" perfectionnements apportés aux appareils manométriques
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plus robustes et plus faciles à. manier.
<EMI ID=3.1> étant d'abord soumises simultanément à. l'aide d'un organe
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sion moyenne des pressions oscillantes à étudier, puis amenées, par un organe détendeur, à une pression sensiblement égale à cette pression moyenne, les deux enceintes pouvant alors être isolées l'une de l'autre par un organe séparateur, pour mettre en évidence les pressions différentielles dues aux oscillations --, à agencer de manière telle, les susdits organes pompeurs, détendeur et séparateur" qu'ils soient enclenchés les uns aux autres de façon réciproque,
de sorte qu'il soit impossible de soumettre séparément l'une
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à celle de l'organe détendeur, ce qui empêche toute fausse manoeuvre et évite ainsi la détérioration de la membrane élastique.
Elle consiste, mise à part cette disposition principale, en certaines autres, dispositions qui s'utilisent de préférence en même temps et dont il aéra. plus explicitement parlé ci-après, notamment,
en une deuxième disposition -- plus particulièrement re-
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côté de l'autre sur le membre du patient -- consistant à établir) entre l'organe séparateur et lesdites poches, un distributeur permettant de faire coagir, de différentes manières, les deux poches, suivant la nature des expériences à effectuer"
et en une troisième disposition -- exclusivement relative aux appareils comportant un manomètre dont la, gradua-
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ter l'aiguille au zéro -- consistant' à supprimer ladite butée et à avoir recours à un dispositif permettant, lorsque
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Elle vise plus particulièrement un certain mode d'application (celui où on l'applique aux appareils pour
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nouveaux, les appareils du genre en question comportant application de ces mêmes dispositions,, les éléments spéciaux propres à leur établissement,ainsi que les ensembles, fixes ou mobiles, comprenant de semblables appareils.
Et elle pourra, de toute façon, être. bien. compri-
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des dessins 'ci-annexés, lesquels complément et dessina sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication."
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ment, un sphygmomanomètre établi, conformément à, un mode de réalisation de l'invention." ainsi que les tubes conduisant au brassard.
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portant un brassard à deux poches, et établi, lui aussi, conformément à l'invention.
Les fig. 3 et 4 montrent, respectivement en éléva-
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mément à un autre mode de réalisation de l'invention, le brassard et les. tubes y conduisant étant supposés enlevés.,
Les fig. 5 et 6 montrent, respectivement, en cou-
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séparateur comportés par l'appareil des fig. 3 et 4.
Les fig. 7, 8 et 9 montrent, respectivement, en
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sphygmomanomètre établi conformément t à un dernier mode de réalisation de l'invention, ainsi que les tubes conduisant au brassard.
Selon l'invention, et plus spécialement selon celui de ses modes. d'application, ainsi que ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant, par
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tension artérielle, on procède comme suit, ou de façon analogue.
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ment:
une première enceinte constituée par un boîtier étan-
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tre à chaque instant la pression régnant dans ledit boîtier,
une deuxième enceinte.[pound]. constituée par une capsule anéroïde,' les déformations de ladite capsule se transmettant à une aiguille d, .deux canalisations, généralement constituées par des <EMI ID=19.1>
constituée par une poire, l'autre f faisant communiquer la
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bras du sujet à étudier,
enfin, un conduit h. reliant la capacité du boîtier à celle de la capsule, ce conduit ayant par exemple ses extré-
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Et, en ce qui concerne les organes détendeur i et
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au lieu, comme on le fait ordinairement, de monter ces deux organes de façon indépendante, par exemple en reliant
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le séparateur j. en un point quelconque du conduit h, disposition d'où il peut résulter que si, par inadvertance 5 un
<EMI ID=24.1> ceintes peut être, indépendamment de l'autre ou bien mise en
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ne puisse,,
J
ni mettre l'une seulement des deux: enceintes en communication avec l'échappement ou avec la pompe, lorsque le séparateur a supprimé la communication entre ces. deux mêmes, enceintes ,
ni davantage, lorsque les deux enceintes sont en communication avec l'échappement ou avec la pompe, faire fonctionner le séparateur, sans supprimer en même temps ladite communication sers les duux enceintes..
A cet effet, on aide préférence, recours à un organe unique que l'on dispose, par exemple, au point de jonc-
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consister en une clé k susceptible ,
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ou bien de tourner dans celle-ci, comme représenté sur les dessina.
On fait comporter à la clé et à sa. glacer un sys- tème de conduite' et de lumières, comme il est facile à tout
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blir, lorsque désiré, une communication entre lea de.ux en-
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d'autre part, lesdits conduits, de plus, étant situés de telle 'façon, qu'aucune position de la clé ne puisse permettre une communication séparée entre l'une dea enceintes ife la
pompe ou l'organe, détendeur;
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ou bien (fig. 3 à 9) on monte l'organe détendaur i sur un conduit spécial qui peut,. soit communiquer avec une
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térieur de la clé et être relié avec les passages comportés par ladite clé.
Selon le premier des deux modes de réalisation susindiqués, on fait comporter à la clé k, un nombre de passages au moins: égal à trois, et de préférence disposés à angle droit les uns par rapport aux autres ces passages m, n.,
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l'organe détendeur i pouvant être constitué de toute manière appropriée, par exemple par une vis à. pointeau, ou encore-par une vis à conduit latéral.
De préférence (fig. 2), on fait comporter à la
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On voit que, de toute façon, on réalise dans. la position de la clé indiquée en trait plein sur les fig. 1 et
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et que, au contraire, pour toute autre position (par 'exemple celle indiquée en pointillé), la clé agit,
d'abord comme séparateur, pour permettre la lecture
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et, de plus, comme organe enclencheur, empêchant toute communication entre l'une quelconque des enceintes, d'une part, et la pompe ou l'organe détendeur, d'autre.part.
Enfin, dans le cas de la fige 2 et dans cette même position en pointillé,, la clé � agit de plus comme séparateur
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à la fois du boîtier et de la capsule pendant les lectures.
Selon le second des modes de réalisation s.usindi-
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� établis comme dans le mode de réalisation précédent,
on constitue, par exemple, l'organe détendeur, par une
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génératrice* l'étanchéité, au moment de la fermeture, étant
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On conçoit qu'alors.,, en prenant seulement avec deux doigts, la vis i., on peut à la fois manoeuvrer cette vis, et fai.re tourner la clé qui fonctionne absolument de la même manière que dans le cas des fig. 1 et 2.
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tions extrêmes.
Selon une variante du susdit second mode de réa-
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d'une lumière supplémentaire 1<3> communiquant avec l'atmosphère par un conduit 1 , cette dernière lumière étant dispo- <EMI ID=43.1>
pour laquelle la communication est établie entre les deux enceintes.
Et, pour ce qui est de la communication avec la pompe [pound].1 on peut,,
ou bien l'établir de la manière déjà indiquée,
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ruelle que soit la disposition adoptée, il existe trois positions intéressantes de la clé, l'une correspondant à l'échappement, une deuxième correspondant au pompage et faisant un angle de 90[deg.] avec la première, enfin une troisième pouvant être constituée par toute position intermédiaire et réalisant la séparation.
Enfin, dans un autre mode de réalisation (fig. 10) au lieu d'avoir recours, comme il a été supposé jusqu'à présent, à un seul organe, tel que la clé k, situé au
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tendu, dans le cas d'un brassard à deux poches, être conjugués avec un troisième assurant l'isolement de la poche supplémentaire,
on munit lesdits organes obturateurs de moyens, tels que leviers le , pour enclencher leurs mouvements et leur permettre d'ouvrir ou d'obturer en même temps le conduit h
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Quel que soit le mode de: réalisation adoptée on obtient un ensemble dont le fonctionnement a été suffisamment'
<EMI ID=49.1> . indiqué pour qu'il soit inutile d'insister davantage' à son. sujet, et qui présente sur les appareils de ce genre déjà existants, de nombreux avantages, notamment-.
celui d*une manipulation très facile, particulièrement
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un dessin d'exécution d'un sphygmomanomètre comportant un organe séparateur enclencheur tel que décrit fig. 5 et 6,
celui d'une parfaite sécurité,, la capsule anéroïde ne pouvant, en aucun cas, être soumise à des pressions ou dépression.brusques$, la mettant en danger,
celui, par conséquents, d'assurer une précision très grande à ces appareils..
Dans le cas où l'on voudrait avoir une précision encore plus grande, on pourrait d'ailleurs avantageusement
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gard de la graduation correspondant à sa position neutre, l'aiguille d. actionnée par la capsule anéroïde, et cela par exemple lorsque les indications de cette aiguille ont été
<EMI ID=52.1> .pour réaliser lesdits moyens, on monte par exemple <EMI ID=53.1>
3
lequel est fixé un doigt e qui s'appuie -constamment sur une
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et, pour pouvoir effectuer cette opération de réglage,
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qué, ou bien, et mieux, on a recours à certaines dispositions supplémentaires telles que les suivantes, et qui peuvent,
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. Selon l'une de ces dispositions -- plus particulièrement dans le cas où l'on désire procéder à l'étude de la pression artérielle à l'aide d'un brassard ayant au moins deux poches élastiques situées l'une à coté de l'autre sur <EMI ID=59.1>
séparateur et l'une des poches, un distributeur permettant de faire coagir, de différentes manières, les deux poches, suivant la nature des expériences à effectuer.
On constitue avantageusement ce distributeur de la
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un robinet à trois directions, dont la clé-peut occuper trois positions différentes, telles que,
dans la première position (en trait plein), la poche
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nomètre des indications plus exactes,
dans la deuxième position, les deux poches soient réunies entre elles, et agissent à la manière d'une seule,
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manière que l'on puisse amener son zéro sous l'aiguille dans sa position de repos,.
ou bien on interpose, entre l'aiguille et la capsule dudit manomètre, un système analogue à celui venant d'être décrit pour la remise à sa position neutre de l'aiguille
Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs
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celui de ses modes d'application (celui où on Inappliqué aux
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