FR2939597A1 - Dispositif d'eclairage public muni de moyens de controle. - Google Patents

Dispositif d'eclairage public muni de moyens de controle. Download PDF

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Abstract

La présente invention concerne un dispositif (1) d'éclairage public comprenant des moyens d'éclairage (3), des moyens de commutation (5) de moyens d'éclairage permettant un éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, et des moyens de contrôle (10) pilotant les moyens de commutation pour alimenter les moyens d'éclairage au moyen de paliers de puissance, caractérisé en ce qu'il comprend également des moyens d'établissement d'un diagnostic (20) de fonctionnement et de mémorisation in situ des paramètres résultant de ce diagnostic.

Description

DOMAINE TECHNIQUE GENERAL
L'invention concerne les dispositifs d'éclairage public munis de moyens de contrôle. ETAT DE L'ART
Les éclairages publics présentent des dispositifs de contrôle permettant un éclairage d'intensité différente au cours d'une nuit. 10 Des dispositifs de régulation de l'éclairage existent, comme décrit par exemple dans le document FR 0214866. Ce dispositif consiste en un ballast électronique équipé d'un variateur réduisant la puissance nominale par paliers (100, 75 et 50%). Il permet 15 une modulation de l'éclairage urbain en trois niveaux (plein régime, 2 tiers ou 1 tiers) et une gestion générale de la consommation électrique. Dans ce dispositif, on réalise une programmation des puissances par tranches horaires au moyen d'un système de gestion centralisée ou au moyen d'un module préprogrammé couplé directement au ballast. 20 Quatre types de programmation sont disponibles : pour activité nocturne faible (zones industrielles, commerciales ou résidentielles), moyenne (centres villes), forte (grands axes urbains) ou discontinue (illuminations architecturales). Ce dispositif permet une adaptation automatique de l'éclairage selon la 25 durée de la nuit dans le lieu considéré.
Les systèmes d'éclairage public conformes à ceux proposés dans le document FR 0214866 intègrent des procédés de commande permettant de commuter, à des instants déterminés, les moyens d'éclairage grâce à 30 des moyens de commutation vers un mode d'éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, selon lequel on détermine la durée de la nuit courante à partir de la durée d'au moins une nuit précédente, où l'on détermine, à partir de la durée de la au moins une nuit 15 précédente, l'heure de début de nuit théorique de la nuit courante, heure de début de nuit théorique à partir de laquelle sont repérés les instants de commutation. Dans ces moyens d'éclairage public, la durée de la nuit courante est calculée en faisant la moyenne arithmétique de la durée des deux nuits précédentes. Les durées des nuits correspondent à la durée d'alimentation des moyens d'éclairage, tout en prenant en compte les interruptions d'alimentation des moyens d'éclairage au moyen d'un algorithme de décision. Le système ne conserve toutefois pas de traçabilité de ces évènements. L'heure de début de nuit théorique est déterminée au moyen d'une équation affine de type début = -m * durée + p où m et p sont respectivement les coefficients directeurs et ordonnée à l'origine de l'équation affine. L'heure de début de nuit théorique est exprimée en minutes, à partir de l'heure 14h00, fixée arbitrairement.
Par ailleurs, on remarque dans ce document les rôles spécifiques des deux microprocesseurs de contrôle ; un premier microcontrôleur dépourvu de mémoire de stockage assure la régulation en puissance de la lampe, tandis qu'un second microcontrôleur assure la gestion des paliers de puissance.
Les paliers proposés par ce système sont, de par la structure de ce système, limités à des paliers par 25% d'éclairage, et ne permettent donc pas une grande précision au niveau des pas de variation d'éclairage fournie par le système. En effet, la commande est transmise via deux ports, ayant des valeurs binaires. Seules quatre valeurs sont donc possibles ; on choisit ici les valeurs 100%, 75%, 50% et 0% (arrêt).
Ces systèmes, bien que performants, n'ont pas connu d'évolution récente, et peuvent être améliorés.
La demanderesse a en effet constaté que la gestion proposée dans le document FR 0214866 de certains incidents pouvant avoir un impact sur un dispositif d'éclairage public ne donne pas toujours satisfaction. PRESENTATION DE L'INVENTION
La présente invention propose une amélioration de ces systèmes.
10 Un avantage de l'invention est de fournir un dispositif et un procédé permettant la facilitation de la maintenance des moyens d'éclairage public.
Un avantage de l'invention est de fournir un dispositif et un procédé 15 permettant d'améliorer le mode d'éclairage réduit du moyen d'éclairage.
L'invention propose donc un dispositif d'éclairage public comprenant des moyens d'éclairage, des moyens de commutation de moyens d'éclairage permettant un éclairage d'intensité différente pendant une nuit 20 courante, et des moyens de contrôle pilotant les moyens de commutation pour alimenter les moyens d'éclairage au moyen de paliers de puissance, caractérisé en ce qu'il comprend également des moyens d'établissement d'un diagnostic de fonctionnement et de mémorisation in situ des paramètres résultant de ce diagnostic. 25 Les moyens de contrôle du dispositif d'éclairage public selon l'invention incluent un ballast électronique, un variateur réduisant la puissance nominale d'alimentation des moyens d'éclairage par paliers, une mémoire de stockage, par exemple une mémoire non volatile du type 30 mémoire morte effaçable et programmable électriquement, ou Electrically Erasable Programmable Read Only Memory appelée EEPROM selon la terminologie anglo-saxonne généralement utilisée par5 l'homme du métier, et des moyens d'établissement d'un diagnostic de fonctionnement.
Le diagnostic de fonctionnement est établi en fonction des différentes 5 erreurs de fonctionnement que rencontre le système.
Les systèmes d'éclairage public sont susceptibles d'être confrontés à de nombreux types d'erreurs de fonctionnement, que ce soit en raison du milieu ou des composants desdits systèmes. 10 On peut remarquer comme erreurs de fonctionnement : • Le court circuit ;(coté lampe) • Le moyen d'éclairage hors service, par exemple lampe devant être remplacée ; • Le défaut d'amorçage de la lampe; 15 • L'arrêt après un fonctionnement à une température élevée, en raison du risque qu'un tel fonctionnement présente pour le dispositif; • Le fonctionnement en mode réduit non souhaité ; • Les surtensions, sous tensions, et défauts de terre. 20 Selon un mode de réalisation particulier de l'invention, les moyens de contrôle comprennent deux microcontrôleurs ; un premier microcontrôleur assurant le rôle de gestion du ballast électronique, et un second microcontrôleur assurant la régulation de la puissance de 25 l'éclairage.
Selon un mode de réalisation particulier de l'invention, le premier microcontrôleur intègre les moyens d'établissement d'un diagnostic de fonctionnement. Dans ce mode de réalisation, seul le second microcontrôleur est muni de mémoire de stockage, par exemple de type EEPROM. Les informations stockées le sont donc dans la mémoire de stockage du second 30 microcontrôleur, tandis que l'établissement du diagnostic est effectué par le premier microcontrôleur. Cette architecture comprenant deux microcontrôleurs implique donc l'établissement d'une communication entre les deux microcontrôleurs.
Cette communication se doit de satisfaire aux contraintes découlant desdits microcontrôleurs ; en particulier le nombre de ports disponibles qui est égal à 2. Un avantage de l'invention est l'établissement d'un protocole de communication spécifique.
Selon un mode de réalisation, ledit second microcontrôleur mémorise au moins un octet correspondant à un paramètre du dispositif parmi les paramètres suivants : - tension aux bornes des moyens d'éclairage, - courant traversant lesdits moyens d'éclairage, - température de fonctionnement du dispositif, - l'écart théorique entre une heure de référence et l'heure d'allumage du dispositif.
Selon un mode de réalisation de l'invention, ledit second microcontrôleur communique avec ledit premier microcontrôleur et envoie des consignes concernant les paliers de puissance audit premier microcontrôleur.
Dans ce mode de réalisation, la consigne concernant les paliers de puissance envoyée par le second microcontrôleur au premier microcontrôleur est envoyée sous la forme d'un octet.
Dans les modes de réalisation de l'invention incluant une communication entre les deux microcontrôleurs, ladite communication entre lesdits deux microcontrôleurs est établie via deux ports selon le procédé comprenant les étapes de : - signalisation par le second microcontrôleur au premier microcontrôleur qu'il est prêt à communiquer, - réponse du premier microcontrôleur au second microcontrôleur comme quoi il attend la communication du second microcontrôleur, - envoi de données par le second microcontrôleur au premier microcontrôleur, le second microcontrôleur envoyant deux octets identiques via les deux liaisons reliant les deux ports de chaque microcontrôleur, - vérification des données reçues par le premier microcontrôleur, et décodage desdites données, - signalisation par le premier microcontrôleur au second microcontrôleur qu'il est prêt à communiquer, - réponse du second microcontrôleur au premier microcontrôleur comme quoi il attend la communication du premier microcontrôleur, - envoi de données par le premier microcontrôleur au second microcontrôleur via les deux liaisons.
Le mode de réalisation dans lequel les moyens de contrôle comprennent deux microcontrôleurs présente également d'autres avantages.
On peut ainsi réaliser un des microcontrôleurs sous la forme d'un composant débrochable depuis l'extérieur du boitier où sont logés les autres composants. Cela présente des avantages en termes de maintenance et d'évolution ; il est alors possible de ne changer que l'un des microcontrôleurs sans avoir à remplacer tout le dispositif de contrôle, par exemple dans le cadre d'une mise à jour ou d'une évolution. Cela permet par ailleurs le retrait du composant spécifique, par exemple le microcontrôleur qui comprend la mémoire de stockage, pour l'analyse desdites données, dans l'optique de l'établissement d'un diagnostic de fonctionnement du système.
Selon un mode de réalisation de l'invention, le second microcontrôleur est réalisé sous la forme d'un composant débrochable.
PRESENTATION DES FIGURES
D'autres caractéristiques, buts et avantages de l'invention ressortiront de la description qui suit, qui est purement illustrative et non limitative, et qui doit être lue en regard des dessins annexés, sur lesquels : La figure 1 présente l'architecture générale du dispositif d'éclairage public selon l'invention. La figure 2 présente un mode de réalisation conforme à l'invention dans lequel les moyens de contrôle comprennent deux microcontrôleurs.
Les figures 3 à 13 présentent les étapes du protocole de communication entre les deux microcontrôleurs selon l'invention. La figure 14 présente un exemple de réalisation conforme à l'invention de la mémoire de stockage du second microcontrôleur.
DESCRIPTION DETAILLEE
La figure 1 présente l'architecture générale du dispositif d'éclairage public. Le dispositif d'éclairage public 1 comprend des moyens d'éclairage 3, des moyens de commutation 5 agissant sur les moyens d'éclairage 3, des moyens de contrôle 10 agissant sur les moyens de commutation 5 et liés aux moyens d'éclairage 3, et des moyens de diagnostic 20 permettant l'établissement d'un diagnostic de fonctionnement du dispositif. Ces moyens de diagnostic 20 sont liés aux moyens d'éclairage 3, aux moyens de commutation 5 et aux moyens de contrôle 10, ce qui est nécessaire afin de pouvoir établir un diagnostic. Les moyens de diagnostic 20 peuvent être intégrés aux moyens de contrôle 10.
La figure 2 présente un mode de réalisation dans lequel les moyens de contrôle comprennent deux microcontrôleurs. On retrouve l'architecture présentée en figure 1, à savoir le dispositif d'éclairage public 1 comprenant des moyens d'éclairage 3, des moyens 7 de commutation 5 agissant sur les moyens d'éclairage 3, des moyens de contrôle 10 agissant sur les moyens de commutation 5 et liés aux moyens d'éclairage 3, et des moyens de diagnostic 20 permettant l'établissement d'un diagnostic de fonctionnement du dispositif. Les moyens de diagnostic 20 sont liés aux moyens d'éclairage 3, aux moyens de commutation 5 et aux moyens de contrôle 10, permettant ainsi l'établissement d'un diagnostic. Les moyens de contrôle 10 comprennent ici deux microcontrôleurs 110 et 120. Le premier microcontrôleur (110) joue le rôle de ballast électronique, tandis que le second microcontrôleur (120) joue le rôle de régulation de puissance de l'éclairage Le premier microcontrôleur 110 intègre les moyens de diagnostic, et est donc lié aux moyens d'éclairage 3 et aux moyens de commutation 5. Le premier microcontrôleur 110 et le second microcontrôleur 120 sont reliés entre eux et peuvent ainsi communiquer. La communication entre les deux microcontrôleurs se fait selon le protocole décrit par les figures 3 à 13.
Le diagnostic est effectué grâce à des mesures de valeurs permettant de déterminer l'état du dispositif. On peut citer comme exemples de valeurs la tension, le courant, la température de fonctionnement, les erreurs relevées, la durée et les heures d'utilisation. Ces valeurs sont, dans l'exemple de réalisation décrit par la suite, sauvegardées deux fois par nuit ; au bout de 30 minutes de fonctionnement, puis au bout de 4 heures de fonctionnement. La durée d'un nombre déterminé de nuits, par exemple les 5 dernières nuits, la durée totale de fonctionnement, le nombre de cycles d'écriture sur la mémoire de stockage, la nuit théorique, le nombre de mises sous tension d'une durée inférieure et supérieure à une valeur fixée, par exemple 60 secondes, et le nombre d'interruptions d'alimentation du second microcontrôleur 120 sont sauvegardées sur la mémoire de stockage, comme illustré par la figure 14.
Les figures 3 à 13 présentent les étapes du protocole de communication entre les deux microcontrôleurs 110 et 120. On a représenté sur ces figures le premier microcontrôleur 110, le second microcontrôleur 120, et leurs deux ports de communication ; à savoir les ports de synchronisation 113 et 123, et les ports de données 114 et 124, respectivement pour le premier microcontrôleur 110 et pour le second microcontrôleur 120, ainsi que la liaison de synchronisation 130 reliant les ports de synchronisation 113 et 123, et la liaison de données 140 reliant les ports de données 114 et 124. Les ports de synchronisation 113 et 123, et les ports de données 114 et 124 peuvent être dans deux états ; un état haut et un état bas. Un port à l'état haut signifie qu'il envoie ou réceptionne des données. Un port à l'état bas signifie qu'il n'y a ni envoi ni réception de données à ce moment.
La liaison de synchronisation 130 permet de synchroniser les deux microcontrôleurs 110 et 120 même si leurs horloges internes ne sont pas synchronisées. Le premier microcontrôleur 110 doit agir sur les moyens d'éclairage 3 via les moyens de commutation 5, et cette action ne doit pas être perturbée par la communication entre les deux microcontrôleurs 110 et 120. En effet, les protocoles de communication connus sont trop lents et entraveraient cette action, ou engendrent des modifications matérielles conséquentes sur les microcontrôleurs 110 et 120. La communication répond donc à des contraintes dépendant de la fréquence de pilotage des moyens de commutation 5 par le microcontrôleur 110, et propose un protocole de communication rapide n'entrainant pas de complexification du système, et s'adaptant aux fréquences des microcontrôleurs 110 et 120.
La figure 3 représente les deux microcontrôleurs 110 et 120 dans l'état où ils ne communiquent pas. Les ports de synchronisation 113 et 123, et de données 114 et 124 des deux microcontrôleurs sont à l'état bas.
La figure 4 représente l'état dans lequel le second microcontrôleur 120 veut communiquer ; il met donc son port de synchronisation 123 à l'état haut pour signaler au premier microcontrôleur 110 qu'il est prêt à communiquer. La figure 5 représente l'état du système lorsque le premier microcontrôleur 110 a répondu au signal du second microcontrôleur 120, en mettant son port de synchronisation 113 à l'état haut pour lui signaler qu'il est également prêt à communiquer. 10 La figure 6 représente l'état du système une fois que le second microcontrôleur 120 a pris en compte la disponibilité du premier microcontrôleur 110, le second microcontrôleur met donc son port de synchronisation 123 à l'état bas pour signaler au premier 15 microcontrôleur 110 que sa disponibilité est prise en compte. Le premier microcontrôleur 110 met également son port de synchronisation 113 à l'état bas.
La figure 7 représente l'étape suivante du protocole de communication ; 20 le premier microcontrôleur 110 met son port de données 114 à l'état bas, et le premier microcontrôleur 110 configure son port de données 114 pour qu'il soit en entrée afin de récupérer les données, tandis que le second microcontrôleur 120 configure son port de données 124 pour qu'il soit en sortie. 25 La figure 8 représente l'étape suivante du protocole de communication ; le second microcontrôleur 120 envoie deux octets identiques au premier microcontrôleur 110 via les liaisons 130 et 140, le second microcontrôleur 120 change l'état du port de communication 124 à 30 chaque fois qu'un nouveau bit est envoyé. Lors de l'envoi de données, les ports 113, 114, 123 et 124 sont à l'état haut. L'envoi de deux octets identiques permet de synchroniser la communication. Le premier microcontrôleur 110 effectue une vérification5 d'erreurs ; s'il reçoit deux octets différents, c'est qu'il y a eu une erreur de transmission.
La figure 9 représente l'étape suivante du protocole de communication.
Durant cette étape, le premier microcontrôleur 110 décode le message envoyé par le second microcontrôleur 120, et configure son port de données 114 pour qu'il soit en sortie, tandis que le second microcontrôleur 120 configure son port de données 124 pour qu'il soit en entrée.
La figure 10 représente l'étape suivante du protocole de communication. Une fois le message décodé, le port de données 114 du premier microcontrôleur 110 est mis à l'état haut pour signaler au second microcontrôleur 120 que le premier microcontrôleur 110 est prêt à lui répondre. Il n'y a pas d'envoi de données, les ports sont à l'état bas.
La figure 11 représente l'étape suivante du protocole de communication. Le second microcontrôleur 120 met alors son port de synchronisation 123 à l'état haut, afin que le premier microcontrôleur 110 envoie les données. Le port de synchronisation 123 change d'état après chaque bit de données envoyé, et le premier microcontrôleur 110 attend un changement d'état du port de synchronisation 123 pour envoyer le bit de données suivant. Lors de l'envoi de données, les ports 113, 114, 123 et 124 sont à l'état haut.
Dans le cas où il y a eu une erreur de transmission, c'est-à-dire si les deux octets reçus par le premier microcontrôleur 110 sont différents, le message envoyé par le premier microcontrôleur 110 au second microcontrôleur 120 est un message. Le second microcontrôleur 120 effectuera alors une nouvelle transmission des données lors de la prochaine demande du premier microcontrôleur 110.
La figure 12 représente l'étape suivante du protocole de communication, une fois le premier bit de données reçu, le second microcontrôleur 120 change l'état de son port de synchronisation 123, et le met à l'état bas. Il n'y a pas d'envoi de données, les ports sont à l'état bas.
La figure 13 représente l'étape suivante du protocole de communication, le second microcontrôleur 120 change l'état de son port de synchronisation 123 et le met à l'état haut, en réponse à quoi le premier microcontrôleur 110 envoie le bit de données suivant.
La réponse est constituée de deux parties : un demi-octet (4 bits) de vérification, qui indique au second microcontrôleur la nature de l'information, et l'octet de réponse, qui diffère en fonction de la demande au second microcontrôleur.
Ce protocole de communication permet la régulation de l'éclairage par paliers de 5%, contrairement à l'art antérieur où la réduction ne pouvait s'effectuer que par paliers de 25%. Dans l'art antérieur, la commande s'effectuait au moyen des valeurs logiques de deux contacts, chacun des contacts pouvant prendre la valeur 0 ou 1, on avait donc quatre possibilités de valeurs pour la régulation.
L'invention permet une régulation plus fine, les valeurs de régulation étant transmises avec les bits de données sur un octet ne sont pas limitées à quatre valeurs, ce qui permet une régulation par paliers plus petits ; par exemple par paliers de 5%. Ce protocole permet également au second microcontrôleur 120 de récupérer des données sur le fonctionnement du premier microcontrôleur 110.
La figure 14 présente un exemple de réalisation de la mémoire de stockage du second microcontrôleur 120, par exemple une mémoire 2000 de type EEPROM. On représente ici les données sauvegardées dans ladite mémoire 2000, sous la forme de valeurs dans un tableau. Les valeurs sont représentées de manière conventionnelle en hexadécimal.
Les références sur la figurent indiquent des lignes ou des colonnes du tableau représentant la mémoire 2000. On détaille par la suite les éléments contenus dans les lignes, et plus précisément les secteurs repérés par une ligne et une colonne.
La ligne 2001 affiche le nom du microcontrôleur en ASCII. La ligne 2010 affiche la date de création du programme, affiché en ASCII.
La ligne 2020 sert à la mémorisation des durées des nuits. Deux valeurs sont enregistrées, correspondant à deux formats. L'exemple représenté sur la figure 14 illustre un mode de réalisation où la durée de 5 nuits consécutives est enregistrée. - Les colonnes 2401 et 2410 enregistrent la durée en hexadécimal de la dernière nuit, appelée NuitO . - Les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la durée en hexadécimal de l'avant dernière nuit, appelée Nuit-1 . - Les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la durée en hexadécimal de la nuit deux nuits avant la dernière nuit, appelée Nuit-2 . - Les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la durée en hexadécimal de la nuit trois nuits avant la dernière nuit, appelée Nuit-3 . - Les colonnes 2480 et 2490 enregistrent la durée en hexadécimal de la nuit quatre nuits avant la dernière nuit, appelée Nuit-4 . - La colonne 2500 contient un octet utilisé lors de la reprogrammation. - Les colonnes 2510 et 2520 enregistrent la durée en hexadécimal de fonctionnement total en heures. - La colonne 2530 enregistre le reste des minutes en hexadécimal de la durée de fonctionnement total.
La ligne 2030 est utilisée pour la mémorisation des compteurs. - Les colonnes 2401, 2410, 2420 et 2430 enregistrent le nombre total d'écriture en EEPROM en hexadécimal. - La colonne 2440 est utilisée par le programme pour la mémorisation des erreurs. - La colonne 2450 est utilisée par le programme pour la mémorisation de la tension, du courant et de la température. - La colonne 2460 est utilisée par le programme pour la mémorisation de t0, qui sera détaillé par la suite. - La colonne 2470 est utilisée par le programme pour le compteur de reprogrammation. - Les colonnes 2480 et 2490 enregistrent la durée de la nuit théorique en hexadécimal. - Les colonnes 2500 et 2510 enregistrent le nombre de mises sous tension inférieures à 60 secondes de durée. - Les colonnes 2520 et 2530 enregistrent le nombre de mises sous tension supérieures à 60 secondes de durée. - Les colonnes 2540 et 2550 enregistrent le nombre d'interruptions de l'alimentation du second microcontrôleur.
Les lignes 2040 et 2050 sont utilisées pour la mémorisation de la tension réelle aux bornes de la lampe.
Pour obtenir cette tension, il faut convertir la valeur lue en EEPROM en décimal, multiplier le résultat par 167, puis le diviser par 255. Deux colonnes consécutives enregistrent respectivement la tension en hexadécimal d'une nuit au bout de 30 minutes et de 4 heures. La valeur FF est mise dans la seconde des deux colonnes consécutives si la durée de 4 heures n'est pas atteinte. Pour la ligne 2040 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent la tension pour la première nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la tension pour la deuxième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la tension pour la troisième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la tension pour la quatrième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent la tension pour la cinquième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent la tension pour la sixième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent la tension pour la septième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent la tension pour la huitième nuit. Pour la ligne 2050 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent la tension pour la neuvième nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la tension pour la dixième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la tension pour la onzième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la tension pour la douzième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent la tension pour la treizième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent la tension pour la quatorzième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent la tension pour la quinzième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent la tension pour la seizième nuit. Une fois les seize nuits enregistrées, la nouvelle valeur est enregistrée à la place de la première nuit, puis de la deuxième, et ainsi de suite.
L'emplacement de la dernière mémorisation est mémorisé dans la colonne 2450 de la ligne 2030, qui indique la future case de stockage de la nuit suivante.
Les lignes 2060 et 2070 sont utilisées pour la mémorisation du courant réel aux bornes de la lampe. Pour obtenir le courant, il faut convertir la valeur lue en EEPROM en décimal, puis diviser cette valeur par 102.
Deux colonnes consécutives enregistrent respectivement le courant en hexadécimal d'une nuit au bout de 30 minutes et de 4 heures. La valeur FF est mise dans la seconde des deux colonnes consécutives si la durée de 4 heures n'est pas atteinte. Pour la ligne 2060 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent le courant pour la première nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent le courant pour la deuxième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent le courant pour la troisième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent le courant pour la quatrième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent le courant pour la cinquième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent le courant pour la sixième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent le courant pour la septième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent le courant pour la huitième nuit. Pour la ligne 2070 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent le courant pour la neuvième nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent le courant pour la dixième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent le courant pour la onzième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent le courant pour la douzième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent le courant pour la treizième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent le courant pour la quatorzième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent le courant pour la quinzième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent le courant pour la seizième nuit. Une fois les seize nuits enregistrées, la nouvelle valeur est enregistrée à la place de la première nuit, puis de la deuxième, et ainsi de suite. L'emplacement de la dernière mémorisation est mémorisé dans la colonne 2450 de la ligne 2030, qui indique la future case de stockage de la nuit suivante.
Les lignes 2080 et 2090 servent à la mémorisation de la température mesurée en interne du premier microcontrôleur. Deux colonnes consécutives enregistrent respectivement la température en hexadécimal d'une nuit au bout de 30 minutes et de 4 heures. La valeur FF est mise dans la seconde des deux colonnes consécutives si la durée de 4 heures n'est pas atteinte. Pour la ligne 2080 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent la température pour la première nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la température pour la deuxième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la température pour la troisième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la température pour la quatrième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent la température pour la cinquième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent la température pour la sixième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent la température pour la septième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent la température pour la huitième nuit. Pour la ligne 2090 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent la température pour la neuvième nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la température pour la dixième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la température pour la onzième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la température pour la douzième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent la température pour la treizième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent la température pour la quatorzième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent la température pour la quinzième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent la température pour la seizième nuit. Une fois les seize nuits enregistrées, la nouvelle valeur est enregistrée à la place de la première nuit, puis de la deuxième, et ainsi de suite. L'emplacement de la dernière mémorisation est mémorisé dans la colonne 2450 de la ligne 2030, qui indique la future case de stockage de la nuit suivante.
Les lignes 2100 et 2110 servent à la mémorisation de l'octet d'erreur. Deux colonnes consécutives enregistrent respectivement l'octet d'erreur d'une nuit au bout de 30 minutes et de 4 heures. La valeur FF est mise dans la seconde des deux colonnes consécutives si la durée de 4 heures n'est pas atteinte. Pour la ligne 2100 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent l'octet d'erreur pour la première nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent l'octet d'erreur pour la deuxième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent l'octet d'erreur pour la troisième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent l'octet d'erreur pour la quatrième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent l'octet d'erreur pour la cinquième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent l'octet d'erreur pour la sixième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent l'octet d'erreur pour la septième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent l'octet d'erreur pour la huitième nuit.
Pour la ligne 2110 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent l'octet d'erreur pour la neuvième nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent l'octet d'erreur pour la dixième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent l'octet d'erreur pour la onzième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent l'octet d'erreur pour la douzième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent l'octet d'erreur pour la treizième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent l'octet d'erreur pour la quatorzième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent l'octet d'erreur pour la quinzième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent l'octet d'erreur pour la seizième nuit.
Une fois les seize nuits enregistrées, la nouvelle valeur est enregistrée à la place de la première nuit, puis de la deuxième, et ainsi de suite. L'emplacement de la dernière mémorisation est mémorisé dans la colonne 2440 de la ligne 2030, qui indique la future case de stockage de la nuit suivante.
Les lignes 2120 et 2130 servent à la mémorisation de tO, c'est-à-dire la durée calculée entre une heure de référence et l'heure d'allumage théorique. Selon un mode de réalisation de l'invention, l'heure de référence choisie est 14h00. Deux colonnes consécutives enregistrent la valeur tO pour une nuit. Pour la ligne 2120 : - les colonnes 2401 et première nuit. - les colonnes 2420 et deuxième nuit. - les colonnes 2440 et troisième nuit. - les colonnes 2460 et quatrième nuit. - les colonnes 2480 et cinquième nuit. - les colonnes 2500 et sixième nuit. - les colonnes 2520 et septième nuit. - les colonnes 2540 et huitième nuit. 2410 enregistrent la durée tO pour la 2430 enregistrent la durée tO pour la 2450 enregistrent la durée tO pour la 2470 enregistrent la durée tO pour la 2489 enregistrent la durée tO pour la 2510 enregistrent la durée tO pour la 2530 enregistrent la durée tO pour la 2550 enregistrent la durée tO pour la Pour la ligne 2130 : - les colonnes 2401 et 2410 enregistrent la durée tO pour la neuvième nuit. - les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la durée tO pour la dixième nuit. - les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la durée tO pour la onzième nuit. - les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la durée tO pour la douzième nuit. - les colonnes 2480 et 2489 enregistrent la durée tO pour la treizième nuit. - les colonnes 2500 et 2510 enregistrent la durée tO pour la quatorzième nuit. - les colonnes 2520 et 2530 enregistrent la durée tO pour la quinzième nuit. - les colonnes 2540 et 2550 enregistrent la durée tO pour la seizième nuit. Une fois les seize nuits enregistrées, la nouvelle valeur est enregistrée à la place de la première nuit, puis de la deuxième, et ainsi de suite.
L'emplacement de la dernière mémorisation est mémorisé dans la colonne 2460 de la ligne 2030, qui indique la future case de stockage de la nuit suivante.
Les lignes 2140 et 2150 servent à la mémorisation des paramètres de réduction de puissance. Les temps tl à t6 correspondent aux temps en minutes à attendre à partir de 14h00 pour que la réduction de puissance s'effectue. La valeur FF indique que la réduction de puissance correspondante ne sera pas prise en compte.
Pour la ligne 2140 : - La colonne 2401 enregistre la valeur en hexadécimal de la réduction de puissance à t0. - La colonne 2420 enregistre la valeur en réduction de puissance à ti. La colonne 2440 enregistre la valeur en réduction de puissance à t2. - La colonne 2460 enregistre la valeur en réduction de puissance à t3. - La colonne 2480 enregistre la valeur en réduction de puissance à t4. - La colonne 2500 enregistre la valeur en réduction de puissance à t5. - La colonne 2520 enregistre la valeur en réduction de puissance à t6. la ligne 2150 : - Les colonnes 2420 et 2430 enregistrent la de tl. - Les colonnes 2440 et 2450 enregistrent la de t2. - Les colonnes 2460 et 2470 enregistrent la de t3. - Les colonnes 2480 et 2490 enregistrent la de t4. - Les colonnes 2500 et 2510 enregistrent la de t5. - Les colonnes 2520 et 2530 enregistrent la de t6. - La colonne 2550 enregistre la valeur en hexadécimal de l'octer de reprogrammation.
Les paramètres ainsi sauvegardés permettent l'établissement d'un 30 diagnostic lors de la maintenance du dispositif 1.
10 Pour 15 20 25 durée en hexadécimal durée en hexadécimal durée en hexadécimal durée en hexadécimal durée en hexadécimal durée en hexadécimal hexadécimal de la hexadécimal de la hexadécimal de la hexadécimal de la hexadécimal de la hexadécimal de la

Claims (10)

  1. Revendications1. Dispositif (1) d'éclairage public comprenant des moyens d'éclairage (3), des moyens de commutation (5) de moyens d'éclairage permettant un éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, et des moyens de contrôle (10) pilotant les moyens de commutation pour alimenter les moyens d'éclairage au moyen de paliers de puissance, caractérisé en ce qu'il comprend également des moyens d'établissement d'un diagnostic (20) de fonctionnement et de mémorisation in situ des paramètres résultant de ce diagnostic.
  2. 2. Dispositif d'éclairage (1) public selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de contrôle (10) comprennent deux microcontrôleurs, un premier microcontrôleur (110) assurant les fonctions de ballast électronique et un second microcontrôleur (120) assurant les fonctions de régulation de puissance de l'éclairage.
  3. 3. Dispositif d'éclairage (1) public selon la revendication 1, caractérisé en ce que le premier microcontrôleur (110) intègre les moyens d'établissement d'un diagnostic (20) de fonctionnement.
  4. 4. Dispositif d'éclairage (1) public selon l'une des revendications 2 ou 3, caractérisé en ce qu'une communication est établie entre lesdits deux microcontrôleurs (110, 120), le second microcontrôleur (120) comprend une mémoire de stockage, et ladite communication permet la mémorisation des diagnostics de fonctionnement sur ledit second microcontrôleur (120).
  5. 5. Dispositif (1) selon la revendication 4, caractérisé en ce que ledit 30 second microcontrôleur (120) mémorise dans un octet d'erreur une valeur désignant l'une au moins des erreurs suivantes : - court circuit ; - lampe hors service ;- défaut d'amorçage ; - arrêt après une heure de température élevée ; - mode réduit.
  6. 6. Dispositif (1) selon l'une des revendications 4 ou 5, caractérisé en ce que ledit second microcontrôleur (120) mémorise au moins un octet correspondant à un paramètre du dispositif parmi les paramètres suivants : - tension aux bornes des moyens d'éclairage (3), - courant traversant lesdits moyens d'éclairage (3), - température de fonctionnement du dispositif (1), - l'écart théorique entre une heure de référence et l'heure d'allumage du dispositif (1).
  7. 7. Dispositif (1) selon l'une des revendications 4 à 6, caractérisé en ce que ledit second microcontrôleur (120) communique avec ledit premier microcontrôleur (110) et envoie des consignes concernant les paliers de puissance audit premier microcontrôleur (110).
  8. 8. Dispositif (1) selon la revendication 7, caractérisé en ce que la consigne concernant les paliers de puissance envoyée par le second microcontrôleur (120) au premier microcontrôleur (110) est envoyée sous la forme d'un octet.
  9. 9. Dispositif (1) selon l'une des revendications 4 à 9, caractérisé en ce que ladite communication entre les deux microcontrôleurs est établie vie deux ports selon le procédé comprenant les étapes de : - signalisation par le second microcontrôleur (120) au premier microcontrôleur (110) qu'il est prêt à communiquer, - réponse du premier microcontrôleur (110) au second microcontrôleur (120) comme quoi il attend la communication du second microcontrôleur (120),- envoi de données par le second microcontrôleur (120) au premier microcontrôleur (110), le second microcontrôleur (120) envoyant deux octets identiques via les deux liaisons (130, 140) reliant les deux ports (113, 123, 114, 124) de chaque microcontrôleur (110, 120), - vérification des données reçues par le premier microcontrôleur (110), et décodage desdites données, - signalisation par le premier microcontrôleur (110) au second microcontrôleur (120) qu'il est prêt à communiquer, - réponse du second microcontrôleur (120) au premier microcontrôleur (110) comme quoi il attend la communication du premier microcontrôleur (110), - envoi de données par le premier microcontrôleur (110) au second microcontrôleur (120) via les deux liaisons (130, 140). 15
  10. 10. Dispositif (1) selon l'une des revendications 2 à 9, caractérisé en ce que le second microcontrôleur (120) est un composant débrochable.
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