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MACHINE A REMETTRE LA. MONNAIE ET LES JETONS ET A FACILITER LE CHANGE. La présente invention consiste en un appareil ou machine 'dont le rôle est de distribuer rapidement les pièces de monnaie jetons, etc.. par l'usage de mécanisme facile et ingénieux et d'une sûreté absolue.
D'innombrables appareils de ce genre ont déjà été pré- conisés par une foule d'inventeurs et tous, présentent, d'une façon générale, le grave inconvénient d'être contrariés dans leur fonctionnement en ce sens que la colonne des pièces ou jetons pèsent lourdement pendant la marche sur les organes d'éjection.
En effet, dans tous les distributeurs à éjecteur par le bas, et ce sont les seuls qui ,'aient jusqu'à présent donné satisfaction, la pièce inférieure est à éjecter et sert en même temps de support aux autres pièces de la pile, ce qui rend exces- sivement laborieux, non seulement l'éjection proprement dite, mais le retour de ces organes à leur position de repos.
Certains inventeurs ont préconisé, à l'intérieur des tubes, un ou plusieurs obstacles destinés à séparer la colonne
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en plusieurs tronçons.
Ces obstacles sont préférablement constitués par un pointeau à vis dépassant légèrement à l'intérieur. C'est le seul, à peu près efficace actuellement breveté.
L'appareil conforme à la présente invention permet d'éviter cet inconvénient et d'autres encore, tout en assurant une distribution excessivement légère (genre machine à écrire) infaillible et contrôlée. L'éjection des différentes pièces s'effectue en toute sécurité par des commandes simples, légères au toucher et d'une robustesse à toute épreuve, assurant un travail rigoureusement précis, les dites commandes pouvant faire partie d'un socle indépendant du réservoir de pièces.
L'appareil peut être en outre approvisionné en pièces très rapidement (en vrac) et d'une façon correcte et peut être adapté à n'importe quel genre de pièces (rondes, carrées, octogonales etc.
En principe, l'appareil est constitué par 2 parois latérales (1) servant de support à tous les organes et une table (2) portant autant de rainures transversales qu'il y a de tubes (6).
Les tubes (6) sont en nombre quelconque, ce nombre étant fonction des opérations requises de la machine.
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Ces tubes (6) pourront d'ailleurs être dédoublés, ils n<.<M. méme pourront mieux être tous de même grandeur fût-ce même de la plus grande dimension, l'entr'axe de la machine étant standardisé au le plus grand des pièces existant dans le monde entier (pièce grecque de 40 m/m).
Ces tubes (6) peuvent occuper toutes les positions comprises entre l'horizontale et la verticale, une inclinaison vers l'avant étant prévue dans certains cas et leur diamètre intérieur, légèrement supérieur au diamètre des pièces auxquelles le tube est destiné.
Ces tubes (6) présentent sur presque toute leur hauteur, une fente de visibilité qui sera pratiquée à la face avant
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du tube et servant en même temps de rainure d'accès d'une spatule au cas où une correction devrait se faire (mauvaise pièce, pièce non conforme, etc...)
A l'arrière, ces tubes seront aussi munis d'une autre rainure recevant de ce fait l'éclairage d'un jeu de lumière (22) mis à l'intérieur de la caisse de protection et donnant, par contraste, un contrôle absolu.
Ces tubes sont terminés à leur partie supérieure avant, par 2 parois (7) servant de guide ou de chenal. Ces tubes s'appuient sur une tablette commune formant couloir d'accès (8), cannelée en largeur pour diminuer le frottement.
Les tubes sont fixés d'une manière ferme et écartés
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;du dessus de la tablette (2) de I ) fois l'épaisseur de la pièce; ils sont donc complètement isolés.
A l'arrière de ce tube, est ménagé une encoche destinée à recevoir une petite marche d'appui (21) c'est-à-dire un seuil ou saillie nette et l'ergot séparateur de mise en place (5bis).
Cette marche d'appui (21) est constituée par une saillie nette à l'intérieur du tube (6), servant d'appui normal à la colonne entière pendant le fonctionnement de l'appareil.
La saillie de cette marche est d'une grandeur telle qu'une pièce ne peut passer à plat à cet endroit. La distance qui la sépare de la table est légèrement supérieure à l'épaisseur'de la pièce.
L'inclinaison de la semelle du couloir d'accès (8) sera toujours au maximum égal ou inférieur à 90 par rapport à la génératrice des tubes (6), seule inclinaison favorable à une bonne position de chute et évitant la position verticale des pièces dans le tube.
Le chargement normal se fera en vrac par la partie supérieusedes tubes (6), aidé en cela par la pente de la semelle du coula d'accès(8).
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indépendant de la machine, appareil qui sera décrit plus loin.
L'évacuation, ou éjection, ou distribution de pièces de monnaie se fait au moyen d'une pièce de forme spéciale, mais standard pour tous les genres de pièces. Cette pièce porte le nom d'éjecteur ou ergot d'éjection (5).
Cette pièce de forme spéciale, qui est fixée au levier (4)porte à son extrémité avant l'ergot (5) d'éjection et à son extrémité arrière l'ergot séparateur (5 bis). Ces 2 ergots sont séparas et reliés entre eux par un espace en arc de cercle concentrique à l'axe,légèrement supérieur au diamètre de la pièce correspondante et la saillie de l'espace précité dépasse la table d'environ 2 à 3/10 de m/m. Cette saillie sert à supporter la pièce pendant l'évacuation en l'empêchant de frotter par toute sa surface sur la table, de sorte que la pièce pendant le transport ne glisse que sur une arête latérale ; le corps de la pièce étant supporté par l'"espace" prérappelé.
En substance la machine se compose d'autant d'éléments qu'il y a de tubes, et donc autant qu'il y a d'opérations d'é- jection à faire.-
Chaque élément se compose de :
1 clavier porte-pastille ou indication (3)
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e- 1 levier relié au clavier par une articulation à boutonnière et un manchon (4). Ces 2 organes sont complètement standard pour tous les pays.
Le levier est porteur de l'ergot d'éjection (5) et de l'ergot séparateur (5 bis), ces 2 organes étant d'une seule pièce et ajustés, quant à leur distance l'un de l'autre.,suivant la pièce à évacuer. Cette pièce spéciale est en acier trempé @ ou cementé.
Le fonctionnement de l'appareil est décrit ci-après.
Pour plus de compréhension voir figures 1, II, III, IV et V données à titre exemplatif et non limitatif qui permet- tront de mieux suivre le processus du mouvement.
Les figures I, II et III montrent schématiquement
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les différentes phases de l'opération pendant la marche.
I représente la machine au repos, après fonctionnement
II représente 1 pièce pendant l'éjection
III représente la position des ergots pendant leur retour au repos, l'ergot séparateur bousculant une pièce
IV une vue d'ensemble en coupe de la machine, situant sché- matiquement les organes.
V une partie de la vue de face de la machine.
La machine est montée, les tubes en bonne position par rapport à la table.
Les pièces sont introduites en vrac dans les tubes (6) ou plus rationnellement déposées pêle-mêle sur la semelle du couloir d'accès (8) dans les loges ou couloirs (7) correspondants, à l'exception, pour plus de sûreté, de la première pièce qui sera introduite seule et à plat.
La machine étant au repos, la position des ergots (d'éjection et séparateur) sera la suivante: Il) L'éjecteur (5) effacé sous la table, donc sans saillie.
2 ) L'ergot séparateur (5 bis) engagé complètement dans une entaille ménagée dans la petite marche d'appui (21) et dépassant celle-ci en hauteur d'une quantité au maximum égale à l'épaisseur d'une pièce normale ou de plusieurs pièces suivant le cas. Vers l'intérieur, l'ergot (5 bis) vient en même saillie ou légèrement supérieur à celle de la petite marche (21). "La hauteur dépassant la marche d'appui (21) pourra néanmoins être plus forte suivant le nombre de pièces à éjecter mais ne devra jamais dépasser la hauteur totale de ces pièces.
Dans ces conditions,de repos de la machine, les pièces introduites vont prendre les positions suivantes :
A l'avant, les pièces reposeront par une arête sur la table.
A l'arrière, elles reposeront sur la pointe de l'ergot séparateur (5 bis). Dans cette position, la machine est bloquée et ne peut éjecter.
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Pour la mettre en ordre de marche, (voir figures ) il suffit d'appuyer légèrement sur les touches (3) pour déplacer vers l'éjection d'une distance de quelques m/m, cette manoeuvre servant à dégager l'ergot séparateur (5 bis) de dessous la pile de pièces et de permettre à celle-ci de se reposer normalement sur la petite marche (21).
En laissant revenir la touche à sa position de repos, l'ergot séparateur (5 bis) en reprenant sa place et sollicité par le ressort de rappel (26), va remplir son rôle de -séparation et déplacer la dernière ou les dernières pièces de la pile suivant le cas, et appuyer cette fraction de pile sur la table (en bonne position d'éjection) (voir figure 1).
En appuyant normalement sur la touche (3), l'ergot d'éjection (5) par sa trajectoire curviligne et non rectiligne, va accrocher ce lot de pièces ou cette pièce seule et l'engagera en-dessous de la petite marche d'appui (21), dont l'écartement par rapport à la table est calculé (voir plus avant).
L'ergot d'éjection (5) ayant une longueur égale au plus grand diamètre de pièce (au moins 40 m/m) sera sur toute sa longueur concentrique à son point d'articulation et dont le champs sera taillé en biseau pour réduire le point de contact et supportera pendant toute sa course - tout un côté de la colonne de pièces mais dans des proportions très réduites, exactement comme démontré ci-après.
Le poids de la colonne sur le prolongement de l'éjec- teur (5) se réduit au poids d'une pile de pièces d'une hauteur égale à environ 2 fois le diamètre de la pièce (inclinaison de
60 par rapport à la verticale) ce poids doit être multiplié par le sinus de l'angle de 60 , le tout divisé par 2 puisque nous avons une charge reposante sur 2 appuis (la table (2) ou l'éjec- teur (5) et la marche d'appui (21) C'est approximativement le 1/lOème du poids de cette pile, et comme le frottement se fait sur une arête circulaire (arête de la pièce) sur l'éjecteur (5) qui n'a que son épaisseur en biseau ou dos d'âne, le coefficient
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de frottement est presque nul.
Le toûcher, dans ces conditions correspond sensiblement à celui d'une machine à écrire de bonne marque et permet donc comme pour celle-ci des manoeuvres très rapides.- L'expérience faite à plusieurs reprises a montré qu'une dactylo exercée utilisant la machine à monnaie de ce type, distribue journellement environ 30.000 pièces, sans ressentir plus de fatigue qu'à la machine à écrire.
La première caractéristique de la présente machine est l'agencement judicieux de tous ses organes.
La deuxième, la standardisation complète des différentes pièces composant ceux-ci, la troisième qui est la plus importante est l'évitement absolu de la colonne de pièces pendant l'éjection par la position inclinée que prend la pile de pièces par rapport à la table laissant de ce fait, sous elle, un espace suffisant pour permettre à l'ergot de décrire sa trajectoire en arc de cercle en toute liberté.
La quatrième, d'être certain d'éjecter la ou les pièces prédéterminées, ce nombre étant fonction de la hauteur de l'ergot séparateur par rapport à la petite marche d'appui (21).
Celle-ci (21) possède d'ailleurs au surplus un système de règlage en hauteur permettant de travailler à coup sûr, en ne laissant dépasser l'ergot séparateur (5 bis) que de la quantité nécessaire aux besoins recherchés.
La cinquième de permettre, en cas de mauvaise manoeuvre de rappeler la pièce dans le tube (6) après une course déjà très longue.
La sixième de posséder des compteurs (19) contrôlant le travail de la machine dont description à titre exemplatif et non limitatif est faite plus loin.
La septième de posséder des appareils chargeurs de réserve, à vidange réglée.
La huitième d'être d'une sécurité de manoeuvre et d'une inviolabilité absolues, les couloirs et organes en contact
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des pièces étant blindés et la machine et non la caisse (26) possédant un couvercle (9) tributaire des condamnations.
La machine est munie à l'avant d'une fenêtre avec glace (10), permettant la visibilité et éventuellement la lec- ture des échelles graduées ou autres indications pendant la mar che .
Cette fenêtre (10) est dotée d'un verrou spécial (11) , qui est normalement bloqué par le tiroir (23) um organe spé- cial de condamnation.
La machine possède un couvercle (9) fixé à même son ossature (6) fermant les couloirs et complètement indépendant de la caisse (26), rendant celle-ci complètement inutile ou plutôt accessoire si ce n'est comme garniture ou protection générale et pour le transport.
Tous les différents organes, claviers (3) leviers (4) et ses ergots (5), (5 bis), fenêtre (10) de devant et couvercle (9) ainsi que la cache de devant¯, la partie basse de la machine et comportant les fenêtres des compteurs sont solidaires d'un système de condamnation unique, le tiroir (23) généralement ou d'une serrure spéciale dont le chef d'entreprise ou la personne responsable possède et détient la clef. Elle est donc complète- ment inviolable sinon par destruction, c'est un petit coffre- fort portatif.
Une machine de ce genre, sans compteurs étant sans utilité, l'inventeur décrit et-après une des innombrables appli- cations de ces organes.
La présente invention porte principalement en ce qui concerne les compteurs, sur l'utilisation d'appareils spéciaux marqueurs contrôlant le travail de la machine. L'inventeur pré- conise, et formule-toutes revendications à cet égard, d'autres applications de compteurs soit aux organes même de la machine quidans leur course.,actionneraient un cliquet ou levier ou organe quelconque soit que la pièce ou les pièces de monnaie, dans leur course ou trajectoire déclencheraient un dispositif
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marqueur. L'inventeur préconise aussi de placer sur la colonne de pièce un témoin qui, suivant dans sa descente, la colonne de pièces marquerait l'opération par un moyen quelconque.
Les compteurs possèdent un dispositif de blocage de la touche au cas où le tube correspondant serait vide.
L'usage du courant électrique est aussi prévu dans l'actionnement des appareils marqueurs (soit minuterie, soit principe électro-aimant, soit contact,) soit cellule photo-élec- trique) le...
La machine est donc pourvue de compteurs spéciaux (19) en nombre égal à celui des tubes et des éléments.
Ceux-ci donnent l'import de la valeur monétaire ou le nombre de pièces à volonté, ce qui permet à l'opérateur de con- trôler instantanément le montant de l'opération.
Ces compteurs (19) ont leur voyant à l'avance sur la cache de devant précitée' , donc face à l'opérateur. Par un système spécial de miroir ou lentille, le résultat peut être projeté sur un écran à l'arrière de la machine et à l'usage du client.
L'inventeur prévoit aussi l'indication du montant de l'opération sur un ticket ou souche ou ruban.
Les compteurs de la machine conformes à la présente invention, fonctionnent @ par la chute de la pièce sur une bascule (14) terminant un couloir (27) unique à tous les tubes mais séparé par des cloisons portant chacune leur bascule (14), reliée par levier (28) au cliquet des compteurs (19).
De là, après avoir basculé et marqué au compteur, les pièces tombent dans une trémie conique (28) dont le fond est constitué par une trappe basculante (15) elle aussi ; tri- butaire d'une tringle (29) et d'un levier (17) qui ne peut être actionné que par l'opérateur après vérification et totalisation des compteurs (19).
Ce levier (17) commande en même temps le mécanisme de"rappel à zéro" des compteurs. (19).
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C'est donc seulement après vérification aussi complète qu'on le désire qu'on distribue en une seule fois, dans une sébile (16) la totalité de l'opération. De cette façon il ne peut y avoir de contestation possible entre le client et la caissière.
L'opération étant terminée, les compteurs ramenés à zéro, l'opération suivante peut commencer.
Comme variante, l'inventeur prévoit un dispositif permettant d'imprimer l'import de l'opération.
La machine peut très bien être jointe à une caisse enregistreuse ordinaire et les combiner pour faire les opérations suivantes : Montant de l'achat
Montant de la somme donnée en payement
Somme à remettre Exemple : Montant de la somme donnée 100.- frcs
Montant de l'achat 52,75
A remettre 4?,25
La machine possède à l'avant sous le clavier une grande sébile générale (20), destinée à recevoir en vrac, la monnaie reçue en paiement par les clients ou devant subir le change, en attendant d'être introduite dans les tubes corres- pondants.
Un marbre (30) mis à proximité du clavier permet de contrôler à la sonorité les pièces reçues.
La machine a ses éléments de manoeuvre écartés d'une distance supérieure au diamètre de la plus grande pièce (40 m/m pièce grecque). Elle est donc complètement standard c'est-à-dire que toutes les machines ont la même partie basse ou de manoeuvre, les tubes seuls (6) étant destinés à être changés pour les besoins de la cause, c'est-à-dire qu'au cas où une pièce est,dans tel pays, destinée à être désaffectée et remplacée par une autre de dimensions différentes, il suffit d'enlever la caisse (28) qui ne tient que par quelques viscelle-ci ne servant que de protection¯.,et de remplacer le
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tube (6) au moyen de 2 vis, le tube proprement dit portant tous ses accessoires (marche d'appui, etc).
Il suffit alors de changer la pièce spéciale (5 et 5bis; porteuse des 2 ergots,encore par 2 viset la machine est prête à recommencer. Cette immobilisation a duré quelques minutes.
La machine est fixée solidement à un bâti en bois ou métallique possédant un tiroir (23) à plusieurs compartiments et d'une très grande capacité pour recevoir.,sans les froisser, tous les formats de billets existants. - Un dispositif spécial maintient les billets couchés et comprimés quand la machine est au repos.
Ce tiroir peut préférablement,dans certains cas, provoquer le blocage automatique de toute la machine.
La caisse ou protection (26) épouse assez bien le contour extérieur de la machine et a une forme très esthétique.
Complètement métallique et estampée elle est d'une interchangeabilité absolue.
Elle se fait en toutes teintes assorties aux produits de vente du client.
Elle se fixe sur la machine par quelques vis ainsi qu'au bâti ou socle.
L'ensemble est alors fixé au comptoir par des vis inaccessibles de l'extérieur, mais par la machine elle-même, le tiroir étant enlevé ; qui lui donne la qualité d'inviolabilité absolue.
Elle repose aussi sur des champignons en caoutchouc (24).
A l'intérieur de la caisse se trouve un jeu de lumière (22) permettant d'éclairer les tubes (6) par des fentes ménagées dans ceux-ci.
Un timbre (18) peut être mis à l'intérieur actionné par le levier de "remise à zéro" (17) des compteurs (19).
Le couvercle de la machine (9) est relié par un levier spécial (31), faisant partie du système de condamnation, au mécanisme spécial qui commande son ouverture et sa fermeture auto-
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atique.
La caisse proprement dite peut être dotée d'un volet mécanique protégeant toute la face.
REVENDICATIONS.
1.- Simplicité et sûreté de manoeuvre d'éjection, en ce sens, que l'éjecteur (5) de par sa forme et sa trajectoire curviligne, doit entraîner à l'évacuation et ne peut entraîner que le nombre de pièces pour lequel la machine est réglée.
2. - Marche et' appui (21) ou saillie, généralement quel- conque répondant au même but, se trouvant dans le bas du tube (6) et servant à supporter la plus grande partie du poids de la co- lonne de pièces et n'ayant absolument rien de commun avec les pointeaux ou obstacles à vis préconisés dans d'autres brevets.
3. - Les 2 ergots (5 et 5 bis) (éjection et séparateur) peuvent être solidaires ou non et décrire un arc de cercle, donc une trajectoire curviligne, et non rectiligne, l'ergot séparateur (5 bis) ayant pour mission de basculer et de mettre en place la ou les pièces se trouvant au bas de la colonne lors de sa fin de course retour au repos et de les mettre en place d'éjection bien séparée de la colonne et ce, avec l'énergie accumulée par la poussée à l'aller donc récupération de l'énergie perdue dans les autres inventions.
4.- L'inclinaison de la base de la pile de pièce par rapport à la table (2) et ménageant de ce fait un espace libre évitant l'éjecteur (5), ce qui donne la douceur et la souplesse de touche.
5.- La table peut prendre n'importe quelle position depuis la verticale jusque l'horizontale et même inclinée par l'avant.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.