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PROCEDE DE PHONORYTHMIE ET DISPOSITIFS POUR SON EXECUTION. t'invention concerne un nouveau procédé désigné par procédé de phonorythmie, ainsi que des dispositifs pour son exécution. Il s'agit de mettre en relation phonoryth- mique entre eux, par ce système, plusieurs phénomènes de mouvement polyrythmiques en soi, régis ou influencés par des ondes sonores. Il s'agit en outre de dériver des phé- nomènes de mouvement de ce genre à partir d'autres, tout en conservant leur propre caractéristique.
Le principe du procédé de phonorythmie consiste à représenter des ondes sonores, d'une façon visible, et à créer le rythme général. En effet, les ondes sonores re-
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présentées d'une façon visible et des phénomènes de mou- vement sonores semblables à ces ondes quant au rythme, ou encore des phénomènes de mouvement d'une autre nature, sont rendus synchrones, le cas échéant en commun avec des phénomènes de mouvement sonores. Ce rythme général déterminé d'une façon visible est transmis à d'autres phé- nomènes de mouvement.
Des mouvements possédant individuellement' chacun un rythme déterminé sont ainsi adaptés entre eux de la façon la plus complète, ce qui permet par exemple une reproduction, parfaite dans la forme, de phénomènes de mouvement polyrythmiques en soi, qui ont eu lieu, qui ont lieu ou qui auront lieu séparément dans le temps ou dans l'espace.
Ceci est important notamment pour beau- coup de domaines de l'industrie artistique, par exemple pour le domaine du film sonore, aussi bien du film noir et blanc que du film en couleurs de toutes sortes et du film plastique, qu'il s'agisse de films récréatifs, de films de caractère ou documentaires, ou de films truqués, pour le domaine du film sonore pour radio-diffusion, du théâtre, des concerts, de l'enseignement, en particulier de l'enseignement de la musique et des langues, etc., ainsi que pour chaque sorte de combinaisorntre les do- maines individuels cités plus haut, par exemple des effets combinés de scène et de film, etc., des successions, pro- duites naturellement ou artificiellement et combinées d'une façon générale, de son ou d'images, ou bien de son et d'images.
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L'adaptation de phénomènes de mouvement polyrythmiques en soi à l'aide du rythme général peut être appliquée par exemple lorsque des sons et des phénomènes phonétiques de toutes sortes en une ou plusieurs langues, ou des sons et des vues, ou encore des sons, des vues et des paroles doivent être mis en relation entre eux.
Lorsqu'il s'agit de fixer des phénomènes de mouvement dans differentes langues, l'invention permet de créer un rythmogramme général composé de bandes rythmiques en plu- sieurs langues ou de bandes rythmiques de langues diffé- rentes. Ce résultat est obtenu par l'adaptation des phé- mènes de mouvement polyrythmiques en soi. On obtient ainsi une base permanente pour le contrôle, le traitement complé- mentaire ou la retouche.
Il est particulièrement important d'obtenir une trans- mission visible et permanente du rythme général sur un support pouvant servir de guide pour l'enregistrement ou la reproduction synchrones, ou pour l'enregistrement et la reproduction d'autres phénomènes de son et de mouvement.
Un seul et même film de vues peut être par exemple présenté ou encore transmis par radio-diffusion avec toute reproduction, variée de façon quelconque, de la succession des sons, ainsi que dans les expressions de langues les plus diverses. Lorsqu'il s'agit de radio-diffusion, on peut aussi propager, également par radio-diffusion, la reproduc- tion d'une succession correspondante de sons, produite na- turellement ou artificiellement, ou une combinaison des deux sortes.
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Il est par exemple également possible d'effectuer, par le cinéma chez soi, des représentations, accompagnées de vues, d'ouvrages scéniques, de conférences illustrées par des vues, etc., pour lesquelles les successions correspon- dantes de sons et de textesparlés, ou les deux, sont trans- mises par radio-diffusion, dans les langues les plus diverses et aussi les expressions rythmiques les plus diverses des dirigeants (chefs d'orchestre), d'acteurs, etc., dans chaque cas envisagé.
En pareil cas les films de vues préparés d'après le rythme général sont rendus par exemple aux auditeurs de radio-diffusion sans modification. Auparavant et indépendam- ment de cette transmission, l'expression linguistique désirée, ou encore l'expression rythmique désirée de la succession des sons, sont fixées selon le rythme général dans le phonogramme dans chaque cas, et ce phonogramme sert alors à la trans- mission-des sons par radio-diffusion. Le déroulement synchrone du film de vues avec le phonogramme transmis par radio-diffu- sion peut être assuré mécaniquement, par exemple au moyen d'un mouvement d'horlogerie de précision ou électriquement à l'aide de l'énergie de la radio-diffusion.
Une bande de contrôle permet de régler le pas synchrone de la projection des successions des vues au début et aussi pendant la trans- mission des sons par radio-diffusion, à l'aide de chiffres de repère semblables portés par le film et la bande de con- trôle accouplée avec le film, chiffres qui sont continuelle- ment en relation avec des chiffres du compteur synchrone, ce qui indique les sections de la succession de sons qui corres- pondent aux sections individuelles du film de vues.
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Peur le théâtre et les ccncerts, l'accompagnement par l'orchestre cu les chceurs sont fixés dans le phoncgramme par l'exemple d'après le rythme général, et peur les repré- sentations la figuration naturelle des effets scéniques est dirigée d'après la bande rythmique correspondant au phono- gramme et dérivée du rythme général, avec reproduction électro-acoustique du phonogramme, ou bien les successions correspondantes de sons d'ordre vocal ou instrumental sont reproduites naturellement par des artistes. On peut aussi combiner des effets de film et des effets scéniques en pro- jetant par exemple une scène filmée dans la scène théâtrale et en utilisant également la bande rythmique dérivée du rythme général et servant de guide pendant la représenta- tion.
Pour l'enseignement on a recours par exemple, pour la musique pratique et peur l'exploration de la musique, à des rythmes d'artistes de renom, rythmes qu'on traite en vue d' obtenir un rythme général objectivé, sur la base duquel on fait des bandes rythmiques en vue de l'enseignement. D'après ces bandes.-on peut diriger des successions-de sons produites naturellement ou artificiellement, ou les deux, et assurer ainsi la reproduction naturelle phonorythmique des sons au lieu de la reproduction métronomique utilisée jusqu'ici.
L'enseignement des langues peut être adapté techniquement par l'intermédiaire d'un rythme général établi d'après plusieurs dialectes d'une langue à l'aide de bandes ryth- miques qui en sont dérivées, de préférence en combinaison avec la phonétique représentée par des-vues, ou encore de
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la successicn cinématique de vues de situation, servant de guides ou d'auxiliaires.
Ccmme c'est relativement à la producticn des films so- ncres que l'invention peut être décrite en détail de la façon la plus complète, on traitera cette application en particulier dans la description? qui va suivre.
Pcur faire un film photo-phonographique suivant l'in- vention, on fait d'cbord des bandes rythmiques en diffé- rentes langues. En se basant sur ces bandes et en comparant avec les vues de réflexion ou de projection des sources so- nores naturelles, on fait une bande de rythme général corres- pcndant au rythme commun de toutes les langues et représen- tant le guide pour l'enregistrement scnore, le cas échéant aussi pour l'enregistrement des vues. L'image et le son peuvent ensuite être copiés sur un support commun ou repré- sentés synchroniquement, mais séparément.
L'enregistrement photographique peut avoir lieu, suivant le rythme général, en même temps qu'on fait un ryt- mogramme général, et lorsque le film de vues a été coupé, coupe qui est effectué conformément à la bande de rythme général faite d'après le rythma gramme général, l'enregistre- ment sonore peut avoir lieu aussi à l'aide de la bande de rythme général. Pendant l'enregistrement des vues on peut aussi faire une bande de rythme général ou un phonogramme auxiliaire, Ce dernier peut être fait seul ou en même temps que l'un des organes de contrôle cités plus haut.
Par la suite et au cours de l'application du procédé, le phono- gramme auxiliaire peut être transformé en bandes rythmiques,-,,,
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Pour l'adaptation des différents temps des différentes langues on procède, par additicn ou enlèvement de parties, à des corrections longitudinales sur les bandes rythmiques dérivées du rythmogramme général. Pour faire des films sono- res on corrige la bande de vues ou la bande sonore corres- pondante, ou les deux, de la façon voulue, le cas échéant pendant la copie.
Suivant l'invention la préparation simplifiée des expressions de plusieurs langues d'un film sonore a lieu par exemple de la façon suivante, relativement à ses détails .
On fait d'abord un rythmogramme du dialogue d'un film, afin d'avoir déjà schématiquement devant les yeux, pour le travail de traduction, l'image écrite, rendue vivante quant au rythme, du texte original. Pour cela on copie photogra- phiquement cette bande de rythme général par sections en parties égales autant que possible et l'on reporte les photocopies ainsi obtenues, sur des feuilles inviduelles, de façon que l'ensemble de la bande rythmique se présente en forme de livre, de préférence dans des classeurs à méca- nique.
En outre, on trace en lignes verticales, sur les feuilles individuelles, le rythmogramme qui sert de base à la bande rythmique, et, à l'aide du schéma ainsi obtenu, on trace la reproduction du texte dans une autre langue, par syllabes de prononciation et en tenant compte de la phonétique, le cas échéant plusieurs langues les unes sous les autres.
Pour le contrôle visuel, qui permet, déjà avant la
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prise de vues, de vérifier les textes en différentes lan- gues relativement à la concordance rythmique et phonétique, et de les corriger de la façon la plus complète, on fait d'abord, pour les différentes présentations du film en langues étrangères, des copies sur bandes de la bande ryth- mique auxiliaire menticnnée plus haut, On trace également le rythmogramme sur ces copies en lignes verticales, de préférence de couleur, puis cn fait les inscriptions en langues étrangères sur la bande.
Les travaux d'inscription, de ccntrôle, etc., néces- saires pour la confection des bandes rythmiques sont effec- tués avantageusement au rythmoscope. C'est un appareil au- xiliaire permettant de faire passer synchroniquement deux cu plus de deux bandes devant un repère commun, le cas échéant aussi sur une trame pouvant être éclairée par trans- parence et portant un schéma d'inscriptions. L'une des ban- des peut être un film photcgraphique correspondant se dé- roulant, suivant un rapport de transmission appropié, plus vite que les bandes à traiter,
Ces bandes peuvent aussi être soumises, au moyen d'un rythmoscope, à un contrôle optique synchrone conforme à la partition et relativement à la concordance rythmique et phonétique de certaines ou de toutes les bandes rythmiques faisant partie de la production envisagée.
Un autre contrôle visuel des bandes rythmiques en différentes langues, et par conséquent l'adaptation phono- rythmiques des textes, adaptation qui est nécessaire pour l'établissement du rythme général, ont lieu de la façon
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suivante. On fait passer la ou les bandes établies en lan- gues différentes, de façon connue, au moyen d'un rythmonome de projection devant un repère, et l'on reproduit ainsi si- multanément@ et de la même façon, à proximité immédiate du repère commun projeté en même temps, les images réfléchies 'ou les ombres des mouvements du visage, et de préférence des lèvres, des personnes qui parlent suivant les bandes dans chaque cas.
C'est ainsi qu'a lieu le contrôle visuel des textes par l'intermédiaire de la représentation cinéma- tique des images des mouvements du visage et des lèvres tels qu'ils sont originés par le texte audible, Ceci a lieu de préférence chaque fois pour deux expressions simultanément, c'est-à-dire chaque fois de face et de profil.
Au lieu et auprès du contrôle des imageses mouvements originés par le texte audible, on peut aussi comparer.entre elles, à l'aide d'oscillographes, les images sonores des différentes expressions. Pour cela les images sonores sont projetées simultanément de préférence avec les bandes ryth- miques à contrôler, de façon que les images sonores appa- raissent à proximité immédiate des repères des bandes ryth- miques.
Il convient aussi de superposer les projections des images sonores à l'aide d'une ligne neutre, pour déterminer les écarts inadmissibles au moyen de lignes limites fixées empiriquement, et d'effectuer ensuite le reste de l'adapta- tion des bandes rythmiques de langues différentes par rapport à leur rythme général.
Après ce minutieux travail préliminaire dramaturgique
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on peut prendre des dispositions exactes pour la producticn et commencer ensuite la prise de vues en se basant sur ces dispositions.
Pour les scènes de chant par exemple, cette prise de vues a lieu à l'aide de la bande terminée de rytbme général, en faisant dérouler cette bande dans un rythmoncme de type connu, de préférence par projection, simultanément avec le film négatif dans l'appareil de prise de vues. De cette façon le rythme de l'image est égal au rythme de l'inscrip- tion de la bande correspondante.
Pour la prise de vues, on procède principalement de la façon suivante. Les personnes qui parlent, etc., agis- sent suivant le texte fixé du rythme général et l'on fait simultanément avec la prise de vues un rythmogramme général ou une bande de rythme général, ou un phonogramme auxiliai- re, en préférence un magnéto-phonogramme. De cette façon en n'a besoin, pour toutes les expressions d'un film, que d'un seul négatif de vues, auquel ne correspond qu'un seul ryth- mogramme (général) ccmmun à toutes les expressions. Ce ryth- mogramme général sert aussi pour ainsi dire de dénominateur général pour les bandes rythmiques et les phonogrammes qu'il s'agit de faire dans les différentes langues.
Après la prise de vues et le choix des meilleures vues de chaque scène pour chaque ca, on colle entre elles les différentes sections de la succession de vues, ainsi que les sections, désignées de façon correspondante, des parties de bandes rythmiques pour les textes des différentes langues.
On coupe ensuite les vues, en effectuant d'abord une
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coupe brute à l'aide de la bande de rythme général corres- pondant au film de vues, de préférence de façon que la ban- de rythmique se déroule dans le rythnoncme synchroniquement et et simultanémenyravec la projection du film de vues. Le ré- gisseur marque, en se basant sur la prcjection des vues et à l'aide du rythmographe, sur la bande rythmique qui se dé- roule synchroniquement, les endroits où le film doit être coupé. Le film n'est coupé que lorsque les points de coupe on été fixés exactement par des contrôles répétés, les points de coupe envisagés étant marqués par des pauses obscures dans la projection pendant le déroulement ininter- rompu des deux bandes.
La coupe de précision du film de vues est effectuée sous un contrôle acoustique. A cet effet on transmet simul- tanément avec la présentation des vues la succession cor- respondante de sons qui est exécutée naturellement à un autre endroit, par exemple aussi sous forme d'essai du son, d'après la bande rythmique correspondante se déroulant synchroniquement avec les vues, et transmise à la salle de présentation des vues par l'intermédiaire d'un microphone, d'un amplificateur et d'un haut-parleur ou d'un récepteur à casque.
Ceci donne au régisseur l'impression totale de la vue et du son et produit par conséquent l'effet d'un film sonore terminé, déjà avant l'enregisterment du son,
Ceci permet également de présenter à la censure et aux intéressés, avant l'achèvement d'un film sonore, sa succes- sion de vues seule en donnant l'impression d'un film sonore terminé, pour qu'on puisse tenir compte de leurs désirs par
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des changements faciles à apporter à très peu de frais.
Le contrôle acoustique, ou le complément de la succes- sion de vues du film sonore à établie, peuvent aussi avoir lieu au moyen d'un phonogramme auxiliaire établi simultané- ment avec ou avant la prise de vues et coupé avec le film de vues, ou établi après l'achèvement du film de vues spéci- alement pour le contrôle et la présentation. Pour des raisons d'économie et de simplicité on utilise également un phono- gramme magnétique à cet effet.
Lorsque la coupe des vues et l'essai de son ou le con- trôle acoustique du film sonore sont terminés, on effectue l'enregisterment définitif du son d'après la bande de rythme général correspondant au film de vues, dans la langue voulue pour le cas envisagé, de préférence dans le domaine lin- guistique correspondant lui-même. On effectuera d'abord l'enregistrement du son dans l'expression originale, et en- suite seulement, dans chaque cas, les enregistrements des paroles et du chant pour les différentes versions.
L'enregistrement du son d'après le rythme général as- sure aussi la possibilité technique, en ce qui concerne les prises de vues effectuées avec une caméra à déroulement optimale et à déroulement minimale ou surdiaphragmées, c'est- à-dire avec des décalages de phases rythmiques, de les com- biner avec des enregistrements sonores, ce qui permet, mal- gré les décalages de phases dans la succession de vues, une reproduction du son avec la hauteur normale de ce dernier.
Après l'enregistrement du son et lorsque les meilleu- res successions de son ont été choisies suivant les scènes,
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on assemble d'abord, conformément à la succession des images, les sections individuelles du suppcrt du son, support qui a été marqué également conformément à la bande de rythme général.
On coupe maintenant le son en déroulant le support du son synchroniquement et simultanément, non pas comme jusqu' bande de vies seulement, mais avec ici avec / la bande de rythme genéral, le cas échéant simul- tanément aussi avec la bande de vues. A cet effet on fait passer le support du son (par exemple une bande soncre) dans un appareil de contrôle particulier à travers un dispcsitif lecteur de sons (pick-up etc. ) et simultanément on fait passer devant un repère la bande correspondante de rythme général concordant avec la bande de vues. Il faut seulement veiller à ce que le moment d'écoute concorde avec le moment visuel, c'est-à-dire que l'on entende dans le haut-parleur cu /Tans le récepteur à casque, à chaque instant, le son ou la syllabe ou le bruit dont les signes d'enregistrement passent justement devant le repère sur la bande de rythme général.
On peut ainsi constater sans peine et d'une façon parfaite les divergences qui porraient exister, et il est facile de les égaliser par une coupe appropriée.
Enfin la combinaison (resp. le mixage) des phonogram- mes distincts en ce qui concerne la musique, la parole et les bruits, a lieu aussi à l'aide de la bande de rythme gé- néral. Chaque sorte de combinaison peut ainsi être' effectuée facilement et sûrement. Pour la combinaison on fait de pré- férence auparavant sur la bande de rythme général, pendant l'essai d'écoute, des repères ou annotations pour le réglage
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correspondant des potentiomètres de la table du mixeur (mixing-table), afin d'obtenir ainsi des phonogrammes collectifs définitifs sûrement réglés, qui sont ensuite co- piés avec le film de vues de façcn connue, ou présentés sé- parément, mais synchroniquement.
La bande de rythme général sert avantageusement d'organe de réglage automatique pour commander la production des phonogrammes collectifs,
Les phonogrammes établis suivant l'invention à l'aide du rythme général ont encore l'avantage, en particulier lersqu'on utilise des photo-phonogrammes, que par suite de ce que les vues et le son sont enregistrés séparément la lumière utilisée pour faire les copies sonores pour le film peut être entièrement homogène, ce qui signifie la supres- sion du réglage du son pour la. reproduction du film photo- phonographique.
Pour la détermination du rythme général ou pour la production du rythme général ou d'une bande de rythme géné- ral, on peut aussi partir d'un phonogramme dont on dipose pour une succession de vues existant déjà, et qui peut être produite simultanément avec la prise de vues ou auparavant cu postérieurement. Ce phonogramme peut avoir été enregistré sous forme de phonogramme auxiliaire, uniqement dans le but de fixer la succession de sons correspondant à la succession de vues.
Pour l'exécution du procédé on utilise des phonogram- mes de tout mode de préparation, de préférence ce qu'on apelle des phonogrammes magnétiques. Pour faire ces derniers, on utilise,de préférence, pour le support du phonogramme,
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des films usuels perforés commercials avec ou sans couche d'emulsion sensibilisée et, pour la couchesesibilisée électro-magnétique, une couche constituée par du métal et appliquée par exemple par le procédé à aspersion ou pulvé- risation. Le support du phonogramme peut aussi être consti- tué par une combinaison d'un film cinématographique usuel du commerce avec une bande à sensibilité électromagnétique appliquée sur ce film.
Ces phonogrammes ont l'avantage de pouvoir être corrigés facilement:, ce qui est indispensable pour le procédé de phonorythmie, et de pouvoir servir à plu- sieurs reprises pour de nouveaux enregistrements. De ces pho- nogrammes, qui sont établis pendant la prise de vues ou sé- parément, on détermine individuellement, quant à leur ryth- me, et on représente visiblement les divers phénomènes a- ccustiques qu'ils contiennent, tels que les paroles, la mu- sique et les bruits. Ceci peut se faire par exemple au moyen d'oscillogrammes ou de rythmogrammes. A l'aide de ces phénomènes de mouvement directement, ou par l'intermédiaire de bandes rythmiques en différentes langues établies d'après ces phénomènes, on peut déterminer le rythme général ou produire la bande de rythme général.
Cette bande sert encore de guide pout l'en- registrement ou la reproduction, ou pour l'enregistrement et la reproduction synchrones d'autres phénomènes acousti- ques et de mouvement.
On peut ainsi, en particulier aussi pour l'enseigne- ment ou la démonstration et leurs applications les plus di- verses, corriger des successions de vues postérieurement ou y remplacer, ou y ajouter des phénomènes acoustiques, par
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exemple pour dcnner un certain cachet artistique à une suc- cession quelconque de vues ou encore de sons, ou pour en améliorer la qualité.
Suivant le procédé de phonorythmie la synchronisation postérieure peut être appliquée à la production d'une ou plusieurs versions d'un film sonore!existant de nature quel- conque, y compris les films sonores déjà établis par le pro- cédé de phonorythmie en une ou plusieurs langues, et dont le texte original a déjà été traité suivant le rythme géné- ral.
La synchronisation postérieure a lieu en principe à l'aide d'un phonogramme, ou par la production d'un phono- gramme auxiliaire correspondant au film sonore'dont il s'agit.
On fait, d'après le phonogramme ou d'après le phono- auxiliaire d'un film sonore, comme on l'a déjà vu, à la main ou automatiquement, un rythmogramme ou directement une ben- de de rythme du texte original ou d'un texte appropié dans une autre langue.
Pour la transformation automatique du phonogramme di- rectement en un rythmogramme ou une bande de rythme, on u- tilise par exemple le phonogramme ou le phonogramme auxili- aire de façon à commander un relais au moyen d'un disposi- tifs de lecteur, pour assurer l'avancement rythmique et par bonds d'une bande à inscriptions métriques dont les inscriptions sont appliquées par voie photographique sur un organe sensibilisé, tel qu'une bande de film, se dérou- lant continuellement.
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Pour la synchronisation postérieure le travail ulté- rieur a lieu de la même façon que pour les procédés de pro- duction déjà décrits, par le système phonorythmique et à l'aide de l'ensemble de la technique de contrôle de ce sys- tème.
On procède ainsi à l'adaptation phonorythmique des textes et l'on détermine le rythme général de cette façon, On procède ensuite, également de la même façon, comme on l'a dit pour le procédé de production de films sonores, à la coupe de vues, à l'essai du son, à l'enregistrement du son, à la coupe du son, au mixage, etc., à l'aide du rythme général, le procédé de phonorythmie assure à l'enregistrement et à la reproduction de phénomènes de mouvement de toutes sortes une liberté d'établissement et une possibilité d'u- tilisation des plus étendues et aussi internationales.
Pour la production des films sonores en particulier cela représente l'exploitation polyglotte de chaque film et par conséquent, en ce qui concerne ses possibilités d' utilisation et d'exploitation commerciale, la mise du film sonore au même rang que l'ancien film muet.
Pour l'application du procédé de phonorythmie la pré- paration et l'utilisation des bandes rythmiques ont lieu de préférence de la façon suivante.
En partant de bandes à inscriptions métriques, on peut faire des bandes de rythmes, par des moyens photo- graphiques, en faisant passer continuellement devant un objectif une bande sensibilisée (un film vierge), qu'il
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s'agit d'impressionner rythmiquement. En même temps on fait avancer la bande à inscriptions métriques par un mouvement en sens inverse, par bonds, suivant le rythme des paroles, du chant, de la musique ou du bruit, de l'autre côté de l' objectif, division par division.
La bande transparente à inscriptions métriques peut être munie, au moyen d'un patron, d'inscriptions telles que la voyelle de chaque syllabe, pour les paroles et le chant, les différents temps d'une mesure et leurs notes princi- pales, pour la musique, et'les signes appropriés, pour les bruits, viennent se placer sur des traits pointillés entre deux traits pleins voisins (d'une division),
Le transport de la bande métrique syllabe par syllabe a lieu avantageusement automatiquement sous l'action du courant amplifié du microphone ou du courant alternatif am- plifié d'un lecteur du phonogramme.
Les courants alternatifs amplifiés d'un microphone ou d'un lecteur d'un phonogramme peuvent être transformés par exemple au moyen d'un redresseur en courant continu pulsa- toire, pour qu'ils puissent agir sur un relais assurant le transport de la bande métrique.
L'amplification des courants alternatifs peut avoir lieu au moyen de lampes dont la charactéristique varie sui- vant une.courbe telle que ce soient les courants les plus faibles qui soient le plus renforcés, les courants de sor- tie les plus intenses n'étant amplifiés que jusqu'à une limite maxima.
Les rythmogrammes servant à compléter des.bandes ry.th-
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miques peuvent aussi être faits automatiquement à l'aide de courants de paroles ou de sons, le déclanchement du re- lais d'enregistrement ayant lieu par exemple par l'intermé- diaire d'une lampe dite à impulsions et d'amplificateurs provoquant une augmentation rapide du courant de commande du déclanchment jusqu'à la valeur de pointe des impulsions qui arrivent, mais une descente ralentie jusqu'à la valeur nulle eu la valeur de repos.
Pour l'enregistrement des sons, ainsi que pour les travaux préparatoires correspondants, il convient de pro- jeter dans la projection des vues une inscription courante suivant le rythme général. Cette inscription courante peut être projetée avec une clarté frappante ou en une couleur voyante, le cas échéant aussi par ces deux moyens, ou en- core en traits écrits sur un fond viré. On donnera des dimen- sions largement suffisantes à la surface de projection, pour que la projection de l'écriture courante ne gêne pas si elle vient à sortir du champ de la projection des vues.
Pour donner un meilleur aperçu, on fait cheminer l'é- criture courante suivant le rythme général dans l'image du film, de façon que le repère de cette écriture soit constam- ment à proximité immédiate des sources sonores représentées dans l'image du film. A cet effet les rayons partant du ryth- monome de projection ou de l'appareil de projection des vues sont constamment dirigés de la façon voulue.
Pour les différentes opérations on utilise par exemple, lorsqu'on opère par le procédé de phonorythmie, les dispo- sitifs qui vont être décrits.
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Pour faire les bandes rythmiques par l'intermédiaire de bandes à inscriptions métriques pouvant être projetées on utilise par exemple les dispositifs représentés dans les fig. 1 à 4.
Dans la fig. 1 on a représenté par exemple un texte chanté comportant des notes, sur une bande 1 perforée des deux cotés, en matière translucide, par exemple un film.
Les inscriptions sont disposées de façon que les diffé- rentes syllabes et les notes correspondantes soient répar- ties en sections (métriques) (divisions) de même longueur.
Les voyelles et les notes principales correspondantes qui tcmbent sur les temps principaux d'une mesure de chant se trouvent au milieu de chaque section (division), qui est caractérisée de préférence par une ligne pointillée,tant sur la bande 1 que sur le patron de trame 2 à l'aide duquel les inscriptions métriques devront être effectuées. Le pa- tron 2 peut être en verre dépoli comportant une trame gravée à l'eau-forte et encastré dans une table de travail. Il est éclairé par transparence, par le bas, pour que la bande pas- sant par dessus ce patron à trame puisse être munie commodé- ment des inscriptions métriques.
La fig. 2 est une vue de la bande rythmique 3 faite à l'aide de la bande métrique. Les différentes syllabes, notes et les autres signes sont insçritsamétriquement sur cette bande. On voit que rien n'est changé à la grandeur de l'i- mage de l'écriture, mais qu'un changement a. été apporté à la distance entre les différentes syllabes, notes et les diffé- rentes autres signes. En effet, ces distances correspondent
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au rythme vivant suivant lequel il s'agit de rendre les pa- roles, le chant, la musique ou les bruits, ou suivant lequel ils ont été rendus lors de l'établissement de cette bande rythmique.
Un trait horizontal sert à caractériser les voyelles soutenues, ou les sons ou bruits soutenus, comme l'indique la fig, 2.
Dans l'appareil représenté vu de face dans la fig. 3 et en plan, vu d'en haut, dans la fig. 4, la bande 1 à in- scriptions métriques avance en rythme, divison par division, de la bobine dérouleuse 4 en'passant sur le galet-guide 5 à travers le couloir à film 6 et sur le tambour d'entraîne- ment 7 jusqu'à la bobine enrouleuse 8. La bande vierge 3 destinée à être transformée en bande rythmique passe con- tinuellement de la bobine dérouleuse 9 sur le galet-guide 10, à travers le couloir à film 11 et sur le tambour d'en- traînement 12 jusqu'à la bobine enrouleuse 13. l'objectif 14 est monté entre les couloirs à film 6 et 11 de façon que son axe optique passe par le filament de la source lumineuse 21 et par les centres des deux fenêtres 15 et 16.
L'ajourage 15 en forme de fenêtre est fermé vers l' intérieur par le diaphragme rotatif 17, qui comporte des fentes radiales 28. Vers l'extérieur la coulisse 6 de gui- dage du film compcrte un ajourage 18 qui règne presque sur toute sa longueur, et dans le sens de l'axe vertical de la fenêtre 15 elle comporte les repères 27 au-dessus et au- dessous.
Un petit ajourage punctiforme 19 est ménagé de préfé-
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rence directement sur l'extrémité de gauche de la fenêtre 16 dans la paroi pcstérieure du couloir à film 11, et en arri- ère de cet ajourage se trouve une source lumineuse blindée 20 pour la bande 3 à exposer à la lumière. La source lumi- neuse de projection 21 et le réflecteur 22 sont montés sur un bras 23 en face de la fenêtre 15.
La fig. 5 est une vue de face du diaphragme 17 qui com- porte les fentes radiales 28.
Lorsque la bande métrique 1 a été tendue de façon que la marque de départ 26 (voir les fig. 1 et 2) apparaisse di- rectement dans la fenêtre 15, et après que le dispositif dé- rouleur de la bande 3 a été mis en marche, on commence à ac- tionner le manipulateur 24. Chaque fois qu'on appuie sur le manipulateur on fait tourner le diaphragme 17 d'un quart de tour et l'on dégage pour un instant le passage de la lumière, La bande sensibilisée 3 avance continuellement pendant toute l'opération.
Pendant le retour du mani-pulateur 24 la bande métrique 1 avance d'une division vers la gauche. Cet avancement peut être obtenu par exemple au moyen de mécanism à croix de Malte, de griffes ou d'autres dispositifs connus.
On appuie sur le manipulateur 24, et pour la musique le cas échéant aussi sur plusieurs manipulateurs semblables 24, au rythme à lequel résonnent les paroles, le chant, la musique ou les bruits notés sur la bande métrique 1. lorsque En outre le manipulateur 24 reste abaissé pendant as- sez lcngtemps, la source lumineuse 20 peut être branchée sur le courant par l'intermédiaire d'un élément retardateur.
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Ceci a pour effet qu'un trait horizontal supplémentaire, le cas échéant aussi sur des voyelles, des tcnes ou des bruits extenduss, est reproduit photographiquement sur la bande vierge 3. Après la prise photographique cn obtient, par ti- rage et fixage de la bande 3 un négatif à partir duquel on peut faire dès positifs (voir la fig. 2) par ccpie.
Pour la confection de bandes rythmiques pour des films sonores, on accouple le tambour d'entraînement 12 avec l' arbre principal de l'appareil de prise de vues ou de son ou de l'appareil de projection, par exemple avec un rapport de 1 : 8 pour les nombres de tours, et on numérote les divisi- ons de la bande métrique en suivant ou bien on la munit autrement de marques pour la succession des scènes, secti- ons, etc., de sorte que ces marques apparaissent aussi sur la bande rythmique.
La bande.1 peut avoir un format plus large pour ins- crire, comme dans une partition, un certain nombre de rôles ou de voix ou de textes de versions en langues différentes.
Il convient dans ce cas de provoquer une réduction photo- graphique sur la bande 3, pour l'utiliser agrandie par pro- jection.
L'appareil décrit, actionné à la main ou automatique- ment, permet aussi d'effectuer, en se basant sur les bandes rythmiques corrigées ou sur les rythmogrammes, le perfecti- onnement des bandes rythmiques, perfectionnement qui est né- cessaire pour l'enregistrement des sons..
Les fig. 6 et 7 sont des vues d'un dispositif supplé- mentaire destiné à l'appareil décrit ci-dessus et servant à
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faire les marques de correction.
Peur le transport ou la commande automatiques, l'éner- gie de départ est fournie, d'une part, par les courants de paroles d'un microphone (pour les prises originales) et d' autre part, par les courants alternatifs d'une photo-cellu- le (pour les photo-phonogrammes) ou par ceux d'une membrane électrique (peur les phonogrammes à disques) ou d'un élec- trc-aimant (pour les phoncgrammes magnétiques) ou d'autres organes lectatrices de l'industrie des phonogrammes.
L'am- plification a lieu comme d'habitude au moyen de lampes dent la caractéristique a une allure telle que les courants les plus faibles soient le plus amplifiée, tandis que les ecu- rants de sertie les plus intenses ne sont amplifiés que jusquà une limite maxima, Le degré de l'amplification désirée est déterminé par l'inclinaison de la partie mon- tante de la courbe des lampes, courbe qui, dans sa partie supérieure, est asymptotique par rapport à l'axe des ab- scisses, ainsi que par des organes de circuitage variables (potentiomètres ou analogues) et par le mode de circuitage.
Le courant alternatif amplifié est transformé en cou- rant continu pulsatoire au moyen d'un redresseur (par exem- ;le un redresseur à oxyde de cuivre ou un redresseur à mer- cure, etc,,) et il agit sous cette forme sur un relais peur assurer l'avancement de la bande métrique 1.
Le le7ier 25, qui porte le manipulateur 24, n'est pas re- lié rigidement au mécanisme de circuitage et il reste au repos pendant le fonctionnement automatique de l'appareil.
Il est actionné à la main suivant les besoins pour marquer
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les points de correction.
Un levier supplémentaire 31, opéré par le levier du manipulateur 25 du mécanisme d'avancement de la bande 1, tourne autour du pivot 32 et porte, à l'extrémité de scn bras gauche, un corps pouvant être engagé sur le trajet des ra- yons, par exemple une étoile 33. Sur son bras droit il est équipé au moyen d'un prolongement coulissant 34 pouvant être fait par exemple en forme de douille comportant une vis à serrer et permettant de découpler le levier 25 du manipu- lateur. Un ressort 35 applique le levier 31 contre la butée 36.
Lorsque le levier 25 est acticnné à l'occasion de sens ou de bruits indésirable ou gênants, le levier 31 est mis en mouvement et l'étoile 33 est ainsi amenée sur le trajet des rayons et photographiée également sur la bande 3 pour caractériser les points de correction.
Dans ce cas la séparation des syllabes a lieu sur la bande métrique, non pas comme dans l'écriture, mais d'après les syllabes prononcées.
Des modes de réalisation particuliers d'une circuitage provoquée par le courant des paroles ou de son sont repré- sentés à titre d'exemple dans les fig. 8 à 15.
La fig. 9 est le schéma de base d'un indicateur d'im- pulsions. Ce dernier est constitué par une lampe 37 dont le circuit de grille est bloqué par un condensateur 38. Le con- densateur est shunté par un rhéostat 39 à grande résistance ohmique qui peut être constitué parfois par la propre résis- tance d'isolation du condensateur. Le circuit de plaque de
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la lampe contient un relais 4C qui peut être par exemple en forme d'enregistreur d'impulses.
Lorsque les impulsions de courant alternatif arrivent le condensateur 38 se charge jusqu'à la tension de pointe et il exerce ainsi une action correspondante sur le courant de plaque qui traverse le re- lais 40, Le style écrivant trace, sur une bande 41 déroulée au'moyen d'un mouvement d'horlogeie cu mecanisme analogue, l'amplitude des courants alternatifs qui arrivent suivant la courbe légèrement modifiée par le condensateur, par exem- ple suivant la courbe II de la fig. 8 (dans cette figure la courbe 1 correspondrait aux variations du courant conformé- ment au dispositif décrit ci-dessus avec un simple redres- sement).
Les coins vifs qui sont produits permettent de déter- miner exactement et postérieurement le rythme du mot parlé ou du son émis.
Les dimensions du condensateur 38 et de la résistance 39 sont décisives quant à l'action complémentaire de l'in- dicateur d'impulsions peur des impulsions de courte durée.
Une petite valeur du ccndensateur est avantageuse pour pro- voquer une charge rapide jusqu'à la tension de pointe; tou- tefois une valeur trop petite estnuisible, parce que le re- tard dans le temps dépend du produit C.R (condensateur . ré- si.stance). La fig. 10 est une vue d'une installation qui donne encore un exposé plus clair du rythmogramme. Cette installation comporte un interrupteur automatique 42 par le- quel le condensateur est court-circuité par l'intermédiaire d'une résistance 39, qui est relativement petite dans ce
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cas, à des intervalles de temps déterminés d'une demi-se- conde à 1/24 de seconde par exemple.
Ceci a pour effet que le condensateur, qui s'est chargé instamment jusqu'à la tensicn de pointe des impulsicns qui arrivent, persiste à la tension de pointe pendant un laps de temps déterminé, par exemple 1/2 à 1/24 de seconde, et fait en sorte que l'enre-. gistreur effectue un enregistrement correspondant aux ampli-. tudes. Si la tension qui arrive a encore toujours la même haute valeur lorsque le contact 44 de l'interrupteur auto- matique a été abandonné de nouveau, l'enregistreur continue à enregistrer la grande amplitude. Mais si la tension a va.- rié dans l'intervalle, il se produit une déviation ccrres- pcndant à la variation de la tension. Les enregistrements se déroulant à peu près de la façon représentée sur le film 41 dans la figure.
Si l'on veut éviter que l'enregistreur d'impulse ne soit chargé par le courant de repos, on peut) comme cela est également représenté dans la fig. 10, envoyer dans la bobine d'intensité, au moyen d'une batterie auxiliaire 45 et d'une résistance additionelle, un contre-courant dirigé en sens inverse par rapport au courant de plaque original.
La fig. 11 montre une autre possibilité pour réduire le courant dans la bobine de courant. Dans cette figure le circuit de grille de la lampe à impulsions 37 contient un redresseur spécial qui peut également être constitué par une lampe 46. Les pâles du redresseur sont disposés de fa- çon que la tension redressée amenée à la grille de la lampe 37 soit positive, de façon que le courant de plaque de la
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lanpe augmente lorsque les impulsions arrivent, au lieu de diminuer, comme dans les cas décrits précédemment,
En outre, dans l'exemple de la fig. 11, le circuit de plaque contient un relais simple, qui peut se trouver sim- plement dans deux positions limites. Le rythmogramme erre- gistré comporte donc des déviations ayant toujours la même hauteur.
En outre, les connexions sont telles que le relais actionne aussi l'interrupteur peur la mise en circuit et la mise hors de circuit de la résistance de décharge 39. La position représentée dans les dessins correspond par exemple à la position du repos, dans laquelle aucun courant ne passe dans le relais 40. Lorsqu'une impulsion arrive, la tension de grille est reportée dans la zone positive de façon que le relais 40 entre en action. Dans ce cas l'enregistreur en- registre une impulsion, mais il retombe immédiatement à sa position de départ par suite de l'interruption du contact r 43, tandis que le contact 44 a déchargé simultanément le condensateur 38 pendant cette opération.
S'il n'y a plus d' impulsion qui arrive lorsque les contactes 43 et 44 sont re- venus à leur position de base, le relais reste dans sa po- sition de repos, sinon le jeu du relais, c'est-à-dire son entrée en action suivie de la chute de l'armature, se- répé- terait jusqu'à ce que l'impulsion qui arrive soit devenue assez petite.
La fig, 12 représente un autre exemple d'exécution.
Dans ce mode de circuitage on utilise une lampe luminescen- te 47 montée dans le circuit de plaque en série avec un re- lais et en parallèle avec une résistance de plaque 48. Lors-
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que les impulsions qui arrivent sont suffisamment hautes la tensicn baisse sur la lampe luminescente 47 et le relais 4C dégage.
Lorsqu'on utilise deux lampes luminescentes, action- nées par une lampe d'impulsion individuelle, comme dans la fig. 13, il est possible, en donnant les valeurs appropriées aux résistances de plaque 48, de faire en sorte que la lam- pe luminescente entre en action pour différentes amplitudes de la tension d'entrée, et d'obtenir ainsi une indication double pour de très hautes amplitudes (accents principaux).
Ceci facilite l'utilisation des rythmogrammes,
Le rythmogramme, qui est enregistré sous forme de lig- ne ondulée dans les modes d'exécution représentées dans les fig. 9 à 11, peut naturellement aussi être enregistré sim- plement, comme cela est représenté dans la fig. 13, sous forme de traits plus ou moins longs. Ceci se recommande par- ticulièrement pour l'enregistrement au moyen de deux styles différents d'impression, comme l'indique la fig. 13.
Au lieu d'être reliées à deux lampes distinctes, les lampes luminescentes peuvent l'être aussi, comme dans la fig 14, à deux endroits différents de la résistance de pla- que 48 d'une seule lampe, Des batteries auxiliaires 45 peu- vent servir, dans les dispositifs des fig. 13 et 14, à faire @ varier et en particulier à réduire la tension d'allumage de la lampe lumiscente. Il est également possible de munir les lampes luminescentes elles-mêmes d'une grille de commande à laquelle on impose les impulsions qui arrivent.
Il peut en outre être avantageux, dans certains cas,
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de distinguer les amplitudes de la bande sonore d'après leur fréquence, pas exemple lorsqu'il s'agit de faire ressortir particulièrement, ou de supprimer au contraire, de pures amplitudes de pression, telles que des coups de grosse cais-. se par exemple. Ce cas est représenté schématiquement dans la fig. 15 par une chaîne filtrante 49 montée dans la ligne d'entrée de la lampe à impulsions.
On peut brancher aussi, au lieu d'un relais, une lampe amplificatrice ou une lampe de manoeuvre, le relais écrivant n'étant monté que dans le circuit de sortie de cette lampe, Pcur l'enregistrement on peut aussi utiliser un tube de Braun, notamment lorsqu'il s'agit d'une succession accélérée' des impulses en rythme, lorsqu'un indicateur mécanique ne suivrait pas assez vite., Pour des enregistrements aussi ra- pides, au nombre de 24 par seconde par exemple, l'appareil à film lui-même peut provcquer l'interruption périodique du courant d'impulsions en temps de la fréquence de changement des images..
Peur faire des phonogrammes d'après la bande de ryth- me général, ou d'après des bandes rythmiques dérivées, il est avantageux de faire dérouler synchroniquement le film de vues, l'écriture cursive phonorythmique étant projetée dans le film de vues, au moyen d'un rythmonome de projection accouplé avec l'appareil de projection cinématographique, de façon que le repère également projeté pour l'écriture cursive soit rapproché chaque fois le plus possible de la source sonore représentée dans l'image du film. On peut ob- tenir ce résultat en munissant l'appareil de projection des
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inscriptions mouvantes d'une tête panoramique ou tête à in- clinaison pouvant être actionnée électriquement à distance par des moyens ccnnus.
Les fig. 16 à 18 concernent des mcdes d'exécution spé- ciales d'un appareil de projection d'inscription mcuvante.
La fig, 16 est une vue de profil du dispositif.
La fig. 17 en est une'vue de dos, et
La fig. 18 est une vue de profil d'une variante.
Dans la fig. 16 l'appareil de projection 50 pour l'in- scription mouvante comporte un objectif normal 51. Un touri- lon 53 peut tourne dans une plaque 52 fixée à un pied. Ce tourillon fait partie d'un support 54 en U portant les pris- mes à mircirs 55 et 56. Le prisme 56 est fixé dans une mon- ture 57 fixée elle-même sur un arbre 58 recourbé à angle à l'extérieur du support en U 54.
Les rayons sont dirigés au moyen de prismes à miroir, le levier 59 fixé au support 54 des prismes permettant une vari- ation de la direction des rayons dans l'horizontale, tandis que le levier 58 permet cette variation dans le verticale.
Pour permettre le maniement de l'instrument optique à une assez,grande distance de l'appareil de projection des vues, par exemple dans la salle d'enregistrement des sons, l'objectif normal est remplacé, dans la fig. 18, par un en- semble de télé-objectif constitué par l'objectif 60 assurant le direction parallèle des rayons, et par l'objectif 51 pour la projection finie. L'objectif 60 est fixé à position régla- ble, à la plaque de base 52 du dispositif à miroirs.
Si l'on veut que le champ de projection de l'inscrip-
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tion mouvante reste immobile et que se scit au contraire la prcjection des vues qui chemine, 5C représente l'appareil de projection des vues dans les fig. 16 à 18.
Revendications.
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PHONORYTHMIA PROCESS AND DEVICES FOR ITS EXECUTION. the invention relates to a new process referred to as the phonorythmic process, as well as to devices for its execution. It is a question of establishing a phonorythmic relation between them, by this system, several polyrhythmic movement phenomena in themselves, governed or influenced by sound waves. It is also a question of deriving movement phenomena of this kind from others, while retaining their own characteristic.
The principle of the phonorhythmic process is to represent sound waves, in a visible way, and to create the general rhythm. Indeed, sound waves re-
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presented in a visible manner and sound movement phenomena similar to these waves in rhythm, or else movement phenomena of another nature, are made synchronous, possibly in common with sound movement phenomena. This visibly determined general rhythm is transmitted to other phenomena of movement.
Movements each individually possessing a determined rhythm are thus adapted to each other in the most complete way, which allows for example a reproduction, perfect in form, of polyrhythmic movement phenomena in themselves, which have taken place, which are taking place. or which will take place separately in time or space.
This is particularly important for many areas of the artistic industry, for example for the field of sound film, both black and white film as well as color film of all kinds and plastic film, which may be used. acts of recreational films, character films or documentaries, or faked films, for the field of sound film for radio broadcasting, theater, concerts, education, in particular music education and languages, etc., as well as for each kind of combination between the individual fields mentioned above, for example combined effects of scene and film, etc., successions, produced naturally or artificially and combined in a way. general, sound or images, or sound and images.
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The adaptation of polyrhythmic movement phenomena per se using the general rhythm can be applied, for example, when sounds and phonetic phenomena of all kinds in one or more languages, or sounds and sights, or even sounds, views and words must be related to each other.
When it comes to fixing movement phenomena in different languages, the invention makes it possible to create a general rhythmogram made up of rhythmic bands in several languages or rhythmic bands of different languages. This result is obtained by the adaptation of polyrhythmic movement phenomena per se. This provides a permanent basis for testing, further processing or retouching.
It is particularly important to obtain a visible and permanent transmission of the general rhythm on a medium which can serve as a guide for synchronous recording or reproduction, or for the recording and reproduction of other phenomena of sound and movement. .
A single film of views may for example be presented or even transmitted by radio broadcasting with any reproduction, varied in any way, of the succession of sounds, as well as in the expressions of the most diverse languages. In the case of radio-diffusion, it is also possible to propagate, also by radio-diffusion, the reproduction of a corresponding succession of sounds, produced naturally or artificially, or a combination of the two kinds.
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For example, it is also possible to perform, through the cinema at home, performances, accompanied by views, scenic works, lectures illustrated by views, etc., for which the corresponding successions of sounds and spoken texts , or both, are transmitted by radio broadcast, in the most diverse languages and also the most diverse rhythmic expressions of the leaders (conductors), actors, etc., in each case considered.
In such a case the film views prepared according to the general rhythm are returned, for example, to broadcast listeners without modification. Beforehand and independently of this transmission, the desired linguistic expression, or even the desired rhythmic expression of the succession of sounds, are fixed according to the general rhythm in the phonogram in each case, and this phonogram is then used for the trans- mission-sounds by radio broadcast. The synchronous progress of the film of views with the phonogram transmitted by radio broadcasting can be ensured mechanically, for example by means of a precision clockwork movement or electrically by means of the energy of radio broadcasting. .
A control band makes it possible to adjust the synchronous pitch of the projection of the successions of the frames at the beginning and also during the transmission of the sounds by radio-diffusion, using similar reference figures carried by the film and the film band. control coupled with the film, figures which are continually related to figures of the synchronous counter, indicating the sections of the succession of sounds which correspond to the individual sections of the film of views.
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Afraid of the theater and the concerts, the accompaniment by the orchestra where the chceurs are fixed in the phoncgram by the example according to the general rhythm, and for the performances the natural figuration of the scenic effects is directed according to the rhythmic band corresponding to the phonogram and derived from the general rhythm, with electro-acoustic reproduction of the phonogram, or else the corresponding successions of vocal or instrumental sounds are reproduced naturally by artists. It is also possible to combine film effects and scenic effects by, for example, projecting a filmed scene into the theatrical scene and also using the rhythmic strip derived from the general rhythm and serving as a guide during the performance.
For the teaching one has recourse for example, for the practical music and fear the exploration of the music, to rhythms of renowned artists, rhythms which one treats in order to obtain an objectified general rhythm, on the basis from which rhythmic bands are made for teaching. According to these tapes, it is possible to direct successions of sounds produced naturally or artificially, or both, and thus ensure the natural phonorhythmic reproduction of sounds instead of the metronomic reproduction used hitherto.
Language teaching can be adapted technically through a general rhythm established from several dialects of a language using rhythmic bands derived therefrom, preferably in combination with the phonetics represented. by views, or by
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the kinematic succession of situational views, serving as guides or auxiliaries.
As it is with respect to the production of the ink films that the invention can be described in full detail, this particular application will be dealt with in the description. who will follow.
In order to make a photo-phonographic film according to the invention, rhythmic tapes in different languages are made on the edge. Based on these tapes and comparing with the reflective or projection views of natural sound sources, a general rhythm tape is made corresponding to the common rhythm of all languages and representing the guide for the scene recording, if necessary also for recording views. The image and the sound can then be copied onto a common medium or represented synchronously, but separately.
Photographic recording can take place, depending on the general rhythm, at the same time as making a general rhythmogram, and when the still film has been cut, which cut is made in accordance with the general rhythm strip made of After the general rhythm, sound recording can also take place using the general rhythm strip. During the recording of the views it is also possible to make a general rhythm tape or an auxiliary phonogram. This latter can be done alone or at the same time as one of the control units mentioned above.
Subsequently and during the application of the method, the auxiliary phonogram can be transformed into rhythmic bands, - ,,,
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For the adaptation of the different tenses of the different languages one proceeds, by adding or removing parts, to longitudinal corrections on the rhythmic bands derived from the general rhythmogram. To make sound films, the corresponding film strip or sound track, or both, is corrected as required, if necessary during copying.
According to the invention, the simplified preparation of the expressions of several languages of a sound film takes place, for example, as follows, with regard to its details.
We first make a rhythmogram of the dialogue of a film, in order to have already schematically in front of the eyes, for the work of translation, the written image, made alive in terms of rhythm, of the original text. To do this, this general rhythm strip is photographically copied by sections in equal parts as much as possible and the photocopies thus obtained are transferred onto individual sheets so that the whole of the rhythmic strip is in the form of a book, preferably in mechanical binders.
In addition, one draws in vertical lines, on the individual sheets, the rhythmogram which serves as the basis of the rhythmic strip, and, with the help of the diagram thus obtained, one traces the reproduction of the text in another language, by syllables of pronunciation and taking into account the phonetics, if necessary several languages one under the other.
For the visual inspection, which allows, already before the
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taking pictures, to check the texts in different languages relative to the rhythmic and phonetic concordance, and to correct them in the most complete way, we first make, for the different presentations of the film in foreign languages, copies on tapes of the auxiliary rhythm strip mentioned above, the rhythmogram is also drawn on these copies in vertical lines, preferably in color, then the inscriptions in foreign languages are made on the tape.
The work of writing, checking, etc., necessary for the making of the rhythmic bands is advantageously carried out with a rhythmoscope. It is an auxiliary device making it possible to cause two or more than two bands to pass synchronously in front of a common reference mark, if necessary also on a screen which can be illuminated by transparency and bearing a pattern of inscriptions. One of the bands may be a corresponding photgraphic film which unwinds, according to an appropriate transmission ratio, faster than the bands to be treated,
These tapes may also be subjected, by means of a rhythmoscope, to a synchronous optical control in accordance with the score and in relation to the rhythmic and phonetic concordance of some or all of the rhythmic tapes forming part of the production envisaged.
A further visual check of the rhythmic bands in different languages, and consequently the phono-rhythmic adaptation of the texts, an adaptation which is necessary for the establishment of the general rhythm, takes place in the manner
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next. The band (s) established in different languages is made to pass, in a known manner, by means of a projection rhythmmonome in front of a marker, and thus reproduces @ simultaneously and in the same way, in the immediate vicinity of the common landmark projected at the same time are the reflected images or shadows of the movements of the face, and preferably the lips, of the people speaking along the bands in each case.
This is how the visual control of the texts takes place by means of the cinematic representation of the images of the movements of the face and the lips as they are originated by the audible text. This takes place preferably each time for two expressions simultaneously, that is to say each time from the front and in profile.
Instead of and near the control of the images, the movements originated by the audible text, one can also compare with each other, using oscillographs, the sound images of the different expressions. For this, the sound images are preferably projected simultaneously with the rhythm bands to be checked, so that the sound images appear in the immediate vicinity of the marks of the rhythm bands.
It is also necessary to superimpose the projections of the sound images using a neutral line, to determine the inadmissible deviations by means of empirically fixed limit lines, and then to carry out the rest of the adaptation of the rhythmic bands of different languages compared to their general rhythm.
After this meticulous preliminary dramaturgical work
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one can make exact arrangements for production and then start shooting based on those arrangements.
For the singing scenes, for example, this shooting takes place using the finished tape of general rhythm, by unrolling this tape in a rhythm of a known type, preferably by projection, simultaneously with the negative film in the film. camera. In this way the rhythm of the image is equal to the rhythm of the writing of the corresponding band.
The main procedure for taking pictures is as follows. Speaking people, etc., act according to the fixed text of the general rhythm and simultaneously with the shooting a general rhythmogram or a general rhythm tape, or an auxiliary phonogram, preferably a tape recorder, is made. -phonogram. In this way, for all the expressions of a film, only one negative of views is needed, to which only one (general) rhythmogram corresponds to all the expressions. This general rhythmogram also serves, so to speak, as a general denominator for the rhythmic bands and phonograms to be made in the different languages.
After taking the pictures and choosing the best views of each scene for each ca, we glue together the different sections of the succession of views, as well as the sections, correspondingly designated, parts of rhythmic bands for the texts of the different languages.
We then cut the views, first performing a
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rough cut using the general rhythm strip corresponding to the film of sights, preferably so that the rhythmic strip runs in the rhythm synchronously and and simultaneously with the projection of the film of sights. The controller marks, based on the pre-projection of the pictures and using the rhythmograph, on the rhythmic tape which runs synchronously, the places where the film is to be cut. The film is only cut when the cut points have been set exactly by repeated checks, the envisaged cut points being marked by dark pauses in the projection during the uninterrupted unwinding of the two tapes.
Precision cutting of the film of frames is performed under acoustic control. For this purpose, simultaneously with the presentation of the views, the corresponding succession of sounds is transmitted, which is naturally performed at another location, for example also in the form of a sound test, according to the corresponding rhythmic tape running synchronously. with the views, and transmitted to the viewing room through a microphone, amplifier and speaker or headphone receiver.
This gives the manager the total impression of sight and sound and therefore produces the effect of a finished sound film, already before the sound is recorded,
This also makes it possible to present to censorship and to interested parties, before the completion of a sound film, its succession of views alone, giving the impression of a finished sound film, so that their opinions can be taken into account. desires by
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changes that are easy to make at very little cost.
The acoustic control, or the complement of the succession of frames of the sound film to be established, can also take place by means of an auxiliary phonogram established simultaneously with or before the shooting and cut with the film of views, or established after the completion of the film of views specifically for monitoring and presentation. For reasons of economy and simplicity, a magnetic phonogram is also used for this purpose.
When the cut of the sights and the sound test or the acoustic control of the sound film are finished, the final recording of the sound is carried out according to the general rhythm band corresponding to the film of shots, in the language required for the film. the case envisaged, preferably in the corresponding linguistic field itself. First, the recording of the sound in the original expression will be made, and only then, in each case, the recordings of the lyrics and the song for the different versions.
The recording of sound according to the general rhythm also ensures the technical possibility, with regard to the shots taken with a camera with optimal progress and minimal progress or overdiaphragmatic, that is to say with rhythmic phase shifts, to combine them with sound recordings, which allows, despite the phase shifts in the succession of shots, a reproduction of the sound with the normal pitch of the latter.
After recording the sound and when the best sound sequences have been chosen according to the scenes,
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firstly, according to the succession of images, the individual sections of the sound suppressor are assembled, which medium has also been marked in accordance with the general rhythm strip.
The sound is now cut by unwinding the sound carrier synchronously and simultaneously, not as up to the life tape only, but here with / the general rhythm tape, possibly simultaneously also with the sight tape. For this purpose, the sound medium (for example a soundtrack) is passed through a particular control device through a sound reader device (pick-up, etc.) and simultaneously the corresponding rhythm strip is passed in front of a marker. general concordant with the tape of views. It is only necessary to take care that the listening moment corresponds to the visual moment, that is to say that one hears in the loudspeaker cu / Tans the receiver with headphones, at all times, the sound or the syllable or the noise whose recording signs pass precisely in front of the mark on the general rhythm tape.
It is thus possible to observe without difficulty and in a perfect way the divergences which might exist, and it is easy to equalize them by an appropriate cut.
Finally, the combination (resp. Mixing) of the distinct phonograms with regard to music, speech and noise also takes place with the aid of the general rhythm strip. Each kind of combination can thus be carried out easily and safely. For the combination, reference is made beforehand on the general rhythm strip, during the listening test, to markers or annotations for the adjustment.
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corresponding potentiometers of the mixing table, in order to thus obtain definitive collective phonograms surely adjusted, which are then copied with the film of views in a known way, or presented separately, but synchronously.
The general rhythm band advantageously serves as an automatic adjustment device to control the production of collective phonograms,
The phonograms established according to the invention with the aid of the general rhythm have the further advantage, in particular when using photo-phonograms, that as a result of the sight and the sound being recorded separately the light used to produce it. the sound copies for the film can be completely homogeneous, which means the suppression of the sound adjustment for the. reproduction of the photo-phonographic film.
For the determination of the general rhythm or for the production of the general rhythm or of a general rhythm strip, it is also possible to start from a phonogram which is available for a succession of views already existing, and which can be produced simultaneously with the shooting or earlier or later. This phonogram may have been recorded in the form of an auxiliary phonogram, solely for the purpose of fixing the succession of sounds corresponding to the succession of views.
For carrying out the process, phonograms of any preparation method are used, preferably what are called magnetic phonograms. To make the latter, one preferably uses for the support of the phonogram,
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customary commercial perforated films with or without a layer of sensitized emulsion and, for the electromagnetic sensitized layer, a layer consisting of metal and applied for example by the sprinkling or spraying process. The phonogram support can also be constituted by a combination of a conventional commercial cinematographic film with an electromagnetic sensitive tape applied to this film.
These phonograms have the advantage of being able to be corrected easily :, which is essential for the phonorhythmic process, and of being able to be used several times for new recordings. From these phonograms, which are established during the shooting or separately, one determines individually, as to their rhythm, and one visibly represents the various acustic phenomena which they contain, such as the words, music and noises. This can be done, for example, by means of oscillograms or rhythmograms. With the help of these movement phenomena directly, or by the intermediary of rhythmic bands in different languages established according to these phenomena, one can determine the general rhythm or produce the general rhythm strip.
This tape also serves as a guide for recording or reproduction, or for synchronous recording and reproduction of other acoustic and movement phenomena.
It is thus possible, in particular also for teaching or demonstration and their most diverse applications, to correct successions of views subsequently or to replace or add to them acoustic phenomena by
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example to give a certain artistic cachet to any succession of sights or sounds, or to improve their quality.
Depending on the phonorhythmic process, posterior synchronization can be applied to the production of one or more versions of an existing sound film of any kind, including sound films already produced by the one or more phonorhythmic process. several languages, and the original text of which has already been processed according to the general rhythm.
Subsequent synchronization takes place in principle with the aid of a phonogram, or by the production of an auxiliary phonogram corresponding to the sound film in question.
We make, from the phonogram or from the phonogram auxiliary of a sound film, as we have already seen, by hand or automatically, a rhythmogram or directly a rhythm bin of the original text or of an appropriate text in another language.
For the automatic transformation of the phonogram directly into a rhythmogram or a rhythm strip, for example, the phonogram or the auxiliary phonogram is used in order to control a relay by means of a reader device, for example. to ensure the rhythmic and stepwise advancement of a strip with metric inscriptions whose inscriptions are photographically applied to a sensitized organ, such as a film strip, continuously unwinding.
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For the subsequent synchronization the further work takes place in the same way as for the production methods already described, by the phonorythmic system and with the aid of the whole of the control technique of this system.
We thus proceed to the phonorythmic adaptation of the texts and we determine the general rhythm in this way, We then proceed, also in the same way, as we said for the production process of sound films, to the cutting of sights, sound testing, sound recording, sound cutting, mixing, etc., using the general rhythm, the phonorythmic process ensures recording and reproduction from phenomena of movement of all kinds a freedom of establishment and a possibility of use of the most extensive and also international.
For the production of sound films in particular this represents the polyglot exploitation of each film and consequently, as regards its possibilities of use and commercial exploitation, the placing of the sound film at the same rank as the old silent film. .
For the application of the phonorhythmic method, the preparation and use of the rhythmic bands preferably takes place as follows.
Starting from bands with metric inscriptions, we can make bands of rhythms, by photographic means, by continuously passing in front of a lens a sensitized band (a blank film), which it
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it's about rhythmically impressing. At the same time we advance the tape with metric inscriptions by a movement in the opposite direction, by leaps, following the rhythm of the words, the song, the music or the noise, on the other side of the lens, division by division. .
The transparent strip with metric inscriptions can be provided, by means of a pattern, with inscriptions such as the vowel of each syllable, for the words and the song, the different beats of a measure and their main notes, for the music, and the appropriate signs, for the noises, are placed on dotted lines between two neighboring solid lines (of a division),
The transport of the metric syllable by syllable advantageously takes place automatically under the action of the amplified current of the microphone or of the amplified alternating current of a phonogram reader.
The amplified alternating currents of a microphone or a phonogram player can be transformed for example by means of a rectifier into pulsating direct current, so that they can act on a relay ensuring the transport of the tape. metric.
The amplification of the alternating currents can take place by means of lamps, the charac- teristics of which vary according to a curve such that the weakest currents are the most reinforced, the most intense output currents not being. amplified only up to a maximum limit.
Rhythms used to complete ry.th- bands
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mics can also be made automatically with the aid of speech or sound currents, the triggering of the recording relay taking place for example by the intermediary of a so-called pulse lamp and amplifiers causing a rapid increase of the trigger control current up to the peak value of the incoming pulses, but a slower descent to the zero value having the quiescent value.
For the recording of the sounds, as well as for the corresponding preparatory work, it is advisable to project in the projection of the sights a current inscription following the general rhythm. This current inscription can be projected with striking clarity or in a conspicuous color, if necessary also by these two means, or still in lines written on a toned background. The dimensions of the projection surface are largely sufficient, so that the projection of current writing does not interfere if it comes out of the field of the projection of views.
To give a better overview, the current writing is made according to the general rhythm in the image of the film, so that the reference mark of this writing is constantly in the immediate vicinity of the sound sources represented in the image of the film. movie. For this purpose, the rays emanating from the projection rhythmmonome or the image projection apparatus are constantly directed in the desired way.
For the various operations, for example, when operating by the phonorythmia method, the devices which will be described are used.
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To make the rhythmic bands by means of bands with metric inscriptions which can be projected, the devices shown in figs. 1 to 4.
In fig. 1 shows for example a sung text comprising notes, on a strip 1 perforated on both sides, in translucent material, for example a film.
The inscriptions are arranged so that the individual syllables and the corresponding notes are divided into sections (metrics) (divisions) of the same length.
The vowels and the corresponding main notes which occur on the main beats of a vocal measure are found in the middle of each section (division), which is preferably characterized by a dotted line, both on band 1 and on the pattern. frame 2 using which the metric entries should be made. The screen 2 can be in frosted glass comprising a frame etched with etching and embedded in a work table. It is illuminated by transparency, from below, so that the band passing over this weft pattern can be conveniently provided with the metric inscriptions.
Fig. 2 is a view of rhythm tape 3 made using the meter tape. The different syllables, notes and the other signs are inscribedametrically on this strip. We see that nothing is changed throughout the image of the writing, but that a change has. was brought to the distance between the different syllables, notes and the different other signs. Indeed, these distances correspond
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to the living rhythm according to which it is a question of rendering the words, the song, the music or the noises, or according to which they were returned during the establishment of this rhythmic band.
A horizontal line is used to characterize sustained vowels, or sustained sounds or noises, as shown in fig, 2.
In the apparatus shown seen from the front in FIG. 3 and in plan, seen from above, in fig. 4, the metric-indented web 1 advances in rhythm, division by division, from the unwinding reel 4, passing over the guide roller 5 through the film chute 6 and over the drive drum 7 to 'to the winding reel 8. The blank tape 3 intended to be transformed into rhythmic tape passes continuously from the unwinding reel 9 onto the guide roller 10, through the film passage 11 and onto the driving drum 12 to the winding reel 13. the lens 14 is mounted between the film lanes 6 and 11 so that its optical axis passes through the filament of the light source 21 and through the centers of the two windows 15 and 16.
The window-shaped cutout 15 is closed inwardly by the rotary diaphragm 17, which has radial slots 28. Outwardly the film guide slide 6 has a cutout 18 which prevails almost over its entire length. length, and in the direction of the vertical axis of the window 15 it comprises the references 27 above and below.
A small punctiform cutout 19 is preferably provided
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rence directly on the left end of the window 16 in the inner wall of the film passage 11, and behind this cutout is a shielded light source 20 for the strip 3 to be exposed to light. The projection light source 21 and the reflector 22 are mounted on an arm 23 opposite the window 15.
Fig. 5 is a front view of the diaphragm 17 which comprises the radial slots 28.
When the metric strip 1 has been tensioned so that the start mark 26 (see Figs. 1 and 2) appears directly in the window 15, and after the unwinding device of the strip 3 has been set. on, we start to operate the manipulator 24. Each time we press the manipulator, the diaphragm 17 is turned a quarter of a turn and the passage of light is released for a moment. 3 advances continuously throughout the operation.
During the return of the manipulator 24 the metric band 1 advances one division to the left. This advancement can be obtained for example by means of Maltese cross mechanics, claws or other known devices.
One presses on the manipulator 24, and for the music where appropriate also on several similar manipulators 24, at the rate at which the words, singing, music or noises noted on the meter tape 1 resonate when In addition the manipulator 24 remains lowered for a sufficient period of time, the light source 20 can be connected to the current by means of a delay element.
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This has the effect that an additional horizontal line, possibly also on vowels, tones or extenduss noises, is reproduced photographically on the blank tape 3. After the photographic capture cn is obtained, by printing and fixing the image. strip 3 a negative from which we can make some positives (see fig. 2) by ccpie.
For making rhythmic bands for sound films, the drive drum 12 is coupled with the main shaft of the recording or sound apparatus or of the projection apparatus, for example with a ratio of 1. : 8 for the number of laps, and the divisions of the metric tape are numbered following or else it is provided with marks for the succession of scenes, sections, etc., so that these marks also appear on the rhythmic band.
The tape.1 can have a larger format to record, as in a score, a number of roles or voices or texts of different language versions.
In this case, it is advisable to cause a photographic reduction on the band 3, in order to use it enlarged by projection.
The apparatus described, operated by hand or automatically, also makes it possible to carry out, based on the corrected rhythmic bands or on the rhythmograms, the perfecting of the rhythmic bands, an improvement which is necessary for the recording sounds ..
Figs. 6 and 7 are views of an additional device for the apparatus described above and for
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make the correction marks.
Fearing automatic transport or control, the starting energy is supplied, on the one hand, by the speech currents of a microphone (for the original sockets) and, on the other hand, by the alternating currents of a photo-cell (for photo-phonograms) or by those of an electric membrane (for disc phonograms) or of an electromagnet (for magnetic phonograms) or other reading organs. the phonogram industry.
The amplification takes place as usual by means of lamps. The characteristic has a rate such that the weakest currents are amplified the most, while the more intense crimp ecuents are amplified only up to a maximum limit, The degree of the desired amplification is determined by the inclination of the rising part of the curve of the lamps, which curve in its upper part is asymptotic with respect to the abscissa axis, thus only by variable circuit devices (potentiometers or the like) and by the circuit mode.
The amplified alternating current is transformed into pulsating direct current by means of a rectifier (for example; a copper oxide rectifier or a mercury rectifier, etc ,,) and it acts in this form on a relay to ensure the advancement of the metric band 1.
The le7ier 25, which carries the manipulator 24, is not rigidly connected to the circuit mechanism and it remains at rest during the automatic operation of the apparatus.
It is operated by hand as needed to score
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correction points.
An additional lever 31, operated by the lever of the manipulator 25 of the belt advancement mechanism 1, rotates around the pivot 32 and carries, at the end of its left arm, a body which can be engaged on the path of the rails. There is, for example, a star 33. On its right arm it is equipped by means of a sliding extension 34 which can be made for example in the form of a socket comprising a screw to be tightened and allowing the lever 25 to be decoupled from the manipulator. A spring 35 applies the lever 31 against the stop 36.
When the lever 25 is actuated on the occasion of undesirable or annoying senses or noises, the lever 31 is set in motion and the star 33 is thus brought on the path of the rays and also photographed on the strip 3 to characterize the points. correction.
In this case the separation of the syllables takes place on the meter tape, not as in writing, but according to the syllables spoken.
Particular embodiments of a circuit caused by the current of speech or sound are shown by way of example in FIGS. 8 to 15.
Fig. 9 is the basic diagram of a pulse indicator. The latter is constituted by a lamp 37 whose gate circuit is blocked by a capacitor 38. The capacitor is shunted by a rheostat 39 with high ohmic resistance which can sometimes be constituted by the capacitor's own insulation resistance. . The plate circuit
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the lamp contains a 4C relay which may for example be in the form of a pulse recorder.
When the pulses of alternating current arrive the capacitor 38 charges up to the peak voltage and thus exerts a corresponding action on the plate current which passes through the relay 40, the writing style trace, on a strip 41 unwound at the By means of a clock movement or similar mechanism, the amplitude of the alternating currents which arrive along the curve slightly modified by the capacitor, for example along curve II of FIG. 8 (in this figure, curve 1 would correspond to the variations of the current according to the device described above with a simple rectification).
The sharp corners which are produced make it possible to determine exactly and subsequently the rhythm of the spoken word or of the sound emitted.
The dimensions of the capacitor 38 and of the resistor 39 are decisive as to the complementary action of the pulse indicator against pulses of short duration.
A small value of the capacitor is advantageous to cause rapid charging to the peak voltage; However, too small a value is harmful, because the delay in time depends on the product C.R (capacitor. resis- tance). Fig. 10 is a view of an installation which still gives a clearer account of the rhythmogram. This installation comprises an automatic switch 42 through which the capacitor is short-circuited via a resistor 39, which is relatively small in this case.
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case, at determined time intervals of half a second to 1/24 of a second for example.
This has the effect that the capacitor, which is charged up to the peak voltage of the incoming impulses, persists at the peak voltage for a specified period of time, for example 1/2 to 1/24 of a second. , and makes sure that the. recorder makes a recording corresponding to the ampli-. studies. If the voltage which arrives still has the same high value still when the contact 44 of the automatic switch was abandoned again, the recorder continues to record the large amplitude. But if the voltage has changed in the meantime, there will be a deviation corresponding to the change in voltage. The recordings proceed roughly as shown on film 41 in the figure.
If we want to prevent the pulse recorder from being charged by the quiescent current, we can) as is also shown in fig. 10, send into the current coil, by means of an auxiliary battery 45 and an additional resistor, a counter-current directed in the opposite direction to the original plate current.
Fig. 11 shows another possibility for reducing the current in the current coil. In this figure the gate circuit of the pulse lamp 37 contains a special rectifier which can also be constituted by a lamp 46. The blades of the rectifier are arranged so that the rectified voltage supplied to the gate of the lamp 37 is positive, so that the plate current of the
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lanpe increases when the impulses arrive, instead of decreasing, as in the cases described previously,
Furthermore, in the example of FIG. 11, the plate circuit contains a single relay, which can simply be in two limit positions. The recorded rhythmogram therefore comprises deviations always having the same height.
In addition, the connections are such that the relay also actuates the switch for switching on and off the discharge resistor 39. The position shown in the drawings corresponds, for example, to the rest position, in which no current flows through the relay 40. When a pulse arrives, the gate voltage is transferred to the positive zone so that the relay 40 comes into action. In this case, the recorder registers a pulse, but it immediately falls back to its starting position following the interruption of contact r 43, while contact 44 simultaneously discharged capacitor 38 during this operation.
If there is no more impulse which arrives when the contacts 43 and 44 have returned to their basic position, the relay remains in its rest position, otherwise the play of the relay is- that is, its entry into action followed by the fall of the armature, would be repeated until the impulse which arrives has become sufficiently small.
FIG. 12 represents another example of execution.
In this circuiting mode, a luminescent lamp 47 is used, mounted in the plate circuit in series with a relay and in parallel with a plate resistor 48.
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that the incoming pulses are sufficiently high the tension drops on the luminescent lamp 47 and the relay 4C releases.
When using two luminescent lamps, actuated by an individual pulse lamp, as in fig. 13, it is possible, by giving the appropriate values to the plate resistors 48, to cause the luminescent lamp to come into action for different amplitudes of the input voltage, and thus to obtain a double indication for de very high amplitudes (main accents).
This facilitates the use of rhythmograms,
The rhythmogram, which is recorded in the form of a wavy line in the embodiments shown in figs. 9 to 11, can of course also be recorded simply, as shown in fig. 13, in the form of more or less long strokes. This is particularly recommended for recording using two different printing styles, as shown in fig. 13.
Instead of being connected to two separate lamps, the luminescent lamps can also be connected, as in fig 14, at two different places of the plate resistor 48 of a single lamp, Auxiliary batteries 45 can be wind serve, in the devices of fig. 13 and 14, to vary and in particular to reduce the ignition voltage of the lumiscent lamp. It is also possible to provide the luminescent lamps themselves with a control grid on which the incoming pulses are imposed.
It may also be advantageous, in certain cases,
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to distinguish the amplitudes of the soundtrack according to their frequency, for example when it is a question of bringing out particularly, or on the contrary to suppress, pure amplitudes of pressure, such as blows of bass. itself for example. This case is shown schematically in fig. 15 by a filter chain 49 mounted in the input line of the pulse lamp.
We can also connect, instead of a relay, an amplifying lamp or a maneuvering lamp, the writing relay being mounted only in the output circuit of this lamp, For the recording one can also use a Braun tube , in particular when it is a question of an accelerated succession of pulses in rhythm, when a mechanical indicator would not follow quickly enough., For such rapid recordings, at the number of 24 per second for example, the film camera itself can cause periodic interruption of the pulse current in time of the changing frequency of the frames.
Fear of making phonograms from the general rhythm strip, or from derived rhythmic strips, it is advantageous to synchronously run the film of views, the phonorhythmic cursive writing being projected in the film of views, at the same time. by means of a projection rhythmmonome coupled with the cinematographic projection apparatus, so that the mark also projected for cursive writing is brought as close as possible to the sound source represented in the image of the film as much as possible. This can be achieved by providing the projection apparatus with
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moving inscriptions of a panoramic head or tilting head capable of being electrically actuated from a distance by conventional means.
Figs. 16 to 18 relate to special execution methods of a mcuvante inscription projection apparatus.
FIG. 16 is a side view of the device.
Fig. 17 is a back view, and
Fig. 18 is a side view of a variant.
In fig. 16 the projection apparatus 50 for the moving inscription has a normal lens 51. A pin 53 may rotate in a plate 52 attached to a leg. This journal forms part of a U-shaped support 54 carrying the mirror prisms 55 and 56. The prism 56 is fixed in a frame 57 itself fixed on a shaft 58 curved at an angle to the outside of the support. in U 54.
The rays are directed by means of mirror prisms, the lever 59 fixed to the support 54 of the prisms allowing a variation in the direction of the rays in the horizontal, while the lever 58 allows this variation in the vertical.
To allow the handling of the optical instrument at a sufficiently large distance from the view projection apparatus, for example in the sound recording room, the normal lens is replaced, in fig. 18, by a telephoto lens assembly constituted by the lens 60 ensuring the parallel direction of the rays, and by the lens 51 for the finished projection. The objective 60 is fixed in an adjustable position to the base plate 52 of the mirror device.
If we want the field of projection of the inscription
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moving tion remains motionless and that on the contrary is split the preview of the views which progresses, 5C represents the projection apparatus of the views in fig. 16 to 18.
Claims.