FR2714947A1 - Perfectionnements aux dispositifs antivibratoires hydrauliques. - Google Patents
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Abstract
L'invention concerne un dispositif antivibratoire hydraulique destiné à être interposé entre deux éléments rigides, comportant deux armatures rigides (1, 2) reliées par un corps en élastomère (3), en formant une chambre de travail (A) et une chambre de compensation (B) qui communiquent par un passage étranglé (7) lequel passage étranglé est formé par deux canaux périphériques (7a, 7b) connectés en série qui appartiennent respectivement à deux coques rigides (6a, 6b) superposées entre les deux chambres. Selon l'invention, une rondelle (15) est interposée entre les deux coques rigides pour délimiter partiellement le passage étranglé et l'une des deux coques rigides fait saillie axialement à l'intérieur du corps en élastomère, ce qui diminue le volume de la chambre de travail.
Description
PERFECTIONNEMENTS AUX DISPOSITIFS ANTIVIBRATOIRES HYDRAU
LIOUES
La présente invention concerne des dispositifs antivibratoires destinés à être interposés aux fins d'amortissement et de liaison, voire de support, entre deux éléments rigides tels qu'un châssis et un moteur de véhicule.
LIOUES
La présente invention concerne des dispositifs antivibratoires destinés à être interposés aux fins d'amortissement et de liaison, voire de support, entre deux éléments rigides tels qu'un châssis et un moteur de véhicule.
L'invention concerne plus particulièrement, parmi ces dispositifs, ceux qui comportent
- une première et une deuxième armatures rigides solidarisables respectivement avec les deux éléments rigides à réunir,
- un corps en élastomère reliant entre elles les deux armatures et formant au moins en partie avec celles-ci deux chambres étanches, dites respectivement chambre de travail et chambre de compensation, le corps en élastomère ayant une forme de cloche et s'étendant axialement entre une base qui présente un épaulement intérieur et un sommet, ladite base étant solidaire de la deuxième armature et ledit sommet étant solidaire de la première armature,
- un passage étranglé faisant communiquer les deux chambres entre elles,
- une masse de liquide remplissant les deux chambres et le passage étranglé,
- un clapet qui est une plaquette en un matériau élastiquement déformable disposé entre les deux chambres,
- une cloison rigide séparant les deux chambres, ladite cloison rigide comportant une première et une deuxième coques rigides qui présentent chacune une grille centrale entourée par une paroi annulaire à section sensiblement en forme de U, cette paroi annulaire délimitant partiellement un canal périphérique, les deux grilles étant disposées de part et d'autre du clapet pour en limiter les débattements, le canal périphérique de la première coque rigide, dit premier canal, s'étendant angulairement entre une première extrémité qui communique avec la chambre de compensation, et une deuxième extrémité, le canal périphérique de la deuxième coque rigide, dit deuxième canal, s'étendant angulairement entre une première extrémité qui communique avec la deuxième extrémité du premier canal, et une deuxième extrémité qui communique avec la chambre de travail, les premier et deuxième canaux périphériques constituant le passage étranglé, la cloison rigide comportant en outre une rondelle sensiblement plane qui délimite partiellement le passage étranglé, les deux coques rigides et la rondelle etant empilées et serrées axialement contre l'épaulement intérieur du corps en élastomère par sertissage de la deuxième armature.
- une première et une deuxième armatures rigides solidarisables respectivement avec les deux éléments rigides à réunir,
- un corps en élastomère reliant entre elles les deux armatures et formant au moins en partie avec celles-ci deux chambres étanches, dites respectivement chambre de travail et chambre de compensation, le corps en élastomère ayant une forme de cloche et s'étendant axialement entre une base qui présente un épaulement intérieur et un sommet, ladite base étant solidaire de la deuxième armature et ledit sommet étant solidaire de la première armature,
- un passage étranglé faisant communiquer les deux chambres entre elles,
- une masse de liquide remplissant les deux chambres et le passage étranglé,
- un clapet qui est une plaquette en un matériau élastiquement déformable disposé entre les deux chambres,
- une cloison rigide séparant les deux chambres, ladite cloison rigide comportant une première et une deuxième coques rigides qui présentent chacune une grille centrale entourée par une paroi annulaire à section sensiblement en forme de U, cette paroi annulaire délimitant partiellement un canal périphérique, les deux grilles étant disposées de part et d'autre du clapet pour en limiter les débattements, le canal périphérique de la première coque rigide, dit premier canal, s'étendant angulairement entre une première extrémité qui communique avec la chambre de compensation, et une deuxième extrémité, le canal périphérique de la deuxième coque rigide, dit deuxième canal, s'étendant angulairement entre une première extrémité qui communique avec la deuxième extrémité du premier canal, et une deuxième extrémité qui communique avec la chambre de travail, les premier et deuxième canaux périphériques constituant le passage étranglé, la cloison rigide comportant en outre une rondelle sensiblement plane qui délimite partiellement le passage étranglé, les deux coques rigides et la rondelle etant empilées et serrées axialement contre l'épaulement intérieur du corps en élastomère par sertissage de la deuxième armature.
Un tel dispositif connu est représenté sur la figure 1 des dessins joints, laquelle figure 1 correspond plus particulièrement à un support de moteur commercialisé par la société PAULSTRA (Groupe Hutchinson) depuis 1988, et servant de support de moteur dans le véhicule de marque "Renault 19" diesel.
Sur la figure 1, les réferences 1 et 2 désignent respectivement les premières et deuxièmes armatures rigides, la référence 3 désigne le corps en élastomère comportant l'épaulement intérieur 3a, la référence 6 désigne la cloison rigide, constituée par les première et deuxième coques rigides 6a, 6b et par la rondelle plane 6c, la référence 7 désigne le passage étranglé, constitué par les deux canaux périphériques 7a et 7b connectés en série et appartenant respectivement aux pièces rigides 6a et 6b, la référence 8 désigne le clapet, et les références A et B désignent respectivement la chambre de travail et la chambre de compensation.
Dans le dispositif de l'art antérieur représenté sur la figure 1, les deux coques rigides 6a et 6b sont empilées l'une sur l'autre, et la rondelle plane 6c est empilée audessus de la deuxième coque rigide 6c et s'appuie contre l'épaulement 3a du corps en élastomère.
La présente invention a notamment pour but de perfectionner un dispositif du type de celui de la figure 1, afin d'éviter que le volume de liquide contenu dans la chambre de travail soit le siège de turbulences ou de phénomènes vibratoires parasites susceptibles de perturber le bon fonctionnement du dispositif.
Pour cela, il est apparu utile de diminuer le volume de liquide contenu dans la chambre de travail, sans pour autant modifier la forme du corps en élastomère, ladite forme étant imposée par la fonction de support de ce corps.
A cet effet, un dispositif antivibratoire hydraulique du genre en question est essentiellement caractérisé en ce que la rondelle est interposée entre les deux coques rigides chaque paroi annulaire sensiblement en forme de U étant ouverte vers ladite rondelle, et en ce que la deuxième coque rigide fait saillie axialement vers le sommet du corps en élastomère, au-delå de l'épaulement intérieur de ce corps.
Selon des modes de réalisation préférés de l'invention, on a recours en outre à l'une et ou a l'autre des dispositions suivantes
- sensiblement tout le deuxième canal périphérique de la deuxième coque rigide est situé axialement entre l'épaulement intérieur du corps en élastomère et le sommet de ce corps
- la paroi annulaire b section sensiblement en forme de U de la deuxième coque rigide présente une forme complémentaire du corps en élastomère lorsque ledit corps subit une compression axiale de la part de la première armature, ladite paroi annulaire constituant ainsi une butée pour le corps en élastomère ;
- la deuxième armature comporte un anneau qui entoure les deux coques rigides en contact étanche avec chacune desdites deux coques, la rondelle présentant une certaine conicité avant montage du support hydraulique, de sorte qu'elle comporte un bord intérieur et un bord exté rieur qui sont axialement décalés l'un par rapport à l'autre, l'une des deux coques rigides présentant un rebord intérieur qui entoure la grille de cette coque rigide et qui est lui-même entouré par une première surface d'appui annulaire plane, disposée en regard du bord intérieur de la rondelle, puis par une deuxième surface d'appui annulaire plane qui est disposée en regard du bord extérieur de la rondelle, ledit rebord intérieur faisant saillie sur une certaine distance axiale D à partir de la première surface d'appui, en direction de l'autre desdites deux coques rigides, l'autre desdites deux coques rigides comportant une troisième surface d'appui annulaire plane, disposée en regard du rebord intérieur, cette troisième surface d'appui étant entourée par une quatrième surface d'appui annulaire plane, qui est disposée en regard du bord extérieur de la rondelle, ladite rondelle présentant une épaisseur de matière e inférieure à ladite distance axiale, et un encombrement axial total E supérieur à ladite distance axiale D, les deux coques rigides étant serrées axialement l'une contre l'autre lors de leur montage dans le support hydraulique, de sorte que la rondelle est au moins partiellement aplatie et que le rebord intérieur est au moins partiellement écrasé lors de ce montage, la déformation élastique de la rondelle assurant ainsi une absence de fuite entre les deux canaux périphériques en dehors de la communication entre la deuxième extrémité du premier canal et la première extrémité du deuxième canal, l'écrasement partiel du rebord saillant intérieur assurant en outre l'absence de fuite entre les canaux periphériques et le logement du clapet, le contact étanche entre l'anneau de la deuxième armature et les deux coques rigides empêchant en outre toute fuite à l'extérieur desdites coques rigides, de sorte que la fréquence de résonnance du passage étranglé, c'est-à-dire la fréquence pour laquelle l'amortissement procuré par le dispositif antivibratoire est optimal, n'est pas perturbée par des défauts d'étanchéité des deux canaux périphériques, les dispositions du présent alinéa pouvant éventuellement, mais de façon moins préférée, être utilisées sans que la deuxième coque rigide fasse saillie vers le sommet du corps en élastomère au-delà de l'épaulement interne de ce corps
- le clapet est reçu dans un logement qui est délimité radialement vers l'extérieur par la première coque rigide, les première et deuxième surfaces d'appui appartenant à ladite première coque rigide, et les troisième et quatrième surfaces d'appui appartenant à la deuxième coque rigide, ce qui constitue une garantie supplémentaire contre l'absence de fuite entre la chambre de travail et le premier canal périphérique, laquelle fuite serait la plus dommageable pour les caractéristiques d'amortissement du dispositif, les fuites entre le deuxième canal périphérique et la chambre de compensation étant par ailleurs limites par la présence du clapet, ces dispositions permettant en outre une meilleure déformation de la rondelle lors de l'assemblage du dispositif
- l'anneau qui entoure les deux coques rigides est revêtu intérieurement d'une couche d'élastomère qui est venue de moulage avec le corps en élastomère et qui est en contact étanche avec les deux pièces rigides constituant la cloison rigide
- la rondelle comporte des moyens de détrompage pour garantir que son bord intérieur soit disposé en appui élastique contre la première surface annulaire d'appui lors de l'assemblage de la cloison rigide
- la rondelle comporte deux encoches extérieures qui constituent lesdits moyens de détrompage ;
- les deux coques rigides et la rondelle comportent des moyens de positionnement pour assurer que ces pièces sont dans une position angulaire relative prédéterminée lors de leur assemblage
- lesdits moyens de positionnement comportent un doigt axial solidaire d'une des deux coques rigides et deux encoches en regard formées respectivement dans l'autre des deux coques rigides et dans la rondelle pour recevoir le doigt axial.
- sensiblement tout le deuxième canal périphérique de la deuxième coque rigide est situé axialement entre l'épaulement intérieur du corps en élastomère et le sommet de ce corps
- la paroi annulaire b section sensiblement en forme de U de la deuxième coque rigide présente une forme complémentaire du corps en élastomère lorsque ledit corps subit une compression axiale de la part de la première armature, ladite paroi annulaire constituant ainsi une butée pour le corps en élastomère ;
- la deuxième armature comporte un anneau qui entoure les deux coques rigides en contact étanche avec chacune desdites deux coques, la rondelle présentant une certaine conicité avant montage du support hydraulique, de sorte qu'elle comporte un bord intérieur et un bord exté rieur qui sont axialement décalés l'un par rapport à l'autre, l'une des deux coques rigides présentant un rebord intérieur qui entoure la grille de cette coque rigide et qui est lui-même entouré par une première surface d'appui annulaire plane, disposée en regard du bord intérieur de la rondelle, puis par une deuxième surface d'appui annulaire plane qui est disposée en regard du bord extérieur de la rondelle, ledit rebord intérieur faisant saillie sur une certaine distance axiale D à partir de la première surface d'appui, en direction de l'autre desdites deux coques rigides, l'autre desdites deux coques rigides comportant une troisième surface d'appui annulaire plane, disposée en regard du rebord intérieur, cette troisième surface d'appui étant entourée par une quatrième surface d'appui annulaire plane, qui est disposée en regard du bord extérieur de la rondelle, ladite rondelle présentant une épaisseur de matière e inférieure à ladite distance axiale, et un encombrement axial total E supérieur à ladite distance axiale D, les deux coques rigides étant serrées axialement l'une contre l'autre lors de leur montage dans le support hydraulique, de sorte que la rondelle est au moins partiellement aplatie et que le rebord intérieur est au moins partiellement écrasé lors de ce montage, la déformation élastique de la rondelle assurant ainsi une absence de fuite entre les deux canaux périphériques en dehors de la communication entre la deuxième extrémité du premier canal et la première extrémité du deuxième canal, l'écrasement partiel du rebord saillant intérieur assurant en outre l'absence de fuite entre les canaux periphériques et le logement du clapet, le contact étanche entre l'anneau de la deuxième armature et les deux coques rigides empêchant en outre toute fuite à l'extérieur desdites coques rigides, de sorte que la fréquence de résonnance du passage étranglé, c'est-à-dire la fréquence pour laquelle l'amortissement procuré par le dispositif antivibratoire est optimal, n'est pas perturbée par des défauts d'étanchéité des deux canaux périphériques, les dispositions du présent alinéa pouvant éventuellement, mais de façon moins préférée, être utilisées sans que la deuxième coque rigide fasse saillie vers le sommet du corps en élastomère au-delà de l'épaulement interne de ce corps
- le clapet est reçu dans un logement qui est délimité radialement vers l'extérieur par la première coque rigide, les première et deuxième surfaces d'appui appartenant à ladite première coque rigide, et les troisième et quatrième surfaces d'appui appartenant à la deuxième coque rigide, ce qui constitue une garantie supplémentaire contre l'absence de fuite entre la chambre de travail et le premier canal périphérique, laquelle fuite serait la plus dommageable pour les caractéristiques d'amortissement du dispositif, les fuites entre le deuxième canal périphérique et la chambre de compensation étant par ailleurs limites par la présence du clapet, ces dispositions permettant en outre une meilleure déformation de la rondelle lors de l'assemblage du dispositif
- l'anneau qui entoure les deux coques rigides est revêtu intérieurement d'une couche d'élastomère qui est venue de moulage avec le corps en élastomère et qui est en contact étanche avec les deux pièces rigides constituant la cloison rigide
- la rondelle comporte des moyens de détrompage pour garantir que son bord intérieur soit disposé en appui élastique contre la première surface annulaire d'appui lors de l'assemblage de la cloison rigide
- la rondelle comporte deux encoches extérieures qui constituent lesdits moyens de détrompage ;
- les deux coques rigides et la rondelle comportent des moyens de positionnement pour assurer que ces pièces sont dans une position angulaire relative prédéterminée lors de leur assemblage
- lesdits moyens de positionnement comportent un doigt axial solidaire d'une des deux coques rigides et deux encoches en regard formées respectivement dans l'autre des deux coques rigides et dans la rondelle pour recevoir le doigt axial.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaitront au cours de la description détaillée suivante d'une de ses formes de réalisation, donnée à titre d'exemple non limitatif, en regard des dessins Joints.
Sur les dessins
- la figure 1 est une vue en coupe axiale d'un dispositif antivibratoire hydraulique de l'art antérieur, déjà décrit ci-dessus,
- la figure 2 est une vue en coupe axiale d'un support antivibratoire hydraulique selon une forme de réalisation de l'invention,
- les figures 3 à 5 sont des vues de détail en coupe axiale des pièces constitutives de la cloison rigide du support antivibratoire hydraulique de la figure 2,
- la figure 6 est une vue en coupe partiellement ecorchée, prise selon la ligne VI-VI de la figure 2, et
- la figure 7 est une vue en coupe développée selon la ligne Vil-Vil de la figure 5.
- la figure 1 est une vue en coupe axiale d'un dispositif antivibratoire hydraulique de l'art antérieur, déjà décrit ci-dessus,
- la figure 2 est une vue en coupe axiale d'un support antivibratoire hydraulique selon une forme de réalisation de l'invention,
- les figures 3 à 5 sont des vues de détail en coupe axiale des pièces constitutives de la cloison rigide du support antivibratoire hydraulique de la figure 2,
- la figure 6 est une vue en coupe partiellement ecorchée, prise selon la ligne VI-VI de la figure 2, et
- la figure 7 est une vue en coupe développée selon la ligne Vil-Vil de la figure 5.
Sur les différentes figures, les mimes références désignent des éléments identiques ou similaires.
Dans la description qui suit, les termes tels que "haut", "bas", "inférieur", "supérieur", "vertical", "horizontal" sont utilisés dans le seul but de rendre plus simple et plus claire la description, en se référant à la position d'utilisation habituelle du dispositif de l'invention, mais ne sont pas limitatifs.
Le dispositif de la figure 2 comporte, de façon connue en soi
- une embase rigide 1 solidaire d'un goujon la en attente dirigé vers le haut,
- un anneau rigide 2 d'axe vertical X, constitué dans cet exemple particulier par deux pièces 2a, 2b superpo sées, chacune conformée avec un bord annulaire rabattu, le bord rabattu de la pièce 2b étant de préférence cylindrique d'axe X, les deux pièces étant prolongées vers l'extérieur par deux pattes diamétralement opposées, traversées chacune par un trou de fixation (non représenté),
- un corps en élastomère 3 qui relie de façon étanche l'embase 1 à l'anneau 2, ce corps en élastomère présentant une forme de cloche qui s'étend selon l'axe X entre une base annulaire fixee à l'anneau 2, et un sommet 3b fixé à l'embase 1, ledit corps en élastomère étant constitué par une paroi suffisamment épaisse pour présenter une bonne résistance à la compression axiale, de façon à jouer un rôle de support1 la base du corps en élastomère formant un épaulement intérieur 3a annulaire,
- un soufflet mince et flexible 4, relie de façon étanche à l'anneau 2, et délimitant un boitier ferme avec l'anneau 2 et le corps en élastomère 3,
- un capot rigide 5 pour la protection du soufflet 4, le capot 5 présentant un bord annulaire radial Sa qui est fixé à l'anneau 2,
- une cloison rigide intermédiaire 6 divisant le boitier en deux chambres, savoir une chambre de travail A du coté du corps en élastomère 3 et une chambre de compensation
B du coté du soufflet 4,
- un passage étrangle 7 reliant en permanence les chambres A et B, ledit passage étrangle étant ménage dans le pourtour de la cloison intermédiaire 6,
- une masse de liquide remplissant les deux chambres
A et B et le passage etranglé 7,
- et un clapet 8, constitué par une plaquette d'élastomère, monté entre deux grilles 9 et 10 faisant partie de la cloison intermédiaire 6, de façon telle que l'amplitude des débattements axiaux des différents points du clapet soient limités à une valeur faible, en général inférieure à 1 mm, le clapet 8 étant en contact étanche contre l'une des grilles 9 et 10 lorsqu'il est en butée contre cette grille.
- une embase rigide 1 solidaire d'un goujon la en attente dirigé vers le haut,
- un anneau rigide 2 d'axe vertical X, constitué dans cet exemple particulier par deux pièces 2a, 2b superpo sées, chacune conformée avec un bord annulaire rabattu, le bord rabattu de la pièce 2b étant de préférence cylindrique d'axe X, les deux pièces étant prolongées vers l'extérieur par deux pattes diamétralement opposées, traversées chacune par un trou de fixation (non représenté),
- un corps en élastomère 3 qui relie de façon étanche l'embase 1 à l'anneau 2, ce corps en élastomère présentant une forme de cloche qui s'étend selon l'axe X entre une base annulaire fixee à l'anneau 2, et un sommet 3b fixé à l'embase 1, ledit corps en élastomère étant constitué par une paroi suffisamment épaisse pour présenter une bonne résistance à la compression axiale, de façon à jouer un rôle de support1 la base du corps en élastomère formant un épaulement intérieur 3a annulaire,
- un soufflet mince et flexible 4, relie de façon étanche à l'anneau 2, et délimitant un boitier ferme avec l'anneau 2 et le corps en élastomère 3,
- un capot rigide 5 pour la protection du soufflet 4, le capot 5 présentant un bord annulaire radial Sa qui est fixé à l'anneau 2,
- une cloison rigide intermédiaire 6 divisant le boitier en deux chambres, savoir une chambre de travail A du coté du corps en élastomère 3 et une chambre de compensation
B du coté du soufflet 4,
- un passage étrangle 7 reliant en permanence les chambres A et B, ledit passage étrangle étant ménage dans le pourtour de la cloison intermédiaire 6,
- une masse de liquide remplissant les deux chambres
A et B et le passage etranglé 7,
- et un clapet 8, constitué par une plaquette d'élastomère, monté entre deux grilles 9 et 10 faisant partie de la cloison intermédiaire 6, de façon telle que l'amplitude des débattements axiaux des différents points du clapet soient limités à une valeur faible, en général inférieure à 1 mm, le clapet 8 étant en contact étanche contre l'une des grilles 9 et 10 lorsqu'il est en butée contre cette grille.
Comme on peut le voir sur les figures 3 à 5, selon l'invention, la cloison rigide 6 comporte une rondelle annulaire 15 interposée entre deux coques rigides 6a, 6b.
La première coque rigide 6a (figure 5) est généralement moulée en aluminium ou en un autre matériau rigide.
La coque 6a comporte en son centre la grille 9, qui est percee d'orifices 9a, ladite grille 9 étant entourée par un premier canal périphérique 7a, délimité par une paroi 32 en forme de U ouverte vers le haut.
Les extrémités axiales 17, 18 des deux branches du
U forment respectivement une première et une deuxième surfaces d'appui annulaires planes, qui sont alignées selon un même plan horizontal.
U forment respectivement une première et une deuxième surfaces d'appui annulaires planes, qui sont alignées selon un même plan horizontal.
En outre, la première coque rigide 6a présente un rebord intérieur annulaire 16 qui fait saillie axialement vers le haut sur une certaine hauteur D à partir du plan horizontal d'alignement des surfaces annulaires d'appui 17 et 18.
Le clapet 8 est disposé dans un logement 8a qui est délimité axialement par les grilles 9 et 10, et radialement vers l'extérieur par la première coque rigide 6a, notamment au niveau du rebord 16. De préférence, le clapet 8 a un diamètre extérieur voisin du diamètre intérieur du logement 8a.
Enfin, la première pièce rigide 6a présente à sa périphérie une encoche axiale 23, dont l'utilité sera vue plus loin.
Comme on peut le voir sur la figure 4, la rondelle 15, qui est généralement réalisée en acier ou en un autre matériau élastique, présente une certaine conicité (exagérée sur la figure 4) de sorte que son bord intérieur 15a est décalé axialement de quelque dixièmes de millimètres par rapport à son bord extérieur 15b. Ainsi, l'encombrement axial total de la rondelle 15 correspond a une certaine hauteur E qui est supérieure à la hauteur D du bord annulaire intérieur saillant 16. De plus, la rondelle 15 présente une épaisseur de matériau e qui est inférieure de quelques dixièmes de millimètres a la hauteur D susmentionnée. Enfin, la rondelle 15 présente deux encoches extérieures 24 et 25 non diamétralement opposées dont l'utilité sera vue plus loin.
Lors de l'assemblage de la cloison rigide 7, le bord interieur 15a de la rondelle est disposée en appui sur la première surface annulaire d'appui 17 tandis que le bord extérieur 15b de ladite rondelle est disposé en regard de la deuxième surface annulaire d'appui 18, au-dessus de cette deuxième surface avant pincement de la rondelle 15 entre les deux coques rigides.
Lors de cet assemblage, les deux encoches 24 et 25 servent de moyen de détrompage, pour garantir de la concavité de la rondelle 15 est tournee vers le haut, ctest-à- dire que son bord intérieur 15a soit en appui contre la première surface d'appui 17.
Comme représenté sur la figure 3, la deuxième coque rigide 6b, qui est généralement moulée en aluminium ou en un autre matériau rigide, comporte en son centre la grille 10.
La grille 10 est percée d'orifices 10a et elle est entourée par un deuxième canal périphérique 7b délimité par une paroi 30 sensiblement en forme de U ouverte vers le bas. Les extrémités axiales 19 et 20 des deux branches du U forment respectivement des troisième et quatrième surfaces d'appui annulaires planes, qui sont alignées selon un même plan horizontal, l'extrémité axiale 20 étant en outre prolongée radialement vers l'extérieur par un rebord annulaire 31.
Lors du montage de la cloison rigide 6, la troisième surface annulaire d'appui 19 est disposée en appui sur le rebord intérieur saillant 16 de la première pièce rigide 6a, et la quatrième surface annulaire d'appui 20 est disposée en appui sur le bord extérieur 15b de la rondelle.
En outre, la deuxième coque rigide 6b comporte à sa périphérie un doigt axial 26 qui est adapté à s'engager dans l'encoche 25 de la rondelle et dans l'encoche 23 de la première coque rigide, lorsque ces trois pièces sont assemblées pour constituer la cloison rigide. Ces dispositions assurent que les trois pièces 6a, 6b et 15 sont dans une position angulaire relative prédéterminée lorsqu'elles sont montées pour constituer ensemble la cloison rigide 6.
Comme on peut le voir en particulier sur les figures 6 et 7, le premier canal périphérique 7a s'étend angulairement entre une première extrémité 11 qui communique avec la chambre de compensation B par un orifice 21, et une deuxième extrémité 12 qui est séparée angulairement de la première extrémité par une cloison sensiblement radiale 22.
Par ailleurs, le deuxième canal périphérique 7b s 'étend angulairement entre une première extrémité 13 qui communique avec la deuxième extrémité 12 du premier canal périphérique 7a par un orifice 27 de la rondelle 15, et une deuxième extrémité 14 qui est séparée angulairement de la première extrémité 13 par une cloison 28 sensiblement radiale, et qui communique avec la chambre de travail A par l'intermédiaire d'un orifice 29 de la deuxième pièce rigide 6b.
De cette façon, les canaux périphériques 7a et 7b sont connectés en série entre la chambre de travail A et la chambre de compensation B, pour constituer le passage étranglé 7 qui relie entre elles ces deux chambres.
Lorsque le dispositif antivibratoire hydraulique est assemblé, l'extrémité inférieure de la partie cylindrique de la pièce 2b de l'anneau 2 est sertie sur le bord annulaire 5a du capot 5, ledit bord annulaire 5a étant en appui contre une surface annulaire extérieure de la première coque rigide 6a, tandis que le rebord annulaire 31 de la deuxième coque rigide 6b est en appui contre l'épaulement intérieur 3a du corps en élastomère 3, lequel épaulement 3a est rigidifié par le bord rabattu de la pièce 2a de 1'anneau 2.
Ainsi, lors du sertissage de l'extrémité inférieure de la pièce 2b, les deux coques rigides 6a et 6b sont rapprochées l'une de l'autre en serrant entre elles la rondelle 15.
A la suite de cette opération, la rondelle 15 est totalement ou partiellement aplatie, et son bord intérieur 15a est appliqué élastiquement en contact etanche contre la première surface annulaire d'appui 17, tandis que son bord extérieur 15b est appliqué élastiquement en contact étanche contre la quatrième surface annulaire d'appui 20. Ainsi, on interdit toute communication entre les canaux périphériques 7a et 7b en dehors de l'orifice 27 de la rondelle.
De plus, lors du serrage, la troisième surface annulaire d'appui 19 vient écraser (partiellement, de quelques dixièmes de mm, par exemple de 2 à 5 dixièmes de mm) le rebord intérieur saillant 16 de la première coque rigide 6a, de sorte que ce rebord intérieur constitue une ligne d'étanchéité intérieure entre les pièces rigides 6a et 6b, qui interdit toute communication entre les canaux 7a et 7b et les chambres A et B.
Eventuellement, il peut subsister un léger interstice entre le bord extérieur 15b de la rondelle et la deuxième surface d'appui annulaire 18, mais cet interstice n'est pas susceptible d'entrainer des fuites de liquide, dans la mesure où les deux coques rigides 6a et 6b sont montées en emboîtement serré a l'intérieur de la partie cylindrique de la pièce 2b de l'anneau 2, ladite pièce 2b étant revêtue intérieurement d'une couche d'élastomère 3c venue de moulage avec le corps en élastomère 3.
En outre, le serrage axial des deux coques rigides 6a et 6b entre l'épaulement 3a du corps en élastomère et le rebord annulaire 5a du capot 5, lui-même revêtu intérieurement d'une couche d'élastomère venue de moulage avec le soufflet 4, complète cette étanchéité.
De plus, même dans le cas où, par exemple, à la suite d'un choc sur le rebord saillant 16 et la troisième surface annulaire 19, ce défaut ne créerait une fuite qu'entre le canal 7a et la chambre de travail et non entre le canal 7b et la chambre de travail, ce qui serait plus grave.
Enfin, les encoches 24 et 25 de la rondelle sont respectivement disposées en regard des cloisons 28 et 22 des coques rigides, de sorte que ces encoches ne créent pas de fuite d'un canal périphérique à l'autre.
Grâce à cette réalisation particulière de la cloison rigide 6, la partie supérieure de ladite cloison rigide, constituée ici par la pièce rigide moulée 6a, peut avoir une forme autre que plane, et donc faire saillie axialement à l'intérieur du corps en élastomère 3, ce qui permet de reduire le volume de liquide contenu dans la chambre de travail, afin d'éviter des phénomènes de turbulences et de vibrations parasites qui peuvent autrement perturber le fonctionnement normal du dispositif.
Dans l'exemple représenté, la majeure partie de la deuxième coque rigide 6b fait saillie axialement vers le haut au-dessus de la base 3a du corps en élastomère.
En outre, la deuxième coque rigide 6b peut entre moulée de façon que sa paroi extérieure 30, qui présente une forme complémentaire de la forme intérieure du corps en élastomère 3 lorsque ledit corps en élastomère 3, subit une compression axiale. De la sorte, la surface 21 constitue une butée pour le corps en élastomère 3.
Claims (10)
1. Dispositif antivibratoire hydraulique destiné à être interposé entre deux éléments rigides, comportant
- une première et une deuxième armatures rigides (1, 2) solidarisables respectivement avec les deux éléments rigides a réunir,
- un corps en élastomère (3) reliant entre elles les deux armatures (1,2) et formant au moins en partie avec celles-ci deux chambres étanches (A,B), dites respectivement chambre de travail et chambre de compensation, le corps en élastomère ayant une forme de cloche et s'étendant axialement entre une base qui présente un épaulement intérieur (3a) et un sommet (3b), ladite base étant solidaire de la deuxième armature (2) et ledit sommet étant solidaire de la première armature (1),
- un passage étranglé (7) faisant communiquer les deux chambres entre elles,
- une masse de liquide remplissant les deux chambres (A,B) et le passage étranglé (7),
- un clapet (8) qui est une plaquette en un matériau élastiquement déformable disposé entre les deux chambres (A,8),
- une cloison rigide (6) séparant les deux chambres (A,B), ladite cloison rigide comportant une première (6a) et une deuxième (6b) coques rigides qui présentent chacune une grille (9,10) centrale entourée par une paroi annulaire (30,32) à section sensiblement en forme de U, cette paroi annulaire délimitant partiellement un canal périphérique (7a, 7b), les deux grilles (9,10) étant disposées parallèlement l'une à l'autre de part et d'autre du clapet (8) pour en limiter les débattements, le canal périphérique de la première coque rigide, dit premier canal, s'étendant angulairement entre une. première extrémité (il) qui communique avec la chambre de compensation (B), et une deuxième extrémité (12), le canal périphérique (7b) de la deuxième coque rigide (6b), dit deuxième canal, s'étendant angulairement entre une première extrémité (13) qui communique avec la deuxième extrémité (12) du premier canal, et une deuxième extrémité (14) qui communique avec la chambre de travail (A), les premier et deuxième canaux périphériques constituant le passage étranglé (7), la cloison rigide (6) comportant en outre une rondelle sensiblement plane qui délimite partiellement le passage étranglé (7), les deux coques rigides et la rondelle étant empilées et serrées axialement contre l'épaulement intérieur (3a) du corps en élastomère par sertissage de la deuxième armature (2), caractérisé en ce que la rondelle (15) est interposée entre les deux coques rigides (6a, 6b), chaque paroi annulaire (30, 32) sensiblement en forme de U étant ouverte vers ladite rondelle, et en ce que la deuxième coque rigide (6b) fait saillie axialement vers le sommet (3b) du corps en élastomère, au-delà de l'épaulement intérieur (3a) de ce corps.
2. Dispositif selon la revendication 1, dans lequel sensiblement tout le deuxième canal périphérique (7b) de la deuxième coque rigide est situé axialement entre l'épaule- ment intérieur (3a) du corps en élastomère et le sommet (3b) de ce corps.
3. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, dans lequel la paroi annulaire (30) à section sensiblement en forme de U de la deuxième coque rigide (6b) présente une forme complémentaire du corps en élastomère (3) lorsque ledit corps subit une compression axiale de la part de la première armature (1), ladite paroi annulaire (30) constituant ainsi une butee pour le corps en élastomère (3).
4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la deuxième armature comporte un anneau (2b) qui entoure les deux coques rigides (6a,6b) en contact étanche avec chacune desdites deux coques, la rondelle (15) présentant une certaine conicité avant montage du support hydraulique, de sorte qu'elle comporte un bord intérieur (1Sa) et un bord extérieur (15b) qui sont axialement décalés l'un par rapport à l'autre, l'une (6a) des deux coques rigides présentant un rebord intérieur (16) qui entoure la grille (9) de cette coque rigide et qui est luimême entouré par une premiere surface d'appui (17) annulaire plane, disposee en regard du bord intérieur (15a) de la rondelle, puis par une deuxième surface d'appui (18) annulaire plane qui est disposée en regard du bord extérieur (15b) de la rondelle, ledit rebord intérieur (16) faisant saillie sur une certaine distance axiale (D) à partir de la première surface d'appui (17), en direction de l'autre (6b) desdites deux coques rigides, l'autre desdites deux coques rigides comportant une troisième surface d'appui (19) annulaire plane, disposée en regard du rebord intérieur (16), cette troisième surface d'appui etant entourée par une quatrième surface d'appui (20) annulaire plane, qui est disposee en regard du bord extérieur (15b) de la rondelle, ladite rondelle (15) présentant une épaisseur de matiere (e) inférieure à ladite distance axiale (D), et un encombrement axial total (E) supérieur à ladite distance axiale (D), les deux coques rigides (6a, 6b) étant serrées axialement l'une contre l'autre lors de leur montage dans le support hydraulique, de sorte que la rondelle (15) est au moins partiellement aplatie et que le rebord intérieur (16) est au moins partiellement écrasé lors de ce montage.
5. Dispositif selon la revendication 4, dans lequel le clapet (8) est reçu dans un logement (8a) qui est délimite radialement vers l'extérieur par la première coque rigide (6a), les première (17) et deuxième (18) surfaces d'appui appartenant à ladite première coque rigide (6a), et les troisième (19) et quatrième (20) surfaces d'appui appartenant à la deuxième coque rigide (6b).
6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 4 et 5, dans lequel l'anneau (2b) qui entoure les deux coques rigides (6a, 6b) est revêtu intérieurement d'une couche d'élastomère (3c) qui est venue de moulage avec le corps en élastomère (3) et qui est en contact étanche avec les deux coques rigides (6a, 6b).
7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 4 a 6, dans lequel la rondelle (15) comporte des moyens (24,25) de détrompage pour garantir que son bord intérieur (15a) soit disposé en appui élastique contre la première surface d'appui (17) lors de l'assemblage de la cloison rigide (6).
8. Dispositif selon la revendication 7, dans lequel la rondelle (15) comporte deux encoches extérieures (24,25) qui constituent lesdits moyens de détrompage.
9. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel les deux coques rigides (6a, 6b) et la rondelle (15) comportent des moyens de positionnement (23,25,26) pour assurer que ces pièces sont dans une position angulaire relative prédéterminée lors de leur assemblage.
10. Dispositif selon la revendication 9, dans lequel lesdits moyens de positionnement comportent un doigt axial (26) solidaire d'une (6b) des deux coques rigides (6a,6b), et deux encoches (23,25) en regard formées dans l'autre (6b) des deux coques rigides et dans la rondelle (15) pour recevoir le doigt axial (26).
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