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Appareil électrique pour le traitement de maladies par la chaleur.
La présente invention a pour objet un appareil électrique pour traiter par la chaleur d'un béniqué ou sonde introduit dans le corps du malade, la blennorragie et d'au- tres maladies telles que l'urétrite banale, sous-aigue ou chronique surtout lorsqu'il s'agit de lésions scléreuses et de lésions des glandes annexes comme par exemple littrites- morgagnites, cowpérites, prostatites, prostato-vésiculites chez les hommes et le traitement des urétrites,cervicites gonococciques ou banales et des lésions annexiales chez les
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femmes et en général toute autre maladie qui peut être guérie par la chaleur radiée directement.
Le dessin annexé indique , à titre d'exemple, plusieurs formes de réalisation de l'appareil proprement dit et de béniqués dont il assure le chauffage.
Figs. 1 et 2 montrent, en élévation et en coupe suivant la ligne A-B de la Fig.l, respectivement, une forme de réalisation de l'appareil.
Fig. 3 est une vue en élévation d'un béniqué dont la
Fig. 4 montre une partie en plan, tandis que la
Fig. 5 en est une coupe axiale partielle, à plus grande échelle.
Fig. 6 montre les extrémités du cordon de raccorde- men t.
Figs. 7, 8 et 9 montrent en plan, de profil, et en coupe longitudinale, respectivement une forme de réalisation différente de l'appareil, tandis que les
Figs. 10, 11, 12 et 13 montrent, en coupe longitu- dinale et transversale, différentes formes de béniqués.
Suivant l'invention, l'appareil (Figs. 1 et 2) se compose d'une botte (a) qui contient le mécanisme. Une poi- gnée (b) facilite le transport de 1-* appareil. Sur le côté de devant de la botte est disposés une manette (d) dont le maniement est extrêmement simple. Si cette manette (d) se trouve à gauche sur le premier bouton de contact, l'appa- reil fournit le minimum de chaleur, si on la place sur le der- nier bouton de contact (f.l) à droite, on obtient le maximum de chaleur. La manette peut tournerde gauche à droite en passant sur les 13 boutons de contact ( el, e2, e, etc.) disposés en demi-cercle sur la face de la boite et précédés d' un bouton (f) qui constitue le point mort.
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Le fil de résistance, qui sert à produire les diffé- rentes tensions pour chauffer les béniqués (sondes) médi- caux lorsqu'on fait passer la manette sur les boutons de contact ( el,e2, e3 etc.) est monté sur une plaque isolante )
Les deux bornes (g) et (h) sont liées entre elles par un fil en cuivre isolé, qui constitue en même temps le raccord avec un des pôles de la sonde (D).
La seconde borne (h1) est reliée par un fil conducteur à la manette (d).
Au dessus des deux bornes (h et h1) se trouvent les contacts pour le raccordement du fil de contact muni d'une fiche à son autre extrémité qui, étant introduite dans une prise, forme la connexion de l'appareil avec la source de courant.
La connexion entre l'appareil et la sonde (D) chauf- fée à l'électricité, se produit également par un câble à deux fils (z) ayant à l'un de ses bouts deux pinces (zl ) qui le fixe à l'appareil, et à l'autre bout deux fiches (z2) qui constituent le raccordement avec le béniqué (sonde) (D) (Fig.6).
La sonde (D) (Figs. 3,4,5) est formée par un tuyau en la.iton ou en cuivre et peut avoir différentes dimensions et épaisseurs. Après fabrication les sondes sont nickelées ou chromées.
A l'intérieur de la sonde (D) est monté - sur une masse isolante (m), qui contient à l'intérieur l'un des pôles de la résistance de chauffage et sur son côté extérieur, des rainures équidistantes - , le fil de résistance (o) qui extérieurement est protégé également par une masse isolante(n).
Sur la partie droite de la sonde (D) est fixée la pièce de jonction qui l'unit à l'appareil, de façon à ce
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que les deux fils sortant de la. sonde soient bien isolés et raccordés avec les douilles d'accouplement (p et p1) dans un manchon (t) garni d'un isolant (u).
Le manchon est muni d'un petit crochet (S) qui per- met d'adapter la sonde aux appareils de diathermie.
Si le traitement de la maladie nécessite une chaleur de plus en plus élevée, il suffit de tourner la manette (d) de gauche à droite sur les boutons de contact (el, e, e3, etc.) pour obtenir la température voulue, qui augmente progressivement à mesure qu'on avance vers la droite jusqu'à environ 65 C. Le thermomètre (c) indique exactement la chaleur radiée par la sonde (béniqué).
Sous le thermomètre (c) se trouve un dispositif (x) extrêmement sensible qui provoque une descente et montée rapide de mercure dans le thermomètre. Dès que la manette (d) repose sur le bouton d'arrêt (f) le mercure du thermomètre (c) descend à son point le plus bas.
Avant de mettre l'appareil en service on s'assure que le cordon mobile de raccordement entre l'appareil et la sonde est fixé, comme décrit plus haut, à l'aide des pinces, aux bornes de contact de l'appareil pour obtenir un contact parfait. Les deux fiches fixées à l'extrémité opposée sont introduites dans les douilles d'accouplement de la sonde (béniqué) .
Avant de connecter l'appareil à la source de cou- rant, on amène la manette (d) sur le bouton d'arrêt. Après avoir fait le raccordement avec la source de courant, on tourne la manette de gauche à droite pour atteindre progres- sivement la température voulue qui est indiquée par le thermomètre dont l'indication correspond exactement à la
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température de la sonde (béniqué).
Dans une forme de construction modifiée le thermo- mètre est remplacé par un dispositif qui permet au médecin de constater avec plus de rapidité et plus de sûreté la chaleur radiée par le béniqué ou la sonde, et de vérifier en même temps si la sonde introduite dans le corps du ma- lade atteint effectivement la température indiquée sur le cadran de l'appareil.
Quelle que soit la construction de l'appareil, les résistances qui chauffent les sondes sont calculées de façon que la. température de ces dernières ne puisse jamais dépasser 60 C., indépendamment de leurs formes ou dimen- sions, ce qui exclut le danger de brûlures même si pour un motif quelconque la sonde reste trop longtemps dans le corps du malade.
Les sondes se chauffent d'une extrémité à l'autre d' une manière absolument égale et constante de sorte que le malade ne court aucun risque de brûlures locales pendant que d'autres parties de la sonde resteraient froides.
Le dispositif représenté sur les Figs. 7 à 9 com- porte une échelle 1, graduée de 30 à 60 ., une aiguille 2 qui par rotation d'un bouton 3, peut être déplacée le long de l'échelle graduée. L'axe 4 de l'aiguille 2 est relié , comme le montre la Fig. 9, par un fil électrique 5, aux bouton: de contact 6, montés à l'intérieur de la boîte et raccordés par un autre fil électrique 7 à la résistance 8 qui se trouve également à l'intérieur de l'appareil. Cette résistance 8 est calculée de manière qu'elle corresponde à la résistance 9 des sondes (Figs. 10 à 13) de façon que la température de la sonde, lors du passage de l'aiguille 2 sur les boutons de
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contact 6, soit celle que l'aiguille indique sur l'échelle graduée.
Les résistances sont calculées i"anière
Les résistances 8 et 9 sont calculées douanière que la température de la sonde ne puisse jamais dépasser 60 C. même si la sonde devait rester assez longtemps dans le corps du malade. Le danger de brûlures se trouve ainsi exclus.
On vérifie si la sonde ou le béniqué introduit dans le corps du malade fonctionne effectivement, à l'aide d'un voltmètre 10, (Fig. 7) qui indique la tension du courant électrique qui circule dans la sonde, et à l'aide d'un mil- liampèremètre 11.(fig.9) qui montre le courant qui traverse la résistance de la sonde ou du béniqué.
Pour faciliter la lecture des différentes indica- tions, on dispose à l'intérieur de l'appareil un trans- formateur 12 (Figs. 7 à 9) qui alimente sous 4 volts une petite lampe électrique 13 qui éclaire l'échelle graduée.
REVENDICATIONS.
1. Appareil électrique pour le traitement de la blennorragie et d'autres maladies, caractérisé en ce qu'il se compose d'un béniqué (sonde) renfermant une résistance électrique de chauffage, et d'un dispositif de commande per- mettant de régler la température à laquelle est port' le béniqué.
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Electrical apparatus for the treatment of illnesses by heat.
The present invention relates to an electrical apparatus for treating by heat a blessing or probe introduced into the body of the patient, gonorrhea and other diseases such as common, subacute or chronic urethritis, especially when 'they are sclerotic lesions and lesions of the annexed glands such as for example littrites-morgagnites, cowperitis, prostatitis, prostato-vesiculitis in men and the treatment of urethritis, gonococcal or banal cervicitis and adnexal lesions in men.
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women and in general any other disease which can be cured by radiated heat directly.
The appended drawing indicates, by way of example, several embodiments of the apparatus itself and of blessings which it provides for heating.
Figs. 1 and 2 show, in elevation and in section taken along the line A-B of Fig. 1, respectively, an embodiment of the apparatus.
Fig. 3 is an elevation view of a blessed whose
Fig. 4 shows a part in plan, while the
Fig. 5 is a partial axial section, on a larger scale.
Fig. 6 shows the ends of the connection cord t.
Figs. 7, 8 and 9 show in plan, in profile, and in longitudinal section, respectively a different embodiment of the apparatus, while the
Figs. 10, 11, 12 and 13 show, in longitudinal and transverse section, different forms of blessings.
According to the invention, the apparatus (Figs. 1 and 2) consists of a boot (a) which contains the mechanism. A handle (b) facilitates the transport of 1- * device. On the front side of the boot is a lever (d) which is extremely easy to operate. If this lever (d) is on the left on the first contact button, the appliance provides the minimum amount of heat, if it is placed on the last contact button (fl) on the right, the maximum is obtained. heat. The lever can turn from left to right passing over the 13 contact buttons (el, e2, e, etc.) arranged in a semicircle on the face of the gearbox and preceded by a button (f) which constitutes the neutral point. .
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The resistance wire, which is used to produce the different voltages to heat the medical blessings (probes) when the lever is passed over the contact buttons (el, e2, e3 etc.) is mounted on a plate. insulating)
The two terminals (g) and (h) are linked together by an insulated copper wire, which at the same time constitutes the connection with one of the poles of the probe (D).
The second terminal (h1) is connected by a conductive wire to the handle (d).
Above the two terminals (h and h1) are the contacts for connecting the contact wire provided with a plug at its other end which, being inserted into a socket, forms the connection of the device with the current source .
The connection between the device and the electrically heated probe (D) is also made by a two-wire cable (z) having at one of its ends two clamps (zl) which fixes it to the device, and at the other end two plugs (z2) which constitute the connection with the blessed (probe) (D) (Fig.6).
The probe (D) (Figs. 3,4,5) is formed by a la.iton or copper pipe and can have different dimensions and thicknesses. After manufacture the probes are nickel-plated or chrome-plated.
Inside the probe (D) is mounted - on an insulating mass (m), which contains inside one of the poles of the heating resistor and on its outer side, equidistant grooves -, the wire resistance (o) which is also externally protected by an insulating mass (n).
On the right side of the probe (D) is fixed the junction piece that unites it to the device, so that
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as the two wires coming out of the. probe are well insulated and connected with the coupling sleeves (p and p1) in a sleeve (t) lined with an insulator (u).
The sleeve is fitted with a small hook (S) which allows the probe to be adapted to diathermy devices.
If the treatment of the disease requires more and more heat, it is sufficient to turn the knob (d) from left to right on the contact buttons (el, e, e3, etc.) to obtain the desired temperature, which gradually increases as one moves to the right up to about 65 C. The thermometer (c) indicates exactly the heat radiated by the probe (blessed).
Under the thermometer (c) is an extremely sensitive device (x) which causes mercury to rise and rise rapidly in the thermometer. As soon as the handle (d) rests on the stop button (f) the mercury of the thermometer (c) drops to its lowest point.
Before putting the device into service, make sure that the mobile connection cord between the device and the probe is fixed, as described above, using the clamps, to the contact terminals of the device to obtain perfect contact. The two plugs attached to the opposite end are inserted into the coupling sockets of the probe (blessed).
Before connecting the appliance to the current source, move the handle (d) to the stop button. After making the connection with the current source, turn the knob from left to right to gradually reach the desired temperature, which is indicated by the thermometer, the indication of which corresponds exactly to the temperature.
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temperature of the probe (blessed).
In a modified form of construction, the thermometer is replaced by a device which enables the physician to observe more quickly and more reliably the heat radiated by the blessing or the probe, and at the same time to check whether the probe introduced into the patient's body actually reaches the temperature indicated on the dial of the device.
Whatever the construction of the device, the resistances which heat the probes are calculated so that the. the temperature of the latter can never exceed 60 ° C., regardless of their shape or size, which excludes the danger of burns even if for some reason the probe remains in the patient's body for too long.
The probes heat from end to end in an absolutely even and constant manner so that the patient is not at risk of local burns while other parts of the probe remain cold.
The device shown in Figs. 7 to 9 comprises a scale 1, graduated from 30 to 60., A needle 2 which by turning a button 3, can be moved along the graduated scale. The axis 4 of the needle 2 is connected, as shown in FIG. 9, by an electric wire 5, to the contact buttons 6, mounted inside the box and connected by another electric wire 7 to the resistance 8 which is also located inside the device. This resistance 8 is calculated so that it corresponds to the resistance 9 of the probes (Figs. 10 to 13) so that the temperature of the probe, when the needle 2 passes over the buttons of
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contact 6, or the one indicated by the needle on the graduated scale.
The resistances are calculated i "anière
The resistances 8 and 9 are calculated customs that the temperature of the probe can never exceed 60 C. even if the probe had to remain long enough in the patient's body. The danger of burns is thus excluded.
It is checked whether the probe or the blessed introduced into the patient's body is actually functioning, using a voltmeter 10, (Fig. 7) which indicates the voltage of the electric current flowing in the probe, and using a mili- ammeter 11. (fig. 9) which shows the current flowing through the resistance of the probe or of the blessing.
To facilitate the reading of the various indications, there is placed inside the apparatus a transformer 12 (Figs. 7 to 9) which supplies at 4 volts a small electric lamp 13 which illuminates the graduated scale.
CLAIMS.
1. Electrical apparatus for the treatment of gonorrhea and other diseases, characterized in that it consists of a beniquet (probe) containing an electrical resistance for heating, and a control device permitting adjustment. the temperature to which the blessed is brought.