BE1026981B1 - Sandale, en particulier tong, destinée à être portée au pied d’un utilisateur - Google Patents

Abstract

La présente invention porte sur une sandale, en particulier sur une tong, destinée à être portée au pied d’un utilisateur.

Description

+ BE2019/5425 Sandale, en particulier tong, destinée à être portée au pied d’un utilisateur La présente invention porte sur une sandale, en particulier sur une tong, destinée à être portée au pied d’un utilisateur.

Une sandale est une chaussure légère composée d'une semelle étant attachée au pied de façon sommaire, généralement par des cordons de lanière ou encore par l'intermédiaire de bride ou de bandes. Parmi les sandales, les tongs sont très communes et généralement constituées d’une semelle dans laquelle sont ancrées les trois extrémités d’une bride présentant trois bras et formant un Y. Les tongs sont maintenues au pied de l'utilisateur par l'intermédiaire de cette bride en forme de Y dont un des bras passe entre le gros orteil et le deuxième orteil du pied, les deux autres bras s'apposant sur le dessus du pied. Un autre type de sandale est plus simplement constitué d’une semelle et d'une simple bride sous forme d’une bande rectangulaire s'apposant sur le dessus de la partie avant du pied de telle sorte que cette partie avant du pied est maintenue en contact avec la semelle.

Si de telles sandales et en particulier les tongs sont adaptées à certaines activités comme le parcours de courtes distances sur des terrains peu accidentés, elles s'avèrent être très peu pratiques voire totalement inappropriées face à des terrains moins praticables (randonnées en montée ou en descente, terrains accidentés, ...) ou lorsqu'il convient par exemple de se déplacer plus rapidement (marche, nage, course, …). Notons encore que de telles sandales et en particulier les tongs sont peu adaptées à la pratique du vélo. Enfin, une problématique supplémentaire rencontrée avec de telles sandales et en particulier avec les tongs utilisées en milieu aquatique est que l’utilisateur les perd très facilement, ce qui donne lieu à une pollution importante des océans et des plages. Dans le cas précis des tongs, courir, se déplacer sur des surfaces irrégulières ou encore pratiquer une activité sportive n’est pas aisé puisqu'elles se désolidarisent très facilement des pieds de l’utilisateur. Dans certaines situations, la perte d’une ou des deux tongs peut même être dangereuse, les pieds de l’utilisateur n'étant plus protégés par la semelle et pouvant donc être blessés. C’est pourquoi, selon les activités qu'il pratique, l’utilisateur de sandaleset en particulier de tongs est amené à devoir changer de type de chaussures.

Ceci est particulièrement contraignant, notamment pour des utilisateurs qui souhaitent généralement réduire au maximum le volume et le poids des sacs qu'ils transportent. Par exemple, une personne se rendant à la plage où les tongs sont particulièrement bien adaptées ne souhaite pas forcément devoir transporter une autre paire de chaussures s'il veut pratiquer une activité plus sportive à la plage.

Pour ces raisons ont été développées des sandales, en particulier des tongs, comprenant une bride de talon prévue pour pouvoir être placée contre le talon selon une première position et pour être rangée (stockée) selon une seconde position où elle ne joue plus le rôle de bride de talon. En ce sens, le document US7823299 décrit une telle sandale comportant une bride de talon reliée à un axe positionné/logé dans une cavité traversant la largeur de la semelle. Grâce à cet axe traversant qui peut effectuer une rotation dans la cavité traversante de la semelle, l'utilisateur peut positionner la bride de talon selon l’une des deux positions mentionnées ci-dessus (en position contre le talon ou en position de rangement/stockage).

Malheureusement, une sandale selon ce document antérieur présente plusieurs inconvénients non négligeables. Premièrement, l’axe traversant alourdit considérablement la sandale. Deuxièmement, un tel axe constitue un élément rigide contre lequel le matériau formant la semelle peut s’user rapidement, par exemple par frottement, ce qui peut conduire à un pliage voire à une cassure de la semelle le long de cet axe rigide. Troisièmement, un tel axe rigide peut s'avérer être dangereux et/ou inconfortable pour l'utilisateur puisque son pied pourrait s'écraser contre cet axe par enfoncement du matériau de la semelle (par exemple suite à un saut). Finalement, la cavité dans laquelle est positionné l’axe rigide constitue une zone fragilisée de la semelle puisqu’elle comprend moins de matière, ceci favorisant à nouveau une usure rapide voire une cassure de la semelle.

Il existe donc un réel besoin à ce jour de procurer une sandale, en particulier une tong, qui, outre le fait qu’elle présente une bride de talon pouvant passer d’une première position à une seconde position, soit durable, légère, sûre et confortable pour l'utilisateur.

Pour résoudre au moins en partie ces problèmes, il est prévu suivant l'invention, une sandale, en particulier une tong, destinée à être portée au pied d’un utilisateur comprenant : - une semelle présentant une face supérieure destinée à accueillir le pied de l’utilisateur, une face inférieure et une paroi latérale ;

- une première bride reliée à la semelle et étant agencée pour accueillir et maintenir une partie avant du pied de l'utilisateur en contact avec la semelle ;

- une seconde bride reliée à ladite semelle par l'intermédiaire de deuxéléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle ; lesdits éléments de maintien définissant des axes de rotation autour desquels ladite seconde bride peut effectuer un mouvement de rotation entre une première position de repos selon laquelle ladite seconde bride épouse une partie de ladite paroi latérale de ladite semelle et une deuxième position selon laquelle ladite seconde bride est située au-delà de la face supérieure de ladite semelle pour former une bride de talon.

Par le terme « bride de talon », il est entendu, au sens de la présente invention, une bande destinée à fixer/à maintenir la section du talon d’un utilisateur à la semelle.

Une telle bride permet d’assurer un ajustement et un maintien d’au moins la partie arrière du pied de l’utilisateur à la semelle.

Selon un mode de réalisation préféré de l'invention, une telle bande empêche la semelle de se décoller d'au moins la partie arrière du pied de l’utilisateur.

Une telle sandale selon l'invention, en particulier une telle tong selon l'invention, permet d’éliminer l’ensemble des problèmes mentionnés plus haut.

En effet, dès lors que la seconde bride est reliée à la semelle par l'intermédiaire de deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à la paroi latérale de la semelle, toute problématique liée à la présence d’un axe traversant logé dans une cavité formée dans la semelle est éliminée.

Ces éléments de maintien définissent des axes de rotation autour desquels la seconde bride peut effectuer un mouvement de rotation entre une première position de repos selon laquelle la seconde bride épouse une partie de ladite paroi latérale de ladite semelle et une deuxième position selon laquelle laseconde bride est située au-delà de la face supérieure de la semelle pour former une bride de talon.

Selon l'invention, la seconde bride présente une élasticité suffisante lui permettant d’épouser la paroi latérale de la semelle afin d’y rester en contact.

En d'autres termes, l’élasticité de la seconde bride selon l'invention doit être telle qu’un passage de la première position de repos à la seconde position selon laquelle la seconde bride se positionne au niveau du talon n’est pas automatique mais bien effectué par l'utilisateur qui doit exercer une certaine force pour écarter la seconde bride de la paroi latérale de la semelle. Comme il sera expliqué plus bas, la seconde bride peut, selon un mode de réalisation particulier de l'invention, être rangée/stockée dans un élément récepteur (par exemple dans une gorge). Selon ce mode de réalisation particulier, il est bien entendu que la notion d’élasticité suffisante s'applique également : l’utilisateur doit exercer une certaine force pour déloger la seconde bride de l’élément récepteur et pour l’écarter de la paroi latérale de la semelle.

Au sens de la présente invention, les éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle peuvent y être fixé par collage, par vissage ou encore par toute autre technique permettant d'assurer une fixation permanente.

Avantageusement, selon l’invention, ladite semelle est formée en un matériau choisi dans le groupe constitué du caoutchouc, du cuir, de tissus synthétiques.

La semelle peut être constituée d'une couche de base médiane connue sous le nom de semelle intermédiaire, d'une couche superficielle supérieure appelée fond de semelle et d'une couche inférieure ou semelle extérieure. La semelle peut être formée de caoutchouc, de cuir, de tissus synthétiques ou d'autres matériaux connus dans la technique. La semelle intermédiaire et la semelle extérieure peuvent être construites à partir du même matériau ou d'un matériau plus durable tel que l'acétate d'éthyle et de vinyle (EVA), le caoutchouc, le caoutchouc vulcanisé, le polyuréthane ou tout autre matériau connu dans la technique pour la construction de semelles. La semelle intérieure peut être collée dans ou sur la semelle intermédiaire et la semelle intermédiaire peut être collée dans ou sur la semelle extérieure. La semelle peut

> BE2019/5425 être formée du même matériau que la semelle intermédiaire ou la semelle extérieure.

De préférence, selon l'invention, ladite première bride et/ou ladite seconde bride est formée en un matériau choisi dans le groupe constitué caoutchouc, du cuir, de tissus synthétiques.

Préférentiellement, selon l'invention, lesdits deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle, sont situés dans un même plan perpendiculaire à un plan défini par ladite semelle et de façon symétrique par rapport à l’axe longitudinal de la semelle. Un tel positionnement des deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle permet à la seconde bride d’effectuer un mouvement de rotation aisé autour des axes de rotation formés par les deux éléments de maintien. Selon ce positionnement des deux éléments de maintien, la seconde bride se positionne de façon adéquate pour assurer un maintien optimal du talon de l'utilisateur.

Avantageusement, la sandale selon l'invention, en particulier la tong, selon l'invention, comprend une pluralité d’éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle. Il est en effet prévu selon l'invention que plusieurs éléments de maintien soient présents les uns à côté des autres de façon à définir plusieurs éléments permettant de relier la seconde bride à la semelle. Un élément de maintien plutôt qu'un autre sera choisi par l'utilisateur selon la taille de son pied et selon la force de maintien qu’il souhaite exercer sur son talon. Préférentiellement, une première série d'éléments de maintien sera associée à une seconde série d'éléments de maintien, ces deux séries d'éléments de maintien étant positionnées de façon symétrique par rapport à l’axe longitudinal de la semelle.

Selon un mode de réalisation préféré, ladite première bride et/ou ladite seconde bride est amovible ou non. Le caractère amovible de ladite première bride et/ou ladite seconde bride permet avantageusement à l’utilisateur de procéder à des modifications de la sandale, par exemple en remplaçant une bride d’une couleur donnée par une bride d’une autre couleur.

De préférence, ladite première bride présente trois bras et forme un Y, chacune des extrémités libres des trois bras étant agencées pour pouvoir être

© BE2019/5425 reliée à ladite semelle, par exemple par ancrage dans cette dernière.

Typiquement, les extrémités libres des trois bras sont munies d’un disque présentant un diamètre supérieur à un diamètre d’un orifice traversant pratiqué dans la semelle de telle sorte qu’en forçant le passage du disque au travers de cet orifice, le disque passe au travers de la semelle avant de venir se bloquer contre la face inférieure de cette dernière et assurer ainsi le maintien de la bride.

Il est bien entendu que toute forme de la première bride est couverte par la présente invention. En ce sens, une bride sous forme d’une simple bande rectangulaire tombe bien sous le couvert de la présente invention, une telle bride sous forme d’un rectangle pouvant par exemple être collée ou cousue à la paroi latérale de la semelle.

Préférentiellement, selon l'invention, ladite paroi latérale comprend un élément récepteur, par exemple une gorge destinée à accueillir ladite seconde bride lorsque celle-ci est en position de repos. Un tel élément récepteur permet d'y ranger par insertion la seconde bride de telle façon que la sandale, en particulier la tong, présente un aspect tout à fait classique, c'est-à-dire un aspect selon lequel la seconde bride est non visible (les tongs classiques ne présentent pas de seconde bride).

Préférentiellement, selon l'invention, ladite semelle présente une encoche ou un évidement destiné à permettre une préhension de ladite seconde bride. Cet évidement ou cette encoche permet à l'utilisateur d’attraper facilement la seconde bride que cette dernière soit rangée dans un élément récepteur telle une gorge ou non. En particulier, cet évidement ou cette encoche permet à l'utilisateur de saisir la seconde bride avec un seul doigt pour la faire passer de sa position de repos à une seconde position selon laquelle elle constitue une bride de talon pouvant se positionner contre le talon de l'utilisateur.

La présente invention porte également sur un kit pour former une sandale, en particulier pour former une tong, selon l'invention, ledit kit comprenant : - une semelle présentant une face supérieure destinée à accueillir un pied d’un utilisateur, une face inférieure et une paroi latérale ;

- au moins deux éléments de maintien distincts destinés à être fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle de telle sorte à définir des axes de rotation ; - au moins une première bride agencée pour coopérer avec ladite semelle de telle sorte à définir une zone d'accueil et de maintien d’une partie avant d’un pied d’un utilisateur ; - au moins une seconde bride agencée pour être reliée à ladite semelle en coopérant avec lesdits au moins deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle.

D’autres caractéristiques, détails et avantages de l'invention ressortiront des exemples donnés ci-après, à titre non limitatif et en faisant référence aux figures annexées.

Les figures 1a et 1b illustrent deux types de sandales selon l'invention pour lesquelles la seconde bride, c’est-à-dire la bride de talon, est en position de repos.

Les figures 2a et 2b illustrent deux types de sandales selon l'invention pour lesquelles la seconde bride, c’est-à-dire la bride de talon, a quitté la position de repos illustrée au figures 1a et 1b.

La figure 3 est une vue de détail de la figure 2a.

La figure 1a illustre une sandale sous forme d’une tong selon l'invention et la figure 1b illustre une sandale d’un autre type selon l'invention. Chacune de ces sandales comprend : - une semelle 1 présentant une face supérieure 2 destinée à accueillir le pied de l'utilisateur, une face inférieure 3 et une paroi latérale 4 ; - une première bride 5 reliée à la semelle 1 et étant agencée pour accueillir et maintenir une partie avant du pied de l'utilisateur en contact avec la semelle 1 ; - une seconde bride 6 reliée à la semelle 1 par l'intermédiaire de deux éléments de maintien 7 distincts et fixés chacun de façon permanente à la paroi latérale 4 de la semelle 1.

Les éléments de maintien 7 définissent des axes de rotation autour desquels la seconde bride 6 peut effectuer un mouvement de rotation entre une première position de repos selon laquelle la seconde bride 6 épouse une partiede la paroi latérale 4 de la semelle 1 et une deuxième position selon laquelle la seconde bride 6 est située au-delà de la face supérieure 2 de la semelle 1 pour former une bride de talon. Les figures 1a et 1b illustrent en particulier une sandale selon l'invention lorsque la seconde bride 6 est en position de repos, c'est-à-dire lorsque la seconde bride 6 épouse une partie de la paroi latérale 4 de la semelle

1.

Les figures 2a et 2b reprennent les mêmes éléments que ceux illustrés aux figures 1a et 1b. Ces deux figures illustrent en particulier une sandale selon l'invention lorsque la seconde bride 6 a quitté la position de repos et est située au-delà de la face supérieure de ladite semelle pour former une bride de talon.

La figure 3 est une vue de détail de la figure 2a et reprend les mêmes éléments que ceux illustrés précédemment.

Comme illustré sur chacune des figures, une sandale selon l'invention peut présenter un élément récepteur 9 de la seconde bride 6 de telle sorte que cette dernière puisse y être logée/stockée lorsqu’elle est en position de repos. Comme on peut le voir aux figures 2a et 2b, l'élément récepteur 9 de la seconde bride 6 peut se présenter sous forme d’une gorge ou d’un évidement pratiqué dans la paroi latérale 4 de la semelle 1. Par ailleurs, comme illustré sur chacune des figures, une sandale selon l'invention peut comprendre une encoche ou un évidement 8 destiné à permettre une préhension aisée de ladite seconde bride 6.

La présente invention a été décrite en relation avec des modes de réalisations spécifiques, qui ont une valeur purement illustrative et ne doivent pas être considérés comme limitatifs. D’une manière générale, il apparaîtra évident pour l’homme du métier que la présente invention n’est pas limitée aux exemples illustrés et/ou décrits ci-dessus.

L’usage des verbes « comprendre », « inclure », « comporter », ou toute autre variante, ainsi que leurs conjugaisons, ne peut en aucune façon exclure la présence d’éléments autres que ceux mentionnés.

L’usage de l’article indéfini « un », «une », ou de l’article défini « le », «la» OU « l” », pour introduire un élément n'exclut pas la présence d’une pluralité de ces éléments.

Claims (10)

? BE2019/5425 Revendications

1. Sandale, en particulier tong, destinée à être portée au pied d’un utilisateur comprenant : - une semelle présentant une face supérieure destinée à accueillir le pied de l’utilisateur, une face inférieure et une paroi latérale ; - une première bride reliée à la semelle et étant agencée pour accueillir et maintenir une partie avant du pied de l'utilisateur en contact avec la semelle ; - une seconde bride reliée à ladite semelle par l'intermédiaire de deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle ; lesdits éléments de maintien définissant des axes de rotation autour desquels ladite seconde bride peut effectuer un mouvement de rotation entre une première position de repos selon laquelle ladite seconde bride épouse une partie de ladite paroi latérale de ladite semelle et une deuxième position selon laquelle ladite seconde bride est située au-delà de la face supérieure de ladite semelle pour former une bride de talon.

2. Sandale, en particulier tong, selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite semelle est formée en un matériau choisi dans le groupe constitué du caoutchouc, du cuir, de tissus synthétiques.

3. Sandale, en particulier tong, selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que ladite première bride et/ou ladite seconde bride est formée en un matériau choisi dans le groupe constitué caoutchouc, du cuir, de tissus synthétiques.

4. Sandale, en particulier tong, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que lesdits deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle, sont situés dans un même plan perpendiculaire à un plan défini parladite semelle et de façon symétrique par rapport à l’axe longitudinal de la semelle.

5. Sandale, en particulier tong, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu’elle comprend une pluralité d’éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle.

6. Sandale, en particulier tong, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite première bride et/ou ladite seconde bride est amovible ou non.

7. Sandale, en particulier tong, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite première bride présente trois bras et forme un Y, chacune des extrémités libres des trois bras étant agencées pour pouvoir être reliée à ladite semelle, par exemple par ancrage dans cette dernière.

8. Sandale, en particulier tong, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite paroi latérale comprend un élément récepteur, par exemple une gorge destinée à accueillir ladite seconde bride lorsque celle-ci est en position de repos.

9. Sandale, en particulier tong, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite semelle présente une encoche ou un évidement destiné à permettre une préhension de ladite seconde bride.

10. Kit pour former une sandale, en particulier pour former une tong, selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, ledit kit comprenant : - une semelle présentant une face supérieure destinée à accueillir un pied d’un utilisateur, une face inférieure et une paroi latérale ; - au moins deux éléments de maintien distincts destinés à être fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle de telle sorte à définir des axes de rotation ;

- au moins une première bride agencée pour coopérer avec ladite semelle de telle sorte à définir une zone d'accueil et de maintien d’une partie avant d’un pied d’un utilisateur ; - au moins une seconde bride agencée pour être reliée à ladite semelle en coopérant avec lesdits au moins deux éléments de maintien distincts et fixés chacun de façon permanente à ladite paroi latérale de ladite semelle.