Etiquette de triage Domaine de l'invention :
La présente invention concerne le triage des déchets (papier, cartons, bouteilles et flacons en plastique, emballages métalliques, cartons à boisson, déchets organiques), parcs à container, bulles à verre, les produits et leurs emballages.
Arrière plan de l'invention :
Dans la plupart des pays industrialisés, les services chargés de la récolte des immondices proposent de plus en plus de types différents de poubelles, en général identifiables par leurs couleurs, pour la classification des déchets ménagers, composés essentiellement d'emballages et de restes de contenus.
Dans le cas d'un poulet acheté dans un supermarché, son emballage sera déposé, après utilisation, dans une poubelle appropriée, tandis que les os et les parties restantes du poulet seront déposés dans une autre poubelle, symbolisant les produits de compostage. Cependant, pour un produit donné et un emballage donné, rien de manifeste et de visible n'existe à l'heure actuelle pour guider le consommateur (résident ou touriste) dans la détermination de sa classification, tel que le PMC (P : Bouteille et Flacons en Plastique ; M : Emballage Métallique ; C : Cartons à boisson), déchets organiques, ... En analysant le paquet (le poulet contenu dans son emballage), rien ne signale la classification (type de déchet) ni de l'emballage, ni des déchets composés des restes du poulet. La catégorisation reste donc délicate et aléatoire pour les non- initiés.
La compote de pommes qui est contenue dans un bocal en verre incolore, muni d'un bouchon métallique, est un produit composite du point de vue déchet. Son étiquette de triage sera donc de type "Multi-étiquetage", composée de signaux des déchets organiques, verre incolore, et PMC. Ce procédé peut être considéré comme étant écologique en ce sens qu'il améliore le triage des immondices, contribue à la limitation des déchets à incinérer et facilite considérablement la gestion du problème des déchets dans notre environnement.
L'état de la technique : Le document EP 0336 778 A (UNITED PARCEL SERVICE INQ se rapporte à une lecture d'étiquettes améliorée, à un pur système de lecture et par conséquent à une lecture d'étiquettes attachées ou imprimées sur un produit pour le stockage des informations dans une base de données à 2 dimensions, comprenant une multiplicité de
propriétés optiques différentes.
Enfin, le type d 'étiquette dans le procédé EP 0336 778 A, est très particulier : plusieurs dimensions (deux dimensions, un vecteur), des figures géométriques, plusieurs propriétés optiques.
Quant au procédé divulgué dans WO 00/44508 A (CROWN CORK & SEAL TECHNOLOGIES CORPORATION ). Il concerne en général une méthode de triage de déchets ou la réutilisation des containers en plastique dans un parc de recyclage. Cette invention concerne, en particuliers, l'utilisation de marqueurs fluorescents prédéterminés à une surface externe ou interne des produits recyclés ou à des containers en plastique réutilisables pour les identifier ou les trier suivant leur composition, contenu ou leur utilisation. En plus, les mêmes inventions fournissent une méthode pour déterminer, si ces containers en plastique contiennent un matériel adhésif pour des buts de recyclage, de réutilisation ou de contrôle de qualité.
But de l'invention :
L'invention vise à simplifier le système de triage des déchets dans l'efficacité.
Exposé de Finvention :
La présente invention concerne le triage des déchets (papier., cartons, bouteilles et flacons en plastique, emballages métalliques, cartons à boisson, déchets organiques), parcs à container, bulles à verre, les produits et leurs emballages.
Il s'agit d'un procédé avec marquage, visible à l'œil. Il sert à trier et recycler.
Les autorités compétentes ont classifie les déchets par catégories, à savoir papier et carton, verre, PMC, déchets organiques, etc. Notre système attribue aux déchets et poubelles, des classes et des sous-classes.
Le procédé innove le langage des signes, la comparaison des étiquettes avant le choix de poubelles, le Multi-étiquetage, triage en fonction des étiquettes = une des grandes nouveautés de ce système. L'étiquette de triage attribue des étiquettes aux déchets, les classifie et les étiquette pour l'efficacité du procédé.
Le système permet d'identifier aussi bien la famille des produits, mais aussi les matières qui les spécifient.
Nous nous démarquons clairement du procédé comme précité se rapportant plus particulièrement à une étiquette de triage, notamment pour les entreprises : elle se rapporte à la classification des articles dans les entreprises, afin de faciliter l'identification de leurs produits. La méthode décrite, n'utilise que des lecteurs optiques. C'est donc un procédé pour faciliter le traitement de l'information d'une manière électronique. Notre méthode, par contre, a été créée pour être utilisée par l'homme. C'est l'homme qui lit et compare les labels, afin de décider du type de poubelle qu'il peut utiliser pour les déchets occasionnés par les produits. L'identification du label est donc destinée aux hommes, et non aux machines. Le rôle des consommateurs est de toujours comparer avant de choisir.
Le procédé innove le langage des signes, la comparaison des étiquettes avant le choix de poubelles, le Multi-étiquetage et le tri en fonction des étiquettes. L'étiquette de triage attribue des étiquettes aux déchets, les classifie et les étiquette pour l'efficacité du procédé.
Quand ce système sera généralisé, le consommateur, résident ou touriste, saura déterminer sans peine le type de déchet créé par un produit quelconque. En conséquence, le choix de la poubelle appropriée ne saura que l'alléger. Les ressemblances éventuelles ne sont donc qu'apparentes ; en effet, celles-ci ne concernent pas les caractéristiques les plus pertinentes de notre procédé. Le procédé de
EP 0336 778 A concerne l'utilisation des étiquettes imprimées, attachées ou collées aux produits dans lesquels les labels décrits sont des codes sensés englober l'information représentant le produit, c.-à-d. à identifier le produit grâce à une machine. Mais cette ressemblance ne veut nullement dire que notre procédé s'est inspiré de celui de EP 0 336 778 A. D'ailleurs, les étapes de l'application de notre système, reprises ci- dessous, le démontrent clairement.
En effet, les méthodes avec étiquettes sont courantes dans le monde industriel et dans la vie quotidienne. Nos étiquettes ne sont pas des identifiants de produits. Ces étiquettes reflètent une relation entre les poubelles appropriées, les produits et/ou les groupes de produits. Elles identifient la classe des produits pour la destination finale.
C'est pourquoi, la même étiquette peut être utilisée pour plusieurs produits ; dans notre procédé, le fer et le plastique peuvent se retrouver dans la même classe. Par exemple : le PMC est une classe qui englobe le P (Bouteilles et Flacons en
Plastique) le M (Emballage Métallique) et le C (Cartons à boisson). Dans notre procédé, l'étiquette n'identifie donc pas le produit, mais bien sa ou ses classe(s).
Nous reprenons ci-dessous les différences fondamentales entre le procédé «Wo 00/44508 », la description et la structure du procédé selon l'invention.
1) Le procédé décrit dans «Wo 00/44508... A » concerne uniquement les emballages en plastique.
Notre procédé, par contre, concerne tout type d'emballage, mais également sont contenant (ce que contient l'emballage). Tous les types d'emballage (verre, cartons, m'étale, bois,...) sont pris en compte.
Tous les produits (nourriture, médicament, produit d'entretien, produit chimique,...) sont également pris en comptes.
2) Le procédé «wo 00/44508... A » a comme premier objectif, le recyclage. Il est donc destiné, au premier chef, aux industriels. Notre procédé, par contre, a comme premier objectif LE TRI SELECTIF DES
DECHETS par la population. Le recyclage y trouve évidemment son compte, mais ce n'est qu'une conséquence.
3) Le procédé «wo 00/44508... A> propose des marquages fluorescents.
Notre procédé crée des étiquettes colorées, sans utiliser une couleur fluorescente ou un produit spécial.
4) Enfin, le procédé «wo 00/44-508... A» s'intéresse uniquement aux emballages en plastique recyclables ou réutilisables et ce qui est un concept industriel.
Notre procédé, par contre, s'intéresse à tous les emballages et à tous les produits qu'ils contiennent ; c-à-d des déchets. Il permet de faire un lien entre un déchet et le type de poubelle, qui est censée l'accueillir.
Il se veut donc un outil, qui aide la population à trier plus facilement ses déchets.
En conclusion, le procédé «wo 00/44508... A» est restrictif (emballages plastique recyclables ou réutilisables) et industriel (utilisé par les industriels). Le nôtre est inclusif (tous les produits et tous les contenants) et populaire (utilisé par la population).
Dans notre système il n'existe rien de tout cela. Les dessins sont à une dimension... L'interprétation est atomique, c.-à-d. un dessin pour une signification.
Donc aucune signification cachée par une éventuelle dimension, qui n'est décodable que par un système électronique.
L'étiqueteuse et le guide d'étiquette de triage ne sont que des appareils, qui produisent les images, les étiquettes et les informations de l'étiquette de triage ; leurs développements font partie de nos revendications.
L'étiquette de triage se rapporte dans le tri sélectif des déchets, dans le repérage de produits et leurs emballages, dans les analyses de produits, afin de les classifier, dans l'attribution d'étiquettes de triage appropriées, qui aideront les consommateurs à déterminer la destination finale (poubelle appropriée) des déchets qui en découleront. Une variante avantageuse de l'invention consiste en une étiquette de triage à prix détachable, selon un mode spécifique, il est proposé une étiquette vierge a deux parties supérieures et inférieures, séparées par des ponctuations discontinues et perforées, ce qui permet de détacher le prix ou le code de l'étiquette de triage. L'invention concerne également une étiqueteuse conçue particulièrement pour les étiquettes de type précité, notamment pour les magasins. Selon un mode préfère, l'étiqueteuse est manuelle, téléchargable et munie d'un système semi-automatique de plusieurs étiquettes de triage différentes, interchangeables selon les besoins, capables également d'imprimer à la fois les logos des étiquettes de triage, les logos personnalisés ainsi que les prix. Ce n'est pas le cas de l'étiqueteuse manuelle traditionnelle, laquelle se limite à l'impression des prc.
L'invention concerne également un guide électronique, conçu de façon particulière. Il est constitué d'un petit appareil électronique solaire à information téléchargable, capable de donner des explications sur les étiquettes de triage et ses produits dérivés, tout en ayant un système d'aimant ou de colle, sur le dos de l'appareil, qui lui permet d'être plaqué ou collé sur des appareils ménagers comme le frigo.
Parmi les priorités du monde contemporain figurent actuellement : La réduction de la pollution, L'économie d'énergie, Une meilleure gestion des ressources naturelles pour un développement durable.
Un meilleur recyclage des déchets serait une solution incontournable pour y parvenir, faute de quoi nous risquons de déclencher une catastrophe terrestre. Sans une récupération efficace des produits considérés comme déchets, il ne peut y avoir de recyclage conséquent. La précision de celle-ci s'avère donc indispensable. Cette efficacité
ne peut passer que par un système complet au sein duquel chacun des acteurs joue un rôle : consommateurs, collectivité, gestionnaires des déchets et agents de recyclage. Le système est à la fois écologique et économique. En effet, le recyclage des déchets sera mieux maîtrisé, le coût de triage et de traitement baissera. A cet effet, il est proposé, suivant la présente invention un système telle que défini dans la revendication 1 de l'usage de l'étiquette de triage constitue la solution idéale. Il y a trois types de consommateurs :
1. Les consommateurs de produits bon marché
2. Les consommateurs de produits de qualité 3. Les consommateurs de produits à caractère social et/ou écologique
Un produit de qualité et muni de messages relatifs au triage (étiquettes de triage) intéressent les consommateurs des catégories 2 et 3. Le marché de ces types de produits est en pleine expansion.
II y a 100 ans, le niveau de la pollution n'était pas si élevé que de nos jours. Aujourd'hui, elle a atteint un niveau dramatique. Il est donc de notre devoir de l'éradiquer afin de léguer une Terre saine et viable aux générations futures.
Les autorités compétentes ont classifie les déchets par catégories, à savoir papier et carton, verres, PMC, déchets organiques, etc. Notre système attribue aux déchets et aux poubelles des classes et des sous-classes [[exemple voir fig. 9 à 22]], A cet égard, la présente invention se rapporte également a un procédé de triage de déchets, dont les étapes d'application sont définies ci-après. le£ étape : répertoire des produits et de leurs emballages. 2eme étape : analyse afin de classification.
3eme étape : classification.
4eme étape : attribution d'étiquette (s) de triage.
S™16 étape : étiquetage.
D'autres particularités détaillées de l'invention sont définies dans les sous revendications.
Des modes de réalisation exemplaires de l'invention sont donnés dans la description plus détaillée ci-après et illustrée à l'aide des dessins annexes.
Brève description des dessins :
Fig. 1 dessin 01. Nom commun des étiquettes de triage.
Fig. 2 dessin 02. Nom propre des emballages consignes.
Fig. 1 b dessin 01. Exemple de nom commun. Fig. 2 b dessin 09, 08 et 012. Exemple des noms propres.
Fig. 3 dessin 16 - 1, 01 et 06. Poubelle des verres colorés avec son étiquette de triage.
Fig. 4 dessin 16 — 2, 01 et 012. Poubelle des restes avec son étiquette de triage.
Fig. 5 dessin 16 — 3, 01 et 09. Poubelle des déchets organiques avec son étiquette de triage. Fig. 6 dessins 16 — 4, 01 et 02. Poubelle des papiers/ cartons avec son étiquette de triage.
Fig. 7 dessins 16 — 5, 01 et 08. Poubelle des P. M. C. avec son étiquette de triage.
Fig. 8 dessins 01 et 09. Etiquette de triage avec indication de la dimension.
Fig. 9 dessins 01 et 02. Etiquette de triage pour les papiers/ cartons. Fig. 10 dessins 01 et 03. Etiquette de triage pour les verres incolores papiers/ cartons.
Fig. 11 dessins 01 et 04. Etiquette de triage pour les déchets repris par le pharmacien.
Fig. 12 dessins 01 et 05. Etiquette de triage pour les emballages consignés.
Fig. 13 dessins 01 et 06. Etiquette de triage pour les verres colorés.
Fig. 14 dessins 01, 04, 01 et 07. Etiquette de triage pour les déchets non-repris par le pharmacien.
Fig. 15 dessins 01 et 08. Etiquette de triage pour les P. M. C.
Fig. 16 dessins 01 et 09. Etiquette de triage pour les déchets organiques.
Fig. 17 dessins 01 et 010. Etiquette de triage pour les objets encombrants mis au rébus.
Fig. 18 dessins 01 et 011. Etiquette de triage pour les déchets destinés aux parcs à conteneur.
Fig. 19 dessins 01 et 012. Etiquette de triage pour les déchets destinés aux poubelles restes.
Fig. 20 dessins 01 et 013. Etiquette de triage pour les pots de yaourts pour la 1er possibilité. Fig. 21 dessins 01, 012 et 014. Etiquette de triage pour les pots de yaourts pour la 2eme possibilité.
Fig. 22 dessins 01, 08 et 015. Etiquette de triage pour les pots de yaourts pour la 3eme possibilité.
Fig. 23. Le schéma du système de triage des déchets.
Description :
L'utilité du système proposé, suivant la présente invention, est établie par les exemples indiqués ci-dessous. Une machine à papier peut tourner à plus de 80 km / h et produire jusqu'à 400.000 tonnes de papier/an. Cela correspond à une production quotidienne d'une bande de papier de 14 mètres de large qui relierait Bruxelles à Madrid. La production de la pâte à papier, à partir du papier utilisé, exige peu d'énergie. En fonction du procédé utilisé (avec ou sans désencrage ) et du nombre d'étapes intermédiaires, la consommation d'énergie se situe entre 60 et 500 kw/t de papier. Par ailleurs, le recyclage permet «la production de papier à partir du papier utilisé » et permet de réduire la consommation d'eau. Enfin, le recyclage du papier utilisé diminue, d'une façon significative, la masse de déchets. C'est le triage sélectif qui constitue la première étape du recyclage.
Le verre neuf est obtenu grâce à un mélange de sable, de carbonate de sodium et de la chaleur, portés à des températures entre 1.500° C et 1.600° C. La soude sert à baisser le point de fusion. En prenant du verre utilisé, on diminue l'utilisation de matières premières naturelles ; en outre, on peut diminuer l'utilisation de l'énergie de plus de 25 % et celui de la soude de plus de 2/3. Un manque de triage précis et efficace augmente le coût de traitement et peut conduire à des défauts de production dans le nouveau verre soufflé.
La pulpe des cartons à boissons fournit des fibres longues et de qualité supérieure, lesquelles sont susceptibles de remplacer la pulpe à parties primaires nettement plus onéreuses. La pulpe est utilisée pour la fabrication du papier ménager, de couverture, absorbant industriel, pour des cartons solides, des sacs en papier, des enveloppes ainsi que pour d'autres formes de papier de bureau ; ce système accentue la qualité requise.
Les emballages en aluminium peuvent être triés à moindre frais au moyen d'un séparateur à courant de Foucault. Pour cela, on se base sur la technique du courant induit dans des masses métalliques brevetées par Thomas Alva Edition en 1889. Cette technique n'est utilisée que de manière rentable que depuis une dizaine d'années. Souvent le tri est également fait à la main. L'aluminium du PMC recyclé provenant des emballages ménagers est un produit très demandé. On utilise de nouveaux emballages
pour la production; cependant, d'autres secteurs, comme ceux du bâtiment ou du transport, utilisent de aluminium recyclé. Ainsi, on peut économiser jusqu'à 95 % de l'énergie nécessaire à la fabrication du nouveau produit. Pour que ce système (séparateur à courant de Foucault) soit efficace, il faut un triage sélectif à l'avance.
L'acier du PMC : le triage et le recyclage de l'acier ne datent pas d'aujourd'hui. Le commerce du fer représente le plus vieux réseau de triage et de recyclage au monde. L'acier au rébus est un matériel qui peut toujours être réutilisé sans la moindre perte de qualité. De nos jours, l'acier brut est toujours produit avec plus de 40 % du métal utilisé ; de la sorte, on réduit à la fois l'utilisation de matières premières naturelles
(charbon et minerais de fer), et celle de l'énergie jusqu'à 70 %. Grâce à la collecte sélective, les produits au rébus (à l'instar de boîtes de conserve, certaines pièces de voitures, des appareils électroménagers, etc.), redeviennent des matières premières pour la production de l'acier.
Public cible
Fabricants d'aliments
Fabricants de poubelles
Services chargés de la récolte des immondices Fabricants d'aliments emballés en verre, en plastique, en papier et en carton
Fabricants d'emballages consignés Responsables d'emballages.
Supposons que la classe de high density polyethylene (HDPE) suscite quelques polémiques ; quelques pays, villes, régions ou intercommunales veulent la regrouper avec le PMC pour en faire une seule classe, d'autres avec la classe des restes et d'autre le font encore avec celle des verres.
Pour mettre fin à cette polémique, nous proposons de créer deux grands groupes de déchets, le Groupe A et le Groupe B (voir fig. 23 — j et k). Le Groupe A concerne les déchets dont le choix des classes est unanimement approuvé.
Le Groupe B regrouperait les déchets dont le choix des classes suscite la controverse.
Ce dernier est, à son tour, subdivisé en trois sous-groupes voir fig. 23 - k, 1, m et n.
Le 1 er sous-groupe est constitué de produits ayant des emballages multiples, leurs étiquettes de triage seraient alors des multi-étiquettes, par exemple la combinaison entre 01+ 08 et 03 (voir planche de dessin.)
Le 2 ème sous-groupe est constitué de produits dont les déchets permettent l'adaptation aux règlements locaux ; les transformations seraient autorisées sur des poubelles locales.
Le 3 <aDB sous-groupe est constitué de produits dont l'étiquette de triage peut être adaptée de telle façon que l'adaptation des étiquettes sur des poubelles ne sera remarquée que par les demandeurs.
Si une firme change le type d'emballage de son produit, elle devra également changer d'étiquette si l'ancien et le nouvel emballage appartiennent à des classes d'étiquettes différentes. Il existe une étiquette par classe de produits. Le P. M. C. est un exemple de classe. Que se passe-t-il au point de vue étiquettes si l'institution compétente (le Ministère chargé de l'environnement par exemple) décide de placer les cartons à boissons dans une poubelle autre que celle du P. M. C ?
Si la classe d'étiquettes pour cette nouvelle poubelle pour cartons à boissons existe déjà, on n'en créera pas de nouvelle. (Sinon, on devra en créer une). Cette nouvelle étiquette de triage, deviendra alors l'étiquette de triage de la nouvelle classe. Si une classe (par exemple «papiers / cartons » ) est subdivisée en sous-classes (par exemple «papier cristallisé », «papier résistant à l'humidité », «papier à couche de polyéthylène », «papier adhésif thermofusible », etc. .), on créera une nouvelle étiquette par sous-classe ; et les sous-classes deviendront alors des classes à part entière. Comment utiliser les étiquettes dans le triage des déchets ménagers ? La plupart des ménages disposent déjà de plusieurs poubelles standard (papier et carton, verre, PMC, déchets organiques), destinées chacune à une classe de déchets spécifiques. Sur la poubelle destinée aux déchets organiques par exemple, on collera l'étiquette de la classe appropriée. On en fera de même pour la poubelle destinée aux déchets P. M. C et aux autres classes. Puisque chaque produit disposera également d'étiquettes appropriées, on disposera chaque fois les déchets des produits dans la poubelle correspondante.
Supposons qu'une intercommunale, une ville, une région et ou un pays décide, pour des raisons qui lui sont propres, de mettre du verre coloré et incolore dans la même bulle de verre.
Ce système l'obligera à mettre (imprimer, coller ou attacher ) deux étiquettes différentes sur la bulle en question. P. Ex.
La bulle pourrait ressembler à (voir fig. 3 + 10).
Si une ville décide de mettre les pots de yaourt dans des sacs de PMC, alors qu'habituellement ils sont destinés au sac appelé «restes » ; il y a 3 scénarios possibles. 1 créer une nouvelle classe pour les pots de yaourt ; c'est-à-dire, si les pots de yaourt sont habituellement destinés aux sacs «restes » (voir son étiquette de triage fig. 19), on les remplace par une nouvelle étiquette de triage (voir fig. 20).
De la sorte, tous les pots de yaourt seront étiquetés, mais les poubelles, dans lesquelles ces pots sont destinés, le seront également.
Les poubelles de la ville demandeuse pourraient se présenter comme (voir fig. 7 + 20).
Les poubelles appelées «restes » des institutions non- demandeuses, auraient ces deux étiquette de triage (voir fig. 19 et 20).
Les fabricants de yaourt devront coller la nouvelle étiquette de triage sur tous leurs produits, et tous les responsables de poubelles (demandeurs ou non ) devront réadapter les étiquettes de leurs poubelles concernées.
2 ajouter un signe (Par. Exemple voir fig. 21) sur l'étiquette de triage du pot de yaourt dans des fabriques et le demandeur l'imprimera également sur ses poubelles.
Les fabricants de pots de yaourt, ainsi que l'institution demandeuse, doivent réadapter leurs étiquettes de triage.
3 le demandeur ajoute sur ses poubelles de PMC une étiquette portant la mention «+ Pot de yaourt ». Par. Exemple (voir fig. 22).
Dans ce cas-ci, toutes ces opérations seraient effectuées par le demandeur.
Que faire, par exemple, des cartons à boisson produits en France et qui, sur le marché français, sont collectés avec du papier/carton, mais qui, exportés en Belgique, devraient porter un logo mentionnant qu'ils sont collectés avec le sac bleu ? Et que faire des emballages plastiques, tel que des pots de beurre ou de margarine collectés avec du plastique en Allemagne, lesquelles vont dans les sacs gris en Belgique ?
La création de deux grands groupes de déchets A et B (mentionnés supra) permettrait de résoudre ces problèmes.
On observera que tous ces détails, ne concernent que les professionnels du secteur. Quant aux consommateurs, leur rôle ne change pas, c-à-d celui de toujours comparer avant de choisir.
Que mettre sur des emballages, tel que des caisses en carton, qui ne doivent pas contribuer au taxe sur les déchets ménagers (car ils sont considérés comme des emballages industriels) et qui ne sont donc pas de la responsabilité de l'organisme compétent à la matière, mais qui, néanmoins, sont collectés avec la fraction papier/ carton ? La même question se pose pour les journaux et les magazines qui ne sont même pas des emballages, mais qui sont également collectés avec du papier/ carton.
Dans ces cas, il convient de rappeler que ce système s'appliquera à tous les produits qui, un jour ou un autre, pourraient être considérés comme déchets (industriels, ménagers ou autres).
Pour la mise en œuvre de l'application du système, 5 étapes sont nécessaires. 1er étape : répertoire des produits et de leurs emballages. analyse à fin de classification. ^ étape classification. 4^ étape attribution d'étiquette (s) de triage, 5*"" étape étiquetage.
Les éléments innovations du procédé consiste en ce que: a) le procédé innove le langage des signes, la comparaison des étiquettes avant le choix de poubelles, le Multi-étiquetage, triage en fonction des étiquettes (= une des grandes nouveautés de ce système). L'étiquette de triage attribue des étiquettes aux déchets, les classifie et les étiquettes pour l'efficacité du procédé. b) Ce système contribue à la baisse du coût de triage des déchets et des coûts liés à l'environnement. Il permet de trier les déchets à l'origine (dans les fabriques ) avant leur mise sur le marché, ce qui facilite et simplifie le choix des poubelles. Il apporte la clarté,
la performance et la rapidité dans le tri sélectif des déchets. Ainsi qu'une uniformisation du système du tri sélectif, et de la classification des déchets. c) Il réduira les risques d'endommagement des fours, notamment ceux d'incinérateur de déchets et de défauts de production des produits recyclés (la qualité des produits recyclés se verra améliorée). d) L'uniformisation de la classification, l'uniformisation de l'étiquetage des produits et une identification facile à l'œil nu. e) L'étiqueteuse, d'étiquette de triage, imprimera à la fois le logo d'étiquette de triage, le logo personnalisé, le prix et le code ensemble ; ce n'est pas le cas de l'étiqueteuse manuelle traditionnelle, qui elle se limite à l'impression des prix. f) Gain de temps, d'argent et d'énergie. g) Perforation des étiquettes pour faciliter le détachement des parties. h) La traduction demande qu'en cas d'offre (de cadeau), que le prix du cadeau soit enlevé ; ce système permet cela (l'enlèvement du prix de cadeau ), tout en gardant l'étiquette de triage. i) Le guide électronique avec la possibilité de téléchargement d'informations récentes et un système de fixation sur des objets à position horizontale. j) Le système permet d'identifier aussi bien la famille des produits, mais aussi les matières qui les spécifient. k) Il offre un système de détachement d'une partie de l'étiquette autocollante, la possibilité d'imprimer à la fois le logo d'étiquettes de triage, le logo personnalisé, le prix ou le code.
1) Le coût d'application du système est non seulement faible, mais il contribue également à la réduction de la pollution, à l'économie d'énergie, à l'économie des ressources naturelles et à la diminution de la masse des déchets non-recyclables. m) L'endommagement de fours, notamment ceux d'incinération de déchets, sera réduit.
La qualité des produits recyclés se verra améliorée.
Quand ce système sera généralisé, le consommateur, résident ou touriste, saura déterminer sans peine le type de déchet créé par un produit quelconque. En conséquence, le choix de la poubelle appropriée ne saura que l'alléger. L'étiquette de triage s'imprimera directement, se collera (sous forme d'étiquette autocollante) ou s'attachera sur des produits tel que des sacs en plastique, des sacs
biodégradables, des conteneurs classiques, des conteneurs à puce, des duobacs, des produits ménagers divers, etc.
La structure du procédé de triage comporte : Le triage des déchets à l'origine ;
L'attribution des étiquettes de triage des déchets aux produits ;
L'attribution des classes aux déchets ;
L'identification de la famille des produits ;
La facilité du choix des poubelles ; L'uniformisation du système de tri sélectif ;
La classification des déchets et l'uniformisation de la classification ;
La réduction du risque d'endommagement des fours, notamment ceux d'incinérateur ;
La réduction du risque de défaut de production des produits recyclés ;
L'amélioration de la qualité des produits recyclés ; La comparaison des étiquettes avant le choix de poubelles ;
Le coût faible de l'application du système ;
La réduction de la pollution ;
L'économie d'énergie ;
L'économie des ressources naturelles ; La diminution de la masse des déchets non-recyclables ;
Le système de détachement d'une partie des étiquettes autocollantes ;
La possibilité d'impression à la fois du logo d'étiquettes de triage, du logo personnalisé, du prix ou du code.
Le procédé innove le langage des signes, la comparaison des étiquettes avant le choix de poubelles, le Multi-étiquetage et tri en fonction des étiquettes = une des grandes nouveautés de ce système. Le système attribue l'étiquettes de triage aux déchets, les classifie et les étiquettent pour l'efficacité du procédé.
Le schéma(fig. 23) nous indique l'organisme x, la répartition des classes, des sous classes, de groupe et de sous-groupe qui sont analysent par unité d'analysées ; qui les divisera en deux grands groupes A et B. Le groupe B sera subdivisé en 3 sous-groupes
B- a, B- b, B- c. Ensuite, ils retourneront dans les classes et sous-classes ; pour être mieux triés.
X représente un organisme imaginaire à défaut qui devra appliquer le système.
1 représente le PMC (Plastique, Métal et Carton à boisson ).
2 représente le papier et carton.
3 représente les verres.
3-1 représente les verres incolores. 3-2 représente les verres colorés.
4 représente les restes.
5 représente les déchets organiques.
XX représente l'unité d'analyse à défaut, qui devra analyser la composition des produits.
A représente le groupe des déchets, dont le choix des classes est unanimement approuvé.
B représente le groupe des déchets, dont le choix des classes suscite des divergences.
B- a représente le sous-groupe des produits qui ont des emballages multiples.
B- b représente le sous-groupe des produits dont les déchets permettent l'adaptation des classes aux règlements locaux. B- c représente le sous-groupe des produits, dont l'étiquette de triage peut être adaptée sur les poubelles, l'adaptation ne sera observée que par les demandeurs.
Dans les caractéristiques dans l'étiquette de triage, on identifie l'icône, de couleur, de motif et enfin de logo. Elle est applicable à tout type de produits, s'imprimera directement sur des produits, se collera sous forme d'étiquette autocollante ou s'attachera sur des produits tel que des sacs en plastique, des sacs biodégradables, des conteneurs classiques, des conteneurs à puce, des duobacs, des produits ménagers divers,...
Elle (l'étiqueteuse de l'étiquette de triage) imprimera à la fois les logos étiquettes de triage, les logos personnalisés ainsi que les prix ; ce qui n'est pas le cas de l'étiqueteuse manuelle traditionnelle, qui, elle se limite à l'impression des prix.
L'étiquette de l'étiquette de triage a deux parties.
La 1er partie est réservée au logo d'étiquette de triage et au logo personnalisé (le nom, l'adresse et/ ou numéro de téléphone ) des entreprises, la 2eme partie est réservée au prix ou code. Les deux parties sont séparées par des ponctuations discontinues et perforées, qui permettent de détacher le prix ou code de l'étiquette de triage, la partie collante de cette dernière aura un côté non collant pour permettre un détachement facile.
Le guide électronique qui offre la possibilité de téléchargement d'information et un système de fixation sur des objets tel que le frigo.
L'étiquette de triage suivant la revendication 1 avec au moins une icône, une couleur, un motif et un logo destinés au tri sélectif des déchets ; caractérisés en ce que l'étiquette de triage s'imprimera directement sur des produits et emballages, se collera sous forme d'étiquette autocollante ou s'attachera sur des produits et ou emballages.
Enquêteuse de l'étiquette de triage est manuelle et téléchargable, munie d'un système semi-automatique de plusieurs différentes étiquettes de triage interchangeables selon les besoins, caractérisée en ce qu'elle imprime à la fois les logos d'étiquettes de triage les logos personnalisés ainsi que les prix ensemble tous en marquant la ligne de démarcation des deux parties de l'étiquette.
Etiquette à prix détachable de l'étiquette de triage est une étiquette vierge à deux parties, caractérisée en ce que les 1er parties est réservée au logo d'étiquettes de triage et au logo personnalisé (nom, adresse et/ ou numéro de téléphone) des entreprises, 2 emε partie est réservée aux prix ou codes. Les deux parties sont séparées par des ponctuations discontinues et perforées qui permettent de détacher. La partie collant de cette dernière aura un côté non- collant pour permettre un détachement facile.
Le guide électronique d'étiquette de triage est un petit appareil électronique solaire à information téléchargable, caractérisé en ce qu'il donne des informations sur les étiquettes de triage avec la possibilité de télé-chargé l'information.
Le schéma (fig. 23) nous indique que l'organisme X répartit les classes et les sous- classes, puis les analyse par unité d'analyse. Ensuite, il les divisera en deux grands groupes A et B ; ce dernier sera, à son tour, subdivisé en 3 sous-groupes a, b, c qui retourneront dans les classes et sous-classes pour être mieux triés.
Ce système n'exige pas du consommateur de connaître les aspects techniques, mais uniquement de reconnaître le logo (voir fig. 1 — 01,1b et de 3 à 22) qui le guideront dans tout son triage. Le logo sera toujours accompagné d'une icône ou d'un motif qui déterminera sa classification. Le logo figurant sur l'emballage du produit sera comparé à celui figurant sur les poubelles. La comparaison des étiquettes est la clé du succès de ce système. Par exemple, l'emballage d'un produit porte cette l'étiquette (voir fig. 15 ). D'autre part, vous avez les poubelles suivantes portant chacune une étiquette différente (voir fig. 3 à 7).
Le choix est clair : l'emballage en question va dans cette poubelle (voir fig. 7).
9. Description du schéma
9-1. X représente un organisme qui devra appliquer le système. 9-2. 1 représente le PMC (Plastique, Métal et Carton à boissons ).
9-3. 2 représente le papier et carton.
9-4. 3 représente les verres.
9-5. 3-1 représente les verres incolores.
9-6. 3-2 représente les verres colorés. 9-7, 4 représente les restes.
9-8. 5 représente les déchets organiques.
9-9. XX représente l'unité d'analyse qui devra analyser la composition des produits.
9-10. A représente le groupe des déchets dont le choix des classes est unanimement approuvé. 9-11. B représente le groupe des déchets dont le choix des classes suscite des divergences.
9-12. B- a représente le sous-groupe des produits qui ont des emballages multiples.
9-13. B- b représente le sous-groupe des produits dont les déchets permettent l'adaptation des classes aux règlements locaux. 9-13. B- c représente le sous-groupe des produits dont l'étiquette de triage peut être adaptée sur les poubelles, et dont l'adaptation ne sera observée que par les demandeurs.
Toute étiquette de triage est identifiée par un logo + icône, couleur ou motif.
Par exemple, l'étiquette de triage des déchets organiques est un logo composé d'une ligne serpentee et munie de cinq flèches, dont une sur chaque pente (croissante et décroissante) de l'ondulation, le tout, inclus dans un cadre. Cet ensemble forme l'étiquette (voir fig. 16).
Origine du procédé
Le procédé a été conçu, d'une part, à la suite d'une enquête sur le triage. Au cours de cette enquête, nous avons constaté qu'il y avait un vide dans le domaine du triage et que les consommateurs se posent de plus en plus des questions sur la manière de trier. D'où l'initiative de ce procédé après une recherche approfondie et de multiples contacts auprès des services chargés de la politique des déchets.
D'autre part, le souci de la protection et de la préservation de notre chère planète y est sans doute aussi pour beaucoup.
A l'origine, on voulait des étiquettes compréhensibles par tous, aussi bien par les Belges (néerlandophones, francophones et germanophones) que par les citoyens d'autres pays (Russes, Chinois, etc.), sans oublier les malvoyants et les daltoniens.
C'est un système qui n'existe pas encore mais qui, une fois adopté, éviterait la confusion dans l'interprétation et qui permettrait de créer des sous-classes d'étiquettes. Par exemple, il serait erroné de prendre le papier comme symbole représentant la classe «papier et carton », étant donné que tout papier ne peut pas être mis dans la poubelle de papier et carton. Notre système identifie aussi bien la famille (voir fig. 1) et les matières que leur spécificité (voir fig. 2. Par. Exemple.) ; autrement dit, il y a un nom commun (voir fig. lb - 01) et un nom propre (voir fig. 2b — 09, 08 et 012).
L'homme produit des déchets dans ses activités de tous les jours ; ceci est pratiquement inévitable. Le problème consiste à bien les gérer afin d'éviter qu'ils deviennent source d'inconfort, porte atteinte à l'hygiène ou empoisonne notre vie. Autrement dit, pour vivre et/ ou survivre dans le confort le luxe et l'hygiène, il faut produire des produits à cette fin. D'où l'élaboration des déchets.
Les déchets sont donc source de vie, de confort, de luxe et d'hygiène. Sa mauvaise gestion crée le contraire.
Comment effectuer le contrôle ?
Les contrôles seraient effectués à 4 niveaux : dans les entreprises, au niveau des responsables d'emballages, dans les magasins et, enfin, dans les centres de tri. On pourrait également envisager des contrôles surpris ou des contrôles à la demande d'une intercommunale par exemple suite à un étiquetage non-conforme. Une fois le constat fait, les mesures nécessaires seraient prises pour remédier à la situation.