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Appareil pour le dessin linéaire, Jusqu'à présent le parallélisme de la règle à tracer les horizontales est obtenu ( à part le T), par un fil flexible (sans fin), qui entoure successivement plusieurs poulies. Ce moyen a pour inconvénients: "raideur-usure-allongement-varia- tion du parallélisme et rupture improvisée du cable (ou fil),,.
Il y a recherche incessante des instruments, avec impossibi- lité de manoeuvrer les instruments sur les traits d'encre encore humide.
Cette inventinn présente une solution beaucoup plus pra- que de ce problème.
Les instruments nécessaires à l'exécution des dessins
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techniques (et autres): équerres-règles-rapporteur- etc.., étant jusqu'à présent dispersés sur la planche à dessin et ses environs, il arrive que leur recherche successive implique une perte de temps et de travail nuisible.
Par les dispositifs appartenant à cette invention, tous ces objets étant réunis à la règle (qui remplace le T), ils peuvent être l'un après l'autre immédiatement et Indifféremment déplacés dans n'importe qu'elle direction sur la table à dessin; il y a donc suppression des inconvénients précités.
Actuellement, lorsqu'un graphique se fait à l'encre, il faut soigneusement éviter de placer une aquerre, ou règle sur les traits faits à l'encre, avant que ceux-ci soient complète- ment secs, pour empêcher leur barbouillage, et attendre trop longtemps avant de pouvoir croiser une série de traits encore humides.
Selon l'invention, toutes ces espèces de pertes de temps disparaissent,étant donné que, ni règle angulaire tournante, ni équerres, ni rapporteur, ni règle parallèle ne touchent plus ici la surface graphique, serait-il même indéfiniment humide,
Sur les bords 4 droite et gauche de la planche à dessin, nt se trouve /immobilisées des crémaillères, dont la denture est dirigée vers le haut. Dans ces dentures engrènent respecti- vement deux pignons, chacun solidaire à chaque extrémité d' un arbre, qui est très facilement tournant sur pointeaux extrêmes et solidaires à une règle parallèle, très solide, incassable, inextensible et invisible, ce qui a pour consé- quence d'assigner à sa translation horizontale un parallélisme toujours rigoureusement parfait.
Une équerre à deux bras, chacun doublement millimétré, tourne sur l'axe central d'un rapporteur divisé en 180 , lequel glisse à volonté le long de la nervure qui, faisant corps à la règle pour la rendre inflexible, lui sert de guide,
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Une deuxième règle (dénommée ici angulaire) à double division millimètrée et de longueur égale à la diagonale de table à dessin, est rendue aussi bien immobilisée sur la règle parallèle par deux ergots fixes sur les extrémités de celle-ci, lui permettant au besoin de tourner à volonté sur l'un ou l'autre, que de tourner sur l'ergot qui dépasse son extrémité droite, toutes les fois qu'on l'introduit dans le trou central inférieur du rapporteur lui-même, par simple bas- culade sur son guide.
Les deux règles, le rapporteur et l'équerre, mobilisables tant ensemble que séparément, ne peuvent en aucun cas toucher la surface du graphique, étant donné que tous ces instruments reposent sur une règle horizontale glissant elle-même (de haut en bas et vice-versa) au dessus de la surface du dessin, sur la denture des dites crémaillères, qui dépasse à droite et à gauche le plan du dessin, et que d'autre part les bouts de l'équerre et l'extrémité de la règle angulaire sont munis inférieurement d'une double suspension pointue, n'épousant le graphique que par compression volontaire.
E n Résumé é l'invention concerne: l.-Une règle horizontale à mouvement parallèle-automa- tique caractérisée par le fait, qu'un axe tournant solidaire à cette règle porte à ses extrémités deux pignons, qui engre- nent respectivement dans deux crémaillères fixes, dont une à droite, l'autre gauche de la planche à dessin.
2.- Une règle horizontale selon 1, caractérisée par un ensemble d'instruments de mesure et de dessin, monté de telle façon que, ces instruments peuvent librement glisser et tourner, sans jamais devoir les chercher ailleurs.
3.- Une règle horizontale selon 1 et 2, caractérisée par le fait qu'aucune des deux règles, équerre, rapporteur, etc.., ne peuvent jamais toucher la surface du dess'in.
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