BE403967A - - Google Patents

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BE403967A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C22METALLURGY; FERROUS OR NON-FERROUS ALLOYS; TREATMENT OF ALLOYS OR NON-FERROUS METALS
    • C22BPRODUCTION AND REFINING OF METALS; PRETREATMENT OF RAW MATERIALS
    • C22B23/00Obtaining nickel or cobalt
    • C22B23/005Preliminary treatment of ores, e.g. by roasting or by the Krupp-Renn process

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  • Inorganic Compounds Of Heavy Metals (AREA)

Description

       

   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  'PFREFCTIONNEMENTS aux PROCEDES/des MINERAIS LATERITIQUES" 
 EMI1.1 
 L'invention se -reporte 4 un procédé de récupéra- tion du nookel à partir des minerais d'oxydes terreux ordi- nairement hydratés contenant du nickel en petite quantité et du fer en plus grande quantité, généralement des   quan-   tités beaucoup plus grandes, appelés souvent minerais   laté-   ritiques; dans ce procédé le nickel du minérai séché est   renu   soluble des températures élevées, sois forme de chlorure de nickel, par l'action chlorurante du àHCL gazeux, tandis que la chloruration du fer est diminuée ou empêchée par l'action de H20 gazeuic. 



   Des cription des minerais latéritiques. 



   Le procédé objet de l'invention a trait plus par- ticulièrement au traitement des minerais d'oxydes contenant de petites quantités de nickel et de grandes quantités de fer,   ordinairement   de 1 à 3 % de nickel et de 30 à 60   %   de fer. Les mineraie à l'état naturel non modifié sont de 

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   caractérisés   par la présence de beaucoup d'eau hycroscopi- cue, c'est -à dire, d'eau extraite pat la chaleur au point, 
 EMI2.1 
 C'1) jU<;I+P au-dessus du point d'ébullition de l'eau; et éga.- Ip.7nt. Da7 la présence 'eau combinée, c'est-à-dire del'eau nn d6velopnéepar le minerai au point, ou juste au point d'ébullition de l'ea.

   La emp2ratûre acceptée pour la détermination de l'eau hygroscopique est 11000, L'eau hygroscopique approche souvent de 30 10 et, en tnus cas, est rarement inférieure à 20 . L'eau combi- née l,e souvent jusqu'a 10-13 (sur le produit libéré de l'eau hyoscoique) et atteint rarement moins de 7-9 ,( L'eau combinée semble être présente sous la forme "  minéraux tels que la gcéthite (Fe03.H30), le diaspore A10(H)) et la bauxite (AI20(OH) 4).

   Bien que la plupart des métaux présente apparaissent sous la forme d'oxydes ou d'oxydes hydratés, il y a ordinairement de petites quan-   +i+és   de silicates résiduels, et l'eau combinée est sans 
 EMI2.2 
 a'.'cuTI. doute présente comme eau de composition de ces sili-   cates.   Des exemple typiques sont trouvés à Cuba, à Porto- Rico, dans   l'Afrique   Occidentale anglaise et dans les Indes néerlandaises; d'autres moins typiques en Grèce.

   Ces mine- 
 EMI2.3 
 raiJ ie trouvent ordinairement comme couvertures de surfa- ce résiduelle des matières contenant du fer et on croit qu'ils dérivent des rochers basiques souterrains à la 
 EMI2.4 
 suite d'éffritéments tropicaux ou semi-tropicaux; Le terme "mineraia latéritiques" est fréquemment utilisé pour d4signer ces minerais, et sans se limiter pa- aucune théorie quant à l'origine de ces minerais, on emploiera ce terme pour désigner la classe spéciale de minerais au traitement desquels l'invention est desti- née. 

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   L'humidité hygroscopique des minerais latéritiques es+ facilement supprimée en grande partie par exposition à l'ait raisonnablement sec, à des températures ordinaires, et elle est rapidement et complètement enlevé4 à 100-110 c, 
L'eau combinée, au contraire,n'est pas rapidement et complètement extraite, même à   50000;.   Une grande par- tie de l'eau combinée des échantillons provenant de Levisa,   Cuba,   part doucement à 250  - 275  0; après 16 heures, à   250 0,   un   échantillon   a montré une contenance de 3,2 % d'eau combinée;

   après 40 heures, 2,8   %.   Vingt minutes à 325 C ont fait diminuer la quantité d'eau combinée au même degré que 16 heures à   250 0.   L'évolution de l'eau combinée par chauf-   fage   est irréversible à un très haut degré. 



   Lorsqu'il est complètement séché comme on le fait ordinairement,   c'est-à-dire   quand l'eau hygroscopique est complètement entraité. le minerai est notoirement pulvéru- lent, à moins qu'il soit chauffé   jusqu'à,   ou au-dessus des températures entraînant l'agglutination, la concrétion, etc.. 



   Méthodes déjà connues. 



   On a proposé des procédés de chloruration pour le traitement de minerais nickel-fer en général, et de gar- niérites, (minerais de silicates de ferro-nickel) en par- ticulier, avec divers chlorures métalliques, dans des au- toclaves à   190 C   ou au-dessous avec une solution de chlo- rure ferriques;   à   des températures avoisinant le rouge avec un sel (NaCL); à des températures intérmédiaires avec du chlorure de magnésium.

   Du HCL à peu près pur a été essa- yé aux environs de 400-500 0. 

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 nn a proposé des procédés comportant une large 
 EMI4.1 
 mare de température, e chloruration - de la"flormale" jus- u'à la chaleur ¯eue - et utilisant des chlorures ferreux m.1 similaires, souvent avec du H01 ou du 012 comme équiva- lents l'ûn e l'autre, et travaillant sur une partie au moins de la gamme de températures avec du mine,humidifié ou proqxes9iveent re-humidifié, Un grande partie des procédés proposés avaient 
 EMI4.2 
 lA pour défaut de ne pas donner de bons rendements en nickel;

   4 LP24"'f""'er G<.. "'l'l. de 6o ""- - il avai+@4cessaire dans la plupart des cas de former du 
 EMI4.3 
 7' chlorure de fer aveo tout le fer du minerai ou une grande partie de ce fer, et de travailler le chlorure de fer au moins en   149 -Faisant   traverser des fourneaux mécaniques (à   agitation),   de vaporiser souvent ce chlorure de fer ou de le dissoudre, et de le travailler après d'une manière quelconque.

   Ces prodédés ne contiennent aucun enseignement 
 EMI4.4 
 "I)ou1' l'obtention de hauts rendements en nickel tout en évitant la nécessité des manipulations, ou de former à l'ai- de du minerai des quantités de chlorures de fer,ou autres, 
 EMI4.5 
 trs grandes comparativement au nickel chlorurée 
Ces   procédait   connus ont dans bien des cas été proposés comme pouvant s'appliquer sans modification aux 
 EMI4.6 
 miPrais d'oxydes préparés par oalcination. 



  Buts de 1"invention 
Les minerais latéritiques existent en quantités   ±normes   dans des lieux favorables, et dans des dépôts en surface qui sent minés sans grands frais avec des pelles 
 EMI4.7 
 ou excavateu--s k vapeur. Près de la côpe nord-est de Cuba, par exemple, se trouvent des dépôts que l'on croit devoir a++ei:n0e que1us billions de tonnes. Ces dépots compren- net nrobablement les réserves de nickel les plus grandes 

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 du   mone,   mais ils ne sont pas encore considérés comme tels paros qu'il n'existe jusque présent aucune méthode suffisamment économique pour l'extraction du nickel. 



   Un but principal de l'invention est de fournie une méthode très économique d'extraction du nickel à partir de ces minerais, méthode basée sur la découverte de cert taines propriétés particulières. 



   D'autres buts détaillés comprennent encore ; - L'obtention de hautes teneurs en nickel, par   le,   solubilisation de ce dernier jusqu"à   90-98   % tout en ne rendant solubles, même au début, que de petdte pour- centages des grandes quantités de fer présentes; - L'accomplissement des opérationd de chlorura- tion dans des réacteurs fixes bon marché, construits en fer, totalement ou en grande partie, de qui élimine l'in- commodité dela poussière, les réfractaires et le capital et les frais de main d'oeuvre de fours rotatifs ou des fours mécaniques;

     Lobtention   d'une extrême perfection du gaz - contact solide et dentitions de contre-courant, et par sui-   teefficacité   complète et du volume du réacteur et de l'u- tilisation du réactif, tout en éliminant la nécessité du briquettage, la nécessité d'avoir des liants étrangers , ou de l'agglutination, de la concrétion, etc... 



   - Rendnec possible la production de solutions de lavage grandement concentrées sans évaporation ou emploi d'appareils à contre-courant actionnés mécaniquement; - Produire des solutions de nickel, comportant tout d'abord une petite quantité de fer, ou à volonté à peu près libres de fer, et obtenir des méthodes humides éco- nomiques pour séparer le cobalt du nickel. 

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     L'obtention   de moyens permettant, particulière- ment en vertu de la concentration des solutions de nickel 
 EMI6.1 
 o-enuas, de récupérer économiquement le chlore combiné   qui'='   est   contenu,   sous ferme de gaz pouvant être réemployés   '' pour   la chloruration, tandis que le nickel est obtenu sous   tourne   d'oxyde prêt à fondre sans nécessité d'emploi intensif de produits de précipitation pour le nickel, et dans cet 
 EMI6.2 
 O1 4'idees et dans d'autres, obtenir une écondmie ex-   trme   d'emploi de produits chimiques. 
 EMI6.3 
 D'a11rs objets de l'invention apparaîtront de la description qui va suivre. 
 EMI6.4 
 



  Fxposé général de l'invention. 



  Le procédé comporte, d'une façon générale, le trai- +ewcnt Dréparatoire du minerai, constitué,par le séchage pour en retirer l'eau hygroscopique et ordinairement com- 
 EMI6.5 
 bin'e et de préférence, mais pas nécessairement, la rédue- +ir ?t minerai en morceaux tous à peu près de même taille; ce -1-raitem-n+ peut comprendre les opérations de classifica- tion pour l'élimination du minerai appelé "grenaille" et la C"ncPn-a1-r dow nickel dans la matière à traiter;

   des opé- rationâ de chlorurations à peu près à sec à des températures 4"1-c,r6es, dans lesquelles de grands pourcentages du iiakel 3sn+ sont cc,,.i-,re-r4,is en chlorure à des températures au- gSS e 3C'T='decn'-és 0., e+ ordinairement beaucoup au-des- igi d'0 degrés C., tandis que dP petits pourcentages seul-ment du fer présent sont convertis en chlorure, l'uti-   lisa+ion   de pouvoir de chloruration de l'acide chlorhydri- que et le pouvoir de restriction de la vapeur, la   forde   de 
 EMI6.6 
 chloru-ration maximum des gaz ayant une corrélation avec la te:érafi.n.re;

   le traitement de chloruration peut être ordi- naiereent,is pas nécessairement, suivi du traitement 
 EMI6.7 
 avec Aes ?az plv.9 faibles (y compris les agents d'oxydation 

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 possibles en quantités contrôlées) et à de plus hautes températures, pour détruire les chlorures de fer,   etc..,   pour balayer   l'HOl,   et, dans certains cas, rendre les mor- ceaux lavables,   lesquels,   tnut en protégeant   NiCl2   de la destruction, en maintenant une quantité suffisante de HC1, et s'il se peut, de C12, dans les   az   de destruction;

   le re- froidissement du minerai chlofuré et son lavage pour   rete-   nir des solutions contenant du chlorure de nickel de préfé- rence, mais non nécessairement, par un lavage contre-courant, avec des couches fiscs de morceaux de minerai chloruré, pour contenir des solutions concentrées, et travailler ensuite les solutions pour le nickel de préférence, mais non néces- sairement, par des agents comprenant la chaleur, et la for- ce d'hydrolyse de l'eau, pour la récupération du chlore combiné sous forme de mélanges d'acide chlorhydrique ga- zeux et de vapeur pouvant être utilisés dans   l'dpération   de chloruration. 



     Quelques-unes   des plus importantes remarques. 



   (a) C hloruration différentielle - :  Ainsi   qu'on le sait le gaz NCL chlorurera le contenu en fer de minerais latéritiques complètement ou presque. Cette action a été employée analytiquement, et on en a fait la base des   procé-   dés. On a découvert que l'effet chlorurant de HCL sur le contenu en fer de ces minerais peut être empêché ou restreint dans une très   ande   proportion par la présence de quanti- tés appropriées de vapeur d'eau - H20 gazeux. De cette fa- çon on a trouvé qu'il était possibll de chlorurer 90 à 98 % du nickel tout en ne chlorurant qu'un petit pourcentage seule- ment du fer - rarement plus de   15 %   et souvent moins de 5 %. 



  S'il y a +rop DE vapeur d'eau, la CHLORURATION du nickel 

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 EMI8.1 
 dans une mesure satisfaisante est également empêchée. Il 
 EMI8.2 
 ir a oenendant, une gamme suffisamment grande de compositions gpzeusew utilisables pour toute la marge des températures eV-oloy-4 es; 
 EMI8.3 
 La Température maximum à laquelle la vraie chlo- 
 EMI8.4 
 =ration différentielle s'effectue de façon satisfaisante est, avec la plupart des minerais, aux environs de 275 de- Tés 0. De meins bons résultats sont ordinairement obtenus -vers et au-dessus de 300 degrés 0.

   La chloruration diffé- re.'-ielle T3 u-etre commencée à des températures inférieu- res,e: avoisinant 1Q0 degrés O., mais des tentatives fai- tes au-dessous de cette tempéraute pour compléter la chlo- ^arai^r¯ du nickel ont généralement pour résultat une 
 EMI8.5 
 chloruration excessive du fer et d'autres résultats désa- 
 EMI8.6 
 a .7euxl. 
 EMI8.7 
 Peur donne? de hautes teneurs en nickel, le pour- 
 EMI8.8 
 cer-'ace en volume du HC1 dans les mélanges de H01 gazeux et e -areu-r d'eau doit être amené à de certaines densités - Dour na minerai particulier et à des températures par- tien} ièes, etc.., - mais on l'a découvert, la plus grande partte du HC1 loris e combinaison par les constituants du.minéaà'pera# être fournie à des concentrations moins 
 EMI8.9 
 élevées.

   Cet effet est si extrême qu'un minerai exigeant 
 EMI8.10 
 des gaz contenant environ 50 volumes pour cent dIR01 meut onne 03 % de chloruration de nickel à 250 degrés C 
 EMI8.11 
 ('\ fi,zp. 



  1511, 9 k 9 2 r-M - 
 EMI8.12 
 ypt, . cette température, quand il est ÎTais/d'enlever ùt1 copl±+e#en de saz très diluée d'HCl - H20; la vapeur 
 EMI8.13 
 pue s'échappant. L,e même Kinerai voit son contenu en nickel chloruré jusqu'à 40 < a cette température avant d'exiger des az contenant plus de 12 volumes pour cent d'HC1. 

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   (b)   Réactivité.-   On a trouvé que le nickel dans les minerais naturels latéritiques possède la faculté de réagir avec   u   gaz HCL, dans des circonstances choisies, comme on l'a dit, faculté qui est sérieusement diminuée par . le chauffage à et au-dessus de certaines températures et pour des temps qui varient quelque peu suivant les minerais différents. La diminution de puissance de réaction semble ê- tre approximativement, parallèle à la diminution de l'humi- dité combinée au-dessous du chiffre atteint pour le minerai traité par longue exposition à une température de 190 à 200 DEGRéS C.

   Les minerais latéritiques cubains ne sont pas détériorés par le chauffage prolongé à 200-225 degrés C. en ce qui concerne le dernier traitement à 190-210   degrés ,   mais le sont légèrement, s'ils le sont pour le dernier traite ment à 250 degrés. Mais, si on les chauffe si peu que ce soit à 550 degrés, ou pendant 10 à 20 minutes aux environs de 25 degrés, ou pendant 20heures à 250 degrés, le rende- ment à la -suite du traitement préféré à 250 degrés qui, sur du minerai frais, aurait été de 90 à 94 %, d0sdendra jusqu'à   40 -   50 % et le rendement à la suite du traitement préféré à 190-210 degrés qui aurait été de 95 à 98 % retombera au- dessous (le 50 %, L'eau combinée dans le minerai abîmé se trou ve en quantité allant de 2,8 à   4,3 %   dans les divers cas. 



     On   comprendra que la réactivité qui a été décou- verte est différentielle en ce   qui   concerne le fer : fadulté des minerais de nickel de réagir avec le gaz HCAL presque complètement, dans des conditions ou les minerais de fer présents ne réagissent que peu. C'est cette réactivi- té relative ou différentielle, qui est perdue par le sur- chauffage, comme en l'a dit ci-dessus. La réactivité   ab so-   lue n'est pas perdue; le nickel contenu dans le minerai en-   dommage   par la chaleur réagira complètement avec un HCL 

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 suffisamment fort et dans un temps suffisant, même à 300 , 
 EMI10.1 
 -car er.er'ç'' e, mais le,fe' est également alors en grande partie, et même conplétem=nt chloruré. 



  On n'avance aucune hypothèse en rendant compte, de ce phénovéne, qui est le plus remarquable, par le fait que 30 40 du nickel,retient souvent l'activité après un =si++ment par Tande chaleur. (c) Morceaux : Les minerais   Identiques   (à moins ou'ils   soeirt   calcinés, etc..) sont notoirement pulvérulente 
 EMI10.2 
 lors#'on les travaille à sec, et l'on sait qu'il est dif-   ficile   de les laver après coup, car il est nécessaire de manipuler d'énormes volumes de boue donnant des dépôts insi- 
 EMI10.3 
 m-rif-liants.

   On a découvert que ces inerais peuvent être mis en morceaux de diverses façons, gans endommager la réactivi- te- 0U nickel (comme par la calcination) ou sans grande frais ni e:ene dans la partie chimique du procédé (comme par bi0Utae, par exemple avec des liants organiques); que ces morceaux sn sffisemn1ent poreux pour réagir complè- tement môr-as lorsqu'ils attei$+pnt 15 mm de diamètre et T:'!us; u'Js s-n suffisemment solides pour résistet à une meninulsticn moyennement précautionneuse, et pour sup- porter leur propre poids d?ns des charges profondes ; 
 EMI10.4 
 cn rufl i Ast le plus remarquable, ils supportent le lavage P- ne in désaqxéqeai:

   pas l'eau, si on les chlorure cornue   et,on l'a dit plus haut, ce qui permet le filtrage ou le lava.   ge "au sable"   en 1'101'\   écoulement, avec une grande porosité et un écoulement aisé à travers les couches de lavage. 



   Diverses autres observations seront décrites plus loin au cours de la spécification. 

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   Préparation du minerai. 



   Une méthode préférée pour la préparation de mor- ceaux de minerais est la suivante : le minerai naturel tel qu'il est sorti de la mine est désagrégé en le faisant pas-   ser à travers des rouleaux dentés ; il est amené, avec   une quantité de minerai sec pulvérisé, à une extrémité d'un cylindre rotatif horizontale en acier, pourvu à son   extré-   mité/d'entrée d'un rebord saillant vers l'intérieur! Par le contrôle de la vitesse de rotation du cylindre et de la fourniture de la poudre, la matière déchargée à l'autre extrémité du cylindre pput aisément eêtre rendue homogène   comme dimension. Le produit de décharge est tamisé ; cours   d'une expérience, la matière plus petite que 6 m/m et plus grosse que 9 m/m 5 était ramenée à l'extrémité d'entrée du cylindre. 



   Les morceaux sensiblement de même dimension, com- pris entre 6 et 9 m/m 5, sont alors séchés sur un séchoir semblable à une machine à concrétion en ligne droite; mais de construction plus légère   à   cause des basses températures entraînées. La température maximum des gaz chauds fournis à la boite avant du sécheur était de 2100 C., dans un cas. 



  Afin d'assumer l'uniformité de séchage et de chauffage pré- liminaire, les gaz chauds étaient aspirés par l'extrémité de décharge de la couche mobile du minerai, puis passés à tra- vers le reste de la   msse   du minerai. Vingt-cinq minutes ont été nécessaires pour ce séchage et cette opération de chauffage préliminaire. Le minerai déchargé de la courroie de séchage était amené directement dans un appareil réacteur à chlofuration. Ce mode de séchage remplit la condition dé-   sirable   de pouvoir aisément régler le temps de séchage et la température maximum à laquelle le minerai est exposé. 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 



   Dans une autre méthode de prépara/bien, on a traité du minerai provenant de mines de Levisa, Cuba. Ce   Binerai  contenait 18 à 20 % de particules plus grosses que le +amis de 40 mailles et 77 % de particules plus fine que le tamis de 200 mailles. La matière plus grosse que 
40 mailles se trouvait sous forme de morceaux arrondis durs, eouvent appelés "minerai en grenaille", et contenant moine. de nickel oue les particules fines. Le minerai naturel fut traité avec   e   l'eau et le minerai en "grenaille" fut éliminé par le moyen bien connu de la classification par l'eau. Il en   résulta   une certaine concentration du niokel dans les fines particules.

   La pulpe du minerai fin fut   dé-   barfassée de l'eau, f iltrée et le gâteau de filtre fut   se-*     ché à   basse température. Le gâteau de filtre fut alors   -   brisé par les moyens connus pour donner le maximum de   l'é-   chelle de grosseur désirée,   les.   morceaux trop gros ou trop petits,étant renvoyés et mélangésen pulpe épaisse prête au filtragel L-e morceaux sensiblement de même grosseur furent alors soumis au séchage final et au chauffage pré-   alable   sur une machine à sécher à concrétion en ligne droite, COMME on l'a décrit précédemment; 
Définition de certains termes, 
L'acide chlorhydrique, HCL, n'est pas dans cette description   l'équivalent;   du chlore élémentaire 012.

   Lors- qu'on spécifie me CL2, c'est dans un but spécial, entiére- ment   différen+   des buts dans lesquels on utilise le HCL hcl n'accomplirait pas les fonctions de cl2, pas plus que cl2 n'accomplirait celles de hcl dans le procédé objet de l'inventions 
Les minerais latétitiques contiennent souvent de 6 à 14 Kgs de cobalt pour 100 Kgs de nickel. Les réactions      

 <Desc/Clms Page number 13> 

 et la facon de se comportpr du cobalt sont pour la plupart très semblables à celles du nickel. le nickel contenant du cobalt est très acceptables dans bien des industries. On   em-   ploiera le terme "nickel" dans la description même pour dé signer le cobalt présent, sauf lorsque le contexte ne le permettra pas ou quand les deux seront nettement différen- ciés. 



   Exemples spécifiques du procédé. 



     EXEMPLE   1 
Du minerailatéritique provenant du dépôt de 
Pella Maria, près de   Levisa   (Cuba), sous forme de morceaux d'un diamètre allant de 22,5 m/m à 3,5 M/m et ne contenant PRATIOUEMENT aucun "minerai en granaille", a été séché et améné à température maximum d'environ 175 degrés C. La tem-   péraure   des morceaux fut mesurée par un thermocouple abri- té et noyé dans la masse. Le minerai séché contenait 49,7 % de fer, 10.9 % d'alumine, 2,17   %   de chrome, 3,2 de silice, 1 ;57 de nickel et 8,7   %   d'eau combinée. 



   Les morceaux furent placés chauds dans un tube de fer vertical, supportés sur un tamis au fond du tube. La profondeur de la charge était d'environ dix fois le dia- mètre. Le tube était protégé contre tout refroidissement et maintenu à une température allant de 265 à   27µdegrés   0. 



  On à fait passer tout d'abord dans la charge de minerai de la vapeur contenant à l'arrivée une simple trace   d'HCl   et provenant d'autres tubes réacteurs effectuant le même trai- tement. La charge de minerai n'a montré qu'une légère résis- tance à l'écoulement du gaz; Le gaz sortants consistaient en de la vapeur libérée d'HCL. De ces gaz progressivement de plus en plus riches en HCL furent amenés à PéNéTRER et atteignirent 50 à 55 volumes pour cent d'HCL après 40   minu.   tes. Lorsque des traces   d'HCl   apparurent dans les gaz 

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 sortants, ces derniers furent   amenée b   passer dans une charge similaire d'un autre tube. Les gaz à pleine forne force furent soufflés dans le tube pendant deux heures. 



   Un échantillon des morceaux chlorurés montrè-   =en   alors le nickel à   90,2   soluble dans l'eau comme chlo-   rure,   2,82 % seulement de la quantité totale du fer était soluble. De ces 2,82 %. 1,28 était soluble comme chlorure de fer et 1,54   %   comme chlorure ferreux: d  la vapeur contenant seulement un faible pour- centage de hcl fut alors soufflée à travers la charge, en- viron 10 % d'HCl au début, pour finir vers1   à   2 % en quelques minutes. Ce +raiterent dura 30 minutes. Les gaz employés pour ce traitement furent les gaz sortant d'au- tres réacteurs effectuant le traitement.

   Les gaz sortants de cette opératicn que l'on appelle ici traitement de des- truction   du   chlorure ou traitement hydrolysant, furent en- suite passés sur du minerai relativement frais, minerai qui n'avait   -cas   encore été,jusque là sous l'influence de gaz aussi forts que ces gaz de sortie du traitement   hydrolysant.   



   Le nickel de la charge était alors de la même schubilité que précéDERMENT. On ne trouve aucune trace de chlorure ferrique. LE   chlorure   ferreux trouvé précédem- ment était pratiquement identique. La charge CONTENAILT DU HCL qui FUT   "alayé   par des gaz de fumée chauds à basse +ENEUR en oxygène. 



   La   charge   fut alors retirée du réacteur - d'ou les morceaux coulaient facilement - refroidie et LEVéE en con- tre-corrant avec de l'eau. La solution obtenue contenait 3Bn7 % de solides. Les solides furent cristallisés par   évaporaticn   et consistaient en chlorure de nickel et fer-   reux.   

 <Desc/Clms Page number 15> 

 



   Les cris+,eaux furent placés dans un four à mou- fle et chaffée à 550-650 degrés   C.   De l'air fut envoyé et   amené   en contact absolu avec les solides. Ces derniers fu- rent convertis en oxyde de nickel et en Fe203. Les gaz sortants contenaient, en volume , 49 %   d'HCl,   42 % H2O, légèrement plus de 8 % d'azote et une fraction de 1 % d'oxy- gène.

   Ces gaz furent utilisés à nouveau dans des charges neuves de chloruration et eurent à peu près la même effica- cité dans la chloruration du nickel et pour empêcher la chlo- ruration du fer,   sous   forme d'un mélange de 52 volume5 pour cent d'HCl et   48   de vapeur; 
Les oxydes mélangés furent fondus au ferro-nickel. fXFMPLF 2 
Un minerai similaire à celui utilisé dans l'exem- plell fut s'ché et amêné à une températURE DE 250 DEGRéS c7, dans un courant rapide de gaz chauds dont la température   n'excédai+   pas 360 degrés. Le minerai fut traité comme dans l'exemple 1.

   La force maximum   d'HOl   était de 49 volu- mes -pour cent, le reste du gaz était constitué par de la vapeur.   Apres   traitement avec cette forme de gaz, pendant deux heures, un échantillon fut analysé et démontra que 95,5 % pu nickel était soluble comme chlorure; 4,4   %   du fer   présent   était Soluble comme chlorure ferrique et 2,1 %   cornue   chlorure ferreux. Un-petite quantité d'aluminuim étai+ présente sous forme de chlorure. Le minerai chloruré fut alsore traité avec des GAZ dilués comme dans l'exemple 1, pendant 30 minutes. La solubilité du nickel était alors de 93;2% pratiquement la même, la différence était VRAISENSA-   blement   due à la difficulté d'un échantillonnage précis. 



    0,6   du fer présent était soluble sous forme de chlorure ferrique et   2,2 %   sous forme de chlorure ferreux. On trouve encore un peul d'aluminium soluble\ Après refroidissement 

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 EMI16.1 
 p+ 1,ra7 comme- dans l'exemple 1, on t-obtenu de fortes solutions. La plus Trande partie du chlore combiné dans la solution fut récupérée sous forme de gaz H01 - H20 et réuti'- l5séepcur la chloruration. Les solutions contenaient en !3}\" Sld.. proprtion plus de fer/de nickel qu'on ne pouvait en at- +n1re d'après l'analyse de l'échantillon. On a constaté %¯au moins 'Aq,e cela était dûn partie à 11HOl contenu,dans le minerai, qui s'était dissout dans la solution de lavage et avait at- taIP4 le minerai jusqu'à un certain point lorsque la solu- tien s'était concentrée.

   Dans une   opération/de   HCL résiduel avait   été   partiellement retiré par la ventilation;dans une autre, par sui+e d'une mapi'e application du vide, qui peut être regardés. comme une forme de ventilation, 
Pien qu'on ait indiqué les opérations comme étant faites à ?FO et 270  degrés avec des charges fixes de mine- rai, il est ordinairement préférable, lorsqu'on travaille à ces températures, de 16-faire avec un écoulement de mine- rai continu ou presque, et décharge de la matière chlorurée de 'acon à diminuer le risque de voir endommager le minerai qui se   -ruve   dans le rédacteur et qui attend d'être traité. 



   .Aux ervieons de ?50-275 , l'évolution de l'eau combinée provemant du minerai pendant la chloruration, dilue les gaz acides et on doit prendre un soin tout particulier pour veiller à ce cus les gaz aient vraimetila force voulue dans la masse de   minerai,   EXEHPLE 3 
Oct texemple dorme plusieurséchantillons des ce résurltatedésastreux   donné s   par le chauffage d'un échantillon particulier de minerai pendant trop longtemps et, (ou buits) à des températures trop élevées avant de chlorurer aux en- virons de 250  C. Dans chaque exemple, le minerai et la procédure   étaiert   comme dans l'exemple 2, sauf en ce qui 

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 concerne   l'opération¯de   séchage et de chauffage préalable. 



   L'échantillon   A   fut chauffé à la vapeur à   250 0.   jusqu'à ce que le contenu en eau combinée retombe à 6,5% la solubilité du nickel résultant du dit traitement de chloruration était de 69 %. 



   L'échantillon B fut chauffé à 250 0., jusqu'à ce que l'eau combinée retombe à 3,7 %, Après le traitement de chloruration, la solubilité du nickel était de 44,5 %, 
L'échantillon 0 fut chauffé dans le vide à 250  jusqu'à ce que l'eau combinée descende à 4,29 %. La solubilité du nickel a été trouvée de   56,4%.   



   L'échantillon D fut chauffé à 55  juste assez longtemps pour être sûr que le minerai atteigne vraiment cette température. L'eau combinée atteignait environ,   1%   la solubilité du nickel a été constatée, après la chic. ruration, de 35,2 %. 



   EXEMPLE   4.-   
Un certain lot de minerai latéritique a été réduit en morceaux de 6 m/m à 9 m/m de diamètre, puis se- ché dans un courant rapide de gaz de fumée perdue contenant beaucoup d'oxygène. La température maxima des gaz de sécha ge était de 2200 0., le minerai contenait alors 52,3 % de fer, 1,78 % de nickel, 0,13   %   de cobalt de 10,0" % d'eau combinée. 



   Le minerai chaud est amené directement au som- met d'unréacteur consistant essentiellement en un tube de fer vertical, et rencontre là un courant de vapeur sortant vers les déchets. Le réacteur est protégé contre tout   re-   froidissement. La colonne de   minerai=emplissant   le réac- teur descend lentement au fur et à mesure qu'elle est at- tirée du dessous. En descendant, le minerai voit sa   tenipé-   rature s'accroître jusque vers 195 -210 .Le courant de gaz 
 EMI17.1 
 aevienT) 

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 EMI18.1 
 r.xo=ÇirRmen" :pl'JS riche en HCl et contient environ 28 ,C''',\:!!,ps nouer cent d'E01 au point B .

   En un point du tube ou le mlinr=a5 a été exposé à 20 vol es pour cent d'HCl, la so- ?2bi?.i- d- nickel est de 56 pour cent; quand il est exposé à "'P vo"mres pour ent 1'H01, la solubilité du nickel est -le Q01e>. pr3s exposition à 28 volumes pour cent d'HCl, la solubilité du nickel est de 95,8 %. A ce   stade   4,92 du fer      +otal est présent sous   fo-me   de chlorure ferrique et   0,89   sous forme-le   chlorufe   ferreux. Le minerai chloruré contient 2,51 % de chlore insoluble dans l'eau, ce qui est du en   gran-   
 EMI18.2 
 due partie à la présence de 1loxychf&e ferrique FeOCl. Moins de 41 du fer total se trouve sous cette formel Un échantillon 
 EMI18.3 
 pris par uneouverture d'épreuve en B, et lavé avec de l'eau se ?4duit en u-^¯e boue. 



   La section de B à 0 du réacteur était doublée et cONTENAIT un serpentin interne de chauffage 10. La doublure 
 EMI18.4 
 ru 1:9.T+erren interne et le serpentin sont pourvus de dis- rositifa d'aren;e de chaleur et de distribution de vapeur 1==ov±nant de source#non représentées. Dans cette section, la température lu minerai est élevée jusqu'à Z70-a90 G. Des é µ--=n..iijo=s de mir.eai,xetir3s en 12 montrent qu'il n'y a ni chlorure fer-ique, ni oxyoh]Éie ferrique, ou seulement des tTac='s innertaines.

   Le chlore insoluble dans l'eau n'at- teint -paq oN 1 %? Le nickel et le chlorure,ferreux se TROUVENT   en mère   quantité que dans l'échantillon retiré en 14. hcl et les vapeurs récupérés des solutions de la- VAGE DU CHLORURE DE NIGKEL comme on l'a DéCRIT SONT SOUFFLéS dans l'appareil par l'ouverture 14, et se joignent au cous 
 EMI18.5 
 Tant "1'9 '!8.Z montant. Un diffuseur, non représenté, repartit 1"'s ;az amense dans le courant montant. 

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   La section C D du Réactaur doit être établi en un alliage ferreux de chrome et de nickel 18-8. En 16, les gaz extraits, suivant Les désirs, des connexions 18, 20,22 du   tuyau   confrère par une soupape le long de la section 
A - B y sont soufflés par un ventilateur 24. Les connexions sont changées quand il est nécessaire; de façon à ce que ces gaz contiennent 8 à 12 volumes pour cent d'HCL. Du chlore élémentaire est insufflé avec ces gaz en petites quantités, controlées de manière que le chlore disparaisse dans   1-,courant   montant aux environs de l'ouverture d'en- trée 12.

   Enn24, un ventilateur force les gaz extraits, sui- vant les désirs, d'une seconde série de connexions   à con-   trôle par soupape 26, 38, 30 encore plus haut le long de la section A é B, Rég;és de façon que l'HOl atteipme un pour-   centage   en volume d'environ 2   %.   Le volume des gaz introduite en 16 et en 24 est réglé de telle sorte que les gaz montant- en B atteignent environ 28 volumes pour cent. Le minerai est retiré en D par une porte étanche aux gaz, non représen- tée. Des analyses d'échantillons montrent du chlorure de nickelde même nature qu'en B, et l'absence de chlorure fer- riaue. Le chlorure ferreux est présent sous forme de éraces; 0,00045 à   0,00063 du   fer présent est soluble sous forme de chlorure ferreux. 



   Le minerai contiendra du HCL, une partie contenue dans les porosités des morceaux et dans les interstices les séparant, une partie peut être contenue d'autres façons inconnues. Le gaz de fumée contenu en petite quantité dans l'oxygène est rapidement soufflé à t-avers les morceaux de minerai pendant quelques minutes dans un récipient séparé, ce qui entraîne cet HC1. Les gaz de ventilation passent sur du minerai frais destiné à être amené dans le réacteur, en A, et la   petiaequantité     d'HOl   gazeux est absorbée par le minerai. 

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   Les morceaux sont alors lavés par de l'eau filtrsa- t-ant en contrécourant. Ils ne se désagrègent pas. Le lavage est   effectue   dans une série de réservoirs en béton avec faux fonds la solution étant pompée d'un réservoir à l'autre, 
Des solutions a'nsi   obtnnues   ont contenu   34,7 %   de parties 
SCLIDES. 



   Dans un essai de laboratoire sur un minerai,sen- 
SIBLEMENT libre de manganèse, dans des conditions sembla- bles à celles précédemment décrites, on a trouvé pour   lOOKgs   de nickel ; 7.99 Kgs de cobalt et 1?52 Kgs de fer. Dix pour   ?en+   environ de la solution était   entraînée   hors du reste. Le fer de ces 10 % fut oxydé avec de l'hypochlorite de calcuim et les métaux de cette partie précipitaient tous comme carbonates et hydroxydes de manière connue. Le pré- cité a été lavé, et ajouté à la masse entière de la solution, Le chlore, C12, avec une légère trace de brome, a été alors introduit et la solution agitée.

   Tout le fer et le cobalt en solution furent précipités, le fer, sous forme dhydroxyde ferrioue, et le cobalt sous forme d'oxyde cobaltique ou d'hydroxyde   cobaltique..   Le précité était   granulé   et facile à filtrer. Il contenait du carbonate de nickel basi- que, qui   fu   enleva par une agitation   aveo   une solution de lavage fraîche destinée à une purification similaire. 



  T,e   précité   a été ensuite lavé, et les produits de lavage . employés pour préparer des carbonates et   hydrfoxydes   melan- éés pour l'emploi comme agents de précipitation dans les FOU; fournées suivantes. Le précité conteaait seulement du fer, de petites quantités d'aluminium et de cobalt et était com- mercialement libre de tout nickel. Il fut fondu avec du ferro-cobalt. Un autre lot fut   affiné   jusqu'à obtention d'oxyde de cobalt pur par les méthodes connues. 

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   La solution ne contenant maintenant ni cobalt ni fer, mais diluéelégérement, et   nn   contaminée avec du NaCl,    3 CaCL2, etc.., (comme cela se serait produit ai elle avait ou   traitée ap- les méthodes ordinaires), fut alors évaporée et du chlorure de nickel fut ainsi cristallisé. Lesscris- faux hydratés furent calcinés à une chaleur rouge basse en l'absence de l'air. De l'oxyde de nickel et un mélange de 
HCAL et de H2O gazeux furent ainsi produits. Les gaz furent ramenés en arrière vers le réacteur. Une partie de l'oxyde de nickel fut fondue en   nickel   métallique, et une partie fut employée pour la fabrication d'alliages nickel-chrome. 



   FYFMPLF 5 
Cet exemple donne divers résultats,de l'effet de l'emploi d'acides plus forts qu'il n'est nécessaire ou dé-   sirable.   



   A - Dans un essai, la solubilité du nickel de 92,6% fut atteinte en chlorurant pendant 2 heures à 2500 c avec 60 volumes pour cent D'HCL. Le minerai chloruré conte- nait 1.65 % de fer sous forme de chlorure ferrique, 1,86 % de fer sous forme de chlorure ferreux, et une trace seulement de FeOCL. Ce résultat était à peu près satisfaisant comme on l'a vu par les autres essais, mais moins de fer aurait été chloruré avec des acides quelque peu plus faibles et la solubilité du nickel aurait été aussi bonne. 



   B - Dans un au+re essai,   90-95 %   d'HCL a été   em-.   ployé à 250 degrés. La solubilité du nickel était seulement de 58   %   après deux heures. (L'échantillon avait eu son eau   combinée   réduite jusqudà 3,8   %   avant la chloruration). Le minerai chloruré contenait 20,3   %   de FeOCL. 34 % du fer total était chloruré. 



   C- Avec du HCL fort (90 à 100 %) à 2250 en deux heures, sur du minerai frais, 40 % du fer a été chloruré. 

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 EMI22.1 
 



  D - 1'opérati^n à 270 degrés avec 70-74 volumes uonr cen: d'FCl a donné une solubilité du nickel sensiblemeni la même que dans l'exemple 1: 89,7 5. Mais le chlorure de fer avait   augmenté,   et s'élevait à   6,8   au lieu de 2,82 % du dit exemple 1. 



   F- Dans   un   autre essai montrant les mauvais ef- fpts d'un acide plus fort qu'il n'est nécessaire, 38 volumes 
 EMI22.2 
 pur cent d'acide avaient été employés â 190-200  0. Le nickri étai+ soluble à 93 . 27 % du fer total était chlo- ruré. 



   F -.Le minerai fut chloruré pendant quatre heures 
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 à 0-lOo C avec 50 volumes pour cent d'R01. Le nickel fur   entièrement   chloruré, et le fer à 85 %. De la quantité de   'et   présente, 48 % étaient sous forme de   FeCl3,     6 %   
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 du FeCl2, et 33 du Fe0Cl. 



  'ry1i'1fDtF 6 Cet exemple montre les effets de gaz de forcer 
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 chlorurant insuffisante. 
A - Des gaz acides   dontenant   environ 10 à 12 velumes pour cent   d'HCl   avec de la vapeur d'équilibre ont 
 EMI22.6 
 4té passés sur des échantillons de minerais (avec réacti- vité intacte) à des températures diverses et pendant des temps différents, et on a obtenu les résultats suivants : 
 EMI22.7 
 
<tb> Temps <SEP> 3 <SEP> heures <SEP> 44 <SEP> heures <SEP> 
<tb> 
 
 EMI22.8 
 mi -e a5 degrés ?25 degrés 
 EMI22.9 
 
<tb> % <SEP> de <SEP> nickel <SEP> soluble <SEP> 52 <SEP> 54
<tb> 
 
 EMI22.10 
 m - Des op2'ra-I.-ions semblables ont été faites en- tore a.,tres avec ?0 volumes pour d'acide, avec les 8,liva .It :

   
 EMI22.11 
 
<tb> Temps <SEP> 4 <SEP> heures <SEP> 20 <SEP> heures
<tb> 
<tb> Température <SEP> 190-300  <SEP> C <SEP> lgo-2000 <SEP> 0
<tb> 
<tb> de <SEP> nickel <SEP> soluble <SEP> 44 <SEP> 64
<tb> 
 

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Si les gaz ne sont pas assez forts pour chlorurer le nickel en peu d'heures, de façon satisfaisante, une chlo- ruration effectuée d'une façon continue,avec des gaz de même force n'améliorera, pas les résultats de façon im- portante, dans l'échelle de température ou l'attaque est différentielle de manière satisfaisante, comme entre le nickel et le fer. 



   Chloruration au-dessous d'environ 190   degrés.   



   La chlorumation à des températures sensiblement au-dessous de 190 degrés +end à une attaque excessive du fer ; le caractére différentiel de l'effet chlorurant des mélanges de vapeurs de HCL- H2O décrolt progressivement auand s'abaisse la remprérature, se perdant, finalement sous l'effet ensentieelement non-différentiel des solutions   a-     queses   de HCL.

   Cette   observation   s'applique   particulière   ment aux rapports de HCL- H2O capables de produire de bonnes solubilitésa du nickel et avec les temps nécessaires pour obtenir ce résultat, La perte de l'effet différentiel est quelque peu diminuée par la présence de grandes quantités d'autres gaz que HCL et H20, par exemple   l'azote,]pans   un cas, en une heure e 30 minutes , dans un tube de réacteur maintenu à une température de 135 degrés, 28 pour cent de vo-   lumee   d'HCL n'a   produit,   que   57,9   de solubilité du nickel alc s que 53, 4 du fer présent était chloruré résultat plus qu'indésirable. Les morceaux de minerai étaient devenue humides. 



   Le traitement prolongé (20 heures) avec 14 volu- mes pour cent   d'HOl   dans un tube de réacteur maintenu à 180 degr0s à donné seulement 72,6% de solubilité de nickel, et 52 % de solubilité de nickel. Les morceaux de minerai devenaient humides, bien qu'il n'y   aileu   que 12 heures de traitement. 

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 EMI24.1 
 



  Dans l'échelle se tempéra5res au-deesous de 190, environ, une chloruration poursuivie loncrtemps avec des o-az d.'H01 - !fa donnait en dernier lieu/ comme résultat une   condensation   d'eau, et en quantité telle que les morceaux de minerai devenaient mous et pateux, consistant en un rési- du de minerai spongieux imprégné de solution de chlorure   ferriaue   saturé. Les opérations produisant ce résultat ne 
 EMI24.2 
 sont pas ' recoandé.9 et ne sont pas à classer dans le terme "de la manière sèche". Une chloruration rapide au-des- sous de 100 , avec   élevationrapide   de la température du mi- 
 EMI24.3 
 ne=a,1, est cepddari- dsian1ep quelquefois.

   Par exemple, 8.'1]'''''0 :'np. chlorura+ion d'une rapidité moyenne, le minerai sé- ché à 91-oo et refroidi, par exemple pendant le trajet vers ra.ctev¯r, jusqu'à environ 160-1?0 ,m--ontera rapidement de temrérature jusqu'au dessous de 190 , grâce à la chaleur de réaction et à la chaleur du courant gazeux, etc... 



   Aved du minerai dont la réactivité du contenu en nickel a é=+é réduite par un trop long chauffage, ou a des 
 EMI24.4 
 +-r-piratures tron élevées, ou pa7- des causes naturelles, tel- les qne des effets métamorphiques, de sorte qu'on a obte- nu des "'en:Îl?ment9 ne donr-ant pas satisfaction par les mé- thodes les plue appréciées, on obtient souvent de bons   ren-   
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 dements en coE-ençant et continuant la chloruration du ::6= dessous de"l'9@oipéndaflt longtemps. La chloruration du fer est alors plus intense que par le procédé préféré. Dans 
 EMI24.6 
 un cas fi'e; employant 52 volumes pour cent d'HC1 et un réaceut chauffé extér3 '\J%ement par la vapeur, et en trai- tant le matière avec de l'eau combinée réduite à 3,8 %, on a obtenu une solubilité de nickel de 96,2 %.

   LE minerai 
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 chloruré contenait 19 de Fe0Cl. 30 da fer était chlo- ruré. Fn d'autres cas, on a obtenu des solubilités de 

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 nickel de 86-93% avec 15-20% du fer chloruré. Les   opéra-   tions qui viennent d'être décrites sont coûteuses et il est à conseiller de ne pas les effectuer excepté pour les minerais à réactivité lente du nickel, tels qu'ils sont extraits. 



   Effets sur le chauffage du minerai chloruré   entiè-   rement ou   partiellement,   et sur le chauffage pendant la chloruration, 
Lorsoue le minerai chloruré à 190-2100 C., par exemple est par la suite chauffé, en l'absence de tout gaz venant de l'extérieur, l'eau combinée qui est progressive- ment déganée réagit avec les chlorures d'aluminium et de fer (de facon peu   appréciable   avec du chlorure ferreux ou du chlorure de nickel), et produit HCL.

   Dans un cas, le chauffage du minerai ohlorurrerait   à   environ 210 , et des gaz contenant plus de 60 volumes pour cent   d'HOl   se dé ga- gaaient pendant l'élévation de température de   220 à   230   (dans le procédé eonsistant   à;chauffer   à des plus hautes   températures).   Ces gaz sont d'une force indésirable pour cette température; ils produisent du FeOCl et augmentent la production du chlorure ferreux, qui n'est pas   avantageuse.   



    Dans   un cas, en chauffant jusqu'à 250 , du fer ferrreux sous forme de chlorure augmentait de 0,64   %   à   1,16;%;   dans un autre cas, en chauffant jusqu'à 300  le fer ferreux sous forme de chlorure augmentait de 0,84 à 4,40 % -résultat des plus indésirables; dans les deux cas, la quantité de FeOCI dans le minerai était plus que doublée. 



   Il est important, lorsque la température du minerai chloruré partiellement ou totalement s'élève, de pouvoir con- troler cet effet. Comme on l'a vu (exemple 4), on le fait en fournissant des   az   HCL- H2O qui diluent les gaz séchap-   pant des morceaux de minerai jusqu'à la concentration désirée,   

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 ou nême au-dessous, ce qui rétablit la concentration par des gaz plus forts du dehors .

   Ce dernier procédé prémunit 
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 cn.J..rlO' la surchloruration - augmentant de façon inutile les quantités -le chlorure de fer pendant l'élévation de 'f'Pl??r6'!''are, on préfère ordinairement opérer de cette façon; aciQvan- la chloruration du nickel avant d'élever la tempé- rature (sauf l'élévation naturelle pendant la chloruration;   rr/Éce   auz chaleurs de réaction, de quelques rapides degrés, 
 EMI26.2 
 sou1T"!nt\ .   nn   peut, cependant, utiliser l'effet qui est en 
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 globs+9ncb la concentration de Xi. On traite alors, à 190- ln deqr4s, par exemple, avec des az donnant plutôt des ren- 1ezem±s plus bas mie désirés, savoir 23-25 volumes pour csnt .;: 'PCI et des solubilités de nickel, pour un minerai   particulier,   d'environ 88-90   .

   On   élève alors la tem- perature, en faisant passer des quantités limitées de gaz   ilus   dérivés de la dernière phase d'hydrolyse ou de des- truction de?   chlorure   de sorte que, la température s'élevant 
 EMI26.4 
 le minerei Psi en70uré de gaz plus forts, provenant du mé- lamge du HCL qui se produit de soi-même avec les gaz dilués, De   ce++=   manière on a élevé le pourcentage de la 
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 90hilit du n-lok?l jusu'à 97-98 . L'opération exige un con-ôle tràs sri<nevx pour éviter l'augmentation de chlo-ure ferreux et de FeOCl; quand l'un ou l'autre appa- raît nn ouan"-ités accrues de façon préjudiciable, on auge mente l'écoulement des gaz de dilution.

   Avec de gros mor- ceaux en   particulièrement   avec une élévation rapide de tem- pérature, soit par la chaleur de réaction, soit par le chauffage externe, des gaz   d'HOI   forts peuvent être pro- duits à l'intérieur des morceaux et   surchlorurer   le minerai avant   ue   les gaz produits puissent être dilués jusqu'à la force voulue par les gaz s'écoulant autour des morceaux. 

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 getteffet peut être   contrôle   en employant des morceaux plus petits, en augmentant la vitesse des gaz, et en ralentis- sant l'élévation de la température. On comprendra que l'ef- fet peut être utilisé conjointement avec une élévation de te température lente et continue au cours de la chloruration. 



   Températures pendant l'opération de chloruration. 



   Comme on l'a vu, la chloruration du nickel s'ef-   fectue   souvent entièrement et toujours en partie au-dessus des températures avoisinant 1900. La limite   inférieure   est fixée par la formation excessive d'autres chlorures que celui du nickel et par la dernière   humidification   du minerai aux températures les plus basses. La limite supé- gieure des opérations est ordinairement fixée, en partie par les propriétés fondamentales des chlorures de fer, Fecl3 et FeOG1, et en partie par le genre du minerai parti-   culier   en jeu. Aux environs de 290-310 degrés 0, et en-des- sus, le nickel, dans la plupart des minerais, perd la fa-   oul+é   de réagir avec HCL de force désirable, assez vite pour gêner les opérations.

   De hautes solubilités et de grands rendements exiguat donc   l'emploi   de gaz HCL très forts, difficiles à récupérer des solutions de lavage, et l'utilisation de ces gaz forts a pour résultat une attaque excessiive du fer. Une attaque excessive du fer est provo-   quée   ces températures par la volatilisation de FeCL3 et même de FeOCl dans le courant de gaz d'HCL forts. Cette invention n'a pas trait à l'opération avec   volatilisation   importante du contenu en fer du minerais 
Certains minerais perdent la réactivité du nickel lorsqu'ils restent chauds beaucoup plus rapidement que les autres; cette caractéristique est facilement détectée par un simple essai.

   Les minerais d'extrême sensibilité à la chaleur doivent ordinairement être chlorurée à   190-210    

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 -or-sai-le -1-oil-jo-urs au-dessous de 235 ou 225 . 



  Précautions à. Tendre ocntre la destruction du lTi(1l-2¯.!¯f¯2--'isant le FeC12. etc..- Afin c'='évij:er de détruire le Niol 2 par la réaction NiCla H2 = Nio 4- 2HOL i' -s4- r-ces8aire que la vareur ou les gaz H 0 - H01 qui se -liluent en HC1 employé pour détruire le FeC131 etc.., contier.nen au moins es quantités minima de H01. Les quan- -1-4¯léls minima nécesspires sent plus élevées quand la tempé- rg+ilxe es plus élevée, et sent quelque peu variables sui- 
 EMI28.2 
 les minerais.

   Aux environs de 275  C., pour 
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 les "ai.7r:en"'s trs rapides, un vol'dme pour cent d'HOl en -,rameur sii-'fit souvent. pour pro:5er le Ni012' bien qu'il sit,ordinairement plus prudent d'employer 5 à 10 fo Losque d'autres gaz que HOl et H0 sont présents, pEI." e7er..-ole du C12 ou de l'oxygène, pour participer à la ies+Tuction du FeCl2 (et quand l'oxygène est utilisé, ou l'ai l'air), l'effet de proteetian du X61 sur le NiOl 2 est ?iruirué, et on em-,oloyer en proportion plus d'Hol que de 1a.'!"E;U1'. 



  Le chlorure de nickel est également susceptible -'! F' ap T" ir par l'oxygène. L'effet est ordinaireè Irpn'" aux environs de 275-Zo0 , mais devient pro- nnrèélaux tÇmrature élevées. Il peut être protégé contre ce+ effef pa la rz,-4ser-ce e peites quantités de 012- 
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 Il est possible de chauffer le minerai chlorurà 
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 des excédqnl. celles données dans les exemples 
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 ci-dessus. Lorsqu'on le fait des précautions plus grandes 
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 doiien" être pl>ise6 pour éviter la destruction du chlorure 
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 de nickel. Si on fait passer de l'air sur le minerai à 
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 des tefup9xas éleves, du chlore élémentaire, 01 2' doit 

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 ê+re présent pour protéger le chlorure de nickel de l'oxy-   da+in.   Le cobalt exige encore plus de chlore pour empêcher l'oxydation de son chlorure.

   Si, comme on le fait habituel- lement, on désure récupérer le cobalt, et que l'on emploie de l'oxygène (de l'air), on devra employer du 012 même aux environs de 300 . 



   Le coût de l'opération est sensiblement   augmenté   par l'emploi de +empéra+ureélvées. et il est préférable dp les éviter. Il est très rarement justifié d'opérer à des températures plus élevées que 350 , et le plus souvent on effectue la phase de destruction du   ohlorure   bien au- dessous de 300 . 



     Emploi  des agentsoxydants pendart l'opération de chloruration. 



   Des agents d'oxudations- CL2, ou de l'oxygène (air) - peuvent être maintenue présents et être quelque peu actifs pendant l'opération de ohloruration, distincte d'une récente opération de destruction du FeCL2. On ne trou- ve Du'un petit avantage -s'il y en a un-à agir ainsi. Si le CL2 est employé, le coût de l'appareil est augmenté. 



  L'oxygène est plus efficace aux températures élevées, ap-   propriées à   la destruction rapide commercialement, par la vapeur d'HCO suffisamment diluée dans   l'HCl,   de tout le FeCL3 - le mieux bien au-dessus de 250  C., comme on l'a   indiqué.   



   Notes supplémentaires sur la destruction du WeCl2. 



   -----------------------   Comme on l'a indioué, le FeCL3, ALOCL3 et le    FeOCL peuvent toujours être détruits, sans endommager le NiCL2, en augmentant le H2O et diminaant la   concentratdon        de H01 - pour la ra-idité commerciale, le mieux aux enwié rons de 250 à 275  C. Le chlorure ferreux exige une agent oxydant également . L'oxygéme a des avantages sur le chlore, 

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 s-"c''3.''r?n aux températures auxuellFs la raacticn du TTocédé nacon, ne se produit pas, en ce qu'il permet l'em- j de -eao+euxs entièrement en fer; avec le 012$ les p+"fIPS exrosées au Cl 3 sont de préférence faites en alliage )ferreux de chrome et nickel.

   Mais, avec l'oxygène, on doit tenir compte de l'influence de l'azote résiduel en faisant diminuer l'activité de H01 en en augmentant l'activité de 
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 H'0, cor.-.- on l'a d4c1+ d'aut- e part. Pour éviter, cela on détruit cueiquefois d'abord à peu près tout le Fecl ,      AlCL3, et   FeOC,   puis, on traite ensuite dans un courant 
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 de uaz séparé avec de l'air et d gaz de HGl - H4 dilués dpns Hcl pour détruire Fe012' en faisant passer les gaz doué- channe.ent -ee cette phase autour des zones principales de obloruisa4-.irn, d'éléva-ticn d- température et d'hydrolyse, et er ajoutant ces gaz au courant principal lorsqu'il   décent   plus faible en HCL. 



   Effet de la pression, du vide et des gaz autres 
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 que FC1 Ft de la vereu-- d'eau. 



  Dans la plupart des cas on recommande l'opération 
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 1a nressirn atmosphérique. Les pressions superatmesphé- tiues peuvent être utilisées, mais la dépense en est ra- 'pm T" yustifiée. Lorsqu'on opère à une preassion superat- osT'\l':.4iQ.ue; l'activité relative du gaz H01 est plus grande e+ celle -u gaz X 2 o est moindre qe sous la pressicn atmos- nhTic!ve. De méme, l'opération peut être effectuée à pres- sier réduite, mais ceci est également rarement à désirer. 



  A pression réduite, l'effet de retrait du gaz d'H2O est re- 
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 lativerer-1- av:er¯té, et le pouvoir chlorurant de HC1 est ra1@tive!'.<1ent diminué. Sous les -pressions au-dessus ou au-  ?zgovB de 'a pression atmosphérique, les changements dans   l'activité   des deux agents peuvent être facilement réglés. 

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   La présente d'autres gaz que les deux essentiels simule   l'effe   de réduction de la pression totale. Ce cas est souvent rencontré dans la pratique. Lorsque da grandes quantités de gaz autres que HCL et H2O sont présents par exemple du N2,   00 2 (.Plus   rarement O2, CL2), le rapport de HCL avec H2O doit être réglé. Il doit avoir plus de gaz HCL eh proprtion par rapport au gaz H2O. Une bonne régle      génrale pour le réglage préliminaire est que le carré du   pourcentage   en volume du gaz HCL dans le mélange dilué, di- visé par le pourcentage en volume du gaz H2O dans le mélange dilué Deit être   éal   au carré duporucentage en volume DU GAZX hcl dansun mélange satisfaisent NON DILUé DIVISé par le pourcentage en volume de gaz H2O dans ce mélange non dilué.

   On a souvent besoin de plus d'HCL. Ce caloul est rarement nécessaire; il suffit ordinairement quand on change des gaz purs pour des gaz dilués, d'augmenter HCL et de diminuer R 0 lentement jusqu'à obtention des résul- 
2 tats satisfaisants. On doit également prémunir contre   l'cpé-      ration à haute dilution avec H2, CO2, etc..., et considérer    comme une importante caractéristique de l'invention la pos- sibilité qu'elle offre de rendre cette dilution inutile. 



   Réglage de la force dès gaz - remplacement d'HCL 
Le gaz d'acide chlorhydrique, produit de toutes facon connues, et employé pour le remplacement des pertes est généralement trop fort pour être employé sans dilution. 



  Les gaz contenant de l'acide chlorhydrique   récupéré   de la calcination du chlorure de nickel, etc., sont souvent égale- ment trop forts. On comprendra que la vapeur, ou la vapeur contenant du gaz   d'HCl   est toujours disponible dans le pro- cédé de dilution de ces gaz d'alimentation, à la force appro- priée. 

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  Fn effectuant la phase de chloruraticn à toute +e;n4a+ure palicuiiére, ou dans une échelle de température 
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 res particulières or conseille de partir avec des gaz d'une 
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 fo-ce raxira quelque peu inf4rieur l celle que l'on croit +re nécessaire pour les rendements désirés. Par exemple, ?or à  a 7C'!T'mes pour cent d'HOl à 190-210  0., ou 35 40 volumes pour cen+ d'HCI 4x environs de 250  (la balance des Mez état-t de H 2 0), et ensuite, lorsque le minerai 
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 chlorure passe et peut être analysé, on augment lentement 
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 l7se in le contenu en FC1 des gaz. de tempe en temps, ce qui/fait 
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 aisément, rar exemple, en diminuant le retour des gaz dilués venant des points plus éloiQ'Ilés sur le chemin d'é- ccul'irpnt des gaz de chloruration.

   De cette façon, avec un 
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 mirerai particulier, un appareil, des conditions de séchage, 
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 des itesses de vaz, etc.., les concentrations eptima des az sont facilement réglées et les rendements désirés de rickel obtenus e.vec un eifet de chloruration différentiel maximum, c'est è,; .ire -une chloruraticn minima du fer. 



  Résistance des morceaux à 1'effet de désaét1on de l'eau, af9c"é pas la empérature maxima et la présence e chlcrures de fer. romm; or '¯ 'a -'ni des mo-eeaux chlorurés aux envi- rous e ""0 à '7po, ou traités à ces températures ou au-àes  sus à la  uite la. ohlorursLticn ne se désagrément pas 1:1.'.1 lavage, reg =orceaux de minerai chlorurés à 190-210  se d/qan+4-,rt ordinaircEent au lavage et, si on désire obtenir le 'bénéfices du laaqe par filtration et la production à peu'de friB de fortes solutions, les morceaux doivent ê+ alors chauffés à des terpératures élevées.

   Des mor- 
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 7r ceaux r^a'Suits de 110 à 2350 sont soiivent sensibles à l'eau, fh particulièrement si on a obtenu une très j-s01Ubilité du 

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 nickel comme par exemple en employant des forces   d'HCl   quelque peu plus élevées que nécessaire. Les morceaux chlo- rurés 'peuvent toujours être rendus résistants au lavage par les traitements décrits;   c'est-à-dire,   en élevant la tempé- rauure et (ou bien) en détruisant les chlorures étrangers. 



   Temps et températures de séchage - Possibilité de varier des minerais. 



   Avec les minerais traités dans les exemples dcn- née, le dommame causé à la réactivité par le séjour à la chaleur était nul à 150  C., négligeables aux environs de 200-225 , lent vers 250 . et très   rapide vers     300-325 .   Le dommage est rapide vers 225  avec tous les minerais qui ont été essayés, mais la température à laquelle la perte de réactivité commence par le séjour à la chaleur est variable. on ne l'a jamais trouvée assez basse pour gêner le séchage pour le traitement à 190-225  ? Dans certains cas elle est excessivement lente à 250 , La température sure peut être facilement trouvée pour chaque minerai.

   Pendant l'opération, il est bon de faire en sorte que le temps de séchage soit aussei court que possible, et d'élever la température maxima   de-?   gaz de séchage de temps en temps,   juqu'à   ce que la solu- bilité du nickel diminuant au-delà du point désiré donne l'alarme. Il est ordinairement préférable de faire diminuer la température maxima des gaz de séchage de quelques degrés et de les stabiliser ensuite. On concourt à l'économie des frais de séchage et de consommation de chaleur en séchant à la Températte la plus élevée compatible avec les rendements désirés. 



   Il est généralement à désirer d'entraîner, en plus de l'eau hygroscoique, autant d'eau combinée qu'on le peut dans diminuer la réactivité différentielle en nickel dans les conditions d'opération particulières. Avec une installation 

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 en marche fixe, donnant des rendements en nickel satisfai- ants, il est souvent à désirer d'augmenter la quantité d'eau combinée devant être entraînée par de petites quanti- tés; jusqu'à ce eue le rendement en nickel commence à dimi- nuer, ordinairement en augmentant la température de séchage, et mieux, si or peut avoir une plus grande capacité de sé-   chage,   en augmentant le temps de séchage et en augmentant la profondeur du lit de minerai sur la courroie ou la grille du sécheur et en   raltntissa   nt sa vitesse. 
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  "'minerais contenant des carbonates de calamum et 2:.'6 mao'nésium? La plupart des minerais latéritiques ne contiennet c!un 1es traces Ce caloùm et ale magnésium sous forme de carbonates ou sous toute autre forme. Certains minerais sont 
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 in+?tmédiairé6 entre les latérites et les garniérites, ou minerais de   silicats   de nickel communs à la Nouvelle-Calé- 
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 donie. Ces marniérites contiennent ordinairement beaucoup '5 calciur et de magnésium comme carbonates, ou sous d'autres ferras -:?i1en:en'" attaquées par l'adide chlorhydrique dans lep cn1iticns d'opération p--esci-ites pour la mise en oeuvre 1 l'3r¯ver-ien. Les pleins avantages de cette invention np 5T''*' nas réalisés avec de tels minerais; à moins de décom- poser, p ar les moyens connus, les chlorures de calcium et ":e- rrrrnssiun. 



  Des Kirerpis aprrochant du type des garniérites son.,- souvent er's Ienses et non poreux et exigattt un broyage fin. Fn outre, ces minerais sont souvent tellement riches en nickel qu'il est plus profitable de les traiter par les méthodes de fusion directe connues plutôt que par le présent procédé. 

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   Traitement des solutions de   lavage.¯.   



   On a donne un aperçu de la préparation des solut tions foites de nickel libres de tout fer, aluminium et cobalt, ainsi,que de tout produits composant les agents de précipitation employée dans la séparation conventionnelle et la précipitation des   métaux   contenus, tels que chlorure de sodimou chlorure de calcium, et on a montré la producè tion de l'oxyde de nickel de ces solutions sans emploi de produits chimiques, et avec récupération des mélanges gazeux de HCL et de H2o $prê te pour le réemploi. 



   On peut travailler les solutions de niokel d'au tres façons par exemple préparer du sulfate de nickel pour la galvanoplastie. Pour ce faire, on cristallise du chloru- re de nickel de la solution forte et on traite les orixteaux avec l'acide sulfurique, entrainant les gaz HXL et H 0 de f force   appropriée   pour l'emploi pour la chloruration. 2   Quand   le minerai est faible en cobalt ou quand la présence de cobalt dans le produit de nickel le permet, on peut séparer le fer et l'aluminium seulement de la solution de lavage originale.

   En ce faisant, on oxyde d'abord le fer û dans la solution de l'état   errique   et on le précipite en- suite avec le carbonate ou l'hydroxyde de nickel préparé   d'âpres   les liqueurs   dépavage,   ou d'après une partie de la solution principale, 
Les minerais de fer latéritiques contiennent sou- vent jusqu'à 500 grs de manganèse pour 1.500 grs de nickel et la plus grande -partie de ce manganèse suivra le nickel dans l'opération. Le manganèse peut être séparé du nickel par les méthodes connues. 



   Les méthodes préférées sont particulièrement avantageuses en ce qu'elles évitent la nécessité d'intro- duire du soufre sous une forme quelconque à tout moment 

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 ,a l',n3-.alin, et rerr.:etten- ainsi de 'roduire du nickel et es alliais de nickel libérés de toute impureté sans employer ,¯, apercions- spéciales pour ce+4.e élimination,   'Ventilation.   par exemple, lorsqu'on prépare des solutions sen- 
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 sibleB'n- libres de fer, et pour détruire des chlorures d iznr désirés aux en-virons de ?75 , on ventile le minerai chloruré pour ent-ainer HC1.

   Ceci est important, mais l'est heavoeoup à des températures élevées au cours de l'opération de destruction, des chlorures; on maintient de moins en moins 
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 c e Ia'f 1 dans le minerai au fur et à mesure que la tempér a- ture fimÜe s'élève. nnératien à contrecourant potant sur l'économie 1 PUI. 



  On considère comme de la plus'importance la décou- 
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 / t3i+/±,f .re="e fite que, tandis que les ^az d'une certaine force maxi rU\ '" ma sont n'cessa.ires à une températne donnée pour effectuer une chloruratlen de nickel % haut pourcentage, on peut ao- complir le travail avec toutes   forcer de   gaz moins élevées, 
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 e-1- t:QPLY'aT.?'f' aussi importantes les dispositions del'in- version pour 1- traitement de chloruration d'abord avec dëo c'az trs faiT-les -en vcrité, de la simple vapeur -, puis suces6ivern+ avec des gaz de plus en plus forts jusqu'au maximum jU1t nécessaires pour les conditions particulières o-yt.trai, ¯raa- azdE88tt7.8 de 20-25 volumes pour cent, même à 100-310  C., rareKen au-dessus de 60 volumes pour cent, mnmes aux environs de 250-2700. 



  A cause Iii retour d'alimen7.ation des gaz dilués utilisés dans la phase de destruction des chlorures, et (ou bien) dans la dilution d'HCl fabriqué excessivement fort ou récupéré, l'opération de chloruration n'est peut être pas 
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 srict .r.^ nt à c0nDOoat, mais on estime pcmroir la définir par ce terme. 

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   On considère également   cernée   très importantes les dispositions priées pour permettre la perfection duc contact gaz-solide dans le contre-écoule'ment, et par suite l'exposition efficace du   mineai   chaque force de gaz augmentant progressivement. 



   On comprene facilement comment les réacteurs fixes sont reliés entre eux pour l'écoulement du gaz, et que les connexions de gaz sont changées de temps en temps, de fa- con que les conditions   d'éclatement   en contre courant soient obtenues bien que le minerai soit fixe, Les mêmes commentai- res s'appliquent aux interconnexions et à l'écoulement du fluide entre les réservoirs de lavage. 



   Les mots "amener le minerai en morceaux perméables" qui sent employés font allusion à de simples opérations de tamisage, ou de broyage et tamisage, qui peuvent s'appliquer à du minerai agglutiné, par exemple, par des actions naturel- les, comme la cuisson auccolsil, pourvu que le minerai agglutiné soit   perméable.   



   Le terme "séchage" employé tend à   comprendre   le chauffage préliminaire qui est nécessaire pour amener le minerai à;sa température initiale de chloruration. Ce chauf- fage préliminaire est en général un sous-produit de l'opé- ration de séchage. Dans les climats chauds, le minerai sé- ché en surface par le soleil peut n'avoir qu'à peine be- soin d'être Séché, étant à peu près libre de toute humidité, Dans ce cas, l'opération appelée "séchage", précédant immé- diatement la phase de chloruration, peut servir de chauf-   fage   préliminaire.



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  'PROCESSING / LATERITIC MINERALS "
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 The invention relates to a method of recovering nookel from ordinarily hydrated earth oxide ores containing small amounts of nickel and greater amounts of iron, generally much larger amounts. often called laterite ores; in this process the nickel of the dried ore is made soluble at high temperatures, taking the form of nickel chloride, by the chlorinating action of HCL gas, while the chlorination of iron is reduced or prevented by the action of H20 gas.



   Descriptions of lateritic ores.



   The process which is the subject of the invention relates more particularly to the treatment of oxide ores containing small amounts of nickel and large amounts of iron, usually 1 to 3% nickel and 30 to 60% iron. The natural unmodified ores are of

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   characterized by the presence of a lot of hycroscopic water, that is to say, water extracted by heat to the point,
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 C'1) jU <; I + P above the boiling point of water; and also - Ip.7nt. In the presence of combined water, that is, water not developed by the ore to the point, or just to the boiling point of water.

   The accepted time frame for the determination of hygroscopic water is 11000, Hygroscopic water often approaches 30 10 and, in such cases, is rarely less than 20. The combined water is often up to 10-13 (on the product released from hyoscoic water) and rarely reaches less than 7-9, (Combined water appears to be present in the form of "minerals such as gcethite (Fe03.H30), diaspore A10 (H)) and bauxite (Al20 (OH) 4).

   Although most of the metals present appear as oxides or hydrated oxides, there are usually small amounts of residual silicates, and the combined water is free.
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 a '.' cuTI. doubt present as water of composition of these silicates. Typical examples are found in Cuba, Puerto Rico, English West Africa and the Dutch East Indies; others less typical in Greece.

   These mine-
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 raiJ ie ordinarily find iron-containing material as residual surface blankets and are believed to derive from basic underground rocks at the
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 series of tropical or semi-tropical erosion; The term "lateritic minerals" is frequently used to denote these ores, and without being limited to any theory as to the origin of these minerals, this term will be used to denote the special class of ores for the processing of which the invention is intended. - born.

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   The hygroscopic moisture of lateritic ores is easily removed largely by exposure to reasonably dry air, at ordinary temperatures, and is rapidly and completely removed4 at 100-110 c,
The combined water, on the contrary, is not quickly and completely extracted, even at 50,000. Much of the combined water of samples from Levisa, Cuba, starts out slowly at 250 - 275 0; after 16 hours, at 250 0, a sample showed a content of 3.2% combined water;

   after 40 hours, 2.8%. Twenty minutes at 325 C reduced the quantity of combined water to the same degree as 16 hours at 250 0. The evolution of combined water by heating is irreversible to a very high degree.



   When it is completely dried as is usually done, that is, when the hygroscopic water is completely entrained. the ore is notoriously powdery, unless it is heated to, or above, temperatures causing agglutination, concretion, etc.



   Methods already known.



   Chlorination processes have been proposed for the treatment of nickel-iron ores in general, and garnierites (ores of ferro-nickel silicates) in particular, with various metal chlorides, in autoclaves at 190. C or below with a solution of ferric chloride; at temperatures approaching red with a salt (NaCL); at intermediate temperatures with magnesium chloride.

   Roughly pure HCL has been tested around 400-500 0.

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 nn has proposed methods comprising a large
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 temperature pool, chlorination - from the "flormale" to the heat ¯eue - and using similar ferrous chlorides m.1, often with H01 or 012 as equivalent on the other , and working over at least part of the temperature range with lead, humidified or soon re-humidified, A large part of the proposed processes had
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 lA for failure not to give good nickel yields;

   4 LP24 "'f" "' er G <.." 'l'l. of 6o "" - - it had + @ 4necessary in most cases to form
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 7 'iron chloride with all the iron in the ore or a large part of this iron, and to work the iron chloride at least by 149 - Passing through mechanical furnaces (with stirring), often vaporizing this iron chloride or dissolve it, and work it after in some way.

   These products do not contain any teaching
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 "I) or1 'obtaining high nickel yields while avoiding the need for handling, or forming with the ore quantities of iron chlorides, or the like,
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 very large compared to chlorinated nickel
These known procedures have in many cases been proposed as being able to be applied without modification to
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 miPrais of oxides prepared by oalcination.



  Aims of the invention
Lateritic ores exist in ± standard quantities in favorable places, and in surface deposits that smell mined without great expense with shovels.
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 or excavator - s k steam. Near the northeastern coast of Cuba, for example, there are deposits believed to be in excess of only 1 trillion tonnes. These deposits probably include the largest nickel reserves.

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 du mone, but they are not yet considered as such because there is as yet no sufficiently economical method for the extraction of nickel.



   A main object of the invention is to provide a very economical method of extracting nickel from these ores, a method based on the discovery of certain particular properties.



   Other detailed goals still include; - Obtaining high nickel contents, by the solubilization of the latter up to 90-98% while making soluble, even at the beginning, only small percentages of the large quantities of iron present; - The carrying out chlorination operations in inexpensive stationary reactors constructed of iron, wholly or largely, which eliminates the convenience of dust, refractories, and furnace capital and labor costs rotary or mechanical furnaces;

     Obtaining extreme gas perfection - solid contact and countercurrent dentitions, and by ensuring complete efficiency and volume of the reactor and reagent use, while eliminating the need for briquetting, the need for '' have foreign binders, or agglutination, concretion, etc ...



   - Enables the production of highly concentrated washing solutions without evaporation or the use of mechanically actuated counter-current devices; - Produce solutions of nickel, first comprising a small quantity of iron, or at will almost free of iron, and obtain economical wet methods for separating cobalt from nickel.

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     Obtaining means allowing, particu- larly by virtue of the concentration of nickel solutions
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 o-enuas, to economically recover the combined chlorine which '=' is contained, under a gas farm that can be reused '' for chlorination, while the nickel is obtained under turns of oxide ready to melt without the need for intensive use precipitation products for nickel, and in this
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 O1 4'ideas and others, to obtain an extreme economy of use of chemicals.
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 Other objects of the invention will become apparent from the description which follows.
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  General description of the invention.



  The process generally comprises the preparation of the ore, consisting of drying to remove the hygroscopic water and usually com-
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 bin'e and preferably, but not necessarily, the reduced- + ir? t ore into pieces all of about the same size; this -1-raitem-n + can comprise the classification operations for the removal of the ore called "shot" and the C "ncPn-a1-r dow nickel in the material to be treated;

   near dry chlorination operations at 4 "1-c, r6es temperatures, in which large percentages of the 3sn + iiakel are cc ,,. i-, re-r4, is to chloride at temperatures above- gSS e 3C'T = 'decn'-és 0., e + usually much above 0 degrees C., while dP only small percentages of the iron present are converted to chloride, used + ion of chlorinating power of hydrochloric acid and the restrictive power of vapor, the strength of
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 maximum chloru-ration of gases having a correlation with te: érafi.n.re;

   the chlorination treatment can be ordinary, is not necessarily, followed by the treatment
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 with weak Aes? az plv. 9 (including oxidizing agents

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 possible in controlled quantities) and at higher temperatures, to destroy iron chlorides, etc., to sweep away the HOl, and, in some cases, to make the pieces washable, which, by protecting NiCl2 from the destruction, by maintaining a sufficient quantity of HCl, and if possible, of C12, in the az of destruction;

   cooling the chlorinated ore and washing it to retain solutions containing nickel chloride preferably, but not necessarily, by backwashing, with fiscal layers of chunks of chlorinated ore, to contain concentrated solutions, and then working the solutions for the nickel preferably, but not necessarily, by agents including heat, and the force of hydrolysis of water, for the recovery of the combined chlorine as mixtures gaseous hydrochloric acid and vapor which can be used in the chlorination process.



     Some of the most important remarks.



   (a) Differential chlorination -: As we know, NCL gas will chlorinate the iron content of lateritic ores completely or almost. This action has been used analytically, and has been made the basis of the processes. It has been found that the chlorinating effect of HCL on the iron content of these ores can be prevented or greatly reduced by the presence of appropriate amounts of water vapor - H2O gas. In this way it has been found that it is possible to chlorinate 90-98% of the nickel while chlorinating only a small percentage of the iron - rarely more than 15% and often less than 5%.



  If there is + rop OF water vapor, the CHLORINATION of nickel

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 to a satisfactory extent is also prevented. he
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 However, a sufficiently large range of gpzeusew compositions which can be used for the entire range of temperatures eV-oloy-4 es;
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 The maximum temperature at which the true chlorine
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 = differential ration is satisfactorily achieved is, with most ores, around 275 degrees 0. Better results are usually obtained at and above 300 degrees 0.

   Chlorination differs from T3 u-being started at lower temperatures, around 40 degrees O., but attempts are made below this temperature to complete the chlorination. ¯ of nickel generally result in
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 excessive iron chlorination and other adverse results
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 a .7euxl.
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 Fear gives? high nickel contents, the
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 cer-'ace by volume of HCl in mixtures of H01 gas and water must be brought to certain densities - Dour na particular ore and at partner temperatures, etc .., - but it has been found that the greater part of the HCl when combined by the constituents of the mineral will be supplied at lower concentrations.
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 high.

   This effect is so extreme that a demanding ore
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 gases containing about 50 volumes per cent IR01 move 03% nickel chlorination at 250 degrees C
 EMI8.11
 ('\ fi, zp.



  1511, 9 k 9 2 r-M -
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 ypt,. this temperature, when it is still / to remove ùt1 copl ± + e # in very dilute HCl - H20; steam
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 stinks escaping. The same Kinerai sees its chlorinated nickel content up to 40 <at this temperature before requiring az containing more than 12 volumes per cent of HCl.

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   (b) Reactivity. Nickel in natural lateritic ores has been found to possess the ability to react with HCL gas, under selected circumstances, as stated, which is seriously diminished by. heating at and above certain temperatures and for times which vary somewhat with the different minerals. The decrease in reaction power appears to be approximately parallel to the decrease in combined humidity below the figure achieved for ore processed by long exposure to a temperature of 190 to 200 DEG C.

   Cuban lateritic ores are not deteriorated by prolonged heating at 200-225 degrees C. for the last treatment at 190-210 degrees, but are slightly so, if they are for the last treatment at 250 degrees . But, if they are heated so little at 550 degrees, or for 10 to 20 minutes at about 25 degrees, or for 20 hours at 250 degrees, the yield after the preferred treatment at 250 degrees which, on fresh ore, would have been 90-94%, d0sdendra up to 40 - 50% and the yield following the preferred treatment at 190-210 degrees which would have been 95-98% will fall below (the 50 %, The water combined in the damaged ore is found in an amount ranging from 2.8 to 4.3% in the various cases.



     It will be understood that the reactivity which has been discovered is differential with respect to iron: the failure of the nickel ores to react with the HCAL gas almost completely, under conditions where the iron ores present react little. It is this relative or differential reactivity, which is lost by overheating, as stated above. The absolute reactivity is not lost; the nickel contained in the heat damaged ore will react completely with an HCL

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 strong enough and in sufficient time, even at 300,
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 -car er.er'ç '' e, but the, fe 'is also then largely, and even completely chlorinated.



  No hypothesis is advanced in accounting for this phenove- ne, which is most remarkable in that nickel often retains activity after excessive heat. (c) Pieces: Identical ores (unless they are charred, etc.) are notoriously powdery
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 when working them dry, and it is known that it is difficult to wash them afterwards, because it is necessary to handle huge volumes of sludge giving insi-
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 m-rif-binders.

   It has been found that these minerals can be broken up in various ways, without damaging the reactivity of nickel (such as by calcination) or without great expense or e: ene in the chemical part of the process (such as by biOUtae, by example with organic binders); that these pieces are sufficiently porous to react completely dead when they reach $ + pnt 15 mm in diameter and T: '! us; they are strong enough to withstand moderately careful meninulsticn, and to support their own weight in deep loads;
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 cn rufl i Ast the most remarkable, they support the washing P- ne in désaqxéqeai:

   not water, if they are hydrated and, as we said above, which allows filtering or washing. A flowable "sand" ge with high porosity and easy flow through wash layers.



   Various other observations will be described later in the specification.

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   Ore preparation.



   A preferred method for the preparation of ore chunks is as follows: the natural ore as it comes out of the mine is broken up by passing it through toothed rollers; it is fed, together with a quantity of pulverized dry ore, to one end of a horizontal rotating steel cylinder, provided at its end / inlet with an inwardly projecting rim! By controlling the rotational speed of the cylinder and the supply of powder, the material discharged at the other end of the cylinder can easily be made homogeneous in size. The discharge product is sieved; In an experiment, material smaller than 6 m / m and larger than 9 m / m was returned to the inlet end of the cylinder.



   Pieces of substantially the same size, comprised between 6 and 9 m / m 5, are then dried on a dryer similar to a straight line concretion machine; but of lighter construction due to the low temperatures involved. The maximum temperature of the hot gases supplied to the front box of the dryer was 2100 C., in one case.



  In order to achieve uniformity of drying and preliminary heating, the hot gases were sucked through the discharge end of the moving ore layer and then passed through the rest of the ore body. Twenty-five minutes were necessary for this drying and this preliminary heating operation. The ore discharged from the drying belt was fed directly to a chlorination reactor apparatus. This drying method fulfills the desirable condition of being able to easily adjust the drying time and the maximum temperature to which the ore is exposed.

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   In another preparation method, ore was processed from mines in Levisa, Cuba. This Binerai contained 18-20% particles larger than the 40 mesh friend + and 77% finer particles than the 200 mesh sieve. Matter bigger than
40 mesh was found in the form of hard rounded pieces, often called "ore in shot", and containing monk. nickel or fine particles. The natural ore was treated with water and the "shot" ore was removed by the well known means of water classification. This resulted in a certain concentration of niokel in the fine particles.

   The fine ore pulp was stripped from the water, filtered and the filter cake was dried at low temperature. The filter cake was then broken by known means to give the maximum of the desired size scale. pieces too large or too small, being returned and mixed into thick pulp ready for filtering. The pieces of substantially the same size were then subjected to final drying and pre-heating on a straight line concretion drying machine, AS above. previously described;
Definition of certain terms,
Hydrochloric acid, HCL, is not in this description the equivalent; elemental chlorine 012.

   When specifying me CL2, it is for a special purpose, entirely different from the purposes for which the HCL is used. Hcl would not perform the functions of cl2, nor would cl2 perform those of hcl in the process object of the invention
Latetitic ores often contain 6 to 14 kg of cobalt per 100 kg of nickel. The reactions

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 and the way cobalt behaves are for the most part very similar to that of nickel. nickel containing cobalt is very acceptable in many industries. The term "nickel" will be used in the description itself to denote the cobalt present, except where the context will not allow it or when the two are clearly different.



   Specific examples of the process.



     EXAMPLE 1
Minerailaterite from the deposit of
Pella Maria, near Levisa (Cuba), in the form of pieces with a diameter ranging from 22.5 m / m to 3.5 M / m and PRACTICALLY containing no "granal ore", was dried and brought to maximum temperature of about 175 degrees C. The temperature of the pieces was measured by a thermocouple covered and embedded in the mass. The dried ore contained 49.7% iron, 10.9% alumina, 2.17% chromium, 3.2 silica, 1.57 nickel and 8.7% combined water.



   The pieces were placed hot in a vertical iron tube, supported on a sieve at the bottom of the tube. The depth of the charge was about ten times the diameter. The tube was protected against any cooling and maintained at a temperature ranging from 265 to 27µdegrees 0.



  Steam was first of all passed through the ore charge containing a mere trace of HCl on arrival and coming from other reactor tubes carrying out the same treatment. The ore charge showed only slight resistance to gas flow; The outgoing gas consisted of steam released from HCL. Of these gases progressively richer and richer in HCL were brought to ENTER and reached 50 to 55 percent HCL volume after 40 minu. your. When traces of HCl appeared in the gases

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 outgoing, the latter were brought to pass through a similar load of another tube. Full force gases were blown through the tube for two hours.



   A sample of the chlorinated pieces then showed 90.2 water soluble nickel as chloride, only 2.82% of the total amount of iron was soluble. Of these 2.82%. 1.28 was soluble as iron chloride and 1.54% as ferrous chloride: d vapor containing only a small percentage of hcl was then blown through the feed, about 10% HCl at the start, to finish around 1 to 2% in a few minutes. This + raiterent lasted 30 minutes. The gases used for this treatment were the gases leaving other reactors carrying out the treatment.

   The gases leaving this operation, which is called here treatment for the destruction of chloride or hydrolysing treatment, were then passed over relatively fresh ore, ore which had not yet been under the influence. gases as strong as these output gases from the hydrolysing treatment.



   The nickel in the charge was then of the same schubility as before. There is no trace of ferric chloride. The ferrous chloride found previously was virtually identical. The load CONTENAILT OF HCL which WERE "flooded with hot flue gases at low + ENEUR in oxygen.



   The charge was then removed from the reactor - from which the pieces flowed easily - cooled and LIFT counter-corrected with water. The resulting solution contained 3Bn7% solids. The solids were crystallized by evaporation and consisted of nickel chloride and iron.

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   The cries +, waters were placed in a muffle furnace and heated to 550-650 degrees C. Air was sent and brought into absolute contact with the solids. These were converted into nickel oxide and Fe203. The outgoing gases contained, by volume, 49% HCl, 42% H2O, slightly more than 8% nitrogen and a 1% fraction of oxygen.

   These gases were used again in new chlorination charges and were about the same effective in chlorinating nickel and in preventing the chlorination of iron, as a mixture of 52 volume5 percent of HCl and 48 steam;
The mixed oxides were smelted with ferro-nickel. fXFMPLF 2
An ore similar to that used in the example was dried and brought to a temperature of 250 DEGREES c7, in a rapid stream of hot gases the temperature of which did not exceed 360 degrees. The ore was processed as in Example 1.

   The maximum strength of HO1 was 49 volumetric percent, the rest of the gas was vapor. After treatment with this form of gas, for two hours, a sample was analyzed and demonstrated that 95.5% of nickel was soluble as chloride; 4.4% of the iron present was soluble as ferric chloride and 2.1% as ferrous chloride. A small amount of prop aluminum present as chloride. The chlorinated ore was alsore treated with dilute GAS as in Example 1, for 30 minutes. The nickel solubility was then 93.2% almost the same, the difference was TRUELY due to the difficulty of precise sampling.



    0.6 of the iron present was soluble as ferric chloride and 2.2% as ferrous chloride. There is still a little soluble aluminum \ After cooling

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 p + 1, ra7 as in Example 1, strong solutions are obtained. Most of the combined chlorine in the solution was recovered as H2O gas and reused for the chlorination. The solutions contained in! 3} \ "Sld .. more iron / nickel proportion than could be obtained from the analysis of the sample. At least% ¯ Aq was found. This was partly due to the 11HOl contained in the ore which had dissolved in the washing solution and had reached the ore to a point when the solution had concentrated.

   In one operation, residual HCL had been partially removed by ventilation; in another, by continued application of vacuum, which can be watched. as a form of ventilation,
Although operations have been stated to be carried out at? FO and 270 degrees with fixed mine charges, it is usually preferable, when working at these temperatures, to do with a flow of ore. almost continuous, and discharging chlorinated material from the acon to decrease the risk of damaging the ore which is flowing into the drafter and waiting to be processed.



   .At 50-275 years, the evolution of the combined water from the ore during the chlorination dilutes the acid gases and special care must be taken to ensure that the gases have the desired strength in the mass. of ore, EXAMPLE 3
Oct the example sleeps several samples of this disastrous result given by heating a particular sample of ore for too long and, (or beats) at too high temperatures before chlorinating at around 250 C. In each example, the ore and the procedure is as in Example 2, except that

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 concerns the pre-heating and drying operation.



   Sample A was steamed to 250 ° C. until the combined water content dropped to 6.5% the solubility of nickel resulting from said chlorination treatment was 69%.



   Sample B was heated to 250 ° C., until the combined water fell back to 3.7%, After the chlorination treatment, the solubility of nickel was 44.5%,
Sample 0 was heated in vacuum at 250 until the combined water descended to 4.29%. The solubility of nickel was found to be 56.4%.



   Sample D was heated to 55 just long enough to be sure the ore really reached that temperature. The combined water reached approx. 1% nickel solubility was found, after chic. ruration, 35.2%.



   EXAMPLE 4.-
A certain batch of lateritic ore was reduced to pieces 6 m / m to 9 m / m in diameter, then dried in a rapid stream of waste flue gas containing a lot of oxygen. The maximum temperature of the drying gases was 2200 ° C., the ore then contained 52.3% iron, 1.78% nickel, 0.13% cobalt of 10.0 "% combined water.



   The hot ore is brought directly to the top of a reactor consisting essentially of a vertical iron tube, and there meets a stream of steam exiting to the waste. The reactor is protected against any cooling. The ore column = filling the reactor descends slowly as it is drawn from below. Going down, the ore sees its teniperature increase until around 195-210.
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 aevienT)

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 r.xo = ÇirRmen ": pl'JS rich in HCl and contains about 28, C '' ', \: !!, ps tie one hundred E01 at point B.

   At a point in the tube where mlinr = a5 has been exposed to 20 voles percent HCl, the so-? 2bi? .I- d-nickel is 56 percent; when exposed to "'P vo" mers ent 1'H01, the solubility of nickel is -Q01e>. Pr3s exposure to 28 volume percent HCl, the solubility of nickel is 95.8%. At this stage 4.92 of the iron + otal is present in the form of ferric chloride and 0.89 in the form of ferrous chloruff. Chlorinated ore contains 2.51% chlorine insoluble in water, which is
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 due in part to the presence of ferric oxychf & e FeOCl. Less than 41 of the total iron is found under this formal A sample
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 taken through a test opening at B, and washed with water results in a sludge.



   The B to 0 section of the reactor was doubled and CONTAINED an internal 10 heating coil.
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 ru 1: 9.T + internal erren and the coil are provided with aren; e device of heat and steam distribution 1 == ov ± nant from source # not shown. In this section, the temperature of the ore is raised up to Z70-a90 G. Des é µ - = n..iijo = s of mir.eai, xetir3s in 12 show that there is no fer- chloride. ique, ni oxyoh] Eia ferric, or only uncertain tTac = 's.

   Chlorine insoluble in water does not reach -paq oN 1%? Nickel and chloride, ferrous are found in mother quantity than in the sample withdrawn in 14. hcl and the vapors recovered from the solutions of the washing of NIGKEL CHLORIDE as described are BLOWN into the apparatus by the opening 14, and join the neck
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 As "1'9 '! 8.Z rising. A diffuser, not shown, spreads 1"' s; az amends in the upstream.

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   The section C D of the Reactaur must be made of a ferrous alloy of chromium and nickel 18-8. At 16, the gases extracted, according to the wishes, from the connections 18, 20, 22 of the pipe confrere by a valve along the section
A - B are blown there by a 24 fan. The connections are changed when necessary; so that these gases contain 8 to 12 volume percent HCL. Elemental chlorine is blown with these gases in small quantities, controlled so that the chlorine disappears in 1-, current rising around the inlet opening 12.

   At 24, a fan forces the extracted gases, as desired, from a second series of valve-controlled connections 26, 38, 30 even higher along section A through B, adjusted so that HO1 reaches a volume percent of about 2%. The volume of gases introduced at 16 and 24 is adjusted so that the rising gases at B reach about 28 volume percent. The ore is removed in D through a gas-tight door, not shown. Analyzes of samples show nickel chloride of the same nature as in B, and the absence of ferric chloride. Ferrous chloride is present in the form of eraces; 0.00045 to 0.00063 of the iron present is soluble as ferrous chloride.



   The ore will contain HCL, some contained in the porosities of the pieces and in the interstices between them, some may be contained in other unknown ways. The flue gas contained in small quantities in the oxygen is quickly blown down the pieces of ore for a few minutes in a separate container, which entrains this HCl. The ventilation gases pass over fresh ore intended to be fed into the reactor, at A, and the small amount of gaseous HOl is absorbed by the ore.

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   The pieces are then washed with filtered water while countercurrently. They don't fall apart. The washing is carried out in a series of concrete tanks with false bottoms the solution being pumped from one tank to another,
Solutions thus obtained contained 34.7% of parts
SCLIDES.



   In a laboratory test on an ore, sens-
ONLY free of manganese, under conditions similar to those previously described, 10OKgs of nickel were found; 7.99 Kgs of cobalt and 1? 52 Kgs of iron. About ten percent of the solution was drawn out of the remainder. The iron in this 10% was oxidized with calcium hypochlorite and the metals in this part all precipitated as carbonates and hydroxides in known manner. The above was washed, and added to the whole mass of the solution. Chlorine, C12, with a slight trace of bromine, was then introduced and the solution stirred.

   All the iron and cobalt in solution were precipitated, the iron as ferrious hydroxide, and the cobalt as cobalt oxide or cobalt hydroxide. The above was granulated and easy to filter. It contained basic nickel carbonate, which removed by stirring with fresh washing solution for similar purification.



  The aforementioned T, e was then washed, and the washing products. employed in preparing mixed carbonates and hydrfoxides for use as precipitating agents in FOUs; subsequent batches. The above contained only iron, small amounts of aluminum and cobalt, and was commercially free of all nickel. It was melted with ferro-cobalt. Another batch was refined until obtaining pure cobalt oxide by known methods.

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   The solution now containing neither cobalt nor iron, but diluted slightly, and not contaminated with NaCl, 3 CaCL2, etc., (as would have happened had it had or treated by ordinary methods), was then evaporated and Nickel chloride was thus crystallized. The hydrated scraps were calcined at low red heat in the absence of air. Nickel oxide and a mixture of
HCAL and H2O gas were thus produced. The gases were drawn back towards the reactor. Some of the nickel oxide was smelted into metallic nickel, and some was used to make nickel-chromium alloys.



   FYFMPLF 5
This example gives various results of the effect of using stronger acids than necessary or desirable.



   A - In one test, the nickel solubility of 92.6% was reached by chlorinating for 2 hours at 2500 c with 60 volume percent HCL. The chlorinated ore contained 1.65% iron as ferric chloride, 1.86% iron as ferrous chloride, and only a trace of FeOCL. This result was roughly satisfactory as seen by the other tests, but less iron would have been chlorinated with somewhat weaker acids and the solubility of nickel would have been just as good.



   B - In a further trial 90-95% HCL was emitted. bent at 250 degrees. The solubility of nickel was only 58% after two hours. (The sample had its combined water reduced to 3.8% before chlorination). The chlorinated ore contained 20.3% FeOCL. 34% of the total iron was chlorinated.



   C- With strong HCL (90 to 100%) at 2250 in two hours, on fresh ore, 40% of the iron was chlorinated.

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  D - the operation at 270 degrees with 70-74 uonr cen volumes of FCl gave a solubility of the nickel substantially the same as in Example 1: 89.7 5. But the iron chloride had increased, and amounted to 6.8 instead of 2.82% of said Example 1.



   F- In another test showing the bad ef- fects of an acid stronger than necessary, 38 volumes
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 100% acid had been used at 190-200 0. The nickri was + soluble at 93. 27% of the total iron was chlorinated.



   F - The ore was chlorinated for four hours
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 at 0-lOo C with 50 percent volume of R01. The nickel was completely chlorinated, and the iron 85%. Of the amount of 'and present, 48% was as FeCl3, 6%
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 FeCl2, and 33 FeOCl.



  'ry1i'1fDtF 6 This example shows the gas effects of forcing
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 insufficient chlorine.
A - Acid gases containing about 10 to 12 percent HCl with equilibrium vapor have
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 After testing ore samples (with intact reactivity) at various temperatures and for different times, the following results were obtained:
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<tb> Time <SEP> 3 <SEP> hours <SEP> 44 <SEP> hours <SEP>
<tb>
 
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 mid -e a5 degrees? 25 degrees
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<tb>% <SEP> of <SEP> nickel <SEP> soluble <SEP> 52 <SEP> 54
<tb>
 
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 m - Similar op2'ra-I.-ions were made still a., very with? 0 volumes for acid, with the 8, liva .It:

   
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<tb> Time <SEP> 4 <SEP> hours <SEP> 20 <SEP> hours
<tb>
<tb> Temperature <SEP> 190-300 <SEP> C <SEP> lgo-2000 <SEP> 0
<tb>
<tb> of <SEP> nickel <SEP> soluble <SEP> 44 <SEP> 64
<tb>
 

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If the gases are not strong enough to chlorinate nickel in a few hours satisfactorily, chlorination carried out continuously with gases of the same strength will not improve the results immeasurably. load-bearing, in the temperature scale where the attack is differential satisfactorily, as between nickel and iron.



   Chlorination below about 190 degrees.



   Chlorumination at temperatures substantially below 190 degrees + end to excessive iron attack; the differential character of the chlorinating effect of the HCL-H2O vapor mixtures gradually decreases as the temperature decreases, being lost, finally under the essentially non-differential effect of the aqueous HCL solutions.

   This observation applies particularly to the ratios of HCL-H2O capable of producing good nickel solubilitiesa and with the times required to obtain this result, the loss of the differential effect is somewhat diminished by the presence of large amounts of nickel. other gases than HCL and H20, for example nitrogen, in one case, in one hour and 30 minutes, in a reactor tube maintained at a temperature of 135 degrees, 28 percent by volume of HCL n ' produced, that 57.9 of the solubility of the nickel alks that 53.4 of the iron present was chlorinated more than undesirable result. The pieces of ore had become wet.



   Prolonged treatment (20 hours) with 14 volume percent HO1 in a reactor tube maintained at 180 degrees gave only 72.6% nickel solubility, and 52% nickel solubility. The pieces of ore were getting wet, although it had only been processed for 12 hours.

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  In the temperature scale below about 190, continued chlorination with o-az d.'H01 -! Fa last / as a result gave water condensation, and in such quantity that the pieces The ore became soft and pasty, consisting of a spongy ore residue impregnated with saturated ferric chloride solution. Operations producing this result do not
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 are not recommended.9 and are not to be classified under the term "in the dry manner". Rapid chlorination below 100, with rapid rise in mid-temperature.
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 ne = a, 1, is sometimes cepddari- dsian1ep.

   For example, 8.'1] '' '' '0:' np. chlorura + ion of medium rapidity, the ore dried to 91-oo and cooled, for example during the journey to ra.ctev¯r, to about 160-1? 0, will rapidly increase in temperature up to below 190, thanks to the heat of reaction and the heat of the gas stream, etc.



   With ore whose reactivity of the nickel content has been reduced by too long heating, or has
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 + -r-piratures high, or pa7- natural causes, such as metamorphic effects, so that we have obtained "'in: Element9 not satisfying by the metals. most popular methods, we often obtain good
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 In addition, the chlorination of the :: 6 = below the oipéndaflt for a long time is co-enforced and continued. The chlorination of the iron is then more intense than by the preferred method.
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 a fi'e case; employing 52 percent HCl and an externally heated reagent by steam, and treating the material with combined water reduced to 3.8%, a nickel solubility of 3.8% was obtained. 96.2%.

   The ore
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 chloride contained 19 FeOCl. 30 da iron was chlorinated. In other cases, we have obtained solubilities of

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 86-93% nickel with 15-20% of chlorinated iron. The operations which have just been described are expensive and it is advisable not to carry them out except for the slowly reactive ores of nickel, as they are extracted.



   Effects on the heating of completely or partially chlorinated ore, and on the heating during chlorination,
When the chlorinated ore at 190-2100 C., for example is subsequently heated, in the absence of any gas coming from the outside, the combined water which is gradually degane reacts with the aluminum chlorides and iron (little appreciably with ferrous chloride or nickel chloride), and produces HCL.

   In one case, heating the ore would hydrolyze to about 210, and gases containing more than 60 volume percent HO1 were vented during the temperature rise from 220 to 230 (in the process consisting of; heating at higher temperatures). These gases are of an undesirable force for this temperature; they produce FeOCl and increase the production of ferrous chloride, which is not beneficial.



    In one case, on heating up to 250, ferrous iron in the chloride form increased from 0.64% to 1.16%; in another case, on heating up to 300 the ferrous iron in the form of chloride increased from 0.84 to 4.40% - most undesirable result; in both cases, the amount of FeOCI in the ore was more than doubled.



   It is important, when the temperature of the partially or totally chlorinated ore rises, to be able to control this effect. As we have seen (example 4), this is done by supplying az HCL- H2O which dilutes the gases drying pieces of ore to the desired concentration,

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 or even below, which restores the concentration by stronger gases from outside.

   This last process protects
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 cn.J..rlO 'superchlorination - unnecessarily increasing the amounts - iron chloride during the rise of' f'Pl ?? r6 '!' 'are, it is usually preferred to operate in this way; aciQvan- the chlorination of nickel before raising the temperature (except the natural rise during chlorination; rr / Éce auz heats of reaction, a few rapid degrees,
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 sou1T "! nt \. nn can, however, use the effect which is in
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 globs + 9ncb the concentration of Xi. One then treats, at 190- ln deqr4s, for example, with az giving rather the lowest yields desired, namely 23-25 volumes for csnt.;: 'PCI and nickel solubilities, for an ore particular, about 88-90.

   The temperature is then raised by passing limited quantities of ilus gases derived from the last phase of hydrolysis or destruction of? chloride so that as the temperature rises
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 the minerei Psi en70uré of stronger gases, coming from the mixture of the HCL which occurs by itself with the diluted gases, In this ++ = way we increased the percentage of the
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 90hilit of n-lok? L until 97-98. The operation requires very serious control to avoid the increase of ferrous chloride and FeOCl; when either of these appears to be detrimentally increased, the flow of dilution gases is increased.

   With large pieces, especially with a rapid rise in temperature, either by the heat of reaction or by external heating, strong HOI gases can be produced inside the pieces and superchlorinate the piece. ore before the gases produced can be diluted to the desired strength by the gases flowing around the pieces.

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 This effect can be controlled by employing smaller pieces, increasing the speed of the gases, and slowing the rise in temperature. It will be understood that the effect can be used in conjunction with a slow and continuous temperature rise during the chlorination.



   Temperatures during the chlorination process.



   As we have seen, the chlorination of nickel often takes place entirely and always in part above temperatures around 1900. The lower limit is set by the excessive formation of chlorides other than that of nickel and by the last humidification of the ore at the lowest temperatures. The upper limit of operations is usually fixed, partly by the fundamental properties of the chlorides of iron, Fecl3 and FeOG1, and partly by the kind of the particular ore involved. At about 290-310 degrees 0, and above, nickel, in most ores, loses the ability to react with HCL of desirable strength, quickly enough to interfere with operations.

   High solubilities and high yields thus cramped the use of very strong HCL gases, difficult to recover from washing solutions, and the use of these strong gases results in excessive attack of the iron. Excessive iron attack is caused at these temperatures by the volatilization of FeCL3 and even FeOCl in the strong HCL gas stream. This invention does not relate to the operation with high volatilization of the iron content of the ore.
Some ores lose the reactivity of nickel when they stay hot much faster than others; this characteristic is easily detected by a simple test.

   Minerals of extreme heat sensitivity must ordinarily be chlorinated at 190-210

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 -or-sai-le -1-oil-jo-urs below 235 or 225.



  Precautions to. Aim to destroy lTi (1l-2¯.! ¯f¯2 - 'izing FeC12. Etc ..- In order to c' = 'avoid destroying Niol 2 by the reaction NiCla H2 = Nio 4- 2HOL i '-s4- r-ces8aire that the vareur or gases H 0 - H01 which -lilute in HC1 used to destroy FeC131 etc. .., contain at least the minimum quantities of H01. -4¯The minimum required feels higher when the temperature is higher, and feels somewhat variable following
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 minerals.

   Around 275 C., for
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 the "ai.7r": in "'s very fast, a vol'me percent HOl in -, rower if often. for pro: 5er Ni012 'although it is, usually more prudent to use 5 to 10% when other gases than HO1 and H0 are present, pEI. "e7er ..- ole of C12 or oxygen , to participate in the ies + Tuction of FeCl2 (and when oxygen is used, or air has it), the proteetian effect of X61 on NiOl 2 is? iruuated, and one em-, oloyer in proportion more Hol than 1a. '! "E; U1'.



  Nickel chloride is also susceptible - '! The effect is usual with oxygen. The effect is usual at around 275-Zo0, but becomes protracted at high temperatures. It can be protected against this + effef by the rz, -4ser-ce e small quantities of 012-
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 It is possible to heat the chlorurà ore
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 of excess. those given in the examples
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 above. When taking greater precautions
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 must "be pl> ise6 to avoid the destruction of the chloride
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 nickel. If we pass air over the ore to
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 high tefup9xas, elemental chlorine, 01 2 'must

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 ê + re present to protect nickel chloride from oxy- da + in. Cobalt requires even more chlorine to prevent oxidation of its chloride.

   If, as we usually do, we want to recover the cobalt, and we use oxygen (air), we should use 012 even around 300.



   The cost of the operation is significantly increased by the use of + empéra + ureélvées. and it is better to dp avoid them. It is very rarely justified to operate at temperatures higher than 350, and most often the phase of destruction of the chloride is carried out well below 300.



     Use of oxidizing agents during the chlorination operation.



   Oxidation agents - CL2, or oxygen (air) - may be kept present and be somewhat active during the chlorination process, distinct from a recent FeCL2 destruction operation. There is no small advantage - if there is one - in doing so. If the CL2 is used, the cost of the device is increased.



  Oxygen is most effective at elevated temperatures, suitable for the rapid destruction, by HCO vapor sufficiently diluted in HCl, of all FeCL3 - best well above 250 C., as is indicated.



   Additional notes on the destruction of WeCl2.



   ----------------------- As indicated, FeCL3, ALOCL3 and FeOCL can still be destroyed, without damaging NiCL2, by increasing the H2O and reducing the concentration of H01 - for commercial stiffness best at 250-275 C. Ferrous chloride requires an oxidizing agent as well. Oxygen has advantages over chlorine,

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 s- "c''3. '' r? n at temperatures above the raacticn of the nacon method, does not occur, in that it allows the em- j of -eao + them entirely in iron; with the 012 $ the p + "fIPS exposed to Cl 3 are preferably made of a ferrous alloy of chromium and nickel.

   But, with oxygen, we must take into account the influence of residual nitrogen by reducing the activity of H01 by increasing the activity of
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 H'0, cor.-.- we have it d4c1 + on the other hand. To avoid this, sometimes we destroy almost all of the Fecl, AlCL3, and FeOC at first, then, we then process in a stream.
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 gas separated with air and HGl - H4 gas diluted dpns Hcl to destroy Fe012 'by passing the gases through this phase around the main areas of obloruisa4-.irn, eleva- ticn d- temperature and hydrolysis, and st adding these gases to the main stream when decent lower in HCL.



   Effect of pressure, vacuum and other gases
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 that FC1 Ft of the water vereu--.



  In most cases the operation is recommended
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 Atmospheric nressirn. Superatmospheric pressures can be used, but the expense is reduced. When operating at superatosT '\ l' preassion:. 4iQ.ue; the relative activity of H01 gas is greater e + that of gas X 2 o is less than e under atmospheric pressure Likewise, the operation can be carried out at reduced pressure, but this is also seldom to be desired.



  At reduced pressure, the effect of removing the H2O gas is reduced.
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 lativerer-1- av: erté, and the chlorinating power of HCl is ra1 @ tive! '. <1ent decreased. At pressures above or below atmospheric pressure, changes in the activity of the two agents can be easily controlled.

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   The present gases other than the two essential ones simulate the effe of reduction of the total pressure. This case is often encountered in practice. When large amounts of gases other than HCL and H2O are present, for example N2.00 2 (more rarely O2, CL2), the ratio of HCL to H2O must be adjusted. It must have more HCL gas in its proprtion compared to H2O gas. A good general rule of thumb for pre-tuning is that the square of the percentage by volume of HCL gas in the diluted mixture, divided by the percentage by volume of H2O gas in the diluted mixture should be squared of the percentage by volume of GAZX hcl in a mixture satisfy UNDILUTED DIVIDED by the volume percentage of H2O gas in that undiluted mixture.

   We often need more HCL. This caloul is seldom necessary; it is usually sufficient when changing from pure gases to dilute gases, to increase HCL and decrease R 0 slowly until the results are obtained.
2 satisfactory conditions. One must also guard against high dilution with H2, CO2, etc., and consider as an important feature of the invention the possibility it offers to render this dilution unnecessary.



   Gas force adjustment - replacement of HCL
Hydrochloric acid gas, produced by any known means, and used for waste replacement is generally too strong to be used without dilution.



  Gases containing hydrochloric acid recovered from the calcination of nickel chloride, etc., are also often too strong. It will be understood that steam, or steam containing HCl gas, is always available in the process of diluting these feed gases at the appropriate strength.

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  Fn performing the chlorination phase at any + e; n4a + ure palicuiiére, or in a temperature scale
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 Res particulars or advises to start with gases of a
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 However, this will be somewhat less than what is believed to be necessary for the desired yields. For example,? Or at a 7C '! T'mes percent of HOl at 190-210 0., or 35 40 volumes for cen + of HCI 4x around 250 (the balance of Mez state-t of H 2 0 ), and then, when the ore
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 chloride passes and can be analyzed, we increase slowly
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 l7se in the FC1 content of gases. from time to time, which / does
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 easily, for example, by reducing the return of diluted gases coming from more distant points on the path of discharge of the chlorination gases.

   In this way, with a
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 particular mirerai, apparatus, drying conditions,
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 at rates of az, etc., the optimum az concentrations are easily controlled and the desired yields of rickel obtained with maximum differential chlorination eifet, that is,; .ire -a minimum chloruraticn of iron.



  Resistance of the pieces to the deactivation effect of water, af9c "not the maximum temperature and the presence of iron chlcrures. Romm; or '¯' in chlorinated mo-waters in the surroundings" "0 to '7", or treated at or above these temperatures or above. OhlorursLticn does not inconvenience 1: 1.'. 1 wash, reg = orcels of chlorinated ore at 190-210 se d / qan + 4-, usually washing and, if it is desired to obtain the benefits of the laaqe by filtration and the production of little friB in strong solutions, then the pieces must be heated to high temperatures.

   Mor-
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 These r ^ a'Suits from 110 to 2350 are so sensitive to water, fh particularly if we have obtained a very j-s01Uability of the

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 nickel, for example by using somewhat higher HCl forces than necessary. The chlorinated pieces can still be made resistant to washing by the treatments described; that is, by raising the temperature and (or else) destroying the foreign chlorides.



   Drying times and temperatures - Possibility of varying ores.



   With the ores treated in the examples given, the damage caused to reactivity by the stay in heat was zero at 150 ° C., negligible around 200-225, slow at around 250. and very fast around 300-325. The damage is rapid around 225 with all the ores that have been tested, but the temperature at which the loss of reactivity begins with the stay in heat is variable. never found it low enough to interfere with drying for the 190-225 treatment? In some cases it is excessively slow at 250. The safe temperature can easily be found for each ore.

   During the operation, it is good to make the drying time as short as possible, and to raise the maximum temperature by? drying gas from time to time, until the nickel solubility decreasing beyond the desired point gives an alarm. It is usually preferable to reduce the maximum temperature of the drying gases by a few degrees and then to stabilize them. The costs of drying and heat consumption are saved by drying at the highest temperature compatible with the desired yields.



   It is generally desirable to entrain, in addition to the hygroscoic water, as much combined water as possible without decreasing the differential reactivity to nickel under the particular operating conditions. With an installation

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 in stationary operation, giving satisfactory nickel yields, it is often desirable to increase the quantity of combined water to be carried away by small quantities; until the nickel yield begins to decrease, usually by increasing the drying temperature, and better, if gold can have greater drying capacity, by increasing the drying time and increasing the depth ore bed onto the belt or dryer grid and increase its speed.
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  "'ores containing calamum carbonates and 2: 6 mao'nesium? Most lateritic ores do not contain traces of this calamum and magnesium in the form of carbonates or in any other form. Some ores are
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 in +? tmédiairé6 between laterites and garnierites, or nickel silicate ores common to New Caledonia
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 donie. These marniérites usually contain a lot of calcium and magnesium as carbonates, or under other ferras - :? i1en: en 'attacked by hydrochloric adide in the process of operation p - steps for the setting. The full advantages of this invention np 5T '' * 'are realized with such ores; unless decomposing, by known means, the calcium chlorides and ": e - rrrrnssiun.



  Kirerpis approaching the garnierite type are often very dense and non-porous and require fine grinding. Furthermore, these ores are often so rich in nickel that it is more profitable to process them by known direct smelting methods rather than by the present process.

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   Treatment of washing solutions.¯.



   An overview has been given of the preparation of solid nickel solutions free of any iron, aluminum and cobalt, as well as of any products composing the precipitating agents employed in the conventional separation and precipitation of the metals contained, such as chloride of sodimor calcium chloride, and the nickel oxide production of these solutions was shown without the use of chemicals, and with recovery of the HCL and H2O gas mixtures ready for reuse.



   The niokel solutions can be worked in other ways, for example preparing nickel sulfate for electroplating. To do this, nickel chloride is crystallized from the strong solution and the orixteaux are treated with sulfuric acid, entraining the HXL and H 0 gases of appropriate strength for use in the chlorination. 2 When the ore is low in cobalt or when the presence of cobalt in the nickel product allows it, the iron and aluminum can be separated only from the original wash solution.

   In doing so, the iron is first oxidized in the solution of the erric state, and it is then precipitated with carbonate or nickel hydroxide prepared from de-washing liquors, or from a part. the main solution,
Lateritic iron ores often contain up to 500 grams of manganese for 1,500 grams of nickel and most of this manganese will follow the nickel in the process. Manganese can be separated from nickel by known methods.



   The preferred methods are particularly advantageous in that they avoid the need to introduce sulfur in any form at any time.

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 , a l ', n3-.alin, and rerr.:eten- thus to' break in nickel and nickel alloys freed from all impurities without using, ¯, special considerations for this + 4.th elimination, 'Ventilation. for example, when preparing sensitive solutions
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 sibleB'n- free of iron, and to destroy desired iznr chlorides at around? 75, the chlorinated ore is ventilated to admit HCl.

   This is important, but is heavoeoup at high temperatures during the destruction operation, chlorides; we keep less and less
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 This is Ia'f 1 in the ore as the temperature rises. countercurrent nnératien potant on the economy 1 PUI.



  It is considered of the greatest importance to discover
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 / t3i + / ±, f .re = "e fite that, while the ^ az of a certain maximum force rU \ '" ma are n'cess.ires at a given temperature to perform a high percentage nickel chloruratlen%, we can ao- complete the work with all forcing less gas,
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 e-1- t: QPLY'aT.? 'f' also important the provisions of the reversal for 1- treatment of chlorination first with dëo it is very much done -in vcred, of simple steam - , then sucks6ivern + with increasingly strong gases up to the maximum jU1t necessary for the particular conditions o-yt.trai, ¯raa- azdE88tt7.8 of 20-25 percent volumes, even at 100-310 C., rareKen above 60 percent volume, even around 250-2700.



  Because of the return of supply of the diluted gases used in the chloride destruction phase, and (or else) in the dilution of excessively strong or recovered HCl produced, the chlorination operation may not be
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 srict .r. ^ nt to c0nDOoat, but it is considered possible to define it by this term.

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   Also considered very important are the arrangements required to allow perfect gas-solid contact in the backflow, and hence the effective exposure of the minus with each gas force progressively increasing.



   It is easily understood how the fixed reactors are interconnected for gas flow, and that the gas connections are changed from time to time, so that the countercurrent burst conditions are obtained although the ore either fixed. The same comments apply to the interconnections and fluid flow between the wash tanks.



   The words "to bring the ore into permeable pieces" which feel employed allude to simple operations of sifting, or of grinding and sifting, which can be applied to clumped ore, for example, by natural actions, such as cooking auccolsil, provided that the clumped ore is permeable.



   The term "drying" as employed tends to include the preliminary heating which is necessary to bring the ore to its initial chlorination temperature. This preliminary heating is usually a by-product of the drying process. In hot climates, the ore dried at the surface by the sun may hardly need to be dried, being almost free of all moisture. In this case, the operation called "drying. ", immediately preceding the chlorination phase, can be used as preliminary heating.


    

Claims (1)

EMI38.1 EMI38.1 REVENDICATIONS EMI38.2 -:-:-:-:-:-:-: 1.- Procédé de krai'-ement des minerais laté- rit-iques pour la tµcu-oã:1;n des valeurs de nickel y conte- EMI38.3 nues; comprenant la chloruration du nickel à peu près à sec EMI38.4 avec u '1 caoeùx comme aent chlorurant essentiel et du EMI38.5 EMI38.6 H 0 gazeux coms'e arnen'- de retenue essentiel; en concentratt ticns relatives contrôlées en ce qui concerne la tempé.- reol-u""o dr chlo'-uration et ensuite la séparation du chlorure de nickel du mine?ai. CLAIMS EMI38.2 -: -: -: -: -: -: -: 1.- Process of krai'-ement of laterite ores for the tµcu-oã: 1; n of the nickel values contained therein EMI38.3 naked; including almost dry nickel chlorination EMI38.4 with u '1 caoex as essential chlorinating agent and EMI38.5 EMI38.6 H 0 gas coms'e arnen'- essential retention; in relative concentrations controlled with respect to the temperature of the chlorination and then the separation of the nickel chloride from the mine. 2.- Dans un procédé tel que revendiqué en 1, la r4j,j:inn d." minerai en moreaux de dimension perméable; aTrar chlo-uration, et la chloruration d'une ou plusieurs pacti-s de ces morceaux; les o-az étant envoyés systématique- ment a, travers les interstices de cette ou le ces parties desomorneaux. 2.- In a process as claimed in 1, the r4j, j: inn d. "Ore in pieces of permeable dimension; aTrar chlo-uration, and the chlorination of one or more pacti-s of these pieces; the o -az being sent systematically to, through the interstices of this or these parts of theomorneaux. :3.- Dans -,n proc3dé tel que revendiqué en 1 ou 2; le 3ec'zarne 1 miner-i et son acheminement vers les tempéra- -&, o8 ^La cMc-uration pendant Que la réactivité naturelle du nickel est maintenue sensiblement la même, grâce au con- EMI38.7 trôle du tmps de séchage et des températures de séchage. EMI38.8 : 3.- In -, n process as claimed in 1 or 2; the 3ec'zarne 1 miner-i and its routing to the tempera- - &, o8 ^ The cMc-uration while the natural reactivity of nickel is maintained substantially the same, thanks to the con- EMI38.7 control of drying time and drying temperatures. EMI38.8 4.- Danà un procédé tel que revendiqué en7., 2; et ; la chlorqol-i0 du nickel à des températures inférieu- ps à 7ono envi-en, et, au mo::.ns1ps:e.dant la majeure partie; aU-d?'9SUS ?A lQt"I-1QO C. 4.- In a process as claimed in en7., 2; and; nickel chlorqol at temperatures below about 70%, and at least most of the time; aU-d? '9SUS? A lQt "I-1QO C. ¯ pans ur procédé tel pue revendiqué en 1; 2, p- 4, 1 . destruction au moins partielle des chlorures in- i,1,--qes fe es pendant la chloruration par le traiter .eut u1"'.: 2'" i '?"Cr à sec tout en protézeant le NiÙL2. ¯ parts of the process such as stink claimed in 1; 2, p- 4, 1. at least partial destruction of the chlorides in- i, 1, - qes fe es during the chlorination by treating it .eut u1 "'.: 2'" i '? "Cr dry while protecting the NiÙL2. 6.- nana un pocé3é tel lue revendiqué en 5, l'ac- cOi3seen.L 0 t-aiterent suivant à des températures, au EMI38.9 moi#s èi11ehent, au-dessus de ?40-250 C. <Desc/Clms Page number 39> 6.- nana a pocé3é as read claimed in 5, the acOi3seen.L 0 t-aiterent following at temperatures, at EMI38.9 me # s èi11ehent, above? 40-250 C. <Desc / Clms Page number 39> 7. - Dans un procédé suivant l'une des revendication 1 à 6, la. sépavation du chlorure de nickel du minerai par lavage ; 8.- Dans un procédé tel querevendiqué en 7, le lavage en centre-courant pour produire des solutions fortes ; 9.- Dans un procédé tel que revendiqué en 7 ou 8, le travail des solutions pour les valeurs de métal; 10. - Dans un procédé tel que revendiqué en 8, le travail des solutions pour les valeurs de métal sous forme d'oxydes et pour les gav contenant HCL et de la vapeur pour le régmploi par évaporation de la solution et la caloination des chlorures en présence d'H2O. 7. - In a method according to one of claims 1 to 6, the. separating nickel chloride from ore by washing; 8.- In a process as claimed in 7, the center-current washing to produce strong solutions; 9.- In a process as claimed in 7 or 8, working the solutions for the metal values; 10. - In a process as claimed in 8, the working of the solutions for the values of metal in the form of oxides and for the gavs containing HCL and steam for the regmploi by evaporation of the solution and the caloination of the chlorides in presence of H2O. 11. -Dans un procédé tel que revendiqué en 2, le pas- sage des jaz de chloruration en contre-courant à travers une couche ou une série de couches de morceaux de minerais de même dimension; 12.- Dmmeun procédé tel que revendiqué en 7 ou 8, la purificattion de la solution d'un ou plusieurs des métaix cobalt, fer et aluminium, gréce à des agents de précipitation contenant de l'hydroxyde nickeliue ou nickeleux ou du car- bonate de nickel et à peu près libre d'alcali ou d'hydroxyde ou carbonate alcalino-terrens et la récupération des cris- teaux de chlorure, de nickel de la solution purifiée. 11. In a process as claimed in 2, the passage of the chlorination gases in countercurrent through a layer or a series of layers of pieces of ore of the same size; 12.- Dmma process as claimed in 7 or 8, the purification of the solution of one or more of the metaixes cobalt, iron and aluminum, thanks to precipitating agents containing nickel or nickel hydroxide or carbonate of nickel and substantially free of alkali or alkaline earth hydroxide or carbonate and the recovery of the nickel chloride crystals from the purified solution. 13. - Dans un procédé tel que revendiqué en 12, la préparation d'oxydes de nickel et de gaz contenant HCL et de la vapeur nour le réemploi par calcination du chlorure de nickel. 13. - In a process as claimed in 12, the preparation of oxides of nickel and gas containing HCL and steam nour the re-use by calcining nickel chloride. 14.- Dans un. procédé tel que revendiqué en 7 ou 8, la ventilation du minerai chloruré chaud avant lavage. <Desc/Clms Page number 40> EMI40.1 14.- In a. method as claimed in 7 or 8, ventilating the hot chlorinated ore before washing. <Desc / Clms Page number 40> EMI40.1 A F Q E 15 E Perfcionnen+6 aux procédés des traitement; des minerai6 latétitiques. A F Q E 15 E Perfcionnen + 6 to the treatment processes; latetitic ore6.
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