FR2847760A1 - Procede et dispositif de commande en eclairage reduit - Google Patents

Procede et dispositif de commande en eclairage reduit Download PDF

Info

Publication number
FR2847760A1
FR2847760A1 FR0214866A FR0214866A FR2847760A1 FR 2847760 A1 FR2847760 A1 FR 2847760A1 FR 0214866 A FR0214866 A FR 0214866A FR 0214866 A FR0214866 A FR 0214866A FR 2847760 A1 FR2847760 A1 FR 2847760A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
night
duration
current
time
theoretical
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Granted
Application number
FR0214866A
Other languages
English (en)
Other versions
FR2847760B1 (fr
Inventor
Fernard Lourenco
Jean Philippe Magnaval
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
APP ET BOBINAGE ELECTR DU LIMO
Original Assignee
APP ET BOBINAGE ELECTR DU LIMO
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by APP ET BOBINAGE ELECTR DU LIMO filed Critical APP ET BOBINAGE ELECTR DU LIMO
Priority to FR0214866A priority Critical patent/FR2847760B1/fr
Publication of FR2847760A1 publication Critical patent/FR2847760A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of FR2847760B1 publication Critical patent/FR2847760B1/fr
Anticipated expiration legal-status Critical
Expired - Lifetime legal-status Critical Current

Links

Classifications

    • HELECTRICITY
    • H05ELECTRIC TECHNIQUES NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • H05BELECTRIC HEATING; ELECTRIC LIGHT SOURCES NOT OTHERWISE PROVIDED FOR; CIRCUIT ARRANGEMENTS FOR ELECTRIC LIGHT SOURCES, IN GENERAL
    • H05B47/00Circuit arrangements for operating light sources in general, i.e. where the type of light source is not relevant
    • H05B47/10Controlling the light source
    • H05B47/16Controlling the light source by timing means
    • YGENERAL TAGGING OF NEW TECHNOLOGICAL DEVELOPMENTS; GENERAL TAGGING OF CROSS-SECTIONAL TECHNOLOGIES SPANNING OVER SEVERAL SECTIONS OF THE IPC; TECHNICAL SUBJECTS COVERED BY FORMER USPC CROSS-REFERENCE ART COLLECTIONS [XRACs] AND DIGESTS
    • Y02TECHNOLOGIES OR APPLICATIONS FOR MITIGATION OR ADAPTATION AGAINST CLIMATE CHANGE
    • Y02BCLIMATE CHANGE MITIGATION TECHNOLOGIES RELATED TO BUILDINGS, e.g. HOUSING, HOUSE APPLIANCES OR RELATED END-USER APPLICATIONS
    • Y02B20/00Energy efficient lighting technologies, e.g. halogen lamps or gas discharge lamps
    • Y02B20/40Control techniques providing energy savings, e.g. smart controller or presence detection

Landscapes

  • Circuit Arrangement For Electric Light Sources In General (AREA)

Abstract

L'invention concerne un procédé de commande de moyens d'éclairage, apte à commuter, à des instants déterminés, les moyens d'éclairage grâce à des moyens de commutation vers un mode d'éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, selon lequel on détermine la durée de la nuit courante à partir de la durée d'au moins une nuit précédente, caractérisé en ce qu'on détermine à partir de la durée de la au moins une nuit précédente l'heure de début de nuit théorique de la nuit courante, heure de début de nuit théorique à partir de laquelle sont repérés les instants (T1, T2, T3, T4) de commutation.L'invention concerne également un dispositif de mise en oeuvre du procédé.

Description

DOMAINE TECHNIQUE
La présente invention concerne les procédés et dispositifs de
commande d'éclairage pour passage en mode réduit.
Plus précisément, elle concerne un procédé et dispositif de commande autonome d'éclairage pour effectuer des économies d'énergie.
ETAT DE L'ART
Les éclairages publics tirent leur énergie du réseau public de
distribution électrique.
La mise sous tension d'un réseau d'éclairage public est effectuée au
coucher du soleil et se termine au lever du soleil.
Le niveau d'énergie distribué est homogène pendant toute cette
durée et l'éclairage est généralement de même intensité.
On souhaite, pour des raisons d'économie d'énergie, pouvoir faire varier l'intensité de l'éclairage à certaines heures de la nuit. Ainsi, on peut souhaiter passer en éclairage d'intensité réduite à certaines heures de la nuit. Certains dispositifs se branchent entre le réseau électrique et le dispositif d'éclairage afin de pouvoir faire varier l'intensité lumineuse pendant la nuit. Cependant, ces dispositifs sont coteux et nécessitent des
opérations de maintenance.
En effet, ils utilisent des horloges réglées à l'heure locale de l'endroit o se situe le dispositif d'éclairage. L'heure locale est donc un repère pour les heures de commutation en mode d'éclairage d'intensité réduite. Ces horloges sont de plus susceptibles de décalage dans le temps et par
conséquent nécessitent une remise à l'heure périodique.
PRESENTATION DE L'INVENTION
L'invention a pour but de pallier ces inconvénients.
Un des buts de l'invention est de fournir un procédé et un dispositif
de commande d'éclairage simple permettant un passage en mode réduit.
Un des buts de l'invention est de fournir un procédé et un dispositif de commande d'éclairage permettant un passage en mode réduit à
certaines heures choisies par un utilisateur.
Un autre but de l'invention est de proposer un procédé et dispositif de commande d'éclairage qui ne nécessite pas d'horloge externe réglée à
l'heure locale.
Un des buts de l'invention est de proposer un procédé et dispositif de commande autonome, c'est-à-dire ne nécessitant pas d'opération de
maintenance ni de mise en route de la part d'un utilisateur.
A cet effet, l'invention propose un procédé de commande de moyens d'éclairage, apte à commuter, à des instants déterminés, les moyens d'éclairage grâce à des moyens de commutation vers un mode d'éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, selon lequel on détermine la durée de la nuit courante à partir de la durée d'au moins une nuit précédente, caractérisé en ce qu'on détermine, à partir de la durée de la au moins une nuit précédente, l'heure de début de nuit théorique de la nuit courante, heure de début de nuit théorique à partir de laquelle sont repérés
les instants de commutation.
L'invention concerne également un dispositif de mise en oeuvre du
procédé.
L'invention est avantageusement complétée par les caractéristiques suivantes, prises seules ou en une quelconque de leur combinaison techniquement possible: - on détermine la durée de la nuit courante à partir des deux nuits précédant la nuit courante; - on détermine la durée de la nuit courante par la relation: durée = (nuit_1 + nuit 2) /2 o la variable durée représente la durée de la nuit courante, et les variables nuitI et nuit 2 représentent respectivement les durées des nuits précédant la nuit courante; - on détermine l'heure de début de nuit théorique à partir de la durée de la nuit courante grâce à une équation affine du type: début = -m * durée + p o les variables début et durée sont comptées en minutes, début étant repérés à partir de l'heure 14 heures, m et p étant respectivement les coefficients directeurs et ordonnée à l'origine de l'équation affine; - on détermine la durée des nuits à partir de la durée d'alimentation des moyens d'éclairage, la durée des nuits étant sauvegardée dans une mémoire non volatile lors d'une coupure de l'alimentation; - lors d'une interruption de l'alimentation des moyens d'éclairage, on détermine, lors du rétablissement de l'alimentation, si l'interruption était prévue ou non en comparant une durée de nuit courante mesurée à la durée de la nuit courante théorique; - si la durée de nuit courante mesurée est inférieure à la durée de la nuit courante théorique, alors l'interruption est imprévue et on recompte à partir de l'instant de rétablissement de l'alimentation, la durée de la nuit courante, le temps écoulé à partir de cet instant de rétablissement venant s'ajouter à la valeur sauvegardée dans la mémoire non volatile à la coupure de l'alimentation; - lorsque la durée de la nuit courante mesurée est plus longue que la durée de nuit courante théorique, alors l'interruption imprévue n'a pas été rétablie avant la fin de la nuit, et on affecte à la valeur mesurant la valeur de la nuit courante la valeur mesurée par un deuxième compteur qui est initialisé à chaque mise sous tension; - tant que la valeur de la nuit courante mesurée est inférieure à la durée de la nuit théorique, on n'effectue pas de commutation des moyens d'éclairage en régime réduit; - lorsque les moyens de commutation sont inutilisés pendant une longue période, les moyens de commutation se recalent automatiquement comme lors d'une mise en service; - les durées des nuits ne sont pas prises en compte lors d'une alimentation des moyens de commutation inférieures à une certaine durée fixée; et - les instants de commutations sont préprogrammés dans les moyens de
commutations ou sont déterminés par un utilisateur.
s D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront de
la description qui suit, qui est purement illustrative et non limitative, et qui
doit être lue en regard des dessins annexés sur lesquels: - La figure 1 représente une courbe traçant l'heure du début de la nuit (en minutes par rapport à 14 heures) en fonction de la durée de la nuit (en minutes); - La figure 2 représente le positionnement de l'erreur maximale due à la longitude dans les fuseaux horaires; - La figure 3 représente schématiquement l'instant d'écriture des données sur une mémoire non volatile dans un procédé selon l'invention; - La figure 4 représente schématiquement une première situation selon laquelle une courte coupure de courant a lieu pendant une nuit o un dispositif selon l'invention est utilisé; - La figure 5 représente schématiquement une situation o il y a également une coupure de courant, mais cette coupure étant de longue durée; - La figure 6 représente un cycle classique de passage en mode réduit; - La figure 7 représente une situation selon laquelle on passe directement d'un mode réduit à 50% de la puissance d'éclairage à 100% d'éclairage en fin de nuit; - La figure 8 représente schématiquement une situation selon laquelle on passe en mode réduit à 50% dès le début de l'éclairage; - La figure 9 représente schématiquement une succession d'étapes d'un procédé selon l'invention; - La figure 10 représente un détail de l'étape n010 de la figure 9; - Les figures 11 et 12 représentent schématiquement le détail des étapes de routine d'interruption dans un procédé selon l'invention; - La figure 13 représente schématiquement les étapes successives d'initialisation de paramètres de temps; - La figure 14 représente schématiquement un circuit permettant la mise en oeuvre d'un procédé selon l'invention; - La figure 15 représente schématiquement les liaisons entre une horloge interne du type quartz et un micro processeur de l'invention; - La figure 16 est un exemple de branchement entre des interrupteurs et un micro processeur compris dans un dispositif selon l'invention; - La figure 17 est un exemple de table de vérité des interrupteurs permettant la commutation à différents instants; et - La figure 18 est un exemple de branchement d'un réservoir auxiliaire
d'énergie branché dans un dispositif selon l'invention.
DESCRIPTION DETAILLEE
La durée de la nuit diffère selon la longitude et la latitude de l'endroit
o l'on se trouve sur la Terre.
VARIATION EN FONCTION DE LA LATITUDE.
Entre les positions de latitude 650 nord et 650 sud, qui correspondent aux limites des zones habitées, on remarque que quelle soit la latitude, pour une durée de nuit donnée, les heures de début de nuit et de fin de nuit sont
toujours les mêmes, à 15 minutes près.
Par exemple, pour une durée de 12 heures, la nuit débute à 19
heures environ et finit à 7 heures environ.
Ces heures de début et de fin de nuit varient dans l'année. Bien entendu, lorsque la durée de la nuit s'allonge l'heure de début de nuit sera légèrement inférieure à 19 heures. Par contre, si la durée de la nuit est de moins en moins longue, alors le début de nuit sera légèrement postérieur à
19 heures.
La figure 1 monte que si l'on trace pour plusieurs latitudes comprises entre 650 nord et 650 sud le début de la nuit (repérée en minutes par rapport à 14 heures) en fonction de la durée de la nuit (en minutes), alors on peut approximer l'ensemble de ces courbes par une équation qui s'écrit:
début = -0.5 * durée + 655.
Ainsi, on obtient des écarts pouvant atteindre 20 minutes environ
dans le pire des cas entre les latitudes considérées.
Les écarts peuvent atteindre 16 minutes environ à 450 nord.
Plusieurs équations de droite permettent d'affiner l'interpolation en fonction de la latitude o l'on souhaite disposer un système selon l'invention. Par exemple, on peut améliorer la précision en prenant deux
équations différentes en fonction du sens de variation des durées de la nuit.
Par exemple, pour les parties croissantes de durée on peut considérer la droite d'équation
début = -0,58 * durée + 661.
On a ainsi une erreur de 15 minutes environ.
Pour les parties décroissantes, la droite approximative a pour équation:
début = -0,48 * durée + 644.
On a ainsi une erreur allant jusqu'à 14 minutes.
Si l'on veut améliorer les précisions dans l'hémisphère nord, on peut alors implémenter une équation du type pour, les parties croissantes
début = -0,479 * durée + 640.
On a ainsi des erreurs allant jusqu'à 15 minutes.
Pour les parties décroissantes de l'hémisphère nord, on peut définir une droite d'équation:
début = -0,4828 * durée + 650.
On a alors des erreurs pouvant atteindre 8 minutes.
Les deux précédentes équations correspondent à l'hémisphère nord.
Bien entendu, cette approximation n'est pas satisfaisante pour l'hémisphère sud, puisque les erreurs sont alors de l'ordre de 25 minutes. Il faudra alors implémenter dans les dispositifs selon l'invention une autre équation
approximative pour les régions du sud du globe.
Si l'on veut affiner davantage l'approximation pour la latitude 450 nord (partie qui correspond à la France), alors l'équation pour la partie croissante peut être:
début = -0,5714 * durée + 699.
On a alors des erreurs de 4 minutes. Pour les parties décroissantes à 450 nord, on peut approximer les heures de début de nuit par:
début = -0,4452 * durée + 627.
Les erreurs sont alors de 3 minutes.
Evidemment, ces deux approximations sont valables pour des zones situées dans la région 450 nord. En effet, les erreurs peuvent atteindre 45
minutes pour des régions éloignées de cette partie 450 nord.
VARIATION EN FONCTION DE LA LONGITUDE.
L'heure de début de nuit peut également varier en fonction de la
i5 longitude.
En effet, la variation d'heure de début de nuit selon la longitude suit
une loi mathématique.
Si l'on se déplace de 10 vers l'est sur le globe, le soleil se couche quatre minutes plus tôt. Si l'on se déplace de 1 vers l'ouest, le soleil se
couche quatre minutes plus tard. Un fuseau horaire fait une heure, c'estàdire qu'il couvre environ 150.
Pour des zones situées au milieu d'un fuseau horaire, cela signifie qu'une erreur d'environ 30 minutes est remarquée par rapport aux heures
de début de nuit pour les zones situées sur les limites dudit fuseau.
La figure 2 montre schématiquement que la France, représentée par l'hexagone 6, est sensiblement située entre le méridien de Greenwich (+0 heure) référencé par 1 et le fuseau horaire +1 heure référencé par 2. Le milieu du fuseau horaire est référencé par 3. Si on décale de 30 minutes les heures de début de nuit par rapport aux heures sur les lignes 1 et 2, alors les zones de plus grandes erreurs sont celles situées sur les lignes 4. Ces lignes sont en effet situées dans des zones o l'erreur maximale est de _1 5 minutes par rapport aux heures de début de nuit dans les régions situées en
1, 2 et 3.
Ainsi, les dispositifs selon l'invention devant être installés dans la zone 20 centrée sur la ligne 3 sont décalés de 30 minutes par rapport aux dispositifs situés dans la zone 21. Les dispositifs de la zone 21 sont réglés à l'heure du méridien 1. Avec ce décalage, sur l'ensemble de la France 6, on
n'aura qu'une erreur due à la longitude au maximum égale à 15 minutes.
PRECISION TOTALE.
L'erreur de 15 minutes due à la longitude est fixe. On n'apprécie
io alors la précision des dispositifs que par rapport à l'erreur due à la latitude.
En fonction des équations d'approximation de début et de durée de nuit, on peut atteindre des précisions allant de 30 minutes, si l'on prend une
équation qui approxime l'heure de début de nuit pour l'ensemble du globe.
On peut également atteindre des précisions allant en dessous de 5 minutes si on prend une équation très précise pour une zone très précise, comme
par exemple la zone 450 nord.
PROCEDE.
On va maintenant décrire les étapes d'un procédé possible de commande autonome d'éclairage selon l'invention. Bien entendu, plusieurs
variantes de ce procédé sont possibles.
Selon un premier procédé, on compte en minutes la durée de la nuit courante. On considère que la durée de la nuit correspond au temps entre l'allumage et l'extinction de l'éclairage public. On stocke ensuite cette donnée dans une mémoire non volatile du type mémoire morte effaçable et programmable électriquement ou " Electrically Erasable Programmable Read Only Memory" (EEPROM) selon la terminologie anglo-saxonne généralement utilisée par l'homme du métier, la mémoire EEPROM étant comprise dans un microprocesseur d'un dispositif de mise en oeuvre du procédé. Ainsi, la nuit suivante, on utilise cette donnée 'durée de nuit' pour calculer l'heure théorique de début de nuit au moyen des équations précédemment exposées, sachant que l'écart de durée entre deux nuits
consécutives est au maximum de 10 minutes.
On peut donc ensuite commuter en mode d'éclairage réduit à des heures déterminées par rapport à l'heure théorique de début de nuit que l'on vient de calculer. Les heures de commutations sont choisies par un utilisateur ou sont préprogrammées et sont stockées dans les moyens
mémoire compris dans le dispositif.
Ce procédé est très simple d'implémentation, car c'est avec la durée
de la nuit précédente que l'on calcule le début de la nuit courante.
Cependant, on ne peut pas, d'après ce premier procédé, savoir si l'on est dans une phase de l'année o les durées des nuits vont en croissant ou en décroissant. C'est pourquoi, selon un procédé préféré, on mémorise dans la mémoire non volatile les durées des deux nuits précédentes. Ainsi, on peut 1 5 déterminer le sens de variation de la durée de la nuit, à savoir si les durées de nuit sont croissantes ou décroissantes. On peut également calculer la durée théorique de la nuit courante de façon précise pour en déduire l'heure
de début de nuit de la nuit courante.
Selon ce procédé préféré, la précision des calculs est fortement améliorée, mais il faut attendre deux nuits d'initialisation avant que le
système ne fonctionne correctement.
Dans le deuxième procédé, les heures de commutations sont choisies par un utilisateur ou sont préprogrammées et sont stockées dans
les moyens mémoire compris dans le dispositif.
On constate que dans les deux procédés, le calcul théorique de début de nuit s'effectue automatiquement et de façon autonome, c'est-àdire sans intervention d'un utilisateur extérieur et sans emploi d'une horloge réglée sur l'heure du fuseau dans lequel le dispositif est placé. La mise en route du dispositif peut également avoir lieu à n'importe quel jour de l'année. Le système est par conséquent totalement autonome et trouve les heures de début de nuit et les heures de commutations en éclairage réduit seul. L'autonomie de fonctionnement du système pose cependant
plusieurs difficultés, que l'invention se propose de résoudre.
Un premier problème à résoudre est que les calculs de durée de nuit
théoriques imposent que l'on mémorise les durées des nuits précédentes.
Cependant, le système n'est pas alimenté en permanence, mais uniquement lorsque l'éclairage public est mis sous tension. C'est pour cela qu'il faut utiliser une mémoire non volatile du type EEPROM pour stocker
1o les informations.
On veut cependant limiter les accès à la mémoire non volatile EEPROM. C'est pourquoi la durée de nuit courante n'est stockée qu'après une coupure de l'alimentation. Par conséquent, il faut une réserve d'énergie pour que le microcontrôleur d'un dispositif selon l'invention ait le temps
d'écrire la donnée sur la mémoire.
La figure 3 représente schématiquement l'instant o l'on stocke dans la mémoire EEPROM la durée de la nuit. Après l'instant 31 de coupure de l'alimentation de l'éclairage public, une réserve d'énergie permet l'alimentation du dispositif pendant le temps 30 nécessaire à l'écriture des données sur la mémoire EEPROM. La réserve d'énergie sera décrite plus
loin dans la présente description. Cette écriture des données est effectuée à
chaque coupure, et comprend notamment la sauvegarde de la mesure de la
durée de la nuit courante.
Le deuxième problème à résoudre vient du fait qu'il faut prendre en compte les coupures de courant éventuelles au cours de la nuit. Plusieurs
possibilités sont à envisager pour de telles coupures de courant.
La première possibilité est que la coupure de courant est prévue.
C'est ce qui correspond à la fin de la nuit, lorsque l'éclairage public est mis
hors alimentation.
La deuxième possibilité est représentée schématiquement à la figure 4. Elle correspond à une coupure de courant imprévue. Ainsi, une défaillance du réseau d'alimentation se produit lors de l'instant 41, et on
constate une coupure de l'alimentation pendant une durée 40.
Le dispositif va alors chercher à savoir si cette coupure 40 était prévue ou non. Lors de la réalimentation du réseau à l'instant 42, on calcule, grâce aux moyens du dispositif comprenant notamment un microcontrôleur, la durée théorique de la nuit. On compare ensuite cette valeur à la durée de la nuit, la durée ayant été stockée dans la mémoire EEPROM à la coupure 41 de l'alimentation. Si la durée de la nuit stockée dans la mémoire EEPROM est inférieure à la durée de la nuit théorique, alors le système sait qu'il s'agissait d'une défaillance courte du réseau d'alimentation. On recompte, à partir de l'instant 42, la durée de la nuit. Le temps écoulé à partir de 42 vient s'ajouter à la valeur stockée dans la
mémoire EEPROM à l'instant 41, puisque l'on n'a pas changé de nuit.
Un troisième problème à résoudre par un système autonome est qu'il faut déterminer quand une coupure de courant due à une défaillance n'a pas été rétablie avant la fin de la nuit. En effet, pendant une certaine période pendant laquelle la durée mesurée de la nuit courante est inférieure à durée théorique de la nuit, le système autonome croit que l'on n'a pas changé de nuit alors que c'est le cas. Ainsi, lorsque la durée de la nuit stockée dans la mémoire EEPROM est inférieure à la durée théorique de la nuit, on ne sait pas si a changé de nuit ou pas. Tant que ce doute existe, on donne priorité au plein régime d'éclairage par mesure de sécurité. On
n'effectue donc pas de commutation en régime réduit.
Pour remédier à l'ambiguté, on met en place, en plus du compteur de temps mesurant la durée de la nuit courante, un deuxième compteur de temps, qui est initialisé à chaque mise sous tension. Ainsi, lors du début de la nuit, les deux compteurs relevant les variables time et time_2
respectivement sont mis en route.
La coupure se produit à l'instant 51 pour une durée 50, et se termine après la fin de la nuit 55. A l'instant 51, les deux valeurs des variables sont stockées dans la mémoire EEPROM. Lors du début de la nuit suivante en 52, le compteur relevant time_2 est remis à zéro et repart à partir de cet instant. Le compteur relevant la valeur nuit recommence à compter la durée de la nuit à partir de l'instant 52, mais avec une valeur égale à la durée 56 déjà enregistrée. On ajoute alors le déroulement 54 à la durée 56 pour la variable nuit.
On teste alors si time est supérieure à la valeur de la nuit théorique.
Lorsque c'est le cas, on sait que l'on a changé de nuit. Dans ce cas, on affecte la valeur time_2 à la valeur time, et on récupère ainsi dans la variable time la durée effectivement écoulée depuis la dernière mise en route, c'est-à-dire le début de la nuit en 52. Le système n'est donc pas déréglé. Un autre problème d à l'autonomie, est rencontré lorsque le système est inutilisé pendant une longue période. Dans ce cas, les durées de nuit ne sont plus cohérentes et le système devra se recaler
automatiquement comme lorsqu'il est mis en service.
Un autre problème d à l'autonomie est qu'il faut prendre en compte les essais éventuels réalisés par l'utilisateur avant la mise en service effective. Pour cela, on ne prend pas en compte les durées de mise sous
tension inférieures à 30 minutes.
C'est différents problèmes dus à l'autonomie du système permettent
de dégager les étapes principales d'un procédé selon l'invention.
En effet, lors des premières mises sous tension d'un dispositif selon l'invention, les mises sous tension de durée inférieure à 30 minutes ne
seront pas mémorisées.
Les deux premières nuits sont particulières. Elles servent à initialiser le système. On va simplement stocker les durées de durées de nuit sans
effectuer de commutation en mode réduit.
La troisième nuit est également particulière. Elle est la première nuit o l'on commute. On se base sur les deux premières nuits pour calculer les instants de commutation à partir de l'heure de début de nuit. Les instants de commutation sont réglés par l'utilisateur grâce à des interrupteurs disposés dans le système de mise en oeuvre du procédé ou préprogrammés dans le dispositif. Ensuite, lorsque le régime est permanent, si on constate que la durée de la nuit est inférieure à la nuit théorique, cela signifie qu'il y a eu une coupure d'alimentation, ou un mauvais fonctionnement du dispositif. Dans ce cas, on n'effectue plus les commutations pour des raisons de sécurité, et
on incrémente un compteur de mauvais fonctionnement.
Lorsque la durée de la nuit est supérieure à la nuit théorique, c'est que le système n'a pas été utilisé pendant une longue période. On se
retrouve alors dans la situation représentée en figure 5.
Le procédé est mis en oeuvre par un dispositif représenté schématiquement à la figure 14 et qui sera décrit plus en détail dans la suite
de la présente description. Le dispositif de mise en oeuvre comporte
principalement des moyens 300 comprenant des moyens formant microprocesseur comportant des moyens 301 comportant des moyens formant horloge et des moyens formant EEPROM. Le microprocesseur 300 est apte à manipuler des variables pour la mise en oeuvre du procédé. Les moyens 300 comportent une liaison vers des moyens 305 formant ballast, qui sont aptes à commander le régime d'éclairage d'une lampe. Ils comportent également un port ou liaison 306 vers une carte 307 d'alimentation.
VARIABLES UTILISEES DANS LE PROCEDE.
Pour la mise en place du procédé, on va définir plusieurs variables.
La variable TO correspond à l'instant du début de la nuit.
La variable Tl correspond à l'instant de début de régime réduit à
% de la puissance lumineuse.
La variable T2 correspond à l'instant de fin de régime à 75% de
puissance lumineuse à une puissance de 100%.
La variable T3 correspond à l'instant de début de régime réduit à
50% de la puissance lumineuse.
La variable T4 correspond à l'instant de fin de régime à 50% de la
puissance lumineuse.
La variable TMP est une variable tampon servant pour le calcul de TO. La variable time est un compteur courant de durée de la nuit. La variable time_2 est un compteur courant de durée de la nuit, mais qui est systématiquement réinitialisée à zéro lors qu'une mise sous tension
du dispositif.
La variable nuitth est la variable définissant la durée théorique de la
nuit courante et qui est calculée à partir des variables nuitI et nuit_2.
nuit_1 est la variable correspondant à la durée de la nuit précédant la nuit courante, et nuit_2 est la variable correspondant à la durée de la nuit deux fois précédant la nuit courante. Les deux variables nuit_1 et nuit_2
sont stockées dans les moyens EEPROM.
La variable FLAG 0 indique si les nuits sont de durée croissante ou décroissante.
La variable FLAG 2 indique si T2 est inférieure à T4.
La variable FLAG 3 indique si TI est égale à zéro.
La variable FLAG 4 indique si T2 est égale à zéro.
La variable FLAG 5 indique si T3 est égale à zéro.
La variable FLAG 6 indique si T4 est égale à zéro.
La variable nuit correspond à la récupération de la durée de la nuit
courante stockée dans la mémoire EEPROM.
La variable out correspond aux sorties de commutation. Le tableau
suivant montre comment les instructions de commutations sont effectuées.
Pour commuter vers un régime particulier, il suffit d'envoyer à l'instant choisi aux moyens 300 un niveau bas vers la commande régime à 50% de la
puissance lumineuse ou vers la commande régime à 75%.
Commande 75% Commande 75% Mode choisi
1 1 100%
0 1 75%
1 0 50%
O O inutilisé La variable CPTRAZTI correspond à un compteur de nuits sans commutation, c'est-à-dire un indicateur d'un fonctionnement anormal du système. La variable W BUFFER correspond à une sauvegarde du registre de
travail en interruption.
La variable STAT BUFFER correspond à une sauvegarde du registre des statuts en interruption. (OU UTILISE T ON CES VARIABLES ?) La variable EENT correspond à une sauvegarde de la durée de la
nuit courante dans la mémoire EEPROM.
La variable EENT_1 correspond à une sauvegarde de la durée de la
nuit précédente.
La variable EENT_2 correspond à une sauvegarde de la durée de la
nuit deux fois précédant la nuit courante.
La variable EECPTRAZTI correspond à une sauvegarde du
compteur de nuits sans commutation.
CONSTANTES UTILISEES DANS LE PROCEDE. On définit également plusieurs constantes pour la mise en oeuvre
d'un procédé selon l'invention.
La constante pente decI correspond au bit le moins significatif de la
pente de la droite selon la figure 1 en zone décroissante.
La constante pentedech correspond au bit le plus significatif de
pente de la droite en zone décroissante.
La constante pente dece correspond à l'exposant de la pente en
zone décroissante.
La constante pente c_I correspond au bit le moins significatif de la
pente en zone croissante.
La constante pente pente_c_h correspond au bit le plus significatif de
la pente en zone croissante.
La constante pente c_e correspond à l'exposant de la pente en zone croissante. La constante orddec_- correspond à l'ordonnée à l'origine en zone décroissante et la constante orddecI correspond à l'ordonnée à l'origine
en zone croissante.
ETAPES PRINCIPALES DU PROCEDE.
La figure 9 représente schématiquement la succession des étapes possibles d'un procédé de commande autonome de passage en mode
d'éclairage réduit selon l'invention.
Selon cette figure, lors d'une étape référencée par 101, on effectue
une initialisation de l'horloge des moyens 300 de la figure 14.
Lors d'une étape référencée par 102, on effectue une initialisation
des ports du système.
Lors d'une étape 103, on effectue une initialisation des moyens 301 formant horloge pour qu'ils effectuent une interruption toutes les minutes,
comme il sera décrit plus tard dans la présente description.
Lors d'une étape référencée par 104, on effectue une mise à zéro de toutes les sorties de commande. Cette mise à zéro des commandes a pour effet d'avoir un plein régime à l'allumage. La puissance lumineuse est alors
à 100% de la puissance.
Lors d'une étape 105, on effectue une lecture des données sauvegardées dans la mémoire EEPROM. Ainsi lors de cette étape 105: - la variable nuit prend la valeur de la variable EENT; - la variable nuit_1 prend la valeur de la variable EENT_1 - la variable nuit_2 prend la valeur de la variable EENT_2;
- la variable CPTRAZTI prend la valeur de la variable EECPTRAZTI.
Lors d'une étape 106, on effectue une initialisation des variables.
Ainsi: - la variable time_2 prend la valeur zéro; - l'ensemble des variables FLAG prend la valeur zéro; - la variable out prend la valeur zéro. L'étape 107 est une étape de test. Lors de l'étape 107, on regarde si
la valeur de variable nuit est inférieure à 30 minutes.
Si la réponse au test 107 est oui, on passe alors à l'étape 70 o la variable. Lors de l'étape 70, on effectue: - time prend la valeur de la variable time_2 - on effectue l'étape A de calcul de la variable nuitth. L'étape A n'est pas représentée sur les figures. On sait en effet que: nuit-th = (nuit_1 + nuit 2) /2. Ce calcul constitue donc l'étape référencée par A; - on effectue l'étape référencée par E qui est une initialisation des variables Ti, c'est-à-dire des instants de commutation. Les trois principales étapes de l'étape E sont représentées schématiquement à la
figure 13.
Ainsi, lors d'une étape El, on effectue une initialisation des valeurs de base des Ti, c'est-à-dire que: Tl prend la valeur 420. La valeur 420 correspond à une heure de début de passage à 75% de 21hO0. En effet, on rappelle que toutes les variables sont repérées en minutes par rapport à 14hO0. 7 fois 60 minutes sont bien égales à 420 minutes; T2 est mise à la valeur 900, ce qui correspond à 5h00 du matin; T3 est mise à 450, c'est-àdire 21 h 30; et T4 est fixée à 870 c'est-à-dire 4 h 30 du matin. On a alors un schéma de
commutation selon la figure 6.
Avec ces valeurs, on peut régler et faire varier les Ti de leur heure de
base jusqu'à en valeur de base augmentée de 210 minutes.
Lors de l'étape E2, on effectue une scrutation des interrupteurs et on implémente les Ti. Ainsi, on scrute les interrupteurs pour chaque Ti et on affecte les valeurs de Ti en fonction des résultats. L'organisation des interrupteurs et leur lecture sont détaillées plus loin dans la suite de la
description.
Lors d'une étape E3, on effectue un réajustement des Ti par rapport à TO. Lors de cette étape E3, on veut savoir combien de temps il faut compter à partir de l'allumage du réseau pour atteindre les instants de commutations. Pour répondre à cette question, il suffit de faire la différence entre
chaque Ti et TO.
Si Ti (i = 1...4) est inférieur à TO, alors on fixe la valeur du Ti
considéré à zéro.
Sinon, le Ti à implémenter est égal à Ti de l'étape E2 diminué de TO.
is Ainsi, on a bien les valeurs de durées relatives par rapport à l'instant d'allumage TO. Cette dernière étape termine l'étape E. - on n'effectue pas de stockage dans la mémoire EEPROM, ce qui signifie
que les durées ne sont pas prises en compte.
* Si la réponse au test 107 est non, on passe alors à l'étape 108.
L'étape 108 est le test des premières nuits. Lors de l'étape 108, on effectue le test de savoir si la nuit courante est la première ou la deuxième nuit. Si la réponse au test 108 est oui, on passe alors à l'étape référencée par 80. Lors de l'étape 80, on effectue: - time prend la valeur de la variable time_2; - on stocke ces valeurs dans la mémoire EEPROM selon l'étape référencée par C (non représentée sur les figures). Selon l'étape C, on met à jour les variables en EEPROM. On a donc: EENT-1 prend la valeur de la variable nuit; EENT_2 prend la valeur de la variable nuit_1; et
EECPTRAZTI prend la valeur de CPTRAZTI.
- on effectue une remise à zéro des Ti, selon l'étape référencée par B (non représentée sur les figures). L'étape B est une remise à zéro des Ti, ce qui signifie qu'on n'effectue pas de commutation. Les valeurs Tl, T2, T3, T4 sont fixées à des valeurs qui ne peuvent être atteintes par les moyens horloge du microprocesseur. Elles sont donc hors service. Si la réponse au test 108 est non, on passe alors à l'étape 109. Lors de l'étape 109, on effectue cherche à savoir si la nuit courante est la 3ème
nuit d'utilisation.
Si la réponse au test 109 est oui, on passe alors à l'étape 90. Lors de l'étape 90, on effectue: - time prend la valeur de la variable time_2; on stocke ces valeurs dans la mémoire EEPROM selon l'étape référencée par C décrite plus haut; - on relit ces nouvelles valeurs dans les variables de la mémoire vive des 1 5 moyens 300, ou " Read Access Memory " (RAM) selon la terminologie anglo-saxonne généralement utilisée par l'homme du métier; - on effectue le calcul de la durée de la nuit théorique selon l'étape A déjà décrite; et - on effectue une initialisation des variables Ti selon l'étape E également
déjà décrite.
Si la réponse au test 109 est non, on passe à l'étape 110. L'étape est une étape de test de durée. La figure 10 montre plus en détails les
étapes effectuées lors de l'étape 110.
Lors d'une première étape référencée par 1101, on effectue le test
pour savoir si la variable CPTRAZTI est égale à 2.
Si la réponse au test 1101 est oui, on passe alors à l'étape 1010.
L'étape 1010 est une étape dans laquelle on réinitialise le système comme
pour une première nuit, et o on repart au test de première nuit 108.
Si la réponse au test 1101 est non, on passe alors à l'étape 102.
L'étape 1102 est une étape de test o l'on se demande si l'heure de la variable nuit est inférieure à la valeur de la variable nuit-th diminuée de cinq minutes. Les cinq minutes donnent une marge de sécurité sur la durée de la
nuit théorique.
Si la réponse au test 1102 est oui, on passe alors à l'étape 1020.
L'étape 1020 signifie qu'il y a eu une panne de courte durée. Selon l'étape
1020:
- la variable time prend la valeur de la variable nuit, et on recommence à compter en incrémentant la variable time, de façon à avoir la durée de la nuit à partir de cet instant. On se situe alors dans la situation décrite à la figure 4; - on effectue une remise à zéro des variables Ti selon l'étape B déjà décrite. On n'effectue pas de commutation; et
- on incrémente le compteur RAZTI de mauvais fonctionnement.
Si la réponse au test 1102 est non, on passe alors à l'étape 1103.
L'étape 1103 est une étape o l'on teste si la valeur de la variable nuit est
supérieure à la variable nuitth augmentée de cinq minutes.
Si la réponse est oui au test 1103, cela signifie qu'il y a eu un problème dans la mesure des nuits précédentes, et on passe alors à l'étape 1030. L'étape 1030 est une étape selon laquelle: - la variable time prend la valeur de time_2; - les variables nuitI et nuit 2 prennent comme valeur la valeur de la variable nuit, ceci afin que toutes les variables de nuit aient des durées cohérentes; - on réinitialise l'EEPROM avec ces nouvelles valeurs; - on effectue une remise à zéro des variables Ti selon l'étape B. On n'effectue donc pas de commutation; et - on incrémente le compteur CPTRAZTI afin d'avoir un indicatif sur le
mauvais fonctionnement.
Si la réponse au test 1103 est non, on passe alors à l'étape 1104.
L'étape 1104 est un mode de fonctionnement normal. Lors de l'étape 1104, on effectue: - time prend la valeur time_2; - mise à zéro de la variable CPTRAZTI, ce qui signifie qu'on a un fonctionnement normal; initialisation de la mémoire EEPROM selon l'étape C; - initialisation de la variable FLAG 0 selon une étape référencée par F (non représentée sur les figures). Selon l'étape F, si nuitI est supérieure à nuit_2, alors la variable FLAG 0 prend la valeur 1. Sinon, la variable FLAG 0 prend la valeur 0; - on effectue le calcul de TO, en fonction des équations affines entrées dans les moyens formant microcontrôleur 300 et selon l'étape G (non
représentée sur les figures).
Selon l'étape G, on effectue le test de savoir si la variable FLAG 0 est égale à 1.
Si c'est le cas, on utilise les constantes ayant un suffixe 'c' dans la mémoire.
En effet, on se situe alors dans une partie croissante de la durée de la nuit.
Si la variable FLAG 0 est égale à 0, on utilise les constantes ayant le suffixe
dec', puisqu'on se situe dans une partie décroissante.
Ensuite, on effectue le calcul de TO par la formule:
TO = pentex * nuitth + ordx.
La lettre x prend bien entendu soit les valeurs 'dec' soit les valeurs 'c', pour
'décroissante' et 'croissante' respectivement.
Lors de l'étape G, on effectue: - une conversion de la variable nuitth en format virgule flottante; - une multiplication avec TMP=pentex*nuitth; une conversion de TMP en un entier; - TO=ord_x
- TO= TO-TMP
- on effectue, selon la dernière étape de 104, une commutation lors des instants Ti calculés selon l'étape E. Lors d'une étape référencée par 111 et visible sur la figure 9, on
effectue une validation des interruptions lors d'un arrêt du système.
Lors d'une étape 112, on boucle alors avec l'étape numéro 101 avec
une remise à zéro des moyens formant horloge interne du système.
Plusieurs routines d'interruptions sont effectuées lors du déroulement
du procédé selon l'invention.
Par exemple, il génère une routine 13 d'interruption générée toutes les minutes par les moyens 301 du microprocesseur 300. L'étape 13 est représentée plus en détails à la figure 11. Selon l'étape 13, - lors d'une première étape 131, on incrémente les variables time et time_2; - lors d'une deuxième étape 132 de test, on vérifie que la variable time est supérieure à variable nuitth + 10 minutes (les dix minutes étant une
marge de sécurité sur la précision de la durée théorique de la nuit.
Si la réponse au test 132 est oui, on est alors dans le cas o il y a eu une coupure d'alimentation sans rétablissement avant la fin de la nuit. C'est le cas que l'on retrouve à la figure 5. On passe alors à l'étape 1320. Lors de l'étape 1320: - la variable time prend la valeur de la variable time_2; - on effectue une initialisation de la mémoire EEPROM avec la valeur de la variable nuitth selon une étape référencée par D. Selon l'étape D, on met à jour les variables en EEPROM avec les valeurs de nuitth. On a donc: EENT_1 prend la valeur de la variable nuitth EENT_2 prend la valeur de la variable nuitth; et
EECPTRAZTI prend la valeur de CPTRAZTI.
on a ainsi des durées de variables de nuit cohérentes; et - on passe en plein régime pour des raisons de sécurité avec une mise à
zéro de la variable out.
Si la réponse au test 132 est non, ou à la suite de l'étape 1320, on passe à une étape 133. Lors de l'étape 133, on effectue une mise à jour des
sorties en fonction des instants Ti.
On détaille ici la mise à jour des instants Ti en fonction des différentes situations. Le procédé que l'on vient de décrire s'applique avantageusement aux configurations de la figure 6. Le cycle est classique. Il suffit de tester de façon séquentielle les Ti (i = 1, 2, 3, 4) et de changer les sorties de commande de l'éclairage en fonction des tests. Cependant, les figures 7 et 8 représentent des situations plus litigieuses.
La situation de la figure 7 représente un cas o T2 est inférieur à T4.
Dans ce cas, quand la variable time est égale à T2, on ne commute pas.
Quand la variable time a la valeur de T4, commute directement d'une sortie à 50% vers une sortie à 100%, Cette mutation directe de 50% de puissance lumineuse (situation entre T3 et T4) à directement 100%, sans passer par un étage à 75%, explique la présence de la variable FLAG 2 c'est-à-dire la variable qui indique si T2 est inférieure à T4. Il faut donc tester cette 1 5 variable FLAG 2 avant de commuter. Ainsi, dans une situation représentée à la figure 7, un régime à 100% entre TO et Tl passe à un régime 75% entre Tl et T3. Le régime est égal à 50% entre T3 et T4 et passe ensuite à
un régime 100% entre T4 et la fin de la nuit.
La situation présentée à la figure 8 indique un cas o un certain nombre de variables sont inférieures à TO. Dans cet exemple, les variables Tl et T3 sont inférieures à TO. Dans l'étape E, lorsque des variables sont
inférieures à TO, cela équivaut à rendre égales ces variables égales à TO.
Dans la situation de la figure 8, il faut que le système commute dès sa mise en fonctionnement sur le mode approprié, soit en l'occurrence à un régime à 50%. Ainsi dans notre exemple, on passe directement à un mode 50% entre TO et T4, un mode à 75% entre T4 et T2 et enfin un mode à 100%
entre T2 et la fin de la nuit.
Toutes ces opérations sont réalisées dans la routine 13
d'interruption, qui a lieu toutes les minutes.
La figure 12 montre schématiquement les différentes étapes d'une étape 14 se déroulant lors d'une coupure d'alimentation du réseau
d'éclairage public, avec passage sur circuit d'alimentation auxiliaire.
L'étape 14 se décompose comme suit.
- la première étape 141 effectue une invalidation des interruptions; - on écrit en 142 dans la mémoire EEPROM que la valeur de la variable EENT prend la valeur de la variable time. On a bien la situation décrite dans la figure 3; - lors d'une étape 143 on effectue une boucle infinie afin d'éviter de sortir
de l'interruption avant la coupure totale de l'énergie.
Après avoir décrit les principales étapes d'un procédé possible selon l'invention, on va maintenant décrire un mode de réalisation possible d'un
dispositif de mise en oeuvre du procédé.
DISPOSITIF.
La figure 14 montre schématiquement un système permettant la mise
en oeuvre du procédé décrit précédemment.
Ce système comprend principalement un microcontrôleur référencé par 300 comprenant des moyens formant horloge 301, des moyens 302 formant quartz permettant de commander l'horloge 301 du microcontrôleur 300, des moyens 303 formant interrupteurs de commutation et des moyens 304 formant une réserve auxiliaire d'énergie. L'ensemble des moyens 302, 303, 304, sont reliés au microcontrôleur 300. Les moyens formant quartz 302 sont reliés aux moyens 301. Le microcontrôleur comporte également une sortie vers des moyens 305 formant ballast de commande de lampe d'éclairage. Le microprocesseur 300 comporte également une sortie 306, pour une connexion vers une carte d'alimentation 307. Cette sortie génère une
interruption selon l'étape 14 lorsqu'un niveau bas d'alimentation est détecté.
On écrit alors la valeur de la variable time dans mémoire EEPROM.
Le microcontrôleur 300 possède des moyens classiques formant mémoire de programme ou " Read Only Memory " (ROM) selon la terminologie anglosaxonne généralement utilisée par l'homme du métier, des moyens formant mémoire vive ou " Read Access Memory " (RAM) pour gérer les variables déclarées dans les différentes étapes de procédé. Il comporte également une mémoire non volatile EEPROM pour la sauvegarde des variables après interruption de l'alimentation du réseau d'éclairage public. Le micro contrôleur 300 est apte à effectuer tous les
calculs en format flottant.
Le microcontrôleur 300 comporte des moyens formant horloge 301, ainsi que des entrées permettant la connexion entre les moyens 301 et le quartz 302, dont on règle la fréquence d'oscillation. Les moyens 301 génèrent une interruption quand il passe de leur valeur maximale de comptage à une valeur zéro. Ils se rechargent immédiatement avec une i5 valeur d'initialisation et recompte jusqu'à leur valeur maximale (par exemple
FFFF pour des moyens 301 classiques connus de l'homme du métier).
Les moyens 302 commandent les moyens horloge et guident le période d'interruption et d'incrémentation des variables courantes time et time_2 notamment. La période est fixée ici à une minute. Un schéma de
branchement entre les éléments 301 et 302 est représenté à la figure 15.
Un schéma de branchement des moyens 303 formant interrupteurs est représenté plus précisément à la figure 16. Afin de pouvoir coder huit possibilités de réglage, pour chaque instant de commutation, trois interrupteurs sont nécessaires. Pour coder quatre instants il faut donc
douze interrupteurs.
Lors de la scrutation des interrupteurs effectuée lors de l'étape E2, on envoie des signaux d'instruction sous forme de '1' sur les sorties des moyens 300, et on teste les entrées. La figure 17, représentant la table de vérité des interrupteurs 303, montre comment on détermine les heures de commutation en fonction des poids lues en entrée des interrupteurs. On ajoute alors à l'heure de base 120 minutes si un poids fort est validé, 60 minutes si un poids moyens est validé, et 30 minutes si un poids faible est validé. La figure 17 montre ainsi que l'on peut faire varier les valeur Ti de leur valeur de base à leur valeur de base + 210 minutes, si les trois sortes
de poids sont validés en même temps.
Les moyens formant un réservoir d'énergie 304 permettent l'écriture de la valeur des variables sur la mémoire EEPROM après la coupure de l'alimentation. Il faut qu'ils puissent fournir une réserve d'énergie pour une période d'environ 20 ms. La tension d'alimentation du microcontrôleur doit
donc être comprise entre 3V et 5V pendant cette durée.
Un schéma de branchement est représenté à la figure 18. On remarque que l'on fera une résistance en série avec la forte capacité afin d'avoir une pointe de courant à la mise sous tension de l'ensemble. La résistance a une valeur de l'ordre de 1kQ et la capacité a une valeur de
l'ordre de 1 OOpF ou 300pF par exemple.

Claims (17)

REVENDICATIONS
1. Procédé de commande de moyens d'éclairage (305), apte à commuter, à des instants déterminés, les moyens d'éclairage grâce à des moyens de commutation (300) vers un mode d'éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, selon lequel on détermine la durée de la nuit courante à partir de la durée (nuit 1) d'au moins une nuit précédente, caractérisé en ce qu'on détermine, à partir de la durée de la au moins une nuit précédente, l'heure de début de nuit théorique de la nuit courante, heure de début de nuit théorique à partir de laquelle sont repérés les instants (Tl, T2, T3, T4)
de commutation.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'on détermine la durée de la nuit courante à partir des durées (nuit_1, nuit 2) des deux nuits
précédant la nuit courante.
3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'on détermine la durée de la nuit courante par la relation durée = (nuit_1 + nuit-2) /2 o la variable durée représente la durée de la nuit courante, et les variables nuit_1 et nuit 2 représentent respectivement les durées des nuits précédant
la nuit courante.
4. Procédé selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'on
détermine l'heure de début de nuit théorique à partir de la durée de la nuit courante grâce à une équation affine du type: début = -m * durée + p o les variables début et durée sont comptées en minutes, début étant repérés à partir de l'heure 14 heures, m et p étant respectivement les
coefficients directeurs et ordonnée à l'origine de l'équation affine.
5. Procédé selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu'on
détermine la durée des nuits à partir de la durée d'alimentation des moyens d'éclairage, la durée des nuits étant sauvegardée dans une mémoire
(EEPROM) non volatile lors d'une coupure (31) de l'alimentation.
6. Procédé selon la revendication 5, caractérisé en ce que, lors d'une interruption de l'alimentation des moyens d'éclairage, on détermine, lors du rétablissement de l'alimentation, si l'interruption était prévue ou non en comparant une durée (nuit) de nuit courante mesurée à la durée de la nuit
courante théorique.
7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que si la durée de nuit courante mesurée est inférieure à la durée de la nuit courante théorique, alors l'interruption était imprévue et on recompte à partir de i5 l'instant de rétablissement de l'alimentation (42), la durée de la nuit courante, le temps écoulé (54) à partir de cet instant de rétablissement (42) venant s'ajouter à la valeur (56) sauvegardée dans la mémoire non volatile
à la coupure de l'alimentation.
8. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que lorsque la durée de la nuit courante mesurée est plus longue que la durée de nuit courante théorique, alors l'interruption imprévue n'a pas été rétablie avant la fin de la nuit, et on affecte à la valeur (time) mesurant la valeur de la nuit courante la valeur mesurée par un deuxième compteur (time_2) qui est initialisé à
chaque mise sous tension.
9. Procédé selon l'une des revendications 6 à 8, caractérisé en ce que tant
que la valeur de la nuit courante mesurée (time) est inférieure à la durée de la nuit théorique, on n'effectue pas de commutation des moyens d'éclairage
en régime réduit.
10. Procédé selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que
lorsque les moyens de commutation sont inutilisés pendant une longue période, les moyens de commutation (300) se recalent automatiquement
comme lors d'une mise en service.
11. Procédé selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que
les durées des nuits ne sont pas prises en compte lors d'une alimentation
des moyens de commutation inférieures à une certaine durée fixée.
12. Procédé selon l'une des revendications 1 à 11, caractérisé en ce que
les instants (TI, T2, T3, T4) de commutations sont préprogrammés dans les
moyens de commutations ou sont déterminés par un utilisateur.
13. Dispositif comportant des moyens de commutation (300) de moyens d'éclairage (305), aptes à commuter, à des instants (TI, T2, T3, T4) déterminés, les moyens d'éclairage vers un mode d'éclairage d'intensité différente pendant une nuit courante, comportant des moyens (301) aptes à déterminer la durée de la nuit courante à partir de la durée d'au moins une nuit précédente, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (301, EEPROM) aptes à déterminer, à partir de la durée de la au moins une nuit précédente, l'heure de début de nuit théorique de la nuit courante, et des moyens aptes à effectuer la commutation à partir de l'heure de début de
nuit théorique.
14. Dispositif selon la revendication 13, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (301, EEPROM) aptes à déterminer la durée de la nuit courante à
partir des deux nuits précédant la nuit courante.
15. Dispositif selon l'une des revendications 13 ou 14, caractérisé en ce
qu'il comporte des moyens aptes à déterminer la durée des nuits à partir de la durée d'alimentation des moyens d'éclairage et des moyens aptes à sauvegarder (304) la durée des nuits dans une mémoire (EEPROM) non
volatile lors d'une coupure de l'alimentation.
16. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens formant condensateur permettant d'alimenter les moyens de commutation pendant la durée nécessaire à la sauvegarde des durées de nuit.
17. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce qu'il comporte des 1o moyens formant quartz (302) permettant de commander des moyens
horloge compris dans les moyens de commutation.
FR0214866A 2002-11-27 2002-11-27 Procede et dispositif de commande en eclairage reduit Expired - Lifetime FR2847760B1 (fr)

Priority Applications (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR0214866A FR2847760B1 (fr) 2002-11-27 2002-11-27 Procede et dispositif de commande en eclairage reduit

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR0214866A FR2847760B1 (fr) 2002-11-27 2002-11-27 Procede et dispositif de commande en eclairage reduit

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR2847760A1 true FR2847760A1 (fr) 2004-05-28
FR2847760B1 FR2847760B1 (fr) 2006-12-22

Family

ID=32241660

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR0214866A Expired - Lifetime FR2847760B1 (fr) 2002-11-27 2002-11-27 Procede et dispositif de commande en eclairage reduit

Country Status (1)

Country Link
FR (1) FR2847760B1 (fr)

Cited By (7)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
WO2007091175A1 (fr) 2006-02-07 2007-08-16 Spes S.C.P.A. Procédé destiné à moduler l'énergie électrique alimentée dans une lampe et dispositif mettant en oeuvre ce procédé
WO2009012816A1 (fr) * 2007-07-25 2009-01-29 Osram Gesellschaft mit beschränkter Haftung Appareil de commande électronique et système d'éclairage avec au moins une lampe électrique et procédé de commande d'une lampe électrique
EP2285187A1 (fr) * 2009-07-16 2011-02-16 Elektrobau Oschatz GmbH & Co. KG Dispositif de contrôle de l'opération et méthode pour contrôler l'état de fonctionnement d'un ensemble d'éclairage
DE102011107090A1 (de) * 2011-07-11 2013-01-17 Siteco Beleuchtungstechnik Gmbh Ansteuerung von Leuchten
WO2015092598A1 (fr) * 2013-12-18 2015-06-25 Koninklijke Philips N.V. Commande de système d'éclairage en cas de perte de puissance
EP3264865A1 (fr) * 2016-06-29 2018-01-03 LG Electronics Inc. Procédé de commande d'éclairage extérieur et dispositif le mettant en uvre
US10667368B2 (en) 2017-01-17 2020-05-26 Signify Holding B.V. Lighting device with timing circuit synchronisation

Citations (6)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US4172998A (en) * 1977-10-28 1979-10-30 Sigma Instruments Inc. Condition operated load control
DE4418315A1 (de) * 1994-05-26 1995-11-30 L & R Losse Und Ramscheid Date Verfahren und Schaltungsvorrichtung zur Reduzierung des Energieverbrauchs von Straßenbeleuchtungsnetzen u. dgl.
WO1996027823A1 (fr) * 1995-03-06 1996-09-12 A. Ahlstrom Corporation Procede de commande d'un interrupteur et interrupteur actionne par la lumiere
EP0738100A2 (fr) * 1995-03-31 1996-10-16 H.P.M. Industries Pty Limited Dispositif synchronisé à temporisation
EP0825805A2 (fr) * 1996-08-17 1998-02-25 ABBPATENT GmbH Commutateur électrique avec au moins un instant de commutation dépendant du temps
FR2805355A1 (fr) * 2000-02-22 2001-08-24 L2G Dispositif de commande perfectionnee d'une alimentation electrique, notamment pour candelabres d'eclairage public

Patent Citations (6)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US4172998A (en) * 1977-10-28 1979-10-30 Sigma Instruments Inc. Condition operated load control
DE4418315A1 (de) * 1994-05-26 1995-11-30 L & R Losse Und Ramscheid Date Verfahren und Schaltungsvorrichtung zur Reduzierung des Energieverbrauchs von Straßenbeleuchtungsnetzen u. dgl.
WO1996027823A1 (fr) * 1995-03-06 1996-09-12 A. Ahlstrom Corporation Procede de commande d'un interrupteur et interrupteur actionne par la lumiere
EP0738100A2 (fr) * 1995-03-31 1996-10-16 H.P.M. Industries Pty Limited Dispositif synchronisé à temporisation
EP0825805A2 (fr) * 1996-08-17 1998-02-25 ABBPATENT GmbH Commutateur électrique avec au moins un instant de commutation dépendant du temps
FR2805355A1 (fr) * 2000-02-22 2001-08-24 L2G Dispositif de commande perfectionnee d'une alimentation electrique, notamment pour candelabres d'eclairage public

Cited By (7)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
WO2007091175A1 (fr) 2006-02-07 2007-08-16 Spes S.C.P.A. Procédé destiné à moduler l'énergie électrique alimentée dans une lampe et dispositif mettant en oeuvre ce procédé
WO2009012816A1 (fr) * 2007-07-25 2009-01-29 Osram Gesellschaft mit beschränkter Haftung Appareil de commande électronique et système d'éclairage avec au moins une lampe électrique et procédé de commande d'une lampe électrique
EP2285187A1 (fr) * 2009-07-16 2011-02-16 Elektrobau Oschatz GmbH & Co. KG Dispositif de contrôle de l'opération et méthode pour contrôler l'état de fonctionnement d'un ensemble d'éclairage
DE102011107090A1 (de) * 2011-07-11 2013-01-17 Siteco Beleuchtungstechnik Gmbh Ansteuerung von Leuchten
WO2015092598A1 (fr) * 2013-12-18 2015-06-25 Koninklijke Philips N.V. Commande de système d'éclairage en cas de perte de puissance
EP3264865A1 (fr) * 2016-06-29 2018-01-03 LG Electronics Inc. Procédé de commande d'éclairage extérieur et dispositif le mettant en uvre
US10667368B2 (en) 2017-01-17 2020-05-26 Signify Holding B.V. Lighting device with timing circuit synchronisation

Also Published As

Publication number Publication date
FR2847760B1 (fr) 2006-12-22

Similar Documents

Publication Publication Date Title
EP2211300B1 (fr) Procédé de prévision de la production électrique d'un dispositif photovoltaïque
FR2514497A1 (fr) Dispositif de detection numerique de niveau par fil chaud
EP2063328A2 (fr) Circuit électronique de gestion du fonctionnement de périphériques d'une montre
FR2532193A1 (fr) Adoucisseur d'eau programme ou regenere a la demande commande par microordinateur
CA2224937A1 (fr) Procede de regie pour ensemble accumulateur d'energie electrique et agencement de commande pour l'application de ce procede
FR2847760A1 (fr) Procede et dispositif de commande en eclairage reduit
CA2280598A1 (fr) Dispositif electronique portable avec circuit de controle de la decharge d'une batterie, et procede associe
FR2752070A1 (fr) Piece d'horlogerie electronique comportant une generatrice entrainee par un barillet a ressort
EP1286570A1 (fr) Dispositif de commande perfectionnée d'une alimentation électrique, notamment pour candélabres d'éclairage public
EP2690344B1 (fr) Lampe électrique portative à dispositif de contrôle d'un courant d'alimentation et procédé de contrôle d'un courant d'alimentation d'une telle lampe
FR2805355A1 (fr) Dispositif de commande perfectionnee d'une alimentation electrique, notamment pour candelabres d'eclairage public
EP1749494B1 (fr) Appareil de traitement par émission de flashs lumineux, notamment d'épilation
EP1346264B1 (fr) Montre electronique analogique ayant un dispositif de remise a l'heure suite a une insuffisance d'alimentation
EP2172785B1 (fr) Dispositif et procédé de mesure de fréquence dans un module automate
EP2875407B1 (fr) Procede de gestion ameliore d'un appareil electronique
FR2596869A1 (fr) Procede pour arreter une valeur mesuree a un instant considere, et dispositif de mesurage pour la mise en oeuvre de ce procede
EP1982237A2 (fr) Procede de configuration d'un dispositif de commande automatique de volet roulant et dispositif de commande automatique de volet roulant
EP3816760A2 (fr) Procédé de gestion, dans un ballon, d'un volume d'eau dont la température est supérieure à une température prédéterminée
EP1574920B1 (fr) Procédé de gestion d'un affichage d'une information horaire dans un appareil électrique
FR2654850A1 (fr) Predicteur de maree.
EP3902095B1 (fr) Procédé de prévision d'une durée de fonctionnement d'un objet connecté
FR2710205A1 (fr) Procédé de distribution contrôlée d'énergie et dispositif pour la mise en Óoeuvre du procédé.
FR2838288A1 (fr) Procede et dispositif de programmation pour une installation d'arrosage ou d'irrigation et une telle installation
EP1457784B1 (fr) Indicateur de consommation à efficacité améliorée
FR2477282A1 (fr) Dispositif de controle de la capacite de batteries d'accumulateurs

Legal Events

Date Code Title Description
PLFP Fee payment

Year of fee payment: 14

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 15

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 16

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 18

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 19

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 20