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" perfectionnements apportés aux dispositifs pour assurer entre un arbre moteur et un arbre:récepteur, une liaison permettant des variationà progressives du rapport des. vi- tesses de rotation desdits arbres ".
L'invention est relative aux dispositifs pour assurer entre un arbre moteur et un arbre récepteur,, une liaison permettant des variations progressives du rapport des vitesses de rotation desdite arbres.
Elle a pour but, surtout, de rendre cette liai- son plus souple, en même temps que plus simple, qu'elle ne l'était dans les dispositifs usuels.
Elle consiste, principalement,, à monter sur l'un' au moins des deux arbres à réunir par un dispositif du genre en question, une roue sur laquelle peut rouler au moins un satellite dont l'axe est porté par un élément animé d'un mouvement de rotation lié à celui de l'arbre moteur, ledit satellite étant agencé de maniera à subir un freingae d'au- tant plus fort que la vitesse de rotation de Isolement por- tant son axe est plus élevée, ce qui permet à l'arbre récep-
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teur d*adopter, quelle que aoit la vitesse de l'arbre moteur, une vitesse correspondant à la résistance qui lui est appli- quée.
Elle consiste, mise à part cette disposition prin- cipale, en certaines autres dispositions qui s'utilisent de préférence en même temps, et dont il sera plus explicitement question ci-après.,
Elle vise plus particulièrement certains modes d'application, ainsi que certains modes de réalisation des- dites dispositions; et elle vise plus particulièrement enco- re, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les dis- positifs du genre en question comportant application desdi- tes dispositions, les éléments spéciaux propres à leur éta- blissement, ainsi que les machines, fixea ou mobiles, compor- tant de semblables dispositifs..
Et elle pourra., de toute façon, être bien compri- se à l'aide du aomplément de description qui suit, ainsi que du dessin ci-annexe, lesquels complément et dessin sont, bien entendu,donnés surtout à titre d'indication.
Les fig.1 et 2, de ce dessin, montrent, respec- tivement en élévation et en coupe, un dispositif pour assurer la liaison entre deux arbres, établi conformément à un pre- mier mode de réalisation de l'invention.
La fig. 3 montre,en coupe, une variété du dns- positif représenté sur la fig. 1 et 2.
La fig. 4, enfin, montre, achématiquement et en coupe, un dispositif pour assurer la liaison entre deux ar- bres, établi suivant un autre mode de réalisation de l'in- vention.
Selon l'invention, et plus particulièrement selon ceux de, ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble que doive être accordée la, préférence, se proposant, par exemple, d'établir un dispositif pour assurer-entre un arbre moteur .il.
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..1 -"""''''''''''''v'\J et un arbre récepteur µ dont les axera Sont an prolongement l'un de l'autre, une liaison permettant des variations pro- gressives du rapport des messes de rotation desdits arbres, on procède comme suit, ou de façon analogue..
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Om monte sur 1 au moins des dame a,rbrea. par exemple aur l'arbre récepteur b un pignan a que 1ón cana- titue (ainsi que les satellites dont il var être parler), soit par un galet,, soit par- une soue'dentée, et on prévoit, pour venir zo-aler aux ce pignons au moins un satellite 1 et, de preférenee, plusieurs:
, ainsi qu'il sera supposé dans tout ce qui va suivre, lesdita satel- lites pouvant tourillonner à l'intérieur de paliers aompor- tés par un organe tel que bottier, que l'on relie de'manière
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telle, à l'arbre moteur 20 que ledit boîtier ait entratn4 dans un mouvement de rotation de vitesse égale ou.proportion- nelle à celle de l'arbre a, ce pour quoi on peut, par exem- ple,
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ou bien (fige 1 et 2) monter les axes des a.tl7i,tea d parallèlement à la direction commune aux.
deux ambres a et b, ces satellites pouvant, par exemple, tourillonner à l'inté- rieur de paliers ménagés sur l'un des fonds d'un boîtier cylindrique que l'on rend solidaire de l'arbre moteur a, par tous moyens appropriés, ou bien (fig. 3 et 4),monter les exes des- satellites perpendiculairement à la direction, commune aux deux arbres a
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et b (les surfaces primitives des s.tellit'ea et d'a pignon a étant alors -dea surfaces cani:quea) les axes deadits satel- lites pouvant touxil1onner à l'intérieur de paliers que- )+on ménage, soit aur un boîtier solidaire de 1 àibre a {±1g.31. soit aur un bottier indépendant des:
demc arbres (fig. 4)S-L dans ce dernier cas, on fait comportex également & l'arbre moteur un pignon , de aorte que les satellites peuvent rou- ler la fois sur les pignons f et 2L9 tandis que ie bottier lui-même peut tourner à une vitesse vaiiable entre. ' et w !
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. ai # et la vitesae de l'arbre a, et si l'arbre Il tourne dans le même sens que l'arbre a.
Enfin, on pourrait aussi monter les axes des sa- tellites obliquement par rapport à l'axe commun aux deux ar- bres a et b,le bottier pouvant être encore, soit solidaire de l'arbre a, soit monté librement sur les deux arbres.
Et, dans chaque cas, on établit le bottier lui- même de toute façon appropriée, mais de-préférence, en le constituant par une botte étanche, afin qu'on puisse, éven- tuellement, le remplir d'huile, auquel cas on prévoit des paliers étanches tels que g, à l'intérieur desquels peut 'tourillonner l'arbre IL (fig. 1 à 3), ou même les deux arbres et b (fig. 4).
,Ayant ainsi réalisé, d'une façon ou d'une autre, un système tel, que les deux arbres et b puissent tourner ou bien à des. vitesses, proportionnelles, lorsque les satellites peuvent tourillonner dans leurs paliers, ou bien à. dea vitesses égales, lorsqu'au contraire ces.
mêmes satellites sont immobilisés dans leurs paliers, on prévoit des moyens propres à exercer un freinage sur les satellites, de façon à pouvoir obtenir pour l'arbre b, suivant la valeur de ce freinage, toute la gamme de vi- tesses désirables, ces moyens étant réalisés, de préférence, en ayant recpurs à la force centrifuge, ce pour quoi par exemple, ou bien on utilise seulement le frottement des touril- lons des satellites dans leur palier, frottement qui s'ac- croît, évidemment, sous l'effet de la force centrifuge, ou. bien, dans le cas d'un bottier étanche à bain d'hui- le, on utilise le frottement dea satellites dans cette huile, , auquel Cas on ménage avantageusement dans ledit bottier des pièces:
h occupant une partie de ce bottier (fig. 1) et assu- rant une meilleure répartition de l'huile, ou bien, et mieux, on a recours à des masses. i à l'une
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des. extrémités de bras .j oaaillant autour dtoun axe fixe à boîtier, leadits. bras transmettant leur mouvement & des. orga- nes k propres à exercer un effort de freinage s.ur lem- autel- liten lorsque les. masaes. 1 sont sollicitées par 1''effet de la force centrifuge, de sorte que ce freinage GEott en même temps que la vitesse de l'arbre moteur a.
Quel que soit le mode de réalisation adoptée on obtient un ensemble dont le fonctionnement est assez: clair
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pour qu'il soit inutile dinsister a. son aujet, et qui pré-, sente', sur les dispositifs de ce genre déjà. exiatanta, de nombreux avantages, notamment:. celui d'une construction- très simple et d'une grande souplesse de fonctionnement; celui de. permettre de réaliser un. embrayage automati- que, lequel embrayage a'opère progressivement jusqu'au moment
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où. le freinage exercé sur les se;.te7LZ.te soues 1*effet de la force centrifuge eat sssez important pour arnéten eomBLe.te- ment la rotation de ces- satellites autour 'de leura aea les deux àrbrea j et b se trouvant alors aolidariaa-;
un tel em- brayage pouvant être particulièrement intéressant.d8a le cas où l'on veut faire de lourdes machinas; celui de permettre,, lorsque l'on monte le dispositif 'le 1 "ÎnténtîorL sur une voiture automobile, 4"&voir retours @ à une botte de vitesses comportant deux vitesses seulement$ ledit dispositif assurant le passage progressif- d'une vitesse
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à. l'autrep et un embrayage uauel pOUv8,nt. bien entendue t-tre prévu dans ce cas,, celui de permettre' encore* dans le cas d'une voiture
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automobile comportant une marathe arrière, da pouvoir utili- Ber aussi bie,la marche é,rrière que la. mara':1.e avant pour réaliser, dans une descente un :
ltreine,e,-à 3.'*ë5ii.a'teur, 5 celui de pouvoir se prêter'avantageusement a.ux.mes'aree de frottement des tourillon4 d4,ns- leurs paliers, En effet, ai on veut mesurer, par exempl.e,. J1e- frottement,aur oae paliers
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d'un arbre de diamètre et de poids determinés, il suffit d'établir un dispositif conforme à. l'invention,tel, par exem- ple, que celui décrit fig. 1 et 2,et dans lequel le diamètre des tourillons dea satellites est égal à celui des touril- lons de l'arbre à étudier.
On fait alors tourner 1?arbre ± dudit dispositif jusqu'à ce que la force centrifuge s'exer- çant sur les tourillons des satellites, soit égale à la réac- tion due au poids. de l'arbre à étudier et s'exerçant sur les paliers dudit arbre: on obtient le frottement cherché, en mesurant la différence entre la puissance transmise par l'ar- bre et celle recueillie par l'arbre b. Bien entendu, le diamètre dea satellites est, dans ce cas, réduit au minimum, pour que leur poids n'influence paa les mesures.
Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à ceux de ses modes d'application, non plus qu'à ceux de ses modes de réalisation ayant plus particulièrement été indi- qués; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notamment: celles où les satellites, au lieu d'être disposés exté- rieurement aux pignons tels que .2,et f, seraient établis de manière à pouvoir rouler sur la surface intérieure de couron- nes cylindriquea, celles où les. axea des arbres a et b ne seraient pas établis en prolongement l'un de l'autre, ces mêmes arbres pouvant être, ou non, paralièlea.