La présente invention concerne une nouvelle façon d'attacher sa ceinture autour d'un kimono. L'invention s'adapte à tous les types d'arts martiaux possédant un kimono et dont la fermeture de celui-ci se fait par le biais d'une ceinture révélant le grade de la 5 personne. L'invention vise donc à faciliter la façon d'attacher sa ceinture autour de son kimono, la rendant ainsi indé-faisable pendant les exercices jusqu'à l'apprentissage du noeud qui, souvent complexe, est appris vers l'âge de 7 ans. Aujourd'hui, de plus en plus d'association sportive (arts martiaux) font découvrir 10 leur sport aux enfants à partir de 3 ans. A cet âge, l'enfant est en phase d'apprentissage intellectuelle, mais aussi moteur : finalement beaucoup de choses pour ces petits. Souvent lorsque les enfants arrivent dans une salle d'arts martiaux appelée « DOJO », ils ne connaissent rien des traditions de ces sports ou très peu (par le 15 biais de la pratique de papa ou de maman). Tous les pratiquants se doivent d'avoir un kimono et une ceinture ! Mettre un kimono, composé d'un pantalon et une veste, reste à la portée de tout le monde. Quant à la ceinture, la complexité du noeud (cf. : annexe 1 et 2), rend un enfant de 3 ans et plus incapable de nouer cette dernière. Parfois même les 20 parents n'y arrivent pas. Souvent dans les cours, les enfants se présentent avec des noeuds et des pans de ceintures de longueurs et grosseurs différents, laissant déjà percevoir qu'ils ne tiendront pas longtemps (cf. : annexe 3) Avant chaque début de cours, le professeur, appelé aussi « Maitre », ainsi que les bénévoles des associations perdent un temps fou à expliquer tour à tour aux parents comment faire le noeud de ceinture. C'est uniquement lorsque tout le monde se retrouve avec un kimono et une s ceinture nouée de la même façon, comme le veut la tradition dans les arts martiaux, que l'on peut commencer le cours par le traditionnel « salut ». Une fois le cours commencé, sur la surface d'entrainement « TATAMIS », ces enfants se retrouvent seuls avec le « Maitre », et surtout éloignés de leurs parents. Que se passe-t-il au bout de 5mn d'échauffement ? Le noeud de ceinture so se dénoue et la ceinture tombe au sol. Le « maitre » ou son assistant (s'il en a un) doit refaire le noeud. Cela se reproduit si souvent, qu'il passe énormément de temps à interrompre son cours pour refaire des noeuds de ceinture. Les enfants ne pouvant pas quitter le « TATAMIS » pour aller voir papa, maman...( question de sécurité, hygiène, et politesse ) 15 A quoi servent ces ceintures ? En tout premier lieu à tenir le kimono, mais aussi à indiquer le niveau de pratique de la personne. Suivant les disciplines les couleurs changent. Comment sont décernées les ceintures ? Pour tout débutant et quelque soit la discipline, l'enfant commence par une ceinture blanche (hormis pour la 20 discipline : le Yoseikan). Au fil de sa progression et sa faculté d'apprentissage, il peut prétendre à changer de grade (ou de ceinture) en passant un test. Les ceintures sont présentées sous forme de rouleaux de couleurs de 50m. Le « Maitre » ou ses assistants coupent des bouts de ceinture en prenant à tour de rôle la taille de chaque enfant, d'où une perte de temps importante. Il existe aussi des ceintures déjà coupées, et qui sont presque de taille unique. Les inconvénients de ces ceintures sont qu'elles sont plus onéreuses, la taille des enfants étant tellement différente que l'on retrouve des pans de longueurs variables, ce qui va à l'encontre de l'harmonie souhaitée dans les dojos (cf. : s annexe 3 photos 5 et 6). L'invention susnommée a pour but de simplifier tout ça. Avec sa bande auto-agrippante (A) , son noeud (B) déjà fait et ses pans (C) cousus sur la ceinture (D) . On entend par bande auto-agrippante deux bandes qui lorsqu'elles sont en contact l'une avec l'autre deviennent difficilement désolidarisables, une des deux so bandes s'appelle la « boucle » (Al) qui est une bande plus ou moins douce et l'autre s'appelle le « crochet » (A2) qui est un peu plus dure. Les pans sont les deux bouts de ceinture pendant des deux cotés du noeud. Un enfant se retrouve capable de l'attacher autour de sa taille même dès l'âge de 3 ans, le noeud de ceinture étant déjà fait suivant la tradition et cousu avec ses 15 pans de façon à ne plus se défaire, c'est une étape en moins à faire pour l'enfant, mais également pour le professeur. L'invention permet également d'avoir une ceinture à taille unique, car réglable avec sa longueur de bande auto agrippante, cousu sur le coté de la ceinture. Pour finir, l'invention permet également de respecter les traditions des arts martiaux, avec le noeud de ceinture identique, 20 des pans de ceinture tous de même longueur. L'autre astuce est d'écrire ou de faire broder le nom de l'enfant à l'arrière de la ceinture, car il n'y a plus de croisement de ceinture au dos. (cf. : annexe 3 photos 7 et 8) L'objectif principal de l'invention est donc de proposer un système d'ouverture et de fermeture de la ceinture (grâce aux bandes auto-agrippantes Al et A2 cousues sur la ceinture D), la rendant plus facilement utilisable, même par un enfant de 3 ans : gain d'autonomie. The present invention relates to a new way of fastening one's belt around a kimono. The invention is suitable for all types of martial arts having a kimono and the closure of which is done through a belt revealing the rank of the person. The invention therefore aims to facilitate the way of fastening his belt around his kimono, thus making it indefeasible during the exercises until learning the node which, often complex, is learned around the age of 7 years . Today, more and more sports associations (martial arts) show 10 their sport to children from 3 years. At this age, the child is in the process of intellectual learning, but also motor: finally many things for these little ones. Often when children arrive in a martial arts hall called "DOJO", they know nothing of the traditions of these sports or very little (through the practice of dad or mom). All practitioners must have a kimono and a belt! Put a kimono, consisting of pants and a jacket, remains within the reach of everyone. As for the belt, the complexity of the knot (see Appendix 1 and 2), makes a child of 3 years and more unable to tie it. Sometimes even 20 parents can not do it. Often in class, children present themselves with knots and belts of different lengths and sizes, already letting them know that they will not last long (see Appendix 3) Before each lesson begins, the teacher, called also "Master", as well as the volunteers of the associations lose a lot of time explaining in turn to the parents how to make the belt knot. It is only when everyone is left with a kimono and a belt tied in the same way, as tradition in the martial arts wants, that we can begin the course with the traditional "salvation". Once the course started, on the training surface "TATAMIS", these children find themselves alone with the "Master", and especially away from their parents. What happens after 5 minutes of warm up? The belt knot is loosened and the belt falls to the ground. The "master" or his assistant (if he has one) must redo the knot. This happens so often, that he spends a lot of time interrupting his course to redo belt knots. Children can not leave the "TATAMIS" to go see dad, mom ... (security question, hygiene, and politeness) 15 What are these belts used for? First and foremost to hold the kimono, but also to indicate the level of practice of the person. Depending on the disciplines, the colors change. How are the belts awarded? For beginners and whatever the discipline, the child begins with a white belt (except for the discipline: the Yoseikan). As he progresses and learns, he can pretend to change his rank (or belt) by taking a test. The belts are presented in the form of rolls of 50m colors. The "Master" or his assistants cut waist ends by taking each child's waist in turn, resulting in a significant loss of time. There are also already cut belts, which are almost one size fits all. The disadvantages of these belts are that they are more expensive, the size of the children being so different that one finds sections of variable lengths, which goes against the desired harmony in the dojos (cf: s Annex 3 photos 5 and 6). The purpose of the above-mentioned invention is to simplify all that. With its self-gripping band (A), its knot (B) already made and its sides (C) sewn on the belt (D). Velcro tape means two bands that when in contact with each other become difficult to disconnect, one of the two so-called bands is called the "loop" (Al) which is a band more or less soft and the other is called the "hook" (A2) which is a bit harder. The sides are the two ends of the belt on both sides of the knot. A child finds himself able to tie around his waist even at the age of 3 years, the knot of the belt being already made according to tradition and sewn with its 15 sides so as not to be undone, it is a step in less to do for the child, but also for the teacher. The invention also allows to have a single size belt, because adjustable with its self gripping tape length, sewn on the side of the belt. Finally, the invention also makes it possible to respect the traditions of the martial arts, with the identical belt knot, belt sections all of the same length. The other trick is to write or have the name of the child embroidered on the back of the belt, because there is no longer a belt cross on the back. The main objective of the invention is therefore to propose a system for opening and closing the belt (thanks to the self-gripping strips A1 and A2 sewn on the belt D). , making it easier to use, even by a child of 3 years: gain of autonomy.
Le deuxième objectif de l'invention est de proposer un noeud de ceinture (B) déjà fait, qui ne se défait pas, tout en respectant l'éthique des arts martiaux (la façon de nouer le noeud), permettant ainsi une harmonie identique : même noeud, même longueur de pans ... Le troisième objectif de l'invention est de proposer également une ceinture (D) réglable en taille (grâce aux longueurs de bandes auto-agrippantes cousues sur la ceinture), tout en respectant la sécurité des pratiquants (pas d'objets métalliques, plastiques durs ...). Le dernier objectif de l'invention est de pouvoir marquer le nom ou prénom des enfants sur une surface plane à l'aide d'un marqueur ou d'une brodeuse, à 15 l'arrière de la ceinture, difficile à réaliser jusque maintenant. The second objective of the invention is to propose a belt knot (B) already made, which does not undo, while respecting the ethics of the martial arts (the way to tie the knot), thus allowing an identical harmony: same node, same length of pieces ... The third objective of the invention is to also propose a belt (D) adjustable in size (thanks to the lengths of self-gripping strips sewn on the belt), while respecting the safety of practicing (no metal objects, hard plastics ...). The last object of the invention is to be able to mark the name or surname of the children on a flat surface using a marker or an embroiderer, at the back of the belt, difficult to achieve until now.
Dans un aspect principal l'invention propose une ceinture (D) déjà nouée dont le noeud (B) est fait en respectant la tradition et cousu sur la ceinture avec les pans (C), le rendant impossible à désolidariser, ainsi qu'un système de réglage de la 20 ceinture par bande auto agrippante (Al et A2) cousu la rendant facile à enlever et à mettre même pour des enfants. In a main aspect the invention proposes a belt (D) already knotted, the knot (B) is made in accordance with tradition and sewn on the belt with the sides (C), making it impossible to dissociate, and a system The belt adjusts by hook and loop fastening (Al and A2) making it easy to remove and even put on for children.
L'invention sera mieux comprise à la lecture des figures annexées : - La figure 1 de la page 1/4 représente la vue de la ceinture (D) de face et non attachée - La figure 2 de la page 1/4 représente la vue de la ceinture (D) de dos et non 5 attachée - La figure 3 de la page 2/4 représente les pans (C) et le noeud (B) cousus - La figure 4 de la page 2/4 représente les bouts de pans (C) qui pourront être cousus Le procédé de fabrication commence par la découpe de longueur de ceinture 10 dans les rouleaux de 50 ou 100m (Cf.: page 3/4 figure 5). Nous obtenons des bouts de ceintures de même longueur (Cf.: page 3/4 figure 6). Ensuite nous procédons à la fabrication du noeud (Cf.: page 3/4 figure 7). Nous coupons la ceinture à l'endroit prévu pour le réglage des tailles (Cf. page 4/4 figure 8 et 9). Par la suite, nous cousons la partie de la bande auto agrippante coté boucle (Al) 15 sur la face de la ceinture (Cf. : page 1/4 figure 1), puis la partie crochet (A2) sur la partie de la ceinture prévu à cet effet (Cf.: page 1/4 figure 2). Nous cousons ensuite les pans de ceintures sur celle-ci à coté du noeud, de façon à avoir un noeud qui ne se défait plus (Cf.: page 2/4 figure 3). Enfin nous replions les bouts de pans de la ceinture par un point de couture pour éviter toute détérioration de 20 celle-ci suivant la matière de celle-ci (Cf. : page 2/4 figure 4). Nous obtenons ainsi, une ceinture avec un noeud qui ne se désolidarise plus, réglable et facile à mettre, grâce à la bande auto agrippante (Cf. : annexe 4 photo 13) cousue, qui respecte les traditions des arts martiaux (Cf. : annexe 4 photos 9, 10, 11, 12). 10 1510 The invention will be better understood on reading the appended figures: - Figure 1 on page 1/4 shows the view of the belt (D) from the front and not attached - Figure 2 of the page 1/4 represents the view of the belt (D) back and not attached - Figure 3 on page 2/4 shows the sides (C) and the knot (B) sewn - Figure 4 on page 2/4 shows the ends of the pieces (C) which can be sewn The manufacturing process begins with the cutting of belt length 10 in rolls of 50 or 100m (see page 3/4 figure 5). We obtain ends of belts of the same length (see page 3/4 figure 6). Then we proceed to the manufacture of the knot (see page 3/4 figure 7). We cut the belt at the place intended for adjusting the sizes (see page 4/4, figure 8 and 9). Subsequently, we sew the part of the hook-and-loop tape side (Al) 15 on the face of the belt (see: page 1/4 figure 1), then the hook part (A2) on the part of the belt provided for this purpose (see page 1/4 figure 2). We then sew belts on it next to the knot so that we have a knot that does not break anymore (see page 2/4 figure 3). Finally we fold the ends of the belt sections by a stitch to avoid any deterioration thereof according to the material thereof (see: page 2/4 figure 4). Thus, we obtain a belt with a knot that no longer separates, adjustable and easy to put on, thanks to the self-gripping tape (Cf .: Annex 4 photo 13) sewn, which respects the traditions of the martial arts (see: appendix 4 photos 9, 10, 11, 12). 10 1510