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@ Appareil pour fr@iser la peau humaine.
La présente invention a pour objet une frais* à rotation rapide destinée au traitecent de la peau humaine et permettant de l' aminoir en lui enlevant une faible couche de l'épiderme.
Au demain annexé, donné titre d'exemple, plusieurs formes d'exécution de l'appareil ont été représentées, et à ce dessins Fig. 1 cet une coupe longitudinale partielle de l'appareil, Pige 2 - 8 montrent différente* formes de la fraise'en ooupe longitudinale, Fig. 7 représente une fraise commandés par l'entramise d'un câble flexible.
Dans toutes les figurée, les menée chiffrée de référence désiment les mime@ orpanes.
1 est un moteur électrique tournant à grande vitesse, 2 l'arbre de l'induit, 3 indique schémstiquement un poids eto.
-roduieant un céséquilibrage de l'induit. 4 eet un pignon calé sur l'arbre 2 et @ un axe logé rotativement dans le bâts, entouré de ce cote d'une enveloppe rotative @ à bord recourbe à angle droit qui peut être arène en prise avec le pignon 4, servent ainsi d'erroné réducteur de vitesse. Ce bord replié7 eet parni d'une
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::::1..::: e ,1. cacutc!'cuco fibre etc. do8tinée à au=enter l'adhérence .1r. tr 1" -'f-non 4 et l'enveloppe rotative 4.
A d48irne un r"ef'ort 1 1-o qui disjoint nomal-iment lee deux 616-ente c11 n'e.^.tr^.^.t -n priée rue lors d'une pression exercée sur la fraine d<n9 'a direction de la fleche 9.10 représente la fraies fixée sur :'enveloppe e de manière à pouvoir en être enlevée et remplacée par une autre etc. Cette fraie. peut adopter les forcée les plue
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diverses (flg. 2-f).
L'arent actif produisant l'effet abrasif est constitué par un*' ecrte de brosse polie de chêvre. de sciée etc. placée à une distance minima de 2 c/o environ de l'axe de rotation 12-12, afin d'éviter leur torsion lors d'urne rotation rapide. 15 désigne une barue élastique placée entre le porte- frais* 10 et le support 14 de* élément@ à effet abrasif 11. 15
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est l'enveloppe comulémentaire qui entoure le moteur et c.ui peut atre confectionnée, tont oacc. celle $ en une matière cpr1ée, isolante quelconque. 16 eet une poignée rigide ou dl¯stique (caoutchouc) fixée à l'enveloppe 15 ou venu* de fonderie avec elle.
Le canal 17 renferme et protège le* conducteurs qui peuvent
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être reliée à un cot=utateur, non représenté. Sur la poignée la ou sur l'enveloppe 16 est fixée une lare élastique 18, tenue par une via 19. L'extr1t' libre de la lame porte une tazmiture 2C pouvant favoriser un effet de freinage qu'elle exerce sur le oarot e ou un autre organe rotatif solidaire de la frai se. Le freinage
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s'effeotue guenit8t qu'on appuie, dane la direction de la floche 21 sur ladite lame 18.
L'appareil faisant objet de la pr4sente invention com@cet
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donc un artifice de conrande 1,2,3 et un évent ooroandé e, tourrant peu près 500 toureinute, pouvant être rerdu soi- daire de l'or pane de connande suanentionné, et portant l'outil !?.Il.14,23 qui produit un effet abrasif sur la p9au huraine.
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Une fraie' tournant à grande vitesse ne peut être
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utilisé" pratiquement pour le traitement d la paatque si son contact ne produit auoune sensation douloureuse.
Or, les expériences et essais, effectuée avec ds bro@@@ garnies de polie ou soie$ etc. Il disposée autour de
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l'axe ou dans un cercle de très petit dismitre, ont pvouvée que ce* artifices à effet abrasif@ agissent à la tagon d'une Bêche et perforent l'épideme ou bien, et surtout quand on emploie des polie souples, eubi sent une torsion analogue à oelle des oablas, 9#enohevêtrent dans les poilu tenu* de la peau et les arrachent.
Suivant l'invention et pour remédier à ose inoonvbnientr on dispose les vole@ à effet abranit à l'instar des dente d'une train* métallique, o'est-à-dire avec un centre évidé 22 (Fig. 3) ayant un rayon d'au moins 2 m/m. Pratiquement on réalise le même effet lorsqu'on raccourcit les soie@ du centre euivant la
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fig. 6, de sorte quoelles ne viennent paa en contact avec la peau lorsqu'on y pose la train*.
On peut encore placer les sole. obli- quement sur un suppcrt plat ou incurvé (fig. 4-22), dort le centre de rotation peut également être muni de soies, qui sont
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cependant dirigée obliquecent vers l'extérieur, de sorte que leurs extrémité', venant en contact avec l'épiderme, décrivent un cercle lorequ'on fixe une fraiee de ce genre dans une position
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centrale ou suivant prsa'une ligne droite, loraqt'on place la fraise latéralement.
A e8té de la forme au'on dsoire donner à la fraie quant à la disposition des Il -ente qui la constitue, 'il faut terir compte que l'effet abraeif est rroduit par le frottèrent
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de poile, sole. etc., action partiaulièrenont douée et qu'il ne peut être atteint que si leur vitesse d'avancement sur la peau
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est rilativmment élevée. Cette vitesse, variable dans de. limites
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étendue*, @loil. être, d#après lee @osais, comprise entre 0,2 m/eec -ilnl'Tun et 10 M/sec. caz1mum.
La dureté, o$eat-à-dire la sourlene les soie* dont l'Influence dépend du degré de la pression de la frais@ eur la chair, ne Jouant qu'un rôle secondaire, étant donna que la frais* doit de toute façon être placée eur la peau d'une
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anlère relativement douce, c'est-à-dire prudente.
Si l'on dépasse la vitesse d'avanceuent eueenticr.ée, on ressent , même 1-re d'une légère pression de la fraiee sur la peau, une sensation de brûlure -ouvant aece provocuer un acci- dent. Il faut donc veiller aveo soin à ce que la vitesse de rota- tion resta dan. le* limites permises,en tenant compte de er que pratiquement le diamètre maximum d'une fraise ne pourra pas dépas- cer 7 @@ environ. Pour des raison. pratique* on utilise peur la
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connande des appareils, construite suivant l'invention, de petite moteurs fonctionnant tous à courant normal faisant un grand nomtre
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de tour*, diminuant rapidement sous charge, main qui s'emballert en tournant à vide.
La fraise accouplée à un tel moteur tournant à vide fait, si l'on ne prerd pas les précautions nécessaires ur
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tel grand nombre de tours, qu'elle provoque, m%me en ne la posait que léaérerent sur la peau, p.expl. le visage, une eensatlon de douleur, et éventuelle'sent même une blessure de l'épiderne.
On munit par conséquent la fraise, ou l'organe ducu@l
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elle dépend, p.expl. l'arbre de cc=-ande, le support des sole. etc. d'un artifice qui enFendre une rBistance mécanique, r.exrl.
1'L frein 18,19,20 d'un r6rulat r cors=and6 etc.
Avant de poser la fraise sur la chair, et lersqu'elle fait vide un trop grand nombre de toure, on diminue ce nombre !an1J la juste mesure par 1#mntrentes d'un frein eto. Lorsque la fr2les arit pur la peau, rn p<'ut lâcher le frein, étant nonne oue la résistance du travail réduit alcre In norbre dm tourf 8Urr18-
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sont pour éviter tout accident. On peut aussi donner au rédus.
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tour de vitesse e le caractère d'un organe engendrant autooaticue "ont une réelo%tanoe par frottement, apte à augmenter la résintane can1qus, o*eet-à-dire la verte d'effort défaut d'une charge utile.
On peut obtenir par exemple que le frottement de l'sobraya, transformateur 4,8 augmente ooneidér&blenont un nombre de tours lbvb, freinant ainei IA moteur, de eorte que le total algébrique de la charte utile + la charge en perte reete eonstant dane lee limites voulus* et que le nombre de tours du moteur à courant principal et de la frais* reete relativement constant. Il s'agit,
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il ont vrai, de tal4r%nces oses% onnsid4rables, comme le démontre la zone euenentionnee variant entre 0,2 ot 10 m/eeo. n peut invere6oont réaliser le mine effet modsrateur lorsqu'on disjoint progreselyecent la connexion opérative entre les orPanee d&embrayapo et le moteur au fur et à mesure que la charge utile diminue, p.expl. par l'lnterc6dl&1re du ressort A, fig. 1.
Dans oe oas, quand la pression, exercée dans la direction de la flèche 9, la charge utile diminue, le nombre de toure du moteur augmente, mais @@ même tempe le glissement entre le pignon
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4 et 1#organe 6 s'acoentue pour régulariser la vitesse de la frais*. On peut donc, par l'entremise des artifices régulateurs indiquée, reliée deanodromiquement a l'organe commandé, maintentr la vitesse de la frais* à une valeur incapable de nuireà la peau. rivant l'Invention on prévoit encore des moyens grâce
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aU}. els la frôlée produit une 10rov1bratlon sur la peau, o'eet- à-dire qu'elle l'influence oériodiouenent d'unp faon très douce.
Ceci pout être prnvoqu6, Ca'"!1'16 e c'eet l 'l1ear;e, par 1'"n4nar #ont l'un poids d4truinant l'équilibre, mais pour résoudre ce problème, ,r. utllloe suivant l'invention, un moyen auquel on n'avait Fuère cage-
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e'innorte quel induit 2 (fig. 1) d'un moteur de petites i^neicne rreeente un faible défaut inhérent aux mas...,4tant donné qu'il ne peut pas être suffisamment équilibré pour des ralcone d'économie de production.
( voir indication aohétsatioue en 3 de la fig. 1). ?,orsqu'on dispose le acteur de aorte que l'artère de son Induit occupe, suivant l'emploi d'une fraise à
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-liteau circulaire, une frais@ convexe, plate ou cylindrloue, une position perpendiculaire ou parallèle par rapport à l'axe de
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rotation de 1L frais,, et que la frais* -10,14,11- eet reliée par l'entremise d'un embrayage, à l'induit du acteur, et ce d'une
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faon relativement rigide, o'eet-à-dire de telle sorte que la fraise subisae, en plus du moment de rotation, des effets centri- fuges du moteur, et que l'ar-areil est fixé sur un manche 16 en conservant une certaine élasticité, l'appareil entier subit, n raison de l'induit déséquilibré,
une faible vibration qui varie en intensité avec l'effet de la masse désaxée. Or, suivant l'inven- tion on ne désire produire que de faibles vibrations de sorte que
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le faible d.11ibrare de l'induit y suffit -mplement. Comme on a trouvé avantageux de faire d4paeser le nombre de tours de la fraise par le nombre deimpulsion der v1bratiOLs, or. r911e l'axe 2 de l'induit par l'entremise d'un erbrayare-réduoteur Ruz la frais.
10,11. L'induit fait un nombre de tours plue grand que la fraise
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et celle-ci subit partant plusieurs 1mpulsions vibratoires durant un seul tour.
On peut augmenter la vibration sans augmenter le d4faut
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des -assez en rendant le ^c':e Elastique au'on nlace avantarouao- ment dans le plan de l'axe de l'induit.
21 l'inertie des masses de l'induit ne suffirait pas et s'il n'existait, p.expl. en utilisant un arbre flexible 2 (fig. 7), qu'une liaison connexe mais non pas r'ide entre l'induit et la
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fr,ise, ne trnBf(rant pae les force* centrifuges, on peut, afin -3 recoudre le problème de l'Invention, donner une telle oanfl- rraticn la frai.. même que la vibration oo produie. quand mk". n peut dono provoquer un dée6quilibrage de* masses fur la fraise @@@@ et mettre aine! l'appareil entier en vibration en le fixant sur une manche élastique. On peut ainsi placer l'artifice effet
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abrasif (trains) d'une aar.lèrs non sy6trique par rapport l'axe ou au point de rotation.
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Un effet s-cialement avantageux cet produit, en reliant la trains à l'organe de ootEaande par un élément élastique 1S (fig. 1,2 et 6) auquel on fait subir l'effet des masses de la fraise mise en rotation, ce qui produit un couverent de va et vient alternatif des soies en plus de la rotation susmentionnée.
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Le corps 1C supportar.t la frais*, c'eet-1-dire le support 14 des soie@ activée Il peut encore lui-même être élastique ou être rendu tel. Si la frais* est port4e hore de la position centrale sous l'Influence d'un facteur quelconque ou tar l'action de la
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fraise mime, en la freinant d'une façon non evmaetrique, voir p. expl. la flèche fig. Mi elle quitte sa position centrale, lndiffé- rem ent de ce qu'elle occupe au repos une position exactement centrale ou non.
Lorequ'on pose la fraise sur la peau son diplace- rent dans la direction de la partie du corps eoutniee au traite- pent diminue, il ne produit un mouvement asymétrique de la fraiae et elle exécute, en clus de la rotation, um mouvement de va et vie@@ ou vibratoire.
Pig. 7 montre enfin un acteur 1 relié par un arbre fle- xible 2 à la poignée 16 où 11 entraine l'axe 23 qui supporte le plateau 6 sur lequel on fixe la fraise interchangeable 10, la.