide adhérant, au moyen d'eau ;la des solides d'avec les liquides drainés et d'épuration ; 2) A process comprising: washing an interrupted or discontinuous mass containing carbon with an aqueous bath containing a film stabilizer; removing the bulk of said solution and washing it with water; removing solids from wash water which contains film stabilizer solution; strengthening said wash water with film stabilizer; use in the first said aqueous bath; immersing the mass in a substantially water insoluble separating liquid comprising a halogenized hydrocarbon; removing the bulk of the separating liquid; drainage of the latter; collecting the drained liquid from the mass; scrubbing the substantially liberated mass of adhering liquid with water, the solids from drained and scrubbing liquids; renvoi du liquide ainsi séparé dans l'étape de séparation ; etl'enlèvement des résidus de liquide des so- lides séparés,par distillation à la vapeur. <Desc/Clms Page number 71> returning the liquid thus separated to the separation step; andremoving liquid residues from the separated solids by steam distillation. <Desc / Clms Page number 71> 3) Procédé comprenant:le lavage d'une masse interrompue ou discontinue contenant du charbon avec un bain aqueux oontenant un stabilisateur de film ; lavage de la masse contenant du charbon, avec de l'eau; l'immersion de la masse lavée, dans un milieu de séparation comprenant un liquide séparateur organique essentiellement insoluble dans l'eau; l'enlèvement de la masse du liquide; et l'enlèvement du liquide adhérant de la masse ; les dites opérations étant réalisées substantiellement hors du con- tact avec l'air. 3) A method comprising: washing an interrupted or discontinuous mass containing charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer; washing the mass containing charcoal with water; immersing the washed mass in a separation medium comprising an organic separating liquid essentially insoluble in water; removing the bulk of the liquid; and removing the liquid adhering from the mass; said operations being carried out substantially out of contact with the air. 4) Procédé comprenant: le mouillage de charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; la sépara- tion du charbon d'avec des impuretés accompagnantes par immer- sion dans un liquide comprenant un hydrocarbure halogénéïsé d'une densité intermédiaire entre celle du charbon et celle des impuretés; l'épuration du charbon avec de l'eau; la sépara- tion du liquide d'épuration utilisé contenant des matières légè- res en suspension,d'aveo des matières précipitées; la séparation des dites matières légères en suspension d'avec le liquide; la combinaison des dites matières de suspension et précipitées, ainsi séparées ; séparation du liquide d'avec ces matières par tassement ou dépôt et décantation; 4) A method comprising: wetting charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer; separating the coal from accompanying impurities by immersion in a liquid comprising a halogenized hydrocarbon of a density intermediate between that of the coal and that of the impurities; scrubbing coal with water; separating the used scrubbing liquid containing light suspended matter from the precipitated matter; separating said light materials in suspension from the liquid; the combination of said suspended and precipitated materials thus separated; separation of liquid from these materials by packing or deposition and settling; et la distillation des solides abandonnés par la dite décantations 5) Prooédé comprenant:le mouillage de charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film ; laséparation de charbon d'avec des impuretés accompagnantes par immersion dans un liquide comprenant un hydrocarbure halogénéisé d'une densité intermédiaire entre celle du charbon et celle des impuretés; l'é- puration d'une portion séparée avec de l'eau; le rassemblement du liquide épurateur et sa séparation d'avec la masse des solides entrainés par un traitement comprenant un épaississement par tassement ; l'enlèvement du liquide séparateur des dits solides entrainés et son renvoi dans l'étape d'épuration,pour réutilisa- t ion: and the distillation of the solids abandoned by the said settling 5) A process comprising: wetting charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer; separating coal from accompanying impurities by immersion in a liquid comprising a halogenized hydrocarbon of a density intermediate between that of the coal and that of the impurities; purifying a separated portion with water; collecting the scrubbing liquid and separating it from the mass of entrained solids by a treatment comprising thickening by tamping; the removal of the separating liquid from the so-called entrained solids and its return to the purification stage, for reuse: <Desc/Clms Page number 72> 6) Procédé comprenant:le lavage d'une masse contenant du charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; la séparation du charbon d'avec les impuretés par immersion dans un liquide comprenant un hydrocarbure halogénéïsé d'une densité située entre celle du charbon et celle des impuretés; l'épuration du charbon avec un liquide essentiellement insolu- ble dans le liquide séparateur ; la séparation dessolideset du liquide séparateur d'avec le liquide épurateur ; le renvoi: du dit liquide épurateur dans l'étape de lava pour réutilisa- tion. <Desc / Clms Page number 72> 6) A method comprising: washing a mass containing charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer; separating the coal from the impurities by immersion in a liquid comprising a halogenized hydrocarbon of a density between that of the coal and that of the impurities; scrubbing the coal with a liquid substantially insoluble in the separating liquid; separating the solids and separating liquid from the scrubbing liquid; returning: said purifying liquid to the lava step for reuse. 7) Dans le procédé de séparation du charbon d'avec des impuretés,- qui emploie un liquide comprenant un hydrocarbure halogénérsé d'une densité intermédiaire entre celle du charbon et celle des impuretés, - les étapes préliminaires qui compren- nent : le lavage du charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film, et son lavage avec de l'e au. 7) In the process of separating coal from impurities, - which employs a liquid comprising a halogenated hydrocarbon with a density intermediate between that of the coal and that of the impurities, - the preliminary steps which include: washing the charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer, and washing it with water. 8) Procédé comprenant:le lavage d'une masse contenant du charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; la séparation du charbon d'avec des ingrédients de la masse 'ayant une densité différente,par immersion dans un liquide com- prenant un hydrocarbure halogénéïsé d'une densité intermédiaire; le lavage des constituants séparés ; l'enlèvement de solides du dit liquide de lavage ; distillation à la vapeur des dits solides ; la condensation du distillé et la séparation d'eau d'avec lui. 8) A method comprising: washing a mass containing charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer; separating the charcoal from bulk ingredients having a different density by immersion in a liquid comprising a halogenized hydrocarbon of an intermediate density; washing of the separated constituents; removing solids from said washing liquid; steam distillation of said solids; the condensation of the distillate and the separation of water from it. 9) Procédé comprenant: le lavage d'une masse contenant du charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; l'immersion de la masse dans un liquide séparateur hydrocarbané halogénéïsé le retrait de la masse de ce dernier ; et le lavage de la masse avec de l'eau. 9) A method comprising: washing a mass containing charcoal with an aqueous bath containing a film stabilizer; immersing the mass in a halogenized hydrocarbon separator liquid; removing the mass from the latter; and washing the mass with water. 10) Dans la mise en valeur du charbon les étapes qui com- prennent : le lavage de la masse contenant du charbon avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; l'immersion de la dite masse dans un liquide séparateur organique insoluble <Desc/Clms Page number 73> dans l'eau; la séparation de la masse d'aveo le liquide sépara- teur ; et l'enlèvement du liquide séparateur de la dite masse, par lavage # Il) Procédé comprenant: le lavage d'une masse contenant du charbon aveo un bain aqueux contenant un colleté émulsoïde; le lavage de la masse avec de l'eau; l'immersion de la masse dans un liquide séparateur organique comprenant un hydrocarbure halogénéïsé; la séparation de la masse et du liquide organique; et le lavage de la masse: 12) Procédé comprenant: 10) In charcoal upgrading the steps which include: washing the charcoal-containing mass with an aqueous bath containing a film stabilizer; immersing said mass in an insoluble organic separating liquid <Desc / Clms Page number 73> in water; separating the mass from the separator liquid; and the removal of the separating liquid from said mass, by washing # II) A method comprising: washing a mass containing charcoal with an aqueous bath containing an emulsoid collet; washing the mass with water; immersing the mass in an organic separating liquid comprising a halogenized hydrocarbon; separation of mass and organic liquid; and washing the mass: 12) Process comprising: le lavage d'une masse contenant du charbon aveo un bain aqueux contenant un glyooside dont l'aluoone est un radical aromatique polyoxhydryle asymétrique; le lavage de la masse avec de l'eau; l'immersion de la masse dans un liquide séparateur organique substantiellement insoluble dans l'eau; la séparation de la masse et du liquide séparateur; et l'enlèvement du liquide organique adhérant au solide par lavage. washing a mass containing charcoal with an aqueous bath containing a glyooside, the alooone of which is an asymmetric polyoxhydryl aromatic radical; washing the mass with water; immersing the mass in an organic separating liquid substantially insoluble in water; separating the mass and the separating liquid; and removing organic liquid adhering to the solid by washing. 13) Procédé de mise en valeur de minéraux,comprenant: le lavage d'une masse discontinue de solides contenant du miné- ral, avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; le lavage avec de l'eau de la masse ainsitraitée; l'immersion de la masse dans un milieu séparateur comprenant un liquide sépara- teur organique essentiellement .insoluble dans l'eau; l'enlèvement des solides du liquide séparateur; et l'enlèvement du liquide séparateur adhérant des dits solides ; les dites opérations étant réalisées substantiellement hors du contact avec l'air. 13. A method of upgrading minerals, comprising: washing a discontinuous mass of solids containing mineral with an aqueous bath containing a film stabilizer; washing the mass thus treated with water; immersing the mass in a separating medium comprising a substantially water-insoluble organic separating liquid; removing solids from the separating liquid; and removing the separating liquid adhering to said solids; said operations being carried out substantially out of contact with air. 14) Procédé comprenant:le lavage d'une masse contenant du minéral et de la gangue, ayant des constituants organophiles, avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; 1'enlève- ment de l'excès du bain aqueux de la dite masse ; de la dite masse dans un milieu séparateur composé principalement d'hydrocarbures halogénéïsés; l'enlèvement de la masse du bain séparateur; 14) A method comprising: washing a mass containing mineral and gangue, having organophilic constituents, with an aqueous bath containing a film stabilizer; Removing excess aqueous bath from said mass; of said mass in a separating medium composed mainly of halogenized hydrocarbons; removing the mass from the separator bath; et le lavage de la masse avec de l'eau pour enlever le liquide séparateur adhérent, <Desc/Clms Page number 74> 15) Dans le procédé de séparation d'une masse contenant du minéral et ayant des parties organophiles, suivant la densité, dans un milieu séparateur essentiellement insoluble dans l'eau et comprenant un liquide organique de densité intermédiaire , le moyen ou l'étape d'appliquer un bain aqueux contenant un stabilisateur de film à la masse contenant du minéral avant son immersion dans le bain séparateur. and washing the mass with water to remove the adhering separator liquid, <Desc / Clms Page number 74> 15) In the process of separating a mass containing mineral and having organophilic parts, depending on the density, in a separating medium essentially insoluble in water and comprising an organic liquid of intermediate density, the means or step d - apply an aqueous bath containing a film stabilizer to the mass containing mineral before its immersion in the separating bath. 16) Procédé comprenant:le fait de soumettre une masse de solides ayant des constituants organophiles,à l'action d'un bain aqueux? non-solvant, contenant un stabilisateur de film; le placement de la masse dans un milieu séparateur organique qui est essentiellement non-solvant par rapport au dit bain a- queux; l'enlèvement de la masse du milieu séparateur; et le la- vage de la masse pour enlever le liquide adhérent. 16) A method comprising: subjecting a mass of solids having organophilic constituents to the action of an aqueous bath? non-solvent, containing a film stabilizer; placing the mass in an organic separating medium which is essentially non-solvent with respect to said aqueous bath; removing the bulk of the separating medium; and washing the mass to remove adherent liquid. 17) Procédé comprenant: le lavage d'une masse contenant du minéral avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; la séparation du minéral d'avec les ingrédients de différente densité par immersion dans un liquide comprenant un hydrocarbure halogénéïsé de densité intermédiaire; le lavage des constituants séparés ; 1'enlèvement de solides du dit liquide de lavage ; la distillation des solides à la vapeur. 17) A method comprising: washing a mass containing mineral with an aqueous bath containing a film stabilizer; separating the mineral from the ingredients of different density by immersion in a liquid comprising a halogenized hydrocarbon of intermediate density; washing of the separated constituents; Removing solids from said washing liquid; steam distillation of solids. 18) Dans un procédé de mise en valeur de minéraux , comprenant la séparation suivant les densités dans un liquide sé- parateur essentiellement insoluble dans l'eau,les étapes au moyens : de lavage du minéral avec un bain aqueux contenant un stabilisateur de film; de -son lavage avec de l'eau; de rassemble- ment de l'eau de lavage utilisée; de séparation des solides d'avec elle; de renforcement de l'eau de lavage utilisée, en sta- bilisateur de film; et de traitement avec elle du minéral en- trant. 18) In a mineral enhancement process, comprising density separation in a substantially water-insoluble separating liquid, the steps of: washing the mineral with an aqueous bath containing a film stabilizer; washing it off with water; collecting the used wash water; separating solids from it; reinforcement of the washing water used, as a film stabilizer; and treating the incoming mineral with it. 19) Méthode pour immuniser la surface d'une substance organique essentiellement insoluble dans l'eau, contre son adhé- sion à un liquide séparateur organique substantiellement inso- <Desc/Clms Page number 75> luble dans l'eau, cette méthode comprenant: l'application à la surface du solide d'un film aqueux contenant un stabilisateur de film.' 20) Procédé de préparation d'une surface de minéral qui n'est pas facilement mouillé par l'eau et qui est destiné à être placé en contact aveo un liquide séparateur organique essen- tiellement insoluble dans l'eau,- ce procédé comprenant l'appli- cation à la surface du dit minéral d'un bain aqueux contenant un stabilisateur de film.' 21) Procédé comprenant: 19) Method for immunizing the surface of an organic substance substantially insoluble in water against its adhesion to a substantially insoluble organic separating liquid. <Desc / Clms Page number 75> water-readable, said method comprising: applying to the surface of the solid an aqueous film containing a film stabilizer. 20) Process for the preparation of a mineral surface which is not easily wetted by water and which is intended to be placed in contact with an organic separating liquid essentially insoluble in water, - this process comprising: 'application to the surface of said mineral of an aqueous bath containing a film stabilizer. 21) Process comprising: le lavage d'un minéral qui n'est pas facilement mouillé, ou pas mouillé de préférence,par de l'eau, avec un bain aqueux dilué contenant un colloïde émulsoïde; l'immersion du minéral'dans un liquide séparateur organique subs- t antiellement insoluble dans l'eau ; séparation du minéral et du liquide organique ; et l'enivrement du liquide organique adhérant au solide,par lavage. washing a mineral which is not easily wetted, or preferably not wetted, with water, with a dilute aqueous bath containing an emulsoid colloid; immersing the mineral in an organic separating liquid which is substantially insoluble in water; separation of mineral and organic liquid; and intoxication of the organic liquid adhering to the solid, by washing. 22) Procédé comprenant:le lavage d'un minéral qui n'est pas facilement mouillé ou pas mouillé de préférence,par l'eau, :..: avec un bain aqueux dilué contenant de l'acétate d'amidon ; l'im- mersion du minéral dans un liquide séparateur organique substan- tiellement insoluble dans l'eau ; séparation du minéral et du liquide organique ; etl'enlèvement du liquide organique adhérant au solide,par lavage. 22) A method comprising: washing a mineral which is not easily wetted or preferably not wetted with water,: ..: with a dilute aqueous bath containing starch acetate; immersing the mineral in an organic separating liquid which is substantially insoluble in water; separation of mineral and organic liquid; andremoving organic liquid adhering to the solid by washing. 23) Procédé comprenant: le lavage d'un minéral qui n'est pas facilement mouillé, ou pas mouillé de préférence:par l'eau, avec un bain aqueux dilué oontenant un glyooside dans lequel l'agluoone est un radical aromatique polyoxhydryle asymétrique ; l'immersion,du,minéral dans un liquide séparateur organique sub- santiellement insoluble dans l'eau; la séparation du minéral et du liquide organique;et l'épuration du minéral pour enlever le liquide séparateur; 24) Procédé comprenant: le lavage d'un minéral qui n'est pas facilement mouillé, ou pas mouillé de préférence,par l'eau, avec un bain aqueux dilué contenant de l'acide tannique; l'im- <Desc/Clms Page number 76> mersion du minéral dans un liquide séparateur organique substan- tiellement insoluble dans l'eau; 23) A method comprising: washing a mineral which is not easily wetted, or preferably not wetted: with water, with a dilute aqueous bath containing a glyooside in which the agluoone is an asymmetric polyoxhydryl aromatic radical; immersing the mineral in an organic separating liquid which is substantially insoluble in water; separating the mineral from the organic liquid, and scrubbing the mineral to remove the separating liquid; 24) A method comprising: washing a mineral which is not easily wetted, or preferably not wetted, by water, with a dilute aqueous bath containing tannic acid; im- <Desc / Clms Page number 76> immersion of the mineral in a substantially water insoluble organic separating liquid; la séparation du minéral et du liquide organique ; et l'épuration du minéral pour enlever le liquide séparateur. the separation of mineral and organic liquid; and scrubbing the mineral to remove the separating liquid. 25) Installations et les diverses seotions qui les com- posent considérées ensemble et séparément pour la réalisation du procédé suivant les revendications précédentes ainsi que diverses applications de ces installations et des dites sec- tions, comme envisagées et oomme décrites et représentées dans la présente spécification et les dessins l'accompagnant. 25) Installations and the various segments which compose them considered together and separately for carrying out the process according to the preceding claims as well as various applications of these installations and of said sections, as envisaged and as described and represented in this specification. and accompanying drawings.
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