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Dispositif et procédé d'interprétation d'une oeuvre musicale à partir de la partition.
La présente invention concerne un dispositif et un procédé d'interprétation d'une oeuvre musicale à partir d'une partition traditionnelle, accessible à des interprètes n'ayant aucune expérience particulière quant à la pratique d'un instrument classique et des règles de l'écriture musicale.
Selon l'invention un interprète peut de façon aisée et performante jouer une oeuvre musicale en touchant successivement, au moyen d'un pointeur spécial, les notes qui figurent sur les portées de la partition d'écriture traditionnelle.
Il existe déjà des tableaux destinés à l'enseignement de la musique, sur lesquels on fait figurer une portée avec les notes de la gamme, ces notes ainsi que le tableau qui les supporte étant construites de façon telle que, reliés électriquement à un générateur de sons, on entende chaque fois qu'on touche une note du tableau, le son correspondant. On peut toucher la note soit avec le doigt, soit avec une touche ou un bâton, relié électriquement par un fil au générateur sonore. Plusieurs brevets ont été accordés pour des dispositifs de ce genre, parmi ceux-ci on peut citer le brevet allemand 2941630.
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La présente invention utilise un principe analogue, non pas - ou à tout cas pas seulement-pour illustrer de manière sonore l'écriture de la gamme musicale, mais pour jouer à proprement parler, c'est à dire 18 interpréter", toute une oeuvre musicale, en l'exécutant même avec davantage de virtuosité et de sensibilité que si on la jouait sur le clavier d'un instrument classique. En outre cette interprétation peut se faire avec moins de connaissances musicales, et moins d'entraînement pratique, que lorsque l'on utilise un instrument classique.
On utilise la partition musicale écrite de l'oeuvre destinée à être jouée-telle que l'a écrite sur le papier le compositeur ou l'arrangeur-en touchant successivement chaque note au moyen de la pointe d'une touche sensitive spéciale, ou pointeur, tenue en main. Les notes ont été imprimées en matière métallisé sur les pages de la partition, qui sont en plastique isolant et non en papier, et chaque note est individuellement reliée électriquement à un générateur ou synthétiseur sonore qui produit le son de l'instrument désiré par l'interprète.
Chaque page de la partition est un circuit imprimé, de préférence en feuille mince et souple, et les circuits qui relient les notes aux collecteurs électriques appropriés sont aussi peu apparents que possible, tandis que les notes métallisées sont elles-mêmes bien visibles. Tous les autres signes ou symboles musicaux tels que lignes de portées, dessins des clefs, des queues de notes, des signes de silence, etc. sont dessinés de façon classique et non en exécution métallisée.
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Les circuits imprimés collecteurs des signaux électriques en provenance des notes sont reliés à des fils souples qui quittent les pages de la partition de façon à permettre à celles-ci d'être tournées et feuilletées de façon classique.
La touche sensitive que l'interprète tient en main et avec laquelle il appuie successivement sur les notes, est un cylindre rappelant la forme d'un crayon, relié électriquement par un fin câble multifilaire, au générateur sonore. Cette touche se termine par une pointe métallique qui, d'une part assure le contact électrique avec la note choisie, et d'autre part transmet à un transducteur contenu dans la touche, la poussée exercée par l'interprète en direction de la page, de telle sorte que le générateur sonore produit le son correspondant à la note en question, et cela avec un volume sonore qui dépend du degré de poussée que l'interprète a communiqué à la touche.
En complément à l'effet de poussée plus ou moins forte en direction de la page, on peut prévoir aussi que l'interprète puisse serrer, avec les doigts appropriés, un ou plusieurs transducteurs affleurant latéralement sur la longueur de la touche. Les pressions ainsi reçues sont transformées en signaux électriques transmis au générateur via le câble multifilaire cité ci-dessus. Ils sont alors traités par des contrôleurs appropriés auxquels on assigne des paramètre de contrôle du son tels que vibrato, réverbération etc..
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Les transducteurs employés sont des éléments connus, pouvant être soit des capteurs de pression, par exemple piézo-électriques, ou des éléments sensibles à des légers déplacements, comme des L. V. D. T. ou des potentiomètres.
L'interprète peut donc individuellement pour chaque note qu'il joue, contrôler la plupart des paramètres musicaux qui constituent les éléments d'interprétation : le volume, la"dynamique" (variation du volume à la frappe de la note, à sa sortie et même à l'intérieur de la durée de la note), le vibrato, la réverbération, le legato, le portamento vis à vis de la note suivante, le glissando, l'effet de pizzicato, ou toute autre selon le ou les transducteurs dont est pourvue la touche.
L'interprète peut aussi, on le comprendra aisément, contrôler la façon dont il passe d'une note à l'autre : vitesse générale, rythme, accélérations, ralentissements, etc. Il lui est loisible de séjourner sur une note peu ou beaucoup de temps. Il peut s'il le désire, jouer toutes les notes de façon successive, comme le compositeur les a disposées sur les portées. Il peut aussi cependant revenir en arrière pour reprendre certaines mesures un nombre indéfini de fois. Il peut passer certaines mesures.
De manière générale, on comprendra que toutes les variables, tous les paramètres de l'oeuvre sont contrôlables par l'interprète. Il ne s'agit donc pas d'une interprétation automatique d'une oeuvre.
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A beaucoup d'égards on est en fait dans une situation plus favorable à la virtuosité et à la sensibilité d'interprétation comparativement au cas où l'on utilise un instrument classique sur un clavier classique. Par exemple il est possible et même facile avec un peu d'exercice, en glissant avec la touche sur des notes successives rapprochées, de les jouer à une vitesse de dix ou quinze par seconde, et ce en maîtrisant le volume sonore par l'intermédiaire de la pression exercée par la touche, tenue en main par l'interprète, sur le support.
Selon un mode plus particulièrement avantageux de l'invention, on prévoit l'utilisation d'une deuxième touche tenue par l'autre main. La main droite peut ainsi être consacrée à jouer les portées de rang impair-la première, la troisième etc.-qui sont généralement porteuse de l'écriture de la mélodie ; et la main gauche à jouer les portées de rang pair-la deuxième, la quatrième, etc. poreuse généralement de l'écriture de l'accompagnement harmonique.
L'accompagnement harmonique peut prévoir que plusieurs notes sont jouées en même temps (et dans ce cas, l'écriture les représente généralement les unes au dessus des autres), il est alors avantageux de remplacer la pointe de la touche par une petite barrette qui fait contact avec plusieurs notes à la fois, à condition que l'interprète tienne la touche de façon à présenter la barrette dans la direction appropriée. Dans ce but il est bon que la touche, dont on a dit ci-dessus qu'elle pouvait avoir la forme générale d'un crayon, ne soit pas de section simplement ronde, mais affecte une forme prismatique, ou mieux encore une forme
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plus ergonomique assurant une parfaite tenue en main avec un bon accès, par serrage des doigts aux endroits appropriés, aux transducteurs mentionnés ci-dessus.
Il existe des cas, p. e. pour certaines oeuvres musicales pianistiques, où la main droite devrait également jouer plusieurs notes simultanément pour une partition à interpréter selon l'invention. On peut avantageusement dans ce cas prévoir que la pointe de la touche correspondante puisse être remplacée ou puisse être adaptée à une barrette. Les pointes et barrettes pourraient donc être amovibles et interchangeables.
Lorsqu'il s'agit de reproduire le son d'un instrument à vent-dont la plupart sont monophoniques c'est à dire ne jouent qu'une note à la fois, l'usage de la pointe est préférable car elle permettra plus de virtuosité et de sensibilité en parcourant la partition.
L'invention sera mieux comprise à l'examen des dessins fournis en annexe à titre d'exemple uniquement.
La fig. 1 représente, en perspective, la partition 1 composée de cinq pages 2,3, 4,5, 6 formant un album qui est relié électriquement, via une broche, par le fil 7 au générateur sonore 8, lequel est accompagné de ses deux haut-parleurs 9 et 10. Le générateur est également relié à une touche sensitive 12 par un fil 11. L'interprète saisit en main la touche 12 et pousse successivement sur les notes afin d'interpréter le morceau de musique correspondant.
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Sur la première page 2 de la partition, on n'a représenté schématiquement, que trois portées 13,14 et 15 (quoiqu'une oeuvre en comporte généralement bien davantage), ainsi que sur les pages suivantes. Les notes, p. e. 17,26, 27 sont imprimées en matière métallique sur la page flexible qui est en matière isolante.
La figure illustre la pointe 16 de la touche sensitive qui est prête à être mise en contact, par l'interprète, avec la note 17, laquelle est électriquement reliée, via la liaison 18, au point de jonction 19, à un conducteur collecteur 20. Ce conducteur 20 est une ligne métallisée imprimée au recto de la page.
La liaison 18, par contre, est une ligne métallisée imprimée au verso de la page et c'est pourquoi sur la figure elle est représentée en pointillé.
La connexion 19 entre un conducteur verso et un conducteur recto s'opère par la technique des trous métallisés, bien connue dans l'art des circuits imprimés. Il en est de même pour la connexion entre la note 17 elle-même et la ligne de liaison 18. La note 17, qui est le Il La Il numéro 69 (de la numérotation standardisée MIDI) n'est pas la seule à être reliée à la ligne métallisée collectrice 20 : tous les autres "La-69" de la page lui sont aussi reliés, et ce de la même façon au moyen'une liaison imprimée conductrice analogue à 18 et en un point de jonction analogue à 19.
La figure 1 illustre également trois autres lignes collectrices 21,22, 23 analogues à 20, et jouant, pour d'autres notes, le même rôle que 20. C'est ainsi que 21 est électriquement relié, via la jonction 24, à la note 26, qui est le"Do-72", et que 22 est électriquement relié,
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via la jonction 25, à la note 27, qui est le"Fa-65". Toutes les autres notes Do-72 de la page sont ainsi reliées à la ligne 21, et tous les Fa-65 à la ligne 22.
Par souci de clarté, on n'a dessiné sur la fig. 1 que quatre lignes collectrices, respectivement 20,21, 22, 23.
En réalité il existe autant de lignes collectrices, côte-à-côte, qu'il y a de notes différentes dans la page.
En général, on compte entre 10 et 20 notes différentes pour une mélodie courante).
On a représenté en 28 un jeu de fils souples connectant les lignes collectrices 20,21, 22,23 au câble 7, qui enserrant lesdits fils souples, conduit donc les instructions électriques de l'interprète vers le générateur sonore 8. L'exécution souple s'impose pour les fils 28, afin de permettre de tourner les pages. Les autres pages 3,4, 5,6 de la partition, présentent une exécution analogue à celle de la page décrite ci-dessus.
La fig. 2 représente, en perspective, une exécution possible pour la touche sensitive 12. Cette touche affecte la forme d'un cylindre connecté par un mince cable souple 29 relié au générateur sonore 8 (voir fig. 1) et terminée par une pointe métallisée 30 à bout arrondi, destinée à être mise en contact, par l'interprète avec la note écrite appropriée et ce avec un degré de pression approprié au gré de l'interprète. Cette pression est transmise par la pointe 30 à une tige 31 qui peut coulisser longitudinalement dans la touche munie d'un transducteur interne 32. Ce transducteur est destiné à transformer la pression reçue par la tige 31 en signaux électriques
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proportionnels qui seront amenés, via le fil 33 et le petit câble 29, vers le générateur sonore.
Les éléments 31,32 et 33 sont intérieurs à la touche et de ce fait ont été représentés en pointillé. En 34, on illustre un bouton de commande latéral qui agit sur un transducteur 35, lequel transforme la poussée qu'il reçoit en instructions électriques envoyées, elles aussi, vers le générateur sonore 8 via le fil 36 et le petit câble 29. On assignera à ce paramètre par exemple le degré de vibrato de la note jouée. Il va de soi que le pointe 30 de la touche sensitive est reliée électriquement, via un fil interne, au petit câble 29 de façon à transmettre aussi au générateur sonore le signal de contact avec la note métallisée qui est touchée.
La fig. 3 est une vue schématique, en perspective, de la façon dont deux touches sensitives 37 et 38 peuvent être tenues par l'interprète, respectivement dans sa main droite 39 et dans sa main gauche 40. La touche sensitive 37 se termine par une pointe 41 destinée à se poser successivement sur les notes de la portée 42, c'est à dire la portée supérieure d'une paire ou"système"selon la terminologie fréquemment utilisée par les musiciens pour désigner deux ou plus de portées associées. Sur cette portée 42 est inscrite la mélodie, et le plus souvent, on n'en joue qu'une note à la fois. Sur la portée inférieure 43 du"système", par contre, est inscrit l'accompagnement harmonique et celui-ci impose généralement que soient jouées plusieurs notes à la fois.
De telles notes sont traditionnellement inscrites verticalement l'une au dessus de l'autre, d'où l'intérêt d'utiliser à l'extrémité de la touche sensitive 38, au lieu d'une pointe, une barrette 44 ;
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l'interprète prendra soin, en la déplaçant le long de la portée de l'orienter de telle sorte qu'elle soit toujours à peu près perpendiculaire à l'axe longitudinal de ladite portée. En 45 et 46, on a représenté des boutons de commande de transducteurs contenus dans la touche 37, et sur lesquels peuvent pousser respectivement l'index 47 et le pouce 48 de l'interprète, ceci au moment et à la note de son choix.
Exemple de réalisation On met en oeuvre la partition du morceau de musique Il Les Feuilles Mortes"de Joseph Kosma, dans une transcription musicale qui fit figurer la mélodie sur les portées impaires et l'accompagnement harmonique sur les portées paires. La partition est un album de deux feuilles, la première comportant six paires de portées et la seconde cinq paires de portées. Les portées comportent cinq lignes parallèles espacées de 2,5 cm. Les portées impaires (mélodie) font intervenir 18 notes différentes, et les portées paires, 22 notes différentes. Chacune des deux feuilles mesure 30 cm de long et 25 cm de haut. Elles sont installées dans un classeur à anneaux de façon à pouvoir être tournées facilement.
Les feuilles sont des plaques, de type courant en circuit imprimé, en résine époxy armée de fibre, moyennement souples, avec un doublage de cuivre sur les deux faces. Au recto on a fait apparaître les têtes de notes en exécution cuivre au moyen de la technique traditionnelle dite"etching"-mais pas de queues de notes, ni les hampes de notes. Celles-ci au cours d'une opération subséquente sont dessinées à l'encre jaune par
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sérigraphie avec les lignes de portée, les signes de silences, soupirs, altérations dièses et bémols, clefs et autres symboles usuels qui figurent dans la partition.
On également fait apparaître en exécution cuivre, sur les faces recto, 18 lignes parallèles, le long du bord gauche de la feuille, destinées à collecter les signaux électriques en provenance des notes écrites de la mélodie, et à côté de ces 18 lignes, un autre jeu de 22 lignes parallèles destiné à collecter les signaux en provenance des notes d'accompagnement harmonique.
Au verso on a fait apparaître en exécution cuivre, toutes les lignes nécessaires pour relier chacune des 18 lignes collectrices de la mélodie avec toutes les notes correspondantes sur les portées impaires, et toutes es lignes nécessaires pour relier chacune des 22 lignes collectrices d'accompagnement avec les notes correspondantes des portées impaires.
Par la technique bien connue dite de trous métallisés, on a fait connexion entre d'une part ces lignes du verso, et d'autre part, les éléments qu'elles doivent rencontrer au recto, soit respectivement les têtes de notes et les collecteurs parallèles. Après ces opérations les deux feuilles sont mises au bain de dorure pour revêtir les parties cuivrées d'une mince couche d'or électrolytique, qui facilitera les contacts.
Au coin supérieur gauche de chaque feuille, là ou viennent aboutir les 18 lignes collectrices des notes de mélodie, celles-ci sont raccordées par soudage à 18 fils souples de
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section 0.14 mm2 chacun, pour former un faisceau cablé que l'on relie à un synthétiseur Yamaha VL-1, instrument apte à générer à la perfection des sons d'instruments à vent tels que flûte, clarinette, trompette etc.. au choix. Les 28 lignes collectrices d'accompagnement sont connectées de la même manière à un synthétiseur Roland JV-90, lequel est apte à générer de façon parfaite des sons de guitare, et autres instruments à cordes. Les deux synthétiseurs sont, bien entendu, accompagné d'un amplificateur et des hauts-parleurs appropriés : dans cet exemple un groupe hifi-stéréo Sony LBT-D 307.
Deux touches sensitives ont été exécutées, une pour la main gauche pour desservir les portées paires, et une pour la ma droite, pour desservir les portées impaires. Elles sont constituées d'un cylindre en laiton creux de 11 mm de diamètre et 150 mm de long, duquel sort vers le haut un petit cable souple comportant 5 conducteurs de 0.14 mm2 allant vers le synthétiseur (respectivement le VL-1 pour la touche de main droite et le JV-90 pour la touche de mai gauche). Le cylindre est terminé par le bas par une tige de 5 mm de diamètre, avec un ressort de rappel interne. La tige de la touche de droite est pourvue d'une pointe dont le bout est arrondi au rayon de 2 mm, et celle de la touche de gauche est pourvue d'une barrette, perpendiculaire à l'axe de la touche, ayant la forme d'un petit barreau cylindrique de 3 mm de diamètre et 17 mm de long.
Cette pointe et cette barrette qui sont toutes deux en laiton doré, sont électriquement reliées à leurs synthétiseurs respectifs par un fil souple de 0.14 mm2 de section qui traverse la touche à l'intérieur et se continue dans le petit câble dont question ci-dessus.
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Dans le synthétiseur "de droite", le Yamaha VL-1, les fils conducteurs qui proviennent des 18 notes de la mélodie, ainsi que le fil conducteur concerné, qui provient de la touche sensitive, arrivent dans un circuit d'interface, ou coupleur, qui provoque la mise en action de la touche appropriée du clavier de l'appareil, lorsque le contact est mis sur la note concernée. On ne joue ici qu'une note à la fois comme c'est le cas en matière d'instruments à vent.
L'interprète peut décider de commencer la mélodie en enclenchant par exemple le mode"flûte"sur le synthétiseur et en passant au mode"clarinette"plus tard, par exemple en faisant cette manoeuvre pendant le bref instant qui sépare le couplet du refrain, qui est aussi le moment de tourne de la page de partition. Cette manoeuvre peut être commandée par une pédale qui est couramment livrée avec l'instrument.
Une autre pédale peut par exemple être assignée pour commander le volume sonore général des sons émis, ou un autre paramètre tel le degré général de réverbération.
On remarquera qu'on fait appel aux deux pieds et aux deux mains à la fois, ces dernières, par le jeux des doigts sur les touches pouvant elles-mêmes générer plusieurs contrôles de paramètres comme expliqué ci-dessous. On peut ainsi maîtriser de nombreux paramètres de l'interprétation avec finesse et expression artistique.
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Pour le synthétiseur"de gauche" ; le Roland JV-90, il est procédé de la même manière, sauf qu'ici interviennent les 28 fils en provenance des notes de portées paires de la partition au lieu des 18 en provenance des portées impaires. Dans ce cas on peut jouer plusieurs notes à la fois. L'appareil est polyphonique.
Comme imitation d'instrument classique, on peut choisir par exemple la guitare, ou un groupe de violons jouant unisono, ou les deux successivement avec une manoeuvre de commande comme indiqué ci-dessus.
A la touche sensitive de droite, on adjoint comme transducteur, un potentiomètre du type FC-7 de Yamaha qui est monté partiellement à l'intérieur de la touche et déborde de l'extérieur (sans gêner la prise en main) et est actionné par la course longitudinale de la pointe de l'instrument. Les signaux qu'il génère sont transmis par une des paires de fils souples du petit câble mentionné ci-dessus, vers le synthétiseur, où on leur a assigné, par un jeu d'instructions (traditionnel dans ce genre d'appareils) la commande du paramètre"volume sonore" lequel se verra ainsi contrôlé pour chaque note jouée individuellement.
De même pour la touche sensitive de gauche, ici avec comme transducteur un potentiomètre de type EV-5 de Roland.
En outre, à la touche sensitive de droite, on a adjoint un transducteur constitué d'un autre potentiomètre FC-7 de Yamaha, qui est monté lui aussi partiellement à l'intérieur de la touche et débordant à l'extérieur, et est actionné par poussée latérale avec le pouce de l'interprète. Les
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signaux qu'il génère sont transmis par une paire de fils souples du petit câble de la touche, au synthétiseur où on leur a assigné la commande du paramètre"vibrato"de la note qui est jouée.
La présente invention est définie entre autres par les revendications qui suivent, chaque élément neufs et non évident décrit ci-dessus pouvant être cependant intégré à l'invention.
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Device and method for interpreting a musical work from the score.
The present invention relates to a device and a method for interpreting a musical work from a traditional score, accessible to performers with no particular experience in the practice of a classical instrument and the rules of musical writing.
According to the invention, a performer can easily and efficiently play a musical work by successively touching, using a special pointer, the notes which appear on the staves of the traditional writing score.
There are already tables intended for the teaching of music, on which a staff is shown with the notes of the scale, these notes as well as the table which supports them being constructed in such a way that, electrically connected to a generator. sounds, we hear each time we touch a note in the table, the corresponding sound. You can touch the note either with your finger, or with a touch or a stick, electrically connected by a wire to the sound generator. Several patents have been granted for devices of this kind, among these we can cite the German patent 2941630.
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The present invention uses an analogous principle, not - or in any case not only - to illustrate the writing of the musical scale in a sound manner, but to play properly speaking, ie 18 to interpret ", a whole work musical, even performing it with more virtuosity and sensitivity than if you played it on the keyboard of a classical instrument. Besides, this interpretation can be done with less musical knowledge, and less practical training, than when we use a classic instrument.
We use the written musical score of the work intended to be played - as written on paper by the composer or the arranger - by successively touching each note with the tip of a special touchpad, or pointer , held in hand. The notes have been printed in metallic material on the pages of the score, which are made of insulating plastic and not of paper, and each note is individually electrically connected to a sound generator or synthesizer which produces the sound of the instrument desired by the interpreter.
Each page of the score is a printed circuit, preferably in thin and flexible sheet, and the circuits which connect the notes to the appropriate electrical collectors are as inconspicuous as possible, while the metallic notes are themselves clearly visible. All other musical signs or symbols such as staff lines, key designs, note tails, signs of silence, etc. are designed in a classic way and not in metallized execution.
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The printed circuits collecting electrical signals from the notes are connected to flexible wires which leave the pages of the score so as to allow them to be turned and laminated in a conventional manner.
The sensitive key that the interpreter holds in his hand and with which he successively presses on the notes, is a cylinder reminiscent of the shape of a pencil, electrically connected by a thin multi-wire cable, to the sound generator. This key ends with a metallic point which, on the one hand ensures electrical contact with the chosen note, and on the other hand transmits to a transducer contained in the key, the thrust exerted by the interpreter in the direction of the page, so that the sound generator produces the sound corresponding to the note in question, and this with a sound volume which depends on the degree of thrust that the interpreter has communicated to the key.
In addition to the more or less strong pushing effect towards the page, it can also be provided that the interpreter can tighten, with the appropriate fingers, one or more transducers flush laterally along the length of the key. The pressures thus received are transformed into electrical signals transmitted to the generator via the multi-wire cable mentioned above. They are then processed by appropriate controllers to which sound control parameters such as vibrato, reverberation, etc. are assigned.
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The transducers used are known elements, which can either be pressure sensors, for example piezoelectric, or elements sensitive to slight displacements, such as L.V. D.T. or potentiometers.
The interpreter can therefore individually for each note he plays, control most of the musical parameters that constitute the elements of interpretation: the volume, the "dynamics" (variation in volume when the note is struck, when it comes out and even within the duration of the note), vibrato, reverberation, legato, portamento with respect to the next note, glissando, pizzicato effect, or any other depending on the transducer (s) whose is provided with the key.
The interpreter can also, as we can easily understand, control the way he goes from one note to another: general speed, rhythm, acceleration, deceleration, etc. It is free to stay on a note little or a lot of time. He can, if he wishes, play all the notes in succession, as the composer has arranged them on the staves. It can also, however, go back to resume certain measurements an indefinite number of times. He can pass certain measures.
In general, it will be understood that all the variables, all the parameters of the work are controllable by the interpreter. It is therefore not an automatic interpretation of a work.
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In many respects we are in fact in a situation more favorable to virtuosity and sensitivity of interpretation compared to the case where we use a classical instrument on a classical keyboard. For example it is possible and even easy with a little exercise, by sliding with the key on successive close notes, to play them at a speed of ten or fifteen per second, and this by controlling the sound volume through of the pressure exerted by the key, held in hand by the interpreter, on the support.
According to a more particularly advantageous embodiment of the invention, provision is made for the use of a second key held by the other hand. The right hand can thus be devoted to playing the staves of odd rank - the first, the third etc. - which are generally carriers of the writing of the melody; and the left hand to play the litters of even rank - the second, the fourth, etc. generally porous of the writing of the harmonic accompaniment.
The harmonic accompaniment can provide that several notes are played at the same time (and in this case, the writing generally represents them one above the other), it is then advantageous to replace the tip of the key with a small bar which makes contact with several notes at the same time, provided that the interpreter holds the key so as to present the bar in the appropriate direction. For this purpose it is good that the key, which we said above that it could have the general shape of a pencil, is not of simply round section, but affects a prismatic shape, or better still a shape
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more ergonomic ensuring perfect grip with good access, by finger tightening at the appropriate places, to the transducers mentioned above.
There are cases, p. e. for certain pianistic musical works, where the right hand should also play several notes simultaneously for a score to be interpreted according to the invention. It is advantageously possible in this case to provide that the tip of the corresponding button can be replaced or can be adapted to a bar. The tips and bars could therefore be removable and interchangeable.
When it comes to reproducing the sound of a wind instrument - most of which are monophonic, i.e. play only one note at a time, the use of the tip is preferable because it will allow more virtuosity and sensitivity while browsing the score.
The invention will be better understood on examining the drawings provided in the appendix by way of example only.
Fig. 1 represents, in perspective, the partition 1 composed of five pages 2,3, 4,5, 6 forming an album which is electrically connected, via a pin, by the wire 7 to the sound generator 8, which is accompanied by its two high -speakers 9 and 10. The generator is also connected to a sensitive key 12 by a wire 11. The interpreter grabs key 12 in hand and pushes successively on the notes in order to interpret the corresponding piece of music.
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On the first page 2 of the score, only three staves 13, 14 and 15 have been represented schematically (although a work generally has many more), as well as on the following pages. Notes, p. e. 17, 26, 27 are printed in metallic material on the flexible page which is in insulating material.
The figure illustrates the tip 16 of the sensitive button which is ready to be brought into contact, by the interpreter, with the note 17, which is electrically connected, via the link 18, at the junction point 19, to a collector conductor 20 This conductor 20 is a metallized line printed on the front of the page.
The connection 18, on the other hand, is a metallized line printed on the back of the page and that is why in the figure it is shown in dotted lines.
The connection 19 between a back conductor and a front conductor is effected by the technique of metallized holes, well known in the art of printed circuits. It is the same for the connection between note 17 itself and the connecting line 18. Note 17, which is Il La Il number 69 (of standardized MIDI numbering) is not the only one to be linked to the collecting metallized line 20: all the other "La-69" of the page are also connected to it, and this in the same way by means of a printed conductive connection analogous to 18 and at a junction point analogous to 19.
FIG. 1 also illustrates three other collecting lines 21, 22, 23 similar to 20, and playing, for other notes, the same role as 20. This is how 21 is electrically connected, via junction 24, to the note 26, which is "Do-72", and that 22 is electrically connected,
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via junction 25, in note 27, which is "Fa-65". All the other Do-72 notes on the page are thus linked to line 21, and all Fa-65 to line 22.
For the sake of clarity, we have not drawn in FIG. 1 as four collector lines, respectively 20, 21, 22, 23.
In reality there are as many collector lines, side by side, as there are different notes on the page.
In general, there are between 10 and 20 different notes for a current melody).
There is shown at 28 a set of flexible wires connecting the collector lines 20, 21, 22, 23 to the cable 7, which enclosing said flexible wires, therefore conducts the electrical instructions from the interpreter to the sound generator 8. The flexible execution is required for wires 28, in order to allow pages to be turned. The other pages 3, 4, 5, 6 of the score have an execution similar to that of the page described above.
Fig. 2 represents, in perspective, a possible execution for the sensitive button 12. This button takes the shape of a cylinder connected by a thin flexible cable 29 connected to the sound generator 8 (see fig. 1) and terminated by a metallized tip 30 to rounded end, intended to be put in contact, by the interpreter with the appropriate written note and this with an appropriate degree of pressure at the discretion of the interpreter. This pressure is transmitted by the tip 30 to a rod 31 which can slide longitudinally in the key provided with an internal transducer 32. This transducer is intended to transform the pressure received by the rod 31 into electrical signals
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proportional which will be brought, via wire 33 and small cable 29, to the sound generator.
The elements 31, 32 and 33 are inside the key and therefore have been shown in dotted lines. At 34, a lateral control button is illustrated which acts on a transducer 35, which transforms the thrust it receives into electrical instructions sent, too, to the sound generator 8 via the wire 36 and the small cable 29. We will assign to this parameter for example the degree of vibrato of the note played. It goes without saying that the tip 30 of the sensitive button is electrically connected, via an internal wire, to the small cable 29 so as to also transmit to the sound generator the contact signal with the metallic note which is touched.
Fig. 3 is a schematic perspective view of how two sensitive keys 37 and 38 can be held by the interpreter, respectively in his right hand 39 and in his left hand 40. The sensitive key 37 ends with a point 41 intended to land successively on the notes of staff 42, ie the upper staff of a pair or "system" according to the terminology frequently used by musicians to designate two or more associated staves. On this staff 42 is inscribed the melody, and most often, only one note is played at a time. On the lower staff 43 of the "system", on the other hand, the harmonic accompaniment is inscribed and this generally requires that several notes be played at the same time.
Such notes are traditionally inscribed vertically one above the other, hence the advantage of using at the end of the sensitive button 38, instead of a point, a bar 44;
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the interpreter will take care, by moving it along the staff to orient it so that it is always roughly perpendicular to the longitudinal axis of the said staff. In 45 and 46, there are shown transducer control buttons contained in the key 37, and on which the interpreter's index finger 47 and thumb 48 can push, respectively, at the time and at the note of his choice.
Example of realization We implement the score of the musical piece Il Les Feuilles Mortes "by Joseph Kosma, in a musical transcription which included the melody on the odd staves and the harmonic accompaniment on the even staves. The score is an album of two sheets, the first comprising six pairs of staves and the second five pairs of staves. The staves have five parallel lines spaced 2.5 cm apart. The odd staves (melody) involve 18 different notes, and the even staves, 22 Each of the two sheets is 30 cm long and 25 cm high and is installed in a ring binder so that it can be easily turned.
The sheets are plates, of the current type in printed circuit, in epoxy resin reinforced with fiber, moderately flexible, with a copper lining on both sides. On the front, the note heads in copper execution were made visible using the traditional technique known as "etching" - but no note tails, nor the note stems. These during a subsequent operation are drawn in yellow ink by
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serigraphy with staff lines, signs of silence, sighs, sharp sharps and flats, keys and other common symbols that appear in the score.
We also make appear in copper execution, on the front sides, 18 parallel lines, along the left edge of the sheet, intended to collect the electrical signals coming from the written notes of the melody, and beside these 18 lines, a another set of 22 parallel lines intended to collect the signals coming from the harmonic accompaniment notes.
On the back we have shown in copper execution, all the lines necessary to connect each of the 18 collecting lines of the melody with all the corresponding notes on the odd staves, and all the lines necessary to connect each of the 22 collecting collecting lines with the corresponding notes for the odd staves.
By the well-known technique called metallized holes, a connection was made between on the one hand these lines on the back, and on the other hand, the elements which they must meet on the front, that is to say the note heads and the parallel collectors . After these operations the two sheets are put in a gilding bath to coat the copper parts with a thin layer of electrolytic gold, which will facilitate contact.
At the upper left corner of each sheet, where the 18 collector lines of the melody notes come from, these are connected by welding to 18 flexible wires of
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section 0.14 mm2 each, to form a wired harness which is connected to a Yamaha VL-1 synthesizer, an instrument capable of generating perfect sounds of wind instruments such as flute, clarinet, trumpet, etc., as desired. The 28 accompanying collector lines are connected in the same way to a Roland JV-90 synthesizer, which is able to generate perfect sounds of guitar, and other stringed instruments. The two synthesizers are, of course, accompanied by an amplifier and appropriate speakers: in this example a Sony LBT-D 307 stereo-stereo group.
Two sensitive keys have been executed, one for the left hand to serve the even staves, and one for the right hand, to serve the odd staves. They consist of a hollow brass cylinder 11 mm in diameter and 150 mm long, from which comes up a small flexible cable with 5 conductors of 0.14 mm2 going to the synthesizer (respectively the VL-1 for the key of right hand and the JV-90 for the left may key). The cylinder is terminated at the bottom by a 5 mm diameter rod, with an internal return spring. The rod of the right key is provided with a point whose end is rounded to the radius of 2 mm, and that of the left key is provided with a bar, perpendicular to the axis of the key, having the shape a small cylindrical bar 3 mm in diameter and 17 mm long.
This point and this bar which are both in golden brass, are electrically connected to their respective synthesizers by a flexible wire of 0.14 mm2 of section which crosses the key inside and continues in the small cable of which question above.
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In the "right" synthesizer, the Yamaha VL-1, the lead wires which come from the 18 notes of the melody, as well as the lead wire concerned, which comes from the sensitive button, arrive in an interface circuit, or coupler , which causes the appropriate key on the device's keyboard to activate when the ignition is on. We only play one note here at a time, as is the case with wind instruments.
The interpreter can decide to start the melody by engaging for example the mode "flute" on the synthesizer and by passing to the mode "clarinet" later, for example by doing this maneuver during the brief instant which separates the verse from the chorus, which is also the time to turn the score page. This maneuver can be controlled by a pedal which is commonly delivered with the instrument.
Another pedal can for example be assigned to control the general sound volume of the sounds emitted, or another parameter such as the general degree of reverberation.
Note that we use both feet and both hands at the same time, the latter, by the play of fingers on the keys which can themselves generate several parameter controls as explained below. We can thus master many parameters of interpretation with finesse and artistic expression.
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For the "left" synthesizer; Roland JV-90, it is proceeded in the same way, except that here intervene the 28 wire coming from the notes of even staves of the score instead of the 18 coming from the odd staves. In this case you can play several notes at the same time. The device is polyphonic.
As an imitation of a classical instrument, one can choose for example the guitar, or a group of violins playing unisono, or both successively with a control maneuver as indicated above.
To the right touch button, there is added as a transducer, a potentiometer of the FC-7 type from Yamaha which is partially mounted inside the button and protrudes from the outside (without interfering with the grip) and is actuated by the longitudinal stroke of the tip of the instrument. The signals it generates are transmitted by one of the pairs of flexible wires of the small cable mentioned above, to the synthesizer, where they have been assigned, by a set of instructions (traditional in this kind of device) the command the "sound volume" parameter, which will thus be controlled for each note played individually.
Likewise for the left touchpad, here with Roland's EV-5 potentiometer as the transducer.
In addition, to the right touch button, we added a transducer consisting of another FC-7 potentiometer from Yamaha, which is also partially mounted inside the button and protruding outside, and is actuated. by lateral push with the interpreter's thumb. The
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The signals it generates are transmitted by a pair of flexible wires from the small cable of the button, to the synthesizer where they have been assigned control of the "vibrato" parameter of the note being played.
The present invention is defined inter alia by the claims which follow, each new and non-obvious element described above can however be incorporated into the invention.