FR2534096A1 - Systeme de transmission numerique a etalement du spectre par codage avec des suites pseudo-aleatoires - Google Patents

Systeme de transmission numerique a etalement du spectre par codage avec des suites pseudo-aleatoires Download PDF

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Abstract

LA PRESENTE INVENTION CONCERNE UN SYSTEME DE TRANSMISSION NUMERIQUE UTILISANT UNE TECHNIQUE D'ETALEMENT DU SPECTRE PAR CODAGE AVEC DES SEQUENCES BINAIRES PSEUDO-ALEATOIRES. CE SYSTEME DE TRANSMISSION NUMERIQUE COMPORTE AU MOINS UNE LIAISON MUNIE A L'EMISSION, POUR LE CODAGE D'ETALEMENT DU SPECTRE, DE MOYENS 11, 12, 13 ASSEMBLANT LES ELEMENTS BINAIRES DU MESSAGE A TRANSMETTRE PAR LADITE LIAISON EN GROUPES SUCCESSIFS ET DE MOYENS 14, 15, 16 FAISANT CORRESPONDRE A CES GROUPES DES SYMBOLES MULTIVALENTS ISOCHRONES DONT LES DIFFERENTES VALEURS SONT CONSTITUEES DE MOTIFS DISTINCTS OCCUPANT CHACUN LA DUREE D'UN SYMBOLE ET ETANT OBTENUS PAR PERMUTATIONS CIRCULAIRES ET EVENTUELLEMENT COMPLEMENTATION D'UNE MEME SUITE BINAIRE PSEUDO-ALEATOIRE. IL EST PARTICULIEREMENT ADAPTE POUR ACHEMINER DES DONNEES ENTRE DES EMETTEURS MOBILES D'UN RECEPTEUR FIXE.

Description

Système de transmission numérique à étalement du spectre par codage avec des suites pseudo-aléatoires
-La présente invention concerne les transmissions numériques utili- sant une technique d'étalement du spectre par codage avec des suites pseudo-aléatoires et notamment celles comportant plusieurs liaisons simultanées occupant un même canal de fréquence et reliant plusieurs émetteurs à un récepteur commun qui peuvent être mobiles les uns par rapport aux autres comme ctest le cas d'un-système de radiotéléphone pour mobiles.
L'étalement du spectre par codage avec des séquences pseudo-aléatoires consiste à multiplier un message par une séquence pseudo-aléatoire de débit plus rapide. Habituellement, le message à transmettre a la forme d'une suite d'éléments binaires-isochrones et est codé pour l'éta- lement de son spectre de fréquence en remplaçant chacun de ses éléments binaires par un motif formé d'une version complémentée ou non d'une suite binaire pseudo-aléatoire de même durée. La suite binaire pseudo-aléatoire présente par définition un produit d'autocorrélation faible pour une distance d'autocorrélation supérieure à la durée de l'un de ses éléments binaires et maximum pour une distance d'autocorrélation nulle.
Le décodage de désétalement du spectre utilise cette propriété et se fait en réception en soumettant le signal à spectre étalé reçu sur une durée égale à celle d'un motif, c'est-à-dire d'une suite pseudo-aléatoire, à une corrélation avec une version mémorisée localement de la suite binaire pseudo-aléatoire qui représente le motif attendu ou son complément. En l'absence de bruit, le produit de corrélation reste faible sauf périodiquement à la cadence des éléments binaires du message et sur une durée de deux éléments binaires de la suite binaire pseudo-aléatoire où il passe par un maximum traduisant la similitude, à une complémentation près, du motif reçu avec celui mémorisé t le signe de ce maximum sert de critère pour l'estimation de la valeur de l'élément binaire du message reçu.En présente de bruit, le pic de corrélation s'atténue et s'étale mais il subsiste une amélioration du rapport signal sur bruit. Par exemple, un bruit blanc est atténué d1un -facteur égal au nombre d'éléments de la suite binaire pseudo-aléatoire.
Pour réaliser des liaisons simultanées dans un même canal de fréquence avec la technique d'étalement du spectre par codage avec des séquences pseudo-aléatoires on peut avoir recours à des séquences pseudo-aléatoires distinctes pour chaque liaison et orthogonales entre elles. Un décodeur spécifique à chaque liaison corrèle le signal à spectre étalé reçu avec une version mémorisée localement de la suite binaire pseudo-aléatoire affectée à sa liaison. Dans cette corrélation les composantes du signal à spectre étalé dues aux autres liaisons apparais sent comme du bruit qui se superpose au motif attendu. Mais ce bruit n'est aussi affaibli qu'un bruit blanc par le codage de désétalement que dans la mesure où les séquences pseudo-aléatoires sont parfaitement orthogonales.Dans le cas des liaisons utilisant des suites binaires pseuso-aléatoires de même débit et de même longueur le coefficient d'affaiblissement de l'interférence provoquée par une liaison est proportionnel à la racine carrée de la longueur des séquences binaires pseudoaléatoires et non à la longueur des séquences.
I1 est possible de diminuer l'interférence provoquée au décodage par une liaison sur une autre en utilisant pour chaque liaison la même séquence binaire pseudo-aléatoire. Cela nécessite une synchronisation des émetteurs pour obtenir que les séquences à spectre étalé de chaque liaison engendrent en réception, dans un décodeur à corrélation, des pics de corrélation distincts se succédant dans un ordre connu. Chaque liaison se comporte alors, pour les autres liaisons, comme un bruit blanc affaibli lors du décodage de désétalement du spectre proportionnellement à la longueur de la séquence pseudo-aléatoire.
Si on veut éviter ce bruitage d'une liaison sur une autre on est conduit à employer une technique de multiplexage temporel des liaisons au prix d'une réduction de leur débit individuel.
La présente invention a pour but d'augmenter le débit individuel d'une liaison en augmentant le moins possible la largeur de bande de fréquence occupée et les perturbations entre liaisons simultanées dans un meme canal de fréquence utilisant des séquences pseudo-aléatoires orthogonales.
Elle a pour objet un système de transmission de données à étalement de spectre par codage avec des séquences pseudo-aléatoires comportant au moins une liaison munie à l'émission de moyens de codage d'étalement du spectre assemblant les éléments binaires du message à transmettre en groupes successifs et faisant correspondre à ces groupes des symboles multivalents isochrones dont les différentes valeurs sont constituées de motifs distincts de même durée obtenus par permutations circulaires et éventuellement complémentation d'une même suite binaire pseudo-aléatoire.
Ce système de transmission comporte, de manière -préféréntielle?, en réception de la liaison, des moyens de décodage de désétalement du spectre découpant le signal à spectre étalé reçu en- séquences successives correspondant aux motifs successifs reçus, répétant chacune des séquences au moins une fois, corrélant le signal obtenu à la suite de ces répétitions avec une version mémorisée de la suite binaire pseudo-aléatoire répétée une fois de moins et identifiant le motif émis et le groupe de données correspondant à chaque séquence à partir de la position du maximum de corrélation dans l'une des répétitions de la séquence considérée et éventuellement de son signe.
L'utilisation des permutations circulaires pour coder des informations augmente de manière importante le débit de la liaison. Elle altère en contrepartie le caractère pseudo-aléatoire du signal à spectre étalé qui n'est conservé qu'à l'intérieur de chaque motif. Mais, comme on le verra par la suite, les inconvénients de cette altération aussi bien au niveau du décodage d'une liaison unique que des décodages de plusieurs liaisons simultanées dans un même canal de fréquence utilisant des suites pseudo-aléatoires orthogonales peuvent être surmontés au prix de synchronisations peu contraignantes dans la pratique.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description d'exemples de réalisation et des figures qui l'accompagnent. Les figures utilisées pour illustrer la description sont les.suivanles les suivantes - la figure 1 qui illustre schématiquement un dispositif d'étalement du spectre codant les informations d'un message à transmettre par groupes de quatre bits dont trois sont représentés par le choix d'une permutation d'une suite binaire pseudo-aléatoire de base et un par le fait que -le motif ainsi défini est complémenté ou non, - la figure 2 qui illustre schématiquement un dispositif de désétalement du spectre décodant l'information codée par un dispositif tel que celui représenté dans la figure 1, - la figure 3 qui illustre schématiquement un dispositif de désétalement du spectre adapté au décodage et à la séparation de liaisons dans la même bande de fréquence entre un récepteur unique et plusieurs émetteurs avec des dispositifs de codage d'étalement du spectre tels que celui de la figure 1 employant des suites binaires pseudo-aléatoires orthogonales de même longueur, - et la figure 4 qui illustre schématiquement un perfectionnement du dispositif de désétalement du spectre représenté à la figure 3.
Le disposiS de codage d'étalement du spectre représenté à la figure 1 code le message à transmettre par groupes de quatre bits au moyen de 16 motifs distincts obtenus par permutations circulaires et complémentation d'une suite binaire pseudo-aléatoire de 32 bits. Trois bits de chaque groupe assurent le choix d'une permutation circulaire de la séquence binaire pseudo-aléatoire et le quatrieme détermine si le motif obtenu par permutation circulaire est complémenté ou non. Par rapport & un dispositif de codage classique qui ne fait usage que de la complémentation on obtient un quadruplement de la capacité de transmission.
Le dispositif de codage de la figure 1 reçoit d'une part la modulation de message à transmettre D sous la forme d'une suite d'éléments binaires isochrones et d'autre part un signal d'horloge H c de fréquence égale au débit binaire des motifs ou de la suite binaire pseudo-aléatoire c'est-à-dire huit fois le débit binaire du message à transmettre.
Il comporte : un circuit pour l'ordonnancement des éléments binaires du message à transmettre en groupes de quatre bits formé d'un diviseur 10 de rapport huit, d'un registre à décalage 11 à entrée série et quatre sorties parallèles, d'un diviseur 12 de rapport quatre et d'un registre tampon 13 à quatre bits parallèles, un générateur de séquence pseudo-aléatoire formé d'une mémoire morte 14 à trente deux mots d'un bit adressée cycliquement par un compteur programmable 15 et un circuit de complémentation formé d'une porte logique de type ou exclusif" 16.
Le diviseur 10 de rapport huit reçoit en entrée le signal d'horloge H c et délivre en sortie une fréquence égale au débit de la modulation de message à transmettre D. Il sert à cadencer le registre à décalage 11 qui reçoit sur son entrée série la modulation de message D, la resynchronise et assure une conversion série-parallèle.
Le diviseur 92 de rapport quatre est connecté à la suite du divi- seur 10 et engendre la fréquence de cadencement des groupes de quatre bits. Il cadence le registre tampon 13 qui est disposé aux sorties du registre à décalage 11 et qui délivre en parallèle sur les sorties Q0, Q1 > Q2 Q3 les quatre bits de chaque groupe.
Le compteur programmable 15 est un compteur à cinq bits (25 = 32) cadencé par le signal d'horloge Hc. il présente une entrée de programmation à cinq bits parallèles dont les deux bits de poids faibles sont mis au zero logique et dont les trois autres bits sont connectés aux sorties Q1, Q2, Q3 du registre tampon 13. Il a en outre une commande de chargement parallèle P qui permet de le réinitialiser à la valeur affichée sur son entrée de programmation. Il compte à la cadence du signal d'horloge Hc et est réinitialisé par le signal de sortie du diviseur 12 qui rythme les groupes de quatre bits du message à transmettre et dont la fréquence est 32 fois plus faible que celle du signal d'horloge He.
Pendant la présentation deun groupe de quatre bits à la sortie du registre tampon 13 il reçoit trente deux impulsions d'inerémentation. Au cours de la première qui est confondue avec un signal de chargement parallèle délivré par le diviseur 12 il est initialisé à la valeur binaire Q3, Q2, Q1, , 0 qui détermine 8 permutations circulaires possibles de la séquence binaire pseudo-aléatoire. Au cours des trente et une impulsions d'incrémentation suivantes il permet d'effectuer un balayage complet de la mémoire morte 14.
La mémoire morte 14 fournit les trente deux éléments binaires d'une suite binaire pseudo-aléatoire dans l'ordre de la lecture du compteur 15.
La porte logique de type "ou exclusif" 16 est à deux entrées connectées l'une à la sortie Q0 du registre tampon 13 et l'autre à la sortie lecture de la mémoire morte 14. Elle permet d'effectuer ou non en fonction du niveau logique de la sortie Q0 une complémentation de la permutation circulaire disponible en sortie lecture de la mémoire 14.
Le signal à spectre étalé M délivré par le dispositif de codage de la figure 1 et disponible à la sortie de la porte logique du type "ou exclusif" 16 est utilisé de manière classique pour engendrer un signal de transmission. Il sert par exemple à moduler une porteuse en BPSK (modulation par sauts de phase à deux états).
Le décodage de désétalement du spectre du signal à spectre étalé délivré par le dispositif de la figure 1 ne peut se faite avec un déco- deur classique par corrélation avec une version mémorisée localement de la suite binaire pseudo-aléatoire car ladite version ne correspond au plus qu'à l'un des motifs engendré par le codage et ne peut donc peut tre de détecter que ce motif ou son complément. Il est possible de détecter les seize motifs complémentaires deux à deux du codage réalisé par le dispositif de la figure 1 en corrélant le signal reçu sur la durée d'un groupe de quatre bits de message à transmettre avec les huit permutations circulaires à l'origine des motifs engendrés par le codage ce qui conduit à l'utilisation de huit corrélateurs en parallèle.Cependant, si on corrèle à une permutation d'un motif a0.. aN une suite constituée de la queue xi...xN d'une première permutation et un début y0...i-1 d'une deuxième, on a une réponse égale à (N-i+1) Si xi... est identique à aO...aN i+1 et égale à i si Yo*--Yi 1 est identique à xN-i+1 - xN. Si le décodage n'est pas synchronisé, de nombreux pics secondaires sont susceptibles d'apparaitre. Certains de ces pics secondaires ont une amplitude voisine de celle d'un pic principal et peuvent, en présence de bruit, être mal interprété.Ils peuvent même atteindre la valeur maximale de corrélation dans le cas d'une succession de memes motifs car l'on retrouve alors, éventuellement à une complémentation près, toutes les permutations circulaires de la suite binaire pseudo-aléatoire. Ils sont heureusement décalés dans le temps et peuvent être écartés à l'aide d'un signal de synchronisation, définissant une fenêtre temporelle de même période de répétition que les motifs centrée sur la majorité des pics de corrélation de valeur maximale.
Si on connait en réception les limites des motifs avec une précision supérieure à la moitié du nombre minimum de permutations circulaires permettant de passer d'un motif à un autre, deux dans le cas du dispositif de codage de la figure 1, il est possible de décoder simplement en procédant en réception à une répétition systématique des motifs.
En effet, chaque motif suivi de sa répétition conserve le caractère pseudo-aléatoire de la suite qui en est à l'origine et contient, comme on vient de le mentionner, éventuellement à une complémentation près, toutes les permutations circulaires de la suite binaire pseudo-aléatoire et parmi celles-ci la version de base dont la position à l'intérieur du motif et dé sa doublure dépend directement de la permutation circulaire à l'origine du motif. L'identification du motif peut alors s'effectuer à l'aide d'un corrélateur unique qui corrèle le signal obtenu à la suite des répétitions des motifs avec la version de base de la suite binaire pseudo-aléatoire et d'un détecteur estimant la permutation circulaire utilisée pour engendrer le motif à partir de la position du maximum de corrélation.Un ou deux pics secondaires de corrélation peuvent se pro- duire au cours du motif car la corrélation fait alors intervenir une partie du motif précédent à la fin duquel peut se présenter une Dermu- tation circulaire rompant le caractère pseudo-aléatoire de la portion de signal corrélé. Ce n'est plus le cas au cours de la répétition du motif et il est facile de se prémunir contre cet état de chose en ne tenant compte du signal du corrélateur qu'en dehors des motifs reçus, uniquement pendant leur répétition.
Une approximation dans la limite estimée d'un motif altère l'esti- mation de la position de la version de base de la suite binaire pseudoaléatoire à l'intérieur d'un motif et de sa doublure et ne doit 'pas dépasser la moitié du nombre minimal de permutations circulaires unitaires permettant de passer d'un motif à un autre faute de quoi il est impossible de distinguer certains motifs entre eux. Elle provoque également une restitution incomplète de la version de base de la suite binaire pseudo-aléatoire dans le motif et sa doublure, et aboutit à une dégradation de pic de corrélation sans toutefois le déplacer.
La connaissance en réception des limites des motifs avec la précision précitée peut s'obtenir de diverses manières, par exemple à l'aide d'une liaison de retour allant du récepteur vers l'émetteur et permettant le contrôle de la cadence d'émission des motifs depuis le récepteur. C'est une contrainte beaucoup moins forte que la nécessité de synchronisation rencontrée dans les systèmes de transmission de l'art antérieur entre émetteurs utilisant une même suite binaire pseudo-aléatoire car elle n'intervient qu'entre un émetteur et un récepteur et n'intéresse-au plus que deux oscillateurs. Elle est en outre assez lâche.
La figure 2 illustre un dispositif de décodage qui est adapté au dispositif de codage de la figure 1 et qui procède par l'intermédiaire d'une répétition des motifs avec compression du temps.
Une mémoire analogique 20 à lecture et écriture indépendantes assure la compression du temps dans les limites de chaque motif. n étant le nombre d'échantillons pris en considération sur la durée de chacun des 32 éléments binaires d'un motif, elle peut être formée d'un ensemble de 32 n registres analogiques adressés à la lecture et à l'écriture par des sélecteurs distincts pilotés par des compteurs indépendants fonctionnant à des rythmes quelconques dont l'un peut être le double de l'autre. Cette mémoire 20 peut etre réalisée à base de circuits à transfert de charge tels que ceux produits par la Société RETICON sous la référence SAM 64.
Elle reçoit sur une entrée d'écriture le signal DC dont il s'agit de désétaler le spectre et qui n'est autre que le signal M délivré par le dispositif de codage de la figure 1 après une éventuelle démodulation et, sur des entrées de cadencement, un signal d'horloge d'inscription H avec une cadence n fois supérieure au débit de la suite binaire pseudo-aléatoire utilisée au codage et un signal de lecture H1 avec une cadence double de celle du signal d'horloge d'inscription Hi.
Une base de temps 21 délivre les signaux d'horloge dtinscription Hi et de lecture H1 ainsi qu'un signal d'horloge de séquence Hs repérant les limites d'un motif en sortie de la mémoire analogique 20. L'ensemble de ces signaux d'horloge sont obtenus à partir du signal d'un oscillateur unique par des divisions de fréquence, la base de temps 21 recevant ou fournissant un signal d'asservissement permettant de synchroniser le signal d'horloge de séquence H5 sur les limites des motifs en sortie de la mémoire analogique 20 avec une précision supérieure à deux éléments de la suite binaire pseudoaléatoire.
Un multiplexeur 22 à deux entrées associé à un corrélateur numérique-analogique 23 permet de répéter les séquences d'échantillons correspondant aux motifs reçus et de corréler le signal obtenu avec la version de base de la suite binaire pseudo-aléatoire utilisée au codage.
Le corrélateur numérique-analogique 23 est constitué par exemple à base de circuits à transfert de charge tels que ceux produits par la société RETICON sous la référence R5401. Il est formé de deux registres à décalage à entrée série et sorties parallèles, l'un numérique, l'autre analogique, de multiplicateurs effectuant les produits des valeurs stockées dans les étages de meme rang des registres à décalage et d'un sommateur additionnant les-signaux délivrés par les multiplicateurs. Les deux registres à décalage ont un nombre d'étages égal à 32 n correspondant au nombre d'échantillons analogiques traités par motif reçu.Le registre à décalage analogique est cadencé par le signal d'horloge de lecture H1. La sortie de données de son dernier étage est accessible et rebouclée à l'entrée de données de son premier étage par l'intermédiaire du multiplexeur 22 qui assure en outre la connexion de l'entrée de son premier étage à la sortie lecture de la mémoire analogique 20. Le registre numérique est normalement statique, une entrée R et un cadencement adéquat permettant, à l'initialisation, de le remplir avec des échantillons de la version de base de la suite binaire pseudo-aléatoire utilisée au codage.
Le multiplexeur 22 est adressé par le signal d'horloge de séquences Hs délimitant les fenêtres temporelles correspondant en sortie lecture de la mémoire analogique 20 aux échantillons analogiques de chaque motif reçu. Au cours de chacune de ces fenêtres le multiplexeur 22 met en relation la sortie de la mémoire analogique 20 avec l'entrée du premier étage du registre analogique à décalage du corrélateur 23 qui se remplit avec les échantillons analogiques d'un motif reçu. En dehors de ces fenetres il boucle l'entrée et la sortie du registre analogique à décalage du corrélateur 23 assurant ainsi par recyclage du contenu de ce registre la répétition des séquences d'échantillons analogiques correspondant aux motifs reçus.
Le corrélateur 23 délivre un signal analogique donnant la valeur instantanée de la corrélation entre la version de base de la suite binaire pseudo-aléatoire utilisée au codage d'étalement du spectre et le signal obtenu par répétition des séquences d'échantillons analogiques à un détecteur 24 délivrant un signal numérique IC représentatif de la position des crêtes de corrélation et donc des bits D1, Dp, D3 du groupe de bits correspondant au motif reçu et un signal SC fonction du signe des crêtes de corrélation représentatif du bit Do du groupe de bits correspondant au motif reçu.
Le détecteur 24 reçoit le signal d'horloge de lecture H1 de la mémoire analogique 20 ainsi que le signal d'horloge de séquences H5 qui lui permettent de déterminer la position des erêtes de corrélation à l'intérieur des répétitions de séquences. Il comporte par exemple un compteur qui a une capacité de 32 n égale au nombre d'échantillons d'une séquence et qui est incrémenté par le signal d'horloge de lecture H1 et maintenu à zéro pendant la durée de remplissage du registre analogique du corrélateur 23 par la mémoire analogique 20 au moyen du signal d'horloge de séquences H3, un détecteur de maximum qui analyse le signal de sortie du corrélateur et qui est maintenu à zéro aux mêmes instants que le compteur par le signal d'horloge de séquences Hs, un détecteur de polarité analysant le signal fourni par le corrélateur 23, un premier registre mémoire à quatre bits parallèles connecté en entrée aux trois bits de plus forts poids du compteur et à la sortie du détecteur de polarité, mis en écriture à chaque fois que le détecteur de maximum enregistre une valeur supérieure, et un deuxième registre mémoire de quatre bits parallèles connecté à la suite du premier et mis en écriture avant chaque dépassement de capacité du compteur.Le compteur détermine la distance de corrélation au cours d'une répétition de séquence, le premier registre mémoire enregistre la valeur de la distance de corrélation chaque fois que le produit de corrélation augmente de sorte qu'il mémorise en fin de séquence la valeur de la distance de corrélation pour le maximum absolu du produit de corrélation et le deuxième registre mémoire vient lire le premier en fin de séquence. Vu le procédé de codage d'étalement du spectre du dispositif de la figure 1, les trois bits de plus forts poids du compteur mémorisés dans le deuxième registre représentent les bits D1, D2, D3 du groupe de bits correspondant au motif reçu tandis que le signal du détecteur de polarité enregistré dans le deuxième registre représente le bit Do du groupe de bits correspondant au motif reçu.
Les signaux numériques SC et IC issus du détecteur 24 sont appliqués à un convertisseur numérique parallèle-série 25 qui est cadencé par un signal d'horloge bit Hb et qui délivre sous forme série le signal numérique N. Le signal d'horloge bit H b est quatre fois plus rapide que le signal d'horloge de motif Hm avec lequel il est synchronisé. Comme ce dernier, il est délivré par la base de temps 21.
On remarque qu'il est possible de se passer du multiplexeur 22 en effectuant deux lectures successives dans la mémoire analogique 20. Le signal d'horloge de séquences Hs sera alors utilisé pour repérer le rang de chaque lecture (première ou deuxième d'un même motif).
On peut utiliser pour des liaisons simultanées dans un même canal de fréquéncedes dispositifs de codage d'étalement du spectre analogues à celui de la figure 2 employant des suites binaires pseudo-aléatoires orthogonales entre elles. Cependant, en l'absence de précautions particulières, la limitation du nombre de liaisons due aux bruits engendrés par les liaisons les unes sur les autres est plus importante que dans les systèmes de l'art antérieur, cela en raison des permutations circulaires qui altèrent le caractère pseudo-aléatoire du signal à spectre étalé de chaque liaison.
Cette limitation peut être grandement atténuée dans la mesure où les motifs des différentes liaisons arrivent en synchronisme en réception et sont détectés par des dipositifs de décodage analogues -à celui de la figure 2. En effet, en répétant les séquences du signal composite reçu coincidant avec un motif de chaque liaison on engendre des portions de signaux qui ont les propriétés pseudo-aléatoires et les propriétés d'orthogonalité des suites à l'origine des motifs des différentes liaisons et dans lesquelles les composantes dues à une liaison se comportent pratiquement comme un bruit blanc vis-à-yis des composantes des autres liaisons; cela nécessite une destination commune aux différentes liaisons, une synchronisation des émetteurs à l'origine des diverses liaisons par rapport au récepteur commun, par exemple grâce à un asservissement des différents émetteurs au moyen de messages véhiculés par des voies de retour, et des motifs de memes durées ou, compte tenu des propriétés des suites binaires pseudo-aléatoires, des motifs qui ont des durées multiples d'une durée de base, qui sont engendrés à partir de suites binaires pseudo-aléatoires orthogonales admettant pour période la durée de base et qui sont les équivalents de motifs ayant la durée de base systématiquement répétés une ou plusieurs fois. On peut même admettre des motifs qui ont des durées multiples d'une durée de base et qui sont engendrés à partir de suites binaires pseudo-aléatoires admettant à une complémentation près la durée de base pour période.Ce dernier cas est intéressant car il permet, dans un système de transmission à plusieurs liaisons simultanées à destination d'un récepteur commun employant des motifs de même durée reçus en quasi-synchronisme en un point de réception commun et engendrés à partir de suites binaires pseudo-aléatoires orthogonales, de partager une liaison en deux sousliaisons de débit moitié ayant des motifs de durée double engendrés, pour l'une des sous-liaisons à partir de deux versions successives complémentées ou non mais identiques de la suite binaire pseudo-aléatoire de la liaison considérée, et pour l'autre sous-liaison à partir de deux versions successives de cette même suite binaire pseudo-aléatoire l'une complémentée l'autre non ou inversement.Ce partage qui se fait en doublant la durée des motifs permet d'améliorer le rapport signal sur bruit à la détection par doublement de la durée de corrélation. De façon alternative, si ce partage est accompagné d'une réduction de 3 db de la puissance du signal, le rapport signal sur bruit est le même que dans le cas de base et la perturbation apportée aux autres liaisons inchangée.
Dans le cas où les liaisons utilisent des motifs de même durée arrivant en synchronisme au récepteur il est possible de mettre en commun, pour les décodeurs des différentes liaisons, la base de temps et les éléments concourant à la compression du temps et à la répétition des séquences correspondant aux motifs reçus.
La figure 3 illustre cette possibilité pour un système de transmission comportant six liaisons simultanées à spectre étalé dans un même canal de fréquence utilisant des suites binaires pseudo-aléatoires orthogonales entre elles de même débit, à trente deux éléments. Cette figure 3 représente l'ensemble de décodage de désétalement du spectre en réception de six liaisons simultanées.
Pour la clarté du dessin les connexions y ont été simplifiées et les convertisseurs numériques parallèle-série placés après chaque détecteur omis.
La compression du temps est effectuée par une mémoire analogique 27 commune pour I'ensemble-des six liaisons. Celle-ci est identique à la mémoire analogique 20 de la figure 2 et fonctionne de la même manière. Comme elle, elle reçoit le signal à désétaler DC ainsi que les signaux d'horloge d'inscription Hi, de lecture H1 qui lui sont délivrés par une base de temps 28 analogue à celle de la figure 2.Elle découpe le signal à désétaler DC en séquences successives d'échantillons analo giques correspondant chacune à la période de réception d'un motif et réduit de moitié la durée de ces séquences qui sont repérées en sortie de la mémoire analogique par le signal d'horloge de séquences H5 également fourni par la base de temps 28.
La répétition des motifs est obtenue comme précédemment à l'aide du registre analogique à décalage d'un corrélateur numérique-analogique 35 identique à celui 23 de la figure 2 qui est cadencé par le signal d'horloge lecture H1 et dont l'entrée du premier étage est reliée soit à la sortie de lecture de la mémoire analogique 27 soit à la sortie de son dernier étage au moyen d'un multiplexeur à deux entrées 29 adressé par le signal d'horloge de séquences H
La détection de la position des versions de base des suites binaires pseudo-aléatoires utilisées au codage des différentes liaisons et de leurs éventuelles oomplémentations se fait à l'aide de corrélateurs numériques-analogiques individuels 30 à 35 suivis chacun d'un détecteur 36 à 41. Chaque corrélateur numérique-analogique est identique à celui 23 de la figure 2 et a son registre numérique à décalage initialisé avec la version de base de la suite binaire pseudo-aléatoire de la liaison considérée. Les détecteurs 36 à 42 identifient les groupes de données correspondant aux motifs reçus dans chaque liaison.D'une constitution analogue à celui 24 de la figure 2, ils peuvent lui être identiques dans-le cas où les motifs de codage des différentes liaisons sont engendrés de la même manière que dans le codeur d'étalement du spectre de la figure 1.
L'ensemble de décodage de désétalement de spectre de la figure 3 stadapte facilement au cas où les liaisons utilisent des motifs de durées multiples d'une durée de base engendrés à partir de suites binaires pseudo-aléatoires admettant à une complémentation près la durée de base pour période. Il suffit pour cela d'utiliser pour la répétition des motifs le corrélateur d'une liaison employant des motifs ayant la durée de base, d'augmenter la capacité des registres des corrélateurs pour les liaisons ayant des motifs de durées multiples de la durée de base de manière que ceux ci puissent contenir un double motif, de remplir les registres numériques à décalage de ces derniers corrélateurs avec les versions de base des suites pseudo-aléatoires des liaisons concernées répétées par section occupant une duree de base et de bloquer les détecteurs de ces liaisons en dehors de la dernière section des motifs au moyen d'un signal de cadencement particulier autre que le signal d'horloge de séquences H .
Le fonctionnement correct de l'ensemble de décodage de la figure 3 suppose que la crête de corrélation détectée corresponde bien au pic d'autocorrélation de la version de base de la suite binaire pseudoaléatoire utilisée au codage de la liaison surveillée. Or, le signal fourni au corrélateur est entaché par le bruit de transmission et égale ment par les signaux des autres liaisons et cela d'autant plus que le niveau physique de réception des autres liaisons est élevé.
Dans les systèmes de transmission à liaisons simultanées où certains émetteurs sont mobiles il y a en réception une grande dispersion des niveaux des signaux en provenance des différents émetteurs et cela malgré'les précautions que l'on prend pour régler les niveaux à l'émis- sion. Cette dispersion des niveaux affecte inégalement le décodage de désétalement des liaisons. Pour celles reçues au niveau le plus bas, les interférences avec les autres liaisons sont susceptibles de noyer dans le bruit les pics d'autocorrélation de leurs suites binaires pseudoaléatoires et,- par conséquent, de provoquer de faux décodages. Pour celles reçues au niveau le plus élevé, la dispersion renforce au contraire la sûreté de leur décodage dans la mesure où les interférences avec les autres liaisons sont réduites.
On peut améliorer les performances du décodage de désétalement du spectre des liaisons reçues avec les niveaux les plus faibles en décodant tout d'abord celle reçue avec le niveau le plus élevé, en soustrayant le motif reconnu avec le niveau approprié du signal composite appliqué aux différents corrélateurs, en recyclant le signal résiduel pour y décoder la nouvelle liaison dont le niveau de réception devient le plus élevé et ainsi de suite tant qu'il reste des liaisons à décoder. Par liaison reçue avec le niveau le plus élevé on entend soit celle dont le pic principal de corrélation a la valeur absolue la plus élevée, soit celle pour laquelle le rapport entre le pic principal de corrélation et le plus important des pics secondaires a la valeur la plus élevée.
La figure 4 montre une adaptation de l'ensemble de décodage de la figure 3 à la mise en oeuvre de ce procédé. Les détecteurs placés individuellement à la suite de chaque corrélateur 30 à 35 sont remplacés par un détecteur et comparateur 50 commun à l'ensemble des corrélateurs 30 à 35 qui détermine le groupe de données correspondant au motif à l'origine de la crête de corrélation la mieux affirmée au cours d'un recyclage d'une séquence d'échantillons du signal composite DC, identifie la liaison concernée et synchronise un générateur local de motifs.
Ce détecteur comparateur 50 peut être réalisé de manière assez analogue à celui indexé en 24 dans la figure 2. Il comporte alors un compteur d'une capacité de 32 n qui repère la distance de corrélation et qui est incrémenté par le signal d'horloge de lecture H1 et mis à zéro par le signal d'horloge de séquences HsX un détecteur de maximum absolu qui analyse les signaux des six corrélateurs 30 à 35 et qui est initialisé par le signal d'horloge de séquences H5 et par les débordements du compteur, un détecteur de polarité qui analyse la polarité du maximum de corrélation retenu à chaque instant par le détecteur de maximum, un premier registre mémoire connecté aux sorties du compteur et mis en inscription chaque fois que le détecteur de maximum absolu change de valeur, et un deuxième registre mémoire mixte numérique analogique qui est mis en écriture à chaque débordement du compteur et qui enregistre la valeur numérique du compteur stockée dans le premier registre, l'état de sortie du détecteur de polarité et ceux du détecteur de maximum absolu la valeur analogique du maximum de corrélation retenu et la valeur nume- rique du numéro de la liaison sur laquelle il a été relevé. Il délivre - sur une sortie-numérique 1 à trois bits parallèles le numéro de la liaison ayant fourni la crête de corrélation retenue, - sur une sortie numérique 2 à un bit la polarité de cette crête, - sur une sortie numérique 3 à sept bits parallèles l'instant de cette crête déduit de l'état du compteur, le nombre n d'échantillons par élément d'une suite binaire pseudo-aléatoire étant dans cette hypothèse pris égal à quatre (27 = 32 x 4) - et sur une sortie analogique 4 le niveau de cette crête avec son signe.
Les informations disponibles sur la sortie 2 et sur les trois bits de plus fort poids de la sortie 3 déterminent le groupe de données correspondant au motif de la crête de corrélation la mieux affirmée provenant d'une liaison identifiée sur la sortie 1. Un démultiplexage adressé par cette dernière sortie permet d'aiguiller ces informations vers la liaison à laquelle elles sont destinées.
La régénération locale du motif détecté se fait à l'aide d'une mémoire morte 51 adressée par la sortie numérique 1 du détecteur et comparateur 50 ainsi que par un compteur programmable tournant 52 ineré- menté par le signal d'horloge lecture H1 et réinitialisé à la valeur numérique disponible sur la sortie 3 du détecteur et comparateur 50 à chaque recyclage d'une séquence d'échantillons dans les corrélateurs 30 à 35, recyclage qui peut être repéré par un signal d'horloge Hr provenant de la base de temps 28 ou par les débordements du compteur du détecteur et comparateur 50.
La mémoire morte 51 utilise six pages. Elle est adressée, au niveau des pages, par la sortie 1 du détecteur et comparateur 50 qui délivre le numéro de la liaison dont le motif est décode et, à l'intérieur des pages, par le compteur tournant 52. Chaque page de la mémoire renferme 32 n mots de un bit inscrits dans l'ordre de lecture du compteur tournant 52 avec les échantillons de la version de base de la séquence binaire pseudo-aléatoire employée au codage d'une liaison.
Le compteur programmable 52 a une capacité de comptage de 32 n bits lui permettant d'explorer entièrement une page de mémoire. A chaque recyclage d'une séquence d'échantillons dans les corrélateurs 30 à 35 repérés par les débordements du compteur du détecteur et comparateur 50 ou au moyen d'un signal d'horloge Hr adéquat provenant de la base de temps 28 il est réinitialisé à la valeur de la distance de corrélation à laquelle correspond le maximum détecté, distance qui représente le décalage de la version de base de la suite pseudo-aléatoire par rapport aux limites du motif.
Alors que seuls les poids forts de la sortie numérique 3 du détecteur et comparateur 50 suffisent à caractériser un groupe de données et par conséquent le motif correspondant, on utilise les poids forts et les poids faibles lors de la reconstruction du motif pour centrer ce dernier par rapport à -la séquence recyclée avec toute la précision disponible.
Un multiplicateur numérique-analogique 53 effectue le produit du signal de lecture de la mémoire morte 51 avec le niveau analogique de la crête de corrélation disponible en sortie 4 du détecteur et comparateur 50 ce qui assure le réglage en niveau du motif reconstruit.
Un amplificateur différentiel 54 est intercalé dans le rebouclage du registre analogique à décalage dù corrélateur 35 assurant le recyclage des séquences et permet, grace à son enkrée libre connectée en sortie -du multiplicateur 53, de retrancher le motif reconstruit de la séquence recyclée.
En variante, on peut augmenter la taille des mots de la mémoire morte 51 de façon à profiter du suréchantillonnage et à y stocker une forme d'onde plus complexe réalisant une meilleure approche du signal élémentaire. Dans ce cas le multiplicateur 53 réalise une conversion numérique analogique du signal de lecture de la mémoire morte 51 avant dela multiplier par le signal analogique de niveau.
On remarque ici outil est nécessaire que le signal d'horloge de lecture H1 soit au moins sept fois plus rapide que celui d'horloge d'inscription H i car il faut recycler une séquence six fois pour décoder les six motifs superposés des six séquences. D'une manière plus générale, il faut avec p liaisons un signal d'horloge de lecture H1 au moins p + 1 fois plus rapide que le signal d'horloge d'écriture Hi. On peut toutefois envisager des variantes avec un signal d'horloge moins rapide où plusieurs motifs qui sont décodés à la fois au cours d'une répétition.
Les systèmes de transmission qui viennent d'etre décrits sont spécialement adaptés aux communications par voie radio entre des mobiles et un site fixe. On va dans ce qui suit decrire une réalisation préférée d'un tel système, dont la faisabilité dépend largement de l'invention.
A la base de ce système, on trouve un souci d'économie pour les terminaux mobiles et l'idée qu'une transmission à l'alternat permet une économie substantielle, par l'élimination du duplexeur et d'une source de fréquence.
La transmission à l'alternat d'un signal continu comme le signal de parole impose de mettre celui-ci en mémoire pour s'accommoder des àcoups du débit de transmission. En pratique, cette mise en mémoire suppose un codage numérique du signal de parole.
Le choix d'un compromis acceptable entre qualité de la transmission, débit binaire et coût conduit au choix d'un codage de type delta.
On sait qu'un débit de 16 kbît/s permet une restitution intelligible et un débit de 32 kbit/s une écoute jugée confortable.
On sait aussi que, dans un système de radiotéléphone, le spectre ne constitue guère une denrée rare qu'en certains endroits du territoire et à certaines heures. D'où l'idée d'une qualité variable selon les circonstances, correspondant par exemple à des débits binaires pour la parole de 16 et 32 kbit/s. Certains usagers pourraient se voir garantir la qualité supérieure. D'autres pourraient se voir attribuer une cer- taine qualité au moment de l'appel et la conserveraient pendant toute la communication. D'autres enfin pourraient bénéficier dynamiquement d'une qualité fluctuant entre ce que permet un débit binaire de 16 kbitis et un débit de 32 kbit/s.
Pour mettre en oeuvre commodément une qualité variable, et spécialement une qualité variable dynamiquement (surtout si on met en oeuvre des détecteurs de parole), on est conduit à envisager de réunir un certain hombre de voies élémentaires en ce que l'on peut appeler un groupe, caractérisé par un débit global d'informations élevé devant les besoins élémentaires d'une voie. Toutefois, même pour des affectations fixes de débit individuel, le groupe présente des propriétés intéresg santes.
Dans ce qui suit, un groupe sera caractérisé par un canal radioélèctrique espacé de ses voisins de 500 kHz. 12 de ces canaux sont nécessaires au minimum pour assurer la couverture d'un vaste territoire avec un motif de cellules omnidirectionnelles. 21 canaux sont nécessaires si l'on souhaite utiliser un motif de 7 cellules, elles-memes découpées en 3 secteurs directionnels. Si l'on dispose, par sens de transmission, de 25 Mhz, soit 50 canaux, on peut envisager la superposition, là où elle est nécessaire, d'un motif de 12 canaux et d'un motif de 21 canaux. Parmi les 17 canaux restants, 5 peuvent être affectés à des centres urbains importants, assez distants les uns des autres pour permettre une réutilisation ; les 12 autres peuvent, de façon dynamique au cours de la journée, être affectés à ces centres urbains ou aux 6 cellules périphériques de la cellule centrale.
Si l'on revient aux problèmes de multiplexage, on voit qu'on peut leur donner des solutions très différentes dans le sens fixe-mobile et dans le sens mobile-fixe.
Dans le sens fixe-mobile, l'émetteur est unique dans sa cellule pour un canal considéré. Les considérations-de puissance d'émission sont secondaires. La plus simple des solutions est sans doute la meilleure. Le fixe emet au débit binaire brut de 264 kbit/s, en modulation de fréquence et en codage Manchester, de façon à simplifier les récepteurs mobiles. Il émet, selon un cycle de 320 ms, 16 paquets de 20 ms, constitués chacun d'un préambule de synchronisation de 19 bits, d'un message de signalisation de 141 bits, correspondant àla triplication de 40 bits d'information et de 7 bits de Hamming, et de 5120 bits de données.Une voie de 16 kbit/s correspond à un paquet par cycle de 320 ms , une voie de 32 kbit/s correspond à un paquet toutes les 160 ms (2 paquets par cycle). Certaines voies peuvent être affectées à des communications, d'autres à la signalisation générale et/ou à un trafic de radiodonnées.
Dans le sens mbile-fixe, on recourt à un système de transmission selon l'invention présentant six liaisons simultanées à étalement de spectre par canal radioélectrique de 500 kHz employant six suites binaires pseudo-aléatoires d'étalement du spectre à 32 bits avec un débit de 352 kbit/s pouvant être soumises à huit permutations circulaires et à une complémentation. Chaque liaison emploie au codage d'étalement du spectre 16 motifs distincts de 32 bits représentant quatre bits dsinfor- mation et a un débit de 44 kbit/s qui est supérieur au débit nominal désiré de 32 kbit/s plus la signalisation et qui permet (pour un mobile) de dégager des temps libres pour se mettre à l'écoute du sens fixe mobile.Cet excédent de débit permet également un double multiplexage réalisé à une double fin : augmentation de six à huit du nombre des émetteurs mobiles pouvant être en relation simultanée avec un récepteur fixe dans un même canal de fréquence et banalisation des voies attribuées aux émetteurs mobiles. Chaque émetteur mobile se voit attribuer un multiplexage temporel à intervalles de temps unitaires de 20 ms des six liaisons. Une séquence de multiplexage occupe les liaisons pendant 120 ms et est complétée par un temps libre de 40 ms dû à l'excès de rapidité des liaisons par rapport à celle désirée pour la voie.Ce temps libre ramené à deux intervalles de temps unitaires permet de répartir huit voies parmi les six liaisons, celles-ci suivant la même séquence de multiplexage avec un décalage d'un intervalle de temps unitaire entre elles de manière qu'à chaque instant il y ait une voie par liaison et deux en attente. Il permet également à un émetteur mobile de changer de canal de fréquence en 10 ms pour passer sur un canal de retour et recevoir pendant 20 ms de l'émetteur fixe le paquet qui lui est destiné. A la fin de réception du paquet il repasse en 10 ms sur le canal d'émission et utilise pendant 20 ms une première liaison, pendant les 20 suivantes une deuxième liaison etc. pendant 120 ms puis en 10 ms repasse sur le canal d'écoute.Pendant un intervalle de 20 ms il émet 220 séquences de 32 bits, si son débit est de 32 kbits/s, ou 110 séquences de 64 bits Si son débit est de 16 kbits/s. Sur un ensemble de 3 x 220 séquences, 20 permettent la constitution d'une voie de supervision d'un débit brut de 1000 bit/s (ou de 500 bit/s dans le cas d'un débit de données de 16 kbit/s).
Le multiplexage selon l'invention supposant une synchronisation des séquences reçues par le fixe à partir des différents mobiles, le fixe, par ses voies de supervision, -assure la tenue de ces synchronismes.
Par ces voies, il assure également l'ajustement des niveaux à l-'émission.
Initialement, la prise de contact par un mobile peut se faire de la façon suivante : il se met en écoute sur une voie affectée à la signalisation générale et se met à émettre le reste du temps. Son émission se fait d'abord à un niveau très faible, puis de plus en plus élevé jusqu'à ce que le fixe lui réponde. Le mobile émet d'abord un seul bit par séquence, porté par la polarité de la séquence. En d'autres termes, on introduit après chaque bit d'information 3 bits de bourrage, fixes. De la sorte, bien qu'elle ne soit pas encore synchronisée en phase, la séquence émise par le mobile présente le caractère périodique nécessaire pour ne pas perturber la réception par le fixe des autres séquences. Sur le canal ainsi défini, le mobile émet notamment un indicatif.Lorsque l'émission a atteint un niveau qui permet une bonne réception par le fixe, celui-ci émet vers le mobile un message fixant notamment sa synchronisation en phase et son niveau d'émission. Il peut alors, le cas échéant, le renvoyer sur un autre canal, de façon à libérer le canal général d'appel.
Le fixe doit en permanence assurer la synchronisation des mobiles.
Un sous-produit de cette fonction est qu'il connait la distance des mobiles avec une grande précision. Un raffinement facilitant l'exploi- tation consiste à chercheur a connaître, au moins grossièrement, leur azimut, de façon à simplifier les changements de cellule en cours de communication, grâce à la connaissance de la nouvelle cellule vers laquelle le mobile se dirige. A cette fin, le fixe peut demander au mobile d'émettre une fréquence continue (par exemple, 500 Khz en fré séquence intermédiaire), de façon à permettre un repérage angulaire, par exemple en diversité d'espace.
On aura remarqué que l'émission par le mobile de 220 séquences de 32 bits en 20 ms correspond à un débit binaire brut de 352 kbit/s, alors que, dans le sens fixe-mobile, le débit correspondant n'est que de 264 kbit/s. Cette dissymétrie parait aeceptable, pour deux raisons. La première est que, comme le nombre de sites fixes est beaucoup plus faible que celui des mobiles, on peut consentir à une modulation plus efficace de la part des mobiles, QPSK, par exemple, sans que le coût global de la démodulation dans l'ensemble du système s'en trouve sensiblement modifié (alors que le fixe émet en modulation de fréquence et en codage
Manchester, afin de permettre que les récepteurs mobiles soient plus simples). La deuxième raison est que le sens mobile-fixe étant exploité en spectre étalé, les résidus de modulation dans les canaux adjacents peuvent y avoir des niveaux beaucoup plus élevés sans se traduire par des perturbations notables.

Claims (7)

REVENDICATIONS
1/ Système de transmission de données à étalement du spectre par codage avec des suites pseudo-aléatoires, caractérisé en ce qu'il comporte une liaison de transmission munie à l'émission, pour le codage d'étalement du spectre, de moyens (11, 12, 13) assemblant les éléments binaires du message à transmettre par ladite liaison en groupes successifs et de moyens (14, 15) faisant correspondre à ces groupes des symboles multivalents isochrones dont les différentes valeurs sont constituées de motifs distincts occupant chacun la durée d'un symbole et étant obtenus par permutations circulaires d'une même suite binaire pseudo-aléatoire.
2/ Système de transmission de données à étalement du spectre par codage avec des suites pseudo-aléatoires, caractérisé en ce qu'il comporte une liaison de transmission munie à l'émission, pour le codage d'étalement du spectre, de moyens (11, 12, 13) assemblant les éléments binaires du message à transmettre par ladite liaison en groupes successifs et de moyens (14, 15, 16) faisant correspondre à ces groupes des symboles multivalents isochrones dont les différentes valeurs sont constituées de motifs distincts occupant chacun la durée d'un symbole et étant obtenus par complémentations et permutations circulaires d'une même suite binaire pseudo-aléatoire.
3/ Système de transmission selon la revendication 1 ou la revendication 2 comportant au moins une paire de liaisons simultanées arrivant en quasisynchronisme à un même point de réception, caractérisé en ce que les moyens de codage d'étalement du spectre des liaisons de ladite paire délivrent des motifs engendrés pour l'une des liaisons à partir d'une première suite binaire pseudo-aléatoire admettant la moitié de la durée d'un motif pour période et pour l'autre liaison à partir d'une deuxième suite binaire pseudo-aléatoire constituée à partir de deux moitiés de la première, l'une des moitiés étant complémentée.
4/ Système de transmission selon la revendication 1 ou la revendication 2 comportant des liaisons simultanées et indépendantes arrivant en quasisynchronisme en un même site de réception, occupant un même canal de transmission et employant des suites binaires pseudo-aléatoires d'étalement de spectre orthogonales entre elles, caractérisé en ce qu'il comporte des voies de message banalisées en nombre n supérieur à celui p des liaisons obtenues par multiplexages temporels à intervalles de temps unitaires, égaux et synchrones de-s p liaisons, un intervalle de multiplexage étant caractérisé par l'affectation de chacune des p liaisons à une voie parmi p, les n-p voies restantes ayant un temps mort.
5/ Système de transmission selon la revendication 1 ayant en réception de la liaison des moyens de détermination des intervalles de temps de réception des motifs avec une incertitude portant sur un nombre de termes inférieur à la moitié du nombre minimum de permutations circulaires unitaires permettant de passer d'un motif à un autre, caractérisé en ce qu'il comporte en outre en réception de la liaison des moyens de décodage de désétalement du spectre découpant le signal reçu de la liaison en séquences successives correspondant chacune aux intervalles de temps de réception d'un motif, répétant chacune desdites séquences, corrélant le signal obtenu à la suite de ces répétitions avec une version mémorisée de la suite binaire pseudo-aléatoire utilisée au codage d'étalement de spectre de la liaison, et identifiant le motif émis et le groupe de données correspondant à chaque séquence à partir-de la position du maximum de corrélation à l'intérieur de la répétition de la séquence concernée.
6/ Système de transmission selon la revendication 2 ayant en réception de la liaison des moyens de détermination des intervalles de temps de réception des motifs avec une incertitude portant sur un nombre de termes inférieur à la moitié du nombre minimum de permutations circulaires unitaires permettant de passer d'un motif à un autre, caractérisé en ce qu'il comporte en outre en réception de la liaison des moyens de décodage de désétalement du spectre découpant le signal reçu de la liaison en séquences successives correspondant chacune aux intervalles de temps de réception d'un motif, répétant chacune desdites séquences, corrélant le signal obtenu à la suite de ces répétitions avec une version mémorisée de la suite binaire pseudo-aléatoire utilisée au codage d'étalement de spectre de la liaison et identifiant le motif émis et le groupe de données correspondant à chaque séquence à partir de la position-du maximum de corrélation à l-intérieur de la répétition de la séquence concernée et du signe de ce maximum.
7/ Système de transmission selon la revendication 1 ou la revendication 2 comportant p liaisons4simultanées et indépendantes qui occupent un même canal de transmission, relient différents points émetteurs à un point récepteur et utilisent des motifs de.nême durée, et des moyens de synchronisation entre les points émetteurs et le point récepteur assurant une arrivée synchrone au point de réception des motifs des différentes liaisons ainsi que la détermination au point de réception des intervalles de temps de réception de chaque motif, ledit système étant caractérisé en ce qu'vil comporte en réception des moyens de décodage de désétalement des spectres découpant le signal composite reçu en provenance des diverses liaisons en séquences successives correspondant chacune-aux intervalles de temps de réception d'un motif, répétant par recyclage chaque séquence p, corrélant le signal obtenu en cours de recyclage avec chacune des suites binaires pseudo-aléatoires utilisées dans les diverses liaisons, déterminant le maximum des crêtes de corrélation au cours de chaque répétition ainsi que la liaison et le motif auxquels il correspond, engendrant localement, avec un niveau correspondant à son niveau en réception, ce motif et le soustrayant de la séquence en cours de recyclage.
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