OA18445A - Scanner à boite à archives amovible - Google Patents

Abstract

L’invention concerne un scanner avec une boite à archive amovible intégrée. Ce scanner dispose, en plus des fonctionnalités habituelles du scanner à plat, d'une boite à archives logée dans un tiroir (5) pour l'archivage physique ou papier, d'un écran tactile (2) , d'une caméra électronique (1) pour la photographie des documents, d'un plateau (4) servant de surface de la prise de vue du document à archiver et d'un support numérique muni d'un système de classement intégré pour une recherche aisée et une meilleure sauvegarde.

Description

DESCRIPTION DE L’INVENTION

Scanner à boîte à archives amovible

L'invention concerne un scanner avec une boite à archive amovible intégrée. Elle prend en compte la pratique usuelle de l'archivage de documents et répond, en outre, à la nécessité de conservation des documents via un support numérique qui assure une meilleure sauvegarde et un meilleur accès aux informations qu'elle contient, grâce à un système de classement intégré. Ce dispositif vient donc faciliter la gestion quotidienne des documents papiers à conservés conserver.

Un scanner ou numériseur à balayage est un périphérique informatique qui permet de numériser des documents ou autres, comme les empreintes digitales par exemple.

L'objet à scanner est soumis au balayage d'un rayon lumineux ; un capteur transforme la lumière reçue en un signal électrique qui est transféré à l'ordinateur, pour y être ensuite sauvegardé, traité ou analysé. L'appareil prend souvent la forme d'une tablette sur laquelle le document doit être posé.

Le principe de la description ligne par ligne d'un document remonte au moins au pantélégraphe mis au point par Giovanni Caselli, un physicien italien, vers 1856. Celui-ci permet la reproduction d'un dessin tracé avec un crayon à mine isolante sur un support conducteur en feuille d'étain. À la suite de la mise en service commerciale de ce dernier, de nombreuses inventions reprennent le principe pour la télécopie.

Vers 1904, l'Allemand Arthur Korn utilise pour la première fois une cellule photoélectrique pour l'analyse directe d'un document original. Vers 1920, le Français Édouard Belin perfectionne son bélinographe en adoptant ce principe d'analyse, et son appareil amélioré domine la transmission à distance des photographies de presse ou de leurs négatifs. On fixe le document à reproduire sur un cylindre tournant. Une lampe éclairant vivement une petite surface et une lentille dirigées vers un point du document se déplacent lentement sur un chariot mû par une vis solidaire du cylindre qui les fait avancer d'une fraction de millimètre par tour. À l’autre bout, le signal module une lumière qui impressionne un film photographique

On n'enregistre pas le signal qui décrit le document. L'analyse ligne par ligne constitue un échantillonnage dans la dimension perpendiculaire, et bien que les photographies de presse

soient tramées, c’est-à-dire échantillonnées dans leurs deux dimensions, le signal reste analogique pour chaque ligne.

Les premiers scanners pour l’exploitation informatique de l'image fonctionnent selon le même principe, mais échantillonnent dans les deux dimensions, quantifient et codent numériquement. Le premier scanner développé pour fonctionner en tandem avec un ordinateur est un scanner à tambour mis au point aux États-Unis en 1957 au National Institute of Standards and Technology par une équipe de chercheurs menée par Russell A. Kirsch.

On distingue plusieurs types de scanners :

Scanner à plat

Les scanners à plat sont les plus courants. Il en existe deux types :

• Ceux dont les capteurs (en général, de type CCD) sont fixes et dont la partie mobile est un miroir.

• Ceux dont les capteurs (de type CIS) sont mobiles, et appliqués directement contre la vitre. Bien qu'ils aient énormément progressé, leur image est toujours un peu floue car ils ne peuvent empêcher une diffusion de la lumière contre la vitre.

Scanners à défilement

Avec les scanners « à défilement », le document est entraîné, comme pour un fax, c'est lui qui se déplace et non les capteurs ou un miroir. Ce procédé est principalement utilisé dans les bureaux. Ces scanners permettent aujourd'hui de numériser des documents de grammages variables de format allant de la carte de visite au format AO.

Scanners à main

L'opérateur fait défiler l'outil contre le document à scanner.

Au début des années 1990, les scanneurs à main ont été les premiers scanneurs « grand public», du fait notamment de leur faible prix. Ils sont aujourd'hui beaucoup moins fréquemment utilisés, eu égard à l'habileté que réclame leur manipulation et aux erreurs dont leur mode opératoire est la source.

Scanners de films

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Dans un scanner film, la lumière traverse directement le document transparent (négatif ou diapositive), ce qui permet, avec un objectif de qualité, d’obtenir une qualité chromatique de haut niveau et une résolution très élevée.

Scanners à tambour

Les scanners à tambour produisent un transfert d’image de haute qualité avec une résolution et une qualité colorimétrique sans égal.

L'ensemble de ces scanners ont beaucoup d'avantages en ce sens qu'ils permettent de reproduire Instantanément des documents et de conserver, lorsqu’ils sont liés à un ordinateur, ces documents sous forme électronique. Toutefois, ils ont l’inconvénient de ne pas permettre l'archivage simultané, le classement, la conservation et le partage d’information de tous les documents.

La présente invention est relative à un scanner à plat avec une boite à archive.

Les archives sont un ensemble de documents conservés pour pouvoir prouver des droits ou témoigner de certaines activités. Par métonymie, elles désignent également le lieu où l’on conserve ces documents (dépôt ou local de conservation, ou encore l'institution chargée de leur conservation ou de leur gestion).

La boite à archives sert à trier et ranger tous les papiers dont vous n'avez plus besoin pour travailler mais que vous devez conserver.

Grâce à elle, vous pouvez trier physiquement vos documents parmi 1 critère prédéfini tel que l'ordre chronologique de production, l’année, le client, le projet, etc.

De plus, elle se range facilement dans une armoire ou une étagère grâce à sa forme rectangulaire.

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Il existe différents formats de boite d'archives mais la plus commune est 25,5 x 32,4 cm afin de pouvoir y faire entrer les documents A4. En ce qui concerne le dos des boîtes, la dimension peut varier entre 5 et 20 cm, ce qui délimite le nombre d’archives pouvant être contenues.

Enfin, la boite à archives peut renfermer des documents papier mais aussi des brochures, des revues ou des magazines de format A4.

ES

Aujourd’hui, on distingue sur le marché différents moyens d’archiver les documents papiers : classeurs ou pochettes ; boites à archives papiers trouvées communément dans le commerce pour l’archivage physique et les scanners bureautiques pour la dématériaiisation {stockage numérique).

L’homme à une propension naturelle à conserver les papiers, soit chez lui ou au cœur d'un service dans une société. En effet, à l’échelle privée, les papiers de santé, de propriété, d’emploi sont la mémoire de l’individu et donc essentiels pour prétendre défendre ses droits ou garder trace de souvenirs qui constituent son identité. A l’échelle professionnelle, les papiers comptables, administratifs ou juridiques d'une entreprise doivent être conservés pour des raisons légales ou organisationnelles.

Or, les boites à archives classiques sont mis dans un lieu parfois difficile d'accès (dépôt, cave, grenier, réserve...) et sont soumis à des conditions de conservation qui peuvent les détériorer ou les supprimer {humidité, moisissure, intempérie, incendie...). Il faut noter que ces problèmes soulevés, sont exponentiellement proportionnels à leur quantité.

La présente Invention a pour but de fournir un appareil qui permettra simultanément d'archiver, de classer, de conserver et de partager (rechercher) l'information de tous les documents, en utilisant une solution centralisée unique, facilement utilisable.

Conformément à l'invention, ce but est atteint avec un scanner disposant, en plus des fonctionnalités habituelles du scanner à plat : d'une boite à archives logée dans un tiroir pour l'archivage physique ou papier, d'un écran tactile, d'une caméra électronique pour la photographie des documents, d'un plateau servant de surface de la prise de vue du document à archiver et d'un système de classement intégré pour un accès aisé aux informations classées et sauvegardées par archivage numérique.

Chaque boite est identifiée d’une façon unique grâce à un identifiant codé dans un code à barres, collé sur la boite à archives. La reconnaissance de la dénomination de la boite à archives se fait grâce à une encoche faite dans le plateau et laissant apparaître le code à barres collé à la boite à archives. L’invention fait ainsi le lien entre le document numérisé et la boite à archive concernée. Cette Identification est essentielle au repérage ultérieur rapide des documents physiques ainsi archivés.

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Scanneur à boîte à archives amovible conforme à l'invention présente l'avantage de garder, enregistrer et transférer sur un serveur de stockage externe des documents. Il est donc fait pour faciliter la gestion quotidienne des papiers conservés par le particulier ou l'entreprise. Le scanner à boite à archives permet de numériser, classer et de stocker en une seule manipulation, le document à archiver dans la boite.

L’invention est décrite ci-après avec référence aux schémas joints pour lesquels :

La figure 1 représente une vue de face, par le haut du scanner à boite à archive ;

La figure 2 est une vue de profile, par la droite du scanner à boite à archive ;

La figure 3 est une vue de profile, par la gauche et le bas du scanner à boite à archive.

Le dispositif comprend :

- un tiroir (5) héberge la boite à archives. Chaque boite est Identifiée d’une façon unique grâce à un Identifiant codé dans un code à barres, collé sur la boite à archives. La reconnaissance de la dénomination de la boite à archives, se fait grâce à une encoche (3) faite dans le plateau (4) et laissant apparaître le code à barres collé à la boite à archives ;

- un plateau (4) sert de surface pour la prise de vue du document à archiver ;

- un écran tactile (2) muni d’une caméra électronique (1) permet la digitalisation de la surface du plateau (4).

En effet, le scanner à boite à archive permet de prendre une « photo » du document à archiver avant de l’introduire dans la boite à archives qu’elle héberge. La « photo » est alors enregistrée puis traitée dans un logiciel intégré qui va répondre aux besoins de recherche, de conservation et de partage du document ainsi scanné quoique conservé aussi dans sa version papier. L'utilisation pratique de la boite à archives selon l’invention se fait en sept étapes :

1. Avec la boite à archives vendue dans le commerce, l'utilisateur imprime et colle un code à barres fourni par le gestionnaire du scanner à boite à archive sur le dessus arrière gauche de la boite,

2. L’utilisateur Insère la boite à archives à plat et ouverte dans le tiroir (5) du scanner, de sorte que le code à barres soit visible en haut de la boite,

3. L’utilisateur met sous tension le scanner à boite à archive et le met en marche,

4. Grâce à l’écran tactile (2) du scanner, l’utilisateur s’identifie (login et mot de passe),

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5. L'utilisateur pose son document papier à scanner sur le plateau (4) du scanner, face à archiver visible du dessus.

6. Guidé par l'écran tactile (2) du scanner, l'utilisateur sélectionne le type de document dans une liste proposée puis photographie son document et en valide le classement dans la base de donnée du logiciel afin d’en garantir la facilité d'accès.

7. L’utilisateur Introduit le document numérisé dans la boité à archives hébergé dans le tiroir (5).

Il reprend ensuite à l’étape 5 pour le document suivant.

Il est à préciser que si le document papier comportait plusieurs pages, le logiciel du scanner à îo boite à archive ne générerait qu'un seul document numérique en bout de traitement.

Claims (1)

1. Œ

   REVENDICATIONS

   1- Scanneur à boites d’archives amovible caractérisé en ce que le scanneur est constitué d'un tiroir (5) hébergeant la boite à archives qui est identifiée d’une façon unique grâce un identifiant codé dans un code à barres collé sur la boite à archives, d'un plateau (4) servant de surface pour la prise de vue du document à archiver, d’un écran tactile (2) et s d'une caméra électronique (1) permettant la digitalisation de la surface du plateau (4).

   ABREGE DESCRIPTIF

   Scanneur à boîte à archives amovible

   L’invention concerne un scanner avec une boite à archive amovible intégrée.

   Ce scanner dispose, en plus des fonctionnalités habituelles du scanner à plat, d’une boite à s archives logée dans un tiroir (5) pour l'archivage physique ou papier, d’un écran tactile (2), d'une caméra électronique (1) pour la photographie des documents, d'un plateau (4) servant de surface de la prise de vue du document à archiver et d’un support numérique muni d'un système de classement Intégré pour une recherche aisée et une meilleure sauvegarde.

   Figure 1

   PLANCHE 2/2