Station réeeptriee de rad io-transwission. Cette invention se rapporte aux appareils de radio-sigiialisation et plus spécialement à une station r-écepti-ice <B>de</B> radio-trausmission dans laquelle on emploie deux antennes en forme de boucles ayant chacune nue extrémité adjacente<B>il,</B> la station et l'extrémité opposée distante dune fraction appréciable de longueur d'onde de ladite station.
Avec ces antennes cri foi-nie de boucles très allongées, de liautcur verticale quelconque s'étendant hoi-izontaleinent dans des directions opposées par rapport à la station, dans la ligne générale de transmission et ayant leurs plans verticaux, oit supprime plusieurs des inconvénients dus < t l'emploi de longs conducteurs.
Ces boucles, qui peuvent étre de formes différentes, seront-, de préférence construites de telle manière qu'elles aient des constantes uniformément distribuées et légèrement gra duées afin d'éviter les points de réflexion et les boucles peuvent être à simple tour oit à plusieurs tours disposés de différentes ma nières.
Selon la p!@ésente invention, l'énergie- de signalisation collectée par les antennes est rendue disponible dans la station, en vue de sa détection et de son utilisation,
et un autre avantage important de cette invention pro- vient de ce due tout l'ajustage et la s@-ritoni- sation pruvent ëtre entièrement contrôlés au moyen d'éléments ajustables placés cri un point. qui se trouve à la station réceptrice centrale elle-même, oit l'appareil récepteur est placé.
Cette disposition convient même dans le cas d'un écai-tenient effectif entre les antennes de la grandeur d'une demi-longueur- d'onde très grande, c'est-à-dire est égal à plusieurs niilliei-s de mitres de long.
Dans cet exemple, par- écartement effectif nous vou lons dire la distance entre le centre des boucles, cai- les boucles doivent se tei-iiliner à. une distance de la station double de celle néces saire dans le cas d'antennes cri forme de cage pour le inéiiie écartement effectif, mais dans le cas des boucles, aucun opérateur m'est nécessaire aux e-iti-éniités éloignée.
Dans le dessin annexé, donné à. titre d'exemple Fig. 1 est une vue schématique de circuits et d'appareils selon l'invention, dans laquelle deux antenne:_ en forme de boucle très al longée et s'('teridarit horizontalement sont représentées; Fig. 2 est une variante de fi <B>g.</B> 1 dans la quelle_ des inductances sont introduites sur le pourtour des boucles;
Fig. 3 est une vue semblable à, la fig. 2 représentant une variante des circuits à la stati--Ëii réceptrice: Fi.". 4 à 8 inclusivement représentent sclié- ma.tiquement différentes formes d'antennes en forme de boucles allongées à simple tour; Fi-,. 9 à 1l inclusivement sont des vues semblables d'antennes en forme de boucles allongées à plusieurs tours disposées de dif férentes manières:
Fig. 15 à. 18 inclusivement sont des vues semblables représentant des boucles de forme triangulaire avant des constantes graduées.
En se reportant au dessin, A indique sché- inatiquement la station réceptrice dans la quelle est plactl'appareil récepteur.
Plusieurs antennes B (dans cet exemple deri@j en forme de boucles allongées sont représentées, s'étendant horizontalement dans des directions opposées par rapport à la sta tion -1. Ces dm i-, boucles sont disposées dans un même plan dais la direction générale de la r@'ception, et les fils qui les forment sont port@\s d'une manière quelconque sur des po teau:
C hauts d'environ 1,3 mètre. Les par ties supérieures de ces boucles sont placées sur ces poteau-x à une hauteur verticale d'en viron 1,15 mètre. Les dimensions verticales des boucles sont ainsi relativement très petites par rapport à leurs dimensions horizontales, qui doivent être égales à une fraction appré ciable d'une longueur d'oncle de signaux reçue.
On a construit selon l'invention des boucles ayant chacune une longueur d'environ 3000 urètres, ce qui fait une longueur totale entre les extrémités les plus éloignées des boucles d'en-: iron <B>6001)</B> mètres. L'écartement de ces boucles iriesur,'à entre les centres était alors appi c,Fimativeiiil-iri égal à une demi-longueur d'une onde de 6000 mètres.
Les -boucles sont formées par un fil ou autre conducteur D, tendu ou fixé aux po- teaux C, mais de préférence isolé de ces der niers. La partie longitudinale infcriecii-e E de chaque boucle est suspendue pr--s du sol. tandis que la partie longitudinale s@ipérieure F est placée exactement verticalement au-cl.cssu d'elle.
Les extrémités intérieures des boucles soit amenées à l'intérieur de la station réceptrice au moyen de conducteurs de plomb d'un câble G constitué par de courts conducteurs de plomb, qui peut avoir une longueur de 16 à 33 mètres, c'est-à-dire une longueur insigni fiante par rapport à celle des boucles. Cette courte longueur du câble en plomb semble jouer un rôle utile pour réduire les accouple ments électromagnétiques ou électro-statiqries entre les boucles et l'appareil récepteur.
Dans la station réceptrice :1 est disposé un appareil récepteur de forme quelconque capable de neutraliser les ondes statiques et de rie retenir que les ondes de signaux. A titre d'exemple, nous avons représenté un gonio mètre Gi, dont deux bobines H et une bobinë <I>.T</I> concourent au point Ii.
Les fils de cibles (-: sont connectés aux bobines fixes <I>II</I> (lui goniomètre à travers un commutateur à renversement pour pouvoir renverser à volonté les connexions des con ducteurs à l'appareil récepteur.
Les conduc- teurs sont munis d'inductances de svnLoni- sation L et des condensateurs variables P sont représentés connectés en série aux l1-o- biries fixes H du goniomètre.
t n condensateur variable P' est aussi connecté en série à la bobine mobile .T du goniomètre.
Des circuits récepteurs approprié. eAii- prenant une soupape à vide à. #i ois éléments. sont représentés accouplés au circuit Q, qui est connecté à travers un commutateur èi renversement N, à la bobine J du goniomètre, pour pouvoir contrôler les connexions entre les circuits récepteurs et le goniomètre.
Le circuit Q! comprend aussi de préférence l'inductance conductrice 8 et la bobine d' < rc- couplement T. La soupape T' est connectée au circuit oseillarit c!. b, et possède le circuit à plaque<I>c cl e f</I> et en plus le circuit oscil lant c g h f'.
Par un montage approprié de l'appareil les effets dus aux perturbations statiques sont neutralisés, tandis que les effets dits aux signaux se combinent pour produire un cou rant résultant dans les circuits récepteurs.
Les fils inférieurs E des boucles lie doi vent pas être trop rapprochés du sol pour éviter l'humidité.
Si l'on appelle l'éloignement effectif de deux telles antennes opposées s'étendant hori zontalement, la distance entre les centres de ces antennes, chaque boucle doit avoir une longueur égale à une demi-longueur d'onde, si l'on veut obtenir un éloignement effectif d'une demi-longueur d'onde.
La période naturelle de telles antennes est très grande et peut contrôler d'une manière effective leur mode de vibration, de même que pour les rendre capables de syntoniser d'une manière effective au-dessous de cette période naturelle, il est avantageux d'introduire en titi certain point des boucles de résistance U (fig. 2 et 3).
Cette inductance T,' peut être, par exem ple, de l'ordre de 5 m. 11. (uiillihenrys) pour les longueurs d'onde comprises entre 2000 et 8000 mètres, et de 32 in. h. (millilicnrys) dans une boucle d'environ 3000 mètres de longueur. Il semble que ces valeurs n'obéissent pas exactement à une loi, quoique pourtant<B>il,</B> chaque longueur de boucle et d'onde corres ponde un ordre de grandeur de ces indue tances qui convient le mieux.
Ces inductances en ligne U lie semblent pas agir comme des éléments de syntonication ordinaires, mais semblent plutôt déterminer le mode de vibration de la boucle et le jalon nement des naeuds et des ventres (lui courant. L'oscillation est vraisemblablement titi mul tiple de la fréquence fondamentale et appa remment de la même harmonie, mais toutes nos tentatives pour faire exactement l'ana lyse de ce mode de vibration sont restées vaines et n'ont pu nous donner des résultats concluants.
Ainsi dans nos expériences, nous avons obtenu les meilleurs résultats en plaçant l'in- ductanee U ait milieu ou approximativement ait milieu du fil supérieur F de la boucle. En la déplaçant de ce point médian, on déter- milie une réduction (le l'intensité des ondes <B>(le</B> signaux.
Au lieu d'inductances en ligne Zon peut employer des combinaisons d'inductance et de capacité (comme représenté par 4 fig. 61. On obtient ainsi de bons résultats quant ü l'éii- initiation des ondes statiquecs et ü. la conser vation tics ondes de signaux.
-Par titi choix convenable de Feniplacenient de cette inthictance à un point particulier de la longueur de la boucle, on peut créer un courant de distribution qui augmente l'effi- cacité des éléments de syntonisation introduit aux extrémités inférieures de la boucle.
Avec des antennes d'environ une demi- longueur d'onde, les boucles syntonisent mieux si les condensateurs .P sont disposés en lia ralléle cil travers des conducteurs.
Fig. 2 représente schématiquement des cir cuits et un appareil de réception pour la syntonisation à la fois en série et en parallèle.
Les bobines du goniomètre H sont munies des commutateurs ordinaires A; représentés fig. '._I en position fermée parce.que les con densateurs P sont vus connectés cil parallèle il travers les conducteurs entre les points 0 P et @l r. it travers les doubles commutateurs #;
. Lorsque ces doubles commutateurs # sont per inutés dans la position. renversée, les con densateurs P sont connectés en séries avec la bobine du goniomètre H et alors les inter rupteurs<B>IL</B> couteau Il" doivent être ouverts. Dans la<B>fi-.</B> 3, des inductances<I>L</I> et<I>L'</I> sont représentées à la station dans les deux cuit- ducteurs des boucles et l'une des deux boucle, oui toutes les deux peuvent être employées. si on le désire.
Les conducteurs sont amenés aux commu tateurs de renversement o et de là, les cir cuits sont connectés aux bobines du gonio mètre H de façon que la relation des con ducteurs à l'appareil récepteur puisse être renversée ait besoin.
Dans les fig. q à 5, qui représentent diffé- rentes dispositions des antennes, l' représente une station ré-eptrice dans laquelle est placé un rïaêrrre appareil récepteur que celui indiqua à titre d'exemple dans la fig. 3.
Dans la fi* -l, les boucles allongées 2 sont ouvc_rtes à leurs extrémités 3.
-lu lieu da cette solution de continuité des boucles. on peut introduire un conden- satt_1rr 4 à chaque extrémité comme repré senté fig. 5. Dans les deux cas, les antennes semblent agir comme des boucles fermées de lonueur indéierutinée, la longueur effective pour une longueur donne exacte dépendant de l'écartement des fils.
Dans la liI-. 6, les antennes ir boucles 5 sont représentées ouvertes dans les fils supé rieurs au point 6, et ces solutions de con- tinelité peuverït être placées à n'importe quel endroit, au lieu d'être aux centres, comme représenté.
Avec toutes ces formes d'antennes nous avens obtenu de bons résultats, quant à la neutralisation de, ondes statiques et à la réception des ondes de signaux.
Dans la 1i-. 7, les boucles 7 sont repré sentées portées par des poteaux élevés 8. d'errvir-ort 6.5 mètres de liant. la branche iû- férieure 9 de chaque boucle étant approxinta- tivenrent à un peu moins de 4 mètres du sol.
Dans la fi ;g. 8, les boucles 10 sont repré- setct < -es avant uni écartement vertical entre les branches supérieures et inférieures 12 et 11 d'environ 2(-) mètres, la branche inférieure 11 étant près du sol.
Fig. 9 à 14 représentent différentes for mes de boucles, faisant plusieurs tours sur elle-même sait sur toute leur longueur soit une portion seulement de celle-ci.
Dans la lig. 9, la boucle supplémentaire 15 est effectuée allongée et lors de la construc- tieor de la boucle elle-même approximativement au milieu de la longueur de celle-ci, de même que dans la fig. 10 qui est semblable à la fi-. 9, sauf crue la boucle 16 est vue avec une grande dimension verticale.
Dans les fig. 11 et 12, les boucles sup- plémentaires 17 et 18 sont disposées aux ex trémités libres des boucles au lieu de l'être en leur milieu. L'enroulement supplémentaire 18 fait deux tours sur lui-même.
Fig. 13 et 14 représentent des boucles <B>19</B> e t ''l) respectivement basses et liantes formées de deux tours sur toute leur longueur.
Fig. 15 à 18 représentent des formes va riées d'antennes; en général de forme triangu laire et ayant des constantes graduées, c'est- à-dirc une capacité et une inductance graduée par mètre de longueur de boucle.
Des constructions graduées de cette ma nière ont l'avantage supplémentaire de donner de plus grands écartements effectifs que, les boucles à branches parallèles pour une ]on- gueur extérieure donnée.
Ainsi pour obtenir un écartement effectif d'une et demi-longueur d'onde avec l'une des forures représentées dans les fi g. 15 à 18. il semble seulement nécessaire d'avoir une longueur pour chaque antenne légèrement in férieure à l'ordre de longueur des j:, requis dans le cas de boucles à branches parallèles.
Dans la fig. 15, les boucles 21 ont la forme de triangles rectangles ayant leur base 22 verticale d'environ 9 mètres de hauteur, quoique cette hauteur puisse varier art besoin et être beaucoup plus grande. Le sommet 23 de chaque boucle est ajacent à la station A' et les fils sont de préférence introduits dans la station réceptrice dans des courtes con duites ou câbles conducteurs C.
Dans la lig. 15, le fil inférieur 24 de cha que boucle est représenté exactement parallèle art sol et les boucles sont portées par des poteaux de différentes hauteurs.
Fig. 16 représente des boucles 5 ayant la forme de triangles isocèles, tandis que fig. 17 représente des boucles 26 ayant leurs branches supérieures 27 exactement parallèles au sol.
Dans la fig. 18, les fils inférieurs et su périeurs des boucles sont représentés portés par des poteaux de telle manière que les branches des boucles sont en forme de cour bes art lieu d'être rectilignes.