FR2995431A1 - Procede d'acces et de partage d'un dossier medical - Google Patents

Procede d'acces et de partage d'un dossier medical Download PDF

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Abstract

Un procédé d'accès et de partage à un dossier médical informatique stocké sur un serveur (50) et accessible depuis un premier système (10) associé à un support externe comportant un premier moyen d'identification d'un patient, ainsi que des moyens de cryptage/décryptage pour la communication avec ledit serveur, comportant - détection de la présence du support externe ; - transmission d'une requête et d'authentification audit serveur pour solliciter la programmation d'une consultation à distance via un second système (20); - génération et transmission d'une notification électronique audit second système (20) en vue d'un établissement d'un second accès audit dossier médical via ledit second système; - transmission d'une requête audit serveur par le second système ; - ouverture d'une seconde session entre ledit serveur et ledit second système; - génération & partage du dossier médial sur lesdits premier et second systèmes (10, 20);

Description

- 1 - Procédé d'accès et de partage d'un dossier médical Domaine technique de l'invention La présente invention concerne les systèmes d'information, et notamment un procédé d'accès et de partage d'un dossier informatique médical Etat de la technique Avec l'essor des télécommunications et celui du réseau Internet, le commerce en ligne mais également les prestations de services connaissent un 15 développement considérable. Bien des consommateurs n'hésitent plus aujourd'hui à s'en remettre, en dépit de son absence de convivialité, à la simplicité d'une connexion télématique pour confier à divers prestataires présents sur le web le soin d'effectuer des prestations qu'ils auraient jadis confiées à des professionnels proches de leur domicile. 20 Les prestations dématérialisées se généralisent, que ce soit dans le domaine bancaire, le secteur de l'assurance etc... à l'instar du commerce électronique. Une catégorie particulière de professionnels et prestataires échappe encore 25 à ce bouleversement qu'imposent les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC). En effet, en raison du caractère séculaire de leur profession, de la notoriété et du crédit lentement mûris au cours de l'Histoire, les professions libérales échappent encore à cette intrusion de la télématique dans leur relation particulière avec leur clientèle. Les professions thérapeutiques tout 30 spécialement, mais également bien des professions libérales se sont attachées à développer un lien privilégié avec la clientèle et la nature très privilégiée de cette relation s'oppose clairement au phénomène de dématérialisation que connaissent sans limite tous les autres secteurs. CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 2 - Comme on le sait, la grande majorité de ces professionnels est soumise au secret professionnel, lequel est absolu et doit être préservé à tout prix. C'est le cas bien évidemment du médecin, de l'infirmière, de tous les thérapeutes mais aussi de l'avocat, de l'architecte etc... Si les thérapeutes et d'une manière générale les professionnels libéraux échappent ainsi en partie aux bouleversements résultant de l'invasion généralisée des systèmes de télécommunications, il reste toutefois souhaitable de leur offrir de 10 nouveaux outils propres aux NTIC, adaptés au caractère spécifique de leur profession et qui leur permettent de proposer de nouveaux services à leur clientèle. Se trouve là la condition du développement des professions libérales dans la nouvelle société de l'information. 15 La demande de brevet n° 08368018.1 du 19 Septembre 2008 (Publication EP2166484), intitulée « Procédé d'accès à des données nominatives, tel qu'un dossier médical personnalisé, à partir d'un agent local de génération » et dont les demandeurs de la présente demande sont à l'origine, décrit une première technique 20 visant à dématérialiser le dossier médical d'un patient venant consulter un groupe de thérapeutes. A cet effet des procédures spécifiques sont mises en oeuvre pour assurer un stockage anonyme sur un serveur dit DMA (Dossier Médical Anonyme), lequel stockage sert, lors d'une consultation du patient chez un praticien, à construire, au sein même du cabinet du praticien, une instance du Dossier Médical 25 Nominatif - ou personnalisé - du patient et ce en préservant le caractère confidentiel des informations hautement sensibles que comporte ce dossier médical. De cette manière, il est permis au patient d'aller consulter divers praticiens, notamment au sein d'un même groupement professionnel mais situés en des lieux physiquement éloignés et qui pourront accéder partout au dossier médical 30 personnalisé sans risque que les prestataires informatiques intervenant dans la transmission de l'information puissent briser la chaîne du secret. On parvient ainsi à préserver la confidentialité des informations stockées sur le réseau Internet. CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 3 - La solution qui se trouve décrite dans cette demande précitée apporte ainsi une amélioration significative au service rendu au patient qui, toutefois, reste confiné dans le sein du cabinet du praticien et prend fin dès lors que le patient prend congé de son praticien.
La demande de brevet français 11/02726 en date du 8 Septembre 2011, intitulée "Procédé d'accès et de partage d'un dossier informatique enrichi par des ressources multimédias personnalisées", non publiée à la date de dépôt de la présente et déposée par les inventeurs de la présente demande de brevet décrit un perfectionnement permettant au patient d'accéder très librement à son dossier médical personnalisé, enrichi par de nombreuses références à des ressources judicieusement choisies par le praticien. La demande de brevet français 12/00907 en date du 27 Mars 2012, intitulée "Procédé d'accès et de partage d'un dossier médical" non publiée à la date de dépôt de la présente et déposée par les inventeurs de la présente demande de brevet décrit un perfectionnement permettant de faciliter le portage du dossier médical entre plusieurs praticiens appartenant ou pas à un même groupement professionnels, voire à un même pays.
Pour autant il reste souhaitable d'accroître d'avantage la souplesse de la consultation auprès des praticiens, et notamment des plus connus qui, malheureusement, ne sont pas toujours disposés à proximité immédiate de leur patient.
La présente invention a pour but de répondre à ce problème, en facilitant largement une consultation de qualité, préservant la confidentialité de la relation entre le praticien et son patient, et permettant l'enrichissement constant du dossier médical de ce dernier.
Se trouve ici l'enjeu d'une médecine de progrès, entrant de plein pied dans le nouveau millénaire et intégrant le monde de la santé dans une démarche active de participation et de responsabilisation des patients en modernisant la prévention, l'optimisation des soins et l'évaluation des thérapies qui sont proposées. CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 4 - Exposé de l'invention La présente invention a pour objet de doter les professionnels libéraux d'un 5 nouvel outil permettant d'ouvrir la voie à un nouveau mode de consultation, notamment à distance, pour leur patient, tout en préservant le caractère confidentiel de leur relation avec cette même clientèle et en venant enrichir un dossier médical personnalisé. io La présente invention a pour autre objet de doter les professionnels libéraux d'un nouvel outil permettant de systématiser la constitution d'un dossier médical personnalisé, comportant des données nominatives ou non, et permettant au patient de bénéficier des avantages d'un tel dossier consultable partout et pouvant être largement portables entre différents praticiens. 15 Par ailleurs, la présente invention a pour objet de doter les professions libérales et les organismes professionnels d'outils de supervision statistique permettant de suivre en temps réel les consultations. 20 C'est un quatrième objet de la présente invention de fournir aux professions médicales un outil moderne permettant la constitution d'une solution informatique de partage de l'information médicale, paramédicale et sociale respectant la confidentialité des informations nominatives. 25 L'invention réalise ces buts au moyen d'un procédé d'accès et de partage à un dossier médical informatique stocké sur un serveur et accessible depuis un premier système associé à un support externe comportant un premier moyen d'identification d'un patient, ainsi que des moyens de cryptage/décryptage pour la communication avec le serveur. 30 Le procédé comporte les étapes: - détection de la présence du support externe du patient au sein dudit premier système; CJ3-FR1 (20 Mars 2013) -5- - transmission d'une requête au serveur pour solliciter la programmation d'une consultation à distance via un second système et mise en oeuvre d'une première authentification du premier système, notamment au moyen des informations d'authentification présente sur le support externe, en vue de l'établissement d'une première session; - génération et transmission d'une notification électronique au praticien et notamment à un second système comportant des moyens d'identification dudit serveur, des éléments de cryptage/décryptage ainsi qu'un mot de passe en vue de l'établissement d'un second accès au serveur via le second système; - transmission par le second système d'une requête au serveur en utilisant lesdits moyens d'identification, de cryptage/décryptage et le mot de passe reçus du patient; - seconde vérification effectuée par le serveur de la présence de moyens d'authentification (exemple carte CPS) associés au second système; - ouverture d'une seconde session entre le serveur et le second système 15 appartenant au praticien; - génération et partage du dossier médical sur les premier et second systèmes; - stockage (390) et/ou mise à jour du dossier médical sur le serveur avec les informations saisies sur le second système ; - fermetures desdites premières et secondes sessions. 20 Cette procédure permet d'organiser une rencontre entre un praticien et un patient, dans le but de conduire une consultation clinique à distance, éventuellement combinée avec l'examen de résultats d'examen biologiques et/ou d'images radiologiques, tout en permettant un enrichissement du dossier médical 25 au moyen d'informations provenant du patient, et validées par le praticien. La rencontre est particulièrement sécurisée du fait de la double vérification opérée successivement sur les deux systèmes, permettant ainsi une authentification particulièrement forte. 30 De préférence, le support externe comporte un code exécutable sur ledit premier système permettant l'exécution d'une visionneuse d'images de radiographies stockées sur un support présent dans le premier système. Le code exécutable permet en particulier la prise du contrôle du premier système par le CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 6 - second système dans le but d'opérer une sélection d'une ou plusieurs images extraites du support radiologique, la conversion de ces images en fichiers numériques qui peuvent ensuite être directement intégrées au sein du dossier médical partagé et simultanément consultés via les deux systèmes.
De préférence, ledit support externe du patient est une carte à puce ou une clé USB comportant un code exécutable s'exécutant dès l'insertion de la carte ou de la clé.
Alternativement, le support externe du patient est un téléphone mobile, une tablette tactile, ou un assistant personnel portable (PDA). De préférence, la visionneuse est une visionneuse de type DICOM par exemple permettant l'extraction et la conversion d'images au format JPG, qui sont 15 intégrées au dossier médical. Dans un mode de réalisation particulier, le procédé mis en oeuvre sur le système du praticien permet l'introduction, au sein du dossier médical partagé, de liens vers des ressources génériques et/ou personnalisées permettant d'enrichir le dossier 20 médical, pour une consultation ultérieure de ce dossier par le patient. Dans un mode de réalisation particulier, l'accès dudit praticien au dossier médical est déterminé par des droits d'accès sous le contrôle du patient. 25 L'invention permet également la réalisation d'un support externe, de type clé USB ou carte à puce, pour la mise en oeuvre du procédé défini précédemment. L'invention permet enfin la réalisation d'un serveur multimédia adapté à la mise en oeuvre du procédé défini précédemment. 30 L'invention permet également la réalisation d'un procédé d'accès à un dossier médical informatique stocké sur un serveur et accessible depuis un premier système associé à un support externe comportant un premier moyen d'identification CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 7 - d'un patient, ainsi que des moyens de cryptage/décryptage pour la communication avec ledit serveur. Le procédé comporte les étapes: - détection de la présence du support externe du patient au sein d'un second système; - démarrage d'un accès audit serveur (50) par le dit second système, en utilisant les moyens de connexion et d'authentification présent sur ledit support externe; - vérification de l'authentification dudit second système par le site serveur (50); - accès au dossier médical personnalisé via ledit second système.
Description des dessins D'autres caractéristiques, but et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description et des dessins ci-après, donnés uniquement à titre d'exemples non limitatifs. Sur les dessins annexés : La figure 1 illustre le schéma de principe d'une consultation à distance suivant un mode de réalisation de la présente invention.
La figure 2 représente un mode de réalisation d'un support externe pour le patient. La figure 3 illustre un mode de réalisation d'un procédé conforme à la présente invention.
CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 8 - Description d'un mode de réalisation préféré L'on décrit à présent, en référence à la figure 1, comment l'on peut mettre en place les éléments techniques permettant le déroulement d'une consultation électronique entre un patient et son praticien, ayant chacun un accès à un réseau informatique tel qu'un réseau Intranet ou le réseau Internet, et communiquant via un serveur centralisé stockant des dossiers médicaux centralisés. io Le praticien est doté d'un système de traitement de données, représenté sur la figure par un ordinateur portable 20, disposant d'un accès au réseau Internet 100, notamment vers un serveur DM 50 qui a vocation à recevoir le stockage de dossiers médicaux suivant un format quelconque, nominatif ou non nominatif. Dans le cas particulier de données non nominatives, l'on pourra avantageusement s'inspirer des 15 principes décrits dans les brevets cités en référence pour assurer l'anonymat des dossiers médicaux. Il ne s'agit cependant que d'un exemple particulier d'utilisation de la présente invention, et dans la suite, on considèrera le cas plus général dans lequel les 20 dossiers médicaux stockés au sein du serveur 50 sont nominatifs. Le système 20 du praticien est en outre associé à un dispositif d'authentification, de type lecteur de carte 21, destiné à recevoir une carte d'authentification permettant d'assurer l'authentification des requêtes émisses par le 25 système 20. L'on pourra par exemple envisager un lecteur destiné à recevoir la Carte de Professionnel de Santé (CPS) qui est en usage en France, ou tout système d'authentification forte basée sur l'usage d'une carte à puce... Alternativement, l'on pourra envisager pour le praticien un système 30 d'authentification basée sur une clé USB propre au praticien, voire un système autonome, comme un téléphone mobile, ou un smartphone doté de moyens de moyens d'authentification, telle que signature électronique, clés de cryptage. CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 9 - Le patient dispose, de son côté, d'un second système de traitement de l'information 20, représenté par exemple par un ordinateur portable, et doté également d'un accès au réseau Internet 100.
Comme pour le praticien, le patient dispose d'un support externe 90 destiné à sa propre authentification et comportant en outre des éléments de programme exécutable, notamment de cryptage/décryptage pour la mise en oeuvre des procédures décrites ci-après et les échanges sécurisés avec le serveur DM 50.
Dans un mode de réalisation particulier, le support externe se présente sous la forme d'une carte dite PATIENT que l'on peut venir glisser dans un lecteur de carte 11 comme cela est représenté dans la figure 1, ou qui est doté d'un connecteur USB correspondant au mode de connexion généralement le plus répandu.
De préférence, comme cela est illustré dans la figure 2, la carte PATIENT est une carte à puce 90 (dite SMARTCARD), ayant un facteur de forme format ID-1 de dimension 85,60 x 53,98 mm, et comportant une puce 93 incorporée suivant la normalisation IS07816 intégrant des données d'identification sécurisées. Par ailleurs la carte PATIENT comporte un port USB 92 pour la communication série avec l'ordinateur 10 du patient, et des moyens de stockage 95 destinés au stockage d'un code d'exécutable pour la mise en oeuvre des fonctionnalités décrites ci-après, et notamment les accès sécurisés au serveur DM 50. En particulier, la carte PATIENT comporte l'exécutable d'une visionneuse de fichiers d'imageries médicales destinée à la sélection d'images spécifiques et à leur conversion en fichiers portables de type JPG par exemple, ainsi qu'un code fonctionnel permettant la commande à distance, sous certaines conditions, de l'ordinateur du patient. D'une manière générale, les circuits électroniques actifs de la carte 90 pourront être disposés au sein d'une surface 94 intégrant les différents composants électroniques, dont la puce 93 noyés dans le matériau constitutif de la carte. Un capuchon 91 situé dans un angle de la carte 90 permet de recouvrir le port USB lorsque celui-ci n'est pas utilisé. CJ3-FR1 (20 Mars 2013) - 10 - Dans un mode de réalisation préféré, la carte PATIENT présente un connecteur USB permettant une connexion directe, sans nécessiter de lecteur, à un port USB du système 10. Ce système présente l'avantage de correspondre au mode de connexion le plus répandu.
Il est à noter cependant que le support externe pourra prendre une forme distincte de celle d'une carte ou d'une clé USB. On effet, dans d'autres modes de réalisation, l'on pourra prévoir d'introduire les éléments d'authentification du patient, de cryptage/décryptage pour la connexion au serveur DM 50 dans un système autonome, tel qu'un téléphone sans fil, un smartphone (suivant la terminologie anglo-saxonne), un assistant personnel portable (PDA), une tablette tactile etc... et communiquant via des moyens de communication propres avec le système 10, voire disposant de leur propre accès au réseau Internet 100 pour accéder au serveur DM 50.
L'on a également représenté, sur la figure 1, un serveur administrateur 60 optionnel chargé de l'administration et de la gestion des dossiers médicaux, notamment des inscriptions et de la facturation.
L'on supposera en outre que les systèmes 10 et 20 sont dotés de moyens de notifications, de type courrier électronique, ainsi que d'un navigateur, comme Internet Explorer de l'éditeur MICROSOFT Corp. par exemple, permettant d'accéder simplement, via le protocole standardisé H.T.T.P. (Hyper Text Transfer Protocol) au serveur DM 50. De tels moyens sont bien connus d'un homme du métier et ne requièrent pas de développement supplémentaire. L'on pourra également envisager l'utilisation de logiciels et programmes plus spécifiques pour la mise en oeuvres des notifications et des procédures décrites ci-après. Par ailleurs, on pourra également envisager que les notifications transmises via l'un des systèmes 10, ou 20, résultent d'une notification transmise via un serveur extérieur.
Dans la solution qui est proposée dans la figure 1, et contrairement aux dispositifs décrits dans les brevets précités, il n'est pas nécessaire que les deux parties à la consultation, à savoir le praticien et son patient, soient régulièrement inscrits auprès du serveur administrateur 60. CJ3-FR1 (20 Mars 2013)

Claims (9)

  1. REVENDICATIONS1. En effet, et cela est un avantage de la solution qui est proposée, et qui devrait assurer à brève échéance un déploiement rapide du dispositif, réside dans le fait que le patient, et lui seulement, peut être inscrit auprès du serveur pour 5 permettre la constitution de son dossier médical personnalisé (nominatif ou non) et voir se dossier enrichi à mesure des différentes consultations auprès de praticiens, lesquels n'ont nullement besoin d'être préalablement enregistré. Clairement, à terme, il n'est absolument pas exclu que les praticiens euxto même expriment le désir de s'enregistrer également auprès du serveur administrateur 60 de l'opérateur ayant déployé le système. Un élément important dans la solution qui est proposée, pour le déroulement d'une consultation à distance, consiste en "la rencontre" - à distance - des deux 15 dispositifs d'authentification respectifs du patient et de son praticien, à savoir le support externe 90 (la carte PATIENT) et la carte professionnelle de santé (CPS) afin de permettre le déroulement des procédures décrites ci-après et, par suite, une consultation à distance à grande valeur ajoutée, tout en préservant la confidentialité de l'échange. 20 Il en résulte une double couche d'authentification accroissant de manière significative la sécurité du système, alors même que le serveur a vocation à contenir des données médicales sensibles (nominatives ou anonymes). 25 Dans la suite, l'on suppose que le patient souhaite programmer une consultation à distance auprès de son praticien et, très simplement, insère sa carte PATIENT au sein du système 10 (ou alternativement, active une fonction adéquate sur le support externe autonome, tel qu'un smartphone). 30 Dans une étape 310, le système 10 détecte la présence de la carte PATIENT (ou plus généralement du support externe), et lance un code exécutable qui, en général est stocké sur cette même carte PATIENT 90. Dans un mode de réalisation particulier, la carte PATIENT est une clé USB dont le code exécutable se CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 12 - lance automatiquement dès la détection de la clé, entraînant sans autre formalité le démarrage du programme mettant en oeuvre le procédé décrit ci-après. Puis, dans une étape 320, une requête est transmise par le système 10 au 5 serveur DM 50 (et/ou au serveur ADMIN 60) via le réseau Internet 100 pour solliciter la programmation d'une consultation à distance. A cet effet, les éléments d'identification du patient sont transmis au serveur, convenablement cryptés, par exemple au moyen de la clé publique du serveur DM 50 stockée sur le support externe 90 et, le cas échéant, proprement authentifié par une signature numérique 10 présente sur le support externe. Cette procédure conduit ainsi à une première vérification liée au système 10. Dans un mode de réalisation particulier, le serveur DM50 répond à cette requête en transmettant une page HTML, proprement formatée comportant, outre 15 des liens d'accès à son dossier, une liste des médecins habituels du patient, incluant leurs coordonnées et notamment leur adresse électronique. Ce mode de réalisation est utile si l'on ne souhaite pas stocker sur le support 90 les références des médecins traitants habituels et permet un accès convivial au patient. Accessoirement, ce mode de réalisation permet également la transmission directe, 20 depuis le serveur 50 et à destination du système 20, d'une notification de programmation d'une consultation électronique à distance. Puis, dans une étape 330, le code exécutable sur le site 10 procède à la sélection d'un médecin consultant et transmet à destination de son adresse 25 électronique une notification électronique comportant, outre l'avis de requête de la consultation, un mot de passe unique (One Time Password - OTP) préalablement calculé pour permettre à ce médecin d'accéder au dossier médical du patient avec, le cas échéant, des éléments d'identification du serveur DM 50 ainsi que des clés de cryptage/décryptage permettant un échange sécurisé avec ce dernier. En 30 particulier, les éléments d'identification pourront consister une URL spécifique permettant un accès direct au serveur via un navigateur conventionnel. Dans un mode de réalisation particulier, le mot de passe à usage unique OTP présente en outre une validité limitée dans le temps. CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 13 - Clairement, la notification de l'étape 330 peut être transmise par la voie du courrier électronique, éventuellement crypté, suivant les procédures conventionnelles. Il ne s'agit ici que d'un exemple particulier et l'on pourra envisager la notification du mot de passe via tout autre moyen, notamment par voie téléphonique, SMS etc... La notification transmise par le système 10 est reçue au sein du système 20 et le praticien est alors informé de la demande de consultation, qui peut alors io l'accepter ou la refuser. Si le praticien accepte la notification - ce qui peut intervenir plusieurs heures après la demande faite par le patient suivant les usages convenus au sein de la profession et avec le patient - le système 20 transmet alors dans une étape 340, 15 une requête au serveur DM 50 en utilisant les éléments d'identification et de cryptage/décryptage reçus du système 10. Puis, dans une étape 350, le serveur procède la vérification de la présence des moyens d'authentification du praticien. A cet égard, la présence de la Carte 20 Professionnelle de Santé (CPS) est testée de manière à confirmer au serveur DM 50 la présence du praticien autorisé. Dans le cas où la carte professionnelle n'est pas présente, alors l'accès au serveur s'achève, dans une étape 360. 25 Dans le cas où la carte professionnelle est réellement présente, et vient confirmer l'identité du praticien présent en ligne, le serveur DM 50 initie une seconde session avec le système 20 dans une étape 370. 30 Les deux sessions ouvertes respectivement avec le système 10 et 20 peuvent ainsi se dérouler simultanément, permettant une consultation à distance, durant une étape 380, entre le praticien et son patient qui ont tous les deux un accès au dossier médical stocké sur le serveur 50. CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 14 - A cet égard, l'on peut envisager de nombreuses fonctionnalités diverses pour venir enrichir la consultation et permettre une plus grande convivialité dans les échanges. En premier lieu, l'accès partagé au dossier médical nominatif du patient peut être réalisé en même temps que les fonctions multimédias des deux systèmes 10 et 20 sont activées, de manière à permettre un échange visuel et audio entre les deux parties. Io En outre, l'on pourra également envisager que, suivant l'enseignement de la demande de brevet français 11/02726 en date du 8 Septembre 2011 précitée, le praticien vient ajouter, au sein du dossier médical personnalisé, un ensemble de liens (notamment URL - Uniform Resources Locators) vers des ressources générales ou personnalisées permettant d'enrichir le dossier médical du patient et 15 de l'éclairer sur certains aspects de sa ou ses pathologies. Alternativement, l'on pourra envisager que pour le déroulement de la 2ème session ouverte avec le système 20 du praticien, le serveur DM utilise une interface spécifique, de type URGENCY, telle que décrite dans la demande de brevet 20 12/00907 en date du 27 Mars 2012 (et incorporée par référence), venant limiter les droits d'accès au médecin. Comme on le voit la consultation électronique à distance qui est organisée suivant la présente proposition permet une multitude de possibilités. 25 Par ailleurs, et cela est un avantage important de la présente invention, le patient est à même, durant le cours de cette consultation à distance, de présenter divers documents, résultat d'analyses, questionnaires etc... sous forme de fichier électronique, notamment de type PDF (suivant le format de l'éditeur de logiciel 30 ADOBE (TM) qui peuvent ainsi faire l'objet d'un examen immédiat par le praticien et peut ainsi apporter une validation de ces documents, d'un interrogatoire etc... qui pourra être automatiquement inscrite, pour le plus grand intérêt du patient, au sein du dossier médical. CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 15 - Cette validation sera particulièrement utile pour la gestion du dossier médical car elle permet d'assurer que tel ou tel document ont bien été examiné par un oeil professionnel, venant ainsi conforter certaines hypothèses de diagnostique médical. Ainsi, par exemple, il est fréquent qu'un patient est amené à remplir un formulaire et déclare des allergies qui , en fin de compte, ne sont pas opportunes.. La solution qui est proposée, permet de codifier de manière systématique l'examen des documents soumis au(x) praticien(s) , pour le plus grand avantage du to patient. Il est fréquent, en outre, que le patient présente des documents d'imageries médicales, générés notamment lors d'examen radiologiques poussés, tels qu'IRM etc... 15 A cet égard, le patient peut être amené à présenter un support DVD comportant des milliers d'images issus d'un examen IRM. Dans un mode de réalisation particulier, le support externe 90 du patient 20 comporte un lecteur universel de type DICOM permettant une lecture des fichiers électroniques d'imagerie médicale. Le lecteur universel comporte une fonctionnalité simplifiée, permettant la sélection d'une ou plusieurs images au sein d'un fichier comportant plusieurs centaines d'images, et la conversion de ces images sous la forme de fichiers numériques indépendants, par exemple de type JPG. 25 Il est à noter que le fichier DICOM correspondant à l'imagerie radiologiques n'est qu'un exemple de fichier auquel le second système peut accéder. Dans d'autres modes de réalisations, par exemple la biologie, HPRIM ... Ou d'autres fichiers dans d'autres standards: HL7 ou équivalents pouvant intéressant toutes les 30 spécialités de la médecine. Dans un mode de réalisation spécifique, le code exécutable présent sur la carte PATIENT comporte une fonctionnalité de prise de contrôle à distance, par l'ordinateur 20 ayant reçu la notification de l'étape 330 de requête de consultation, CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 16 - pour permettre la mise en oeuvre de la visionneuse de fichiers DICOM et la commande du lecteur de CD/DVD, et permettre ainsi au praticien de sélectionner une ou plusieurs images jugées opportunes et pertinentes, et de les insérer dans le dossier médical du patient. Une telle opération nécessite des droits particulièrement étendus sur les fonctionnalités du système 10 et n'est généralement pas accessible pour un logiciel navigateur qui, en principe, doit rester dans le cadre strict de la "sand box" définissant les droits d'accès aux ressources matérielles et logicielles. Dans ce mode de réalisation particulièrement avantageux, c'est bien le support physique 90 , et notamment la carte PATIENT 90 , qui permet de combiner tous les éléments nécessaires à la mise en place d'une double session simultanée entre, d'une part, le serveur 50 et, d'autre part, les deux systèmes 10 et 20, et qui permet le déroulement de la consultation ainsi que le partage du dossier médical. Ainsi, sans qu'il soit besoin d'organiser une rencontre physique entre le praticien et son conseil, il devient possible, grâce à la solution proposée, de procéder au sein du cabinet du praticien à une sélection d'images extraites du DICOM détenu à son domicile par le patient, lesquelles pourront être validées et intégrées dans le dossier médical, convenablement et automatiquement indexées en fonction de la pathologie considérée (par exemple "pathologie du genou" et plus spécifiquement "fracture du genou"), agrémentée de commentaires, d'observations et d'analyses circonstanciées de la part du praticien. En outre, il ne sera pas nécessaire de stocker sur le serveur DM (50) des milliers d'images formant l'intégralité du ou des DICOM généré(s) pour le patient, qui ne pourront que mener, outre une occupation prohibitive de mémoire sur le serveur, à une grande confusion au sein du dossier médical nominatif. Dans la solution qui est préconisée, c'est bien une sélection d'images, personnellement choisies et validées par le praticien et accompagnées, le cas échéants, d'observations circonstanciées et pertinentes, qui viendront enrichir le dossier médical. CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 17 - Comme on le voit, on peut ainsi organiser une consultation, à distance, et présenter une grande valeur ajoutée, et ce notamment grâce à la systématisation de l'analyse effectuée lors du déroulement de la double session d'accès simultané. Suivant un mode de réalisation, dès que l'accès à la visionneuse DICOM s'achève, le programme de contrôle à distance achève son déroulement, ce qui permet au patient de récupérer la main sur son système 10. Il est à noter que le procédé assure une fonctionnalité des plus utiles, tout en lo préservant un haut degré de sécurité pour le patient. En premier lieu, le contrôle à distance par le système 20 ne porte que sur la seule visionneuse DICOM, ce qui interdit clairement toute autre opération, notamment déplacement ou copie de fichiers et, en second lieu, le contrôle à distance s'achève avec la fin de l'utilisation de la visionneuse. 15 Lorsque la consultation à distance arrive à son terme, le procédé poursuit ensuite avec le stockage des nouvelles informations résultant de la consultation, lors d'une étape 390 et, ensuite le cas échéant, met un terme aux deux sessions initiées avec les deux systèmes, dans une étape 400. 20 Au delà de la consultation qui s'est déroulée entre les parties, et dont les grandes étapes ont pu ainsi être répertoriées, codifiées et intégrées dans le dossier médical du patient, le patient pourra retrouver, ultérieurement, s'il le souhaite, les éléments de cette consultation en procédant à un accès individuel à son dossier 25 médical, ce qui lui est permis par le support de stockage. Le praticien, en revanche, pourra accéder librement au dossier médical en fonction des droits d'accès qui lui auront été concédés par "son" patient et, le cas échéant, par une demande d'inscription préalablement présentée auprès du serveur 30 administrateur 60. La solution proposée, outre qu'elle présente l'avantage d'organiser et d'encadrer dans un contexte très sécurisé, une consultation entre un praticien et son patient, permet en outre de codifier et de systématiser les différentes phases de CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 18 - la consultation, notamment l'examen clinique, l'examen de résultats biologiques ou l'examen d'images radiologiques, leur éventuelle validation et de répertorier précisément ces dernières au sein du dossier médecin de manière à en conserver une trace précise et utile au patient. Il est à noter que, dans un mode de réalisation particulier, le support externe 90 du patient sert également lors d'une consultation conventionnelle, lors d'un déplacement du patient au cabinet du praticien. A cet égard, les éléments d'identification, de cryptage/décryptage présents sur la carte du patient permettent to notamment l'accès au dossier médical personnalisé, au lieu du cabinet du praticien, depuis le serveur DM 50 et ce indépendamment de l'appartenance du praticien à un groupe de professionnels dûment enregistré auprès du serveur de données médicales. 15 Dans cette hypothèse, comme dans d'autres, c'est bien le support externe du patient qui sert de passerelle au médecin, quel qu'il soit et quel que soit le lieu de son cabinet, pour accéder au dossier médical. L'on notera en revanche, que si le patient peut accéder à son dossier médical 20 grâce à son support externe, il s'agit d'un accès "en lecture" uniquement et les mises à jour (et plus généralement les accès en "écrite") sont réalisées sous le contrôle d'un praticien comme ce que l'on a observé avec le procédé de la figure 3: c'est le patient qui apporte le résultat de ses images radiologiques, mais c'est bien le praticien, autorisé par le patient, qui effectue la sélection des images, apportent 25 les commentaires et observations pertinentes, et effectue l'enregistrement des données sur le dossier médical stocké sur le serveur afin que celui-ci soit bien l'image fidèle de l'état des pathologies et des traitements du patient. Il est noter également, et cela est un autre avantage très intéressant de la 30 solution proposée, que le support externe du patient, notamment sous la forme de la carte PATIENT ou de la clé USB, peut servir opportunément même en dehors d'un contexte de consultation à distance. CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 19 - En effet, la support de stockage peut servir fort opportunément même lors d'une consultation tout à fait conventionnelle, y compris au sein du cabinet d'un praticien non enregistré auprès du site administrateur du serveur 50, afin de concéder au praticien, pour le temps de la consultation, l'accès et les droits associés au dossier médical personnalisé. A cet effet, lors de la consultation, le patient transmet sa carte PATIENT, par exemple la clé USB comportant ses identifiants et les différents moyens d'authentification et cryptage/décryptages, lesquels peuvent être utilisés alors pour consulter le dossier médical comme le ferait le patient à son domicile. A cet égard, le procédé exécuté sur le système du praticien comporte les étapes suivantes: - détection de la présence du support externe du patient au sein d'un second système; - démarrage d'un accès audit serveur par le dit second système, en utilisant les moyens de connexion et d'authentification présent sur ledit support externe; - vérification de l'authentification dudit second système par le site serveur (50); - accès au dossier médical personnalisé via ledit second système. Et l'on notera qu'il est même possible, à ce moment, que le praticien initie une double consultation à distance avec un second praticien - par exemple un spécialiste - lequel pourrait à ce moment venir partager le dossier médical téléchargé depuis le serveur 50 de manière à assurer une consultation du plus grand intérêt pour le patient. Comme on le voit, la carte patient qui est proposée suivant les différents modes de réalisation, ouvre de multiples nouvelles combinaisons et d'applications 30 différentes. 35 CJ3-FR1 (20 Mars 2013) 2 99543 1 - 20 - Revendications 5 1. Procédé d'accès et de partage à un dossier médical informatique stocké sur un serveur (50) et accessible depuis un premier système (10) associé à un support externe comportant un premier moyen d'identification d'un patient, ainsi que des moyens de cryptage/décryptage pour la communication avec ledit serveur, ledit 10 procédé comportant les étapes: - détection (310) de la présence du support externe du patient au sein dudit premier système; - transmission (320) d'une requête audit serveur pour solliciter la programmation 15 d'une consultation à distance via un second système (20) et mise en oeuvre d'une première authentification dudit premier système (10); - génération et transmission (330) d'une notification électronique audit second système (20) comportant des moyens d'identification dudit serveur, des éléments de cryptage/décryptage ainsi qu'un mot de passe (10) en vue d'un établissement d'un 20 second accès audit dossier médical via ledit second système; - transmission d'une requête (340) audit serveur par le second système en utilisant lesdits moyens d'identification, de cryptage/décryptage et le mot de passe reçus de la part dudit premier système; - la vérification (350) par ledit serveur (50) de la présence de moyens 25 d'authentification associés audit second système (20); - ouverture d'une seconde session (370) entre ledit serveur et ledit second système; - génération & partage (380) du dossier médical sur lesdits premier et second systèmes (10, 20); - stockage (390) et/ou mise à jour du dossier médical 50 avec les informations 30 saisies sur ledit second système (20); - fermetures desdites premières et secondes sessions (400). CJ3-FR1 (20 Mars 2013)-21-
  2. 2. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que ledit support externe comporte un code exécutable sur ledit premier système permettant l'exécution d'une visionneuse d'images de radiographies stockées sur un support présent dans le premier système et en ce que le procédé comporte les étapes suivantes: - la prise du contrôle du premier système (10) par ledit second système (20); - la sélection par ledit second système (20) d'une ou plusieurs images extraites dudit support; - la conversion desdites images sélectionnées en fichiers numériques indépendants; et - l'intégration desdites images sélectionnées au sein dudit dossier médical partagé par lesdits premier et second système.
  3. 3. Procédé selon la revendication 1 ou 2 caractérisé en ce que ledit support externe 15 est une carte à puce ou une clé USB comportant un code exécutable s'exécutant dès l'insertion de la carte ou de la clé.
  4. 4. Procédé selon la revendication 1 ou 2 caractérisé en ce que ledit support externe est un téléphone mobile, une tablette tactile, ou un assistant personnel portable 20 (PDA).
  5. 5. Procédé selon la revendication 2 caractérisé en ce que la visionneuse est une visionneuse de type DICOM par exemple permettant l'extraction et la conversion d'images au format JPG, qui sont intégrées au dossier médical.
  6. 6. Procédé selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte l'étape d'introduction via ledit second système (20) de liens vers des ressources génériques et/ou personnalisées permettant d'enrichir le dossier médical, pour une consultation ultérieure de ce dossier par le patient.
  7. 7. Procédé selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que l'accès dudit praticien au dossier médical est déterminé par des droits d'accès sous le contrôle du patient. 25 30 CJ3-FR1 (20 Mars 2013)- 22 -
  8. 8. Procédé d'accès à un dossier médical informatique stocké sur un serveur (50) et accessible depuis un premier système (10) associé à un support externe comportant un premier moyen d'identification d'un patient, ainsi que des moyens de cryptage/décryptage pour la communication avec ledit serveur, ledit procédé comportant les étapes: - détection de la présence du support externe du patient au sein d'un second système; - démarrage d'un accès audit serveur (50) par le dit second système, en utilisant les io moyens de connexion et d'authentification présent sur ledit support externe; - vérification de l'authentification dudit second système par le site serveur (50); - accès au dossier médical personnalisé via ledit second système. 15 9 Support externe caractérisé en ce qu'il comporte les moyens pour la mise en oeuvre du procédé défini dans l'une quelconque des revendications 1 à 8. 10. Serveur de données informatiques adapté pour la mise en oeuvre du procédé revendiqué dans l'une des revendications 1 à
  9. 9. 20 CJ3-FR1 (20 Mars 2013)
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