FR3081059A1 - Procede de representation de l'information au moyen de symboles matriciels "alphalie" - Google Patents

Procede de representation de l'information au moyen de symboles matriciels "alphalie" Download PDF

Info

Publication number
FR3081059A1
FR3081059A1 FR1800471A FR1800471A FR3081059A1 FR 3081059 A1 FR3081059 A1 FR 3081059A1 FR 1800471 A FR1800471 A FR 1800471A FR 1800471 A FR1800471 A FR 1800471A FR 3081059 A1 FR3081059 A1 FR 3081059A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
dots
dotcols
field
dotcol
fields
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Withdrawn
Application number
FR1800471A
Other languages
English (en)
Inventor
Jacques Rivaillier
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
Individual
Original Assignee
Individual
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Individual filed Critical Individual
Priority to FR1800471A priority Critical patent/FR3081059A1/fr
Publication of FR3081059A1 publication Critical patent/FR3081059A1/fr
Withdrawn legal-status Critical Current

Links

Classifications

    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06FELECTRIC DIGITAL DATA PROCESSING
    • G06F16/00Information retrieval; Database structures therefor; File system structures therefor
    • G06F16/20Information retrieval; Database structures therefor; File system structures therefor of structured data, e.g. relational data
    • G06F16/28Databases characterised by their database models, e.g. relational or object models
    • G06F16/283Multi-dimensional databases or data warehouses, e.g. MOLAP or ROLAP

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Databases & Information Systems (AREA)
  • Theoretical Computer Science (AREA)
  • Data Mining & Analysis (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Document Processing Apparatus (AREA)

Abstract

L'intérêt de la représentation de l'information sous forme de DotCols réside principalement dans la mise en œuvre des champs de caractérisation de l'information avec les dots T0, T1, T2 pour les domaines de sémantique et le champ de dots de sous-domaines de représentation de l'information R0,R1,R2 et le champ d'association des DotCols LO, L1 qui permettent de représenter, outre la sémantique des valeurs supportées, leur structure complète, leur nature physique et leurs fonctions sans limite théorique. Les DotCols pointent souvent sur des éléments de tables de structures, de propriétés, de fonctions, de paramètres et de liens pour élaborer les DotCols exécutables. Des DotCols spécifiques représentent des adresses qui permettent l'accès différencié aux différentes tables en local, en externe ou sur réseau. Cette représentation permet aussi d'afficher le contexte des données de l'application et le type et la nature physiques des dots eux-mêmes. Les caractéristiques du message et les moyens nécessaires à l'exécution sont intégrés dans les Dotcols pour en faire une représentation canonique exhaustive. Ce procédé peut être mis en œuvre par des polices de symboles ou des matrices 2D ou 3D. Les dots sont constitués d'un ou plusieurs sous-éléments de nature physique quelconque définis dans des tables de structures et de composition spécifiques. Ce procédé facilite grandement l'élaboration d'Editeur de DotCols en langage naturel et d'interpréteur qui débouche sur une écriture canonique directement exécutable notamment via des tables par des interpréteurs, ou des drivers associés aux périphériques et aux objets (connectés).

Description

PROCEDE DE REPRESENTATION DE L'INFORMATION AU MOYEN DE SYMBOLES MATRICIELS « ALPHALIE ».
DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION.
[0001] La présente invention se rapporte au domaine des procédés de représentation de l'information au moyen de structures de symboles physiques et de structures informatiques. La présente invention se rapporte plus particulièrement à un procédé mis en œuvre par ordinateur de codages d'informations décrites au moyen d'un ensemble de structures de symboles physiques et de structures informatiques. L'invention concerne également le produit programme comportant des instructions pour l'exécution par ce procédé d'instructions informatiques d'applications.
[0002] ETAT DE LA TECHNIQUE ANTERIEURE.
On connaît de nombreux procédés de représentation de l'information sous forme digitale, notamment les codes à caractères et les codes à barres comme les codes 2D. Seuls ces derniers permettent de coder les 256 valeurs d'un octet et de représenter ainsi des fichiers informatiques.
[0003] De tels codes sont des codes matriciels globaux, définissant une surface ou une image en deux dimensions globale. Chaque colonne matricielle d'un code global n'est pas porteuse en elle-même d'une information. De tels codes matriciels globaux présentent plusieurs inconvénients :
• ils ne permettent pas d'intégrer une représentation sémantique de l'information ainsi codée, de la structure et du contrôle de l'élément porteur de l'information ;
• le nombre de symboles du fichier informatique initial représenté par une image globale est limité ;
• ils ne peuvent pas être représentés par des traitements de textes, mais exigent des algorithmes natifs dédiés pour réaliser l'image globale ;
. Ils imposent d'utiliser un logiciel de lecture optique spécifique pour décoder les informations codées dans la globalité de I image.
[0004] On connaît également le procédé de codage DOTEM tel que décrit dans le document EP 1880 348. Un tel procédé permet de coder directement les octets en faisant correspondre chacune des 256 valeurs de l'octet à un caractère d'au moins deux colonnes de dots. L'ensemble de ces caractères sont regroupé sous forme de polices. La dénomination de « dot » désigne tout élément constituant.
[0005] On connaît aussi le procédé de codage de l'information décrit dans le PCT/FR2016/051125 qui précise la nature physique des dots et les protocoles de mise en œuvre en fonction de leur nature physique, mais il ne précise pas les règles définissant et optimisant les structures et les propriétés spécifiques des dots, des colonnes de dots et de leur groupement. Il ne mentionne pas la mise en œuvre de dots de type couleur correspondant à des bases de numération supérieures à 2.
[0006] EXPOSE DE L'INVENTION.
L'invention propose des structures, règles et protocoles entraînant de nouvelles fonctionnalités permettant de coder directement les octets en différentes bases de numération définissant et optimisant les organisations et les propriétés des ensembles de dots comportant toutes les informations, notamment la mise en œuvre généralisée des tables internes ou externes de structures, de caractéristiques, de fonctions, de liens et de règles nécessaires à la réalisation des applications à l'aide d'un traitement de génération de code exécutable de type éditeur-interpréteur en lieu et place de compilateurs et ainsi de simplifier les codages, minimiser les conventions et accroître l'interopérabilité des applications.
[0007] Cet objectif est atteint grâce à un procédé, mis en œuvre par ordinateur, de codage d'informations décrites au moyen d'un ensemble de structures de symboles physiques et de structures informatiques, ledit ensemble de structures étant composé d éléments porteurs d'information, chaque structure de symboles physiques comportant au moins une colonne réelle ou virtuelle, chaque colonne comprenant au moins un dot, un dot constituant la représentation physique d'au moins un bit informatique. Une colonne réelle étant apte à être affichée sur un support d'affichage, une colonne virtuelle n'étant pas apte à être affichée sur un support physique. Le procédé comporte une étape de création des colonnes de dots ou écriture au sein de moyens de mémorisation de l'ordinateur, au cours de laquelle au moins un dot de chaque colonne de dots est affecté d'une valeur qui est fonction de la position ou zone qu'il occupe sur ladite colonne.
[0008] Ce procédé s'appuie notamment sur le concept de dot qui conserve la même structure de codage quel que soit le type de matérialisation de l'information utilisant notamment des supports filaires, optiques, radioélectriques, sonores etc. Un tel procédé a pour avantage de permettre d'élaborer un code exécutable comme l'on écrit un texte à l'aide d'un traitement de textes.
Pour ce faire ce procédé définit des règles et fonctions qui permettent d'élaborer avec la précision nécessaire les structures et les propriétés des dots et de leur groupement au sein des colonnes ainsi que celles de l'association de ces dernières pour aboutir à un programme exécutable à la manière d'un langage interprété. Il permet de collecter des compléments d'informations dans des tables internes à l'unité de traitement ou externes y compris via des réseaux grâce aux éléments liens et adresses intégrés aux DotCols [00032].
[0009] Le concept « DotCol » d'ALPHAlie permet d'associer aux ordres du concepteur d'application (programmeur) les compléments d'informations nécessaires à I exécution de l'application. Il intègre aux données elles-mêmes leurs sens, leurs structures, leurs fonctions et éventuellement leurs liens avec d'autres structures ainsi que le contexte de l'information et le cas échéant leur représentation physique, rendant sans objet déclarations et formatages préalables.
Les DotCols sont formées de dots : éléments unitaires d'information. L exploitation de l'élaboration à l'exécution des logiciels s'en trouve singulièrement simplifiée.
Il est à remarquer que :
• en mode élaboration la construction en DotCols du code d'exécution se fait au fur et à mesure de l'entrée des paramètres des objets et des actions que le traitement d'application doit accomplir.
Les extensions et les mises à jour sont facilitées par le chargement partiel ou total de tables de paramètres, de fonctions, d'expressions ou d'adresses...
L'écriture du sens, des structures et du contexte des données et des paramètres n'ont théoriquement pos de limite en nombre et en capacité, directement fonction de la quantité et du détail des informations ; toutefois certaines structures réduites n'ont pas la possibilité d'éventuelles extensions.
• le mode de représentation-exécution des DotCois, généralement mise en œuvre par un interpréteur et des drivers, est le reflet de la physique des objets et « s'écrit » directement en informatique (ordinateurs et réseaux), mais aussi directement sur supports physiques (papier, écran...) et liaisons sans fils où un à deux dots repères physiques s'avèrent très 5 utiles notamment pour la sécurité de lecture.
[00010] En base binaire, une DotCol peut être un ensemble de plusieurs champs de 16 dots correspondant aux 16 bits d’un « integer » informatique, plus 1 ou 2 dots facultatifs dits «repères» et notés «a» ou champ 1 et«p» ou champ 6. Ils sont utiles dans les 10 représentations physiques pour signaler le début et la fin de la DotCol. Ils correspondent à des points d'encres, des pixels, des ondes de différentes fréquences ou durées ou brillances, les distinguant des autres dots. Les dots repères, quand ils existent, représentent des éléments de sécurité de l'écriture de la DotCol. Il s'agit le plus souvent de la parité de la DotCol, paire pour l'un et impaire pour l'autre qu'ils peuvent représenter avantageusement à 15 l'aide de couleurs ou de formes différentes des autres dots de la DotCol pour faciliter le repérage ; exemple avec un mélange de couleur : « 0 » avec rouge + vert et « 1 » avec rouge + bleu. Ils permettent de détecter une erreur.
Ils n'ont pas de correspondance informatique, donc sont absents des mémoires informatiques alors que les autres dots sont une correspondance directe totale avec les bits.
[00011] Composition d'une DotCol en multi-champs [fig. 1].
Les DotCois sont souvent exprimés en base binaire. D'autres bases notamment couleurs sont analysées en [00019].
Le Modèle Canonique de DotCol binaire est :
Integer informatique = 16 bits = 1 DotCol =16 dots + 2 dots a et β repères physiques facultatifs.
Les 16 dots se composent de deux parties :
• La première comprend les 8 premiers dots (hors repères physiques) des DotCois qui codent la Valeur ou data (champ 2, [12A] fig.l) d'une variable ou d'une composante généralement de 0 à 255 ou plus sans limite par extension.
· La seconde des DotCois est un octet « Caractéristiques » principalement sémantiques composé des champs 3, 4 et 5 qui sont :
[00012] Le champ 3 ou «Ti» qualifiant la nature les domaines [13 fig.l] auxquels appartiennent les informations, comprend trois dots : T°i, T1! et T2i en positions 9,10 et 11 sur la DotCol pour coder principalement différents types de variables qui, en base binaire et hors extension, sont principalement :
• 000 = 0, pour les caractères (ASCII, UNICODE ...etc) : DotCol « caractère », • 001 = 1, pour les balises, une telle DotCol est dite « DotCol balise » ;
• 010 = 2, pour les Nombres, DotCol « nombre » ;
• 011 = 3, pour les Multi-variables, DotCol « multi-variables » ;
• 100 = 4, pour les liens (tables de liens, URL...) ;
• 101 = 5, pour la sécurité : intégrité (redondance...) • 110 = 6, pour la confidentialité des informations ;
• 111 = 7, pour adresses locales, externes et réseaux ;
[00013] Le champ 4 ou « Rni » : sous-domaines [[14 fig. 1].
Chaque domaine de représentation de l'information est détaillé en sous-domaines au sein même des DotCols par le champ « Rn » : R°, R1, R2·
A chaque domaine correspond 8 sous-domaines (en base binaire).
Toutefois la taille du champ 2 « valeur» ainsi que celle des champs 3 «Ti » et 4 «Rni » qui précisent les domaines et les sous-domaines peut être augmentée à volonté par extension sans limite, en totalité ou deux à deux ou séparément, par ajout de DotCols.
00014] Exemples partiels illustrant la notion de désignation des domaines et de sous domaines.
Première DotCol (indice 1) de composante (plusieurs DotCols) ou DotCol indépendante (1 DotCol).
Ti” (domaine) R}” (sous-domaine) Valeur ( champ 2 : Data} k (champ 5)
3
0 = caractères 0 = UNICODE 1 = autre norme 2 - hors norme 0 à 255 (couvre l'alphabet latin et plus)
1= balises 0 = balises simples 0à255
1 = balises étendues 0à255
2 = balises composées 0à255
3 = balises MIME et plus 0 à 255 (80 fonctions standard)
4 = balises adresses 0à255
5 = balises spéciales 0à255
6 = balises fonctions 0à255
7 = balises de désignation (0 à 127 et 0 à 127) 2 = nombres 0.entiers oà 127(1dot = signe) 1 = virgule fixe θ & 255 2 = norme IEEE754
5 3 = Table types de représentations 0 à 255 types 4 = Exponentiels 5 = imaginaires 6 =log et Log 3 = multl-variables :
10 0 = Table standard 0 à 255 (balises standard) 1 = Identification d'objets 0 à 255 (255 types) 2 = Identif. biens/Entités 0 à 255 3 = Identif. des personnes 0 à 255 4 = Authentification des objets 0 à 255 (255 procédés)
15 5 = Authentif. des biens/entitésO à 255 6 = Liens complexes 0 à 255 7 = Sécurisation des info. 0 à 255 4 = liens 0 = Liens locaux 0 à 255 (liens logiciels)
20 1 = Liens réseaux θ à 255 (liens favoris 2 = Tables d'URL 0 à 255 (liens URL favoris) 3 = Tables (liens standards) 0 à 255 (selon standard) 4 = Table d'ensembles de liens 0 à 255 (255 ensembles complexes) 5= Tables de logiciels
25 6 = Tables téléphoniques. 5 = Sécurité 0 = types de Redondances 0 à 255 (255 types de redondance) Intégrité 1 = Reed Solomon 0 à 255 détail des paramètres 2 = Parités... 0 à 255 paramètres de la parité
30 6= Confidentialité 0 = Chiffrements 1 = Sectionnement... 7 = Domaine Adresses 0 = tables d'adresses internes ou locales.
35 1 = tables d'adresses externes ; 2 = tables d'accès réseaux 3 = adresses Origine.
Soient 8 domaines ou plus et 64 sous-domaines (ou plus avec « extensions ») ;
[00015] Explicitation de la notion de sous-domaines pour les principaux domaines.
La structure DotCol permet de préciser la nature et le sens de la « valeur » portée par le premier champ. Une DotCol simple code 256 possibilités et 2 Dotcols associées en codent 65536, comme :
TNB = 0 est le domaine « caractères ».
• Rn = 0 indique que « valeur » correspond à un symbole de la norme UNICODE. Comme « valeur » n’a pas de limite toute la norme UNICODE présente et avenir pourra être représentée.
• Rn = 1 indique que « valeur » représente un caractère dans une autre norme ...etc.
T” = 1 désigne le domaine balises qui est très riche en sémantique.
• Rn = 0 correspond aux balises simples qui sont souvent des éléments déclaratifs explicitant la nature et le sens de la ou des DotCols qu'elle précède. Il s'agit notamment d'unités physiques ou de references standards ; [Exemples 24] • Rn = 1 désigne une balise étendue qui indique que la première DotCol assigne une classe de balises étendues et que la seconde est liée et pointe sur un élément de cette classe qui précise de façon très précise nature, structure sens et fonction de « valeur » (256 possibilités ou plus avec extension).
• Rn = 2 désigne une balise composée où la première DotCol indique une Classe de balises composées qui correspondent à des structures spécifiques abondées par les DotCols suivantes pour exprimer des « objets » complexes.
• • Rn = 7 sont des balises de « désignation » qui affectent un identifiant (ensemble de caractères de normes UNICODE ou d'images, graphismes...) à une variable, une composante, une DotCol, un mot, une fonction, une table, une matrice, un objet, une référence, un message...
Le nom des autres domaines sont suffisamment explicites.
[00016] Le champ « Ln » d'association et d'extension.
L'information est supportée par 1 ou plusieurs DotCols dont l'association représente des composantes puis des mots. La règle d'association est codée par le champ « Ln » : L° et L1.
Elle précise ainsi, en quelque sorte, «l’orthographe des mots » dont la taille est optimisée et dépend de la quantité et de la précision des Informations comme ci-après en base binaire :
• 00 = O = Dotcol non liée donc Indépendante ou fin de composante ou de mot ;
• 01 = 1 = DotCol liée à la suivante ;
• 10 = 2 = DotCol liée à la suivante et extension avec champs indépendants, • 11 = 3 = DotCol liée à la suivante et extension avec champs liés à ceux de la DotCol voisine (concaténés champ à champ).
Si la base de numération est supérieure à 2 on a :
• 4 = DotCol liée à la suivante et extension des seuls champs « valeur » ;
• 5 = DotCol liée à la suivante, et extension des seuls champs « Tn »....
Une seconde DotCol liée à la première précise un ou plusieurs champs de celle-ci et ainsi de suite jusqu'à la fin de la composante. Les champs peuvent être indépendants avec Lnm= 2 ou dépendre des précédents avec Lnm= 3.
[00017] Codage des Extensions, généralement par concaténation de champs.
Dans un groupement de DotCols, les champs de la première peuvent être étendus par concaténation avec ceux de la ou des DotCols suivantes. Les conditions d'extension des champs de la 1ère DotCol avec les suivantes sont commandées à la fois par le codage de son propre champ Lni et par celui des champs des DotCols suivantes, ainsi :
• Le champ de la première Ln! = 3 définit : « champs liées aux voisins par concaténation ». En binaire, le champ « valeur » de la première DotCol croît de 8 bits ou dots à chaque DotCol du groupement: 8 puis 16(pour la seconde), puis 32 sans limite théorique.
• Si les champs fi et Li des colonnes suivantes sont nuis, seuls les champs « valeur » des DotCols du groupement sont concaténés pour n'en former qu'un seul, les autres champs restent indépendants.
Une suite de Dotcols peut comporter une grande variété d'associations avec des Dotcols indépendantes en position quelconque dans le message ou déterminée (cas des adresses), ainsi que des composantes d'une ou plusieurs Dotcols et des mots de taille variable, tous en nombre quelconque pour former éventuellement un message ou une exécution plus ou moins complexe qui se suffit à elle-même (représentation canonique).
[00018] DotCols : composantes et mots.
Les groupements de DotCols correspondent généralement à des composantes qui représentent une même sémantique.
Il existe des composantes simples généralement initiées par une DotCol qualifiant un domaine, exemple balise. Les DotCols suivantes composent la balise jusqu'à la dernière dont le champ Ln=0 = fin composante. Leur taille ne comprend souvent que quelques DotCols.
Il existe des composantes composées ou complexes qui sont généralement encadrées par les balises 260 et 261 et comprennent des DotCols en nombre quelconque de différentes significations où la seconde DotCol est liée à la première et ainsi de suite. Les DotCols 10 précisent, autant que nécessaire, les informations complémentaires par ajout d'autres DotCols souvent pointant sur des tables locales ou externes, voire des URL. Les composantes portent souvent un identifiant (grâce à une DotCol de désignation).
Un mot est formé d'au moins une composante. L'ensemble des mots forme un message.
Le sens des dots qui composent les DotCols d'une composante est souvent fonction de la position de ces DotCols au sein de la composante. Les DotCols indépendantes sont souvent des caractères UNICODE de valeur < 255 ou des balises déclaratives < 255.
La richesse de codage croît très vite avec la taille des composantes, c'est-à-dire le nombre de DotCols qui les composent, à tel point que certains dots restent disponibles pour accroître 20 ultérieurement les possibilités de codage notamment sécuritaires (fiabilité du codage et confidentialité).
La construction des DotCols se déroule au fur et à mesure de la composition de l'application et met en relief l'importance de l'arborescence qui guide l'élaboration des DotCols par l'éditeur d'application.
La représentation de l'information est entièrement supportée par les DotCols qui notamment pointent sur des tables. Les éléments ainsi désignés permettent de construire d'autres DotCols au fur et à mesure de l'élaboration du déroulement de la construction de l'application par l'opérateur. Pour réaliser une application, l'opérateur dialogue avec le logiciel «éditeur d'application » (en mode élaboration) pour construire une suite de DotCols 30 dont l'exécution (mode exécution) réalisera l'application visée.
L'éditeur construira les DotCols selon les commandes de l'opérateur et le cas échéant, ira chercher dans différentes tables les paramètres nécessaires au fur et à mesure de l'avancement de l'application.
En mode élaboration, l'éditeur construit une arborescence. A chaque nœud, des DotCols sont généralement créées ou complétées pour former des composantes et des mots de plusieurs composantes.
L'éditeur introduit les adresses des tables désignées au sein des composantes pour compléter automatiquement variables, paramètres et fonctions pour réaliser une structuration canonique de l'écriture. L'interpréteur peut également utiliser de ces adresses pour l'exécution.
A la suite des ordres de l'opérateur, l'éditeur pourra proposer un choix, par exemple par liste déroulante, voire renseigner l'opérateur sur les conséquences de ses choix.
Ces réponses sont élaborées à partir des informations extraites de tables associées à l'éditeur. Un véritable dialogue doit s'instaurer entre l'opérateur et l'éditeur pour élaborer nœud par nœud l'optimisation de la solution. L'éditeur a un rôle essentiel dans l'élaboration de l'arborescence des questions-réponses du dialogue. L'interpréteur assure l'exécution.
[00019] Autre exemple de DotCol avec les dots en base 8 avec les trois couleurs de base (rouge, vert,
RENDU des COULEURS (option bases R, V, B en tout ou rien)
R/Magenta V/Jaune B/Cyan Imprimante Ecran
1 0 0 0 Blanc * Noir
2 0 0 1 Bleu * Cyan
3 0 1 0 Vert * Jaune
4 0 1 1 V/B J/C
5 1 0 0 Rouge * Magenta
6 1 0 1 R/B ♦ M/C
7 1 1 0 R/V M/J
8 1 1 1 Noir * Blanc
bleu ou magenta, jaune, cyan) de préférence en mixant les bases en tout ou rien, la pondération devient la suivante avec 0 pas de couleur et 1 couleur correspondante activée. On obtient 8 couleurs différentes ci-contre Deux de ces 8 couleurs sont réservées aux dots repères. Ce sont de préférence les couleurs n* 6 (rouge+bleu) ou (magenta-jaune) qui correspond au poids « 1 » et le ne 4 (vert + bleu) ou (jaune-cyan) qui correspondent au poids « 0 », pour le début des DotCols. Ces propriétés peuvent servir aussi à effectuer un contrôle de parité pour détecter une éventuelle erreur sur une DotCol.
La parité finale se calcule en affectant à chaque dot d'une DotCol la parité de la couleur comme affichée ci-avant (sont paires : bleu, bleu + vert, rouge + bleu et rouge + vert + bleu ou encore cyan, cyan-jaune, magenta-cyan et magenta-jaune-cyan) ; les dots paires sont sommés sur la DotCol qui finalement est paire si cette somme l'est.
Le repère « a » haut ou début de DotCol est « 1 » si celle-ci est paire, et le repère bas « β » ou fin de DotCol étant complémentaire est égal à « 0 ».
„ ^e fi couleurs signify 1« » * tableau précédent) par dot (base de nun.erat.on = 6). Pour un champ de quatre dots existe la possibilité de coder les valeurs de 0 à 1295 so.ent 1040 valeurs de plus que ne code l'octet qui peuvent être utilisées pour coder d'autres informations comme en [00022]...
Remarque : Le mixage des couleurs de base pourrait se faire avec différentes proportions mais pour des raisons de contraste il est préférable de mixer chaque base en tout ou rien. On obtient un choix de plusieurs structures de DotCols couleurs, dont principalement :
[000201 En base 6 [Fig.21 avec des DotCols de 7 dots significatifs comme suit :
. Champ 2 « valeur » : 4 dots codent de 0 à 1295 valeurs (19B) ;
• Champ 3 « Tn » : 1 dot code 6 domaines (19C) ;
• Champ 4 « Rn » : 1 dot code 6 sous domaines (19D) ;
• Champ 5 « Ln » : 1 dot = 6 possibilités d'association (19E).
les champs 2, 3 et 4 peuvent être accrus par « extensions » suivant valeur du champ 5.
Les champs repères a et β sont facultatifs mais améliorent la sécurité de lecture sur support physique. Ces champs notent la parité paire pour l'un et Impaire pour l'autre avec de préférence des couleurs et des formes différentes des autres dots de la DotCol Ce qui porte la longueur des DotCols à 8 dots (ou 9 dots si 2 repères) par exemple sur papier mais 1 integer informatique (16 bits) avec 10 bits pour représenter jusqu'à 1024, 2 20 bits pour Tn, 2 bits pour Rn, et 2 bits pour représenter Ln.
[000211 Une configuration intermédiaire [fig. 3) toujours en base 6 avec des DotCols de 6 dots significatifs comme :
• Champ 2 « valeur » : 4 dots codent de 0 à 1295 valeurs (19F), · Champ 3 «Tn»: 1 dot code 6 domaines éléments (19G);
• Champ 5 « Ln » : 1 dot code 6 possibilités d’association (19H).
Cette configuration ne comporte qu'un dot repère c sur le papier, tantôt pondéré à « 0 ». tantôt de poids « 1 » suivant la parité tout en marquant le début de la DotCol. Ceci porte la longueur de la DotCol à 7 dots sur le papier et 1 Integer en Informatique (16 bits), avec 30 valeur (llbits), T” (3bits) et Ln (2bits).
[00022]La configuration la plus dense [fig. 4A] en base 7 affiche 3 dots significatifs de long : • Champ 2 « valeur » : 3 dots codent de 0 à 343 valeurs (19J),
Cette configuration ne comporte qu'un dot repère (19K) sur le papier qui marque le début de la DotCol.
Ce qui porte la longueur de la DotCol à 4 dots sur le papier mais 1 integer en informatique dont 9 bits représentatifs (512), éventuellement un lOiem pour le repère. Elle représente la valeur de l'octet avec 88 valeurs supérieures à celles de l'octet qui peuvent servir à coder des informations spécifiques :
Exemple de convention de codage pour les valeurs > 255 :
. 256= début de rangée, 257 = fin de rangée, • 260=début de composante et 261 = fin de composante ;
. 262= début de mot et 263 = fin de mot...
• 270= caractères UNICODE ;
. 280=DotCol balise: la ou (les) DotCol suivante pointe sur un élément de la table, • 290 = DotCol nombre ; 300= DotCol multi-variables (table) ;
. 310 = DotCol Liens (tables) ; 320 adresses (tables) et ainsi de suite...
Entre les valeurs de domaines prennent place 9 valeurs de sous-domaines.
Une composante peut comporter un nombre quelconque de DotCols (concaténation) entre deux DotCols encadrantes « 260 et 261 ».
• En lecture du début de rangée et en absence de DotCol 256, les DotCols inférieures à 256 qui apparaissent après un « vide » (zone blanche) supérieure à l'espace de 2 DotCols sont considérées comme désignant des symboles UNICODE. Mais il est recommandé de commencer une rangée par une DotCol 256 pour indiquer son sens. A l'intérieur d'une composante les Dotcols de même valeur qui se suivent ont leurs champs concaténés.
En application, cette propriété permet notamment de représenter sur papier ou écran tous les symboles UNICODE présents et à venir.
Pour des raisons de fiabilité d'écriture il est recommandé la mise en œuvre de redondance du type Reed-Solomon ou simplement d'ordre 2 ou plus, avec au moins une rangée dans le sens standard gauche-droite et de préférence en dessous la même rangée en sens inverse avec le sens d'écriture de droite à gauche.
[00023] Codage sur un seul champ de taille non limitative.
Ce codage est le plus simple mais moins généralisable que le multi-champ. Le principe consiste à coder avec un seul champ dans une base quelconque des valeurs supérieures à la valeur 255, limite de représentation de l'octet. Les valeurs ainsi représentées au-delà de ce nombre sont désignées pour exprimer chacune un sens ou une fonction spécifique qui sont définies dans des tables et qui qualifie les Dotcols qui les suivent ou qu'elles encadrent, comme [00022].
En base 5 [fig. 4B] la structure comporte un seul champ de 4 dots [19L] qui code 625 valeurs soient 370 possibilités pour coder des compléments d'information.
La base 5 présente l'avantage de ne mettre en œuvre qu'une seule couleur et tout ou rien, ce qui garantit un bon contraste donc une meilleure sécurité de lecture, tableau [00019].
[00024] Configurations optimisées pour DotCols mono champ.
La configuration mono champ est particulièrement adaptée aux DotCols denses :
• de base binaire avec 9 dots significatifs pondérés de 2 à 256 qui offre 511 possibilités, codées comme en [0022] et • de base 7 couleurs (fig- 4A], pondérée 1,7,49 qui code 343 possibilités ;
• de Base 5 couleurs [fig. 4B], pondérée 1,5, 25,125 qui code 625 possibilités.
Dans ce cas il est recommandé d'utiliser au moins un dot repère et notamment de commencer les DotCols par un dot repère qui indique la parité de la DotCol comme : o En mode additif : Rouge+Vert pour la parité «0» et Vert+Bleu pour la parité «1» ; o En mode soustractif : magenta+Jaune pour « 0 » et Jaune +cyan pour « 1 ».
[00025]Les DotCols indépendantes ou liées forment des composantes puis des mots.
Le procédé de représentation par DotCols offre une très grande richesse de représentations de l'information, notamment grâce à la segmentation par domaine puis par sous-domaine dont le nombre des uns et des autres s'accroît automatiquement sans limite en fonction des besoins, optimisant continuellement la taille de la représentation.
Ci-après quelques exemples pour illustrer le principe de codage des DotCols comme celui du domaine «balises» représentant différentes structures de dates. La richesse des représentations demeure valable pour les autres domaines et sous domaines.
[00026] Exemple partiel de sémantique de balises simples.
Ces balises sont souvent déclaratives et donnent un sens aux DotCols qui les suivent. Le nombre de DotCols qui compose une telle balise n'est pas limité. Le champ 3 qualifie la DotCol de « balise » et le champ 5 permet d'ajouter ou non une autre DotCol balise qui à son tour peut en ajouter une autre (pour accroître l’indice de la balise) ou (00016) se déclarer fin de balise. Chaque indice correspond à une balise de sens spécifique.
En binaire, le champ valeur de 8 dots d'une DotCol code 256 valeurs ou indices, deux DotCois 65535... En base 4 le champ valeur de 4 dots d'une DotCol code 1024 indices et 2 DotCois concaténées >106. En base 6, on a respectivement pour 4 dots : 1295 et l,6xl06...
Ces balises délimitent une zone d'information que l'on appelle composante simple et déterminent la signification de l'information supportée. Ainsi toute information peut être exprimée par un ensemble composé d'une DotCol balise de champ suivie d'une ou plusieurs DotCois quantifiant la déclaration. Ce sont par exemple les sens affectés aux indices suivants :
10 Unités physiques. Formatage Finances/gestion
33- cm 54- début rangée fin rangée 45-TVA
34- m 55- début image 46- Valeur
33- mm 56- fin image 47- Montant total
34- m2 57- début bloc 48- Montant partiel
15 35- m3 58- fin bloc 49- Recette
36- m/s 59- début entête 50- Dépense
37- km/h 60- fin entête... 51- Engagement
38- Tonne 52- Crédit
39- kg 53- Débit....
20 Traitements des Objets
70- loT, Identification d'objets Type 2
71- Identification d'objets Typel (DC1(O~>255) DC2 ->65535) ) ... (T = 0, Ln =1 r=0, Ln=2)
72- loT Constitution d'objets Type 1
73- loT, Constitution d'objets Type 2
25 74- loT, Liens d'objets Type 1
75- loT, Liens d'objets Type
76- Table 1 de structures simples
77- Table 1 de sous-programmes images.
78- Table 2 de sous-programmes gestions
79- Table 3 de sous-programmes graphiques
80- Table 1 de procédures,
81- Table d'adresses internes,
82- Table 1 d'URL...
Messages [000271 Exemple de codage avec des balises binaires simples (DCn = niem. DotCol).
Elles qualifient la structure et le sens des DotCols qui les suivent ou qu'elles encadrent. Ces précisions sont contenues dans une série de tables (dictionnaires) sur lesquelles pointent des champs de DotCols de façon à élaborer les DotCols successives en mode construction ou à les interpréter en mode exécution.
La représentation basée sur les DotCols permet plusieurs approches pour les coder :
Les balises simples : n° 235 annonce une date de la forme « jj, mm, aa », n’ 236 date de forme « mm, jj, aa », n° 237 date en secondes depuis 01/01/1970,0 h, 0 mn, 0s.
• lere façon avec 4 DotCols hiérarchisées (ordonnées) en 1 seule composante = 1 mot: o DC1 : valeur= 235, T= 1 (Balises), Rn= 0 (Simple), Ln= 2 (liée suivante, Champs indép.) ;
Ainsi DC1 = 1101011100100010 (integer binaire)... même principe pour les autres... o DC2 : valeur 1 à 31 (jour), Tn = 0, Rn=0, Ln=2 (liée à la suivante, champs indép.) ; o DC3 : valeur 1 à 12 (mois), Tn = 0, Rn=0, Ln=2 (liée à la suivante, champs indép.) ; o DC4 : valeur 0 à 255 (année, année base 1900), Tn = 0, Rn=0, Ln=0 (fin mot).
Ainsi DC4 = 1111111000000000 (integer binaire). Ces DCn sont exécutables.
2ieme façon avec 6 Dotcols non hiérarchisées (ordre indifférent) :
Ici chaque variable (jour, mois et année) est déclarée par une balise simple spécifique, o DC1 : valeur = 240 (nb jours) T = 0, Rn=0, Ln=2 (liée à suivante, champs indép.) ; o DC2 : valeur 1 à 31 (jour), T = 0, Rn=0, Ln=l (liée et fin composante) ;
o DC3 : valeur =241 (nb mois), T = 0, Rn=0, Ln=2 (liée à la suivante, champs indép.
o DC4 : valeur là 12 (mois), T = 0, Rn=0, Ln=l (liée et fin composante) ;
o DC5 : valeur=242 (nb années) Τ’ = 0, Rn=0, Ln=2 (liée à suivante, champs indép.); o DC6 : valeur = 0 à 255 base 1900) Tn = 0, Rn=0, Ln=0 (fin mot « date »).
Ce mode est plus souple mais plus volumineux que le mode ordonné.
[00078] Exemple de codage avec des balises binaires composées.
Les balises composées permettent de représenter des composants de structure complexe dont l'ossature générale est précisée dans des tables (dictionnaires de structures). Elles permettent notamment de coder des extensions combinant les 3 champs : Valeur, Τ’ et Rn. Ainsi le champ valeur peut être concaténé au champ Tn pour porter le nouveau champ 2 « valeur » à une taille de 11 dots (bits) au lieu de 8.
Le champ Rn précisant la partition de ces 11 dots comme suit :
• Rn = 0 = champ valeur sur 11 dots, • r = 1 = « Valeur » s'exprimant en 2 parties indép. de 5 et 6 dots, • r = 2 = « Valeur » exprimée en 2 parties indép. de 8 et 3 dots et • Rn=3= structure en 2 parties indép. de 9 et 2 dots.
Des Dotcols spécifiques (principalement entre 235 et 255) permettent de fixer une association de 2 ou 3 champs avec une partition librement choisie des champs «valeur», « T” » et « Rn » soit un total de codage sur 14 dots (bits).
Autre exemple (codant une date de l'an - 4000 à + 4047 ; exemple illustrant les possibilités. Représentation d'une date avec balise composée n’201 qui code une date au format jj, mm, aa sur 3 DotCols avec extension du champ valeur par concaténation des champs 2(valeur) et 3(Tn) ; le champ 4(Rn) précisant la partition des 11 dots de l'extension (champs 3+4).
• DC1 : champ valeur= 201= date (jj mm aa), f=l (balise), Rn=2 (composée), L = 2 liee ;
• DC2: champs valeur et T sur 11 dots = 1 à 31 (jours sur 5 dots), là 12 (mois sur 6 dots),
Rn =1 (11 dots partitionnés en 5 et 6 dots), Ln =2 (liée champs indépendants) ;
. DC3 : champ valeur = 0 à 2047 (année base an 1000), Rn= 0 base année 0, Rn=l base année 2000, Rn=2 = (base -2000), Rn=3= (base -4000).
Une date de -4000 à + 4047 peut ainsi être codée sur 3 DotCols ou 3 « integers ».
Remarque: d’autres formats peuvent être choisis suivant l’objectif poursuivi. Ainsi 2 DotCols suffisent pour coder une date de 2010 à 2042 au format personnalisé suivant qui peut être défini dans la table structure :
. DC1 : balise composée au format jj, mm, aa sur 2 DotCols, extension avec concaténation des champs 2, 3 et 4 de DC2 (14 dots) ;
• DC2 : date structurée en 5 dots (jours), 4 dots (mois) et 5 dots (année base 2010)...
[00029] Concrétisation/matérialisation des DotCols.
Les DotCols peuvent être réalisées physiquement de différentes façons notamment pour être imprimées ou visualisées à l'écran :
• A l'aide de polices de caractères, ou polices de DotCols.
Il est préférable en binaire d'utiliser des polices limitées à 256 symboles [fig.5, 24B] tous les 8 dots consécutifs des DotCols [fig.5, 24 A] qui est la taille maximale des polices usuelles. Pour une taille de 16 dots, deux polices conviennent, une pour le champ 2 « valeur » (8 dots binaires) et une autre pour les champs 3, 4 et 5 (de 8 dots binaires de caractéristiques).
les polices gagnent à Intégrer les dots « repères », de préférence complémentaires l'un de l'autre en vue de l'impression ou de la visualisation.
De préférence, par mise en œuvre de matrices de dots ou tableaux dont les éléments sont des dots quantifiés en base 2 ou plus, de préférence en base 4 ou 6.
o En base binaire [fig.5], chaque DotCol est représentée par une matrice colonne avec autant de lignes que de dots binaires formant la DotCol. On peut admettre que 2 polices chacune de « demi-DotCols » soient remplacées par 1 seule matrice de 256 colonnes de 8 lignes plus facile à programmer et nettement moins volumineuse.
o En base 8 [fig.6], chaque DotCol est représentée par une matrice à trois colonnes [24E], une par couleur basique (rouge, vert et bleu ou encore magenta, jaune, cyan) où «0» signifie absence de couleur, et «1» que la couleur de la colonne correspondante est activée à 100% (tableau en [00019]). Les couleurs se trouvent parfois mixées deux à deux. Le nombre de lignes d'une telle matrice à trois colonnes est celui du nombre de dots qui constituent la DotCol. Le nombre de colonnes est de 258 [Fig. 6,24D] pour une matrice complète.
o Autre représentation en base 8 [fig.5] où chaque DotCol est représentée par une matrice d'une colonne où chaque élément peut avoir 8 valeurs correspondant aux couleurs Rouge, vert et bleu et toutes les possibilités de mixage à 100%, y compris la valeur nulle. En mode soustractif les couleurs rouge, verte et bleue sont remplacées par magenta, jaune et cyan et le noir.
o Une dernière représentation qui présente un bon rapport performance/ densité est en base 5 en 3 couleurs (fig.4 B) comme précédemment suivant le mode additif ou soustractif mais sans composition des couleurs (sauf parfois pour le noir et le blanc), de façon à n'obtenir sur les capteurs couleurs des canaux activés à prés de 100%, les autres ne comportant que le bruit de fond. Dans certains cas il est nécessaire d'additionner les 3 canaux pour obtenir du noir ou du blanc sur écran. Ceci permet d'obtenir une très bonne discrimination des dots couleurs.
La matrice d'édition correspondante est analogue à la [fig.6], mais où un seul canal est activé de façon correspondante au tableau [19].
Toutefois il est utile de composer les couleurs deux à deux pour réaliser les dots repères.
[00030] Par ailleurs les dots peuvent être composés d’un ou de plusieurs sous-éléments comme un groupement de « pixels » qui sont, soit créés en temps réel lors de l’élaboration de l'application, soit enregistrés dans des tables de structures de dots contenant toutes les configurations ou pondérations de dot.
Ainsi le procédé permet de représenter les Dotcols par des matrices de dots où ceux-ci sont composés à partir d’une même matrice ou chaque dot est élaboré à partir d'une matrice qui lui est Spécifique.
A titre d'illustration les dots peuvent correspondre soit à une même fleur dont la couleur et la position déterminera la pondération, soit chacun à une fleur différente...
Dans ce cas complexe, le processus se fait en deux temps, chaque dot est exprimé par une ligne de la matrice de base constituée d’un ou de plusieurs éléments (comme fig.5) qui est ou sont normalement des dots mais qui peuvent être des pointeurs adressant chacun une matrice de constitution propre à chaque dot.
Autrement dit, la mise en œuvre par matrices au lieu de polices permet à chaque dot d'être décrit par une matrice éventuellement spécifique quelle que soit sa composition.
Ces dots complexes sont matérialisés avec des composants physiques comme des encres en impression, des pixels à l'écran, des impulsions d'ondes de différents types, formes ou composés chimiques ou organiques... dont les associations en terme de composition, de formes graphiques ou temporelles, de durées, de pondérations... caractérisent le dot.
A titre d'exemple, une DotCol peut représenter un parfum dont chaque dot est composé de substances chimiques odorantes. Dans une DotCol la combinaison de tous les dots (indépendants) du champ « valeur » fournit la composition complète ou parfum final qui correspond notamment à un nombre d’identification par composition. Le même résultat pourrait être obtenu avec une composante de plusieurs DotCols représentant chaque substance et son pourcentage relatif.
Le nombre et le type de pixels formant un dot déterminent ses caractéristiques, notamment la couleur, la taille et la forme de ce dernier.
Les Dotcols physiques peuvent être espacées par des inter-colonnes et des interlignes de « dots blancs » (absence d'encre sur fond papier, par exemple) de couleurs et tailles semblables ou différentes des autres dots.
En impression la partie matrice correspondant au champ « valeur » reprend la table UNICODE, caractères en colonnes et chiffres correspondants en lignes en puissance de base croissante (2°, 21 ou 6°,6 ...).
[00031] Création de DotCols.
La création d'un logiciel d'application est basé sur un dialogue entre le programme Editeur de DotCols (EDITlie) et l'opérateur «ou programmeur». Les ordres de l'opérateur en langage naturel sont adaptés par l'Editeur pour élaborer les dots des DotCols nécessaires au bon déroulement de l'application.
10 L'Editeur applique les structures, règles et protocoles de codage des Dotcols en faisant appel aux tables internes ou externes (URL...).
Il assiste l'opérateur, qui n'est plus nécessairement spécialiste, en lui demandant d'affiner sa demande et en lui proposant des choix souvent par listes déroulantes, sans déclarations ni formatages préalables. Les listes déroulantes sont présentées à l'opérateur 15 de façon hiérarchisée du plus général au plus précis pour aboutir à un «texte de DotCols ». Il utilisera des «polices de DotCols» ou des «matrices de DotCols».
L'Editeur utilise aussi pour cela des Tables d'application (mots réservés, dictionnaires, paramètres, propriétés, liens, procédures...) qu'il met en œuvre pour déterminer les dots des Dotcols et guider l'opérateur au fur et à mesure de l'écriture de l'application par l'opérateur.
Ces DotCols d'application exécutées notamment par l'interpréteur sont destinées à être chargées dans des «consoles», smartphones, PC de commande et dans divers objets (dont connectés). Ces DotCols peuvent également à leur tour interroger les Tables via un réseau et une mémoire locale ou externe qui réduit considérablement la taille des mémoires des 25 objets. Des DotCols mentionnant les liens permettent de les interroger. Les adresses étant précisées dans les DotCols.
[00032] Apports du procédé « ALPHALIE »
La principale nouveauté réside dans la structure des « DotCols » et des propriétés qui s'en 30 déduisent et qui étendent, améliorent et précisent les propriétés et performances des colonnes des brevets Dotem et PCT précités. Cette extension étend la faculté d'élaborer les DotCols à l'aide de polices de symboles mais surtout de matrices ou d'ensemble de matrices qui simplifient la construction et rend possible la mise en œuvre de dots composés. Deux principaux cas se présentent :
. D'abord en numération binaire où la définition des symboles de 16 dots permet :
o une correspondance bijective entre les 16 bits du format « integer » en informatique et les 16 dots de la DotCol sans perte contrairement aux autres formats de colonne notamment de 8,10 et 17 dots binaires, o des colonnes qui sous-tend, sans limite théorique, une extension la définition de 3 champs de plusieurs bits Γ, Rn et Ln qui, se complétant, permettent de nouvelles fonctionnalités, notamment avec une extension de l'association individuelle ou globale des champs et des composantes simples ou composées.
. Ensuite considérons les numérations en bases supérieures à 2, notamment en base 4, 6 et 8 avec 3 couleurs comme rouge, vert et bleu (en additif : écran) ou bien magenta, jaune et cyan (en soustractif : imprimante) qui peuvent être mixées pour obtenir une base 8 ou non mixée pour fournir une base 4. Elles permettent.
o plusieurs tailles fonctionnelles de DotCols qui induisent des formats réduits et des gains de place pour s'adapter aux différents domaines d'applications ainsi que l'introduction des dots repères notamment sur papier, o la mise en œuvre de matrices de dots à la place des polices de caractères facilitant les corrections, les mises à jour sans limite de taille et l'utilisation des dots composés de plusieurs éléments ainsi que les problèmes liés aux normes et royalties des polices.
o L'introduction des dots repères différents des autres dots significatifs qui lorsqu'ils existent sont toujours présents dans l'écriture quelle que soit la représentation de la DotCol. Ces propriétés améliorent grandement la sécurité de lecture car elles permettent de corriger les déformations sur supports physiques (connaissant toujours le début et parfois la fin de chaque DotCol ainsi que la position de la DotCol juste en dessous dans le cas d'empilage). Elles introduisent un contrôle notamment de parité qui signale certaines erreurs de lecture. Elles permettent l'empilement des DotCols qui à son tour rend possible l'impression d'une multitude de formes planes carrées rectangulaires, polygones...
o Enfin les DotCols pouvant supporter la totalité des informations nécessaires à une application. Elles constituent une représentation canonique de l'information et facilitent ainsi la mise en œuvre « d'éditeur et interpréteur» performants grâce à la mise en œuvre de tables de différentes natures aussi bien pour l'élaboration des DotCols que pour leur exécution, notamment avec les tables d'adresses Internes ou externes (URL...J.
La représentation basée sur les DotCols procure une grande richesse de codage des 5 informations, le plus souvent sans limite théorique, qui sont Intégralement définies au sein des Dotcols y compris les adresses des tables là où elles sont nécessaires, rendant inutiles déclaration ou de formatage extérieurs. Cette grande richesse d'expression s'exprime par une arborescence précise qui permet une description complète des objets avec leur physique. L'accroissement des possibilités de codage permet d'introduire des informations de type « caché», notamment de sécurisation.
[00033] Définitions.
Dot: élément unitaire de représentation de l'information. Exprimé en base binaire il est la correspondance totale du bit informatique mais il peut être exprimé dans une base 15 quelconque avantageusement en bases S, 7 et 8. Sa nature physique va des encres noires ou couleurs aux rayonnements acoustiques, électromagnétiques de fréquences, de durée et d'amplitudes variées ainsi, que des composés chimiques et organiques ou des formes et des reliefs multiples. Il peut ainsi s'adapter directement à toute nature de l'information.
DotCol : ensemble de bits Informatiques ou de dots physiques souvent binaires, mais les 20 bases 5, 6 et 7 sont très intéressantes. Les DotCols peuvent être unitaires et indépendantes ou associées en elles en nombre variable. Elles sont de plusieurs types : invariantes ou fonction les unes des autres. Certaines comme les DotCols Adresses ou les balises déclaratives ont une position déterminée, après pour les premières et avant pour les secondes, celles qu’elles qualifient ou renseignent. Au sein d'une même DotCol les dots sont, le plus souvent, de même nature.
Champ : sous ensemble d'une DotCol de taille généralement prédéfinie. Les DotCols sont formées d'au moins un champ qui possède des propriétés spécifiques qui dépendent de sa position dans la DotCol. La loi de pondération des dots qui le compose peut varier: dots indépendants ou fonction de leur position dans le champ. La taille des champs d'une DotCol 30 peut être augmentée par extension portée par la ou les DotCols suivantes, sans limite.
Composante : groupement sans limite de DotCols représentant une partie ou la totalité d’une information. Les DotCols définissant un domaine, comme par exemple les balises déclaratives, composent des composantes simples qui débutent avec une DotCol de domaine et finissent avec une DotCol dont le champ L=0. D'autres composantes dites composées ou complexes définissent des ensembles multl-paramètres comme notamment des structures, des fonctions, voire des résultats... Elles sont généralement encadrées par les DotCols 260 et 261. La position des Dotcols au sein de la composante est souvent Indifférente mais peut être 5 réglée comme les DotCols « adresse » pointant sur des tables.
Mot : ensemble d'une ou plusieurs Composantes sans limite. La position des composantes au sein d'un mot est le plus souvent libre.
Message : ensemble de mots parfois hiérarchisé dont les caractéristiques sont précisées par les DotCols.
Domaine : ensemble de propriétés communes généralement d'ordre sémantique. Il est souvent défini par la première DotCol d'une composante à l'aide du champ 3 « T”.
Le même champ de la DotCol suivante est intitulé « Catégories » et constituent une arborescence du domaine. Dans le cas des DotCols mono-champs, les domaines correspondent à des valeurs supérieures à 256.
Sous -domaine : ensemble de caractéristiques complétant ou précisant les propriétés d'un domaine donné. Il est souvent défini par la première DotCol d'une composante à l'aide du champ 4 «Rn». Le même champ de la suivante est intitulé «Type». Comme pour les domaines, avec les DotCols mono-champs les sous-domalnes sont désignés par une table de valeurs.
Dictionnaire de structures : tables modifiables à double entrées : 1 pour l'élaboration des Dotcols, 1 pour l'exécution. Le contenu du champ2 (valeur) pointe souvent sur une des deux entrées pour obtenir la structure de la DotCol en cours de traitement et ses contenus sémantiques.
« dots composés » (parfois dits pixels virtuels) : éléments constitutifs non limités d'un dot qui est matérialisé dans la physique de l'application : encres, ondes de différentes natures, reliefs, graphiques, pixels, images, composés chimiques ou organiques...
Matrices de DotCols: ce sont en fait les matrices colonnes de dots qui constituent les Dotcols. Elles sont de dimension 2 pour les dots binaires et généralement de dimension 3 pour les dots couleurs sauf quand les éléments (dots) de la matrice peuvent prendre plusieurs couleurs.
Texte de Dotcols : ensemble mots de DotCols qui constitue une application ou une partie d'application résultant du travail de l'éditeur. Ce texte peut être « exécuté » par l'intégrateur.
[00034] BREVE DESCRIPTION DES FIGURES
La figure 1 est la représentation d'une colonne de dots ou « DotCol » standard de 16 dots physiques pondérés en base binaire qui correspondent exactement aux 16 bits Informatiques correspondant au format « integer » qui remplace de plus en plus l'ancien format « Char » de
8 bits.
Pour des raisons de commodité et de fiabilité les 16 dots physiques (papier) sont souvent complétés à chaque extrémité par un dot «repère» (facultatif) noté «o» et «p» qui indiquent le début (haut) ou la fin (bas) de la DotCol et qui participe à la sécurité en supportant un contrôle de parité de la DotCol [00010].
La figure 2 illustre la structure d'une DotCol pondérée en base 8 couleurs réduite à 6. Deux couleurs différentes de celles des dots significatifs sont affectées aux dots « repères » sur supports physiques (comme le papier). Ceci afin de faciliter la détection des débuts et fins des Dotcols permettant de les empiler sans Interligne et de corriger automatiquement leur inclinaison. Enfin ces dots repères peuvent servir de contrôle parité complémentaire signalant certaines erreurs de lecture et leur changement de couleur ajoute au rendu esthétique de l'ensemble.
La figure 3 illustre la structure d'une DotCol pondérée comme la précédente mais sans le champ Rn qui désigne les sous domaines. Cette structure apporte plus de possibilités d'association des DotCols que le modèle binaire.
Les figures 4 illustrent d'abord la structure d'une DotCol toujours pondérée en base 8 couleurs réduite à 7 [fig. 4A] mais avec un seul champ. Les valeurs supérieures a 255 sont utilisées pour différencier les octets purs des DotCols de sémantique : balises, liens...etc. La figure [fig. 4B] illustre ensuite les DotCols en base 5 dont les dots ne sont par un mixage des trois couleurs (R, V, B et absence de couleur). L'absence peut être remplacée au contraire par l'addition des 3 couleurs qui donne blanc sur écran et noir sur imprimante.
La figure 5 représente une matrice de DotCols binaires qui remplace plusieurs polices de caractères pour élaborer DotCol de 16 dots, une pour la partie supérieure « valeur » et une autre pour la partie « caractéristiques ».
La figure 6 illustre une matrice exprimée en base 8 à 3 couleurs avec 1 colonne par couleur 30 qui permet l'élaboration de Dotcols de 4,5,6 et 7 dots significatifs (avec ou sans repères).

Claims (15)

  1. REVENDICATIONS
    1. Procédé de codage de l’information par des ensembles de bits ou de dots physiques ou virtuels simples ou composés, de tailles variables appelés DotCois dont les éléments exprimés en « base numérique » quelconque sont pondérés suivant leur position dans la DotCol base0, base1, base2, base”... et déterminent au moins 1 champ comme celui de structure, de caractéristiques, de sémantique, de liens et de fonctions parmi les suivants :
    • Champ 1 composé d'un élément repère ou dot physique, • Champ 2 appelé «valeur» ou data composé d'au moins un élément codant un nombre ;
    • Champ 3 d'au moins un élément, désigné «Tn» qui définit principalement l'appartenance des informations supportées à un domaine de qualification ou d'application;
    . Champ 4 d'au moins un élément, désigné « Rn » qui définit les sous-domaines précisant et complétant les domaines ;
    • Champ 5 d'au moins 1 élément désigné « Ln » qui code les modes d'association des DotCois et gère les extensions et la partition du ou des champs de la DotCol;
    • Champ 6 composé d'un élément repère ou dot physique de préférence complémentaire du champ 1.
    Les DotCois ainsi organisées, supportent et définissent pour elles-mêmes les différentes formes et valeurs de leurs structures, paramètres, caractéristiques et fonctions ainsi que les données et les liens, notamment vers les tables ou des structures de mémoires internes ou externes, les complétant et les détaillant autant que nécessaire de sorte que le nombre de DotCois formant les composantes s'ajuste automatiquement, sans limites, au nombre et à la précision des informations à représenter.
    Les DotCois sont indépendantes ou groupées en nombre quelconque et composent alors des mots pour constituer, avec les tables et dictionnaires associés, une représentation exhaustive ou canonique des informations qui est optimisée pour des traitements par éditeur et interpréteur.
  2. 2. Procédé de codage selon la revendication 1 caractérisé en ce que la structure des DotCois est fonction du type de la base mathématique de pondération des dots, notamment comme suit :
    • en binaire pour la DotCol de 16 dots : le champ 2 de 8 dots ou 8 bits, le champ 3 de 3 dots ou 3 bits, le champ 4 de 3 dots ou 3 bits et le champ 5 de 2 dots ou 2 bits;
    • en base 6 et format supérieur, une DotCol de 9 dots (dont 2 dots repères facultatifs), le champ 2 de 4 dots et les champs 3,4 et 5 de 1 dot ;
    . en base 6 et format moyen, une DotCol de 7 dots (dont un dot repère facultatif) : le champ 2 de 4 dots et les champs 3 et 5 de 1 dot ;
    . en base 7 et format réduit, une DotCol de 4 dots (dont un dot repère physique facultatif) : le champ 2 de 3 dots.
    . En base 5 et format réduit, une DotCol de 5 dots (dont un repère facultatif physique facultatif) : le champ 2 de 4 dots.
    Généralement la représentation informatique de chacune de ces DotCols correspond à des bits au format integer.
  3. 3. Procédé de codage selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce que le ou les dots « repères » indiquent l'un le début et l'autre la fin de la DotCol, souvent identiques aux autres dots, ils gagnent à être de couleur, de forme et de taille différents l'un de l'autre et des autres dots de la même DotCol.
  4. 4. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le ou les dots « repères » soient utilisés comme élément de sécurité, notamment porteur de la parité de la DotCol qu'ils désignent comme paire pour l'un et impaire pour l'autre, de préférence avec des couleurs spécifiques pour traduire leur état, comme en mode additif : le « début de DotCol » avec l'état 0 en vert + bleu, et I' état 1 en rouge + bleu, puis la « fin de DotCol » avec l'état 0 en vert + rouge, et l'état 1 en rouge + bleu ; enfin en mode soustractif avec le magenta correspondant au rouge, le jaune au vert et le cyan au bleu.
  5. 5. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que les dots peuvent être, en dehors des bits informatiques, composés d'un ou de plusieurs souséléments qui correspondent chacun à une ou plusieurs matérialisations physiques propres à l'application comme des pixels, des reliefs, des encres, des ondes sonores ou électromagnétiques, des composés chimiques ou organiques dont les caractéristiques sont définies notamment par des polices ou de préférence des matrices d'éléments constitutifs des dots, ainsi chaque dot peut avoir une composition spécifique.
  6. 6. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que la taille des champs soient extensibles séparément ou ensembles par concaténation totale ou partielle sans limite théorique des champs de même rang d'une ou plusieurs DotCols consécutives pour coder un même nombre. Mais des champs peuvent être formés en
    5 totalité ou partiellement avec des dots indépendants ayant chacun un sens ou une fonction spécifiques souvent précisés par une autre DotCol ou une table spécifique.
  7. 7. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le champ 3 code les domaines sémantiques de l’information comme les Caractères, balises, nombres,
    10 multi-variables, liens, sécurité-intégrité, éléments de confidentialité et des adresses.
  8. 8. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le champ 4 précise de préférence les caractéristiques et les paramètres de chaque domaine.
    15
  9. 9. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que le champ 5 (Ln) régit les règles d'association des Dotcols, qualifiant leurs états et fonctions comme indépendantes, groupées pour former des composantes ou associées en une ou plusieurs composantes pour former des mots tout en précisant les propriétés des champs des DotCols comme indépendants, liés ou étendus.
    20 , u
  10. 10. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que les champs 2, 3, et 4 des DotCols dites de « désignation » permettent d'affecter un identifiant à des DotCols, composantes, mots, variables, matrices, messages, paramètres, fonctions, tables et objets au moyen de DotCols représentant des graphismes, ou des ensembles de
    25 caractères normés UNICODE, de graphismes ou d'images.
  11. 11. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que les dots d'une DotCol structurent le ou les champs d'une autre DotCol comme le champ « valeur » qui peut représenter une ou plusieurs variables suivant le code de DotCols voisines.
    30
  12. 12. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que les DotCols sont indépendantes et libres ou liées, éventuellement hiérarchisées et possèdent des positions déterminées au sein des composantes ou des mots, notamment en fonction de leur sémantique.
  13. 13. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que les dots des DotCols de différentes natures physiques sont matérialisés via une ou plusieurs matrices ID, 2D ou 3D dont les éléments constitutifs correspondent aux dots ou à des pointeurs visant des matrices de constitution parfois spécifiques exploitées par un éditeur pour créer des textes de Dotcols ou un interpréteur pour l'exécution.
  14. 14. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce qu'un champ de certaines DotCols, notamment quand il est unique, possède une capacité de représentation supérieure aux 256 valeurs de l'octet afin de consacrer les valeurs supérieures au codage de structures, sens, fonctions, règles, associations et caractéristiques spécifiques, domaines et sous domaines et aux éléments représentés par les DotCols y compris les adresses des tables et dictionnaires associes.
  15. 15. Procédé de codage selon les revendications précédentes caractérisé en ce que des groupements de DotCols gagnent à être représentés en plusieurs exemplaires identiques en différents lieux ou temps, par exemple sur un plan, proches les uns des autres et de préférence tantôt en sens usuel (gauche-droite pour un plan), tantôt en sens inverse.
FR1800471A 2018-05-14 2018-05-14 Procede de representation de l'information au moyen de symboles matriciels "alphalie" Withdrawn FR3081059A1 (fr)

Priority Applications (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1800471A FR3081059A1 (fr) 2018-05-14 2018-05-14 Procede de representation de l'information au moyen de symboles matriciels "alphalie"

Applications Claiming Priority (2)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1800471A FR3081059A1 (fr) 2018-05-14 2018-05-14 Procede de representation de l'information au moyen de symboles matriciels "alphalie"
FR1800471 2018-05-14

Publications (1)

Publication Number Publication Date
FR3081059A1 true FR3081059A1 (fr) 2019-11-15

Family

ID=68500424

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR1800471A Withdrawn FR3081059A1 (fr) 2018-05-14 2018-05-14 Procede de representation de l'information au moyen de symboles matriciels "alphalie"

Country Status (1)

Country Link
FR (1) FR3081059A1 (fr)

Citations (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP1880348A1 (fr) 2005-02-16 2008-01-23 Alphacode Procede de codage de l'information de facon duale sur supports physiques et sous forme informatique dotem

Patent Citations (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP1880348A1 (fr) 2005-02-16 2008-01-23 Alphacode Procede de codage de l'information de facon duale sur supports physiques et sous forme informatique dotem

Non-Patent Citations (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Title
TIAN HAO ET AL: "COBRA : color barcode streaming for smartphone systems", PROCEEDINGS OF THE 10TH INTERNATIONAL CONFERENCE ON MOBILE SYSTEMS, APPLICATIONS, AND SERVICES, MOBISYS '12, 1 January 2012 (2012-01-01), New York, New York, USA, pages 85, XP055671363, ISBN: 978-1-4503-1301-8, DOI: 10.1145/2307636.2307645 *

Similar Documents

Publication Publication Date Title
Nichols et al. Tutorial on computational linguistic phylogeny
Dean Web programming with HTML5, CSS, and JavaScript
Foo Online virtual exhibitions: Concepts and design considerations
Bazeia et al. A novel procedure for the identification of chaos in complex biological systems
EP1880348B1 (fr) Procede de codage de l&#39;information de facon duale sur supports physiques et sous forme informatique dotem
Chinnathambi Learning React: a hands-on guide to building web applications using React and Redux
Viegas The visual side of wikipedia
Cagle SVG programming: the graphical web
FR3081059A1 (fr) Procede de representation de l&#39;information au moyen de symboles matriciels &#34;alphalie&#34;
Król et al. Promoting agritourism in Poland with ready-made digital components and rustic cyberfolklore
Stefanov Object-Oriented JavaScript
Shanahan et al. Representations of the environment on television, and their effects
Leipzig et al. Data Mashups in R: A Case Study in Real-World Data Analysis
Baillot From Handwriting to Footprinting: Text and Heritage in the Age of Climate Crisis
CN111966973A (zh) 一种基于图片像素值隐写的版权保护方法及系统
Rosen Discrete mathematics & applications
Cirillo R Data Mining: Implement data mining techniques through practical use cases and real world datasets
Robinson Making environmental law function in the Anthropocene
Graham An introduction to Twitterbots with tracery
Chen On the Meaning Maximization Doctrine: An Alternative to the Utilitarian Doctrine
Evers et al. Displaying research results
EP1436810A1 (fr) Procede pour marquer, identifier et securiser les fichiers informatiques, les documents, les sons et les composes chimiques
Herrmann Guidelines for Writing a High-Quality Thesis with the PSIThesis Template
Roberts et al. Reading at University: How to Improve Your Focus and Be More Critical
WO2002052486A2 (fr) Procede de formatage de messages

Legal Events

Date Code Title Description
PLFP Fee payment

Year of fee payment: 3

ST Notification of lapse

Effective date: 20200124

FC Decision of inpi director general to approve request for restoration

Effective date: 20200121

RN Application for restoration

Effective date: 20200121

PLSC Publication of the preliminary search report

Effective date: 20200403

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 4

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 5

ST Notification of lapse

Effective date: 20240105