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BREVE" D'INVENTION " Perfectionnements apportés aux véhicules à suspension élastique, notamment à ceux automobiles ".
L'invention est relative aux véhicules # suspen- sion élastique; et elle concerne plus spécialement (parce que c'est dans leur cas que son application parait devoir offrir le plus d'intérêt), maisnon exclusivement, parmi ces véhicules,'ceux automobiles.
Elle a pour but, surtout, de rendre ces véhicules tels que les oscillations auxquelles ils sont soumis par sui- te des dénivellations du chemin suivi soient mieux amorties que jusqu'ici et d'une façon plus douce.
Elle consiste, principalement)a constituer de manière telle , la suspension élastique a faire comprendre aux,véhicules du genre en question, que la partie a suspen- dre correspondant a chaque roue soit supportée par l'inter-
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médiaire d'au moine une capacité déformable contenait un
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fluide gazeux co-sari.:é, et que les capacités déforilla-bles relatives à chaque roue ou chaque paire de roues co:iL.,,uri-qutnt avec un réservoir de volu.ne notablement plus Grand que le volume total desdites capacités.
Elle consiste, mise à part cette disposition
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principale, en certaines atred1sPositionSJ qui s'utili- sent de préférence en même temps et dont il sera plus ex-
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plicitelilent parlé ci-après, notamment en une a.utre disposi- tion -- exclusivement relative, celle-ci , au cas où les vé- hicules du genre en question sont à roues indépendantes -- consistant à relier chaque paire de roues à la partie corres-
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pondante à suspendre par un système articulé tel que c: hClU6 roue puisse se déplacer en hauteur en restant coata¯.:L-:ert 'Parallèle à elle-même, ou presque , la ;"'o9i tion pou#, : t , en effet varier à la rigueur entre des limiter elles-ine-,res telles qu'allas soient :m.na influence sur la ten'J8 dru route du véhicule.
Elle vi se plus particulièrement un certain mede
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d'application (celui où on l'applique aux automol;ili?s) , ainsi que certains modes de réalisation (ceux qui seront indiqués ci-après), desdites dispositions ; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits in- dustriels nouveaux, les véhicules du genre en question com- portant application de ces mêmes dispositions, ainsi que les éléments et outils spéciaux propres à leur étatlisse- .!lent.
Rt elle pourra, de toute façon, être bien co..:-
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prise à l'aide du co.,.pléient de description qui suit, ami si que des dessins ci-annexés, les('1uls cO'''Plé:'!lent et des-1;:? so¯,t, 'bien entendu, CiO:.)'1t.:3 aurtout à titre d'indication.
Les fig. 1 et 2 de ces dessins montrent, respec- tivement en élévation et en plan schématiques et partiels, parties enlevées, un automobile établi conformément à
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l'invention.
Les fig. 3 et 4 montrent , en vue en bout sché- matique et partielle, parties enlevées, respectivement par l'avant et par l'arrière, ce même automobile,
La fig. 5 montre, en vue en bout schématique et partielle par l'arrière, parties enlevées, un autre auto- mobile établi, pour ce qui est de cette partie arrière, d' une façon autre qu'aux fig. 1 , 2 et3, maisdont la partie avant est constituée comme à ces dernières figures.'
La fig. 6 montre, de la même façon que la file;. 5 , maispar l'avant , un automobile établi, pour ce qui est de cette partie avant, d'une manière autre qu'aux fig, 1., 2 et 4, mais dont la partie arrière est constituée comme à ces dernières figures.
Selon l'invention, et plus spécialement selon ce.. lui de ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réali sation de ses diverses parties , auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant d'établir un automobile, on s'y prend comme suit, ou de fa- çon analogue,
Concernant -la partie à suspendre du véhicule (châsis proprement dit a, moteur, caisse, etc.), on la constitue comme à l'ordinaire.
Concernant la partie non suspendue de ce véhicule , ainsi que le dispositif de suspension élastique à interpo- ser entre les parties non suspendie et à, suspendre , on les établit comme suit.
Pour ce qui est de la partie de ce dispositif correspondant aux roues avant b, on la con stitue, on lui faisant comprendre des biellesde poussée b1: par un système articulé formé ou bien , comme à la fig. 3, par deux parallèlogrammss articulés, remplaçant l'essieu,'établi dans le plan trans- versal passant par les axes des roues b. ayant un côté idéal:
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commun situé dans le plan axial du véhicule etfixés espec-
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L3.vtF.tcsttL c.<.a rmiiiui tic <,iùjxoiiA j."'S<11t;,:
l'ûIHh:1 .tiE3 ..Cd..-:id se trouvent les pivots de celles-ci le;tout de façon que
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chaque roue, quand elle se déplace en hauteur, reste COllst::'.lil- ment parallèle à. elle-meaille, chacun desdits parallelograiiHties comprenant deux barres parallèles entre elles, articulées, par les unes de leurs extrémités, aux barres correspondantes c de l'autre parallélogramme par l'intermédiaire d'axes d portés par une traverse al rendue solidaire de la partie an- térieure du châssis a et, par leurs autres extrémités, par
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l'intermédiaire d'axes e, à une pièce fixe 1 rendue solic3,.i de ladite partie de moyeu de la roue b correspol1-nte, ou bien, cornue à la fig.
6, sur laquelle on voit que l'essieu est conservé, par des barres croisées c indéper-
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danses et articulées, par leurs extrémités supérieures, res- pectivement aux lon-erons du châssis et, par leurs extrai- tés inférieures, à l 'e<3"1ieu, cela aux deux extrémités, par l'intermédiaire de biellettes; par une , ou i,iieux, 1 CO::l:"e il sera supposé dam cé qui suit, par deux paires de cylindres g, avec pistons C orrespCi:
::1a.nts, à tiges de piston oscillantes, disposée de Manière telle, à même hauteur, à égale di stance et de ....}.....qU9 côté du !,l:' 11 vic.l du véhicule, et, dc,ns chaque pai- re, de part et d'autre dA l'un des parallèlogre.1.::'1.es articu- lés, ou des barres croisées ç, que les tiges h de ces dif- férerts pistons se dirigérat vers le bas, pour être a.r ti rr- lées, par leurs extrémités supérieures, aux pistons -- de même d'ailleursque les tiges de piston dont il sera parlé dans ce qui suit -- et, par leurs extrémités inférieures, par l'intermédiaire d'axes i, à un support 1 fixé, pour le cas
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de la fig. 3, à la barre inf érieure e du parallélogramme cor- respondant, et, pour le cas de la fig.
6, aux axes d'articu- lation inférieurs des barres croisées c, ou encore sur l'es- sieu partie avant ou sur la trompette du carter partie arriè-
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re ; et par un réservoir ferméet étanche k de capacité notablement plus grande que la capacité totale des quatre cy- lindre g, lequel réservoir est établi dans le châssis a et en communication, par les conduites 1 et 11, à la fois avec ces quatre cylindres, ledit réservoir pouvant, si on le dési- re, être divisé en deux compartiments par une cloison étan- che, dans lesquels on ferait déboucher respectivement les conduites 1 et 11, de manière ,, séparer totalement l'effet de déplacement de la roue gauche par rapport à la roue droite.
Pour ce qui est de la partie du dispositif cor- respondant aux rouesarrière m , on la constitue,en lui fai- sant comprendre des bielles de poussée m1, et, comme ci-des- sus, deux paires de cylindres ±. et réservoir k correspondant ou bien, comme le montre la fig, 4, de la même façon qu'à la fig 3, les trompettes n du pont-arrière é- @@@@@@@@ d'autre part, aux pièces f fixées aux moyeux des roues; ou bien, comme le montre la, fig. 5, en conservant le -,Dont-arrière tel qu'il est établi ordinairement et en articulant les extrémités inférie'ures des tiges de piston des deux paires de cylindres g respectivement aux trompeta tes n, en i, et en ayant recours à des diagonales articulées c montées sur bielettes et destinées à assurer la liaison de l'essieu au châssis.
Pour assurer la suspension du véhicule -- sus- pension qui ne comprend aucun ressort métallique --, on comprime, à une pression suffisante, au moyen d'une pom- pe pouvant être actionnée par exemple par l'arbre à cames du moteur, ou à la main, de l'air dans la capacité formée par lesuatre cylindres g antérieurs et le réservoir k correspondant muni d'un robinet d'évacuation 2 pour l'air en excès, ainsi que dans la capacité formée par les quatre cylindres g postérieurs et le réservoir . correspondant
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mu"i d'>in -se±>1;,ble rolinet J2., la pression de cet air po'j:vcnt être la dans les leix capacités si le;.:;
:?oiG.3 de la ;7e.rt:<<: à :1u';IJEln '1'(' ziort S6J,'d.1.1e.nont les :ê ..6 vpr.! l'avant et vers l'arrière du véhicule, ou bien , dans le cas contraire , celui notamment où des charges différentes sort réparties sur la longueur dudit véhicule, plus forte dans la capcité correspondant à l'extrémité la plus lourde de la#,1-
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te partie à suspendre;
ces deux capacités pouv..fIt <.v::..nt<.:.Ge .- seluent c0ts:aunicuer entre elles par un tuyau g dans lequel et intercalé un détendeur de pression ± pouvant être établi soit entre les réservoirs k, et alors réglé, une foispour toutes, soit de préférence sur le tablier du véhicule, per- mettant, dans ce dernier cas, au conducteur de pouvoir, à volnté e t quand il le juge nécessaire, régler , dans ces capacités, les pression d'air relatives voulues, cela¯ sui- vant la charge se trouvant dans le véhicule et l'état de la.
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route parcourue p.r celui-ci, Le détendeur et les ro1.ir'('tl3 d'évacuation doivent alors faire partie d'un seul et mère appareil...
Pour les dispositions décrites, il peut être prévu des dispositifs connus pour que, à l'arrêt du véhicule, l'air ne puisse pas d'échapper des réservoirs k, ces dispe- sitifs pouvant être constitués de façons différentes, cela ou l1 pour chaque conduite @@/, et pour se contenter d'un seul exem-
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ple , en faisant déboucher , dans le fond d'une chambre , la partie de conduite venant des cylindres et, dans une partie latérale d- ladite cl±.,2ure , la partie de co:-duite allant vers le réservoir correspondant, en face d'une bille, pli ou ..roi:1S plastique et dA faible inertie , pouvant venir 0":
"- turer la partie de conduite venant des cylindres, en s'ap- pliqrant sur un sièce dont le bord se raccorde avec Je fo' Il de ladite chambre, fait l.ère,.ent conique, de sorte cuvez dès la miss en route du véhicule, la bille abandonne son siège pour remonter le fond de la chambre, fond d'où elle
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descend pour remonter ensuite, et ainsi continuellement, des que ,lé véhicule est en marche.
On comprend que, pour les dispositions (fig. 1, 2,
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3 et 4) dans lesquelles il y a des parallèlograi=es,urtieu- lés en avant et en arrière, lorsqu'il y a déplacements relat- tifs des roues et du châssis, il se produit, suivant le sens de ces mouvements, une surpression ou une dépression de la'ir contenu dans les réservoirs k, de sorte que, si le volume
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1<,t<sri<,tar de ces xs;rvoirs est Pl-vu tel que le déplace- ment, même à fin de course de compression, des pistons soit sans grande influence sur l'augmentation de la pression
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d'air en résultant dans lesdits réservoirs, au r,ritzz .lu .[: ¯,,); franchissement de l'obstacle qui a pu occ<7sionner,'la..;,de..
'<,, .i;.;#], vellation desdites roues, et aussitôt après, i1 n,' G"s''iZè .' réaction très faible qi agit sur la partie suspendue \,;.>::" véhicule, et l'équilibre se rétablit d'autant plus lente-
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ment que la surpression momentanée a été plus faible, Le rebondissement n'a pas lieu et la courbe d'oscillation, qui a la :Corme d'une sinusoïde décroissante, est.remplacée par une curbe du -second degré qui oscille doucement autour de l'horizontale,
Un même raisonnement s'applique, comme on le
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antul'^yxr. !t1!:j.tjjdnt" !JGU1' le: dispositions représentées sur les fig. 5 et 6pour lesquelles il y a des bielles croisées,
Il est entendu que le véhicule peut comporter, comme combinaisons: ou bien train avant (fig. 3)avec train
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arrière (fig. 6 ) ;
ou bien essieu avant'(fig. 6 ) avec train arrière (fig; 4); ou bien essieu avant (fig. 6) avec essieu arrière (fig, 5).
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On obtient ainsi des véhicules al;9uàpenSiJon élas- tique idéale- qu'on peut dire à flexibilité variable- car, au franchissement d'une série d'obstacles répétés et très près les.uns des autres sur le chemin (route, voie fer- rée, etc.) parcouru par le. véhicule, lepistons, par leurs
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ve. de va-et-vient intensifs . créent tour a tour dans
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les susdites capacités soit des surpressions, soit des dé-
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P'6ff!f1tlf.dl 14 ttr3.rsif' d# éllHI 'ifEYat tt1tl àQu\lnco riijà <1;1.i,.
, sans influence appréciable sur la pression choisie d'avance dans.lesdites capacités.
Il en résulte que, l'état du chemin parcouru in- ' fluant très peu sur la tenue même du véhicule et sur le con- fort de sa suspension, il est inutile d'avoir recours à des
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amortisseurs, à des pneumatiques dits "confort'S", voire mêue à des pneumatiques ordinaires, ou à tout autre dispositif analogue.
En suite de quoi, on obtient, si on le désire, des véhicules -- sans ressorts métalliques de suspension et, suivant les cas, sans essieu -- dont la suspension, à flexi-
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bilité initiale variable a volonté, est telle que, lorsque ces vé iules reçoivent un chec, celui-ci sitôt reçu perd
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de dofi t-l1'G;1o qui ÇI "It r f1r'J-n'n r1:.nFl un 36ntx rpE1""rvo:! r, ledit choc étant dès lors pour ainsi dire complètement amorti, donc sans heurt, :pour la partie suspendue desdits:
véhicules, contrairement à ce qui se produit pour les suspensions .or- dinaires pour lesquelles les chocs sont reçus par un milieu élastique trop limité dans sa masse, par exemple ressorts métalliques, coussins élastique.s, etc., l'énergie de ces derniers chocs se trouvant donc accumulée subitement et se détendant en suivant la même loi que celle qui a procédé à la la compression, d'où effet brutal.
Comme il va de soi, et comme il ressort d'ail- leurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d'application, non plus
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...qu'à. ceux des modes de réalisatior.de ses diverses parties, ayant plus spécialement été indiqués; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notamment:
celles où la capacité déformable, formée, dans l'ex- exemple choisi, par chaquecylindre et par le piston corres- pondant,serait constituée autrement., par exemple par une
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capacité déformable ayant sensiblement la forme d'un accor-
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déon, ou tout autre forme appropriée, cette disposition é- tant particulièrement intéressante car elle supprimerait les fuites d'air qui se produiraient inévitablement entre lescylindres et leurs pistons, dèsque le véhicule est au repos; et ce.lies.où le nombre des capacités, dont .il vient d'être question et relatives à chaque roue, serait autre que deux, ce nombre pouvant même être réduit à un.