FR2816156A1 - Procede de detection d'une sequence de ralenti dans une emission audiovisuelle et appareil mettant en oeuvre le procede - Google Patents

Procede de detection d'une sequence de ralenti dans une emission audiovisuelle et appareil mettant en oeuvre le procede Download PDF

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Abstract

L'invention concerne un procédé de détection d'au moins une séquence de ralenti dans les données vidéo d'une émission audiovisuelle composée de trames. Le procédé détecte des absences de mouvement entre des trames de l'émission audiovisuelle et détermine des motifs de répétition de trames. Ces motifs sont constitués de valeurs d'indicateurs indiquant soit un mouvement, soit une absence de mouvement. Un motif de référence est constitué, puis comparé avec des motifs successifs d'indicateurs de présence ou d'absence de mouvement. Au bout d'un certain nombre d'identités, le procédé émet un signal de détection d'un ralenti, par exemple un signal sonore.L'invention concerne également un appareil conçu pour mettre en oeuvre le procédé.

Description

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L'invention concerne un procédé de détection d'une séquence de ralenti au sein d'une émission audiovisuelle ainsi qu'un dispositif mettant en oeuvre le procédé. L'invention s'applique plus particulièrement à la détection de données vidéo extraites d'une émission audiovisuelle.
Le contexte de la présente invention est celui des appareils de traitement de données audiovisuelles, et notamment les appareils susceptibles de visualiser des émissions audiovisuelles. Certaines émissions contiennent des séquences au ralenti. De telles séquences interviennent par exemple, dans des rencontres sportives et montrent comment une équipe marque un point ou un but. De même, au journal télévisé certains événements sont visualisés au ralenti pour présenter aux téléspectateurs leurs déroulements précis. Ces séquences sont donc des moments importants au cours d'une émission. Supposons qu'un utilisateur allume son appareil et sélectionne une émission Puis, son attention est détournée par d'autres tâches. Il reste cependant intéressé par l'émission et a envie d'en voir au moins les séquences importantes, notamment celles visualisées au ralenti. Les diffuseurs d'émissions ne marquent pas les séquences au ralenti, l'utilisateur n'a donc à ce jour aucun moyen d'être averti de la diffusion de telles séquences Un premier but de la présente invention est de pouvoir détecter des séquences de ralenti sans pour cela imposer au diffuseur d'émissions audiovisuelles de signaler explicitement les dites séquences au sein des émissions.
A cet effet, l'invention concerne un procédé de détection d'au moins une séquence de ralenti dans les données vidéo d'une émission audiovisuelle composée de trames, caractérisé en ce qu'il comporte : - a) une étape de détection de mouvement opérant sur deux trames consécutives extraites des émissions audiovisuelles, la dite étape générant une suite de valeurs de mouvement ou d'absence de mouvement d'indicateurs binaires indiquant respectivement la présence ou l'absence de mouvement entre les deux trames considérées,
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- b) des étapes de détermination d'un motif de répétition de trame composé d'une valeur de mouvement et d'une suite consécutive d'au moins une valeur d'absence de mouvement, le dit motif de répétition ayant une longueur, - c) au moins une étape de constitution d'un motif de référence à partir d'un premier motif de répétition de trame, - d) des étapes de détection de motifs composés d'une suite de valeurs de mouvement et d'absence de mouvement d'une longueur égale à celle du motif de référence, - e) des étapes de comparaison entre le motif de référence et des motifs précédemment déterminés à l'étape d), - f) une étape de comptabilisation dans un compteur dit de confiance du nombre d'identités entre le motif de référence et les motifs déterminés lors des étapes d), - g) une étape de validation de la présence d'une séquence de ralenti lorsque la valeur du compteur de confiance est supérieure à une valeur déterminée (Thaut).
De cette façon, le procédé permet de détecter des séquences de ralenti au sein d'une émission audiovisuelle en traitant directement les données vidéo mémorisées dans un appareil, ce qui évite au fournisseur d'émissions audiovisuelles de marquer préalablement les dites séquences de ralenti. Le procédé permet à l'appareil de distinguer une séquence d'images fixes qui n'évoluent pas, d'une séquence d'images au ralenti qui évoluent lentement.
Selon un premier perfectionnement, le procédé de détection de ralenti permet de calculer le facteur de ralenti. Selon un autre perfectionnement, le procédé comprend une étape d'émission d'un signal d'accrochage, ce signal indique que l'on a détecté un motif de répétition de trame et que peut-être, on est en présence d'une séquence de ralenti.
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Selon un perfectionnement, la valeur du compteur de confiance décroît rapidement à chaque détection d'une différence entre le motif de référence et les motifs de répétition de trames. Selon un autre perfectionnement, la valeur du compteur est plafonnée à une valeur prédéterminée.
Selon un autre perfectionnement, le détecteur de mouvement détecte un mouvement entre deux trames qui ne sont pas consécutives.
Selon un autre perfectionnement, le détecteur fonctionne sur des émissions audiovisuelles de type analogique.
L'invention a aussi pour objet un appareil de traitement d'émissions audiovisuelles comportant une mémoire de stockage d'au moins une partie d'émission audiovisuelle, un détecteur de mouvement détectant un mouvement (M) ou une absence de mouvement (S) entre deux images de même parité de la dite émission audiovisuelle lues de ladite mémoire, caractérisé en ce qu'il comporte en outre un moyen de détermination d'un motif de répétition de trames composé d'une valeur (M) suivie d'une séquence de valeurs (S) comportant au moins une valeur (S), une mémoire de stockage d'un motif dit de référence obtenu par le moyen de détermination d'un motif de répétition de trame, un comparateur comparant le motif de référence avec les motifs enregistrés en sortie du détecteur de mouvement opérant sur les trames issues de l'émission audiovisuelle traitée, un compteur dit de confiance comptabilisant le nombre d'identités déterminé par le comparateur, un moyen d'émission d'un signal de présence d'un ralenti lorsque la valeur du compteur de confiance atteint une valeur déterminée (Thaut) Selon un premier perfectionnement, l'appareil calcule le facteur de ralenti, cette valeur est la somme des nombres de valeurs (M) et de valeurs (S) du motif de référence. Selon un autre perfectionnement.
L'appareil émet un signal d'accrochage lorsque la valeur du compteur de confiance atteint une valeur déterminée (Tbas). Ce signal déclenche la mémorisation de l'émission audiovisuelle dans l'appareil.
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Selon un autre perfectionnement, l'appareil divise la valeur du compteur de confiance par une valeur entière lorsque le comparateur détecte une différence entre le motif de référence et le motif de répétition de trame détecté par le moyen de détermination.
Selon un autre perfectionnement, le détecteur de mouvement détecte un mouvement entre deux trames séparées par au moins une trame. Selon un autre perfectionnement, l'appareil traite les émissions audiovisuelles mémorisées sous forme analogique, le détecteur de mouvement comparant deux signaux analogiques constituant deux trames.
D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront de la description des exemples de réalisation qui vont suivre, pris à titre d'exemples non limitatifs, en référence aux figures annexées dans lesquelles : - la figure 1 représente un récepteur de télévision pour la mise en oeuvre de l'invention, - la figure 2 montre un exemple de motif de mouvement des trames composant une séquence de ralenti, - la figure 3 montre le principe de fonctionnement général du dispositif de détection des séquences de ralenti, - la figure 4 est un schéma d'un automate d'états finis permettant de détecter un motif de mouvement correspondant à une période de ralenti, - la figure 5 montre le traitement appliqué pour valider la détection de séquence de ralenti, lorsqu'un motif de mouvement correspondant à une période de ralenti a déjà été détecté, - la figure 6 représente un schéma général du dispositif de détection de séquences de ralenti
Un appareil susceptible de mettre en oeuvre le procédé est par exemple un récepteur décodeur conforme aux spécifications DVB. Il utilise une couche transport ISO/IEC 13818-1. Ce récepteur est décrit à la figure 1.
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Le récepteur est relié à une antenne 1, elle-même reliée à un syntoniseur (appelé également tuner ). Le signai fourni par le tuner est démodulé par un démodulateur 3 Les données démodulées sont désentrelacées, corrigées par un circuit correcteur d'erreur 4 et transmises à un démultiplexeur 5 qui les filtre en fonction des diverses applications supportées par le récepteur. Le microprocesseur 23 est connecté à une mémoire 12 comportant entre autre le système d'exploitation. La mémoire 12 est illustrée sous la forme d'un bloc unique, mais comporte physiquement plusieurs blocs de nature différente. RAM, ROM, EEPROM, FLASH, etc.... Un générateur de caractères 15 permet la génération de menus de commande ou de graphiques relatifs aux paramètres du récepteur ou à une application particulière. Le signal vidéo généré est multiplexé avec l'un des signaux vidéo en provenance du récepteur vidéo 17 vers une prise Péritel (prise SCART en anglais) reliée à un téléviseur 22. Le circuit de multiplexage 20 est géré par le microprocesseur 23. Le récepteur est aussi équipé d'une télécommande 1, reliée au microprocesseur par une liaison infrarouge 24.
Pour la clarté du schéma, seules les connexions les plus importantes du microprocesseur 23 sont illustrées
Les sections ou paquets audio ou vidéo filtrés par le démultiplexeur sont stockés dans des zones prédéfinies d'une mémoire tampon 6. Le récepteur comporte également un disque dur 25 relié au microprocesseur par une Interface 26 permettant des transferts rapides d'informations. Le programme exécutable par le microprocesseur 23 analyse les données stockées dans la mémoire tampon 6 par le démultiplexeur 5 et sélectionne celles qui doivent être envoyées sous la forme d'image à l'écran de télévision 22.
Présentons maintenant un exemple d'utilisation de l'invention.
L'utilisateur sélectionne une émission audiovisuelle mais, occupé par d'autres tâches, il ne regarde pas l'écran. Néanmoins, il désire être averti lorsque des séquences au ralenti sont visualisées. Ces séquences qui apparaissent au journal télévisé ou dans des rencontres sportives par
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exemple, sont généralement les plus Intéressantes. Il programme donc son récepteur afin qu'il émette un signal sonore chaque fois qu'une séquence de ralenti est détectée. Le système d'exploitation contient un module logiciel de détection de ralenti qui analyse les données de l'émission audiovisuelle et émet un bref signal sonore à destination des haut-parleurs du téléviseur 22.
L'utilisateur ainsi averti peut le temps de la visualisation de la séquence de ralenti regarder l'écran, puis reprendre la tâche interrompue.
Il existe d'autres utilisations d'un détecteur de séquences de ralenti. Par exemple, un tel détecteur peut contrôler l'enregistrement de l'émission audiovisuelle dans le disque dur 25 qui mémorise ainsi de façon chronologique les séquences de ralenti de l'émission. Plus tard et en toute tranquillité, l'utilisateur pourra visualiser ces séquences.
Nous allons maintenant décrire un exemple de réalisation du procédé permettant une telle détection. On rappelle que fort avantageusement, ce procédé évite toute modification des données par le fournisseur de contenu audiovisuel, et notamment l'emploi d'un identifiant de séquences de ralenti mis en place par le diffuseur d'émissions.
Afin de mieux comprendre comment fonctionne le détecteur, on va décrire comment une séquence de ralenti par répétition de trames est produite. La figure 2 montre une séquence initiale nommée Sini . A partir de cette séquence, on réalise un séquence de ralenti nommée Sral . En triplant le nombre de trames diffusées, cette diffusion prenant trois fois plus de temps, la séquence est visualisée trois plus lentement que la séquence de départ Sini . Le facteur de ralenti dans cet exemple est égal à 3.
Le présent exemple de réalisation utilise un détecteur de mouvement qui analyse deux trames consécutives extraites d'une émission audiovisuelle et qui détermine si elles diffèrent de manière significative ou non. Un détecteur de répétition de trames utilise les valeurs de sortie de ce détecteur pour déterminer si les images sont totalement statiques ou si elles
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sont en mouvement dans le temps En effet, le détecteur de ralenti doit pouvoir distinguer des séquences contenant des images fixes tel que la présentation d'un tableau de peintre, des séquences à vitesse normale, et des séquences de ralenti où les Images évoluent lentement afin de ne détecter que ces dernières. Seule les séquences correspondant à la troisième catégorie doivent être détectées.
La figure 3 montre le principe de fonctionnement général du dispositif de détection des séquences de ralenti faisant l'objet de l'invention.
Le dispositif reçoit en entrée les signaux vidéo diffusés et les stocke dans une mémoire vidéo 61 qui fait partie de la mémoire 12. Les données vidéo sont lues de la mémoire 61 et transmises à un détecteur de mouvement 62 par deux sorties correspondant aux signaux de deux trames Tprec et Tsuiv consécutives. Le détecteur de mouvement 62 opère en calculant par des seuils les différences inter-trames, c'est-à-dire l'accumulation, sur tout ou partie des trames, de la différence de luminance entre les pixels situés à la même position dans les deux trames. Il fournit, pour chaque couple de trames en entrée, un indicateur dit de mouvement de type booléen La valeur de l'indicateur de mouvement est M ( M : Mouvement) SI le détecteur détecte un mouvement entre les deux trames analysées ou S ( S . Statique) si les deux trames sont identiques parfaitement ou de façon significative. La succession des valeurs M et S de l'indicateur au cours du temps est analysée par le détecteur de répétitions de trames 63, qui positionne à sa sortie un booléen indiquant si la séquence vidéo d'entrée correspond ou non à un ralenti
La détection des motifs de mouvement correspondant à des ralentis s'effectue en deux étapes - 10 étape : on cherche à détecter, dans la succession de valeurs M et S en sortie du détecteur de mouvement, un motif de répétition de trame.
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- 20 étape. on corrèle, pendant plusieurs périodes de ralenti, la sortie du détecteur de mouvement avec le motif de répétition de trame détecté à la première étape, et on valide ou non la détection de ralenti en fonction du nombre d'identités observées entre le motif issu du détecteur de mouvement et le motif attendu.
Revenons à la figure 2, celle-ci montre un exemple de suite de valeurs d'indicateurs en sortie du détecteur de mouvement, qui correspond à un ralenti de facteur 3 généré par répétition de trames. En analysant la succession des valeurs, on constate qu'elle présente un motif caractéristique dit motif de référence . Dans l'exemple, celui apparaît périodiquement toutes les trois trames, il comporte une transition avec du mouvement (noté M sur la figure 2) suivie de deux transitions sans mouvement ou statiques (noté S sur la figure 2). Le motif de référence est en l'occurrence : [M-S-S]. Le motif de référence obtenu à l'aide des valeurs de sortie du détecteur de mouvement, consiste en un indicateur M , immédiatement suivi d'une séquence d'indicateurs S consécutifs. Le nombre de symbole M et S du motif de référence est égal au rapport de ralenti noté N. Dans l'exemple, le motif de référence est M-S-S, ces trois valeurs traduisent le fait que la même trame se répète trois fois, le rapport de ralenti N est donc égal à 3 (= 1 +2)
Le motif de référence représenté à la figure 2 est constitué d'une valeur M et de deux valeurs S (N=3). Il est aisé de généraliser ce motif à des rapports de ralenti N entiers égaux à 2 ou plus, le motif de référence étant alors constitué d'un indicateur M suivi de (N-1) indicateurs S . Si on est en présence d'un ralenti, le motif de référence se reproduit à l'identique en sortie du détecteur de mouvement. La détermination du rapport de ralenti N est une donnée importante qui est liée à chaque séquence de ralenti et qui peut servir lors de la visualisation. Par exemple, l'utilisateur peut désirer visualiser les séquences de ralenti
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diffusées à vitesse normale en envoyant à l'écran qu'une image sur N, ce qui a pour effet d'accélérer dans le même rapport la séquence de ralenti.
La figure 4 est un schéma d'un automate d'états finis permettant de traiter les motifs des valeurs d'indicateurs. Ce dessin est conforme au standard UML pour les machines d'état Le principe de la détection de motif répétitif est le suivant il s'agit de repérer, en sortie du détecteur de mouvement, les séquences constituées d'un indicateur M suivi d'au moins un S . Lors de la réception d'un M , on initialise à 1 un compteur C1 qui va déterminer la période du motif détecté, qui correspond au rapport de ralenti si la détection est validée. Après réception du M , on attend un S) . Si l'indicateur reçu ne correspond pas à la valeur attendue, l'automate retourne dans son état initial. Dans le cas contraire, le compteur C1 est incrémenté. Après réception du premier S consécutif à un M , on boucle sur la réception de S en incrémentant à chaque nouvel indicateur S le compteur C1. La réception d'un M représente la fin d'une période de répétition, et déclenche la fin de la première étape de détection du motif de répétition. Le motif détecté n'est toutefois validé que lorsque sa longueur, donnée par la valeur du compteur C1, est inférieure à une période maximale Pmax prédéterminée, correspondant au rapport de ralenti maximal admissible.
Pendant toute cette phase de détection, le motif de mouvement n'étant pas validé comme correspondant à un ralenti, il convient d'indiquer à chaque période trame que l'on n'a pas détecté de séquence de ralenti.
La figure 5 illustre le traitement appliqué pour valider la détection de séquence de ralenti sur les données issues du détecteur de mouvement, à partir du rapport de ralenti estimé dans la phase de détermination.
La validation de la détection d'une séquence de ralenti consiste à comparer des blocs de N valeurs consécutives commençant par un aM ,
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avec un motif de référence déterminé lors de l'étape de détection, et à vérifier leur identité. Le motif de référence est construit en fonction de la période de répétition calculée lors de la première étape, et est constitué d'une valeur M suivie d'autant de valeurs S que nécessaire afin de compléter la période. Suivant qu'il y a identité ou non, sur une période de répétition du motif, entre la suite de valeur M et S à la sortie du détecteur de mouvement et le motif de référence, on vient modifier la valeur d'un compteur de confiance, initialisé à 0, de la manière suivante : . S'il Y a identité avec le motif de référence, on rajoute une unité au compteur. L'addition s'effectue jusqu'à une valeur prédéterminée CONFmax. Dans le présent exemple de réalisation, la valeur de CONFmax est égale à : 32. e Si au moins un symbole diffère, on effectue une division entière par deux du compteur de confiance.
Si aucune identité n'est détectée, la valeur du compteur de confiance reste à 0 . Si il y a identité, le compteur croît lentement jusqu'à une valeur plafond. Le compteur de confiance peut être représenté par un octet. Par contre s'il n'y a plus identité, le compteur décroît rapidement.
Il faut noter que le motif de référence correspond en réalité à une phase particulière, parmi toutes les phases possibles dans une période de répétition, du motif de mouvement de référence. Il convient par conséquent de synchroniser le processus de validation avec la sortie du détecteur de mouvement de manière à ce que le groupe d'échantillons issu du détecteur de mouvement comporte en premier lieu un indicateur M , puis les indicateurs S . Cette synchronisation s'effectue naturellement, dans la mesure où l'état de sortie du processus de détection correspond précisément à cette phase. Il suffit donc d'effectuer la lecture du premier groupe de valeurs d'indicateurs de mouvement en vue de la validation dans la foulée de la détection pour que la mise en phase soit correcte.
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La valeur du compteur de confiance est ensuite comparée à chaque réception de motif à deux seuils de valeurs prédéterminées, un seuil haut Thaut (inférieur à CONFmax) et un seuil bas Tbas : e Si la confiance est supérieure à Thaut, on considère que la détection de ralenti est validée et on positionne l'indicateur de sortie du système en conséquence, on reste en phase de validation et on vient donc lire un nouveau groupe de symboles, correspondant à la période de répétition estimée composée de N valeurs d'indicateurs en sortie du détecteur de mouvement, que l'on compare au motif de référence ; 'Inversement, si la confiance est inférieure au seuil bas Tbas, on considère que l'on est en présence d'une détection de ralenti erronée, on ne valide pas la présence d'une séquence de ralenti. e Si la confiance est comprise entre les deux seuils Thaut et Tbas, on indique que l'on n'est pas en présence d'un ralenti, mais on poursuit la validation en venant traiter un nouveau groupe de symboles en provenance du détecteur de mouvement.
La valeur plafond CONFmax du compteur de confiance étant 32, les valeurs Thaut et Tbas sont par exemple respectivement 16 et 8. Le signal délivré appelé ACC (pour Accrochage ) lorsque la confiance est comprise entre les deux seuils Thaut et Tbas, indique qu'au moins deux motifs de ralenti ont été détectés mais ce n'est pas suffisant pour être sûr d'être en présence d'un ralenti. Lorsque la valeur du compteur de confiance atteint Thaut, on est certain qu'un grand nombre de coïncidences consécutives entre le motif observé et le motif de référence se sont produites, on peut alors valider la détection de ralenti.
Lorsque apparaît une séquence de ralenti, le compteur de confiance est incrémenté lors de chaque identité observée entre le motif issu du détecteur de mouvement et le motif de référence. Il faut donc 32 identités pour que le compteur atteigne son plafond Supposons maintenant que la séquence de ralenti cesse. Lors de la première différence avec le motif de référence, la valeur du compteur devient égale à 16. Le signal de détection
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de ralenti est donc toujours activé Lors de la seconde différence consécutive, le compteur a la valeur 8, le signal de détection de ralenti est désactivé, mais celui d'accrochage reste actif. Ce n'est qu'à la troisième différence (la valeur du compteur est égale à 4) que les deux signaux sont désactivés.
Un perfectionnement de la présente invention consiste à utiliser le signal ACC pour déclencher le stockage des trames de l'émission audiovisuelle reçue dans une mémoire temporaire (une partie du disque dur 25 par exemple). Si finalement, aucune séquence de ralenti n'est détectée, le compteur de confiance retombant en dessous de la valeur Tbas, alors ces données seront écrasées. Sinon, elles sont stockées en mémoire aux adresses précédant celles de la séquence de ralenti effectivement détectée. De cette façon, la quasi-totalité de la séquence de ralenti forme un bloc continu et peut être visualisée sans Interruption.
La figure 6 représente un schéma général du dispositif de détection de séquences de ralenti.
Le flux d'entrée comporte entre autres choses les informations de luminance et de chrominance des pixels constituant les trames du signal vidéo. Ces Informations sont stockées dans une mémoire vidéo possédant un double accès lecture, de façon à pouvoir fournir simultanément au détecteur de mouvement les valeurs de luminance des pixels appartenant à une première trame Tprec et à une deuxième trame Tsuiv, et occupant les mêmes emplacements à l'intérieur de ces deux trames. Un exemple de réalisation d'un détecteur de mouvement consiste en un circuit électronique permettant d'accumuler les différences de luminance des pixels issus de Tprec et Tsuiv, et de comparer les seuils des résultats de cette accumulation afin de fournir à sa sortie un indicateur binaire M/S , synchrone des trames vidéo d'entrée, signalant la présence (M) ou l'absence (S) de mouvement entre les deux trames traitées. Les valeurs comparées par le comparateur sont déclarées identiques si elles ne diffèrent pas d'un certain
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Figure img00130001

pourcentage. Ce pourcentage est de 10% dans le présent exemple de réalisation. Ce circuit électronique peut être réalisé par des composants électroniques discrets ou par un circuit intégré spécialisé (ASIC : "Application Specific Integrated Circuit"en langue anglaise) ou encore par un module logiciel utilisant les ressources de calcul et de mémoire d'une unité de traitement.
Les valeurs en sortie du détecteur de mouvement sont fournies au bloc de traitement exécutant l'automate d'état qui détecte la présence d'une séquence de ralenti. Ce bloc dispose d'un accès en lecture et en écriture au compteur Ci dont la fonction est de calculer la période de répétition du motif de mouvement. Le calcul s'effectue en comptabilisant le nombre d'indicateurs M (donc une unité) et d'indicateurs S. Après détection d'une période d'un motif de ralenti, la valeur du compteur C, est mémorisée et le compteur Cl est mis à zéro. Le motif de répétition ainsi détecté constitue le motif de référence ; il est stocké dans une mémoire. La valeur du compteur mémorisée constitue la période de répétition du motif de référence, et correspond au rapport de ralenti.
La sortie du détecteur de mouvement alimente en deuxième lieu une mémoire tampon permettant le stockage d'une suite de valeurs M et S constituant la sortie du détecteur de mouvement, de longueur égale à celle du motif de référence. Le contenu de cette mémoire tampon est ultérieurement comparé au motif de référence. La capacité de ce tampon doit être dimensionnée en fonction de la valeur maximale Pmax de la période de répétition du motif de mouvement, qui coïncide avec la valeur maximale du rapport de ralenti que l'on cherche à détecter.
En l'absence ou au début de l'apparition d'une séquence de ralenti, le dispositif de détection 63 fournit en sortie un signal binaire indiquant, à chaque période trame, que l'on n'a pas détecté de séquence de ralenti, puisque le motif de répétition de mouvement correspondant à un possible ralenti n'a pas encore été validé Ce bloc contrôle également le déclenchement du processus de validation du motif de ralenti. Il fournit enfin
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Figure img00140001

au bloc de validation du motif la valeur de la période de répétition du motif, et le signal ACC.
La valeur de la période de répétition du motif permet la construction, par le bloc de validation, du motif de référence. Cette construction peut avantageusement être mise en oeuvre au moyen d'une
Figure img00140002

Look-Up-Table selon la terminologie anglaise, adressée par la valeur de la période de répétition détectée, et comportant, pour chaque valeur de cette période considérée comme valide, la séquence des indicateurs M/S constituant le motif de référence.
Le bloc de validation du motif de ralenti compare la suite de valeurs M et S stockée dans le tampon alimenté par la sortie du détecteur de mouvement, et le motif de référence stocké dans la Look-UpTable . Ce bloc valide le résultat de la comparaison au moyen du compteur de confiance introduit précédemment, pour fournir en sortie un signal binaire indiquant, à chaque période trame, si l'on est ou non en présence d'une séquence de ralenti.
Le bloc de validation du motif de ralenti comporte enfin une sortie vers le bloc de détection, afin de pouvoir réinitialiser et relancer le processus de détection dans le cas où la validation du motif de ralenti échouerait.
Les blocs de détermination et de validation du motif de ralenti, ainsi que le compteur C, et les mémoires tampon et LUT, peuvent avantageusement être Implémentés par un module logiciel utilisant les ressources d'un processeur ou unité de traitement comportant, entre autres, une Unité Arithmétique et Logique et des registres permettant le stockage des variables intermédiaires du traitement. Les constantes de traitement telles que Tbas, Thaut et CONFmax peuvent être stockées dans une mémoire non volatile de type ROM (Read Only Memory selon la, terminologie anglaise)
L'ensemble des éléments représenté dans le dispositif de la figure 6 est piloté par des signaux de synchronisation relatifs à l'échantillonnage
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Figure img00150001

des pixels vidéo, des lignes de pixels et des trames, disponibles à l'entrée du dispositif en même temps que le flux vidéo.
Si au cours de l'émission, les images initiales évoluent très peu, le détecteur de mouvement pourrait détecter leur identité. Pour éviter cela, selon un perfectionnement de l'invention, le détecteur de mouvement ne compare pas deux trames qui se suivent mais deux trames séparées par au moins une autre trame.
Il doit être évident pour les personnes versées dans l'art que la présente invention permet des modes de réalisation sous de nombreuses autres formes spécifiques sans l'éloigner du domaine d'application de l'invention comme revendiqué. Par conséquent, les présents modes de réalisation doivent être considérés à titre d'illustration mais peuvent être modifiés dans le domaine défini par la portée des revendications jointes.
En particulier, l'invention ne se limite pas aux décodeurs de télévision mais peut s'appliquer à tout dispositif de traitement d'émissions audiovisuelles.

Claims (13)

REVENDICATIONS.
1. Procédé de détection d'au moins une séquence de ralenti dans les données vidéo d'une émission audiovisuelle composée de trames, caractérisé en ce qu'il comporte : - a) une étape de détection de mouvement opérant sur deux trames consécutives extraites des émissions audiovisuelles, la dite étape générant une suite de valeurs de mouvement (M) ou d'absence de mouvement (S) d'indicateurs binaires indiquant respectivement la présence ou l'absence de mouvement entre les deux trames considérées, - b) des étapes de détermination d'un motif de répétition de trame composé d'une valeur de mouvement (M) et d'une suite consécutive d'au moins une valeur d'absence de mouvement (S), le dit motif de répétition ayant une longueur, - c) au moins une étape de constitution d'un motif de référence à partir d'un premier motif de répétition de trame, - d) des étapes de détection de motifs composés d'une suite de valeurs de mouvement (M) et d'absence de mouvement (S) d'une longueur égale à celle du motif de référence, - e) des étapes de comparaison entre le motif de référence et des motifs précédemment déterminés à l'étape d), - f) une étape de comptabilisation dans un compteur dit de confiance du nombre d'identités entre le motif de référence et les motifs déterminés lors des étapes d), - g) une étape de validation de la présence d'une séquence de ralenti lorsque la valeur du compteur de confiance est supérieure à une valeur déterminée (Thaut).
2. Procédé de détection d'une séquence de ralenti selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il comporte une étape de calcul d'un
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facteur de ralenti, le dit facteur étant égal au nombre d'indicateurs de mouvement (M) et d'absence de mouvement (S) constituant le motif de référence.
Figure img00170001
3. Procédé de détection d'une séquence de ralenti selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce qu'il comporte une étape de validation d'un signal d'accrochage lorsque la valeur du compteur de confiance est supérieur à une valeur déterminée (Tbas).
4. Procédé de détection d'une séquence de ralenti selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'étape de comptabilisation effectue une diminution de la valeur du compteur de confiance lorsque l'étape d) détecte une non-égalité.
5. Procédé de détection d'une séquence de ralenti selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'au cours de l'étape de comptabilisation, la valeur du compteur de confiance est plafonnée.
6. Procédé de détection d'une séquence de ralenti selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'étape de détection de mouvement a) détecte un mouvement entre deux trames séparées par au moins une autre trame
7. Procédé de détection d'une séquence de ralenti selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'émission audiovisuelles est de type analogique, le détecteur de mouvement comparant deux signaux analogiques constituant deux trames.
8. Appareil de traitement d'émissions audiovisuelles comportant une mémoire de stockage d'au moins une partie d'émission audiovisuelle, un détecteur de mouvement détectant un mouvement (M) ou une absence de mouvement (S) entre deux images de même parité de la dite émission audiovisuelle lues de ladite mémoire, caractérisé en ce qu'il comporte en outre un moyen de détermination d'un motif de répétition de trames
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composé d'une valeur de mouvement (M) suivie d'une suite de valeurs d'absence de mouvement (S) comportant au moins une valeur d'absence de mouvement (S), une mémoire de stockage d'un motif dit de référence obtenu par le moyen de détermination d'un motif de répétition de trame, un comparateur comparant le motif de référence avec les motifs enregistrés en sortie du détecteur de mouvement opérant sur les trames issues de l'émission audiovisuelle traitée, un compteur dit de confiance comptabilisant le nombre d'identités déterminé par le comparateur, un moyen d'émission d'un signal de présence d'un ralenti lorsque la valeur du compteur de confiance atteint une valeur déterminée (Thaut).
Figure img00180001
9. Appareil de traitement d'émissions audiovisuelles selon la revendication 8, caractérisé en ce qu'il comporte en outre une mémoire contenant la valeur dite facteur de ralenti , ladite valeur étant égale au nombre d'indicateurs de mouvement (M) et d'absence de mouvement (S) constituant le motif de référence.
10. Appareil de traitement d'émissions audiovisuelles selon la revendication 8 ou 9, caractérisé en ce qu'il comporte en outre un moyen d'émission d'un signal dit d'accrochage lorsque la valeur du compteur de confiance atteint une valeur déterminée (Tbas), le signal d'accrochage déclenchant la mémorisation de l'émission audiovisuelle dans l'appareil.
11. Appareil de traitement d'émissions audiovisuelles selon l'une quelconque des revendications 8 à 10, caractérisé en ce qu'il comporte un diviseur de la valeur du compteur de confiance, le dit diviseur étant activé lorsque le comparateur détecte une différence entre le motif de référence et le motif d'indicateurs de mouvement (M) ou d'absence de mouvement (S) enregistré en sortie du détecteur de mouvement.
12. Appareil de traitement d'émissions audiovisuelles selon l'une quelconque des revendication 8 à 11, caractérisé en ce que le détecteur de mouvement détecte un mouvement entre deux trames séparées par au moins une autre trame
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13. Appareil de traitement d'émissions audiovisuelles selon l'une quelconque des revendication 8 à 12, caractérisé en ce que les émissions audiovisuelles sont mémorisées sous forme analogique, et en ce que le détecteur de mouvement compare deux signaux analogiques constituant deux trames.
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Citations (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE19737889A1 (de) * 1996-08-29 1998-03-05 Lg Electronics Inc Methode zur automatischen Auswahl und Aufnahme hervorgehobener Szenen
EP1026887A2 (fr) * 1999-02-01 2000-08-09 Sharp Kabushiki Kaisha Système de gestion d'information audiovisuelle

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