Appar eil <B>à</B> chiffrer. La présente invention a pour objet un appa.reà <B>à</B> l'aide- -duquel il est possible, de chiffrer, et inversement de déchiffrer des ,documents en -toute langue par la transposi tion multiple ;des lettres isolées et par l'em ploi -d'une<B>clé;</B> numérique.
L'appareil d'après la. piésente invention est constitué pax un certain nombre de ré glettes montées<B>à</B> coulisse dans un cadre. Ces réglettes poxtent ides .,chiffres disposés dans un ordre :donné,<B>de</B> telle sorte que, pourchaque position que prennent les réglettes pour -une <B>clé</B> choisie, l'ensemble des réglettes détermine une table de chiffres pouvant servir pour ef fectuer une transposition des lettres d#un do cument<B>à</B> chiffrer.
Sur le dessin annexé sont représentées,<B>à</B> titre d'exemple, deux formes d'exécution de l'invention: La fig. <B>1</B> montre un type ,d'app#areil <B>à</B> règles ou<B>à</B> coulisses en position fermée; La fig. 2 en est la vue en position d'emploi; La fig. <B>3</B> montre une autre forme d'exé cution en position fermée; La fig. 4 est la vueen bout<B>de</B> l'appareil représenté sur -la fig. <B>8;</B> La fig. <B>5</B> est la vue, arrière d'une réglette isolée;
La fig. <B>6</B> montre Pappaxeil de la fig. <B>3</B> partiellement en position d'emploi, et La fig. <B>7</B> est la vue d'une des feuilles, tablettes ou fiches qui, peuvent être employées dans l'appareil d'après la fig. <B>3.</B>
Dans la construction montrée aux fig. <B>1</B> et 2, l'appareil se composse. -d'un cadre com prenant deux !côtés a et<B>b</B> reliés par les tra verses c et<B>d</B> et entre lesquels sont montées <B>à</B> coulisse, de, façon<B>à</B> pouvoir être déplacées longitudinalement, dix -réglettes e. Sur eh.%- que réglette sont marqués l'un à. effl de l'au tre les chiffres de<B>0 à 9,</B> -ces chiffres étant arrangés en un #or & re quelconque voulu et étant répétés dans le même ordre.
Chaque réglette peut être pourvue, préférablement <B>à</B> une de ses extrémités, d'un repère, par exem ple en chiffres romains, servant<B>à</B> la -distin guer des autres, et sur chaque réglette est laissé un espace vide qui, lors-que l'appareil est en position de fermeture, vient prendre place au-dessous de la, traverse c qui const-i- tue un repère fixe.
Il est utile que la traverse<B>c</B> comporte une fenêtre verticale c\ afin de rendre plue évi- -dent le,cliiffre eri#s -comme 'base lors de l'em ploi<B>de</B> -l'appareil.
En déplaçant les -différentes réglettes e, il est -donc toujours, possible -de porter dans la fenêtre<B>c',</B> le chiffre voulu et l'appareil est prêt pour l'emploi lorsque dans ladite fenêtre on lit en colonne les chiffres constituant le numéro que 17on a, choisi -comme<B>dé.</B>
Dans le -cm du type représenté sur la fig. <B>1,</B> la clé peut être constituée par un nombre de dix chiffres, mais la<B>clé</B> même peut comprendre un plus petit nombre de chiffres; dans ce cas, on peut établir que les ehiff,.res co,nstituant la clé doivent être considérés comme répétés dans le même ordre.
Par exemple, dans le cas de la fig. 2, l'appareil est représenté -dans sa. position d'emploi cor respondant<B>à</B> la<B>clé 919740.</B> De la sorte entre les deux traverses c et<B>d</B> résultent isolées dix lignes et dix colonnes de chiffres constituant une table chiffrante, c'est-à-dire une table qui peut être utilisée d'après une méthode convenue quelconque pour répartir les lettres des mois (qui doivent être écrits l'un après l'autre sans espace vide entre les mots eue- ,eessifs) du document<B>à.</B> chiffrer en une série de groupes, chacun comprenant un nombre de lettres correspondant aux chiffres succes sifs de la table.
Par exemple, en supposant que l'on ait convenu de lire les chiffres de <B>-</B>la table de haut en bas et de gauche<B>à</B> droite sans tenir compte des zéros, les chiffres suc cessifs de la table résultant de la fig. 2 sont- 592476895183762423286etc. et, en supposant d'avoir<B>à</B> chiffrer la période- .,Venez immédiatement me rejoindre<B>je</B> serai vous attendre place convenue quinze courant <B>à</B> six heures", on obtiendra, la répartition sui- vuufe en groupes- ,,
Venez im médi afement merejo indrejes eraivousa ttend r eplaceco nve nuequin zecour an tàsi xli eur es".
Naturellement le dernier groupe de let tres peut en comprendre moins de ce qui est indiqué par le dernier chiffre. Si l'écriture continue après que tous les chiffres de la. table ont été employés on recommence et cela autant de fois qu'il sera nécessaire.
Les groupes de lettres ainsi obtenus sont écrits en colonne sur une feuille de papier quadrillé, dont les colonnes sont marquées par les chiffres<B>1. à 9</B> arrangés, par exemple, dans le même ordre dans lequel ces chiffres se trouvent sur une des ligues ou des co lonnes de la table chiffrante, cette ligne ou colonne étant connue conventionnellement par les correspondants.
En supposant que l'on a. choisi pour les colonnes la disposition de la sixième ligne, en vue du fait que la<B>clé</B> comprend six chif fres, on obtiendra la dis-position suivante des lettres:
EMI0002.0043
<B>6</B> <SEP> 2 <SEP> <B>7</B> <SEP> 4 <SEP> <B>9 <SEP> 5 <SEP> 8 <SEP> 1 <SEP> 3</B>
<tb> <B>v</B> <SEP> e <SEP> Il <SEP> e <SEP> <B>z</B>
<tb> 2 <SEP> i
<tb> 4 <SEP> m <SEP> e <SEP> <B>d</B> <SEP> i
<tb> <B>7</B> <SEP> a <SEP> t <SEP> e <SEP> ni <SEP> e <SEP> n <SEP> t
<tb> <B>6</B> <SEP> ni <SEP> <U>e <SEP> r <SEP> e <SEP> <B><I>j</I></B></U> <SEP> o
<tb> <B>8</B> <SEP> i <SEP> <B>il <SEP> <U>d <SEP> r</U></B><U> <SEP> e <SEP> <B>j</B> <SEP> e <SEP> <B>s</B></U>
<tb> e <SEP> r <SEP> a <SEP> i <SEP> v <SEP> <U>o <SEP> u <SEP> s <SEP> a</U>
<tb> t <SEP> t <SEP> e <SEP> n <SEP> <B>d</B>
<tb> <B>1.</B>
<tb> <B>8</B>
<SEP> e <SEP> <B><U>p <SEP> 1</U></B><U> <SEP> a <SEP> <B>c</B></U> <SEP> e <SEP> <B>c</B> <SEP> o
<tb> <B>3</B> <SEP> n <SEP> <B>v</B> <SEP> e
<tb> <B>7</B> <SEP> ri <SEP> <U>ii <SEP> e <SEP> <B>q</B> <SEP> u</U> <SEP> i <SEP> n
<tb> <B>6 <SEP> z</B> <SEP> e <SEP> <B>c <SEP> 0 <SEP> il <SEP> r</B>
<tb> 2 <SEP> a <SEP> <U>ri</U>
<tb> 4 <SEP> t <SEP> <B>à <SEP> s</B> <SEP> i
<tb> 2 <SEP> x <SEP> h
<tb> <B>3</B> <SEP> e <SEP> <B>il <SEP> il</B>
<tb> 2 <SEP> e <SEP> <B>s</B> En écrivant successivement et, par exem ple., de liant en bas les lettres qui se trou vent dans les colonnes marquées par<B>1,</B> 2 etc., on obtient la période chiffrée comme suit: ssoemetenrtpvuenàhusaeimerinaqoinojoeir-,iina mietrennzatxeenderdaeleeesrieue-nzeievdeuu.
Les lettres du document chiffré pourront être divisées en groupes (par exemple de<B>5</B> let tres chacun) en vue de rendre plus commode leur transmission télégraphique et le con trôle.
<B>A</B> l'aide du même appareil, et en suivant la voie inverse, on peut déchiffrer la période lorsqu'on connaît la<B>clé. A</B> cet effet, on forme sur une feuille quadrillée une table dont les lignes horizontales comportent un nombre d'espaces libres égal<B>à</B> la valeur des chiffres successifs de la table chiffrante ob tenue par le déplacement des réglettes sui vant la clé choisie. Les lettres<B>du</B> document <B>à</B> déchiffrer sont ensuite écrites de haut en bas dans les colonnes verticales qui sont prises dans l'ordre adopté conventionnelle ment pour<B>le</B> chiffrage. Dans les lignes 1--orizonfales de la. table, on lira alors les let tres du document dans leur ordre original.
Dans la forme d'exécution représentée aux fig. <B>3</B> et<B>6,</B> les réglettes coulissaintes sont au nombre de vingt et chacune d'elles com porte dix chiffres<B>(1, -9, 3, . . . 0)</B> arrangés dans leur ordre naturel de gauche<B>à</B> droite.
De cette façon, en amenan% un chiffre donné d#une des réglettes dans la fenêtre de la traverse c, entre l'extrémité droite de la réglette et la traverse opposée<B>d</B> paraissent découverts autant d'espaces ou cadres que le dit chiffre comporte d'unités.
Par conséquent, lorsque les réglettes ont été déplacées de façon<B>à</B> faire paraître dans la fenêtre de la traverse c les chiffres consti tuant la<B>clé</B> convenue, au lieu d'obtemir une table chiffrante, dont les va-leurs déterminent la distribution<B>à</B> donner sur une feuille<B>à</B> part, de papier quadrillé, aux lettres du document <B>â,</B> chiffrer, on obtient directement sur l'ap pareil une série d'espaces disposés d'une fa.- çon vari able dans lesquels on peut écrire dans l'ordre convenu les lettres du document.
Dans cette construction, la,<B>clé</B> peut na turellement comprendre jusqu'à vingt chiffres. z:l Comme on le voit sur la fig. <B>6,</B> chaque réglette déplacée laisse découverts sur l'ap pareil des espaces dans lesquels on écrit une après l'autre les lettres du document de<B>fa-</B> çon<B>à</B> obtenir leur distribution par lignes et colonnes, ce qui permet de procéder de la fa- çon ci-dessus décrite et d'obtenir la période chiffrée.
Dans le, but de pouvoir effectuer sur l'ap pareil même la notation des lettres tout- en permettant d'écrire comrhodément le docu ment chiffré, il est utile de ménager derrière les réglettes e un espace<B>f</B> dans lequel peu vent être insérées -des planches, tablettes ou fiches<B><I>g</I></B> (fig. <B>7)</B> divisées en colonnes numéro- te-és de carrés, dans lesquels on écrit les let tres, ce qui permet ensuite de relever la période chiffrée en copiant lesdites lettres par ordre de colonne.
Les réglettes e sont préférablement enga gées entre elles<B>à</B> Païde de saillies h et de rainures i ménagées sur leurs côtés de façon <B>à</B> les maintenir dans le même plan et, sur leur face postérieure, elles sont pourvues d'encoches<B>1,</B> dont chacune correspond,<B>à</B> un chiffre marqué sur la face antérieure, ces eu- coches étant destinées<B>à</B> âtre engagées par une saillie m -arrangée -dans -le cadre (fig. 4);
de cette manière, les règles sont arrêtées exa.ctement avec leursthiffres en #lonne.
Le nombre de réglettes et des chiffres marqués sur chaque réglette peut naturelle- .ment être modifié ainsi -que la construction ,de l'appareil qui est représentée simplement <B>à</B> titre d'exemple.
En taus ras, le type d%ppereil détrit permet d'effectuer -d'une façon facille et la pide le chiffrage par transposition, multiple de documents de toute langue, car la trans position est régie par la, vu-leur numérique des échiffres.
Uappareil -d'après la présente invention présente encore l'avantage que l'on peut em-, ployer une<B>clé</B> numérique qui peut, être ré- tenue par c#ur sans la nécessité de conserver des notes au,des formulaires qui peuvent être facilement découverts; la clé peut -aussi être modifiée facilement et n'est pas révélée par l'appareil une fois que celui-ei a été: fermé.
Un appareil du type décrit peut être em ployé facilement et rapidement tout en per mettant environ -dix# milliards de combinai- sous, et il est ;pratiquement impossible de trouver la<B>clé</B> de -chiffrage.
Appar eil <B> to </B> encrypt. The object of the present invention is an appa.reà <B> à </B> with the aid of which it is possible to encrypt, and conversely to decipher documents in any language by the multiple transposition of letters isolated and by the use of a digital <B> key; </B>.
The device according to the. The present invention consists of a number of sliders mounted <B> to </B> slide in a frame. These rulers poxtent ides., Figures arranged in an order: given, <B> of </B> so that, for each position taken by the rulers for a chosen <B> key </B>, all the rods determines a table of numbers that can be used to transpose the letters of a document <B> to </B> to encrypt.
In the accompanying drawing are shown, <B> to </B> by way of example, two embodiments of the invention: FIG. <B> 1 </B> shows a type, app # areil <B> to </B> rules or <B> to </B> slides in closed position; Fig. 2 is the view in position of use; Fig. <B> 3 </B> shows another form of execution in the closed position; Fig. 4 is the end view <B> of </B> the apparatus shown in FIG. <B> 8; </B> Fig. <B> 5 </B> is the rear view of an isolated slider;
Fig. <B> 6 </B> shows Pappaxeil of fig. <B> 3 </B> partially in position for use, and FIG. <B> 7 </B> is the view of one of the sheets, shelves or cards which can be used in the apparatus according to fig. <B> 3. </B>
In the construction shown in fig. <B> 1 </B> and 2, the device is composed. -a frame comprising two! sides a and <B> b </B> connected by crosspieces c and <B> d </B> and between which are mounted <B> à </B> slide, of, so <B> to </B> can be moved longitudinally, ten -slides e. On eh.% - that slider are marked one at. on the other hand the digits <B> 0 to 9, </B> - these digits being arranged in any desired #or & re and being repeated in the same order.
Each strip can be provided, preferably <B> at </B> one of its ends, with a marker, for example in Roman numerals, serving <B> to </B> the -distin guer of the others, and on each strip is left an empty space which, when the device is in the closed position, takes place below the cross member c which constitutes a fixed mark.
It is useful that the traverse <B> c </B> has a vertical window c \ in order to make it clearer the, # s -as' base when using <B> </ B> -the device.
By moving the -different sliders e, it is -so always possible -to enter in the window <B> c ', </B> the desired number and the device is ready for use when in said window one reads in column the numbers constituting the number that we have, chosen -as <B> die. </B>
In the -cm of the type shown in fig. <B> 1, </B> the key may consist of a ten digit number, but the <B> key </B> itself may consist of a smaller number of digits; in this case, it can be established that the ehiff, .res co, n constituting the key must be considered as repeated in the same order.
For example, in the case of FIG. 2, the apparatus is shown -in sa. use position corresponding <B> to </B> the <B> key 919740. </B> In this way, between the two crosspieces c and <B> d </B>, ten rows and ten columns of digits constituting a ciphering table, i.e. a table which can be used according to any agreed method to distribute the letters of the months (which must be written one after the other without empty spaces between the words eue-, eessifs) of the document <B> to. </B> encrypt in a series of groups, each comprising a number of letters corresponding to the successive digits of the table.
For example, assuming that it has been agreed to read the digits in the <B> - </B> table top to bottom and left <B> to </B> right without taking zeros into account, the digits suc cessive of the table resulting from fig. 2 are- 592476895183762423286etc. and, assuming you have <B> to </B> encrypt the period-., Come and join me immediately <B> I </B> will be waiting for you at the agreed place fifteen during <B> to </B> six o'clock ", we will obtain the following distribution into groups- ,,
Come im medi afement merejo indrejes eraivousa ttend r eplaceco nve nuequin zecour an tàsi xli eures ".
Naturally the last group of letters can include less than what is indicated by the last digit. If writing continues after all the digits of the. table have been used, we start over and do so as many times as necessary.
The groups of letters thus obtained are written in columns on a sheet of squared paper, the columns of which are marked by the numbers <B> 1. à 9 </B> arranged, for example, in the same order in which these digits are found on one of the leagues or columns of the encryption table, this row or column being known conventionally by the correspondents.
Assuming we have. chosen for the columns the arrangement of the sixth line, in view of the fact that the <B> key </B> comprises six digits, we will obtain the following arrangement of the letters:
EMI0002.0043
<B> 6 </B> <SEP> 2 <SEP> <B> 7 </B> <SEP> 4 <SEP> <B> 9 <SEP> 5 <SEP> 8 <SEP> 1 <SEP> 3 </B>
<tb> <B> v </B> <SEP> e <SEP> Il <SEP> e <SEP> <B> z </B>
<tb> 2 <SEP> i
<tb> 4 <SEP> m <SEP> e <SEP> <B> d </B> <SEP> i
<tb> <B> 7 </B> <SEP> a <SEP> t <SEP> e <SEP> ni <SEP> e <SEP> n <SEP> t
<tb> <B> 6 </B> <SEP> ni <SEP> <U> e <SEP> r <SEP> e <SEP> <B><I>j</I> </B> </ U> <SEP> o
<tb> <B> 8 </B> <SEP> i <SEP> <B> il <SEP> <U> d <SEP> r </U> </B> <U> <SEP> e <SEP > <B> j </B> <SEP> e <SEP> <B>s</B> </U>
<tb> e <SEP> r <SEP> a <SEP> i <SEP> v <SEP> <U> o <SEP> u <SEP> s <SEP> a </U>
<tb> t <SEP> t <SEP> e <SEP> n <SEP> <B> d </B>
<tb> <B> 1. </B>
<tb> <B> 8 </B>
<SEP> e <SEP> <B> <U> p <SEP> 1 </U> </B> <U> <SEP> a <SEP> <B>c</B> </U> <SEP > e <SEP> <B> c </B> <SEP> o
<tb> <B> 3 </B> <SEP> n <SEP> <B> v </B> <SEP> e
<tb> <B> 7 </B> <SEP> ri <SEP> <U> ii <SEP> e <SEP> <B> q </B> <SEP> u </U> <SEP> i < SEP> n
<tb> <B> 6 <SEP> z </B> <SEP> e <SEP> <B> c <SEP> 0 <SEP> il <SEP> r </B>
<tb> 2 <SEP> a <SEP> <U> ri </U>
<tb> 4 <SEP> t <SEP> <B> to <SEP> s </B> <SEP> i
<tb> 2 <SEP> x <SEP> h
<tb> <B> 3 </B> <SEP> e <SEP> <B> he <SEP> he </B>
<tb> 2 <SEP> e <SEP> <B> s </B> By writing successively and, for example, by binding at the bottom the letters which are found in the columns marked by <B> 1, < / B> 2 etc., we obtain the period encrypted as follows: ssoemetenrtpvuenàhusaeimerinaqoinojoeir-, iina mietrennzatxeenderdaeleeesrieue-nzeievdeuu.
The letters of the encrypted document may be divided into groups (for example of <B> 5 </B> letters each) in order to make their telegraphic transmission and control more convenient.
<B> A </B> using the same device, and following the reverse route, you can decipher the period when you know the <B> key. For this purpose, a table is formed on a grid sheet, the horizontal lines of which have a number of free spaces equal to <B> to </B> the value of the successive digits of the encrypting table obtained by the displacement strips according to the key chosen. The letters <B> of the </B> document <B> to </B> to decipher are then written from top to bottom in vertical columns which are taken in the order conventionally adopted for <B> on </B> encryption. In lines 1 - orizonfales of the. table, we will then read the letters of the document in their original order.
In the embodiment shown in FIGS. <B> 3 </B> and <B> 6, </B> the sliding strips are twenty in number and each of them has ten digits <B> (1, -9, 3,... 0 ) </B> arranged in their natural order from left <B> to </B> right.
In this way, by bringing% a given number of one of the strips into the window of the crossbar c, between the right end of the strip and the opposite crossbar <B> d </B> appear to be uncovered as many spaces or frames that the said figure contains units.
Therefore, when the sliders have been moved so <B> to </B> to show in the window of the crosshead c the numbers constituting the agreed <B> key </B>, instead of filling a table encrypting, whose values determine the distribution <B> à </B> to give on a sheet <B> to </B> part, of squared paper, to the letters of the document <B> â, </B> encrypt , one obtains directly on the apparatus a series of spaces arranged in a variable way in which one can write in the agreed order the letters of the document.
In this construction, the <B> key </B> can naturally consist of up to twenty digits. z: l As seen in fig. <B> 6, </B> each ruler moved leaves spaces discovered on the device in which the letters of the document are written one after the other from <B> way- </B> >B> to < / B> obtain their distribution by rows and columns, which makes it possible to proceed in the manner described above and to obtain the quantified period.
In order to be able to perform letter notation on the device itself while allowing the encrypted document to be written comfortably, it is useful to leave behind the strips a space <B> f </B> in which can be inserted -boards, shelves or index cards <B> <I> g </I> </B> (fig. <B> 7) </B> divided into numbered columns of squares, in which the letters are written, which then makes it possible to record the period encrypted by copying said letters in column order.
The strips e are preferably engaged with each other <B> à </B> Paid of projections h and grooves i provided on their sides so as <B> to </B> keep them in the same plane and, on their face posterior, they are provided with notches <B> 1, </B> each of which corresponds, <B> to </B> a number marked on the anterior surface, these notches being intended <B> to </ B > hearth engaged by a projection m -arranged -in -frame (fig. 4);
in this way the rules are set exactly with their numbers in #lonne.
The number of strips and the numbers marked on each strip can of course be changed as well as the construction of the apparatus which is shown simply <B> to </B> as an example.
In taus ras, the type of% pereil detrit makes it possible to perform encryption by transposition, multiple of documents of any language, in a quick and easy way, because the trans position is governed by the numerical view of the figures .
The apparatus according to the present invention still has the advantage that one can employ a digital <B> key </B> which can be held by heart without the need to keep notes. at, forms that can be easily discovered; the key can also be changed easily and is not revealed by the device once it has been: closed.
An apparatus of the type described can be used easily and quickly while allowing about ten billion combinations, and it is practically impossible to find the encryption <B> key </B>.