BE1015458A6 - Appui ergonomique pour corps humain. - Google Patents

Abstract

Système de double appui, un au genou réglable suivant la taille de la personne, l'autre au niveau des talons réglable dans le plan horizontal suivant la souplesse de la cheville. La posture du sujet sur la structure doit se conformer aux angles cités, alpha et béta, pour avoir la réaction de décompression sur la colonne vertébrale. Ces deux éléments de réglage se fixent sur le châssis et forme ensemble la structure de l'appui ergonomique, celui-ci remplace et facilite la position debout statique et facilite la position debout statique et la position assise.

Description

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   Description 
Appui ergonomique pour corps humain L'appui ergonomique pour le corps humain est constitué d'une structure en bois ou autres matériaux solides comprenant trois éléments : un châssis (A) et deux éléments réglables (B et C). 



   1/ Le châssis est constitué de deux montants, Al et A2, de forme analogue à une sinusoïde dont la partie supérieure reste oblique vers l'avant. 



  Ces deux montants (A1 et A2) sont reliés entre eux par trois traverses horizontales dont la longueur dépasse légèrement la largeur moyenne du bassin du corps humain. 



  La traverse,al,relie la partie basse des montants Al et A2. 



  La traverse,a2,relie la partie moyenne des montants Al et A2 (à la partie basse de la partie oblique). 



  La traverse,a3,relie la partie supérieure des montants Al et A2 . 



  Les traverses,a2 et a3,sont reliées entre elles dans leur partie moyenne par un montant,a4,perpendiculaire à celles-ci, comprenant une rainure au centre pour le réglage de l'élément C. 



  2/ Un élément B, de même structure, parallèle au sol de quelques millimètres, réglable dans le plan horizontal en coulissant en partie dans le châssis. Dès que le corps humain est en bonne position, l'élément B se fixe sur Al et A2 par un système d'encrage simple (FI). 



  Collé sur la partie arrière de B, une traverse d'arrêt,bl,permet un contre appui des talons quand la personne se place sur l'appui ergonomique. 



  3/ Un élément C, en partie de même structure et qui est constitué, sur la surface antérieur, de deux parties concaves recouvertes de mousse et de tissu pour l'appui des genoux. 



   Cet élément est réglable dans le plan oblique de Al et A2 en coulissant dans la rainure du montant a4.

Claims (3)

1. REVENDICATIONS 1. Dans certaines études scientifiques, on a montré l' importance du rehaussement des meubles pour le confort de travail comme par exemple les plans de cuisine, les plans de travail en pharmacie ou en laboratoire....Durant ces activités, la personne reste debout mais est statique, ce qui offre d'énormes contraintes de pression au niveau de la charnière lombo-sacrée, endroit où se trouve le centre de gravité total du corps.

   Dans le cas de la position assise, celle-ci est également statique et le centre de gravité total du corps se trouve au même endroit que la position debout. Cette position offre une surcharge dans la charnière lombo-sacrée .

   Le système d'appui ergonomique aiderait à diminuer les pressions sur la colonne vertébrale pendant ces activités. Comme il n'y a pas d'assise ,c'est un matériel original.
2. 2. Démonstration de l'effet biomécanique de l'appui ergonomique pour corps humain (fig.3) : L'objectif principal de l'appui est de réduire les pressions au niveau de la cavité abdominale basse et ainsi libérer la pression dans les deux derniers disques intervertébraux.

   Cet appui remplace la position assise ou la position debout statique.
3. 3. D'après la figure 3, trois phases se mettent en place pour arriver à l'objectif: Durant la première phase, le sujet debout se place sur l'élément B de la structure, les talons butant contre la traverse d'arrêt,bl.

   On observe une flexion dorsale des chevilles par l'étirement de la chaîne terminale d'extension (angle alpha < 90 ).Le sujet fixe ses genoux sur l'élément C, la partie antérieure de la cuisse ne peut reposer sur la structure (angle bèta compris entre 150 etl70 ).

   Pendant la deuxième phase, on observe un déséquilibre avant provoqué ou automatique avec antéversion du bassin. - La troisième phase s'explique comme ceci : par le regard horizontal, il y a réaction d'autograndissement et une réponse réflexe de contraction des muscles paravertébraux pour dessiner une lordose physiologique (effet recherché).