FR2980106A1 - Dispositif emetteur-recepteur d'ondes pour la physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal et procede afferent - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif émetteur-récepteur d'ondes pour la physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal et un procédé afférent audit dispositif. Ce dispositif comprend des moyens de réception (1, 7) d'au moins une onde électromagnétique émise par des cellules dudit corps et pouvant être représentative de cellules malades, des moyens de déplacement automatique ou manuel du dispositif émetteur-récepteur afin que le dispositif soit placé à une distance dudit corps comprise entre cinq et vingt centimètres, avec, si cette onde correspond à des cellules malades, des moyens de blocage en position du dispositif à ladite distance du corps, ces moyens de blocage étant manuels ou automatiques et des moyens de réémission (1, 7) de ladite onde en direction du corps vers les cellules malades. Application dans le domaine du traitement des pathologies par ondes.

Description

«Dispositif émetteur-récepteur d'ondes pour la physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal et procédé afférent» La présente invention concerne, d'une façon générale, un dispositif émetteur-récepteur d'ondes pour la physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal ainsi qu'un procédé afférent. Ces ondes peuvent être de tout type, par exemple des ondes acoustiques ou électromagnétiques. Il est connu que toutes les cellules d'un corps humain ou animal émettent des ondes caractéristiques de l'organe formé par lesdites cellules et que les cellules malades, par exemple des cellules cancéreuses, émettent des ondes différentes des ondes de cellules saines. Par exemple, le document WO 2009/14.2 661 divulgue un procédé d'analyse des caractéristiques nanomécaniques de cellules humaines. En particulier, les modifications de certaines caractéristiques nanomécaniques locales de cellules humaines peuvent correspondre à la présence d'une pathologie humaine telle que le cancer, ainsi qu'à un stade de progression particulier de la maladie. Un tel procédé d'analyse peut donc servir à la détection d'un état pathologique et aussi à vérifier la capacité d'un agent thérapeutique en termes d'empêchement ou d'inversion de la progression de la maladie. En ce qui concerne l'émission d'ondes électromagnétiques, toute cellule vivante comprend un noyau chargé positivement entouré d'une membrane chargé négativement, ce qui la rend assimilable à un circuit oscillant de très petite longueur d'ondes capables d'émettre et de recevoir des ondes électromagnétiques. Un groupe de cellules constituant un organe donné émet d'autres ondes électromagnétiques qu'un groupe de cellules constituant un autre organe. De même pour un même organe, un groupe de cellules saines émet des ondes électromagnétiques différentes d'un groupe de cellules malades. Ceci peut s'expliquer par le fait qu'une cellule malade est en déséquilibre oscillatoire sous l'effet d'attaques extérieures ou intérieures ou d'altérations de sa membrane cellulaire ou de son noyau.

Pour rétablir l'équilibre oscillatoire de cellules malades, il a été fait recours à l'utilisation de champs magnétiques pulsés générant artificiellement des ondes électromagnétiques à des fréquences spécifiques qui avaient été altérées pour les cellules malades. Ces champs magnétiques pulsés sont émis par un émetteur générateur d'ondes électromagnétiques pulsés vers les cellules malades, reçus par lesdites cellules en permettant aux dites cellules possédant encore faiblement leur fréquence propre d'entrer en résonance avec les fréquences émises par l'émetteur et de réactiver ainsi leurs fonctions altérées. Le document WO-A- 2008/127011 décrit un appareil de physiothérapie à champ magnétique basse fréquence comportant un contrôleur de signaux pulsés, des bobines 20 produisant le champ magnétique et une commande d'excitation des bobines. Le contrôleur de signaux pulsés produit des trains d'impulsions transportant une ou plusieurs sources de traitement sur plusieurs canaux en entrant dans le programme de modulation de fréquence des 25 ondes, une fréquence de résonance de Shumann ou des fréquences de résonance de molécule d'eau pour traiter le corps humain entier ou l'une de ses parties spécifiques. Quand lesdites bobines produisent un champ magnétique irradiant le corps humain, le champ électrique 30 ainsi induit dans un corps humain produit un potentiel actif destiné à déclencher la dépolarisation de la membrane cellulaire. En effet, lorsque les champs électriques actifs, produits par dépolarisation de la membrane cellulaire déclenchée par le champ électrique 35 ainsi induit dans le corps humain, sont transmis le long des membranes cellulaires, ils peuvent stimuler les cellules du corps, notamment les neurones, les cellules musculaires et le barorécepteur de la paroi des vaisseaux sanguins. Ceci permet le rétablissement de la fonction des tissus cellulaires et traitent ainsi divers troubles physiques.

Le document FR-A-2 650 188 décrit un dispositif électromagnétique pour le diagnostic et le traitement des déséquilibres dans un organisme vivant ainsi qu'un procédé de fonctionnement associé audit dispositif. Le dispositif consiste à transmettre un message 10 informationnel électromagnétique à partir d'un ou de plusieurs émetteurs délivrant des champs magnétiques pulsés rotatifs modulables en forme et en volume vers ledit organisme. Ces dispositifs générateurs et émetteurs de champs 15 électromagnétiques pulsés ont fait preuve de leur efficacité. Cependant, ils sont compliqués de mise en oeuvre, notamment en ce qui concerne la plage de variation de fréquences ainsi que des trains d'impulsion pour les ondes pulsées. 20 De plus, il est toujours difficile de déterminer quelles caractéristiques doivent présenter les ondes électromagnétiques devant être produites par ces dispositifs pour guérir un certain type d'organe contenant des cellules malades ou nécessitant une 25 régénération d'une partie de ses cellules. Cela nécessite une étude du champ électromagnétique émis par les cellules, par exemple pour un organe donné une comparaison du champ électromagnétique émis par des cellules saines avec un champ électromagnétique émis par 30 des cellules malades, afin de déterminer les caractéristiques des ondes électromagnétiques qui sont absentes du champ électromagnétique émis par des cellules malades. Cela se traduit par une analyse minutieuse des 35 champs magnétiques émis, d'une part, par un groupe de cellules saines et, d'autre part, par un groupe de cellules malades, avec une comparaison des deux champs magnétiques, cela spécifiquement pour chaque organe. Ainsi, la détermination et la création d'un champ d'ondes spécifiquement adapté pour soigner des cellules malades s'avèrent difficile. En effet, les champs magnétiques émis par les cellules sont faibles et peuvent être altérés par des bruits de fond ou par les appareils de réception même des champs magnétiques. Les comparaisons entre champs magnétiques de cellules saines et de cellules malades peuvent ainsi être faussées et conduire à l'élaboration de champs électromagnétiques pulsés ne remplissant pas ou peu un rôle curatif pour les cellules malades. De plus, concevoir divers champs magnétiques pulsés 15 spécifiquement adaptés au soin d'un organe donné et cela pour de nombreux organes, s'avère fastidieux, difficile et aléatoire. Le but de la présente invention est de soigner un groupe de cellules malades ou ne remplissant pas 20 complètement le rôle qui leur est affecté directement à l'intérieur d'un corps humain ou animal, ceci sans créer artificiellement un train d'ondes mais en utilisant les ondes émises par lesdites cellules. A cet effet, l'invention a pour objet un dispositif 25 émetteur-récepteur d'ondes pour la physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal, ce dispositif comprenant : - des moyens de réception d'au moins une onde électromagnétique émise par des cellules dudit corps et 30 pouvant être représentative de cellules malades, - des moyens de déplacement automatique ou manuel du dispositif émetteur-récepteur afin que le dispositif soit placé à une distance dudit corps comprise entre cinq et vingt centimètres, 35 - si cette onde correspond à des cellules malades, des moyens de blocage en position du dispositif à ladite distance du corps, ces moyens de blocage étant manuels ou automatiques, et - des moyens de réémission de ladite onde en direction du corps vers les cellules malades.

Selon des caractéristiques additionnelles de la présente invention : - les moyens de réception et de réémission sont réunis sous la forme d'une coupole. - le dispositif présente soit une coupole non 10 hémisphérique présentant une longueur d'environ quinze centimètres, une largeur de dix centimètres et une profondeur en portion médiane de cinq centimètres ou soit une coupole hémisphérique présentant un d'environ douze centimètres et une profondeur 15 médiane de quatre centimètres. - la coupole présente une forme creuse diamètre en portion tournée à l'opposé dudit corps, cette forme creuse formant les moyens de réception et d'émission dudit dispositif. - la forme creuse est un miroir constitué de 20 feuilles d'aluminium optique. - la profondeur du miroir dans sa portion médiane, en retrait de la base de la coupole faisant face audit corps, est égale au tiers de la longueur de la coupole quand la coupole est non hémisphérique ou au tiers du 25 diamètre de la coupole quand la coupole est hémisphérique. - les moyens de déplacement automatique présentent un support par rapport auquel les moyens de réception et de réémission se déplacent en rapprochement ou en 30 éloignement du corps, ces moyens de déplacement automatique comprenant des moyens de blocage en position du dispositif. - le support est un pont roulant à crémaillère. - le dispositif est déplaçable manuellement et 35 présente une poignée sur sa face supérieure maintenue opposée au corps humain ou animal à traiter.

L'invention concerne également un procédé pour la mise en oeuvre d'un tel dispositif, ledit procédé comprenant les étapes suivantes : - réception d'au moins une onde émise par des cellules dudit corps et pouvant être représentative de cellules malades pendant un déplacement automatique ou manuel du dispositif afin de déterminer la distance du dispositif audit corps qui est optimale pour la réception de ladite onde, - si cette onde correspond à des cellules malades, blocage en position manuel ou automatique du dispositif à ladite distance du corps, et - réémission de ladite onde vers le corps à destination des cellules malades.

L'invention va maintenant être décrite plus en détail mais de façon non limitative en regard des figures annexées, dans lesquelles : - la figure 1 est une représentation schématique 20 d'une vue en perspective à partir d'une face latérale d'une coupole selon une première forme de réalisation de l'invention, - la figure 2 est une représentation schématique d'une vue en perspective à partir d'une face 25 longitudinale d'une coupole selon la première forme de réalisation de l'invention, - la figure 3 est une représentation schématique d'une vue du dessous de la coupole selon une première forme de réalisation de l'invention, la coupole ayant été 30 inclinée pour mieux apercevoir son intérieur. En se référant aux figures 1 et 2, il est montré une coupole 1 selon une première forme de réalisation de l'invention. Cette coupole 1 peut être de forme non 35 hémisphérique ou hémisphérique. Aux figures 1 et 2, la coupole 1 est de forme non hémisphérique et présente deux faces latérales 2 qui sont en forme d'un arc de cercle, ces deux faces latérales en forme d'arc de cercle étant jointes par des surfaces longitudinales 3 bombées formant sensiblement un demi-cylindre. Le sommet des surfaces longitudinales 3 forme une surface plane 5 de forme rectangulaire s'étendant du sommet d'une face latérale 2 vers le sommet de l'autre face latérale. Cette coupole 1, formant le corps du dispositif selon la présente invention, peut être mobile 10 manuellement ou automatiquement. Dans le cas d'une coupole 1 mobile manuellement, la surface plane 5 est munie d'une poignée 4 dans sa portion médiane pour la préhension de la coupole 1 par un opérateur. La base de la coupole 1 forme dans ce mode de 15 réalisation une surface de pourtour sensiblement rectangulaire Il est cependant ici souligné que la base de la coupole 1 peut présenter une périphérie circulaire, la coupole 1 étant alors hémisphérique, ce qui est une autre forme de réalisation de l'invention. 20 La figure 3 montre une vue de l'intérieur de la coupole 1. La base de la coupole 1 présente un pourtour rectangulaire 6 tandis que l'intérieur de la coupole est creux. Cet intérieur porte un miroir 7 fait de feuilles d'aluminium optique. Ces feuilles en aluminium optique 25 présentent avantageusement une épaisseur de l'ordre du dixième de millimètre. Les feuilles aluminium sont mates à l'extérieur et grand brillant à l'intérieur. Ce miroir 7 forme le récepteur d'ondes, avantageusement mais pas seulement des ondes 30 électromagnétiques, de même qu'il forme l'émetteur desdites ondes électromagnétiques vers le corps humain ou animal à traiter. La forme du miroir 7 est avantageusement de forme parabolique et contribue à une concentration des ondes pour leur émission vers le corps 35 humain ou animal à traiter. Selon des caractéristiques avantageuses de la présente invention, il a été établi des rapports entre la profondeur du miroir 7, donc de l'intérieur de la coupole 1 par rapport à la longueur de ladite coupole 1. Pour la partie médiane du miroir 7, la profondeur de ladite partie médiane, c'est-à-dire la distance orthogonale de 5 ladite partie médiane par rapport au plan formé par le pourtour rectangulaire 6 de la coupole 1, est avantageusement égale au tiers de la longueur de la coupole 1. Ceci permet une réception et une émission améliorées des ondes en provenance et en direction du 10 corps humain ou animal. Comme précédemment mentionné et illustré aux figures, les coupoles 1 peuvent être non hémisphériques avec avantageusement une base sensiblement rectangulaire. Cependant, Les coupoles peuvent aussi être hémisphériques 15 en présentant une base sensiblement ronde. Pour des coupoles non hémisphériques, pour ordre d'idée et sans que cela soit limitatif, une coupole 1 dite de petite taille, c'est-à-dire une coupole qui peut être manuellement déplacée par un opérateur, peut 20 présenter une longueur d'environ quinze centimètres, une largeur de dix centimètres et une profondeur en portion médiane pour le miroir de cinq centimètres, profondeur qui correspond donc au tiers de la longueur. Il peut être aussi possible de concevoir des 25 coupoles non hémisphériques plus grandes pouvant, par exemple, présenter une longueur d'un mètre vingt, une largeur de soixante dix centimètres et une profondeur en portion médiane pour le miroir de quarante centimètres, le rapport de la profondeur par rapport à la longueur 30 étant toujours égal à 1/3. Pour des coupoles hémisphériques avec une base ronde, pour ordre d'idée et sans que cela soit limitatif, une coupole de petite taille, c'est-à-dire une coupole qui peut être manuellement déplacée par un opérateur, 35 peut présenter un diamètre de douze centimètres avec une profondeur en portion médiane de quatre centimètres, la profondeur correspondant au tiers du diamètre de la coupole. Ainsi, selon la présente invention et en se référant aux figures 1 à 3, le dispositif émetteur-5 récepteur d'ondes pour la physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal comprend des moyens de réception d'au moins une onde émise par des cellules dudit corps et pouvant être représentative de cellules malades. Ces moyens de réception sont constitués 10 par la coupole 1, avantageusement plus précisément par son miroir 7. Le dispositif comprend des moyens de déplacement automatique ou manuel du dispositif émetteur-récepteur afin que le dispositif soit placé à une certaine distance 15 dudit corps, distance qui est optimale pour la réception de ladite onde. Il s'est avéré que cette distance optimale était comprise entre cinq et vingt centimètres dudit corps. Ces moyens peuvent être manuels pour une petite 20 coupole 1 comme précédemment décrit mais aussi peuvent être sous la forme d'un support de la coupole 1 avec possibilité de déplacement de la coupole 1 par rapport à la partie principale de ce support. La coupole 1 est ainsi déplacée jusqu'à une certaine 25 distance du corps humain ou animal, cette distance étant fonction de l'organe du corps humain qui a émis des ondes et sur lequel l'émission des ondes par la coupole 1 doit être faite. Cette distance de travail correspondant à un travail 30 optimal de la coupole est déterminée par expérimentation et peut varier en fonction des ondes émises. En ce qui concerne la distance optimale de maintien du dispositif pour le traitement du corps humain ou animal d'une membrane cellulaire, celle-ci doit vraisemblablement être 35 en relation avec la longueur d'onde des ondes émises par les cellules. Il s'est avéré qu'une distance de travail comprise entre cinq et vingt centimètres dudit corps était optimale. Avantageusement, une distance de cinq centimètres entre le corps du patient et la coupole est préférée. Il est connu qu'un déséquilibre physiologique d'une membrane cellulaire induit un changement significatif des ondes émises par les cellules se traduisant par une tension pouvant être perçue en surface des corps vivants et qui est très spécifique et représentative du déséquilibre.

L'échange d'une cellule d'un corps humain ou animal avec l'extérieur se fait par des ions disposés à l'extérieur de la cellule et isolés de ladite cellule par la membrane plasmique. Une cellule est ainsi polarisée, la face interne de la membrane plasmique étant chargée négativement alors que sa face externe est chargée positivement. La cellule est donc un ensemble oscillant chargé électriquement. Le dispositif selon l'invention comprend ensuite, dans le cas où les ondes émises correspondent à des cellules malades, des moyens de blocage en position du dispositif à ladite distance du corps, ces moyens de blocage étant manuels ou automatiques. Ces moyens de blocage peuvent résider en un maintien manuel, le cas échéant assisté afin que la main de l'opérateur ne bouge pas pendant la durée du traitement, par exemple par un support pour le bras de l'opérateur. Il peut aussi être utilisé un trépied ou un élément équivalent pour maintenir la coupole à distance optimale dudit corps, auquel cas un maintien de la coupole par l'opérateur n'est plus nécessaire. Ces moyens de blocage peuvent être aussi automatiques en bloquant la coupole 1 portée par le support précédemment avec liberté de déplacement par rapport à une partie principale dudit support en annihilant cette liberté. Le dispositif comprend enfin des moyens de réémission de ladite onde en direction du corps vers les cellules malades. Ces moyens de réémission sont formés par le miroir 7 de la coupole 1, miroir 7 dont la forme et/ou la constitution permettent de concentrer les ondes reçues du corps, avantageusement en les focalisant et de les réémettre vers le corps. Le fait de renvoyer les ondes émises par les cellules vers les cellules malades permet aux dites cellules d'entrer en résonance et de réactiver ainsi leurs fonctions altérées.

Le rééquilibrage cellulaire obtenu par le traitement selon le dispositif conforme à la présente invention est quantifiable. Il peut être mesuré par des examens médicaux pratiqués après traitement, attestant des changements physiologiques obtenus. Son efficacité est donc aisément vérifiable comme le sont, dans un autre domaine, les traitements par rayonnement ou irradiation utilisés médicalement, dont l'effet peut être constaté par des analyses médicales pratiqués après traitement sans toutefois présenter la dangerosité des traitements rayonnement ou par irradiation. Ainsi on peut par expériences et vérifications, déterminer la distance de travail optimale du dispositif par rapport au corps humain ou animal à traiter et le temps de traitement optimale.

L'invention n'est nullement limitée au mode de réalisation décrit et illustré qui n'a été donné qu'à titre d'exemple.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS1. Dispositif émetteur-récepteur d'ondes pour la 5 physiopathologie de cellules malades dans un corps humain ou animal, ce dispositif comprenant : - des moyens de réception (1, 7) d'au moins une onde électromagnétique émise par des cellules dudit corps et pouvant être représentative de cellules malades, 10 - des moyens de déplacement automatique ou manuel du dispositif émetteur-récepteur afin que le dispositif soit placé à une distance dudit corps comprise entre cinq et vingt centimètres, - si cette onde correspond à des cellules malades, 15 des moyens de blocage en position du dispositif à ladite distance du corps, ces moyens de blocage étant manuels ou automatiques, et - des moyens de réémission (1, 7) de ladite onde en direction du corps vers les cellules malades. 20
2. 2. Dispositif selon la revendication précédente, pour lequel les moyens de réception et de réémission sont réunis sous la forme d'une coupole (1). 25
3. 3. Dispositif selon la revendication précédente, lequel présente une coupole (1) non hémisphérique présentant une longueur d'environ quinze centimètres, une largeur de dix centimètres et une profondeur en portion médiane de cinq centimètres. 30
4. 4. Dispositif selon la revendication 2, lequel présente une coupole (1) hémisphérique présentant un diamètre d'environ douze centimètres et une profondeur en portion médiane de quatre centimètres. 35
5. 5. Dispositif selon l'une des trois revendications précédentes, pour lequel la coupole (1) présente uneforme creuse tournée à l'opposé dudit corps, cette forme creuse formant les moyens de réception et d'émission dudit dispositif.
6. 6. Dispositif selon la revendication précédente, pour lequel la forme creuse est un miroir (7) constitué de feuilles d'aluminium optique.
7. 7. Dispositif selon la revendication précédente, 10 pour lequel la profondeur du miroir (7) dans sa portion médiane, en retrait de la base de la coupole (1) faisant face audit corps, est égale au tiers de la longueur de la coupole (1) quand la coupole (1) est non hémisphérique ou au tiers du diamètre de la coupole (1) quand la coupole 15 (1) est hémisphérique.
8. 8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, pour lequel les moyens de déplacement automatique présentent un support par rapport 20 auquel les moyens de réception et de réémission se déplacent en rapprochement ou en éloignement du corps, ces moyens de déplacement automatique comprenant des moyens de blocage en position du dispositif. 25
9. 9. Dispositif selon la revendication précédente, pour lequel le support est un pont roulant à crémaillère.
10. 10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, lequel dispositif est déplaçable 30 manuellement et présente une poignée (4) sur sa face supérieure maintenue opposée au corps humain ou animal à traiter. 35