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" Perfectionnements apportés aux dispositifs d'éclairage mon- tés sur des supports rigides, notamment aux candélabres pour l'éclairage électrique des rues ".
L'invention est relative aux dispositifs d'éclairage montés sur des supports rigides, tels des colonnes, des pylo- nes, des bras, des consoles, etc.; et elle concerne, plus spé- cialement (parce que c'est dans leur cas que son application , parait devoir offrir le plus d'intérêt), mais non exclusive- ment, parmi ces dispositifs, les candélabres pour léclairage électrique des rues.
Elle a pour but, surtout, de rendre ces dispositifs tels qu'ils répondent, mieux que jusqu'ici, aux divers desidera ta de la pratique.
Elle consiste, principalement, à rendre extensible le,support, des dispositifs du genre en question, et à lui fai-
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re comporter des moyens, propres à immobiliser la source lumi- neuse à une distance voulue de l'appui, par exemple le sol, sur lequel est monté ledit support.
Elle consiste, mise à part cette disposition princi- pale, en certaines autres dispositions, qui s'utilisent de préférence en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après, notamment: en une deuxième disposition -- plus spécialement relati- ve au cas où il s'agit d'un éclairage électrique -- consistant à agencer de manière telle, le mécanisme de commande, par le- quel on obtient la modification de la longueur du support de la source lumineuse, qu'on déclenche automatiquement l'exten- sion voulue dudit support quand on provoque, par une commande à distance par exemple, l'allumage de ladite source, et que l'ex- tinction de cette dernière donne lieu au raccourcissement dudit support ;
et en une troisième disposition -- plus spécialement re- lative au cas où il s'agit de candélabres pour l'éclairage pu-. blic -- consistant à leur faire comporter un socle, plus ou moina ornementé, dans lequel peut être dissimulé le candélabre$ quand il est à l'état raccourci ou de non-utilisation, en com- binaison avec des moyens propres à empêcher l'accumulation des eaux de pluie, de la neige, etc., à l'intérieur dudit socle.
Elle vise plus particulièrement certains modea d'ap- plication, ainsi que certains modes de réalisation, desdites dispositions; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les dispositifs ,d'éclairage du genre en question, comportant application des- dites dispositions, les éléments et outils spéciaux propres.à leur établissement, ainsi que les installations comportant de semblables dispositifs.
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins ci-annexés, lesquels complément et dessina sont. bien. entendu ,donnés surtoutà titre d;indication.
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La fig. 1 montre, schématiquement et en coupe trans- versale, une voie publique éclairée à l'aide de candélabres .établis conformément à l'invention.
Les fig. 2 et 3 montrent, en coupe axiale, un can- délabre établi conformément à l'invention, ces deux figures montrant ce candélabre respectivement dans sa position de non- utilisation et dans sa position d'utilisation.
La fig. 4 montre, semblablement mais à plus grande échelle, une partie détaillée de ce même candélabre.
La fig. 5 montre, schématiquement, l'installation pour la commande du candélabre montré sur les fig. 2 à 4.
Selon l'invention, et plus spécialement selon celui de ses modes d'application ainsi que ceux des modes de réali- sation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant d'assurer l'éclai- rage d'une voie publique à l'aide de candélabres dont quelques- uns au moins portent des sources lumineuses électriques (lam- pes à arc, à incandescence ou autres), on s'y prend comme suit.
Au lieu d'assurer, comme à l'ordinaire, l'éclairage de la voie publique par des sources lumineuses réparties en diffé- rente points de la rue et qui se trouvent à des hauteurs inva- riables au-dessus du sol, on a recours, comme montré sur la fig. 1, à des candélabres dont quelques-uns au moins sont ex- tenaibles de façon que, pendant la période d'éclairage, la hauteur des candélabres, puisse être rendue maximum, par exemple de 20 mètres environ, alors que pendant le jour, cette hauteur est rendue minimum, par embpïtement des différentes parties constituant le candélabre. Celui-ci peut alors être dissimulé, au besoin, dans un socle peu apparent et qui, extérieurement, peut être rendu aussi décoratif qu'on le désire.
De cette fa- çon on peut obtenir un éclairage puissant et efficace de la voie publique puisque le faisceau lumineux conique, émanant de chacune des. lampes, est largement étalé sur le sol grâce à la hauteur considérable du pylône, alors que pendant le jour les pyiônes et la source lumineuse peuvent être dissimulés de
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façon à ne pas nuire à l'esthétique de l'ambiance.
Pour l'exemple montré sur les fig. 2 à 5 on a admis que le pylône est constitué par plusieurs tronçons de tubes 1, 2, 3 et 4 emboîtés les uns dans les autres de façon qu'on puisse modifier la hauteur du pylône par un mouvement téleaco- pique des différents tronçons les uns par rapport aux autres.
Le tronçon supérieur 1, de plus faible section, porte la sour- ce lumineuse électrique 5, alimentée par un câble 6. Les tron- çons intermédiaires 2 et 3, en nombre quelconque, sont égale- ment mobiles en hauteur, alors que le tronçon inférieur 4, de hauteur suffisante pour que les autres tronçons puissent y être engagés, est fixe et est, de préférence, caché par un so- cle 7 dont la hauteur est suffisante pour que la source lumi- neuse y compris son support soient également dissimulés, dans la position de non-utilisation.
Pour empêcher que les eaux de pluie et la neige puis- sent pénétrer à l'intérieur du socle, on donne au capuchon ou toit 8, qui protège la lampe 5 à sa partie supérieure et qui' supporte le réflecteur, des dimensions telles qu'il puisse ob- turer l'orifice ménagé dans la face supérieure du socle quand le pylône est raccourci (fig. 1). On établit également sur le tronçon mobile inférieur 3 du pylône, une couronne obturatrice 9 qui est susceptible de coulisser, en étant entraînée par le tronçon 3,dans la cavité cylindrique ménagée dans le socle 7, jusqu'à venir obturer l'orifice susdit, quand le pylône occupe sa position d'utilisation (fig. 3) pour diriger les eaux vers une rigole ou gouttière ménagée dans le socle.
Les détails de cet obturateur ne sont pas montrés, sa constitution ne présen- tant aucune diificulté/. En outre, dans le fond du socle sont ménagés des conduits 7 dqui servent à l'évacuation des eaux ayant pénétré dans la cavité cylindrique. Des moyens de chauffage par exemple une'résistance chauffante 71 peut être prévue à la base du socle 7 pour provoquer la fonte de la neige ou de la glace qui pourrait s'accumuler dans le socle, celui-ci pourrait ..p. d'ailleurs servir comme support-de moyens de signalisation, de
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publicité, etc.
Le mouvement télescopique peut être obtenu par diffé- rents moyens, toutefois on donne la préférence à une commande hydraulique, par exemple à l'aide d'une huile ou un autre liqui- de incongelable. Le liquide est refoulé à l'intérieur du corps tubulaire, extensible et étanche, constitué par le pylône. A cet effet, on ferme l'extrémité supérieure du tronçon 1 par une cloison 10 au travers de laquelle passe le câble 6. L'étanché- ité du joint, formé par chaque paire de tronçons voisins, est assurée par exemple par deux bagues 11 et 12 dans chacune des- quelles est logé un joint en cuir embouti 13, analogue à ceux utilisés pour les presses hydrauliques. La bague 11 est portée par l'extrémité inférieure du tronçon supérieur faisant partie de la paire de tronçons 'susdite. La bague 12 est portée par l'extrémité supérieure du tronçon inférieur.
La position de ces bagues est telle qu'elles puissent servir en même temps de butées limitant la course vers le haut et le basdes tron- çons correspondants. Parmi les autres moyens de commande, pou- vant être utilisés pour obtenir le mouvement télescopique on pourrait citer une crémaillère ou vis sans fin verticale, suf- fisamment longue et convenablement guidée dans un logement mé- nagé dana le sol suivant une profondeur convenable et qui se- rait entrainée verticalement par un pignon actionné par un moteur électrique ou autre.
Le socle 7 est monté sur un massif de maçonnerie 14 avec une fossa 15 dans laquelle se trouve l'installation de commande décrite plus explicitement ci-après, cette fosse com- portant une trappe d'accès 15 et une échelle verticale 17.
Dans le cas d'une commande hydraulique, celle-ai peut être agencée de façon que le pylône puisse, une fois le mouvement déclenché, s'allonger au maximum, le mouvement étant alors interrompu, par exemple automatiquement. De même lorsqu'on veut "éclipser" télescopiquement le pylone on peut éclencher le mouvement de descente qui est alors interrompu,
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par exemple automatiquement, dès que l'abaissement de la source lumineuse est complet. Toutefois, il est préférable d'avoir recours à une disposition qui permet le soulèvement et/ou l'a- baissement du pylône jusqu'à un niveau voulu, le déclenchement du mouvement étant commandé par exemple à distance.
Le mouve- ment s'interrompt automatiquement quand la source lumineuse atteint une position voulue, qui n'est pas nécessairement une position extrême. Quand il s'agit d'un éclairage électrique, il est avantageux de provoquer le mouvement d'élévation de la source lumineuse au moment où on allume la lampe, ce qui se fait généralement par une commande à distance. Le pylône se dégage alors du socle et s'allonge jusqu'au moment où son ex- tension est maximum. Par contre, par l'extinction de la lampe, on déclenche le mouvement d'abaissement du pylône jusqu'à ce qu'il soit dissimulé dans le socle. En plus on peut prévoir des moyens propres à immobiliser la source lumineuse à un ni- veau quelconque.
C'est selon la disposition, indiquée en dernier lieu, qu'à été conçue l'installation schématisée sur la fig. 5 et re- lative , un candélabre pour éclairage électrique avec commande hydraulique.
Le liquide (huile incongelable, etc. ) est emmagasinée dans un réservoir 18 avec conduite d'écoulement 19 et conduite de ramenée 20. Dans la conduite 19 est établie une pompe 21 avec un moteur électrique 22 branché sur le circuit d'alimen- tation 23 de la lampe. Dans ce circuit, branché sur le réseau
24 par un bouchon 25, est établi un interrupteur général 26, normalement fermé. Le circuit 23 est relié au câble 6, aboutis- sant à la lampe 5 et enroulé sur une sorte de treuil 27 avec rappel automatique.
Dans la conduite d'écoulement 19 est établi un clapet de retenue 28 et dans la conduite de ramenée se trou- ve un clapet 29 commandé par un électro-plongeur ou analogue, branché sur le circuit d'alimentation 23 de façon que ledit .'clapet 89 soit maintenu fermé aussi longtemps que le courant
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xaveqµ lédiE oirouit Ç Dans le it dU. mateur 22 est '' ¯ traverse ledi circuit/Dans le circuit du moteur 32 eat éta
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bli un premier interrupteur 30 commandé par un électro-plongeur 31 ou analogue branché sur le circuit d'alimentation générale 23 de façon que cet interrupteur se ferme automatiquement quand le courant passe dans ledit circuit 23.
Dans le ciruit du mo- teur 22 est établi un deuxième interrupteur 32 normalement fermé et qui est ouvert par une olive 33 ou analogue, fixée en un point approprié du câble 6, quand i'extension du pylône estdevenue maximum.
Des explications données ci-dessus, il résulte que si on lance le courant dans le circuit d'alimentation 23 de la lampe 5, on obtient l'allumage de celle-ci et en même temps la fermeture de l'interrupteur 30, ce qui provoque la mise en mar- ehe du moteur 22 et de la pompe 21. Le liquide est ainsi re- foulé au travers de la conduite 19 et en passant par le clapet de retenue 28 dans la capacité étanche extensible constituée par le pylône, ce qui provoque le mouvement de montée de la lampe 5. Pendant cette montée le clapet 29 est maintenu fermé, ce qui empêche le retour du liquide au réservoir. Quand la mon- tée de la lampe est devenue complète, l'olive 33 ouvre l'in- terrupteur 32 et le moteur s'arrête.
Pour obtenir l'extinction de la lampe et la descente du pylône, il suffit d'interrompre l'alimentation du circuit 23, ce qui provoque l'ouverture du clapet 29, la fermeture du clapet 28, l'enroulement du câble 6 sur le treuil 27 et par suite la fermeture de l'interrupteur 32. Le liquide peut donc retourner au réservoir 18 par la conduite 20 et par le clapet 29 .
Entre les conduites 19 et 20 on a établi un by-pass 34,avec valve automatique 35 et manomètre 36,pour permettre le retour direct du liquide, refoulé par la pompe 21, au réservoir 18 en cas de surpression. On peut d'ailleurs prévoir uhe autre sécurité constituée par un relais manométrique 37, branché sur la conduite 19 et qui commande l'ouverture d'un troisième in- terrupteur 38 établi dans le circuit du moteur 22 en cas de
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surpression. Par contre, dans le cas d'une fuite, il ae pro- duit une réduction de pression, ce qui donne lieu à la ferme- ture de l'interrupteur 38 et à la remise en marche du moteur
22 jusqu'à ce que la pression voulue soit atteinte.
Pour pouvoir immobiliser la lampe à un niveau voulu par rapport au sol (comme montré sur la fig. 2 en traita in- terrompus), par exemple pour pouvoir nettoyer ou remplacer la lampe, on peut établir dans le circuit du moteur 22 un quatri- ème interrupteur 39 qui est normalement fermé. En dérivation sur cet interrupteur 39 est établi un interrupteur à minuterie 40 qu'on peut régler pour obtenir automatiquement l'arrêt du pylône par l'ouverture du circuit du moteur 22, quand la lampe a atteint un niveau déterminé.
Un ou plusieurs verrous (non montrés), avec comman- de automatique, peuvent être prévus pour empêcher la descente du pylône quand la lampe a atteint sa position la plus élevée.
Comme il va de soi, et comme il résulte déjà de ce. qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d'application non plus qu'à ceux des modes, de réalisation de ses diverses. parties, ayant plus spécialement été indiquée; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notam-. ment: celles où la lampe serait portée à l'extrémité d'un sup- port extensible borizoritalement, ou suivant toute autre orien- tation, ce support pouvant, dans sa position de non-utilisa- tion, être dissimulé dans un bâtiment, derrière une cloison, etc., et celles où la source lumineuse serait supportée par un câble ou analogue tendu entre deux pylônes extensibles, fonc- tionnant en synchronisme comme indiqué plus haut.
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"Improvements made to lighting devices mounted on rigid supports, in particular to streetlights for electric street lighting".
The invention relates to lighting devices mounted on rigid supports, such as columns, pylons, arms, consoles, etc .; and it concerns, more specifically (because it is in their case that its application seems to offer the most interest), but not exclusively, among these devices, the street lights for electric street lighting.
Its main purpose is to make these devices such as they respond, better than hitherto, to the various desires of practice.
It consists mainly in making the support of the devices of the kind in question extensible, and in making it
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re comprise means suitable for immobilizing the light source at a desired distance from the support, for example the ground, on which said support is mounted.
It consists, apart from this main provision, of certain other provisions, which are preferably used at the same time and which will be discussed more explicitly below, in particular: a second provision - more especially relative in the case of an electric lighting - consisting in arranging in such a way, the control mechanism, by which one obtains the modification of the length of the support of the light source, that one automatically triggers the desired extension of said support when the ignition of said source is caused, by a remote control for example, and when the extinction of the latter gives rise to the shortening of said support;
and in a third arrangement - more especially relating to the case where it is a question of candelabra for public lighting. blic - consisting in making them include a base, more or less ornamented, in which the candelabra $ can be concealed when it is in the shortened state or not in use, in combination with means suitable for preventing the accumulation of rainwater, snow, etc., inside said base.
It relates more particularly to certain modes of application, as well as certain embodiments, of said provisions; and it relates more particularly still, and this as new industrial products, to the lighting devices of the kind in question, comprising the application of said provisions, the special elements and tools specific to their establishment, as well as the installations comprising similar devices.
And it can, in any event, be well understood with the aid of the additional description which follows, as well as the accompanying drawings, which complement and drawing are. well. understood, given mainly as an indication.
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Fig. 1 shows, schematically and in cross-section, a public road illuminated by means of street lamps established in accordance with the invention.
Figs. 2 and 3 show, in axial section, a lamphead established in accordance with the invention, these two figures showing this lamppost respectively in its position of non-use and in its position of use.
Fig. 4 shows, similarly but on a larger scale, a detailed part of this same candelabra.
Fig. 5 shows, schematically, the installation for controlling the candelabra shown in FIGS. 2 to 4.
According to the invention, and more especially according to that of its modes of application as well as those of the embodiments of its various parts, to which it seems that preference should be given, proposing to ensure the lighting of a public road using candelabra, at least some of which carry electric light sources (arc lamps, incandescent lamps or others), the procedure is as follows.
Instead of ensuring, as usual, the lighting of the public road by light sources distributed at different points of the street and which are located at invariable heights above the ground, we have remedies, as shown in fig. 1, to candelabra, at least some of which are extendable so that, during the lighting period, the height of the candelabras can be made maximum, for example about 20 meters, while during the day this height is minimized by interlocking the different parts constituting the candelabra. This can then be hidden, if necessary, in a base which is not very visible and which, on the outside, can be made as decorative as desired.
In this way we can obtain a powerful and efficient lighting of the public road since the conical light beam, emanating from each of the. lamps, is widely spread over the ground thanks to the considerable height of the pylon, while during the day the pyions and the light source can be concealed from
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so as not to detract from the aesthetics of the ambience.
For the example shown in fig. 2 to 5 it has been admitted that the pylon is made up of several sections of tubes 1, 2, 3 and 4 nested one inside the other so that the height of the pylon can be modified by a telescopic movement of the different sections. in relation to each other.
The upper section 1, of smaller section, carries the electric light source 5, supplied by a cable 6. Intermediate sections 2 and 3, in any number, are also mobile in height, while the section lower 4, of sufficient height so that the other sections can be engaged in it, is fixed and is, preferably, hidden by a base 7, the height of which is sufficient for the light source including its support to be also concealed , in the non-use position.
To prevent rainwater and snow from entering the interior of the plinth, the cap or roof 8, which protects the lamp 5 at its upper part and which supports the reflector, is given dimensions such as it can close the opening in the upper face of the base when the pylon is shortened (fig. 1). Is also established on the lower movable section 3 of the pylon, a shutter ring 9 which is capable of sliding, being driven by the section 3, in the cylindrical cavity formed in the base 7, until it closes the aforementioned orifice, when the pylon is in its position of use (fig. 3) to direct the water towards a channel or gutter formed in the base.
The details of this shutter are not shown, its constitution not presenting any diificulty. In addition, in the bottom of the base are formed conduits 7 d which serve to evacuate water that has entered the cylindrical cavity. Heating means for example a heating resistance 71 may be provided at the base of the base 7 to cause the melting of snow or ice which could accumulate in the base, the latter could ..p. moreover serve as a support-means of signaling,
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advertising, etc.
The telescopic movement can be obtained by various means, however preference is given to hydraulic control, for example by means of oil or other non-freezing liquid. The liquid is pumped inside the tubular body, expandable and tight, formed by the pylon. For this purpose, the upper end of section 1 is closed by a partition 10 through which the cable 6 passes. The sealing of the seal, formed by each pair of neighboring sections, is ensured for example by two rings 11. and 12 in each of which is housed a crimped leather gasket 13, similar to those used for hydraulic presses. The ring 11 is carried by the lower end of the upper section forming part of the aforementioned pair of sections. The ring 12 is carried by the upper end of the lower section.
The position of these rings is such that they can serve at the same time as stops limiting the upward and downward stroke of the corresponding sections. Among the other control means, which can be used to obtain the telescopic movement, one could cite a vertical rack or worm, sufficiently long and suitably guided in a housing arranged in the ground at a suitable depth and which would be driven vertically by a pinion actuated by an electric motor or the like.
The base 7 is mounted on a masonry block 14 with a pit 15 in which the control installation described more explicitly below is located, this pit comprising an access hatch 15 and a vertical ladder 17.
In the case of a hydraulic control, this can be arranged so that the pylon can, once the movement has been triggered, extend to the maximum, the movement then being interrupted, for example automatically. Likewise, when we want to telescopically "eclipse" the pylon, the downward movement can be triggered which is then interrupted,
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for example automatically, as soon as the lowering of the light source is complete. However, it is preferable to have recourse to an arrangement which allows the raising and / or lowering of the pylon to a desired level, the initiation of the movement being controlled for example from a distance.
The movement is automatically stopped when the light source reaches a desired position, which is not necessarily an extreme position. When it comes to electric lighting, it is advantageous to cause the lifting movement of the light source when the lamp is switched on, which is generally done by a remote control. The pylon then disengages from the base and extends until its extension is maximum. On the other hand, by turning off the lamp, the pylon lowering movement is triggered until it is hidden in the base. In addition, appropriate means can be provided for immobilizing the light source at any level.
It is according to the arrangement, indicated last, that the installation shown schematically in FIG. 5 and relative, a candelabra for electric lighting with hydraulic control.
The liquid (non-freezing oil, etc.) is stored in a tank 18 with flow line 19 and return line 20. In line 19 is established a pump 21 with an electric motor 22 connected to the supply circuit. 23 of the lamp. In this circuit, plugged into the network
24 by a plug 25, is established a general switch 26, normally closed. Circuit 23 is connected to cable 6, terminating at lamp 5 and wound on a sort of winch 27 with automatic return.
In the flow line 19 is established a check valve 28 and in the return line there is a valve 29 controlled by an electro-plunger or the like, connected to the supply circuit 23 so that said. valve 89 is kept closed as long as the current
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xaveqµ lédiE oirouit Ç Dans le it dU. mator 22 is '' ¯ crosses the di circuit / In the motor circuit 32 is sta
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bli a first switch 30 controlled by an electro-plunger 31 or the like connected to the general supply circuit 23 so that this switch closes automatically when the current passes through said circuit 23.
In the circuit of the motor 22 is established a second switch 32 normally closed and which is opened by an olive 33 or the like, fixed at a suitable point of the cable 6, when the extension of the pylon has become maximum.
From the explanations given above, it follows that if the current is started in the supply circuit 23 of the lamp 5, the lighting of the latter is obtained and at the same time the closing of the switch 30, which causes the motor 22 and the pump 21 to be started up. The liquid is thus returned through the pipe 19 and passing through the check valve 28 into the expandable sealed capacity formed by the pylon, which causes the upward movement of the lamp 5. During this upward movement the valve 29 is kept closed, which prevents the return of the liquid to the reservoir. When the rising of the lamp has become complete, the olive 33 opens the switch 32 and the motor stops.
To obtain the extinction of the lamp and the descent of the pylon, it suffices to interrupt the supply of the circuit 23, which causes the opening of the valve 29, the closing of the valve 28, the winding of the cable 6 on the winch 27 and consequently the closing of the switch 32. The liquid can therefore return to the reservoir 18 through the pipe 20 and through the valve 29.
Between pipes 19 and 20, a bypass 34 has been established, with automatic valve 35 and pressure gauge 36, to allow the direct return of the liquid, delivered by pump 21, to the reservoir 18 in the event of overpressure. We can also provide uhe other safety constituted by a pressure relay 37, connected to the pipe 19 and which controls the opening of a third switch 38 established in the circuit of the motor 22 in the event of
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overpressure. On the other hand, in the event of a leak, it produces a reduction in pressure, which gives rise to the closing of the switch 38 and the restarting of the engine.
22 until the desired pressure is reached.
In order to be able to immobilize the lamp at a desired level with respect to the ground (as shown in fig. 2, treated interrupted), for example in order to be able to clean or replace the lamp, it is possible to establish in the circuit of the motor 22 a fourth. th switch 39 which is normally closed. As a bypass on this switch 39 is established a timer switch 40 which can be set to automatically stop the pylon by opening the motor circuit 22, when the lamp has reached a determined level.
One or more locks (not shown), with automatic control, can be provided to prevent the descent of the pylon when the lamp has reached its highest position.
As it goes without saying, and as it already follows from this. above, the invention is in no way limited to that of its modes of application or to those of the embodiments of its various. parts, having been more specially indicated; on the contrary, it embraces all the variants, notably. ment: those where the lamp would be carried at the end of an extensible support borizoritally, or according to any other orientation, this support being able, in its position of non-use, to be concealed in a building, behind a partition, etc., and those where the light source is supported by a cable or the like stretched between two extensible pylons, operating in synchronism as indicated above.