PROCEDE DE GESTION DE MESSAGES. SYSTEME ET ENTITES DE COMMUNICATION POUR LA MISE EN ŒUVRE DU PROCEDE
La présente invention concerne la gestion de messages échangés par . des entités de communication dans un système de communication.
5 Elle trouve une application particulière, bien que non exclusive, dans la gestion des messages courts SMS (« Short Message Service ») échangés entre des terminaux dans un système cellulaire de radiocommunication, par exemple de type GSM (« Global system for Mobile Communications ») ou UMTS (« Universal Mobile Télécommunication System »).
10 Les SMS sont des messages contenant un ensemble restreint de données pouvant être transmises d'une entité expéditeur à un terminal destinataire. Une description complète de ces messages et du service d'échange des SMS peut être trouvée dans la spécification technique ETSI TS 100 901 V7.5.0, « Digital cellular télécommunications system (Phase 2+);
15. Technical realization of the Short Message Service (SMS), Point-to-Point (PP), (3GPP TS 03.40 version 7.5.0 Release 1998) », publiée en décembre 2001 par l'ETSI (European Télécommunications Standards Institute). Les SMS représentent un mode d'échange de données rapide et simple.
Des systèmes de gestion sont utilisés actuellement pour effectuer des 20 traitements divers relatifs aux messages échangés. Parmi ces traitements ou opérations de gestion, on trouve par exemple la mise à jour d'une base de données contenant les caractéristiques des SMS échangés, de façon notamment à établir des statistiques sur l'utilisation de ce service, sur la charge du réseau de communication... Une autre opération de gestion importante 25 consiste à imputer une transmission de SMS à un utilisateur donné, par exemple en vue d'établir une facturation adaptée à la consommation de chaque utilisateur.
Les opérations de gestion proposées par les systèmes de gestion connus sont relativement limitées. Par exemple, les systèmes de gestion 30 actuels prévoient d'imputer la transmission d'un message SMS exclusivement à l'utilisateur qui a effectivement transmis le message.
Pourtant, un autre type de gestion des messages pourrait s'avérer bénéfique dans certains cas. Par exemple, lorsqu'un utilisateur dispose d'un crédit de messages SMS limité et que celui-ci vient à être épuisé, l'envoi d'un nouveau SMS par cet utilisateur lui est généralement interdit, car l'imputation du SMS à cet utilisateur se heurte à l'épuisement du crédit qui lui est alloué.
Par ailleurs, l'imputation systématique des transmissions de messages à leur expéditeur peut constituer un élément dissuasif pour répondre à un message reçu, en particulier lorsque l'imputation sert de base à une facturation de la part du fournisseur du service SMS. Un but de la présente invention est de pallier ces inconvénients et de permettre une plus grande souplesse dans les modes de gestion proposés aux utilisateurs de services d'échange de messages.
L'invention propose ainsi un procédé de gestion de messages dans un système de communication comprenant au moins un centre de service des messages, un centre de gestion des messages et des entités de communication, les messages étant transmis entre une entité expéditeur et une entité destinataire par l'intermédiaire du centre de service des messages et comprenant un identifiant de l'entité destinataire, le centre de service des messages étant agencé pour déduire un identifiant d'une entité expéditeur à la réception d'un message et pour transmettre des rapports de transmission au centre de gestion des messages, le procédé comprenant les étapes suivantes :
/a/ transmettre, depuis une première entité de communication, un premier message à une seconde entité de communication ;
/b/ mémoriser, au centre de service des messages, l'identifiant de la première entité déduit à la réception du premier message et l'identifiant de la seconde entité transmis dans le premier message ;
Ici détecter une réception, au centre de service des messages, d'un second message destiné à la première entité et transmis depuis la seconde entité en réponse audit premier message, sur la base d'une comparaison entre les identifiants mémorisés et les identifiants transmis et déduit du second message ; et
làl transmettre au centre de gestion des messages, un rapport de transmission comprenant une information signalant que le second message est une réponse au premier message.
Ce mécanisme permet au centre de gestion des messages d'effectuer des opérations de gestion sur un message en tenant compte du fait qu'il s'agit d'une réponse à un message -précédent. Par exemple, un de ces opérations pourra permettre d'imputer la transmission du second message au premier terminal. Une telle imputation peut notamment résulter d'une demande issue du premier terminal. On permet ainsi au centre de gestion des messages de traiter des messages de réponse d'une façon éventuellement différente d'un message initial, ce qui autorise une souplesse accrue dans le traitement des messages.
Une application particulière de ce mode de traitement des messages peut se trouver dans le domaine de la facturation. Il permet en effet de facturer le coût d'un message de réponse à l'expéditeur du message initial. Ceci peut être particulièrement intéressant notamment si l'utilisateur qui souhaite répondre au premier message n'a pas de crédit d'envoi de messages lui permettant d'envoyer un message de réponse. C'est aussi le cas lorsque l'envoi d'une réponse présente un intérêt certain pour l'émetteur du message initial, mais un intérêt insuffisant pour le destinataire du premier message pour qu'il soit enclin à supporter le coût de cet envoi, par exemple :
- lorsqu'un parent interroge son enfant par SMS,
- pour des entreprises de marketing par SMS, ...
Les messages dont il est question peuvent être des SMS, ou bien d'autres types de messages plus complexes comprenant du texte, mais aussi des données multimédia par exemple.
L'invention propose également un système de communication pour mettre en œuvre du procédé ci-dessus.
L'invention propose également une entité de communication ayant des moyens pour transmettre et recevoir des messages dans un système de communication comprenant au moins un centre de service des messages et un
centre de gestion des messages, lesdits messages étant transmis par l'intermédiaire du centre de service des messages, le centre de service des messages transmettant des rapports de transmission au centre de gestion des messages, dans lequel l'entité de communication comprend des moyens pour inclure une information de gestion dans certains au moins des messages qu'il transmet, ladite information de gestion étant destinée au centre de gestion des messages.
Cette entité de communication peut être fixe et communiquer avec d'autres entités par l'intermédiaire d'un réseau fixe, ou bien il peut s'agir d'un terminal de radiocommunication apte à communiquer avec d'autres, entités par l'intermédiaire d'un réseau de radiocommunication, par exemple de type GSM ou UMTS.
D'autres particularités et avantages de la présente invention apparaîtront dans la description ci-après d'exemples de réalisation non limitatifs, en référence au dessin annexé, dans lequel la figure unique est un schéma synoptique d'un exemple de système de communication mettant en œuvre l'invention.
La figure présente un système de communication simple permettant à des entités de communication 1 , 2, 3 de s'échanger des messages contenant des données. On se place ci-après dans le cadre d'échanges de messages
SMS tels que décrits en introduction, à titre illustratif, sans pour autant restreindre la généralité de l'objet de l'invention.
Parmi les entités de communication, on a représenté des terminaux de radiocommunication 1 et 2, et une entité de communication fixe 3. Ces différentes entités peuvent échanger des SMS par l'intermédiaire d'un centre de service des messages 4, nommé SC (« Service Center ») sur la figure.
Les échanges de données entre les entités de communication 1 , 2, 3 et le SC 4 peuvent être effectués par l'intermédiaire d'une connexion filaire ou bien d'un réseau de communication. En particulier, pour ce qui est des terminaux de radiocommunication 1 et 2, les échanges avec le SC 4 se font via un réseau de radiocommunication 6. Ce dernier peut par exemple être basé sur une architecture de type GSM, tel qu'illustré sur la figure 1. Un tel réseau
comprend classiquement un ou plusieurs centres de commutation 7 (MSC, "Mobile Service Switching Center") connectés au SC 4. Un ensemble de contrôleurs de stations de base 8 (BSC, "Base Station Controller") sont raccordés aux MSC 7, chaque BSC 8 ayant sous sa responsabilité un ensemble de stations de base 9 en communication radio avec des terminaux de radiocommunication. Il est à noter que d'autres types de réseaux radio peuvent bien sûr être utilisés pour assurer le transport des SMS entre le SC 4 et les terminaux 1 , 2, comme par exemple un sous-réseau radio du système UMTS. Une entité de communication fixe 3 peut également échanger des données avec le centre de service 4 par l'intermédiaire d'un lien filaire 10 ou bien d'un réseau de communication fixe, par exemple basé sur une architecture de type IP ("Internet Protocol").
On considère désormais une transmission de SMS depuis le terminal 1 à destination du terminal 2. En vertu de la spécification technique TS 100.901 précitée, l'envoi de SMS par le terminal 1 se traduit par l'émission d'un premier message appelé SMS-SUBMIT (voir paragraphe 9.2.2 de la spécification technique précitée). Ce message contient en particulier une adresse de destination, c'est-à-dire un identifiant du terminal 2 dans notre exemple. On doit noter ici que, pour des commodités de langage, on identifie un utilisateur au terminal de communication qu'il utilise. Toutefois, en pratique, ces deux notions peuvent être séparées, si bien que les identifiants dont il est question ici peuvent s'appliquer à l'utilisateur lui-même, indépendamment du terminal supportant la transmission. A la réception de ce SMS-SUBMIT par le SC 4, ce dernier retransmet les données contenues dans le message à destination du terminal 2. Cette retransmission peut se faire en utilisant un message descendant du type SMS- DELIVER dont le format précis figure au paragraphe 9.2.2.1 de la spécification technique TS 100.901. En outre, le SC 4 comprend des moyens pour déduire du message
SMS-SUBMIT reçu du terminal 1 , un identifiant du terminal 1 , qu'il peut inclure ensuite dans le message descendant SMS-DELI VER. Cette déduction est faite
soit directement par le SC 4, soit par l'intermédiaire d'une transmission de cet identifiant depuis le terminal 1 lui-même. Le SC 4 mémorise alors l'identifiant du terminal 1 associé au message SMS-SUBMIT qu'il a reçu, en tant qu'adresse d'expédition. Par ailleurs, le SC 4 mémorise également l'identifiant du terminal qui est inclus dans le message SMS-SUBMIT qu'il a reçu du terminal 1. Ainsi, le SC 4 connaît, suite à la réception du premier message SMS-SUBMIT, des identifiants du terminal expéditeur 1 et du terminal destinataire 2 associés à ce message. Dans un mode de réalisation particulier, le premier message transmis par le terminal 1 comprend lui-même un identifiant de message, par exemple un numéro d'identification du message SMS-SUBMIT, qui est retransmis du SC 4 au terminal destinataire 2.
Si le terminal 2 souhaite répondre au terminal 1 , il transmet à son tour un message de type SMS-SUBMIT au SC 4 qui le retransmet, par exemple sous la forme d'un message de type SMS-DELI VER, au terminal 1.
Selon l'invention, le SC 4 détecte l'arrivée d'un tel message émis par le terminal 2 et, comme précédemment, détecte l'identifiant du terminal 1 inclus dans le message en tant qu'adresse de destination. Il déduit aussi de la réception de ce second message SMS-SUBMIT un identifiant de son expéditeur, à savoir le terminal 2. Il effectue alors une comparaison des identifiants ainsi relevés avec les identifiants d'expéditeur et de destinataire qu'il a précédemment mémorisés, afin d'en déduire que le second message SMS-SUBMIT reçu du terminal 2 correspond à une réponse au premier message issu du terminal 1.
Lorsqu'un identifiant du premier message avait été fourni lors de la transmission du terminal 1 , le terminal 2 peut avantageusement rappeler ce numéro d'identification dans le message de réponse qu'il transmet au SC 4. Dans ce cas, l'identifiant du premier message est également pris en compte par le SC 4 pour déterminer que le second message SMS-SUBMIT issu du terminal 2 est transmis en réponse au premier message SMS-SUBMIT issu du terminal 1.
De façon avantageuse, un délai de réponse peut être maintenu au SC 4 de manière à ce qu'un message de réponse reçu du terminal 2 soit considéré comme tel s'il est reçu par le SC 4 avant l'expiration de ce délai. En revanche, lorsque la durée écoulée entre la réception au SC 4 du premier message issu du terminal 1 et celle d'un second message reçu en réponse de la part du terminal 2 excède le délai, le second message n'est alors pas considéré par le SC 4 comme une réponse au premier message.
En général, le SC 4 ne considérera qu'une seule réponse issue du terminal 2. Si celui-ci remonte plusieurs SMS vers le terminal 1 avant l'expiration du délai, seul le premier d'entre eux sera considéré, comme une réponse au premier message par le SC 4.
Le SC 4 transmet à un centre de gestion 5 un rapport de transmission lui signalant que le terminal 2 lui a transmis un message de type SMS. Si le SC 4 a détecté que le message transmis par le terminal 2 était une réponse au SMS transmis précédemment par le terminal 1 , il inclut dans le rapport de transmission qu'il transmet au centre de gestion 5, une indication relative à cette détection. Autrement dit, il transmet au centre de gestion des messages 5 l'indication selon laquelle le terminal 2 a émis un message au terminal 1 en réponse à un premier message reçu de ce terminal 1. L'intégration de cette information dans le rapport de transmission par le SC 4 peut être de toute nature, en fonction du protocole d'échange utilisé entre le centre de service 4 et le centre de gestion de messages 5. Il peut par exemple consister en un codage d'un bit du message constituant un rapport de transmission, de façon à ce que la valeur de ce bit soit interprétée par le centre de gestion 5 comme une indication selon laquelle le message correspondant est une réponse à un message préalablement transmis, ou bien un message indépendant de toute transmission précédente.
Le centre de gestion des messages 5 peut alors prendre en compte cette information pour toute opération de gestion concernant le second message transmis par le terminal 2. Un exemple d'opération de gestion effectuée par le centre de gestion 5 consiste à imputer à un terminal une transmission de SMS pour laquelle il a reçu un rapport de transmission de la
part du SC 4. Dans ce cas, il peut notamment imputer la transmission effectuée par le terminal 2 au terminal 1 , lorsque cette seconde transmission a été réalisée en réponse à un premier message issu du terminal 1 , comme cela lui a été indiqué par le SC 4. Une opération de ce type peut être utilisée dans le cadre d'une facturation des échanges de SMS pour facturer l'acte de transmission du second message issu du terminal 2 au terminal 1.
Bien sûr, la réception, par le centre de gestion des messages 5, de l'information lui signalant que le second message issu du terminal 2 est une réponse au premier message émis par le terminal 1 peut servir de base à toute autre opération de gestion prenant en compte cette information. Par exemple, elle peut servir au centre de gestion des messages 5 pour tenir une comptabilité des messages SMS envoyés en réponse à un premier message, afin d'obtenir un pourcentage statistique des SMS transmis en réponse à un premier SMS par rapport à l'ensemble des SMS transmis dans le système de communication.
Dans un mode de réalisation avantageux, le premier message SMS- SUBMIT transmis par le terminal 1 comprend une information de gestion qui conditionne la transmission du rapport du SC 4 au centre de gestion 5, ainsi que les opérations effectuées par le centre de gestion. Par exemple, cette information contenue dans le message initial peut signaler une demande d'imputation au terminal 1 , d'un éventuel message de réponse émis par le terminal 2. Une telle information peut être codée dans le message SMS- SUBMIT en tirant profit par exemple d'un bit non utilisé dans ce message.
Dans ce mode de réalisation, on peut prévoir de donner à l'utilisateur du terminal 1 la possibilité de choisir explicitement la transmission d'une telle demande d'imputation d'un éventuel message de réponse. Ceci peut être réalisé par l'intermédiaire de l'interface graphique offerte par le terminal 1 à son utilisateur, par exemple en affichant le choix d'imputation donné à l'utilisateur juste avant la transmission d'un SMS, ou bien en paramétrant préalablement le mode d'imputation souhaité dans un menu de configuration du terminal.
Dans un mode de réalisation, le terminal 1 dispose d'un crédit de messages prédéterminé qui est diminué à chaque nouvelle imputation à ce
terminal de la transmission d'un nouveau message. Le maintien et la mise à jour du crédit peuvent par exemple être effectués par le centre de gestion des messages 5. Dans ce cas, la transmission d'un nouveau message de la part du terminal 1 sera avantageusement soumise à une procédure d'autorisation consistant à vérifier la valeur du crédit restant au terminal 1 , lorsque celui-ci envisage de transmettre un message contenant une information selon laquelle une éventuelle réponse au message devra être lui imputée. Ceci signifie qu'un terminal souhaitant bénéficier d'une imputation pour le message qu'il transmet, mais également pour une éventuelle réponse à ce message, devra avoir un crédit suffisant pour permettre l'imputation de ces deux messages et la réduction résultante de son crédit. Cette procédure d'autorisation peut par exemple être mise en œuvre par le centre de. gestion des messages 5. Dans ce cas, ce dernier vérifie si le message transmis par le terminal 1 contient une demande d'imputation d'un message de réponse, sur la base' du rapport de transmission qu'il reçoit du SC 4. Dans l'affirmative, le centre de gestion 5 signale au SC 4 qu'il peut retransmettre au terminal 2 les données du message émis par le terminal 1.
Pour ce qui est de la transaction . propre au terminal 1 , à savoir la transmission du premier message de SMS, celle-ci peut faire l'objet d'une opération de gestion à part entière, indépendamment de l'éventuelle réponse qui sera envoyée par le terminal 2. Dans un autre mode de réalisation, les opérations de gestion effectuées par le centre de gestion 5 pour le premier message transmis par le terminal 1 , sont retardées de manière à n'être effectuées qu'une fois le message de réponse transmis par le terminal 2. Ainsi, dans ie cas où l'opération de gestion menée par le centre de gestion 5 concerne une imputation des messages à un terminal, l'imputation du premier message au terminal 1 ne sera faite que lorsqu'une réponse à ce message aura été envoyée par le terminal 2, détectée par le SC 4, transmise au centre de gestion 5 et imputée au terminal 1. Dans un autre mode de réalisation, l'entité émettrice du premier message SMS à destination du terminal de radiocommunication 2, est une entité de communication fixe 3, terminal ou serveur. Le procédé mis en œuvre est sensiblement identique au cas décrit précédemment dans un contexte de
radiocommunication. Cela signifie que l'entité fixe 3 commande au centre de service 4,' par l'intermédiaire d'une liaison filaire 10, la transmission d'un premier message contenant des données à destination du terminal 2. Le SC 4 transmet alors ces données au terminal 2, par exemple sous la forme d'un message descendant SMS-DELIVER. Il mémorise également un identifiant du terminal 2 destinataire et de l'entité fixe 3, de manière à pouvoir comparer ces identifiants avec ceux transmis ou déduits d'un éventuel message de réponse reçu ultérieurement de la part du terminal 2. Un rapport de transmission est ensuite envoyé du SC 4 au centre de gestion des messages 5, en lui signalant que le second message transmis par le terminal 2 est une réponse au premier message issu de l'entité fixe 3, ce qui donne lieu, au centre de gestion 5, à une opération de gestion prenant en compte cette information pour le second message transmis.
Dans ce cas, le terminal fixe 3 est typiquement utilisé par un expéditeur massif de messages SMS. Il peut alors être avantageux d'enregistrer au SC 4 l'identifiant de l'entité 3 de manière à ce que toute réponse,, transmise par le terminal 2, à un message issu de l'entité 3, même en l'absence d'indication spécifique dans ce message, fasse l'objet d'une détection en vue de communiquer de façon systématique au centre de gestion 5 l'information selon laquelle le message transmis par le terminal 2 est une réponse à un premier message issu de l'entité 3.