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Dispositif de retenue pour rideaux et tentures de fenêtres et garnitures similaires.
Kurt S C H Ü R M A N N et Madame Elfriede WILDEN née FROMM
La présente invention concerne un dispositif de retenue pour rideaux et tentures de fenêtres, dans lequel on ne se sert ni de crampons qui doivent être enfoncés dans la maçonnerie, ni de barres ou tubes qui doivent être serrés entre les parois des fenêtres. Les dispositifs de retenue de ce type connus se composent de plusieurs barres ou bandes métalliques, assemblées au moyen de vis et réglables quant à leur longueur et leur hauteur au moyen de ces vis, et cette structure rigide est fixée au cadre de la fenêtre à l'aide de vis à bois. Ces dispositifs connus n'ont pas donné de bons résultats.
Abstraction faite de ce que leur aspect n'est pas beau, et qu'il n'est pas toujours possible de recouvrir au moyen des rideaux les parties métalliques s'étendant en par
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tie assez loin en avant, ces dispositifs sont comoliqués et coûteux, et 1'adaptation à des dimensions différentes des fenêtres n'est pas assez simple pour l'usager.
Le dispositif de retenue de l'invention est particulièrement simple et peu coûteux, et est commode à établir, et ce dispositif s'adapte de soi à n'importe quelle fenêtre de largeur et de profondeur quelconques. Ces avantages s'obtiennent d'après la présente invention, essentiellement du fait qu'un levier établi sur les deux parois latérales de la fenêtre et susceptible d'osciller parallèlement à ces parois, porte à son extrémité avant, dépassant le mur de la pièce, une plaque qui peut tourner et qui est pressée contre le mur de la pièce de par son propre poids et par celui des rideaux ou tentures de fenêtres, cette plaque étant pourvue des dispositifs porteurs pour les rideaux.
Pour fixer les leviers montés et oscillant sur les deux parois de fenêtre, on se sort de préférence chaque fois d'un petit tampon d'acier qui est invisible et n'endommage pas la maçonnerie, et qui est enfoncé en un point convenable de ces parois.
Les figures 1 à 3 du dessin ci-joint représentent un exemple d'exécution de l'objet de l'invention..Comme le dispositif se compose de deux moitiés égales, on n'a représenté que la moitié établie sur la paroi de gauche de la fenêtre. La figure 1 est une vue latérale. La figure 2 est une vue de face. La figure 3 est une vue de dessus.
Le dispositif de retenue se compose essentiellement d'un levier a qui est fixé et peut tourner par son extré- mité arrière sur la paroi de fenêtre b, assez près de la paroi supérieure de la fenêtre, ainsi que d'une plaque verticale c qui est montée et tourne sur l'extrémité avant de ce levier. Pour fixer le dispositif à la fenêtre, on se sert d'un petit tampon d'acier d, enfoncé dans les deux parois latérales en un point approprié, ce tampon appartenant au
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type qu'on trouve dans le commerce. Après avoir enfoncé le tampon, le levier a est fixé par sa percée arrière au moyen de la vis de tampon a à ce tampon, de manière à pouvoir tourner sur la vis.
La plaque c est constituée dans la construction représentée par un tube creux rectangulaire, et on a établi dans les petites parois latérales de ce tube, une rangée de percées f se faisant face. La liaison oscillante de la plaque verticale e s'appliquant sur le mur de la pièce, avec le levier a se fait au moyen d'une vis pourvue d'un écrou à ailettes, vis qui traverse chaque fois deux percées f de cette plaque et une percée prévue à l t extré!%11 té avant du levier. Dans ce but, l'extrémité avant du levier dépasse quelque peu le mur de la pièce. Les différentes percées de la plaque a assurent une grande possibilité de réglage en hauteur de cette plaque.
La plaque porte à son extrémité supérieure l'équerre 1 insérée dans le profil creux de la plaque, cette équerre 1 pouvant être retirée, et on a fixé sur le côté inférieur des deux équerres, c'est-à-dire sur celle du dispositif de gaucher et sur celle du dispositif de droite, la barre de bois k, qui s'étend transversalement de bout en bout et qui porte sur son coté inférieur les oeillets* evilles, etc., pour maintenir les barres transversales des rideaux, etc. La barre de bois k porte aussi les poulies et autres organes pour le dispositif de tirage des rideaux. Mais on peut tout aussi bien monter sur les équerres i des barres ou rails de roulement complètes, ou des dispositifséquivalents, tels qu'on les trouve dans le commerce.
Le dispositif ci-dessus décrit s'adapte sans difficulté à n'importe quelle fenêtre, car il est indépendant de la largeur et de la profondeur de la fenêtre. On choisit un levier a si court qu'il correspond à la profondeur de fenêtre minimum existante. De petites imprécisions lors de l'enfonce-
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ment du tampon se compensent d'elles-mêmes du fait que le levier a peut osciller facilement d'un petit arc sur son pivot, jusqu'à ce que la plaque c s'applique de par son prppre poids contre le mur de la pièce. Le poids du dispositif et de l'ensemble des rideaux presse la plaque .2. fortement contre le mur de la pièce, donc d'autant plus fortement que le poids est plus grand. Le dispositif est ensuite fixé par serrage de l'écrou à ailettes de la vis g.
Les percées f de la plaque a offrent une possibilité très simple et commode de réglage des dispositifsporteurs pour les rideaux en hauteur. Après enlèvement des équerres conjointement avec la barre de bois k, on peut monter l'ensemble de la garniture de fenêtre en bas sur la table et l'accrocher ensuite commodément par nouvelle insertion des deux équerres dans la plaque creuse c. Un olou enfoncé dans le mur à travers la petite percée ]¯ du levier a empêche la montée du dispositif lors de l'enlèvement des équerres. Mais on peut obtenir le même résultat au moyen d'une butée, éventuellement réglable, établie sur le levier a ou sur la plaque c et s'engageant sous la paroi supérieure de la fenêtre.
En cas de déménagement, on peut enlever tout simplement le dispositif, et il suffit uniquement de remplacer les tampons fort peu coûteux. L'ensemble du dispositif est très simple et économique, tout en étant parfaitement stable et faoile à manipuler.
Le levier a peut aussi être fixé sur le cadre de fenêtre de manière à pouvoir osciller; mais en pareil cas il faut que le levier soit réglable en longueur pour pouvoir être adapté à des profondeurs différentes des fenêtres. La plaque a peut comporter un profil en U ou tout autre profil approprié, et peut aussi être pleine.
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Retainer for curtains and window coverings and the like.
Kurt S C H Ü R M A N N and Madame Elfriede WILDEN née FROMM
The present invention relates to a retainer for curtains and window coverings, in which no spikes are used which must be driven into the masonry, nor bars or tubes which must be clamped between the walls of the windows. Known retainers of this type consist of several metal bars or bands, assembled by means of screws and adjustable as to their length and height by means of these screws, and this rigid structure is fixed to the window frame at the same time. using wood screws. These known devices have not given good results.
Apart from the fact that their appearance is not beautiful, and that it is not always possible to cover by means of curtains the metal parts extending in par
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Tie far enough ahead, these devices are comoliques and expensive, and the adaptation to different dimensions of the windows is not simple enough for the user.
The inventive retainer is particularly simple and inexpensive, and is convenient to set up, and this device self-adapts to any window of any width and depth. These advantages are obtained according to the present invention, essentially from the fact that a lever established on the two side walls of the window and capable of oscillating parallel to these walls, carries at its front end, exceeding the wall of the room. , a plate which can turn and which is pressed against the wall of the room by its own weight and by that of the curtains or window hangings, this plate being provided with the supporting devices for the curtains.
To fix the mounted and oscillating levers on the two window walls, it is preferable each time to get out of a small steel plug which is invisible and does not damage the masonry, and which is inserted at a suitable point of these walls.
Figures 1 to 3 of the attached drawing represent an embodiment of the object of the invention. As the device consists of two equal halves, only the half established on the left wall has been shown. from the window. Figure 1 is a side view. Figure 2 is a front view. Figure 3 is a top view.
The retainer consists essentially of a lever a which is fixed and can turn by its rear end on the window wall b, quite close to the upper wall of the window, as well as a vertical plate c which is mounted and rotates on the front end of this lever. To fix the device to the window, use a small steel plug d, driven into the two side walls at a suitable point, this plug belonging to the
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type found in commerce. After having depressed the buffer, the lever a is fixed by its rear opening by means of the buffer screw a to this buffer, so as to be able to turn on the screw.
The plate c is formed in the construction shown by a rectangular hollow tube, and there has been established in the small side walls of this tube, a row of openings f facing each other. The oscillating connection of the vertical plate e applying to the wall of the room, with the lever a is made by means of a screw provided with a wing nut, screw which passes through two holes f of this plate each time and a breakthrough provided at the end!% 11 front tee of the lever. For this purpose, the front end of the lever protrudes slightly from the wall of the room. The different holes in the plate a ensure a great possibility of height adjustment of this plate.
The plate carries at its upper end the bracket 1 inserted into the hollow profile of the plate, this bracket 1 being removable, and the two brackets were fixed on the lower side, that is to say on that of the device. left-handed and on that of the device on the right, the wooden bar k, which extends transversely from end to end and which carries on its lower side the eyelets * evilles, etc., to hold the transverse bars of the curtains, etc. The wooden bar k also carries the pulleys and other members for the curtain pulling device. But it is just as well to mount on the brackets i complete running bars or rails, or equivalent devices, such as are found on the market.
The device described above adapts without difficulty to any window, since it is independent of the width and depth of the window. We choose a lever a so short that it corresponds to the existing minimum window depth. Small inaccuracies when sinking
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of the buffer compensate for themselves in that the lever a can swing easily with a small arc on its pivot, until the plate c rests by its own weight against the wall of the room . The weight of the device and all the curtains presses the plate. 2. strongly against the wall of the room, so all the more strongly the greater the weight. The device is then fixed by tightening the wing nut of the screw g.
The holes f in the plate a offer a very simple and convenient possibility of adjusting the supporting devices for the height curtains. After removing the brackets together with the wooden bar k, the entire window covering can be mounted at the bottom on the table and then conveniently hung by re-inserting the two brackets into the hollow plate c. A olou driven into the wall through the small hole] ¯ in the lever a prevents the device from rising when removing the brackets. But the same result can be obtained by means of a stop, possibly adjustable, established on the lever a or on the plate c and engaging under the upper wall of the window.
If you move, you can simply remove the device, and you only need to replace the very inexpensive tampons. The whole device is very simple and economical, while being perfectly stable and easy to handle.
The lever a can also be fixed on the window frame so as to be able to oscillate; but in such a case the lever must be adjustable in length to be able to be adapted to different depths of the windows. The plate a can have a U-shaped profile or any other suitable profile, and can also be solid.