FR2715795A1 - Boîte pour le logement d'un appareillage électrique dans une goulotte. - Google Patents

Abstract

Il s'agit d'une boîte équipée de moyens de fixation propres à son arrimage sur deux rails (16) d'une goulotte (11). Suivant l'invention, ces moyens de fixation comportent, d'une part, au moins une dent (41), qui est propre au crochetage de la boîte (10) sur l'un des rails (16), et, d'autre part, un volet (42), qui est monté pivotant, autour d'un axe globalement orthogonal à la direction d'allongement de la dent (41), et qui, dans une position de service, est apte à coopérer avec l'autre des rails (16). Application au logement, et en pratique à la fixation, d'un appareillage électrique dans une goulotte.

Description

"Boite pour le logement d'un appareillage électrique
dans une goulotte"
La présente invention concerne d'une manière générale les boîtes ou autres supports usuellement mis en oeuvre pour le logement, et en pratique la fixation, d'un quelconque appareillage électrique, tel qu'interrupteur, prise de courant ou autre, dans une goulotte.

Elle vise plus particulièrement le cas où, pour diverses raisons, sont présents en saillie sur le fond d'une telle goulotte des rails, et, par exemple, des rails à profil en T, qui courent longitudinalement en continu tout au long de ce fond, parallèlement les uns aux autres, et dont deux peuvent être mis à profit pour l'arrimage d'une telle boite.

Autrement dit, la présente invention vise plus particulièrement le cas où, pour un tel arrimage, la boite est équipée de moyens de fixation.

Le plus souvent, à ce jour, ces moyens de fixation sont constitués par des pattes propres à un encliquetage de la boîte sur les rails.

Cet encliquetage suppose que ces pattes soient élastiquement déformables, et, donc, qu'elles présentent une certaine souplesse.

Cette souplesse est elle-même inévitablement défavorable à la bonne tenue de la boite sur les rails, et cet inconvénient se trouve accentué par le jeu de montage intervenant lui-même inévitablement entre la boîte et les rails, les tolérances de fabrication étant le plus souvent plus larges pour la goulotte, et donc pour les rails, que pour la boîte, dans la mesure où la goulotte est usuellement réalisée par extrusion tandis que la boîte est usuellement réalisée par injection.

La présente invention a d'une manière générale pour objet une disposition permettant d'éviter un tel inconvénient.

De manière plus précise, elle a pour objet une boîte pour le logement d'un appareillage électrique dans une goulotte, du genre équipée de moyens de fixation propres à son arrimage sur deux rails présents en saillie sur le fond d'une telle goulotte, et caractérisée d'une manière générale en ce que ces moyens de fixation comportent, d'une part, au moins une dent, qui est propre à son crochetage sur l'un des rails, et, d'autre part, un volet, qui est monté pivotant, autour d'un axe globalement orthogonal à la direction d'allongement de la dent, et qui, dans une position de service, est apte à coopérer avec l'autre des rails.

Par exemple, le volet mis en oeuvre suivant l'invention peut lui-même comporter au moins une dent, pour son engagement sous le rail avec lequel il coopère.

En variante, ou en complément, il peut également comporter un épaulement, pour son appui sur l'une des tranches de ce rail.

Dans tous les cas, l'arrimage de la boîte sur les rails se fait par accrochage, et non pas par encliquetage, le volet mis en oeuvre suivant l'invention venant en quelque sorte refermer de manière positive à son niveau la boîte sur les rails lorsqu'il est en position de service.

I1 en résulte que la ou les dents équipant la boite peuvent avantageusement être rigides et qu'il peut en être de même du volet, au bénéfice de la tenue de la boîte sur les rails.

Si désiré, la boite équipée d'un volet suivant l'invention peut être adaptée à recevoir directement par ellemême l'appareillage électrique à fixer, et, donc, à servir directement par elle-même de support pour celui-ci.

Mais, suivant un développement de l'invention, il lui est préférentiellement associé un cadre, ou bague, qui, formant initialement une pièce distincte, est apte à lui être rapporté, par exemple par encliquetage, et qui est propre à recevoir l'appareillage électrique concerné, en servant alors de support à celui-ci.

Un tel cadre présente divers avantages.

Tout d'abord, il peut avantageusement être la seule pièce à modifier pour l'adaptation de l'ensemble à des appareillages électriques différents.

Autrement dit, la boîte peut par elle-même convenir avantageusement à des appareillages électriques de types différents, seul changeant éventuellement de l'un à l'autre de ceux-ci le cadre à rapporter sur cette boite pour leur support, ce qui simplifie avantageusement, et économiquement, les fabrications.

De même, un même cadre peut avantageusement convenir à des boîtes de types différents.

En outre, avant de rapporter le cadre sur la boîte, l'installateur peut avantageusement y fixer l'appareillage électrique concerné, et, ainsi, réaliser de manière avantageusement plus aisée, à l'extérieur de la boîte, le câblage de cet appareillage électrique.

De plus, il peut avantageusement être prévu, entre le cadre et le volet, des moyens d'emboîtement, qui, assurant le verrouillage du volet en position de service, ou contribuant à celui-ci, concourent de manière efficace à l'accrochage de la boîte sur les rails.

L'arrimage de celle-ci sur ces rails s'en trouve avantageusement renforcé, et il est alors largement supérieur à celui résultant d'un simple encliquetage.

Enfin le cadre peut avantageusement servir de support à un enjoliveur si désiré.

Les caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre d'exemple, en référence aux dessins schématiques annexés sur lesquels
la figure 1 est, avec un arrachement local pour la goulotte, une vue en perspective d'une boite suivant l'invention en place dans une telle goulotte
la figure 2 est une vue en perspective éclatée de cette boîte, vue de dessus
la figure 3 en est une autre vue en perspective éclatée, vue de dessous
les figures 4, 5 et 6 en sont, à échelle supérieure, des vues partielles en coupe transversale, suivant chacune respectivement les lignes IV-IV, V-V et VI-VI de la figure 1
la figure 7 est, suivant la ligne VII-VII de la figure 2, et à l'échelle des figures 4, 5, 6, une vue en coupe transversale du volet mis en oeuvre suivant l'invention ;
la figure 8 est une vue en perspective d'une deuxième boite suivant l'invention, vue de dessous
la figure 9 en est, dérivée de la figure 8, une vue en perspective éclatée
la figure 10 en est, à échelle supérieure, et à la manière de la figure 6, une vue partielle en coupe transversale, en place dans une goulotte
la figure 11 en est une autre vue partielle en coupe, suivant la ligne XI-XI de la figure 10
les figures 12 et 13 sont des vues en perspective qui, analogues, chacune respectivement, à celles des figures 8 et 9, se rapportent à une troisième boîte suivant l'invention ;
la figure 14 est, à échelle supérieure, et à la manière des figures 6 et 10, une vue partielle en coupe transversale de cette troisième boîte, en place dans une goulotte.

Tel qu'illustré sur ces figures, et de manière connue en soi, la boîte 10 suivant l'invention est destinée à être rapportée dans une goulotte 11, pour le logement, et en pratique la fixation, d'un quelconque appareillage électrique non représenté.

De manière également connue en soi, la goulotte 11 comporte un fond 12, deux ailes latérales 13, et, pour sa fermeture, un couvercle, non représenté, qui, par exemple, vient s'encliqueter sur des retours en équerre 15 de ses ailes latérales 13, et qui, de toute façon, est localement interrompu au droit de la boite 10, pour laisser un libre accès à l'appareillage électrique correspondant.

Sur la figure 1, et par mesure de commodité, la largeur de la goulotte 11 a été volontairement réduite, à la faveur d'un arrachement, pour la ramener sensiblement à celle de la boîte 10.

Mais il va de soi que la largeur de la goulotte 11 peut être au contraire largement supérieure à celle de la boîte 10.

Sur le fond 12 de la goulotte 11, sont présents, en saillie, des rails 16, qui, parallèlement les uns aux autres, courent longitudinalement en continu tout au long de ce fond 12.

Ces dispositions sont bien connues par elles-mêmes, et, ne relevant pas de la présente invention, elles ne seront pas décrites plus en détail ici.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement représentée sur les figures 1 à 7, seuls deux rails 16 sont prévus, et, en section transversale, ils ont globalement un profil en T dissymétrique.

Plus précisément, dans cette forme de réalisation, et ainsi qu'il est mieux visible sur la figure 6, la branche extérieure 17 des rails 16 est plus grande que leur branche intérieure 18, et la surface inférieure 20 de leur branche extérieure 17 est abattue par un chanfrein 21 sur une partie de sa longueur à compter de son bord libre.

La boîte 10, de son côté, a en plan, dans les formes de réalisation représentées, un contour globalement quadrangulaire, et, en pratique, carré ou rectangulaire.

Elle comporte, globalement, un fond 22 et quatre parois latérales 24.

Dans la forme de réalisation représentée sur les figures 1 à 7, le fond 22 se réduit à deux traverses, à savoir, une première traverse 25, qui intervient le long d'une des parois latérales 24, à la base de celle-ci, et une deuxième traverse 26, qui, parallèle à la précédente, intervient sensiblement à mi-largeur pour ce fond 22.

En pratique, la paroi latérale 24 bordée par la traverse 25 est largement ajourée par un évidement 28, qui, à la manière d'une échancrure, s'étend sur la quasi totalité de sa hauteur à compter du débouché 29 de la boîte 10, en dégageant ainsi un espace suffisant pour une éventuelle sortie de câbles de ce côté.

La paroi latérale 24 opposée est, elle, ajourée par un évidement 28' qui, à la manière d'une fente, court sur la totalité de sa hauteur.

Ces deux parois latérales 24 se réduisent donc pour l'essentiel à deux pans latéraux 30 adjacents aux zones d'arête correspondantes de la boite 10.

Les deux autres parois latérales 24 sont elles-mêmes chacune ajourées par un évidement 31, qui, ne s'étendant que sur une partie de leur largeur, à compter d'un pan 32 adjacent à l'une des zones d'arête correspondantes de la boîte 10, laisse subsister, le long de l'autre de ces zones d'arête, un panneau 33.

Dans la forme de réalisation représentée, ce panneau 33 est fractionné en largeur, en deux ou plusieurs opercules défonçables 94 à compter d'un pan 32 adjacent à l'autre zone d'arête de la boîte 10, et ces opercules défonçables 94 courent sur toute sa hauteur.

Ces opercules défonçables 94 permettent, si désiré, et en fonction de l'appareillage électrique concerné, une éventuelle sortie de câbles de leur côté.

Mais, lorsque les panneaux 33 des parois latérales 24 en cause subsistent en totalité ou en partie, il est possible de rapporter sur l'un des rails 16 de la goulotte 11, de l'un et de l'autre des côtés de la boîte 10, des cloisons amovibles, non représentées, qui, venant s'abouter sur ces panneaux 33, permettent d'assurer une continuité d'isolation en coopération avec ceux-ci.

Dans la forme de réalisation représentée, les pans latéraux 30 des parois latérales 24 parallèles aux traverses 25, 26 du fond 22 présentent chacun, au voisinage du débouché 29 de la boîte 10, entre deux nervures de raidissement 34 parallèles à ce débouché 29, un évidement 35.

Tous les évidements 35 que présente ainsi la boîte 10 sont à un même niveau, et d'autres nervures de raidissement 34 que celles qui les encadrent s'étendent extérieurement en saillie de place en place le long des zones d'arête de celle-ci.

En saillie sur le débouché 29 de la boîte 10, les pans 32 des deux parois latérales 24 perpendiculaires aux traverses 25, 26 du fond 22 se prolongent corollairement chacun vers le haut par un ergot 36.

Dans la forme de réalisation représentée, et pour des raisons qui apparaîtront ci-après, la boite 10 comporte, parallèlement à son débouché 29, et donc parallèlement à son fond 22, entre ce débouché 29 et ce fond 22, un arbre 38, qui est de section transversale circulaire, et qui, en pratique, relie l'un à l'autre les deux pans latéraux 30 de celle de ses parois latérales 24 qui, parallèle aux traverses 25, 26 du fond 22, est ajourée par un évidement 28' sur toute sa hauteur.

Enfin, dans la forme de réalisation représentée, la boîte 10 présente, en saillie sur la surface inférieure de son fond 22, au droit de chacune de ses zones d'arête, et parallèlement aux traverses 25, 26 de ce fond 22, un talon 39.

Parallèlement aux traverses 25, 26 du fond 22, les talons 39 que comporte ainsi la boite 10 sont coplanaires.

Enfin, la boîte 10 suivant l'invention est équipée de moyens de fixation propres à son arrimage sur deux rails 16.

En pratique, ces moyens de fixation interviennent à la base de la boîte 10, au niveau de son fond 22.

Suivant l'invention, ils comportent, d'une part, au moins une dent 41, qui est propre au crochetage de la boîte 10 sur l'un des rails 16, et, d'autre part, un volet 42, qui est monté pivotant sur cette boite 10, autour d'un axe A globalement orthogonal à la direction d'allongement D de la dent 41, et qui, dans une position de service, est apte à coopérer avec l'autre des rails 16.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement représentée sur les figures 1 à 7, la boite 10 comporte une dent 41 unique, qui intervient parallèlement aux traverses 25, 26 du fond 22, en saillie sur un bord tombé 44 de la traverse 25 reliant l'un à l'autre les deux talons 39 correspondants, et qui s'étend globalement vers l'intérieur de la boîte 10, suivant une direction d'allongement D globalement perpendiculaire aux traverses 25, 26, et, donc, globalement perpendiculaire aux parois latérales 24 correspondantes.

La direction d'allongement D de la dent 41 et l'axe de pivotement A du volet 42 sont schématisés en traits interrompus sur la figure 3.

L'axe de pivotement A est en outre schématisé par sa trace sur la figure 6.

Dans la forme de réalisation représentée, la surface supérieure 45 de la dent 41 s'étend en oblique, à l'image du chanfrein 21 du rail 16 correspondant de la goulotte 11, en s'écartant du débouché 29 de la boite 10 au fur et à mesure qu'elle s'écarte de sa racine, c'est-à-dire au fur et à mesure qu'elle s'écarte du bord tombé 44 dont elle est issue.

Suivant l'invention, cette dent 41 est, préférentiellement, rigide.

En pratique, elle se trouve rigidifiée par des nervures de raidissement 46 qui la relient de place en place au bord tombé 44 dont elle est issue.

Dans les formes de réalisation représentées, le volet 42, qui forme une pièce distincte de la boîte 10, est rapporté par encliquetage sur l'arbre 38 de celle-ci, et cet arbre 38 lui sert d'axe de pivotement A.

I1 comporte transversalement à cet effet, sur toute sa largeur, une gouttière 48, qui est de section transversale hémi-circulaire complémentaire de celle de l'arbre 38, et qui, au moins localement, se referme sur plus de 180 par des lèvres élastiquement déformables 49.

Dans les formes de réalisation représentées, deux paires de lèvres élastiquement déformables 49 sont ainsi prévues à distance l'une de l'autre le long de la gouttière 48.

En pratique, le volet 42 s'étend de part et d'autre de son axe de pivotement A, sur toute la hauteur de la boîte 10, dans l'évidement 28' de la paroi latérale 24 de celle-ci comportant l'arbre 38.

En pratique, également, il s'étend sur toute la longueur de cet arbre 38, et, donc, sur la quasi totalité de la largeur de la paroi latérale 24 en question, en allant de l'un à l'autre des pans latéraux 30 de celle-ci.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement représentée sur les figures 1 à 7, le volet 42 s'étend à l'intérieur de la boîte 10 par rapport à l'arbre 38 sur lequel il est rapporté.

Autrement dit, la gouttière 48 et les lèvres élastiquement déformables 49 par lesquelles il est encliqueté sur cet arbre 38 sont présentes à son dos.

En outre, dans cette forme de réalisation, le volet 42 présente lui-même au moins une dent 50, pour son engagement sous le rail 16 avec lequel il coopère, et, plus précisément, sous la branche extérieure 17 de ce rail 16.

Préférentiellement, et tel que représenté, le volet 42 comporte, parallèlement à cette dent 50, au moins une languette 51, qui, de niveau au repos supérieur à celui de cette dent 50, ainsi qu'il est mieux visible sur la figure 7, est élastiquement déformable, pour entrer en contact avec le rail 16 avant la dent 50.

Il est ainsi assuré une certaine élasticité au contact correspondant, ce qui permet d'absorber le jeu de montage, et, ainsi d'éliminer les problèmes qui pourraient résulter d'éventuelles vibrations.

En pratique, dans la forme de réalisation représentée, le volet 42 comporte, parallèlement les unes aux autres, trois dents 50, deux latérales et une médiane, et, en alternance avec celles-ci, deux languettes 51.

Comme pour la dent 41 de la boîte 10, la surface supérieure 52 des dents 50, qui est à un même niveau pour l'ensemble de celles-ci, s'étend en oblique, à l'image du chanfrein 21 du rail 16 correspondant, en s'écartant du débouché 29 de la boîte 10 au fur et à mesure qu'elle s'écarte de leur racine.

Les languettes 51 s'étendent également en oblique, avec une surface supérieure 53 progressivement décalée en direction du débouché 29 de la boîte 10 par rapport à celle 52 des dents 50.

Globalement, le volet 42 a ainsi une forme de dièdre obtus, avec un pan principal 54, qui comporte la gouttière 48, et un pan annexe 55, qui est formé des dents 50 et des languettes 51.

Préférentiellement, et tel que représenté, les dents 50 sont rigides.

Dans la forme de réalisation représentée, elles sont pour ce faire chacune rigidifiées par une nervure de raidissement 56 qui court à leur dos et se poursuit en continu sur toute la hauteur du pan principal 54.

Préférentiellement, entre le volet 42 et la boite 10 sont prévus des moyens d'encliquetage, pour le blocage au moins provisoire de ce volet 42 en position de service.

Dans la forme de réalisation représentée, ces moyens d'encliquetage comportent, d'une part, sur le volet 42, deux pattes élastiquement déformables 57, qui sont conformées en crochet, et qui, disposées dos à dos l'une par rapport à l'autre, s'étendent chacune respectivement en saillie le long des bords latéraux de ce volet 42, et, plus précisément, le long des bords latéraux de son pan principal 54, du côté de la gouttière 48, au-delà de cette gouttière 48 par rapport aux dents 50, et, d'autre part, sur la boite 10, pour coopération avec les crans 58 de ces pattes élastiquement déformables 57, deux crans 59, qui, en pratique, sont formés par la tranche de deux retours en équerre 60 bordant chacun respectivement les pans latéraux 30 de la paroi latérale 24 correspondante de la boîte 10.

Ainsi, ces moyens d'encliquetage 57, 59 interviennent du côté du volet 42 opposé à celui suivant lequel ce volet 42 intervient sur le rail 16 avec lequel il coopère.

Ces moyens d'encliquetage 57, 59 constituent donc en quelque sorte des moyens anti-retours s'opposant à un dégagement intempestif du volet 42 vis-à-vis du rail 16 avec lequel il est en prise.

Préférentiellement, entre le volet 42 et l'arbre 38 sur lequel il doit être rapporté, sont prévus des moyens de détrompage, pour être sûr qu'il soit monté du bon côté de cet arbre 38.

Dans la forme de réalisation représentée, ces moyens de détrompage comportent, d'une part, sur le volet 42, un évidement 61, qui recoupe transversalement sa gouttière 48, à l'une des extrémités de celle-ci, en s'étendant légèrement de part et d'autre de cette gouttière 48, en bordure de la nervure de raidissement 56 correspondante, et, d'autre part, sur l'arbre 38, en correspondance avec cet évidement 61, pour engagement dans celui-ci, un bourrelet annulaire 62.

Enfin, dans la forme de réalisation représentée sur les figures 1 à 7, il est associé, à la boite 10 suivant l'invention, un cadre 64, qui est apte à lui être rapporté, suivant des modalités décrites plus en détail ultérieurement, et qui, suivant des modalités qui, ne relevant pas, elles, de la présente invention, ne seront pas décrites dans tous leurs détails ici, est propre à recevoir l'appareillage électrique concerné.

Par exemple, la fixation de cet appareillage électrique sur ce cadre 64 peut se faire par encliquetage, à la faveur par exemple de crans 90 prévus à cet effet le long de son contour intérieur.

En variante, elle peut également se faire par vissage ou clavetage par exemple.

Le cadre 64 a, en plan, un contour qui est à l'image de celui de la boîte 10.

Dans la forme de réalisation représentée, ce contour est donc quadrangulaire, et, en pratique, carré ou rectangulaire.

Dans la forme de réalisation représentée, le cadre 64 est apte à être rapporté par encliquetage sur la boîte 10.

I1 est équipé, à cet effet, de quatre pattes élastiquement déformables 65, qui, en saillie sur sa surface inférieure, s'étendent chacune respectivement dans ses zones d'angle, et qui, conformées en crochet, sont aptes à coopérer par leur cran 66 avec celle des nervures de raidissement 34 de la boîte 10 qui, encadrant l'évidement 35 correspondant de celle-ci, s'étend entre cet évidement 35 et le débouché 29 de cette boîte 10.

En pratique, pour le moulage des crans 66 des pattes élastiquement déformables 65, le cadre 64 présente, au droit de ces dernières, des évidements 67 qui le traversent de part en part.

Suivant des variantes de réalisation non représentées, le cadre 64 est rapporté sur la boîte 10 par d'autres moyens que par encliquetage, et, par exemple, par vissage ou encliquetage.

Préférentiellement, entre le cadre 64 et la boîte 10 sont conjointement prévus des moyens d'emboîtement.

Dans la forme de réalisation représentée, ces moyens d'emboîtement comportent, d'une part, sur la boite 10, les ergots 36 faisant saillie sur son débouché 29, et, d'autre part, sur le cadre 64, des évidements 68, qui, en correspondance avec les ergots 36, sont présents en creux sur la surface inférieure de ce cadre 64, pour engagement sur ces ergots 36.

De même, il est préférentiellement prévu, entre le cadre 64 et le volet 42, des moyens d'emboîtement, pour un verrouillage complémentaire du volet 42 en position de service.

Dans la forme de réalisation représentée, ces moyens d'emboîtement comportent, d'une part, sur le volet 42, des ergots 69, qui, formés chacun respectivement d'un prolongement des nervures de raidissement 56 latérales de ce volet 42, font saillie vers le haut sur la tranche de son pan principal 54, et, d'autre part, sur le cadre 64, des évidements 70, qui, en correspondance avec ces ergots 69, sont présents en creux sur la surface inférieure de ce cadre 64, dans ses deux zones d'angle correspondantes, pour son engagement sur ces ergots 69.

En pratique, pour que le cadre 64 puisse être indifféremment monté d'un côté ou de l'autre, il comporte des évidements 70 dans chacune de ses zones d'angle.

I1 s'agit en outre en pratique d'évidements contribuant à son allègement.

Dans la forme de réalisation représentée, le cadre 64 présente par ailleurs, en saillie de place en place le long de son contour extérieur, sur deux côtés opposés de celui-ci, et, plus précisément, sur les deux côtés de ce contour qui, en service, sont perpendiculaires à l'arbre 38 de la boîte 10, des consoles 92, pour fournir un appui au couvercle de la goulotte 11 et ainsi éviter un cintrage de celui-ci.

Enfin, dans la forme de réalisation représentée, le cadre 64 présente, sur deux côtés opposés, et, plus précisément, sur ses deux côtés qui, en service, sont parallèles à l'arbre 38 de la boite 10, des boutonnières 93, pour que puisse lui être rapporté si désiré un quelconque enjoliveur, non représenté, et qu'ainsi il puisse servir de support à un tel enjoliveur.

Au montage, l'installateur rapporte d'abord le volet 42 sur l'arbre 38 de la boite 10 et met ensuite en place cette boîte 10 dans la goulotte 11.

I1 peut par exemple pour ce faire engager de biais par sa dent 41 cette boîte 10 sur le rail 16 concerné de la goulotte 11, puis la rabattre contre l'autre rail 16 de celleci, suivant la flèche F1 de la figure 6.

Conjointement, et tel que schématisé en traits interrompus sur cette figure 6, le volet 42 occupe, en attente, une quelconque position de montage, pour laquelle il est légèrement basculé autour de son axe de pivotement A.

Suivant la flèche F2 de la figure 6, l'installateur fait ensuite pivoter le volet 42 autour de son axe de pivotement A, jusqu'à ce que les crans 58 de ses pattes élastiquement déformables 57, qui ont suivi par déformation élastique les retours en équerre 60 de la boîte 10, arrivent à niveau avec les crans 59 que forme la tranche de ces retours en équerre 60, et viennent ainsi en prise avec ceux-ci.

Pour faciliter leur déformation élastique, les pattes élastiquement déformables 57 du volet 42 comportent d'ailleurs un chanfrein d'engagement 72 en amont de leur cran 58, figure 4.

Quoi qu'il en soit, le volet 42 a alors atteint la position de service pour laquelle, tel que représenté en trait plein sur la figure 6, ses dents 50 sont en prise avec le rail 16 correspondant de la goulotte 11, et les moyens d'encliquetage 57, 59 intervenant entre la boite 10 et lui le bloquent dans cette position de service en lui interdisant tout pivotement rétrograde de retour.

La boite 10 se trouve ainsi avantageusement verrouillée de manière temporaire sur les rails 16 de la goulotte 11.

Conjointement, les languettes 51 du volet 42 sont également en application, sous contrainte, contre le rail 16, et, comme déjà indiqué ci-dessus, leur élasticité évite avantageusement tout jeu relatif à ce niveau entre la boîte 10 et la goulotte 11.

I1 suffit, ensuite, à l'installateur, de rapporter sur le cadre 64 l'appareillage électrique concerné, suivant les modalités évoquées ci-dessus, de câbler cet appareillage électrique, et de rapporter ensuite l'ensemble par encliquetage sur la boîte 10, par engagement des pattes élastiquement déformables 65 de ce cadre 64 sur les nervures de raidissement 34 correspondantes de cette boîte 10.

Ainsi qu'il est aisé de le comprendre, les évidements 35 de la boite 10 permettent avantageusement un engagement d'encliquetage plus accentué des pattes élastiquement déformables 65 sur les nervures de raidissement 34.

Quoi qu'il en soit, le cadre 64 verrouille alors le volet 42 en position de service, par engagement de ses évidements 70 sur les ergots 69 de celui-ci, ce qui confirme, conjointement, le verrouillage de la boîte 10 sur les rails 16 de la goulotte 11.

Suivant un processus inverse du précédent, un démontage reste cependant possible.

I1 suffit, pour ce faire, d'agir sur les pattes élastiquement déformables 65 du cadre 64 à la faveur des évidements 70 présents au droit de celles-ci.

Les formes de réalisation représentées sur les figures 8 à 14 concernent plus particulièrement le cas où le profil en
T des rails 16 de la goulotte 11 est symétrique, sans chanfrein sur la surface inférieure de leur branche extérieure 17.

En pratique, dans les formes de réalisation représentées, la goulotte 11 présente, en saillie parallèlement les uns aux autres sur son fond 12, trois rails 16.

Conjointement, dans ces formes de réalisation, le fond 22 de la boite 10 est sensiblement borgne, et il forme, parallèlement l'une à l'autre, deux rainures 74, pour son engagement sur deux des rails 16.

Conjointement, pour porter contre le fond 12 de la goulotte 11 entre les rails 16, la boite 10 suivant l'invention comporte, dans les formes de réalisation représentées, au moins une languette élastiquement déformable 75.

En pratique, dans ces formes de réalisation, la boite 10 porte contre le fond 12 de la goulotte 11 par son propre fond 22, à l'écart des rails 16, ce fond 22 étant dûment conformé à cet effet, et plusieurs languettes élastiquement déformables 75 sont formées d'un seul tenant dans ce fond 22 à la faveur d'ajours 76 prévus à cet effet dans celui-ci.

Par exemple, et tel que représenté, quatre languettes élastiquement déformables 75 sont ainsi prévues, qui, par paire, s'étendent en directions opposées l'une par rapport à l'autre, parallèlement aux rails 16.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement représentée sur les figures 8 à 11, le volet 42 s'étend, comme précédemment, à l'intérieur de la boite 10 par rapport à l'arbre 38 sur lequel il est rapporté.

Mais, au lieu de comporter une ou plusieurs dents pour intervenir sur le rail 16 avec lequel il coopère, il comporte, simplement, tourné vers l'intérieur de la boîte 10, un épaulement 78, pour son appui sur la tranche 79 correspondante de ce rail 16, c'est-à-dire sur la tranche de la branche extérieure 17 de celui-ci.

En pratique, dans cette forme de réalisation, l'épaulement 78 est fractionné en au moins deux portions 78', par exemple trois, au dos de chacune desquelles le volet 42 est rigidifié par une nervure de raidissement 56, avec, entre ces portions 78' d'épaulement 78, et pour les mêmes raisons que précédemment, des languettes 51' décalées vers l'avant par rapport à celles-ci, et, donc, en pratique, décalées vers l'intérieur de la bo de la goulotte 11, il est préférentiellement prévu, sur ce volet 42, une languette (51 ou 51') qui est élastiquement déformable et qui est décalée par rapport à une telle zone d'action de manière à intervenir avant elle sur le rail 16 concerné.

Conjointement, dans la forme de réalisation représentée sur les figures 8 à 11, la boite 10 comporte, comme précédemment, à l'aplomb de sa paroi latérale 24 opposée, au moins une dent 41 rigide.

En pratique, dans la forme de réalisation représentée, trois dents 41 sont prévues, localement, à distance les unes des autres, en saillie vers l'intérieur sur un bord tombé 44, et, pour leur moulage, le fond 22 est ajouré d'évidements 80 à leur aplomb.

Dans la forme de réalisation représentée, ces dents 41 sont massives.

En outre, dans cette forme de réalisation, la boîte 10 comporte, également, à l'aplomb du volet 42, au moins une autre dent 81, qui, pour son crochetage sur le rail 16 avec lequel coopère ce volet 42, s'étend en direction de l'épaulement 78 de ce volet 42.

Dans la forme de réalisation représentée, une dent 81 unique est prévue, qui court sur la quasi totalité de la longueur de la paroi latérale 24 correspondante, en saillie vers l'extérieur sur cette paroi latérale 24, à la base de celle-ci, suivant une direction d'allongement D identique à celle des dents 41, et qui est localement interrompue par une échancrure 82 pour faciliter le moulage du bourrelet annulaire 62 de l'arbre 38.

Ainsi, tandis que l'épaulement 78 du volet 42 est tourné vers l'intérieur de la boîte 10, la dent 81 est tournée vers l'extérieur de celle-ci.

Pour le reste, les dispositions sont du même type que celles précédemment décrites.

Mais, pour la mise en place de la boite 10 dans la goulotte 11, il faut tout d'abord l'engager perpendiculairement au fond 12 de cette goulotte 11, suivant la flèche F3 de la figure 10, et tel que schématisé en traits interrompus sur la partie droite de cette figure 10, puis la faire coulisser parallèlement à ce fond 12, et transversalement par rapport aux rails 16, suivant la flèche F4 de la figure 10, pour engagement de ses dents 41 et 81 sous ces rails 16, avant de rabattre, comme précédemment, en position de service le volet 42.

Ainsi qu'il est aisé de le comprendre, les languettes élastiquement déformables 75 se trouvent alors sous contrainte, comme les languettes 51', et, par leur élasticité, elles évitent avantageusement tout jeu entre la boite 10 et les rails 16 de la goulotte 11.

Dans la variante de réalisation représentée sur les figures 12 à 14, le volet 42 s'étend à l'extérieur de la boîte 10 par rapport à l'arbre 38 sur lequel il est rapporté.

L'épaulement 78 qu'il comporte pour son appui sur l'une des tranches du rail 16 avec lequel il coopère est donc tourné vers l'extérieur de cette boîte 10, et la tranche du rail 16 ainsi concernée par cet épaulement 78 est celle de sa branche intérieure 18.

Dans la forme de réalisation représentée, l'épaulement 78 du volet 42 s'étend de manière continue, et ce volet 42 comporte aussi une dent 83 pour son engagement sous le rail 16 avec lequel il coopère, et, plus précisément, sous la branche intérieure 18 de ce rail 16.

En pratique, cette dent 83 s'étend sur toute la largeur du volet 42, au-delà de son épaulement 78, en formant globalement un retour en équerre pour le volet 42.

En pratique, également, dans la forme de réalisation représentée, la boîte 10 suivant l'invention présente un ajour 84 à la faveur duquel le volet 42 la traverse au niveau de son épaulement 78, et, pour coopération avec le rail 16 avec lequel coopère le volet 42, la boite 10 comporte elle-même un épaulement 85 tourné vers celui 78 de ce dernier.

Pour la position de service du volet 42, le rail 16 concerné de la goulotte 11 se trouve ainsi enserré entre, d'une part, un épaulement 78 de ce volet 42, et, d'autre part, un épaulement 85 de la boîte 10.

Pour le reste, les dispositions sont sensiblement les mêmes que celles précédemment décrites.

Mais la boite 10 ne comporte pas de dent à l'aplomb du volet 42, et, pour sa mise en place dans la goulotte 11, elle est engagée de biais par ses dents 41 sous le rail 16 correspondant de celle-ci, avant d'être rabattue contre le fond 12 de cette goulotte 11.

Comme précédemment, le volet 42 est ensuite pivoté en position de service.

Ainsi qu'on le notera, si, dans les formes de réalisation représentées sur les figures 1 à 11, le volet 42 intervient sur un rail 16 de la goulotte 11 du côté de ce rail 16 opposé à celui suivant lequel la boîte 10 est elle-même engagée par au moins une dent 41 sur un autre rail 16 de cette goulotte 11, il n'en est pas de même dans la forme de réalisation représentée sur les figures 12 à 14, dans laquelle, au contraire, le volet 42 intervient sur un rail 16 du même côté de celui-ci que celui suivant lequel la boîte 10 est engagée par au moins une dent 41 sur un autre rail 16.

En outre, si, dans la forme de réalisation représentée sur les figures 1 à 7, il est explicitement prévu un cadre 64 spécifique pour recevoir, et fixer sur la boîte 10, un appareillage électrique, par exemple par encliquetage, vissage, clavetage ou autre, il n'en est pas nécessairement ainsi.

Au contraire, la boîte 10 peut en variante être adaptée à recevoir par elle-même directement un tel appareillage électrique, par exemple par encliquetage, vissage, clavetage ou autre, suivant des dispositions qui, connues par ellesmêmes, ou ne relevant pas de la présente invention, ne seront pas non plus décrites en détail ici.

Cela peut notamment être le cas dans les formes de réalisation représentées sur les figures 8 à 14, pour lesquelles, cependant, un cadre 64 peut tout aussi bien être prévu.

La présente invention ne se limite d'ailleurs pas aux formes de réalisation décrites et représentées, mais englobe toute variante d'exécution et/ou de combinaison de leurs divers éléments.

Claims (25)

REVENDICATIONS

1. Boite pour le logement d'un appareillage électrique dans une goulotte (11), du genre équipée de moyens de fixation propres à son arrimage sur deux rails (16) présents en saillie sur le fond (12) d'une telle goulotte (11), caractérisée en ce que lesdits moyens de fixation comportent, d'une part, au moins une dent (41), qui est propre à son crochetage sur l'un des rails (16), et, d'autre part, un volet (42), qui est monté pivotant, autour d'un axe (A) globalement orthogonal à la direction d'allongement (D) de la dent (41), et qui, dans une position de service, est apte à coopérer avec l'autre des rails (16).

2. Boite suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le volet (42) comporte lui-même au moins une dent (50) pour son engagement sous le rail (16) avec lequel il coopère.

3. Boite suivant la revendication 2, caractérisée en ce que la surface supérieure (45) de sa dent (41) s'étend en oblique, en s'écartant de son débouché (29) au fur et à mesure qu'elle s'écarte de la racine de cette dent (41).

4. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 2, 3, caractérisée en ce que la dent (50) du volet (42) est rigide.

5. Boite suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le volet (42) comporte un épaulement (78), pour son appui sur l'une des tranches du rail (16) avec lequel il coopère.

6. Boîte suivant la revendication 5, caractérisée en ce que l'épaulement (78) du volet (42) est fractionné en portions (78') d'épaulement (78).

7. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 5, 6, caractérisée en ce qu'elle comporte au moins une autre dent (81) qui, pour son crochetage sur le rail (16) avec lequel coopère le volet (42), s'étend en direction de l'épaulement (78) de ce volet (42).

8. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 5 à 7, caractérisée en ce que l'épaulement (78) du volet (42) est tourné vers l'intérieur.

9. Boîte suivant la revendication 5, caractérisée en ce que le volet (42) comporte lui aussi au moins une dent (83), pour son engagement sous le rail (16) avec lequel il coopère.

10. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 5, 9, caractérisée en ce que l'épaulement (78) du volet (42) est tourné vers l'extérieur.

11. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 5, 9, 10, caractérisée en ce qu'elle présente un ajour (84) à la faveur duquel le volet (42) la traverse au niveau de son épaulement (78), et, pour coopération avec le rail (16) avec lequel coopère ledit volet (42), elle comporte elle-même un épaulement (85) tourné vers celui (78) de ce dernier.

12. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 2 à 11, caractérisée en ce que, pour l'une au moins des zones d'action, telles que dents (50) ou portions (78') d'épaulement (78), par lesquelles le volet (42) est adapté à coopérer avec un rail (16) de la goulotte (11), il est prévu, sur ce volet (42), une languette (51, 51') qui est élastiquement déformable, et qui est décalée par rapport à une telle zone d'action de manière à intervenir avant elle sur le rail (16) concerné.

13. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 5 à 12, caractérisée en ce que, pour porter contre le fond (12) de la goulotte (11), elle comporte au moins une languette élastiquement déformable (75).

14. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisée en ce que sa ou ses dents (41, 81) sont rigides.

15. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 1 à 14, caractérisée en ce que le volet (42) s'étend sur toute sa hauteur.

16. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 1 à 15, caractérisée en ce que, son contour en plan étant globalement quadrangulaire, le volet (42) s'étend sur la quasi totalité de la largeur d'une de ses parois latérales (24), à la faveur d'un évidement (28') de celle-ci.

17. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 1 à 16, caractérisée en ce que le volet (42) s'étend de part et d'autre de son axe de pivotement (A).

18. Boite suivant l'une quelconque des revendications 1 à 17, caractérisée en ce qu'elle comporte, parallèlement à son débouché (29), un arbre (38) sur lequel le volet (42) est rapporté par encliquetage et qui sert d'axe de pivotement (A) à celui-ci.

19. Boite suivant la revendication 18, caractérisée en ce que le volet (42) s'étend à l'extérieur par rapport à l'arbre (38).

20. Boîte suivant la revendication 18, caractérisée en ce que le volet (42) s'étend à l'intérieur par rapport à l'arbre (38).

21. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 18 à 20, caractérisée en ce que, entre le volet (42) et l'arbre (38), sont prévus des moyens de détrompage (61, 62).

22. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 1 à 21, caractérisée en ce que, entre le volet (42) et elle, sont prévus des moyens d'encliquetage (57, 59), pour blocage dudit volet (42) en position de service.

23. Boîte suivant l'une quelconque des revendications 1 à 22, caractérisée en ce qu'il lui est associé un cadre (64), qui est apte à lui être rapporté, et qui est propre à recevoir l'appareillage électrique concerné.

24. Boîte suivant la revendication 23, caractérisée en ce que, entre le cadre (64) et le volet (42), sont prévus des moyens d'emboîtement (69, 70), pour le verrouillage dudit volet (42) en position de service.

25. Boite suivant l'une quelconque des revendications 1 à 22, caractérisée en ce qu'elle est adaptée à recevoir par elle-même directement l'appareillage électrique concerné.