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Procédé nouveau d'amortissement du choc local, vibrations,et bruits pour navires, travaux de défense, abris divers etc.
La diteinvention a notamment pour objet devenir en aide au travail de déformation locale qu'occasionnent les chocs locaux dans toutes parois susceptibles d'être choquées faisant partie d'un ouvrage devant résister aux chocs par ses parois, afin de réduire leur fatigue par répartition dans l'ouvrage entier en principe, ainsiqu'il sera. exposé ci-des- sous .
De plus, et en conséquence comme il sera vu, elle a pour objet de constituer de la même façon , des ouvrages, appareils et accessoires antivibratoires et antisonores. Mais nous ne parlerons de ceux-ci dans l'exposé qu'à titre accessoire, eu égard au fait quetout chocest au f ond constitué pratiquer ment de vibrations, et que les sons ne oonstituent que des vibrations perceptibles par l'oreille. Ce qui combat la cause est susceptible de combattre l'effet.
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Dans les ouvraes susmentionnés et dans tous autres si- milaires dans lesquels le ohoo a été envisagé comme faoteur possible de sollioitation sur une paroi, on a interprété le phénomène de choc dans la pratique et à bon droit comme suit,
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du moins quand il s'est agi, et cela,,à. titre d'exemple xim- plif ié$ de parois planes comme telles.
Soit une Dt1.sse m animée d'une vitesse v au moment où elle produit Lm choc de valeur !11!2 fi par arrêt que produit une pa- roi 13DFe (fivs. I) normale, admettons-le, à la direction de sa vitesse.
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on suppose qu'une pc,rtion déterminée de la paroi, telle que FODCR évaluée judicieusement dans chaque cas, intervient seule dans l'amortissement du choc (aux réactions des appuis ;- près) , et, cola, paroe que la dimcnsion BC est grande vis-à- vis de :SE. (La. paroi fait appui quant au ohoo, sur deux arêtes linéaires de directions BC et ED parallèles entre elles.) on
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ee''rs près de la réalité en supposant ainsi un travail local. La matière n'est installée utiloh-lant que là ou le choc se produit.
Et cette paroi n'a rien qui soit susceptible de la rendre spécifiquement déstinéo à amortir les chocs. L'ou-
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vrago dont elle fait partie éventuellement est à fortiori at- teint de ce défaut on ne portant pas secours à cette paroi qui le constitue.
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A.) It'ornL3 partioulière de notre l?±9.9 M¯:Notre invention combat ces inconvénients de pcrtede matière et do non spécificité des ouvrages de ohoo relativement à la résistance
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au ohoo. Elle oonsiste , de façon résumée, faire travailler l'ensemble de la matière de la paroi ou de 1'ouvrage en assi- milant ceux ci à un réservoir plein do liquide dont la défor-
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mobilité élastique au point choqué est mise à profit avec la fermeture complète du réservoir , pour que le choc local transmette par l'intermédiaire du liquide xen , éner,io à tout oe qui n'est pas directement choqué également. Ainsi, la pua- roi fig. 1 @ deviendreitf ig. 2 , minuscules et majuscules se cor- respondant.
La seule différence essentielle (aux épaisseurs
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prés) , entre ces deux parois est,que 1-a deuxième renf erme(sui- vant traits pointillés de la, fit. 2 par exemple) , un videà"épaia- saur c onv enabl e , dans toute son étendue, vide tout-a-fait herméji- que relativement aux milieux situ6s de p?rt et d'autre de la pax'roi ou relativement au se,,il milieu ambiant, vide renfermant totalemm f et va demeure un liquide le mieux approprié aux circonstances, sous pression quelconque en principe.
Admettons que cettfires-
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sion soit ici, celle de l'atmosphère -unique qui entoure la paroi
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Bous ne parlons pas de l'effet d oids du liquide quant à la pression du liquide, nidde l'offetde sa masse quant à l'amortis.. ement ohoa , 1rjµÀmi e.w gag ex ¯ eno prooédé , sèment du choc, afinieux dégager.l'essence du procédé, et pour un exposé simplif ié de celui-ci, Cett9-.roi reçoit le mu choc que celle de la figure I'. Au moment du choc, une certaine surface f odg tend à travailler en flexion. Elle ne la f era qu'ira la condition que toutes les autres surface ormant membranes
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rigides de cette paroi travaillent avec elle, au même titre que
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que la partie restante de membrane rigide bfge contigue de la partie directement attelé par le choc.
Et cela, en vert1e 1 'ii+ compressibilité des liquides; toute contraction locale de la b6'i- te f or=-nt notre paroi, devent être compensée par l'ensentle de
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ses dilatations dans les autres z8nes non atteintes par cette
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contraction. De sorte que le phénomène de choc doit être équili- bré pratiquement, quant à son énergie, par 1' ans exrlblo des tra- vaux înt6rieuru de flexion de tnuten les membranes ricinofi for- rmant faces de paroi et par les travaux intérieurs de Br ot19n
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qui s'y produisent également au Moment précis du choc local. Au-
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cune partie solide constitutive de notre paroi ne reste indif- f é r ent au phénomène du choc, contrairement à ce qui s. passe daim les parois ordinaires coaraznt utilisées pour encaisser les chocs, dans l'état actuel de la technique.
Le liquide pourra être remplacé éventuellement par toute subs- tanae pâteuse ou .étatise, ou onsciéble de substances, qui s e comporter, relativement au but à obt en ir , suf f isamment con- me un liquide, (pressions sensibienent normales aux meines " n.
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de parois, inoonq;
rossïbilité, mobilité pratique suffisante des particules) .Disons aussiqu'il nous est loisible de répartir dans la masse du liquide ou de touffe qui en tient lieu, toutes
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substances, éléments divers ou appareils susceptibles dacravail- 1er à l'instar de orjbrancs de paroi proprement dites, et pour
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venir en aide éventuellement à ces membranes de paroi elles-mie- mes(telles, par exemple, que des caisses vides de liquide, étan-
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ohes, hermétiquement fermées, construites en sociables menbra- nes rigides), mais4 la condition que le liquide baigne toujours
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entièrement les membranes de parois proprement dites dàns toute leur étendue. La figure 5 donne une portion de coupe schématique sur une semblable paroi.
Les membranes rigides de paroi sont re- présentées,en I, les organes préoités en 2 (caisses), et le li- quide en 3'. A noter que 0 'est avant tout par les travaux intérim des membranes 4 elles-mêmes qu'elles,agiront, travaux internes
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ds à la pression duliquide lui-même. Nous pouvons ainsi imagi- ner tous autres dispositifs équivalents que nous voudrons et compatibles avec un bon rendement fonctionnel des parois I elles mêmes quant à leurs travaux internes. C'est ce qui caractérise tous appareils ou substances immergées dans l'âme liquide dont leurs
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nous parlons ci-dessus. Ils viennent en aide aux parois dans 3::-e# @ fonctions amortisseuses, qu'elles soient directement ohoquées ou non.
Nous retiendrons dono que dans toutes formes d'applica-
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tions qujhront suivre, ou dans toute f orme du procédé lui-même, no is pouvons faire des adjonctions semblables au sein du liquida, adjonctions non indispensables, mais qui peuvent rendre service dans certaines applications particulières de notre procédé'. Nous ne donnerons plus, pour la simplicité, d'exemples explioites de cette particularité.
Au lieu de ne comporter qu'un seul vide, notre paroi f ig. 2
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pourrait en contenir plusieurs, par exemple en la 010isonnalJ.1:- térieurement dans un sens, d'un appui a l'autre. Dans zig. 2, 1i; ce sens serait donc arallèle à cd ou be. lbis nous conserve- (i1 rions alors l'interoommunioation entre les vides remplis de liqúi de, de telle sorte que les échanges de liquide puissent éven-
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tuellernent s'effectuer en cas,de surpression ou d'une tendance à la surpression dans un vide. Le tout, de telle sorte que nous ayons partout dans ces vides la même pression hydrostatique (à l'effet dû au poids du liquide près) à tout instant et que sembla @
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ble paroi joue f invlement corzro le fait la paroi précédente de la figure 2.
Tout dispositif qui réalise l'équilibre hydrostaticge à la façon d'ouvertures pratiquées comme telles dans les cloi- @ sons de séparation intérieures nous est bon; son rôle dans le procédé restant le même.
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De plus, no-,s pouvons rendre solidaires toutes les parois d'un ensemble of-ristrlictif déterminé (parois du type ci-avant défini; c'est ce que nous faisons'. Bous garantissons donc cet @
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ensemble de la même interdépendanec hydrostatique, de telle sor- teque tout l'ouvrage joue lE? même rôle vis-à-vis du choc que ce. lui joué par notre paroi f ig. 2,en tant que recevant de la part du liquide les pressions intérieures dues au choc looal. Il suf- fit que les vides remplis de liquide correspondent entre eux pour former un seul vide étanche et rempli du même liquide, ou
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que le tout se passe comme s'il en était ainsi, ne fut-ce qu'eu moment du ohoo, du moment que, dans oe cas, le choc puisse être paré,à tout instant.
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Btw Particularité possible dans tout ouvr!1e. ou appareils oon((U sUi.Y!E,:Lmême par extension, dans tout ouvrage ou aa pareil conçu suivant les modes ultérieurement exposés d'appli-
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oatioil de notre procédé général.
Remarquons qu'une paroi suivant fig. 2, par exemple, présen- terait des avantages supplémentaires dans nombre de cas , sila .partie de sa membrane rigide directement atteinte par le choc,
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était plus déformée par flexion et traction oorlbinées l'en- droit du choc qu'en d'autres endroits'.
Il est préoisément très (4)
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aisé de réaliser ce desideratum, Il suffit, en effet, de contra- rier comme nous le voudrons'et par tous moyens, les flexions des membranes rigides forçant faces de nos parois, quand elles
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se produisent vers l'extérieur de la paroi, relativement à son vide rempli de liquide, en réduisant les portées de la membrane rigide pour les flexions da.ns ce sons, tandis que nous pourrons nous ménager des portées plus grandes pour la même membrane ri- gide lorsque 0 'est le choc lui-même qui les sollicitera en les faisant fléohir vers l'intérieur du vide précité'.
Nous pouvons, à cet effet cloisonner nos parois intérieurement, non plus par des cloisons proprement dites, mais par un réséau aussi simple que nous pourrons dans chaque oas, de brins-entretoises ne pou- vant travailler qu'en tractions simples et ne présentant pas la
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moindre résistance pratique en coripression(o4%les, brins mous quelconques) et cela, normalement ou non aux membranes de nos
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parois'.Ainsi, prenons une po.roi élémentaire du genre de celle de la figure 2 et suivant figuret 4, dans laquelle les traits @ continus représentent le contour du vide intérieur, les surfa.-
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oes extérieures des menbra,n9s rigides n'ét ant pas représentées ,eS 7?s cu,.".,.-/"',.,,, <:
J a wewf"a2Zr -r -,> caw/ipuefb.yt.6,E.. po '-r la olarté de la figura, supposons que cette paroi ne doive OJ - (IV répondre qu'à des chocs l'atteignant sur la face supérieure, dont le plan XZVW fait partie. Nous pouvons concevoir une série
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de brins-entretoises tels que I, 2, 3, 4,,5, 6, etc!. .I.II, I2t par exemple, disposés sur plusieurs rangs, Si un ohoo se pro- duit en A par exemple, la, membrane s ipérioure ne sera pas em- pdahée de fléchir sur une z8ne telle que MDIM aux environs du point d'impact, toutes les autres zones de la, mcidbrane supérieur de la paroi ne pouvant fléchir que sur des étendues plus réduites
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en portée, telles que 10P, par exemple; la merrbr,ne inférieure doit être assez raide dans le cas envisagé por ne pas être en- traînée eile-méux au point B et environs.
Mais nous pouvons ré- duire la portée de la face inférieure par des entretoises telles
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que EB et Boe par (pour le point B seulement sur la fi- gqre) Ou bien, nous pouvons prévoir des raidisseurs tels que CBD sur la membrane rigide inférieure. Dans le cas d'entretoises
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telles que EB et 13 p, et les autres entretoises analogues non re présentées, il y a avantage à les prendre non résistantes on compression et faire usage de brins-entretoises,si le, paroi con-
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sidérée doit pouvoir, contrairement à ce qui est supposé oi.- avant répondre à des ohoos sur les deux faces.
Dans ce oas,
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on pourra ajouter à ces brins entretomses FB, BT, et autres, des brins entretoises symétriques des,précédents par rapport au plan horizontal médian de la paroi. Les exemples fournis sont élémentaires af in de dégager le prinoipe. Notons que les
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faoes portant les ouvertures z, et les ouvertures Q, elles-mdr mes sont symboliques s'il existe des parois contigttes autres
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que celles pouvant former avec une paroi donnée un angle diè" dre dans l'espace, cette conception simpliste bzz que lorsque l'application mvisagée tolérera de la Me,?j.d.')iwt locale au-déssus des appuis.
Les ouvertures Q, s'entendent
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au sens le plus général du mot , en forme et dinwnsions, Une paroi :po'.lrra d'ailleurs s'étendre aussi loin que l'on voudra dans un ouvrage pour le constituer, pourvu que la paroi ainsi étendue conserve ses propriétés essentielles: épaisseur li-
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mitée et fixité d'une pnr rapport à l'autre au point / e<'cc/7 7?/7'p/7/ fe /7-le.de vue tr:>..nslation Revenant à une single paroi avec faces (z/ ' (IV latérales ou avec tout ce qui peut en tenir lieu comme don-
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nant dos points fixes sur la, moriJbr:me choquée, on voit qu'on peut aussi faire usage, oomme en figure 5, de raidisseurs tels que' TU, vw, Xy, qui ne feraient que poser sur une mel- brane rigide de choc en ne s'attachant qu'aux extrémités ,.et
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ne s'opposant qu'aux flexions de membrane vers l'extérieur.
{flè1c' (XY, par exerple, ne qu'en X et points fiX6, et ne , (XY, p-i e-X on-rpl eJ,-Up- ole-qu int ix" (-/i i, 7-e-',l fait que poser en Z, par exemple, sur la membre-ne). L'autre
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membrane est s't-1.ff isamnrzit raidie par to,is moyens ou sera traitée de même s'il s'agit également d'une membrane de choc.
Evide1'!DJlcnt, ces raidisseurs extérieurs peuvent recevoir le choc; on peut les en protéger p"1.r tous moyens (tous intermé.- diaires de protection prenant appui sur les merrbranes et en- janlbant ces r?.idisseurs. on J,\0Ut penser également, à des rai- disseurs internes pour éviter cet inconvénient. Les brins vus ci-avant et toutes 1 es combinaisons auxquelles ils peuvent
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donner lieu jouent ce r8le. D'ailleurs, voir fin. 14, nous
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pouvons agencer des r,-iidi-ssc-tr13 qui se laissant aller avec les membranes vers l'intérieur mris qui jouent le r6le de rai- disseurs ding l'autre sans de flexion, (partie co2l?ririée sé- payable en éléments fixes à la. :me11bre,ne). Tous ees dispositifs sont équivalents.
Ils réalisent, .veo to7s oc 'x Analogues i- ravinables le "jeu doubla de flexion", qui vise la répartition
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judicieuse et parcimonieuse de la contraction du vide au point
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choqué en dilatations aux endroits non ohoqués; la souplesse au point ohoqué et la raideur ailleurs; une surpression surf- fisante au moment du choc;
et 1 lhomogénisiticn, des fatigues dans l'ouvrage entier, au sens pratiquun du mot.sans ce jeu double de flexion, ri n'est â faire pratiquement dans pres-
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que toutes applications du procédé pour ne pas dire toutes, en raison de ce que los parois deviendraient trop épaisses
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et le, matière travaillerait .1 mn,lsré que mieux déjà.' que
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dans les parois ordinaires courantes.
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ç) Partioularités préoédcntcs.- Leurs désignations La forme particulière "A" 3'"'.ppellrs. procédé des parois et oonstxuion3 anti-ohoo à double membrane rigide ot me li- quede unique, hermétique, compléta et interdépendante" et la forme "B" , par "double jeu de flexion dos membranes rigides does parois et éléments" en tr.m- qu'il sort à l'application de la forme "A" ou te toute autre forme ultérieurement indi- quée dans l'expos6¯pror8ssjf.
¯¯D ) ¯ ¯2t oen du el rocédé suivant " " et du rooédé en éné- ôai', p±ggns maintenant que les parois d'un ouvrage sont supportées le plus souyent et en pratique p^.r des éléments formant poutres,. montrmts, etc., et travaillant en flexion, o ompirx s 1 on , etc. eu éga,rd lars fonctions principales.
Bous puvons constituer lG.r ossature on caisson, par exemple
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a-fin que le liquide qui remplit les parois de l'ouvrage s'é- gw P l't4xc tende à l 'intériG Ir does dits élé!I13nts et soient aussi hjrdros-ta- éu /1,1 /.1J tiquement interdépenda-nts dos parois, cette généralisation
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de l'qpplioati0n de notre prooédé à ,±me liquide ne sera, op- portune que c1^,ns oortains ows tels O'3rla.ins ouvra-ses et nappa.
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reils spéciaux. Néanmoins elle est possible et avantageuse; elle
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.,.,.,11'1" ('1) s'indique ocxrs:.c étr,nt de la même concoptuon que notre mode de pro- oédé suivant "A" ci-avant et d'ailleurs des autres modes d'appli-
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cation de notre procédé daw son ensemble, ainsi qu'exposé plus loin. ry loin.
E) Q,J1ques rem:trq,ues o! variantes au sujet de l'applioation de notre prooédé suivant "A", ou suivant "A" et "B"; surfaces oon- vexes et concaves.
Il y a dans chaque oas concret et particulier d'application du procédé revendiqué, à prévoir une étude de déformation et de résistance tenant compte de l'intensité du plus fort choc prévu et à amortir ; dans l'ensemble mis en oeuvre quant à sa oonoep- tion et sa réalisation particulière à chaque cas. Remarquons que les fatigues direotes de traction dans les membranes rigides pour- ront devenir plus importantes dans certains cas au point de vue des travaux intérieurs qu'elles engendrent que les flexions des dites membranes rigides. Ceci sera surtout vrai dans le cas de parois épaisses ou de parois oourbes ou bombées,constituant un même ouvrage'.
Dans oes derniers cas (parois oourbes ou bombées, ) non seulement les déformations locales dela membrane choqué e prennent un autre aspeot en raison de la courbure et du bombage eux-mêmes, (qui contrarient les déformations par trop looales,
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sauf et partiellement dans les allures cylindriques ou suffisammah f tif3 if ormes) mais de plus , dans ce cas, les fatigues directes de âa ) membrane non soumise au choc (supposée ici être l 'intra.dol?), su- bit le plus souvent des compressions au lieu de tractions.
C'est pourquoi nous ne parlons que de tactiques directes dans nos reven-
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dioations à ce sujet. - Les fatigues directes deviennent en génETcD7 prépondérantes dans ces parois de choc d'allure courbe, et les travaux intérieurs qui en dérivent également', si donc on ne peut plus tant compter sur les travaux de flexion des membranes rigi- des dans ces cas pour équilibrer les ohoos,il sera permis de comp
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ter largement sur leurs travaux d.e déf orne.t ion drts aux fati6LleS directes en revanche, néanmoins, il est néoessaire pour que l'efho f ot de choc s'amortisse convenablement dans tout l'ouvrage, que)4' Ôm ,i În, Ô IÎÎ e ÎÔ Í9/,çj "''';
'Y1+ (1'imon,et se trouve en un endroit tel que les déformations
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looales ou d'un certain ensemble de la membrane rigide choquée
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et non permanentes puisses'y produire dans une mesure compatible fij avec les défoiIMtions des ,monra,nes non choquées de 1'ensemble de l'ouvrage, et qu'elles puissent être suffisantes, afin que l'en- semble 'bénéficie du procédé appliqué lui-même et ne joue pes sim- plement comme oaroasse ordinaire qui n'utiliserait pas notre pro- cédé. Nous pourrons à cet effet, agencer les surfaces bombées com
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me telles, de telle sorte, par exemple, quo mlvré aaraideur 10- <a/t cale qui les caractérise, una zcno assez conséquente ne soit jans sênée d'être sollicitée en cas de choc, en tant que men1br:lne ri- gide de notre système.
Et dans les nombreux cas où oette parti- cularité sera rendue possible, noas aurons ainsi bénéficie de la
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forme plus ou moins imposée par 1s. nature même de l'ouvrage,pour lui adapter les avantages do l'application de notro procédé.
D' ailleurs, dansle cas de surfaces à réaliser tout-à-fait fermé- eqpar exemple, nous pourrions imaginer comme formant support de faces planes ou développables constituant entre autres, la membra. ne de choc de nos parois, une ossature se comportant comme arti- culée , mais laissant, rien que ou égard au canevas de l'ossatu- re et de la dite membrane, cette membrane de ohoo pour ainsi dire sous tension de traction permanente, de telle sorte que indépan-
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dament du jeu qu'apportera, notre prooédé, une traotion due au ohoo clans une membrane de ohoo , s'étende déjà par le fait même à la naj e.are partie,do l'étendue totale de la membrane choquée dans tout l'ouvrage. D'autre part,
nous appliquerons là où la
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ohµse paraîtra judicieuse, notre complément de procédé du double j eu de flexion suivant "bu', dans toutes surfaces oourbes ou bom- bées , au même titre que dans tous ouvrages conçus en surfaoes planes ou développables, à l'effet de donner, à toutes conception de réalisation, l'efficacité désirable. '
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µJ%¯anoné iÀ4 d il%ipgt ( çns i¯¯d is ௯jf s de sécurité etc., apli- w 4Wi.o± oaÏ?.s..J toutes parois et éléments précédemment oaraoteri s s QJ â oeizx de notre -.-...--.,- - # ses et a. ceux ¯.... ¯ ¯ ¯ ¯¯¯¯.E. ¯ @eneral ulterie.Jrenleut def mj¯1
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Nous n'avons p3,s p'3.rlé, à dessein, des dilatations du liqui-
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de dans son enveloppe.
Une dilatation ou une contraction appa-
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rente du liquide ne sont mémo pas à envisager, eu égard aux for- tes variations poss ibles du volume des vides, relativement à ce- cwo±/weX,à lui de la dilatation ou de la eoriprooaion apparente.En effet, le (i) (ÍJ système est élastique et pratiquement trs dilatable et contraotsb- le, suivant l'exposé du procédé lui-même.
Il est évident que sil'on craignait dans certains cas spé- oiaux des ohoos violents plus forts que ceux dont il a été tenu compte dans le calcul d'établissement,au point que la matière tra- vaillerait, dans ce cas, à un taux pouvant égaler ou dépasser sa limite élastique, nous pourrions, par exemple, prévoir toit dis,- positif prémunissant l'ouvrage lui-même si on le désire, ce serait par exemple, une soupape de sûreté, ou tout appareil jouant ce rô- le plus ou moins parfaitement'. Los déformations étant fonction de la pression du liquide au moment du choc, le réglage en est facile. Un dispositif empirique comme une paroi ou partie de pa- roi moins solidement fixée que d'autres peut également convenir'.
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Q) For é.Q.1J.t..i..o.n..-¯L Çlr-.Q1S. Q.¯etst.. 7.ô." ?.rois su.1y."k.nt "A' .Q.'ll¯'!A.'¯et Il;8'' J et .Dar, ,ez±¯gl3s,îo# à ogre tes ;parois de notre prooédé p,:inéra.À¯o1..1 éléIl].eJl.ts¯-.gueloonques
Remarquons que les parois représentées sur les f igures préoé- dentes sont toutes schématiques. C ' est ainsique les menbranes rigides seront constituées comme noua le voudrons, du moment qu'el-
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les jouent toujours ce r61e; évidemment, les faces latérales tel-
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les que bjko (f 1(1;'. 2) disparaîtront dans les parois oontinues ocir w"'e /-em 7e fi ar- eres .6rÚ'J,cnelnGl,J', et<;
et fermées sur elles- mes e o, Le but à atteindre indiquera sm- (fi) (7)(p.......(tq.) fisa-iaincnt, avec toat ce qui a été dit quant à. l'essence du procès crs dé l'agencement particulier propre à disque cas. La matière de -e-s rv ('1')
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parois et éJ1Jéments en général, sera.
tout ce que nous voudrons, du moment qu'il soit possible d'en faire des membranes auff isanw ment raides (susceptibles de travailler en flexion, compression éventuellement, et en traotion) , pour que nous puissions avoir dans une paroi continue ou non appliquée à un ouvrage de choc ou autre ou vrage à parois ou éléments à immuniser contre le choc
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et conçue suivant notre procédé, autant de raideur pratique duras/- - - ("I .7- éà'/1 -- Í!/
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sa mise en oeuvre et par après, pour constituer do façon suffi-
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samment rigide, les mêmes ouvrages'.
Il faut que les menbranes de paroi soient susoeptibles de travailler en flexion nota=lent ,
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soit ponr ces travaux eux-mêmes, soit pour l'extension des z8nes de répartition de l'impact sur les membranes de ohoo, soit, et ce là au point de vue Constructif et pratique, pour la raideur pro- prement dite de mise en oeuvre comme dit plus haut. Dono, la mati- ère plastique et très extensible, ne donnant aucun travail prati- que de flexion comme le caoutchouc non duroi est exolue et n'a rien à voir avec notre invention. Il en est de même do toutes ma-
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tières susceptibles de donner seulement des mcD1branea résistant seulement en traction.
Notre invention n'a donc rien de commun avec les matelas au sens habituel du mot . c'est pourquoinous dé-
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signons pr1;out les faces des dit es parois et éléments par montra. nos rigides, ce qui les distingue bien de tous ratélas ordinai- res, en oe qui concerne l'enveloppa.
Toutes autres différences essentielles ressortent par ailleurs drincipe du procédé lui-
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même, entre ce que nous utilisons coirdrie éléments de construction et de simples matelas; âme liquide int1-dépenc1ante d'un élément à l'autre; raideur générale des éléments comparable à tout ce qui e
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xiste non da,ns les matelas, mais d;,ns la construction;
double jeu d'éléments d'impact et d'entr'aide que peuvent jouer toutes les parois et tous éléments de résistance tout en conservant
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leur raideur et la qualification méritée d'éléments de oonstruo, t ion éléments propres à transformer tout 0 [vrae;e recevant des chocs locaux et les amortissant rai en ouvrages analogies au polit de vue ratière mise en oeuvre (mtière de résistance) Mais amor- tissant les ohoos dans toute leur masse de façon aussi homogène
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que l'on voudra ;
il y a là , sans compter to.zt Ce que renferme le reste du procédé dans son ensemble et comme tel, et notamment
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encore 00u,,e appliqué à tO'1S appareils de choc et autres prévus en parois , autant de facteurs de nouveauté dans l'amortissement du ohoo <1"',ns les dits ouvrages, que 1,"1, technique des dits ouvi-405 et appareils n' a pas mis à profit jusqu'à ce jour dans leur
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enael1ble\ Bous nous en tenons d'ailleurs, aux termes de nos re-
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vendications pous caractériser en résumé le procédé dans toute sa généralité et dans l'esprit de notre description.
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Disons donc que nous emploirons comme matière, le fer, l' acier doux ou autre, le béton armé, le bois, eto., tous maté-
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riaux mis en oeuvre dans la construction raide ou constructioh ordinaire, telle qu'on l'entend actuellement.
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f7) J'rprs Eeneraliaation, Ae..la. fmSLpaj-ticuR.r.e..uvant¯ ¯0l1 fi];! tvn.t- 1J.:L'J3'¯.dR.. ,p.r.(to.éAé- éléraa3,l o.'nt¯ ae¯¯ vue Oc nst itv.:toÍ.QIL9&..Ítillélé!l10ntfJ.. de résistaneo des ou raes ¯ prévus en paroi a et supports.- -Feuilletage des éléments.- Nous pouvons prendre, pour constituer les parois, tout aussi bien trois menbranes r,id9s que deux, et aussi bien deux a'm'3s liquider qu'une seule.
Les lliGs liquides se prolon- geront par exemple isolément dans toutes les.parois de l'ou- Vraie pour les constituer avec les membranes'. Nous donnons
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fig. 6, une portion de ooapa schématique sur semblable paroi. if 2 représentent les demi-parois considérées dans lEur ensor- ble; 5 80 6, les membranes rigides extérieures; 7, 1 membru- ne intermédiaire, formant troisième membrane rgide de la pa- roi. Au droit des flèches I & 2, se trouvent également les
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a'mes liquides; 4, représente le milieu protégé, soit par exem- ple le liquide d'un réservoir increvable.
La demi-paroi I, peup
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être considérée comme jouant le rôle de première r9parti6seu- se dehoo, et comme première extinotrio d/aelui-oi, La deu. r (J7i:; xième demi-paroi2, intervient pour une certaine tract ion dans
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cet amortissement;
ou constitue une demi-paroi deréserve. ff/ Nous pouvons aussi, dans le cas d'une telle paroi, oonoevoir l'une des demi-parois, n I, par exemple, comme ayant une âme
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non interdépendante dans t o.t l'ouvraso ons idéré , la deuxième n 2, conservant toujours cette interdépendance. Remarquons d'ailleurs, que dans toutes applications du procédé généra,!, nous faisons en sorte, qu'il existetoujours au moins une âme
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sexi'lblvb7.f3 q i reste iJlt'J.'(l.rJpC1]I.l':l'i,.
(±'!::: 'coLt l'c ."frE:.I:;G, eu
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ou que nous agençons ce dernier, ainsi que noms levorrons
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ci-après, pour que l'on puissopratiquempnt considérer que le tout se passe comme s'il en était a ins i . ce point est t01..f..à..fdif général. ,' 'Nous obtenons ainsi, suivant fig. 7, une paroiana- logue à fig. 6, mais dans laquelle nous ne retrouvons à titre séparé, le jeu intégral de notre prodédé comme modalité parti-
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culière suivant "A", que dans la deuxiëmecicitié deparoi, 2, seulement'.
La promièr1;f'itié, soit I, est, comme 1(j igure le représente, cloisonnée ou fractionnée en compartiments qui forint seulement da.ns leur unité propre, une paroi suivant
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la f igure 2 comme telle, cette demi-paroi sert donc f jn&1;me* de répartisseuse du choc à l'endroit dupoint d'impact, cet- te conception peut convenir peur des chocs déjà plus violents quitte à faire l'étude de déformation qu'elle nécessite en
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fonction de ceschocs. Le double-jeu dùi 1 n est ici applica- ble spécialement en vue de leur en faire bénéficier (dans le
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cas d'un choc suivant flèche 3 fis. 6) la, membrane I tout d 'ro"rol (10) et la. membrane intermédiaire 2 ensuite.
Par exemple, dans la.
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figure'?, on v(,-"t clairement que les parties de cette membra- ne, délimitant une âme partielle de I, sont des surfaces trans' mettrioes dl1.bhoO CC\XIDYJ0 toute membrane rigide d'impact. Le jeu double de flexion doit donp être appliqué, compte tenu de
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la situation de la n1cntranG intéressée, relativement au choc et à sa direction.
Il';/
Disons maintenant que ce qui a été dit des parois, (que naos solidarisons toujours dans tout ouvrage,) se dit en prin-
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oipe, et corur2,4,xposé ci-avant, des ossatures diverses de,sup- ?tii port éventuelles.Nor.s le faisons lorsque c'est judicieux, (ou vrages importants, etc.)
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Celà étant, nous po vons prendre autant de%11)ranes et d'
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âmes liquides que nous voudrons poir constituer dans le mdmoes- prit, des parois feuilletées, à âme liquide feuilletée;
le feuilletage des membranes et des âmes pouvant être aussi éten-
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du/ que nous voudrons. 'nous ferons dcl'interdépendanoe, tout (10) ce que nous voudrons, pourvu qu'elle subsiste pour au
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moins une -lino liquide faisant superf ioie dans toutes les parois de l'ouvrage, ou de tous éléments quelconques de l'ouvrage. Ou encore, à la condition que, eu égard à la multiplicité des coucha à la disposition relative des z8nos interdépendantes.entre elles le tout se passe comme si une couche au moins f ornant âme liqui- de interdépendante en surface dans l'ouvrage, était respectée, et oelà,
quel que soit la disposition adoptée dans la position relative des couchas Complètes ou incomplètes par elles-mêmes constituant l'âme liquide feuilletée dans son ensemble. 1 Et de cette façon, en tout état de cause, nous arrivons dans toute ap- plication à faire travailler l'ensemble de la manière des parois de l'ouvrage, lorsqu'un choc l'atteint localement'. Même effet dans @ les autres éléments. Nous donnons un schéma,, fig. g, d'une appli oation des couches f euilletées à un réservoir figuré encoupe.
On y voit qu'auoune âme des 4 âmes liquides n'est continue sur tout le pourtour de toute la paroi, mais qu'elles sont tou- tes continues sur une demi-surface de paroi'. c'est du moins ce que nous avons vo.Llu représenter. pour tout choc donné, et pour tout réservoir donné à l'avance, il est clair qu'il existe pour le moins une compinaison d'épaisseurs de membranes et d'épais- seurs d'âmes liquides réalisant suivant canevas de la fig.9, la même somme de travaux intérieurs dans l'enveloppe totale de la paroi dans son ensemble , ou qui réalise au moins la même somme , et en cas de choc, qu'une paroi à deux membranes étudiées dans les mêmes conditions.
- Nous voyons que notre procédé employant des membranes feuuil- letéos à âme feuilletée, est susceptible d'être appliqué de tout (3) façons indéfiniment différentes entre elles mais se rattachant toutes à l'idée du feuilletage quelle que soit la modalité qui le caractérise dans sa disposition, et à l'idée d'un travail ma- ximum et uneinterdépendance fonctionnelle (quant à l'effet produ maximum tout en cloisonnant le plus possible les portions d'âmes liquides entre feuillets ou membranes, de telle sorte que tout se comporte quant à l'effet à obtenir, comme si l'interdépendance existait sans interposition de membranes,
au moins sur une fois la superficie de l'ouvrage ; de telle aorte que jamais, une partie
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qu.o1oonq1..tl'; de 18. nrti'cro constitutive do la paroi ne reste indif- féronte ou phénomène du choc local , quel que soiE l'endroit qui at- teint par le choc. Mêmes applications éventuelles pour les élér1eÀts
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quelconques de support.
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C'est d 1.n8 0 et t.:) genéralitc, que noua forcions notre reven- dioat ion relative aux Étnes feuilletées. Remarquons pour le sur- plus, qu'en ce qui concerne Io parallélisme des faces de mem- branes ,rtre elles, on peut le réaliser sensiblement aussi en enroulant une membrane on spirale suivant 1" igl. 8 pir exemple.
Bref il existe do multiples od'binaisons réa-lisant toutes appli- o m,t 1 ons du procédé. p.j,.isat1-j)p- du ¯q5 suivant CI la p rcL ojd6 suivant r!t.ê-y¯o¯o.....QiL..s±'P.ê.s¯a;¯e. ¯de¯ }..7'¯.P.0J; io.:::1}.±!rj.té¯sy.j.!p.nt "3 "".
Eemonts à li.qlli2-¯e¯smjnér}¯.ej;¯.ip.j;¯eE.9- Ecn.noc de ces 616- ments dcp..s¯22.1..t. pqiy>,gg M..9À ..o. 2?'.'21.r.e )¯l'];évu en 1>--:rrgois et élé- ment évontuols dosupport #######,...,--.
Il est clair que nous n'étions forcés do prévoir des alvéoles dans ,les parois ot éléments ainsi que nous les avons
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décrits plus haut. Ces diverses forces sent pratiques et vien-
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n.Tit naturellement a l'esprit J'!t1.is en peut en prévoir de toute allure dans la. rJ}:1,sse do la, paroi. Quelle que soit la ou les si- nuosités qu'elles dét erminet dans ii, n,sse de la paroi ou des élé
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monts de résistance, elles déterminent plus ou moins parfaite-
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ment des tensions sl1pplément:, :rns au moment du choc par le li- quide qu'elles renforcent complètement, a la condition que le liquide lni-r1ême soit sollicité par le choc local sur l'ouvrage quand il se produit, et par oc.mprossion provenant du point d'im- paot'.
Il suffit qu'il y ait l.jntorclépcncl.n,nce 001"(11:10 préoédem- ment et dans In m-lTll'3 esprit pour qu'il soit possible de ne lais-
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ser indifférente aucune partie désirable de l'ossature de l'ou-
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vraee ÜI.d7J';Q'fJ.tfi'. C'est r:nC0rC clniis c tte énér,lité qu,#,nous appliqueronlet qae nous revendiquons n0tre..brooédé généra,1.
J) Partioularité e de f err'..e 7u e. tout("s los icat ions de notre J?r.92d($jEjE..l¯EUi,nt tout e qui I>ré.c'!:.2-¯c.}.l'l-K Jj
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Cetteparticularitéréside dans lefait, que, eu égard aux bases
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m$mea de notre procédé qui a o<>1;1r;w premier concept un réservoir rempli de liquide, hermétique et atteint par le choc, une membrane rigide telle que celle bode de la f igure 2, ne peut glisser para,1- lèlement à elle-même ou, ce qui revient au 'même dans la figure 2,
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,7. 1(e 7 q,,ii repr,:,sont,: Il),Litro menrene rigide prineîla parallèlement à gfffi qui repr.:sent.a l'autre membrane rigide principe / le de la paroi.
Non pas que dans les applications, la membrane ri- gide jbok existera telle que représentée; Mais bien dans le même es
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prit (avec les trous d ' int ,*ro oeT Ù<11T1 i oat 1 on d'un élément de paroi à 1 'a ut r . C'est ce qui fait que toutes constructions que rio--,s fie- 1Jj rons en vertu de notre proCédé pcsséderont les mêmes o,-.ractériati- ques que les censtructions rigides comma on les entend actuellement a, enp/s n. part, les vides, le liquide, les int cr00JIDIk.u1Íoat ions , et tout ce fy vfyò /qy qui garantit l'égalité des pressions ou l 'éqilibrà des pressions dans une indrize d'me liquide. Que donc, nous fassions usage (f ig.
4:qtç ,,-Lne application de brins ncrmux ou autres tels Que I, 2, ..
..... I0, II, 12, et EB, BF et d'a'itres ),analogues (les normaux n'étant 0rl1plorés seuls, dans l'esprit de ce qui précède, que lorsque la surface ou mernbrS'.no rigide inférieure est très raide CoIl111'le dans le oas de surfaoe d'intrados de parois de notre procédé devant résister à des chocs venant de l'extrados) , il est entendu que dans
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ce oas, le tout S3r':'.. agencé de telle srte que la surface d X. Z formant ici face supérieure n'ait que des déplacements relative-
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)4"l77qf/ÍJ1r? ment failermr:e t ranslat i on parallèle à ce plan lui-même ; en principe', il n'y en a pas.
Nous voulons dire par là et surtout par
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que dans le O[S exele d'un ouvrass conçu tout-à-fait fermé f' PU sur lui-même O(1J,)[Je par exemple celui représenté sohémtiquement à la figure 10, la inertraric intérieure générale telle que I n'est pas susceptible dans pareil ouvrage d'un déplacement de transla- tion d'enselïble dans un sens quelconque tel,que suivant flèche C ou suivant flèche D ou suivant flèche E'eto.Dans cettefigure, les deux membranes rigides I et 2 sont par exemple reliées entre elles rien que par des entretoises-brins numérotées 4 sur la f igure
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ces entretoises brins étant donc 0(DBHe seraient les rayons d'une Plé-yc7cf'74 ".. f"? --,:", il ;² 1 dont rigide 2 serait jailt6
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et la membrane rigide I le moyeu.
La membrane I dans son ensemble @@ donc bloquée à l'intérieur de l'autre membrane dans tous les sens.
Nous reconnaissons ici encore la particularité qui caractérise aussi notre procédé; il n'a absolument rien de commun aveo un frein hydraulique; il n'y a pas freinage comme un petit oeuf le ferait à l'intérieur d'un oeuf plus gros que lui. Dans le cas d'un oeuf intérieur protégé par un oeuf extérieur, 0' est le choc d'ensemble que l'on amortit et par freinago. Nous amortissons ici les chocs locaux et nous retrouvons le j jeu que nous avons exposé pour les pa.- rois planes comme telles, autre preuve de ce que le prcédé est bien distinct et général'. Dans cette même expérience de l'oeuf de poule enolos dans un oeuf d'autruoho, un choc doit être transmis de l'ex- térieur pour se transformer par inertie sur toute la coque intérieu- re qui fait bloc.
La ooque extérieure elle-même doit fair bloc indépendant quant à ses mouvements possibles de translation. Si un choc local conséquent se produit, o'est par réaotien d'inertie totale (1) du système qu'il y a amortissement. Nous symbolisons ce cas sur la du s steme qu'il y a amortissement. Nous symoolisons ce cas sur la figure II. B est l'oeuf le plus gros 1 l'autre, et 3 le liquide inter pc'sé. L'espace A est p".r exemple rempli d'air. Si un choc se pro- duit suivant C le liquide froide en passant de D en E, transvase- mont parallèle au choc ; la translation des deux coques est égale- ment parallèle au choc, c'est. à dire à la. flèche C.
Disons de plus que la ooque 2 doit être rigide par elle-même et que comme telle, les chocs locaux en ce qui la concerne, du moins les chocs locaux violents doivent en avoir plus vite raison que dans un système suivant nctre procédé. D'ailleurs on sait toits que l'oeuf d'autruche ainsi traité a pour habitude de se casser et d'être immolé pour l'euf de poule qu'il contient'. Dans notre figure 10, rien de cela; pour résister aux chocs extérieurs, reportons-nous à notre première thé- orie, avec tout ce qu'elle comporte.
Dans le cas indiqué c'est-à- dire comportant seulement des brins entretoises qui rayonnent de toute part, notre membrane rigide I sera épaisse vis-à-vis de la membrane rigide 2. celle-ci doit absolument être docile au choc local, tel un choc suivant direction F. Au point ohoqué et aux envi-
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rons, la membrane rigide s'affaisse plus qu'elle ne peut se
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soulever en tout endroit ailleurs, c'est-à-dire, qu'en vertu djidouble j jeu deflexion, le tout est prévu de cette façon.
Un équilibre doit s'établir comme dans les parois de tout ouvra- ge ordinaire suivant notre procède, C'està dire, que la. contras tien locale doit être répartie en dilatations parcimonieuses et bien distribuées, de façon homogène, si possible, dans les, autres endroits de la membrane de choc et de l'autre membrane Bous agençons nos parois comice pour tout autre ouvrage. En sui vant le même principe qui est celui du procédé.
Nous neconsti tuons pas de notre ouvrage un immense frein hydraulique', où
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la partie intérieure de l'ouvragotout entière fait piston dans fj une autre prt ie très rigide, en onsoquence, ou qui doit 1 ' étoe dano ce cas, p< .-1r obtenir u-n bon freinage comme tel. Nous ne rendons donc pas déplaçable toute une construction dans une autre construction.
Si l'on voulait voir dans notre procé.
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de, un amortissm-ent d choc q'-m l'on persisterait va vouloir ap- peler freinage, disons que co freinaee sofait dans du fixe, 1'cnsoEble d'une partie d w constrotion ne µ4J pas par rapport à un autre ensemble qu'il contient théoriquement du'3 moins, que les déplacements du fluide sont rayonnants en du partant tu point coque pour se rendre de façon homogène en
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t 'y (/Y é/4/ d'autres endroits;
( et non pas diamétraux dans l'ensemble de l'ouvrage en passant o oroen d'un fond à l'autre d'un pa- cyli dre parcouru par un piston freine>ir; que le choc est voulu cernée si,sté=tiquoment aniorti par les travaux de la boite ou des boites de matière fixes que comportent les constructions, que les déplacements dlkluide sous prssiori sont voulus, en /q raison de la déformabilité systéEatiquement étudiée, des mes- branes rigides, normaux aux membranes qu'33=i=as affectent, et que ce sont ces seuls déplacements qui entrent en ligne de
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compte comme dét eri.nat eurs des travaux internes;
que 1e lami- nage du liquide est pratiquement nul et ne répond nullement au but recherché, (tandis que dans tout dispositif suivant
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f ig. Il, le laminage doit être recherohé avant tout ,les en-
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veloppes d'un frein étant Générlort rigides, et no partici pant en rien à l'agencement s-,stémiEtiou- que recherche notre (1) '".1. procédé dans les déformations locales de la membrane choquée qui doit devenir élastique au po.nt choqué, et raide ailleurs
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Dans notre figure 10, la surprcss-on prend naissance au point ohoqué; dans la figure II, elle prend naissance rc:toe au frcl- nasa, à l'inertie au repos et au moLr#or..ent du piston I dans 2 à la faveur du rncde d'attache de I da,ns 2 qui lui permet ce nlOilVG111ent possible.
Dans notre figure I0, rien de cela; en un mot, une portion FGIH de la double-enceinte forme en tout point de la construction, une se:;le et même paroi, sans inter- médiaire cinématique permettant un déplacement quelconque.
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Chaque élément tel que l'ensemble de FG1H, joue tout bonnomort le même rôle que celui de notre paroi f igure 2 ou de tout ou- vrage queloonque, aveo ceci de général, que ce rôle ne tombe pas en défaillance lorsque les ouvrages exéoutés sont formés sur eux-mêmes'.
Illustrons encore notreprocédé appliqué aux ouvrages cour-
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bes sur f ig. 12 & 13..La figure 13 est unecoupe dans notre ou- vraee de la figure 12. C sera une ence:nte en talc relative- ment f ine. F est une membrane rigide intérieure, en t81e for- te'. Des brins-entre1ois.:"s traversent a..:c ndro:ts appropriés la couche liquide A.
Comme la tôle est fine, ces brins seront suffisamment rap-
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prochés, af in q1J." les coDprcs>ions qui découleront de la ten- sien dont ils sont l'objet, n'affecte pas cette tôle elle-mê-
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Pour li surplus, n, -,s avons représenté sur la figure I2, rig,. un r<-ise3,u de traverses f orrxa,nt f ile.t ur , t ont 1 'étendu(-, de h / ' surface de la l11elAJbre,ne rigide extéri., #e. Ce réseau n'est pas indispensable, XtLl--'s p-D-it être eltcplo;é, et fait double-emploi, ici, avec los brins-entrctoisos B.
Si dono, on fait usage de
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ce réseau , il r aurait donc lieu de a-intenir tous 3-%&. ¯..J - -' /1'.. -- . 1 . tll4v
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les brins-entretoises B ou los remplacer par tout dispositif de fixation de la. membrane rigide F par rapport à. C, afin qu'au.
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oui-4,mo-,iv,rk-nt de translation de,cette e d-Jrn iér=3 ne soit possi- ble. En A, se trouve le liquide.
Nous voyons que oe système est éminemment élastique et que tout ohoo se produisant en G par axe=- ple, sur une zone quelconque HIKJ (surface do membrane intéressée au choc pour transmettre la surpression) , intéressera toutes
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les p-zxtiotles de matière de 1 '<ins,e>mie; cette surface de nleibna- ne extérieure se protège elle-même at-tandu qu'ailleurs que là o(4 (1) s'est produit le choc, elle est rondue plus raide et est forcée de ne travailler que sur des portées réduites comme en MLNP.
, Remarquons que si nous faisons varier la pression duliquide A (5) (5)
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lui donnant une aurpr.3ssion rel<:1.tivement aux milieux Q et R ou relativement an lnili0\.J.,R, nous obtenons un dispositif prdsentrit des avantages nouveaux', (du moins dans nombre de cas)
Nous voyons que notre conception ne représente nullement un oeuf de poule enferme dans un oeuf d'autruche .L'oeuf de plae (2)
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doit être immobilisé; l'oeuf d'a)truoh0,doit dtre rendu apte à fléchir p'w des déf orraations élastiques. Le premier doit être fa- ,,pu S^.aad mobilisé d"ws le second. Il faut de plus 8.ppliq}..er e prin...
(8) (6) (4) oip3 du jeu double de flexion. Le nouvel oeuf d'autruche, ramol
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li sL1.ff'is1JJllient devra 8-6re tel qu'il s; porte on définitive, se- cours à lui-même en cas de choc looal. Le tout doit dtre calcul afin que l'oeuf d'autruche ne casse pas plus vite que l'oeuf de poule, car l'ouvrage do protection que constituent oes deux membranes ne doit pas dtre affecté par le choc'. De plus, et subout au point de vue pratique, cotte conception permet de multibles applications que,le simple dispositif de deux coques rigides l' une dans l'autre.
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Dis {,on;3 pour le surplus que l'oeuf ramolli se trouve tout aussi bien,à. sa place à l'intérieur , si le choc était à craindre de ce coté. Il suffirait qu'il puisse résister on compression ¯ (ce à quoi peuvent être astreintes nos membranes rigides); µSe-
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rait comme on le voudrait d'-ms ce c-,,s de surfaces courbes.
Mais le jeu double d#' hj 1#Xion serait alors appliqué à cette membrane ri pid,3,dlint ri ry)
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Nous voyons surtout qu notre procède est él .r,on- caractérise
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par 1 fait, que, ainsi entendu, il est susceptible do roprcsen- (la <,onJrruc-f-IOf7 jJovvé1nf t!'7 l'K3U ter toate oonstr'.lotion ro^vnt des choo de t. o8tes, o'est >iB v?.nt bzz à9 >%r 6t <' à dire une censtr.icticn pratique, 001111113 on l'entend dns tous les (1)
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ouvrages divers. Eu égard au fdtt que to,is les éléments, mis en jeu. sont des éléments rai des au sens constructif du mot'. La thé oria de l'oeuf de poule dans 'm oeuf d'autruche ne permet que i1 //?a<<< amortir les choes que de quelques applications spéciales.
Mey notre procédé, qui se révèle encore tout différent de cette fa- çon, nous pouvons amortir tous ohoos pouvait frapper une oonstruc.
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tion, o=1vr<zge, appareil ou accessoire queloonques prévus en parts et supports éventuels. . i iy X) .ÀJ?J2i:b.±12.!-':.1!ous on citons s olltnt qu.:lq:t-a-,.znos. sln Défier de tr-,va¯ax de défense et de fortification , par exemple, il ne Banque que des éléments rôp7rtitours du choc.On amortit.toujours les ohoos trop localement'. 'Nous avons ioi un recéda .Nous choisirons le système de parois approprié à l'effet
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à obtenir. Nous prendrons des semi-liquides quand ce sera. ju- dicieux pour remplaoer les liquides, des âmes, Nous ajouterons dos éléments de travail interne etc.
Le de<,ible-j ea do flexion apportera toute Ilc3.listicité desirabble. 'Elle s'appliquera, ooismo on le voudra. Nous ferons de nos parois, des tanks, abris divers (5)
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p .rois de blindages, amortisseurs so-ts ou sur les blindages'. xo .s 10 lr adjoindrons si nous le désirons, et du cote du choc, tous éléments du genre de plaques isolées de blindage, jointi- ves, ne nuisant en rien par leur disposition, à l'élastioité requise de la surface directement choquée, à l'effet d'éviter
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la fatigue de la matiore poer la ten<1-mOG à la perforation des engins'. La dureté locale,
jointe à une certaine élasticité ré-
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néra'le4ux environs du point ohoqué et dans 1a membrane choquée auront meilleur soccès dans l'amortissement du choc que tous systèmes raides que sont les ouvrages actuels. Le tout, suivant
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nature de l'ouvrage d'1,ns son ens enJbl 3 , et suivant sa destination
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Nous ferons de nos parois encore, des orblss, dos réservoirs in- crevables, des abris légers de campagne, elles seront i3blidari- Ne
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sées pour concourir, dans l'esprit de notre invention, à tous ouvrages pouvant concerner la défense militaire, soit à elle-se (1)(2) seule, soit aveo ce que la teohnique actuelle pratique déjà à présent.
Mêmes applications multiples en ce qui concerne les plaques de blindage de la Narine de guerre, et à tous engins re latifs à la défense Maritime ou aérienne et leurs aooessoires.
De plus, les parois de toss engins et bâtiments flottables et navigables, bâtiments de mer, bateaux quelconques, navires, sous-marins,cuirassés, etc., sont susceptibles de trouver avec profit, application de notre inventa. Toutes les parois, pourn ne parler que d'ells telles qu'on les rencontre dans les doubles fonds ou ailleurs dans oes bâtiments et dans tous autres analo- gués peuvent être remplacées, les extérieures, notamment, par des parois agencées suivant notre procédé, et spécialement, afin que l'effet désiré puisse se produire dans ces ouvrages, en fai- sant usage du double jeu de flexion, faute du quoi le but ne rait être atteint pratiquement'. Les chocs resteraient par trop loaux.
Moyennant cette ajoute, nous viendrons à bout du choc.
On rencontre bien dans les vastes doubles-fonds existants quelque chose qui pourrait paraître, à première vue, comme une application particulière de notre procédé, attendu que l'on rcn. contre de l'eau dans ces doubles-fonds', Mais disons que notre procédé ne s'y trouve pas'. Cette eau, notamment celle du water- ballast, est tantôt présente, tantôt absente ou peu s'en faut; celle qui sert à lamentation des chaudières se trouve dans les mêmes conditions.
En admettant une étanchéité absolue des cellules qui renferment ces liquides, nous voyons que ceux-ci ne baignent pas à demeure les tapes de ces cellules; que de plus l'air remplaçant ces liquides en partie ou en totalité, n'est pas susceptible de jouer le même rôle qu'eux, et de loin, sa Compressibilité étant excessive vis-à-vis des faibles déformations possibles des tôles jouant le rôle d'enceinte de ces cellules;(8)
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en nanors a a,tres considérations aussi, disons que 1'interdé- pennoe des oellules entre elles, est chose évitée, ce qui Constitue un point également essootie1 de notre pri-acip9 OU rev et.i .i 1 1 - ej
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procède.
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, A fortiori, no rcnocntr-t-on pas le double jeu de ±le-. xion.
Tout est conçu très raide dans son ensemble, et n'a rien
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de commun avec notre procédé qui dcRRnde la flexibilité en oas de choc. A noter, qu'iode, une surpression relative dans la ou les âmes liquides est très désirable. Cette surpression est d'ailleurs de nature à. aider ledouble-jeu de flexion lui-même.
Disons donc que ce que l'm rencontre comme liquide sert avant tout comme 'water ballast, peur le lestage du bâtiment et pour le réclame du tirant d'eau. Les cellules sont coques étanches avant toute autre onsidération, et elles sont le plus souvent de vastes chambres , qui n'ont rien de commun avec des cloisons ou parois de notre procédé.
D'autres faits sont là cncore pour prouver aisément que le dit prooédé est inappliqué ici. D'ail
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leurs, im:t:;:L."1ono quelque chose d'analogue peur constituer une de nos parois continue dans le fond d'un navire, et no".s verrom que no,is ne pourrons loger le vmterballast dans les dites pa- rois e11 es-mrs ; elles rateraient leur but , et , outre pour le moins la première paroi extérieure du btil1lCnt que nous au- rions prévue, suivant notre procédé, il y"au'ait lieu d9Yrévoir (4J en dehors d'elle, les ocmpartiiRents spéciaux pour la ws,terbal- last dc,façon analogue à ce quo l'on fait dans les b±tiiflents actuels'.
Il s tcnsUi1.l0 nous sornt.os amenés e,utOl1ntiquement, en raison de l'essence mgmc dl11..rooédé, à ne traiter en printpe, jj WI-J que les parois actuellement simples p dit s bfÍi11lP..nts pour (4)(5) les agencer suivant ce procédé, et que les conditions requises
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p±1,r le procédé lui-même ne se trouvent nulleMent réalisées aot1Ao ellomr-nt drms la. o enc cpt i cn d<E blttiricnts pr6cités A j out ons encore, que les navires de guerre eux-mitriios, pourraient utili- ser ce procédé précisément là, où ses services seraient les plus évidents: nous avons cité les cuirasses, abris, ponts blin- dés, magasins aux munitions, etc.
Mêmes observations ou analogues pour les parois des sub-
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mersibles, qu'ils soient Monocoques Qu bicoques. Ic il non plus, 514'1e.r W 1.erec é'Y gr // 1- .- ¯¯¯e -..7* o. lac
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nous ne trouvons auvun bât iment qui applique le procédé comme (1) tel.
Nous ne trouvons nulle part dans l'intervalle do deux mem- branes formant double paroi des cellules solidarisées suivant notre procédé, contenant une masse de liquide à demeure et bai- gnant de façon étanche et complète les faces internes des ditesp parois; ici non plus dans les bicoques existants, l'eau inter- n' posée ente les parois est de présence qu'aléatoire et in- complète et n'est là, avant tout que pour les besoins de l'im- :mers ion. De la même façon que dit plus haut pour les autres bâ timents, c'est à leurs parois simples telles qu'elles sont $ présent que doit nécessairement s'appliquer notre invention.
Il nous est incessible, en principe, de l'appliquer à des parois doubles existantes créées dans un autre esprit et à d'autres f ins, et devant être pour ces raisons agencées tout autrement.
Nous avons oréé, avant tout, un procédé qui néoessite tout ce qu'il renferme dans sa réalisation, et dont toutes applications doivent oontenir de façon permanente ot avec sécurité tout ce qui représente les constituants de son fonctionnement et de sa raison d'être.
Ce procédé est également applicable à tous platelages quel (3) conques soumis au choc ou sur lesquels se produisent des mises en charge brusque. A tous planchers également ayant à subir des sollicitations semblables et l'effet de vibrations mécaniques'.
Il trouvera à s'appliquer dans la confection de Macadams spéciaux (4) combattant les chocs dûs au roulage intense, aux planohers et parois d'abris divers et ponts-abris, renoontrés parfois au- dessus des voies publiques, aux murs de quai, maritimes et autrses (5) aux parois f ormant trémies, silos divers, soumis aux chocs de la matière, à des accessoires et obj ets les plus divers tels que réservoirs increvables, tanks à essence ou à pétrole, eto, dans lesquels le choc est un facteur de sollicitation à considée rer.
Tout le matériel pouvant servir au transport et à la manu tention et faisant usage de parois pouvant être atteintes par le choc ou les trépidations pourra, le cas échéant, tirer, lui- aussi parti de cette invention, par exemple, et pour ne parler
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que de oelui-là., aux voitures de,chemin de fes, qui, outre le bruit et les trépidations qui les caractérisent parfois, se déf ment trop aisément en cas d'accident.
En cas de choc local d'une semblable voiture équipée de nos parois, nous savons ce qui se passe; en cas d'arrêt brusque de la, voiture, dd à un tamponne- ment du convoi, l'inertie de la partie supérieure de la voiture se traduit comme un choc local, ou du moins pour une très large part, eu égard à ce qae la direction de la sollicitation inté- resse plus défavorablement certaines parois que d'autres, mieux orientées. En conséquence, notre procédé conoourera à éviter les effets de chocs violents et prémunira davantage, les person nes, ou éventuellement la marchandise transportée.
Mêmes applia
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tiens à tous engins de transport ou applications mnalorues, de même qu'à leurs accessoires, (carrosserie quelconque, d'autos,
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carlingues d'avions, réservoirs,divers, réservoirs à essence in- crevables pour autos et avions.
(1)
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'Variantes dans les -1,prlic,tt ions. Il est 01?, ir que dans certaim appareils de choc des chocs locaux peuvent être localisés, c'es (2)
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-à-dira, se produire au même endroit sur l'ouvrase. on pourrait dans ce cas , outre 1; dispositif prévu dans les parois et sup- ports éventuels, disposer supplémcntairolmt d'un ou de plusieurs (1) pistens plonceurs aux endroits de localisation do cos chocs spé- ciaux, la partie plongeante du piston étant dans une enceinte forint un tout hermétique avec une âme'liquide se trouvant dais les parois, de telle sorte que le choc soit repris par les pa- rois et éventuellement les supports de to,:
t l'ouvrage, comme
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préaédexn..ent, Nous faisons une revendication spéciale à ce sujet t'fi le procède de scidarisation restant Io nfl3z, la nature de la surface f crniant Contraction d:i,ns liquido seule étant mo- dif iée.
Nous n'insitons pas sur l'Action 8.ssoL1.rdiss".nte du procédé dans son onsen1b18, attendu les r ,12.t i<-ns de ça se à effet entre choc et vibrations, entre vibrations et sons.
Dans toutes les applications précédentes, nous amortissons
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donc tout à la fcs le choc, loes vibr,:,,'ticnso-t l oes bruits et sons
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Et si un ensemble constructif amortit les vibrations et sons pou- vant dériver d'un choc que l'on amortit dans ses parois et élée il sera à fortiori, capable d'amortir les bruits et sons qui ne l'atteignent que d'une cause lointaine, c'ost-à-dire que l'en- semble est insonore, par répartition des vibrations bruits et sons dans toute la masse de l'ensemble.
La, dite invention, peut donc être appliquée indépandamment de l'idée de choc proprement dit et est applicables à tous ouvrages insonores.
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New method of damping local shock, vibrations, and noise for ships, defense works, various shelters etc.
The object of the said invention is in particular to help the work of local deformation caused by local shocks in all walls liable to be impacted forming part of a structure having to resist shocks by its walls, in order to reduce their fatigue by distribution in the whole work in principle, as it will be. set out below.
In addition, and consequently as will be seen, its object is to constitute in the same way, works, apparatus and anti-vibration and sound-absorbing accessories. But we will only speak of these in the presentation on an ancillary basis, in view of the fact that all shock is basically made up of vibrations, and that the sounds are only vibrations perceptible by the ear. What fights the cause is likely to fight the effect.
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In the aforementioned works and in all other similar ones in which the ohoo has been envisaged as a possible source of stress on a wall, the shock phenomenon has been interpreted in practice and rightly as follows,
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at least when it came to, and that ,, to. as an ximplif ié $ example of flat walls as such.
Let Dt1.sse m animate by a speed v at the moment when it produces Lm shock of value! 11! 2 fi by stopping produced by a normal 13DFe (fivs. I) wall, let us admit it, to the direction of its speed.
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it is assumed that a pc, a determined portion of the wall, such as FODCR judged judiciously in each case, intervenes alone in the damping of the shock (to the reactions of the supports; - close), and, cola, paroe that the BC dimension is large vis-à-vis: SE. (The wall is supported with respect to the ohoo, on two linear edges of directions BC and ED parallel to each other.) One
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ee''rs close to reality thus assuming local work. The material is only installed where the shock occurs.
And this wall has nothing that is likely to make it specifically designed to absorb shocks. The or-
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vrago of which it is possibly part is a fortiori affected by this defect and no help is provided to this wall which constitutes it.
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A.) It'ornL3 part of our l? ± 9.9 M¯: Our invention combats these drawbacks of low materiality and non-specificity of ohoo's works in relation to resistance
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at ohoo. In summary, it consists of making all the material of the wall or the structure work by likening them to a reservoir full of liquid whose deformation.
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elastic mobility at the shocked point is taken advantage of with the complete closure of the reservoir, so that the local shock transmits via the liquid xen, ener, io to any oe which is not also directly shocked. Thus, the puaring fig. 1 @ deviendreitf ig. 2, lower and upper case letters matched.
The only essential difference (to the thicknesses
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meadows), between these two walls is, that 1-a second enclosure (following dotted lines of the, fit. 2 for example), a void to "support c onv enabl e, in all its extent, empties everything -a-fact hermetic relatively to the environments located on both sides of the pax'roi or relatively to the surrounding environment, a vacuum containing completely and will remain a liquid best suited to the circumstances, under any pressure in principle.
Let's say that cettfires-
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zion is here, that of the unique atmosphere that surrounds the wall
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We are not talking about the heavy effect of the liquid as regards the pressure of the liquid, nidde the offetde its mass as regards the damping .. ement ohoa, 1rjµÀmi ew gag ex ¯ eno prooédé, sow shock, in order to release. the essence of the process, and for a simplified account of it, Cett9-.roi receives the shock mu that that of Figure I '. At the moment of impact, a certain surface f odg tends to work in flexion. It will only make it on the condition that all the other surfaces forming membranes
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rigid elements of this wall work with it, in the same way as
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that the remaining part of rigid membrane bfge contiguous of the part directly coupled by the shock.
And that, in vert1e 1 'ii + compressibility of liquids; any local contraction of the body f or = -nt our wall, devent be compensated by the ensentle of
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its dilations in other areas not affected by this
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contraction. So that the phenomenon of shock must be balanced practically, as to its energy, by the exrlblo of the internal works of flexion of tnuten the ricinofi membranes forming wall faces and by the internal works of Br ot19n
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which also occur there at the precise moment of the local shock. At-
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cune solid part constituting our wall does not remain indifferent to the phenomenon of shock, contrary to what s. suede pass the ordinary walls coaraznt used to absorb shocks, in the current state of the art.
The liquid can be replaced if necessary by any pasty or .etatized substance, or unsciéble of substances, which behaves, relative to the goal to be obtained in ir, suf ficiently as a liquid, (normal sensitizing pressures to meines "n .
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of walls, inoonq;
possibility, sufficient practical mobility of the particles). Let us also say that it is possible for us to distribute in the mass of the liquid or of the tuft which takes its place, all
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substances, various elements or devices likely to work - 1 like the wall fittings themselves, and for
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possibly come to the aid of these wall membranes themselves (such as, for example, empty boxes of liquid, sealed
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ohes, hermetically closed, constructed in sociable rigid menbrains), but4 the condition that the liquid is always bathed
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entirely the wall membranes proper in all their extent. Figure 5 gives a schematic sectional portion on a similar wall.
The rigid wall membranes are represented, at I, the preoited members at 2 (boxes), and the liquid at 3 '. Note that 0 'is above all by the interim work of the membranes 4 themselves that they will act, internal work
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ds to the pressure of the liquid itself. We can thus imagine any other equivalent devices that we want and compatible with a good functional performance of the walls I themselves as regards their internal works. This is what characterizes all devices or substances immersed in the liquid core whose
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we are talking about above. They come to the aid of the walls in 3 :: - e # @ damping functions, whether they are directly ohocated or not.
We will retain dono that in all forms of application
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The following operations, or in any form of the process itself, we cannot make similar additions within the liquid, additions which are not essential, but which may be of use in certain particular applications of our process. We will no longer give, for the sake of simplicity, explicit examples of this particularity.
Instead of having only one void, our wall f ig. 2
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could contain several, for example in 010isonnalJ.1: - backward in one direction, from one support to the other. In zig. 2, 1i; this meaning would therefore be parallel to cd or be. lbis we preserve- (i1 then laugh the interoommunioation between the voids filled with liqúi de, so that the exchange of liquid can occur.
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Tiling is carried out in the event of overpressure or a tendency to overpressure in a vacuum. The whole, so that we have everywhere in these voids the same hydrostatic pressure (with the effect due to the weight of the liquid near) at all times and that seems @
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ble wall plays f invlement corzro does the previous wall in figure 2.
Any device which achieves the hydrostatic balance in the manner of openings made as such in interior partition walls is good to us; its role in the process remains the same.
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In addition, our-, s can make all the walls of a determined of-ristrlictive set interdependent (walls of the type defined above; this is what we do '. We therefore guarantee this @
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together of the same hydrostatic interdependence, so that the whole structure plays the? same role vis-à-vis the shock as this. him played by our wall f ig. 2, as receiving from the liquid the internal pressures due to the looal shock. It suffices that the voids filled with liquid correspond to each other to form a single sealed vacuum filled with the same liquid, or
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let it all behave as if it were, if only at the moment of the ohoo, as long as, in that case, the shock could be parried, at any moment.
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Btw Particularity possible in any opening! or devices oon ((U sUi.Y! E,: Even by extension, in any work or a similar designed according to the methods subsequently explained of application-
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oatioil of our general process.
Note that a wall according to fig. 2, for example, would present additional advantages in many cases, if the part of its rigid membrane directly affected by the impact,
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was more deformed by flexion and traction in the area of impact than in other places.
He is precociously very (4)
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easy to achieve this desideratum, It suffices, in fact, to counteract as we wish and by any means, the flexions of the rigid membranes forcing faces of our walls, when they
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occur towards the outside of the wall, relatively to its vacuum filled with liquid, reducing the spans of the rigid membrane for flexions in this sound, while we can spare ourselves larger spans for the same membrane ri - gide when 0 'is the shock itself which will solicit them by causing them to flex towards the interior of the aforementioned void'.
To this end, we can partition our walls internally, no longer by partitions proper, but by a network as simple as we can in each oas, of strands-spacers which can work only in simple traction and not presenting the
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lower practical resistance in pressure (o4% les, any soft strands) and that, normally or not to the membranes of our
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walls'. Thus, let us take an elementary po.roi of the kind of that of figure 2 and according to figure 4, in which the continuous lines @ represent the contour of the interior vacuum, the surfaces.
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external oes of the menbra, rigid n9s not being represented, eS 7? s cu,. "., .- /" ',. ,,, <:
J a wewf "a2Zr -r -,> caw / ipuefb.yt.6, E .. po '-r the olarty of the figure, suppose that this wall must OJ - (IV answer only to shocks reaching it on the upper face, of which the XZVW plane is part. We can design a series
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strands such as I, 2, 3, 4,, 5, 6, etc !. .I.II, I2t for example, arranged in several rows, If an ohoo occurs in A for example, the membrane s ipérioure will not be required to flex on a zone such as MDIM around point d 'impact, all other areas of the upper wall mcidbrane can flex only to smaller areas
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in scope, such as 10P, for example; the lower rock must be steep enough in the envisaged case so as not to be dragged along at point B and surroundings.
But we can reduce the span of the lower face by spacers such
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than EB and Boe par (for point B only on the figure) Or, we can provide stiffeners such as CBD on the inferior rigid membrane. In the case of spacers
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such as EB and 13 p, and other similar spacers not shown, it is advantageous to take them not resistant to compression and to use strands-spacers, if the wall con-
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flabbergasted must be able, contrary to what is supposed oi.- before to respond to ohoos on both sides.
In this oas,
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it is possible to add to these spacer strands FB, BT, and others, symmetrical strands of the preceding ones with respect to the median horizontal plane of the wall. The examples provided are elementary in order to identify the principle. Note that the
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faoes carrying the openings z, and the openings Q, they themselves are symbolic if there are adjoining walls other
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that those being able to form with a given wall a di "dre angle in space, this simplistic conception bzz only when the application envisaged will tolerate the Me,? j.d. ') iwt local above the supports.
The openings Q, get along
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in the most general sense of the word, in form and dinwnsions, A wall: po'.lr will also extend as far as one wants in a work to constitute it, provided that the wall thus extended retains its essential properties : thickness li-
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mitigation and fixity of one pnr in relation to another at the point / e <'cc / 7 7? / 7'p / 7 / fe /7-le.de view tr:> .. nslation Returning to a single wall with faces (z / '(lateral IV or with anything that can take its place as a
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nant our fixed points on the, moriJbr: shocked, we see that we can also make use, as in figure 5, of stiffeners such as' TU, vw, Xy, which would only pose on a rigid mel- brane of shock by attaching only to the ends,. and
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opposing only membrane flexures outward.
{flè1c '(XY, for example, only in X and points fiX6, and ne, (XY, pi eX on-rpl eJ, -Up- ole-qu int ix "(- / ii, 7-e-' , l does that pose in Z, for example, on the limb-ne).
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membrane is st-1.ff isamnrzit stiffened by to, is means or will be treated the same if it is also a shock membrane.
Evide1 '! DJlcnt, these external stiffeners can receive the shock; we can protect them from it by any means (all intermediaries of protection resting on the merrbranes and including these stiffeners. We can also think of internal stiffeners for avoid this drawback. The strands seen above and all the combinations in which they can
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give rise to play this role. Besides, see end. 14, we
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can arrange r, -iidi-ssc-tr13 which let go with the membranes towards the interior mris which play the role of thicknessers in the other without bending, (co2l? ririé part se- able in fixed elements to.: me11bre, ne). All these devices are equivalent.
They realize, .veo to7s oc 'x i- ravinable analogues the "doubla bending game", which aims at the distribution
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judicious and parsimonious of the contraction of the vacuum to the point
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shocked in dilations in places not blocked; flexibility at the ohoqué point and stiffness elsewhere; overpressure at the time of impact;
and the homogenization, fatigue throughout the work, in the practical sense of the word. Without this double bending game, it is not necessary to do practically in the near future.
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that all applications of the process, if not all, due to the fact that the walls would become too thick
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and the, matter would work. 1 min, lsre that better already. ' than
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in ordinary common walls.
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ç) Preoédcntcs.- Particularities Their designations The particular form "A" 3 '"'. ppellrs. method of walls and anti-ohoo rigid double membrane oonstxuion3 ot me liquid unique, hermetic, complete and interdependent" and form " B ", by" double set of flexion of the rigid membranes does walls and elements "in tr.m- that it exits on the application of the form" A "or any other form subsequently indicated in the explanation pror8ssjf.
¯¯D) ¯ ¯2t oen from the following el rocédé "" and rooédé en éné- ôai ', p ± ggns now that the walls of a structure are most supported and in practice p ^ .r elements forming beams ,. shown, etc., and working in flexion, o ompirx s 1 on, etc. eu éga, rd lars main functions.
We can build the frame or box, for example
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in order to ensure that the liquid which fills the walls of the structure is gw P l't4xc tends to the interiorIr does called ele! I13nts and is also hjrdros-ta- éu / 1,1 /.1J tically interdependent on the walls, this generalization
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of the application of our process to, ± me liquid will be, opportune only c1 ^, ns oortains ows such O'3rla.ins Ouvra-ses and nappa.
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special nets. Nevertheless it is possible and advantageous; she
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.,.,., 11'1 "('1) is indicated ocxrs: .c str, nt of the same concoptuon as our method of process according to" A "above and moreover of the other modes of 'appli-
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cation of our daw process as a whole, as discussed below. ry away.
E) Q, J1ques rem: trq, ues o! variants about the applioation of our prooédé following "A", or following "A" and "B"; oval and concave surfaces.
In each concrete and particular application oas of the claimed process, there is a study of deformation and resistance taking into account the intensity of the strongest shock expected and to be damped; on the whole implemented in terms of its operation and its particular implementation in each case. It should be noted that the tensile fatigue in the rigid membranes may become more important in certain cases from the point of view of the internal works that they generate than the flexions of the said rigid membranes. This will be especially true in the case of thick walls or curved or curved walls, constituting the same work.
In these latter cases (curved or convex walls,) not only do the local deformations of the shocked membrane take on another aspect due to the curvature and the convexity themselves, (which oppose the deformations that are too looal,
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except and partially in the cylindrical gaits or suffammah f tif3 if elms) but moreover, in this case, the direct fatigue of âa) membrane not subjected to the shock (supposed here to be the intra.dol?), su- bit the most often compressions instead of pull-ups.
This is why we only speak of direct tactics in our sales.
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dioations on this. - In general, direct fatigue becomes predominant in these curved impact walls, and the interior work which also derives from it ', if therefore we can no longer count so much on the flexion work of the rigid membranes in these cases for balance the ohoos, it will be allowed to comp
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on the other hand, it is necessary for the shock effect to be adequately dampened throughout the work, that) 4 'Ôm, i În , Ô IÎÎ e ÎÔ Í9 /, çj "'' ';
'Y1 + (1'imon, and is found in such a place that the deformations
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looales or some set of shocked rigid membrane
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and non-permanent can be produced there to an extent compatible fij with the defoiIMtions of, monra, nes not shocked of the whole of the work, and that they can be sufficient, so that the whole benefits from the process. applied itself and does not play just like an ordinary oaroasse that would not use our method. We can for this purpose, arrange the curved surfaces com
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me such, in such a way, for example, that ailvré aaraideur 10- <a / t wedge which characterizes them, a fairly substantial zcno is not without being solicited in the event of a shock, as a men1br: lne rigide of our system.
And in the many cases where this particularity will be made possible, we will thus have benefited from the
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form more or less imposed by 1s. nature of the work, to adapt the advantages of the application of our process.
Moreover, in the case of surfaces to be produced completely closed, for example, we could imagine as forming a support planar or developable faces constituting, among other things, the membra. no impact of our walls, a framework behaving like articulated, but leaving, nothing but or with regard to the framework of the framework and the said membrane, this membrane of ohoo, so to speak, under permanent tensile tension, so that independent
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dament of the game that will be brought by our process, a traotion due to the ohoo in a membrane of ohoo, already extends by this very fact to the naj e.are part, hence the total extent of the shocked membrane in all the work. On the other hand,
we will apply where the
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ohµse will appear judicious, our complement of the process of the double flexion following "bu ', in all curved or curved surfaces, in the same way as in all works conceived in flat or developable surfaces, with the effect of giving, to all conception of realization, desirable efficiency. '
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µJ% ¯anoné iÀ4 d il% ipgt (çns ī¯d is ௯jf s of security etc., apli- w 4Wi.o ± oaÏ? .s..J all walls and elements previously oaraoteri ss QJ â oeizx of our -.-...--., - - # ses and a. those ¯ .... ¯ ¯ ¯ ¯¯¯¯.E. ¯ @eneral ulterie.Jrenleut def mj¯1
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We did not purposely have dilations of the liquid.
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of in its envelope.
An expansion or contraction appears
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rent of the liquid are not even to be considered, having regard to the strong possible variations of the volume of the voids, relatively to ce- cwo ± / weX, to him of the apparent expansion or eoriprooaion. Indeed, the (i ) (ÍJ system is elastic and practically very expandable and contraotsb- le, according to the description of the process itself.
It is obvious that if one feared in certain special cases violent ohoos stronger than those taken into account in the calculation of establishment, to the point that the material would work, in this case, at a rate being able to equal or exceed its elastic limit, we could, for example, provide dis roof, - positive protecting the structure itself if desired, it would be for example, a safety valve, or any device playing this role more or less perfectly '. The deformations being a function of the pressure of the liquid at the time of impact, the adjustment is easy. An empirical device such as a wall or part of a wall less firmly fixed than others may also be suitable.
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Q) For é.Q.1J.t..i..o.n ..- ¯L Çlr-.Q1S. Q.¯etst .. 7.ô. "?. Three su.1y." K.nt "A '.Q.'ll¯'! A.'¯et Il; 8 '' J and .Dar,, ez ± ¯gl3s, îo # à ogre tes; walls of our prooédé p,: inéra.À¯o1..1 éléIl] .eJl.ts¯-.gueloonques
Note that the walls represented in the previous figures are all schematic. This is how the rigid menbranes will be formed as we wish, as long as they
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they always play this role; obviously, the side faces such
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the que bjko (f 1 (1; '. 2) will disappear in the continuous walls ocir w "' e / -em 7th fi ar- ars .6rÚ'J, cnelnGl, J ', and <;
and closed on themselves eo, The goal to be reached will indicate sm- (fi) (7) (p ....... (tq.) fisa-iaincnt, with toat what has been said regarding. essence of the process created from the particular arrangement specific to the case. The matter of -es rv ('1')
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walls and elements in general, will be.
all that we want, as long as it is possible to make of them membranes auff isanw ment stiff (able to work in bending, compression possibly, and in traotion), so that we can have in a continuous wall or not applied to an impact or other structure or wall with walls or elements to be immunized against impact
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and designed according to our process, as many practical stiffness duras / - - - ("I .7- éà '/ 1 - Í! /
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its implementation and thereafter, in order to constitute
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sufficiently rigid, the same works.
The wall menbranes must be able to work in flexion nota = slow,
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either ponr these works themselves, or for the extension of the zones of distribution of the impact on the membranes of ohoo, or, and this there from a constructive and practical point of view, for the stiffness proper work as said above. Dono, the plastic and highly stretchable material, giving no practical flexing work like non-duroi rubber is exolusive and has nothing to do with our invention. It is the same with all my
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thirds likely to give only mcD1branea resistant only in traction.
Our invention therefore has nothing in common with mattresses in the usual sense of the word. that's why we de-
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let us sign pr1; all the faces of said walls and elements by show. our rigid, which distinguishes them well from all ordinary misfortunes, as regards the enveloped.
All other essential differences emerge from the principle of the process itself.
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even, between what we use coirdrie building elements and simple mattresses; liquid core int1-dependent from one element to another; general stiffness of the elements comparable to anything that e
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xist not in the mattresses, but in the construction;
double set of impact and mutual aid elements that can be used by all walls and all resistance elements while maintaining
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their stiffness and the deserved qualification of elements of construction, t ion elements suitable for transforming any 0 [real; e receiving local shocks and damping them rai in works similar to the polish of dull view implemented (resistance profession) But amor - weaving the ohoos throughout their mass in such a homogeneous way
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that we want;
there is there, without counting to.zt What is included in the rest of the process as a whole and as such, and in particular
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again 00u ,, e applied to tO'1S shock devices and others provided for walls, as many novelty factors in the damping of the ohoo <1 "', ns the said works, as 1," 1, technique of the said open -405 and devices have not taken advantage to date in their
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enael1ble \ BWe abide by the terms of our
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vendications to briefly characterize the process in all its generality and in the spirit of our description.
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So let's say that we will use as material, iron, mild steel or other, reinforced concrete, wood, eto., All material.
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riaux implemented in stiff construction or ordinary constructioh, as it is currently understood.
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f7) J'rprs Eeneraliaation, Ae..la. fmSLpaj-ticuR.r.e..uvant¯ ¯0l1 fi] ;! tvn.t- 1J.:L'J3'¯.dR .., pr (to.éA- eléraa3, l o.'nt¯ aē¯ view Oc nst itv.:toÍ.QIL9&..Ítillélé!l10ntfJ .. of resistaneo of or raes ¯ provided in wall a and supports .- -Foliating the elements.- We can take, to constitute the walls, just as well three menbranes r, id9s as two, and as well two a'm'3s liquidate only one.
The liquid lines will, for example, extend in isolation into all the walls of the bone to form them with the membranes. We give
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fig. 6, a schematic portion of ooapa on a similar wall. if 2 represent the half-walls considered in the set Eur; 5 80 6, the outer rigid membranes; 7, 1 intermediate membrane, forming the third rigid membrane of the wall. To the right of arrows I & 2, are also the
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liquid souls; 4, represents the protected environment, that is for example the liquid of a puncture-proof reservoir.
The half-wall I, peup
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to be considered as playing the role of the first dehoo distribution, and as the first extinotrio d / aelui-oi, La deu. r (J7i :; xth half-wall2, occurs for a certain tract ion in
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this depreciation;
or constitutes a reserve half-wall. ff / We can also, in the case of such a wall, oono see one of the half-walls, n I, for example, as having a core
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not interdependent in all the ideation opening, the second n 2, always preserving this interdependence. Note, moreover, that in all applications of the general process,!, We ensure that there always exists at least one soul.
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sexi'lblvb7.f3 q i remains iJlt'J. '(l.rJpC1] I.l': the i ,.
(± '! :::' cost l'c. "FrE: .I:; G, eu
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or that we arrange the latter, as well as names levorons
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below, so that we can practically consider that the whole takes place as if it were in fact. this point is t01..f..à..fdif general. , '' We thus obtain, according to fig. 7, a paroianologist in fig. 6, but in which we do not find separately, the full play of our product as a partial modality.
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following "A", that in the second wall, 2, only '.
The promièr1; f'itié, that is to say I, is, like 1 (j igure represents it, partitioned or divided into compartments which forint only in their own unit, a wall following
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f igure 2 as such, this half-wall therefore serves f jn &1; me * as a shock distributor at the point of impact, this design may be suitable for fear of already more violent shocks, even if it means studying the impact. deformation it requires in
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function of these shocks. The double-game ùi 1 n is applicable here especially with a view to enabling them to benefit from it (in the
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case of a shock according to arrow 3 fis. 6) the first membrane I (10) and the intermediate membrane 2 thereafter.
For example, in the.
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figure '?, one v (, - "t clearly that the parts of this membrane, delimiting a partial web of I, are surfaces trans' mettrioes dl1.bhoO CC \ XIDYJ0 any rigid impact membrane. flexural strength must therefore be applied, taking into account
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the situation of the n1cntranG concerned, relative to the shock and its direction.
He';/
Let us say now that what has been said about the walls, (which naos always solidarize in any work,) is said in principle
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oipe, and corur2,4, xposed above, various frameworks of, possible sup-? tii port.Nor.s do it when it is judicious, (or important works, etc.)
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However, we can take as many% 11) ranes and
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liquid souls that we would like to be able to constitute in the mdmoesprit, flaky walls, with a flaky liquid core;
the laminating of membranes and cores can also be extended
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of / that we want. 'we will do interdependent, whatever (10) we want, as long as it remains for at
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minus a liquid -lino making surface in all the walls of the work, or any elements of the work. Or again, on the condition that, having regard to the multiplicity of couchas and the relative disposition of the interdependent z8nos, between them everything happens as if at least one layer adorning the liquid soul of interdependent on the surface in the work, was respected, and where,
whatever the arrangement adopted in the relative position of the layers Complete or incomplete by themselves constituting the laminated liquid core as a whole. 1 And in this way, in any case, we manage in any application to make the whole of the walls of the structure work, when a shock hits it locally. Same effect in @ the other elements. We give a diagram, fig. g, from an application of the foiled layers to an inset figured reservoir.
It can be seen that or one core of the 4 liquid cores is not continuous over the entire circumference of the entire wall, but that they are all continuous over a half-surface of the wall. at least that's what we have vo.Llu represent. for any given shock, and for any reservoir given in advance, it is clear that there is at the very least a combination of membrane thicknesses and liquid core thicknesses realizing according to the outline of fig. 9 , the same amount of interior work in the total envelope of the wall as a whole, or which achieves at least the same amount, and in the event of impact, as a wall with two membranes studied under the same conditions.
- We see that our process employing laminated membranes with a laminated core, is capable of being applied in all (3) ways indefinitely different from each other but all relating to the idea of laminating whatever the modality which characterizes it in its disposition, and the idea of a maximum work and a functional interdependence (as to the maximum effect produced while partitioning as much as possible the portions of liquid souls between sheets or membranes, so that everything is has as to the effect to be obtained, as if the interdependence existed without the interposition of membranes,
at least once over the area of the structure; of such aorta as ever, part
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qu.o1oonq1..tl '; of the constituent part of the wall does not remain indifferent or local shock phenomenon, whatever the place reached by the shock. Same possible applications for the elements
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any support.
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It is d 1.n8 0 and t. :) generality, that we forced our claim relative to the laminated Etnes. It should be noted in addition that, as regards the parallelism of the membrane faces, between them, this can be achieved more or less also by winding a membrane or spiral according to 1 "igl. 8 for example.
In short there are multiple od'binaisons realizing all appli- o m, t 1 ons of the process. pj, .isat1-j) p- du ¯q5 following CI la p rcL ojd6 following r! t.ê-y¯ōo ..... QiL..s ± 'P.ê.s¯a; ¯ e. ¯dē} .. 7'¯.P.0J; io.:::1*** !!
Eemonts to li.qlli2-¯ēsmjnér} ¯.ej; ¯.ip.j; ¯eE.9- Ecn.noc of these 616- ments dcp..s¯22.1..t. pqiy>, gg M..9À ..o. 2? '.' 21.r.e) ¯l ']; evolved in 1> -: rrgois and element evontuols dosupport #######, ..., -.
It is clear that we were not forced to provide cells in the walls and elements as we have them.
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described above. These various forces feel practical and come
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n.Tit naturally to the mind J '! t1.is can foresee any of it in the. rJ}: 1, sse do la, wall. Whatever the si- nuosities they determine in ii, n, sse of the wall or elements
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mountains of resistance, they determine more or less perfect-
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additionally :,: rns at the moment of impact by the liquid which they reinforce completely, on the condition that the liquid itself is solicited by the local shock on the structure when it occurs, and by oc .mprossion from the impaot point '.
It suffices that there is l.jntorclépcncl.n, nce 001 "(11:10 previously and in In m-lTll'3 mind for it to be possible not to leave
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be indifferent to any desirable part of the bone structure.
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true ÜI.d7J '; Q'fJ.tfi'. It is r: nC0rC clniis c tte enér, lité qu, #, we apply onlet qae we claim our ... brooédé genera, 1.
J) Partiality e of f err '.. e 7u e. all ("s the icat ions of our J? r.92d ($ jEjE..l¯EUi, nt all which I> d.c '!:. 2-¯c.}. l'l-K Jj
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This particularity resides in the fact that, having regard to the
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m $ mea of our process which ao <> 1; 1r; w first concept a reservoir filled with liquid, hermetic and affected by the shock, a rigid membrane such as the one in f igure 2, cannot slide para, 1- parallel to itself or, which amounts to the same in figure 2,
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, 7. 1 (e 7 q ,, ii repr,:, are ,: Il), Litro menrene rigid prineîla parallel to gfffi which rep.:sent.a the other rigid membrane principle / the wall.
Not that in applications the rigid membrane jbok will exist as shown; But well in the same es
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took (with the int-holes, * ro oeT Ù <11T1 i oat 1 on from one wall element to the other. This is what makes all constructions that rio -, s trust 1Jj rons by virtue of our process will result in the same o, -. racterials as rigid censtructions as we now hear them except, in addition to voids, liquid, intcr00JIDIk.u1Íoat ions, and all that. fy vfyò / qy which guarantees the equality of the pressures or the equilibrà of the pressures in an indrize of liquid soul. That therefore, we make use (f ig.
4: qtç ,, - Lne application of ncrmux or other strands such as I, 2, ..
..... I0, II, 12, and EB, BF and a'itres), analogs (the normals being 0rl1plored alone, in the spirit of the above, only when the surface or mernbrS '. no inferior rigid is very stiff CoIl111'le in the oas of surface of the lower surface of the walls of our process having to resist shocks coming from the upper surface), it is understood that in
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this oas, the whole S3r ':' .. arranged in such a way that the surface d X. Z here forming the upper face only has relative displacements.
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) 4 "l77qf / ÍJ1r? Ment failermr: e t ranslat i on parallel to this plane itself; in principle, there is none.
We mean by that and especially by
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that in the O [S exele of a completely closed designed work f 'PU on itself O (1J,) [I for example the one represented sohemically in figure 10, the general interior intraric such that I n 'is not susceptible in such a structure of a translational displacement of enselïble in any direction such as according to arrow C or according to arrow D or according to arrow E'eto. In this figure, the two rigid membranes I and 2 are for example connected to each other only by spacers-strands numbered 4 in the f igure
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these strand spacers being therefore 0 (DBHe would be the radii of a Ple-yc7cf'74 ".. f"? - ,: ", il; ² 1 of which rigid 2 would be jailt6
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and the rigid membrane I the hub.
The membrane I as a whole is therefore blocked inside the other membrane in all directions.
Here again we recognize the peculiarity which also characterizes our process; it has absolutely nothing in common with a hydraulic brake; there is no braking as a small egg would do inside an egg larger than itself. In the case of an interior egg protected by an exterior egg, 0 ′ is the overall shock that is damped and by braking. We dampen the local shocks here and we find again the game that we have exposed for the flat walls as such, further proof that the precede is quite distinct and general '. In this same experiment of the enolos chicken egg in an ostrich egg, a shock must be transmitted from the outside to transform itself by inertia over the entire interior shell which forms a block.
The outer shell itself must form an independent block as to its possible translational movements. If a consequent local shock occurs, o is by total inertia reaction (1) of the system that there is damping. We symbolize this case on the s steme that there is damping. We symoolize this case in figure II. B is the larger egg 1 the other, and 3 the inter-pc's liquid. The space A is for example filled with air. If a shock occurs along C, the cold liquid passing from D to E, is transferred parallel to the shock; the translation of the two shells is also parallel to the shock, i.e. to the arrow C.
Let us say moreover that the ooque 2 must be rigid by itself and that as such, the local shocks as far as it is concerned, at least the violent local shocks must be overcome more quickly than in a system according to our method. Moreover, we know that the ostrich egg thus treated has a habit of breaking and being sacrificed for the chicken egg it contains. In our figure 10, none of that; to withstand external shocks, let's go back to our first theory, with all that it involves.
In the case indicated, that is to say comprising only spacer strands which radiate from all sides, our rigid membrane I will be thick vis-à-vis the rigid membrane 2. this one must absolutely be docile to the local impact, like a shock following direction F. At the ohoqué point and approx.
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rons, the rigid membrane sags more than it can
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lift anywhere else, that is to say, by virtue of djidouble j game of bending, everything is planned in this way.
A balance must be established as in the walls of any ordinary work according to our procedure, that is to say, that the. local contras tien must be distributed in parsimonious expansions and well distributed, in a homogeneous way, if possible, in the other places of the membrane of shock and of the other membrane Bous arrange our walls comice for any other work. By following the same principle which is that of the process.
We do not use our work as an immense hydraulic brake ', where
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the inner part of the entire opening is piston in another prt ie very rigid, onsoquence, or which must be in this case, p <.-1r to obtain a good braking as such. We therefore do not make a whole construction movable in another construction.
If we wanted to see in our trial.
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de, a shock absorption that we would persist will want to call braking, let's say that co-braked is in the fixed, 1'cnsoEble of a part of construction does not µ4J compared to another set that it theoretically contains du'3 less, that the displacements of the fluid are radiating from the starting point of the shell to reach homogeneously in
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t 'y (/ Y é / 4 / other places;
(and not diametrical in the whole of the work by passing o oroen from one bottom to the other of a path traversed by a brake piston> ir; that the shock is wanted to be surrounded if, sté = Often aniorti by the work of the box or boxes of fixed material included in the constructions, that the displacements of the fluid under pressure are desired, due to the systemically studied deformability, of the rigid mesbranes, normal to the membranes that 33 = i = as affect, and that it is these only displacements which enter in line of
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counts as deteri.nat ers of internal works;
that the rolling of the liquid is practically nil and does not meet the desired goal, (while in any following device
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f ig. It, the lamination must be sought above all, the en-
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veloppes of a brake being generally rigid, and not participating in any way in the arrangement s-, stémiEtiou- that our (1) '". process seeks in the local deformations of the shocked membrane which must become elastic at the po .nt shocked, and stiff elsewhere
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In our figure 10, the surprise starts at the ohoqué point; in figure II, it starts rc: toe at frcl- nasa, inertia at rest and moLr # or..ent of piston I in 2 thanks to the attachment rncde of I da, ns 2 which allows him this nlOilVG111ent possible.
In our figure I0, none of that; in short, an FGIH portion of the double enclosure forms at any point of the construction, a same wall, without a kinematic intermediary allowing any movement.
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Each element such as the set of FG1H, plays quite well the same role as that of our wall f igure 2 or of any work whatever, with this general, that this role does not fail when the executed works are formed on themselves'.
Let us further illustrate our method applied to short-lived works.
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bes on f ig. 12 & 13..Figure 13 is a section in our opening of figure 12. This will be a relatively fine talcum enclosure. F is an interior rigid membrane, in high t81e '. Strands- entre1ois.:"s cross a ..: c ndro: ts the liquid layer A.
As the sheet is thin, these strands will be sufficiently
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related, af in q1J. "the coDprcs> ions which will result from the tension of which they are the object, does not affect this sheet itself.
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For the surplus, n, -, s have been represented in figure I2, rig ,. a r <-ise3, u of crosspieces f orrxa, nt f ile.t ur, t have 1 'extended (-, of h /' surface of the l11elAJbre, ne exterior rigid., #e. This network is not essential, XtLl - 's pD-it be eltcplo; é, and duplicates, here, with los brins-entrctoisos B.
If dono, we make use of
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this network, it would therefore be appropriate to have all 3 -% &. ¯..J - - '/ 1' .. -. 1. tll4v
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the strands-spacers B or los replace by any fixing device of the. rigid membrane F with respect to. C, so that.
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yes-4, mo-, iv, rk-nt of translation of, this e d-Jrn iér = 3 is not possible. In A is the liquid.
We see that this system is eminently elastic and that any ohoo occurring in G by axis = - ple, on any zone HIKJ (membrane surface interested in the shock to transmit the overpressure), will be of interest to all.
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p-zxtiotles of material of the <ins, e> crum; this outer nleibna- ne surface protects itself, while elsewhere than where the shock occurred (4 (1), it is rounder stiffer and is forced to work only on reduced spans such as in MLNP.
Note that if we vary the pressure of the liquid A (5) (5)
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giving it an appearance relative to the mediums Q and R or relatively an lnili0 \ .J., R, we obtain a device with new advantages', (at least in many cases)
We see that our design does not represent a chicken egg enclosed in an ostrich egg. The plae egg (2)
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must be immobilized; the egg of a) truoh0, must be made capable of flexing by elastic def orraations. The first must be fa- ,, pu S ^ .aad mobilized from the second. In addition, 8.ppliq} .. er e prin ...
(8) (6) (4) oip3 of the double bending set. The new ostrich egg, ramol
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li sL1.ff'is1JJllient should 8-6re as it is; wear one definitive, rescue himself in the event of looal shock. Everything must be calculated so that the ostrich egg does not break faster than the chicken egg, because the protective structure of these two membranes must not be affected by the shock. In addition, and subout from the practical point of view, this design allows multiple applications that, the simple device of two rigid shells one inside the other.
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Say {, we; 3 for the surplus that the softened egg is just as well, at. its place inside, if the shock was to be feared on this side. It would be enough for it to be able to resist compression ¯ (which can be imposed on our rigid membranes); µSe-
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would be as we would like to see this c - ,, s of curved surfaces.
But the double set of # 'hj 1 # Xion would then be applied to this membrane ri pid, 3, dlint ri ry)
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We see above all that our process is el .r, we characterize
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by 1 fact, that, thus understood, it is likely to do roprcsen- (la <, onJrruc-f-IOf7 jJovvé1nf t! '7 l'K3U ter toate oonstr'.lotion ro ^ vnt choo de t. o8tes, o' is> iB v? .nt bzz à9>% r 6t <'to say a practical censtr.icticn, 001111113 we hear it every (1)
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various works. Having regard to the fdtt that to, is the elements, brought into play. Are reasonable elements in the constructive sense of the word '. The oria tea from the chicken egg in the ostrich egg only allows it to cushion the effects of a few special applications.
Mey our process, which again turns out to be quite different in this way, we can cushion all ohoos could hit an oonstruc.
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tion, o = 1vr <zge, some device or accessory provided in parts and possible supports. . i iy X) .ÀJ? J2i: b. ± 12.! - ':. 1! e we c olltnt qu.:lq:t-a-,.znos. If it defies defense and fortification tr-, vāax, for example, it only banks elements that are repelling the shock. The ohoos are always cushioned too locally. 'We have a remedy. We will choose the appropriate wall system for the effect
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to obtain. We will take semi-liquids when it is. useful to replace liquids, souls, We will add elements of internal work etc.
The de <, ible-j ea do inflection will bring all the desirable Ilc3.listicity. 'It will apply, ooismo we want it. We will make our walls, tanks, various shelters (5)
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p. three shields, shock absorbers so-ts or on the shields'. xo .s 10 lr will add if we wish, and on the impact side, all elements of the kind of insulated shielding plates, jointed, not detrimental in any way by their arrangement, to the required elasticity of the directly impacted surface, to avoid
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the fatigue of the matiore poer the ten <1-mOG to the perforation of the gear. Local hardness,
together with a certain elasticity
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Neural around the shock point and in the shocked membrane will have better impact absorption than any stiff systems present-day structures. The whole, following
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nature of the work of 1, ns its set enJbl 3, and depending on its destination
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We will make our walls again, orblss, our unbreakable reservoirs, light country shelters, they will be blighted.
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designed to contribute, in the spirit of our invention, to all works that may relate to military defense, either to itself (1) (2) alone, or with what current technology already practices at present.
Same multiple applications with regard to the armor plates of the War Nostril, and to all devices relating to maritime or air defense and their aooessories.
In addition, the walls of all craft and buoyant and navigable vessels, sea vessels, ships of any kind, ships, submarines, battleships, etc., are likely to find with profit, application of our invention. All the walls, to speak only of them such as one meets them in double bottoms or elsewhere in oes buildings and in all other analogues can be replaced, the external ones, in particular, by walls arranged according to our process, and especially, so that the desired effect may be produced in these works, by making use of the double bending game, otherwise the aim would not be practically achieved. The shocks would remain too local.
With this addition, we will overcome the shock.
We do find in the vast existing double-bottoms something which could appear, at first glance, like a particular application of our process, given that we do not. against water in these double bottoms ', But let's say that our process is not there'. This water, in particular that of the water ballast, is sometimes present, sometimes absent, or almost so; that which is used for the lamentation of the boilers is in the same conditions.
By admitting that the cells which contain these liquids are absolutely watertight, we see that they do not permanently bathe the tapes of these cells; that moreover the air replacing these liquids in part or in whole, is not likely to play the same role as them, and by far, its compressibility being excessive vis-à-vis the slight possible deformations of the sheets playing the enclosure role of these cells; (8)
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in nanors a, very considerations also, let us say that the interdependence of the cells between them, is thing avoided, which constitutes a point also essootie1 of our pri-acip9 OR rev et.i .i 1 1 - ej
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process.
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, A fortiori, do not we rcnocntrt the double set of ± le-. xion.
Everything is designed very stiff as a whole, and has nothing
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in common with our process which determines flexibility in shock conditions. Note that with iodine, a relative overpressure in the liquid core (s) is very desirable. This overpressure is moreover likely to. help the double-bending game itself.
So let's say that what the liquid meets is used above all as' water ballast, for the ballasting of the building and for the claim of the draft. The cells are sealed before any other onsideration, and they are most often large rooms, which have nothing in common with partitions or walls of our process.
Other facts are there yet to easily prove that the said procedure is not applied here. Garlic
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their, im: t:;: L. "1ono something similar can form one of our continuous walls in the bottom of a ship, and no" .s verom that no, is will not be able to accommodate the vmterballast in the said wall e11 es-mrs; they would miss their goal, and, in addition to at least the first exterior wall of the building that we would have planned, according to our procedure, there is "place to review (4J apart from her, the special allocations for the ws , terbal- last dc, analogous to what is done in current buildings'.
It s tcnsUi1.l0 we are brought out, utOl1ntically, because of the mgmc dl11..rooédé gasoline, to treat in printpe, jj WI-J only the currently simple walls p said s bfÍi11lP..nts for ( 4) (5) arrange them according to this process, and that the required conditions
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p ± 1, r the process itself is not found to be carried out aot1Ao ellomr-nt drms la. o enc cpt i cn d <E blttiricnts aforementioned In addition still, the warships themselves, could use this process precisely where its services would be most obvious: we have mentioned breastplates, shelters, armored bridges, ammunition stores, etc.
Same observations or analogues for the walls of the sub-
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seasible, whether they are Monohulls Qu hulls. Ic il either, 514'1e.r W 1.erec é'Y gr // 1- .- ¯¯¯e - .. 7 * o. lake
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we do not find a building that applies the process as (1) such.
Nowhere in the interval of two membranes forming a double wall do we find cells joined together according to our method, containing a mass of liquid permanently and sealingly and completely bathing the internal faces of said walls; Here again, in the existing shacks, the water interposed between the walls is only random and incomplete and is there, above all, only for the needs of the immersion. In the same way as said above for other buildings, it is to their simple walls such as they are present that our invention must necessarily apply.
It is not transferable to us, in principle, to apply it to existing double walls created in another spirit and to other ends, and having to be for these reasons arranged quite differently.
We have created, above all, a process which neoessizes all that it contains in its realization, and of which all applications must contain in a permanent way and with safety all that represents the constituents of its functioning and its raison d'être.
This process is also applicable to all decks which (3) shells subjected to impact or on which sudden loadings occur. All floors also having to undergo similar stresses and the effect of mechanical vibrations.
It will be applied in the making of special Macadams (4) combating shocks due to intense driving, to the planohers and walls of various shelters and shelter bridges, sometimes encountered above public roads, on quay walls, maritime and other (5) with walls forming hoppers, various silos, subjected to the impact of the material, to the most diverse accessories and objects such as puncture-proof tanks, petrol or oil tanks, etc., in which the impact is a stress factor to be considered.
All the material that can be used for transport and handling and making use of walls that can be reached by shock or trepidation could, if necessary, also take advantage of this invention, for example, and to put it mildly.
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that of oelui-là., to the cars of, chemin de fes, which, in addition to the noise and the tremors which sometimes characterize them, defy too easily in the event of an accident.
In the event of a local impact of a similar car fitted with our walls, we know what is happening; in the event of a sudden stop of the car, due to a crash of the convoy, the inertia of the upper part of the car manifests itself as a local shock, or at least for a very large part, in view of this qae the direction of the solicitation interests certain walls more unfavorably than others, which are better oriented. As a result, our process will help to avoid the effects of violent shocks and will further protect people, or possibly the goods transported.
Same applia
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like all transport devices or minor applications, as well as their accessories, (any bodywork, cars,
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aircraft cabins, tanks, miscellaneous, puncture-proof fuel tanks for cars and planes.
(1)
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'Variants in -1, prlic, tt ions. It is 01 ?, ir that in some shock devices local shocks can be localized, it is (2)
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that is, to occur in the same place on the opener. we could in this case, besides 1; device provided in the walls and any supports, place additional one or more (1) plunger pistens at the locations of the special shocks, the plunging part of the piston being in an enclosure forint a hermetic whole with a liquid core located on the walls, so that the shock is taken up by the walls and possibly the supports of to:
t the book, like
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Previously, we make a special claim on this subject to the fact that the scidarization process remains Io nfl3z, the nature of the surface f crniant Contraction d: i, ns liquido only being modi ed.
We do not insist on the Action 8.ssoL1.rdiss ".nte of the process in its onsen1b18, expected the r, 12.t i <-ns of that to effect between shock and vibrations, between vibrations and sounds.
In all previous applications, we amortize
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so all to the shock, loes vibr,: ,, 'ticnso-t the noises and sounds
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And if a constructive unit dampens the vibrations and sounds that can derive from a shock that is damped in its walls and then it will be a fortiori capable of damping the noises and sounds that only reach it with one. distant cause, that is to say that the whole is soundless, by the distribution of vibrations, noise and sounds throughout the whole mass of the whole.
The so-called invention can therefore be applied independently of the idea of shock itself and is applicable to all soundproof works.