FR2722650A1 - Leurre de peche en profile arque souple - Google Patents

Abstract

Leurre de pêche souple ayant sur tout ou partie de son corps une forme de virgule, d'arc de cercle, de secteur d'anneau, de lunule, ou de courbe approchante, de manière à induire, lors de son redressement sous l'effet des filets d'eau, des torsions qui engendrent un mouvement et des vibrations semblant animales.La partie arquée (6) est constituée de deux ou plusieurs surfaces (7 et 8), longilignes et perpendiculaires deux à deux, ou formant un angle non négligeable entre elles, de manière à obtenir un "profilé" arqué, semblant être un volume longiforme en arc de courbe qui a tendance à se redresser sous l'effet des filets d'eau glissant le long des plans initiaux, mais en réagissant avec eux en torsions grâce à l'élasticité du matériau, ce qui crée des surfaces torses perpendiculaires complexes, encore plus aptes à onduler selon un cycle alternatif non vrillant, similaire à la nage de poissons, d'anguillidés ou autres animaux longiformes. L'association de plusieurs profilés arqués simule les tentacules ou pattes des céphalopodes ou batraciens, et de nombreux animaux aquatiques.

Description

1i 2722650 L'invention présentée consiste en un leurre de pêche, et ses

dérivés, faisant partie de la catégorie des leurres souples en forme générale de virgule, d'arc de cercle, ou de courbe approchante et ayant une nage ondulante se voulant similaire à celle des anguillidés. Toujours selon l'invention, plusieurs leurres courbes de cette famille placés en éventail ou en "jupe" simulent quant à eux la forme et la nage des calamars, seiches, poulpes ou grenouilles, c'est-à-dire des céphalopodes, des

batraciens ou autres animaux aquatiques.

Depuis très longtemps la tradition des pêcheurs a permis la fabrication de leurres appelés communément "virgules" constitués sur l'arrière d'une lanière peu épaisse, en forme de croissant, de faucille ou d'arc de cercle tenant lieu de queue

et possédant à l'avant une forme de corps de poisson longiforme.

Cependant la queue étant plane et peu épaisse, il ne s'y produit souvent que des frisottements ou des ondulations minimes, peu naturelles et trop rapides, ce qui ne permet pas aux vibrations d'alerter les poissons chasseurs au loin et n'imite pas vraiment

les animaux cités.

Dans le cas du leurre-type présenté ici, à cause de la forme particulière de sa queue, qui possède des nervures formant des surfaces longituginales perpendiculaires au plan général de la queue, associée à la souplesse en torsion de la partie qui précède éventuellement la queue, de nouveaux phénomènes hydrodynamiques complexes, aléatoires et alternatifs, se produisent. Le résultat est bien meilleur qu'avec les leurres habituels de

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cette catégorie et, par exemple, le leurre comprenant une seule queue en arc ondule entièrement et nerveusement de la tête à la queue d'une manière parfois hésitante, exactement comme un petit anguillidé appelé civelle ou piballe, qui est une des proies favorites des poissons et dont ils se montrent très friands. De même, la juxtaposition de plusieurs de ces leurres unitaires donne un effet visuel et vibratoire très supérieur à ce qui se

fait habituellement dans la catégorie des leurres à jupe.

Historique: On connaît les leurres souples en forme de lançon, à palette caudale perpendiculaire au plan de la queue elle-même, laquelle est alors en forme de lanière sensiblement rectiligne (brevet US 4 044 492, Ingram, par exemple). Ces leurres très courants sont différents de ceux présentés ici, par le fait que la partie palette, en travers à l'extrémité de leur queue, a non seulement une toute petite surface se greffant sur une petite longueur de l'extrémité caudale, mais aussi, bien qu'étant perpendiculaire au plan de la queue, elle n'est pas orientée selon la courbe de l'arc formé par la lanière de queue, si tant est que cette

dernière soit légèrement courbée.

De même, les leurres à queue en virgule ont leur partie arquée plane et lisse. Tout au long de leur histoire très ancienne ne semblant pas débuter par un brevet, il n'apparaît pas qu'ils aient jamais possédé de nervures longitudinales continues perpendiculaires au plan de la queue. Dans une version de la présente invention à plusieurs plans perpendiculaires successifs (lamelles) placés en diagonale par rapport à l'axe de la queue,

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une ressemblance pourrait être évoquée avec le brevet US 3 983 656, mais celui-ci ne place pas de lamelles sur sa queue en faucille et celles qui sont sur le corps droit sont perpendiculaires à l'axe des filets d'eau ce qui n'est pas le cas pour la variante présentée plus loin avec les lamelles en

ellipses diagonales.

Enfin, les leurres à jupe, dérivés des épis de mais ancestraux, ont une tête et des filaments placés dans l'axe selon un cylindre, ces filaments pouvant être des fils, des plumes ou des lanières plastiques souples linéaires ou à perles successives (mais non nervurées en long) qui suivent passivement les filets d'eau tourbillonnant derrière la tête. Ils n'est pas observé qu'ils aient de tentacules actives en elles-mêmes et capables de

réagir en torsion avec les filets d'eau.

En règle générale, il ne semble donc pas qu'une telle

disposition sur un leurre souple ait été proposée.

La partie active commune à toute cette famille de leurre étant

le profilé arqué la description portera en priorité sur celui-

ci. La partie caudale (6), ou tentacules, ou pattes simulées de cette famille de leurres est constituée d'une longue queue en faucille ou en virgule, qui a une forme classique en vue par le côté, mais une structure en volume bien particulière qui fait l'objet principal de l'invention: En effet, la partie arquée est constituée d'au moins deux surfaces longilignes (7 et 8) sensiblement perpendiculaires l'une à l'autre (coupe en croix "+", dans l'exemple le plus

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simple), ou du moins formant un angle non négligeable entre elles, de manière à obtenir une forme de profilé semblant à l'oeil être un volume longiforme arqué, comme une portion d'anneau au repos et un corps d'anguillidé (ou un tentacule) S sinueux lorsqu'il sera redressé par la force des filets d'eau,

par exemple (fig. 2).

Comme il est représenté en figure 2, cette queue ou tentacule, présentant deux ou plusieurs surfaces perpendiculaires dans sa longueur, a tendance à se redresser sous l'effet des filets d'eau (9) glissant le long des dîtes surfaces initiales. Mais ce profilé arqué réagit immédiatement par des torsions axiales aléatoires, grâce à l'élasticité du matériau, ce qui crée des surfaces torses complexes (10 et 11), restant sensiblement perpendiculaires et encore plus aptes à onduler selon un cycle alternatif en se faisant lécher par les filets d'eau (9), d'autant plus que les plans délimitent des volumes longiformes

ouverts cherchant à canaliser les filets d'eau.

De plus, le travail de la queue se vrillant à droite ou à gauche induit des torsions qui se propagent jusqu'à l'avant de la tête souple avec des oscillation entretenues ou contrariées; cette semi-liberté oriente la partie avant du profilé selon des angles

latéraux (12) non négligeables par rapport aux filets d'eau (9).

Les plans de cette partie (12) produisent alors un effet de gouvernail alternatif sur l'avant du corps le faisant osciller à droite et à gauche (puisque l'avant ne peut tourner sur son axe longitudinal ni "faire des tonneaux" à cause du lestage suffisant de la tête sous le point de tire, selon le principe

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des hameçons lestés en tête).

L'ensemble du leurre donne alors un effet visuel, ondulatoire et vibratoire depuis l'extrême avant jusqu'à l'extrême arrière, similaire en tous points à la nage de poissons, d'anguillidés ou autres animaux longiformes, même à une très faible vitesse, et dans le cas de queues multiples on simule la nage des décapodes et octopodes marins (calamars, seiches et poulpes), en particulier lors des arrêts o les tentacules s'ouvrent en corolle, toutes animations naturelles très intéressantes pour la

pêche aux leurres.

Résumé des figures: La figure 1 représente le leurre de démonstration le plus simple à profil en croix, avec sur la même ligne une vue par le côté,

en perspective et de face.

La figure 2 représente le même leurre étendu sous l'action des

filets d'eau en vue de côté et de face, puis en vue du dessus.

La figure 3 représente les coupes symboliques de divers profilés

en figuration non limitative.

La figure 4 représente des exemples non limitatifs de coupes de profilés possédant un tunnel axial pour y passer un fil et la

hampe de l'hameçon.

La figure 5 représente un leurre lesté en tête, à tunnel axial

et fil de raccordement au repos et en action.

La figure 6 représente un leurre non lesté, à tunnel axial et fil de raccordement, avec hameçon formant lest en dessous, au

repos et en action.

La figure 7 représente en vue de côté et en perspective un

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leurre à plan diagonaux successifs (lamelles simulant un volume perpendiculaires au plan du leurre, mais diagonales par rapport

à son arc).

La figure 8 représente en vue de côté un leurre relativement plat à nervures diagonales par rapport à l'axe de l'arc. La figure 9 représente un raccordement de plusieurs profilés en

patte animale et un exemple symbolique non limitatif.

La figure 10 représente un leurre à jupe avec plusieurs profilés

arqués en couronne ou éventail.

La figure 11 représente en vue de face au repos la disposition des profilés sur un leurre à tentacules s'ouvrant en corolle lors de l'arrêt sous l'eau, mais nageant avec ondulation des tentacules. Structure précise de la partie en profilé arqué La section de la queue arquée et souple (6) des leurres de cette famille est particulière: elle peut être comparée à un profilé comprenant des plans ou "nervures" sensiblement perpendiculaires

sur toute leur longueur, profilé que l'on aurait courbé en arc.

Ainsi, vu de face (fig. 3) et la partie courbée concave étant par exemple vers le bas, de nombreux dessins en coupe sont

possibles en respectant cette caractéristique.

La section en "profilé" de la partie arquée peut être en forme (fig 3): de croix "+" (31, 32), avec les branches plus ou moins larges et plus ou moins déportées - en forme de "T" debout (33), c'est-à-dire avec la branche horizontale du "T" du côté convexe du leurre

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- en forme de "T" renversé (34), c'est-à-dire avec la branche

horizontale du "T" du côté concave du leurre.

- en forme de "T" couché (35), c'est-à-dire avec la branche

verticale du "T" du côté droit ou gauche du leurre.

- en forme de "H" couché (36), c'est-à-dire avec un profil ouvert sur les côtés droit et gauche du leurre - en forme de "H" debout (37), c'està-dire avec un profil ouvert sur les côtés convexe et concave du leurre les flancs du "H" des versions précédentes pouvant être arrondis pour obtenir un profil s'inscrivant visuellement encore

mleux dans un cercle ou ellipse (38, 39, 40, 41).

- en forme d'arche,, "Q"ou ",-" (42, 43),c'est-à-dire en carré ou rectangle plus ou moins arrondi ouvert vers le coté concave - en forme de "V" renversé (44) en tous angles avec ouverture du côté concave du leurre - en forme de "X" avec tous les angles possibles (45) - en forme de "Y" renversé à angles d'environ 120' (46) - avec une languette axiale dans les V ou. arches (47, 48) - etc. Mais le "profilé" de la partie arquée peut aussi être constitué, en plus de son plan central en forme de virgule, de plusieurs surfaces longitudinales, sensiblement perpendiculaires de part et d'autre avec une s'ection en forme sapin de Noël (49) ou en double croix de Lorraine (50), par exemple, de manière à recréer

une meilleure impression de volume longiforme.

A l'inverse, le "profilé" de la partie arquée peut être

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constituée de plusieurs plans parallèles en virgules ou lunules de largeurs décroissantes de chaque côté du plan de symétrie, ces plans étant perpendiculaires à une lanière unique en section

de cylindre (51).

La coupe en croix de Lorraine (50) donne aussi une idée du passage des filets d'eau lorsque les plans perpendiculaires à la lunule sont fractionnés en ellipses diagonales par rapport à l'axe de l'arc et placés successivement sous forme de lamelles pour recréer une impression de volume, comme il est expliqué plus loin. En simplifiant, ces plans diagonaux peuvent n'être

que des nervures de faible épaisseur.

Ces exemples ne sont pas exhaustifs et diverses formes proches ou multipliant les plans ou encore arrondissant les angles

peuvent être envisagés sans sortir du cadre du brevets.

Pour faciliter l'armement de ces diverses formes de leurres (fig. 4 et 5), un canal ou tunnel (13) peut être ménagé depuis l'avant jusqu'à un point de l'arrière susceptible de recevoir un hameçon. Ainsi la partie tubulaire avant peut être réduite ou supprimée et un fil de jonction (14) à l'hameçon peut courir à l'intérieur du profilé arqué dans un petit tunnel en une position sensiblement axiale, sans modifier la souplesse et la géométrie dynamique, c'est à dire au point ou se recoupent les branches des croix "+", ou croix de Lorraine doubles, des "T" debouts ou inverse, des "X", des "Y" renversés, ou encore au milieu des branches traversières des profilés en "H" debout ou couché, ou enfin en tout endroit favorable sur le profil tel qu'il y ait une symétrie droite/gauche (A remarquer, le profil

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en étoile à nombre de branches quelconque et le profil intermédiaire entre un X et un carré qui peut être considéré

comme un X à branches épaissies et à canal central).

Le leurre de démonstration préférentiel (fig. 1) de cette famille est constitué des éléments suivants: a) Une partie avant en forme de tête de petite anguille ou équivalent, pouvant être lestée ou constituée d'un plomb moulé (2), cette tête pouvant être intégrée à l'avant d'un hameçon (3) à anneau désaxé par rapport à la hampe (anneau sur le dessus de la tête lourde et pointe au dessus du dos), b) Faisant suite et fixé à la tête, une première partie du corps (4) sous forme tubulaire et souple en torsion, tel que cette partie puisse se vriller le plus librement possible, alternativement dans le sens horaire et anti-horaire. Des plans

perpendiculaires pouvant aussi être adjoints à cette partie.

c) A l'arrière de cette partie avant du corps, c'est-à-dire environ à partir de la moitié de la longueur totale, Tous les panachages de ces formes de profilés sont possibles et au lieu d'être cylindrique, la tête et l'avant du leurre décrit en exemple peuvent être aussi entièrement en profilé adéquat, comme par exemple posséder seulement une gouttière concave vers le haut, pour mieux aligner le leurre dans l'axe horizontal des

filets d'eau.

De même, il n'est pas obligatoire d'employer une tête lestée (fig. 6) et le seul poids de la branche d'un hameçon simple, ou des deux branches d'un double vers le bas, peut donner un lestage suffisant pour orienter globalement le leurre dans un

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plan vertical sans qu'il ne vrille trop le fil, la symétrie globale donnant éventuellement quelques tonneaux dans un sens, compensés immédiatement par un nombre équivalent dans un autre sens si toutefois on a une symétrie droite/gauche par rapport à un plan central. A la limite, le leurre peut être non lesté et sans plan préférentiel de nage, comme avec un hameçon triple dans l'axe, par exemple, c'est-à-dire sans même le poids de la courbure d'un hameçon simple pour donner une verticale. On accepte alors un vrillage, qui se compense d'ailleurs en s'inversant au bout de

quelques tours, comme on l'a vu plus haut.

Dans tous les cas, l'arc formé par le profilé peut aussi bien

être orienté vers le haut avec un lestage approprié.

En variante (fig. 7), les plans perpendiculaires à la lunule, au lieu d'être d'une seule pièce, peuvent être fractionnés en ellipses diagonales par rapport à l'axe de l'arc et placés successivement sous forme de lamelles (15) pour recréer une impression de volume, ce qui donne de plus une nage très spectaculaire (un tel leurre ne peut pas être considéré comme un dérivé des nombreux leurres droits à lamelles perpendiculaires au sens de la marche, ni comme un dérivé des leurres à queue à palette, à qui on aurait multiplié les palettes sous forme de lamelles, puisqu'il est incurvé et que les lamelles ne sont pas

parallèles entre elles, ni perpendiculaires aux filets d'eau).

Toujours en variante (fig.8), ils peuvent aussi être striés par des nervures diagonales par rapport à la courbe, d'un seul côté ou des deux, ces nervures donnant une flexion différente et des

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réactions intéressantes avec les filets d'eau.

Par extension (fig. 9), la silhouette latérale du "profilé" en virgule peut être "cassée" en un ou plusieurs endroits par des angles ou des raccordements entre des segments de virgules (16), modifiant ainsi la nage ou permettant d'imiter des articulations de pattes animales (grenouilles, crabes etc..) Plusieurs "profilés" (fig.10) peuvent être regroupés côte à côte, parallèlement, en éventail, ou selon un cylindre pour simuler des tentacules de céphalopodes divers ou créer un leurre à jupe très mobile genre "teaser", chaque tentacule pouvant être parsemé de cratères ou de trous simulant des ventouses de poulpes ou de céphalopodes. Pour fabriquer plus facilement d'une seule pièce un tel leurre (fig.11), il peut être intéressant de mouler à plat quatre tentacules autour d'un cylindre ou tête vertical, à condition que les tentacules soient opposés deux à

deux quant à leur sens de rotation.

Le leurre présenté est particulièrement destinée à la pêche

amateur ou professionnelle en mer et en rivière.

Figure pour abrégé: Fig.1 /

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Az 2722650 Leurre de pèche souple ayant sur tout ou partie de son corps une forme de virgule, d'arc de cercle, de secteur d'anneau, de unule, ou de ccurbe apprzchanze orientée dans un plan Quelconque par lest ou mrtc)en hydrodynamique, de manière à induire, lors de son redressement sous l'effet des filets d'eau, des tcrsions qui engendrent un mouvement et des vibrations semblant animales, selon un cycle alternatif non vrillant, similaire a la nage de poissons, d'anguillidés, de

céphalopodes, de batraciens ou autres animaux aquatiques.

ún variante du crofi' en '-, a barre du "T" peut être arrondie pour Dbtenir un crzf:i s'inscrivant dans un cercle ou

une ellipse 'fig. 40,41.

La section en "proffilé" ce la cartie arquée peut être en forme d'arche "Il", c'est-à-dire en carré ou rectangle plus ou moins arrondi, ouvert vers le côté concave, de "V" renversé, ou encore en forme de "," - u à'élie a branches multiples (fig.

42, 43, 44, 46).

Le "profilé" de la partie arquée peut être constitué d'un plan central en forme de virgule ou lunule et de plusieurs surfaces loingitudinales sensiblemenc perpendiculaires de part et d'autre

(fig. 49, 50).

Au lieu d'être d'une seule pièce, le profilé de la partie arquée peut être constitué de plusieurs plans successifs perpendiculaires à la lunule, en forme d'ellipses placées en diagonale par rapport à l'axe de!'arc, et placés successivement en se chevauchant sous forme de lamelles (fig. ) non parallèles pour recreer une impression de volume et

une nage a:tractive.

Pour faciliter l'armement et faire passer un fil ou liaison 14, un canal cu zunnel (13, ceut être ménagé depuis l'avant jusau'à un point de l'arrière susceptible de recevoir un hamecon en przfitant d'un rz- isement des plans perpendiculaires

ou en toute autre Position axiale convenable.

Plusieurs "profilés")fig. '1, 6; peuvent être regroupés pour creer un leurre à jupe très mobile servant d'appelant armé ou onGI

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Claims (9)

REVENDICATIONS

1) Leurre de pêche souple ayant sur tout ou partie de son corps une forme de virgule, d'arc de cercle, de secteur d'anneau, de lunule, ou de courbe approchante orientée dans un plan quelconque, par lest ou moyen hydrodynamique, de manière à induire, lors de son redressement sous l'effet des filets d'eau, des torsions qui engendrent un mouvement et des vibrations semblant animales, caractérisé en ce que la partie arquée (6) est constituée de deux ou plusieurs surfaces (7 et 8), longilignes et perpendiculaires deux à deux, ou formant un angle non négligeable entre elles, de manière à obtenir un "profilé" arqué, semblant être un volume longiforme en arc de courbe qui a tendance à se redresser sous l'effet des filets d'eau (9) glissant le long des plans initiaux, mais en réagissant avec eux en torsions grâce à l'élasticité du matériau, ce qui crée des surfaces torses perpendiculaires complexes (10 et 11), délimitant des volumes longiformes ouverts, encore plus aptes à onduler selon un cycle alternatif non vrillant, similaire à la nage de poissons, d'anguillidés, de céphalopodes, de batraciens

ou autres animaux aquatiques.

2) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que la section en "profilé" de la partie arquée est en

forme de croix "+" (31,32).

3) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que la section en "profilé" de la partie arquée est en forme de "T" debout, inversé ou couché, c'est-à-dire avec la

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branche horizontale du "T" du côté convexe, concave, droit ou gauche du leurre (33, 34, 35) 4) Leurre de pêche souple selon la revendication 3 caractérisé en ce que la barre du "T" est arrondie pour obtenir un profil s'inscrivant dans un cercle ou une ellipse (40, 41). ) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que la section en "profilé" de la partie arquée est en forme de "H' couché ou debout, c'est-à-dire avec un profil ouvert sur les côtés droit et gauche du leurre ou encore convexe

et concave (36, 37).

6) Leurre de pêche souple selon la revendication 5 caractérisé en ce que les flancs du "H" sont arrondis pour obtenir un profil

s'inscrivant dans un cercle ou ellipse (38, 39).

7) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que la section en "profilé" de la partie arquée est en forme de "X" avec des branches plus ou moins épaissies se

croisant selon des angles divers (45).

8) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que la section en '"profilé" de la partie arquée est en forme d'arche "ni" c'est-à-dire en carré ou rectangle plus ou moins arrondi, ouvert vers le coté concave, de "V" renversé, ou encore en forme de "Y" ou d'étoile a branches multiples (42, 43,

44, 46).

9) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que le "profilé" de la partie arquée est constitué d'un plan central en forme de virgule ou lunule et de plusieurs surfaces longitudinales sensiblement perpendiculaires de part et

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d'autre (section en forme sapin de Noel ou en double croix de Lorraine, par exemple) (49, 50), de manière à recréer une

meilleure impression de volume longiforme.

) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que le "profilé" de la partie arquée est constitué de plusieurs plans parallèles en virgules ou lunules de largeurs décroissantes de chaque côté du plan de symétrie, ces plans étant perpendiculaires à une lanière en section de cylindre (51). 11) Leurre de pêche souple selon la revendication 1 caractérisé en ce que, au lieu d'être d'une seule pièce, le "profilé" de la partie arquée est constitué de plusieurs plans successifs perpendiculaires à la lunule, en forme d'ellipses placées en diagonale par rapport à l'axe de l'arc, et placés successivement en se chevauchant sous forme de lamelles (fig.7, 15) non parallèles pour recréer une impression de volume et une nage attractive. 12) Leurre de pêche souple selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que, pour

faciliter l'armement et faire passer un fil ou liaison (14), un canal ou tunnel (13) est ménagé depuis l'avant jusqu'à un point de l'arrière susceptible de recevoir un hameçon en profitant d'un croisement des plans perpendiculaires ou en toute autre

position axiale convenable.

13) Leurre de pêche souple selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que la silhouette

latérale du "profilé" est "cassée" en un ou plusieurs endroits

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par des angles ou raccordements (fig.9, 16) modifiant la nage ou permettant d'imiter des articulations de pattes animales (grenouilles, crabes etc..) 14) Leurre de pêche souple selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que plusieurs

"profilés" (fig.10, 6) sont regroupés côte à côte, parallèlement, en éventail, ou selon un cylindre pour simuler des tentacules de céphalopodes divers ou créer un leurre à jupe

très mobile servant d'appelant armé ou non.

15) Leurre de pêche souple selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que, pour

fabriquer plus facilement d'une seule pièce un tel leurre à tentacules multiples (fig.11, 6), ces derniers en nombre pair sont moulés à plat autour d'un cylindre ou tête, en veillant à ce qu'ils soient opposés deux à deux quant à leur sens de rotation.

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