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"CRIC AMORTISSEUR HYDRAULIQUE"
L'invention consiste à prévoir un cric hydraulique, de préférence combiné avec un amortisseur hydraulique et établi de telle manière que lorsque le cric entre en action, l'huile sous pression y envoyée agit également pour déplacer un piston qui vient freiner ou bloquer une liaison mécanique entre l'es sieu et le châssis, en,sorte que tout soulèvement du châssis par le vérin entraîne un soulèvement déterminé de l'essieu par cette liaison, ce dernier soulèvement étant de préférence le même que celui du châssis.
A titre de variante, l'invention consiste à prévoir un
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système suivant lequel l'huile-, sous pression envoyée dans le vérin pour faire fonctionner le cric, agit également sur un piston ou autre organe mécanique, pour venir bloquer automati- quement la courroie d'un enrouleur, par exemple un amortisseur, de telle manière que, lorsque le cric entre en action, tout soulèvement du châssis entraîne un soulèvement correspondant de l'essieu.-
Suivant une autre forme de réalisation de l'invention, l'huile sous pression envoyée dans le cric passe en même temps dans un cylindre auxiliaire pour agir sur un piston ou analogue dont la tige agissant'à la manière d'un verrou coulissant, vient s'engager soit sous l'essieu ou le ressort, ou sous tout organe solidaire de ceux-ci,
soit sous le bras ou le levier d'un amortisseur quelconque, dans le but spécifié ci-dessus.
L'invention prévoit en outre, de préférence en combinaison avec ce système, des moyens d'actionnement du cric, ainsi que des moyens permettant l'alimentation régulière de celui-ci.
Selon l'invention, de tels moyens consistent à adapter à tout endroit convenable du véhicule un corps de pompe dont le piston agit sous la poussée d'une tige filetée attaquée par un vilebrequin, pour refouler l'huile continue dans le dit corps de pompe vers le cric et l'organe auxiliaire de blocage ou de verrouillage susindiqué.
L'invention prévoit enfin l'adaptation au corps de pompe précité d'un dispositif et de moyens permettant de compenser automatiquement toute perte ou manque d'huile qui viendrait à se produire lors du fonctionnement du cric.
A simple titre d'exemple, quelques modes de réalisation de l'objet de l'invention se trouvent décrits ci-après, en ré- férence aux dessins schématiques annexés, dans lesquels :
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Fig. 1 montre par une vue d'élévation en section trans- versale , un cric-amortisseur établi suivant un premier mode de réalisation.
Fig. 2 est une vue partielle en section transversale d'un second mode de réalisation suivant l'invention.
Figs. 3 à 7 sont des variantes d'exécution.
Fig. 8 est une vue d'élévation avec coupes transversales partielles d'un cric hydraulique équipé d'un dispositif enclen- cheur automatique pour le verrouillage de l'essieu.
Fig. 9 est une vue en section transversale de la pompe destinée à alimenter ce cric.
Fig. 10 est une vue de détail du vilebrequin de commande avec sa tige-poussoir pour actionner le piston de la dite pompe
Fig. 11 est un détail de l'un des organes prévus en cas d'utilisation du dispositif compensateur.
Fig. 12 est une vue de détail de ce dispositif compensa- teur.
Fig. 13 est une variante d'exécution dans laquelle l'orga ne'prévu pour le verrouillage de l'essieu selon Fig. 8 est adapté au cric pour bloquer le levier d'un amortisseur.
Dans l'exemple montré en Fig. 1, le mécanisme constituant cric comprend un cylindre 1 dans lequel coulisse un piston 2 à tige 3 télescopant dans ce cylindre 1 qui porte inférieu- rement une semelle 4. Un ressort de rappel 5 muni de deux rondelles intercalaires 6 servant de guides à la tige du pis- ton, se trouve prévu entre le piston et le fond du cylindre.
Cette tige télescopante 3 est munie à sa partie infé-, rieure d'un pied articulé 7, au moyen d'une rotule 8.
Une monture 9 fixée au châssis 10 du véhicule comprend une partie alésée 12 formant un cylindre dans lequel peut se déplacer un piston étanche 13 présentant un bossage' 14 qui est avantageusement de conformation spéciale et qui vient agir
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en poussée sur un bossage correspondant 15 prévu à l'extrémité d'un levier 16 calé sur l'arbre 17, agencé dans la monture 9, et portant un bras 18 relié à l'essieu 19 par la bielle 20.
L'amortisseur, qui n'est pas forcément prévu en combi- naison avec le cric, est constitué par un cylindre 11 adapté à la'monture 9 qui forme carter. Ce cylindre est divisé en deux compartiments par une cloison 21 à orifice central 22 dans lequel passe une tige 23 portant à ses extrémités deux pistons étanches 24-25, et qui est munie d'une buselure 26 présentant extérieurement deux parties coniques ou conoides 27-28,.de conicité différente, qui sont séparées par un rétré- cissement 29.
L'équipage des deux pistons est relié d'un côté au levier 16 par une bielle 30 articulée en 31 et 32.
Latéralement au cylindre 11 se trouve prévu un dispositif compensateur 33 de forme cylindrique,comportant un piston 34 soumis à l'influence d'un ressort 35, le dit compensateur com- muniquant avec les compartiments 36 et 36a du cylindre 11 par les lumières 37 et 37a.
Ce dispositif a pour but de compenser automatiquement les pertes éventuelles d'huile et d'atténuer les coups de bélier.
Un bouchon de remplissage 40 est prévu sur le cylindre 11.
Le cylindre 1 du cric est raccordé d'une part en 38 à l'amenée d'huile sous pression, et d'autre part, au cylindre 12 par un orifice 39.
Le fonctionnement de l'appareil ci-dessus décrit est le suivant :
Lorsqu'il s'agit de soulever la voiture, on injecte au moyen d'une pompe quelconque de l'huile sous pression dans le cylindre 1 du cric, par l'orifice 38.
Cette huile passe par l'orifice 39 et pousse le piston 13
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jusqu'au contact avec le levier 16, qui se trouve ainsi pra- tiquement immobilisé dans le sens requis, ainsi que le bras 18, la bielle 20 et l'essieu 19, de sorte que tout soulèvement du châssis par l'action du cric, sous l'effet de l'huile injectée, entraîne un soulèvement correspondant de l'essieu.
Suivant la relation existant entre le rapport des sections du cylindre 1 et du cylindre 12, et le rapport des longueurs C du levier 16 et D du bras 18, on peut obtenir que ce bras 18 reste dans la position au moment de la levée du châssis, ou bien qu'il se déplace vers le haut ou vers le bas, jusqu'à équilibre des efforts en jeu.
Lorsqu'on permet à l'huile sous pression de s'échapper, le ressort antagoniste 5 ramène le piston du cric à sa posi- tion initiale de repos, tandis que le piston 13 est ramené à sa position de repos par le levier 16, sous l'effet de la descente de l'essieu.
Concernant l'amortisseur
Les déplacements angulaires du levier 16, sous l'effet des déplacements relatifs de l'essieu 19 et du châssis 10, provo quent des déplacements correspondants des pistons solidaires 24 et 25 dans le cylindre 11, déplacements qui sont freinés par le passage de l'huile du compartiment 36 dans le compar timent 36a ou vice-versa, à travers la section laissée dans l'orifice 22 de la cloison 21, par la buselure 26 précédemment décrite.
La conformation extérieure de la buselure amovible peut être prévue de manière que la section de passage laissée à l'huile dans l'orifice de la cloison permette d'obtenir à tout moment le freinage qui convient le mieux pour l'amortissement.
Un tel amortissement pourra être modifié par simple rem- placement de la dite buselure.
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On conçoit que l'amortisseur hydraulique pourrait être remplaoé par un autre amortisseur quelconque, et notamment un amortisseur à friction dont l'un des organes mobiles serait réuni à l'une ou l'autre partie de la liaison mécanique entre l'essieu et le châssis.
Dans l'exemple montré en Fig. 2, la monture 9 retenant le vérin 1 et fixée au châssis 10 du véhicule, comporte une partie alésée 41, formant cylindre dans lequel peut se dépla- cer un piston étanche 42 soumis à l'action d'un ressort de rappel 43, le dit piston présentant un bossage inférieur 44 prévu en regard d'une alvéole 45 ménagée dans une paroi inté rieure 46a solidaire d'un boîtier ou carter 46, formant corps avec la monture 9 et supportant la courroie 47 d'un en- rouleur 48.
A la partie supérieure du dispositif est prévue une lumière 49 établissant la communication entre le vérin 1 et le cylindre 41. ,
Lorsqu'on injecte de l'huile dans le vérin 1 pour faire fonctionner le cric, une partie de cette huile passant par la lumière 49 a pour effet de faire descendre le piston 42 qui vient alors comprimer la courroie 47 et la retenir dans l'alvéole 45, de manière à immobiliser cette dernière et à permettre ainsi le soulèvement du châssis, à l'aide du vérin, tout en entraînant un soulèvement correspondant de l'essieu.
Un autre mode de réalisation de ce dispositif (Fig. 3) consiste à intercaler entre le piston 42 et la courroie 47 un patin ou analogue 50 articulé en 50a à la monture 46 de l'enrouleur, le dit patin venant immobiliser la courroie dès que l'huile, introduite dans le vérin, pousse le piston 42 vers le bas.
Un autre mode de réalisation (Figs. 4 et 5) consiste encore à bloquer l'enrouleur 48, lorsque l'huile sous pres-
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sion est injectée dans le vérin 1 , cette huile passant alors en même temps par la lumière 49 pour venir agir sur le piston 42, lequel vient presser l'enrouleur contre un disque de friction 51 maintenu contre la face intérieure 46b du carter 46, de manière à immobiliser le dit enrouleur et la courroie 47 enroulée sur celui-ci.
Suivant le mode de réalisation montré en Fig. 6, l'huile injectée dans le vérin 1 passe par la lumière 49 pour arriver dans le cylindre 41, d'où elle agit sur le piston 42 qui vient comprimer des disques de friction 52, 53,54, contre la face intérieure 46b du carter 46,empêchant ainsi le levier 55 relié à l'essieu de descendre, de sorte que tout soulèvement du châs- sis par le cric entraîne immédiatement le même soulèvement de l'essieu, par la liaison de l'amortisseur.
Comme le montre la Fig. 7, un autre dispositif consiste à prévoir entre l'essieu et le châssis une liaison par cylin- dre et piston, de telle manière que lorsqu'on injecte de l'huile dans le vérin 1, cette huile se trouve également in- jectée par une lumière 56 prévue latéralement au cylindre 41 et débouchant sous un piston 57, monté dans ce cylindre , de sorte que dans son soulèvement, le piston 57, par l'internié- diaire de la courroie 58, relèvera l'essieu de façon corres- pondante.
Un réglage judicieux des surfaces des pistons 2 et 57 permettra d'obtenir un rapprochement plus ou moins accen tué de l'essieu vers le châssis.
Dans la forme de réalisation,montrée dans la Fig. 8, le mécanisme constituant le cric comprend un cylindre, extérieur 65 et un cylindre intérieur 66, solidaires tous deux d'une monture 67 fixée au châssis 10 du véhicule.
Dans le cylindre 66 coulisse un piston 68 à tige télex- copante 69 appuyée contre le fond 70 d'un pied 71 normalement
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abuté, sous interposition d'une rondelle intercalaire 72, for- mant joint, contre la partie inférieure du cylindre 65,lorsque le cric est au repos, le dit pied étant maintenu dans cette position au moyen d'un ressort de rappel 73 prévu entre les cylindres 65 et 66, et retenu dans le fond de ce pied et celui de la monture 67.
Le cric est pourvu, partie inférieure, d'un cylindre 59 dans lequel peut se déplacer un piston 60 soumis à l'action d'un ressort de rappel 61 et dont la tige 62 vient agir à la manière d'un verrou,pour venir s'engager sous l'essieu 19, ou sur un organe qui en est solidaire, lorsque l'huile, introduite dans le vérin par l'orifice 74, est amenée en même temps dans le cylindre 59 par la dérivation 63.
Comme montré en Fig. 9, la pompe destinée à alimenter le cric et raccordée à celui-ci par le conduit 75, comporte un cylindre 76 dans lequel coulisse un piston 77. Ce cylindre 76 est terminé à l'une de ses extrémités pa,i? un raccord 78 pour la tuyauterie 75, et à l'autre extrémité, par une douille 79 à filet intérieur 80, destinée à recevoir une tige filetée 81 munie d'une butée de réglage 82 et terminée d'un côté par un vilebrequin 83 à poignée 84, et de l'autre côté par une par- tie lisse 85 pourvue d'une bille de friction 86.
Comme le montre la Fig. 10, le vilebrequin-83 est établi de manière à présenter un maneton 83a à petit bras de levier, et un maneton 83b à grand bras de levier, dont le rôle sera expliqué plus loin.
Le fonctionnement du dispositif ainsi défini s'opère comme suit :
Lorsqu'on désire actionner le cric, pour soulever le vé- hicule, on commence par enlever le cache-poussière 87 proté- geant la douille 79 de la pompe.
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On introduit alors l'extrémité 85 de la tige filetée 81 dans cette douille, de manière à amener la bille 86, prévue en bout de la dite extrémité, en butée sous le piston 77.
On manoeuvre alors le vilebrequin 83 en opérant sur le maneton 83a à petit bras de levier, de manière à déplacer le piston 77, lequel chasse l'huile contenue dans le cylindre 76 pour l'amener dans le cric par le conduit 75.
Cette huile vient alors agir simultanément sur le piston 68 du cric et sur le piston 60 du cylindre 59, de manière à provoquer la descente du pied 70 jusqu'au contact avec le sol, ainsi que le verrouillage de l'essieu 19.
A ce moment, le poids du véhicule étant à soulever, pour démultiplier l'effort, on manoeuvre alors le vilebrequin en opérant sur le maneton 83b à grand bras de levier.
Pour laisser redescendre le véhicule, il suffit simple- ment de détourner le vilebrequin.
L'huile est alors ramenée dans la pompe au moyen des ressorts 73 et 61 qui refoulent également le piston 77 vers sa position normale (Fig. 8).
Comme déjà dit, la tige filetée 85 est pourvue d'un écrou de butée 82.
Cet écrou a pour but de limiter la course du piston 77, et par conséquent celle du piston 68 du cric, de telle ma- nière que s'il venait à se produire un manque d'huile dans l'appareil, il suffirait de déplacer cet écrou 82 dans le sens de la flèche X (Fig. 10) pour obtenir des dits pistons la course nécessaire.
En vue de compenser automatiquement tout nouveau manque d'huile qui viendrait à se produire lorsque l'écrou-butée 82 a atteint le maximum de sa course, l'invention prévoit que le corps de la pompe sera pourvu d'un orifice 76a communiquant
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avecuun raccord 88 normalement obturé par un chapeau 89.
En supposant par exemple que le piston 77 refoulé par les ressorts 73 et 61 se soit arrêté à un endroit quelconque Y dans le cylindre de la pompe, par suite d'un manque d'huile, , il suffira de dévisser le chapeau 89 et d'adapter en place de celui-ci l'embouchure 91 d'une réserve d'huile appropriée 92, puis de présenter un organe accrochant quelconque,tel que 90, (Fig. 11), en regard d'un épaulement 77a du piston 77,et de ti- rer ce dernier jusqu'à sa position normale dans le cylindre 76 de la pompe, en vue d'y créer une dépression.
Le piston 77 restant alors maintenu dans cette position par le dit organe 90, il suffira de dévisser le chapeau 93 de la réserve 92, ce qui permettra à la pression atmosphérique d'injecter l'huile dans le creux formé par le retrait du dit piston dans le cylindre de la pompe.
Il va de soi qu'en cas de non utilisation de cette ré- serve, un bouchon 94 sera vissé sur l'embouchure 91 (Fig. 12).
En outre, la tige-vilebrequin 81-83 pourra avantageusement être articulée en 95, de manière à pouvoir être repliée en vue de réduire l'encombrement de celle-ci.
Dans la forme de réalisation montrée en Fig. 13, la tige
62 du piston 60 vient simplement bloquer le levier ou bras 18 d'un amortisseur 96 lorsque l'huile est injectée dans le cric, et par suite 'dans le cylindre 59 qui en est solidaire.
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"HYDRAULIC SHOCK ABSORBER"
The invention consists in providing a hydraulic jack, preferably combined with a hydraulic shock absorber and established in such a way that when the jack comes into action, the pressurized oil sent to it also acts to move a piston which brakes or blocks a connection. mechanical between the axle and the frame, so that any lifting of the frame by the jack causes a determined lifting of the axle by this connection, the latter lifting preferably being the same as that of the frame.
As a variant, the invention consists in providing a
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system according to which the oil, under pressure sent to the jack to operate the jack, also acts on a piston or other mechanical member, to automatically block the belt of a reel, for example a shock absorber, of such so that, when the jack is activated, any lifting of the chassis results in a corresponding lifting of the axle.
According to another embodiment of the invention, the pressurized oil sent to the jack passes at the same time into an auxiliary cylinder to act on a piston or the like, the rod of which, acting in the manner of a sliding lock, comes from engage either under the axle or the spring, or under any member integral with them,
or under the arm or lever of any shock absorber, for the purpose specified above.
The invention further provides, preferably in combination with this system, means for actuating the jack, as well as means allowing the regular supply thereof.
According to the invention, such means consist in adapting to any suitable place of the vehicle a pump body, the piston of which acts under the thrust of a threaded rod driven by a crankshaft, in order to drive the continuous oil into said pump body. towards the jack and the aforementioned auxiliary locking or locking device.
Finally, the invention provides for the adaptation to the aforementioned pump body of a device and means making it possible to automatically compensate for any loss or lack of oil which might occur during operation of the jack.
By way of example, some embodiments of the object of the invention are described below, with reference to the appended schematic drawings, in which:
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Fig. 1 shows in an elevational view in cross section a shock absorber jack established according to a first embodiment.
Fig. 2 is a partial cross-sectional view of a second embodiment according to the invention.
Figs. 3 to 7 are execution variants.
Fig. 8 is an elevation view with partial cross sections of a hydraulic jack equipped with an automatic locking device for locking the axle.
Fig. 9 is a cross-sectional view of the pump intended to supply this jack.
Fig. 10 is a detail view of the control crankshaft with its push rod for actuating the piston of said pump
Fig. 11 is a detail of one of the organs provided in the event of use of the compensating device.
Fig. 12 is a detail view of this compensating device.
Fig. 13 is an alternative embodiment in which the organ ne'prévu for locking the axle according to FIG. 8 is adapted to the jack for locking the lever of a shock absorber.
In the example shown in FIG. 1, the mechanism constituting a jack comprises a cylinder 1 in which slides a piston 2 with a rod 3 telescoping in this cylinder 1 which carries a base 4 below. A return spring 5 provided with two intermediate washers 6 serving as guides for the rod piston, is provided between the piston and the bottom of the cylinder.
This telescoping rod 3 is provided at its lower part with an articulated foot 7, by means of a ball 8.
A frame 9 fixed to the frame 10 of the vehicle comprises a bored part 12 forming a cylinder in which can move a sealed piston 13 having a boss' 14 which is advantageously of special conformation and which acts
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thrust on a corresponding boss 15 provided at the end of a lever 16 wedged on the shaft 17, arranged in the frame 9, and carrying an arm 18 connected to the axle 19 by the connecting rod 20.
The shock absorber, which is not necessarily provided in combination with the jack, is constituted by a cylinder 11 adapted to the frame 9 which forms the housing. This cylinder is divided into two compartments by a partition 21 with a central orifice 22 in which passes a rod 23 carrying at its ends two sealed pistons 24-25, and which is provided with a nozzle 26 having two conical or conoidal parts 27 on the outside. 28, .of different taper, which are separated by a narrowing 29.
The assembly of the two pistons is connected on one side to the lever 16 by a connecting rod 30 articulated at 31 and 32.
Lateral to the cylinder 11 is provided a compensating device 33 of cylindrical shape, comprising a piston 34 subjected to the influence of a spring 35, the said compensator communicating with the compartments 36 and 36a of the cylinder 11 through the openings 37 and 37a.
The purpose of this device is to automatically compensate for any oil loss and to attenuate water hammer.
A filler cap 40 is provided on the cylinder 11.
The jack cylinder 1 is connected on the one hand at 38 to the pressurized oil supply, and on the other hand, to the cylinder 12 via an orifice 39.
The operation of the apparatus described above is as follows:
When it comes to lifting the car, pressurized oil is injected by means of any pump into cylinder 1 of the jack, through port 38.
This oil passes through the orifice 39 and pushes the piston 13
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until contact with the lever 16, which is thus practically immobilized in the required direction, as well as the arm 18, the connecting rod 20 and the axle 19, so that any lifting of the frame by the action of the jack , under the effect of the injected oil, causes a corresponding lifting of the axle.
Depending on the relation existing between the ratio of the sections of cylinder 1 and cylinder 12, and the ratio of the lengths C of lever 16 and D of arm 18, it is possible to obtain that this arm 18 remains in position when the frame is lifted. , or else it moves up or down, until the forces involved are balanced.
When the pressurized oil is allowed to escape, the counter spring 5 returns the jack piston to its initial rest position, while the piston 13 is returned to its rest position by the lever 16, under the effect of lowering the axle.
Regarding the shock absorber
The angular displacements of the lever 16, under the effect of the relative displacements of the axle 19 and of the frame 10, cause corresponding displacements of the integral pistons 24 and 25 in the cylinder 11, displacements which are slowed down by the passage of the oil from compartment 36 to compartment 36a or vice versa, through the section left in orifice 22 of partition 21, by nozzle 26 previously described.
The external conformation of the removable nozzle can be provided so that the section of passage left to the oil in the orifice of the partition makes it possible to obtain at any time the braking which is best suited for the damping.
Such damping can be modified by simple replacement of said nozzle.
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It will be understood that the hydraulic damper could be replaced by any other damper, and in particular a friction damper, one of the moving parts of which would be joined to one or the other part of the mechanical connection between the axle and the frame.
In the example shown in FIG. 2, the frame 9 retaining the jack 1 and fixed to the chassis 10 of the vehicle, comprises a bore portion 41, forming a cylinder in which can move a sealed piston 42 subjected to the action of a return spring 43, the said piston having a lower boss 44 provided opposite a cell 45 formed in an internal wall 46a integral with a housing or casing 46, forming a body with the frame 9 and supporting the belt 47 of a reel 48.
At the top of the device is provided a slot 49 establishing communication between the jack 1 and the cylinder 41.,
When oil is injected into the jack 1 to operate the jack, part of this oil passing through the aperture 49 has the effect of lowering the piston 42 which then compresses the belt 47 and retains it in the cell 45, so as to immobilize the latter and thus allow the lifting of the frame, using the jack, while causing a corresponding lifting of the axle.
Another embodiment of this device (Fig. 3) consists of inserting between the piston 42 and the belt 47 a pad or the like 50 articulated at 50a to the frame 46 of the reel, said pad coming to immobilize the belt as soon as the oil, introduced into the jack, pushes the piston 42 downwards.
Another embodiment (Figs. 4 and 5) still consists of blocking the reel 48, when the oil under pressure.
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Zion is injected into the jack 1, this oil then passing at the same time through the port 49 to act on the piston 42, which presses the reel against a friction disc 51 held against the inner face 46b of the housing 46, to so as to immobilize said reel and the belt 47 wound on it.
According to the embodiment shown in FIG. 6, the oil injected into the cylinder 1 passes through the opening 49 to arrive in the cylinder 41, from where it acts on the piston 42 which compresses the friction discs 52, 53,54, against the inner face 46b of the housing 46, thus preventing the lever 55 connected to the axle from descending, so that any lifting of the frame by the jack immediately causes the same lifting of the axle, by the connection of the shock absorber.
As shown in Fig. 7, another device consists in providing between the axle and the frame a connection by cylinder and piston, so that when oil is injected into the cylinder 1, this oil is also injected through it. a slot 56 provided laterally to the cylinder 41 and opening under a piston 57, mounted in this cylinder, so that in its lifting, the piston 57, through the internal of the belt 58, will raise the axle in a corresponding manner. laying.
A judicious adjustment of the surfaces of the pistons 2 and 57 will make it possible to obtain a more or less accentuated approach of the axle towards the chassis.
In the embodiment, shown in FIG. 8, the mechanism constituting the jack comprises a cylinder, outer 65 and an inner cylinder 66, both integral with a frame 67 fixed to the frame 10 of the vehicle.
In the cylinder 66 slides a piston 68 with telex-coping rod 69 pressed against the bottom 70 of a foot 71 normally
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abutted, under the interposition of an intermediate washer 72, forming a joint, against the lower part of the cylinder 65, when the jack is at rest, the said foot being held in this position by means of a return spring 73 provided between the cylinders 65 and 66, and retained in the bottom of this foot and that of the frame 67.
The jack is provided, lower part, with a cylinder 59 in which can move a piston 60 subjected to the action of a return spring 61 and whose rod 62 acts like a lock, to come engage under the axle 19, or on a member which is integral with it, when the oil, introduced into the cylinder through the orifice 74, is brought at the same time into the cylinder 59 through the bypass 63.
As shown in Fig. 9, the pump intended to supply the jack and connected to it by the conduit 75, comprises a cylinder 76 in which slides a piston 77. This cylinder 76 is terminated at one of its ends pa, i? a connection 78 for the pipe 75, and at the other end, by a sleeve 79 with internal thread 80, intended to receive a threaded rod 81 provided with an adjustment stop 82 and terminated on one side by a crankshaft 83 to handle 84, and on the other side by a smooth part 85 provided with a friction ball 86.
As shown in Fig. 10, the crankshaft-83 is established so as to present a crank pin 83a with a small lever arm, and a crank pin 83b with a large lever arm, the role of which will be explained later.
The device thus defined operates as follows:
When it is desired to operate the jack, in order to raise the vehicle, the first step is to remove the dust cover 87 protecting the sleeve 79 of the pump.
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The end 85 of the threaded rod 81 is then introduced into this sleeve, so as to bring the ball 86, provided at the end of said end, into abutment under the piston 77.
The crankshaft 83 is then maneuvered by operating on the crankpin 83a with a small lever arm, so as to move the piston 77, which drives the oil contained in the cylinder 76 to bring it into the jack via the conduit 75.
This oil then acts simultaneously on the piston 68 of the jack and on the piston 60 of the cylinder 59, so as to cause the lowering of the foot 70 to contact with the ground, as well as the locking of the axle 19.
At this time, the weight of the vehicle being to be lifted, in order to increase the force, the crankshaft is then operated by operating on the crank pin 83b with a large lever arm.
To let the vehicle descend, all you have to do is turn the crankshaft.
The oil is then returned to the pump by means of the springs 73 and 61 which also force the piston 77 to its normal position (Fig. 8).
As already said, the threaded rod 85 is provided with a stop nut 82.
The purpose of this nut is to limit the stroke of the piston 77, and consequently that of the piston 68 of the jack, in such a way that if there were to be a lack of oil in the apparatus, it would suffice to move this nut 82 in the direction of arrow X (Fig. 10) to obtain the necessary stroke from said pistons.
In order to automatically compensate for any new lack of oil which would occur when the stop nut 82 has reached the maximum of its stroke, the invention provides that the body of the pump will be provided with an orifice 76a communicating
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with a fitting 88 normally closed by a cap 89.
Assuming for example that the piston 77 pushed back by the springs 73 and 61 has stopped at any point Y in the pump cylinder, due to a lack of oil, it will suffice to unscrew the cap 89 and d 'adapt in place thereof the mouth 91 of a suitable oil reserve 92, then present any hooking member, such as 90, (Fig. 11), facing a shoulder 77a of the piston 77 , and to draw the latter to its normal position in the cylinder 76 of the pump, in order to create a vacuum therein.
The piston 77 then remaining held in this position by said member 90, it will suffice to unscrew the cap 93 from the reserve 92, which will allow atmospheric pressure to inject the oil into the hollow formed by the withdrawal of said piston. in the pump cylinder.
It goes without saying that if this reserve is not used, a stopper 94 will be screwed onto the mouth 91 (FIG. 12).
In addition, the crankshaft rod 81-83 can advantageously be articulated at 95, so as to be able to be folded in order to reduce the size thereof.
In the embodiment shown in FIG. 13, the rod
62 of the piston 60 simply blocks the lever or arm 18 of a shock absorber 96 when the oil is injected into the jack, and consequently 'into the cylinder 59 which is integral with it.