CH713407A2 - Système de remontage pour pièce d'horlogerie. - Google Patents

Système de remontage pour pièce d'horlogerie. Download PDF

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CH713407A2
CH713407A2 CH01488/17A CH14882017A CH713407A2 CH 713407 A2 CH713407 A2 CH 713407A2 CH 01488/17 A CH01488/17 A CH 01488/17A CH 14882017 A CH14882017 A CH 14882017A CH 713407 A2 CH713407 A2 CH 713407A2
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CH01488/17A
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Inventor
Cornibe Sylvain
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Richemont Int Sa
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Abstract

L’invention concerne un système de remontage agencé pour le remontage d’un ressort moteur d’une pièce d’horlogerie, ledit système de remontage comportant un système d’encliquetage comprenant un premier mobile (10) et un deuxième mobile (14) montés coaxialement à rotation l’un par rapport à l’autre, le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant l’un solidaire d’un moyeu et l’autre solidaire d’une roue (16), l’un parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant destiné à être entraîné par un organe de remontage, l’autre parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant destiné à remonter ledit ressort moteur, dans lequel l’un parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) comporte une denture (32) d’entraînement unidirectionnel, et l’autre parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) comporte un cliquet (40) associé à un ressort (42). Selon un premier aspect de l’invention, le ressort (42) et le cliquet (40) forment une liaison rigide entre le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) dans un état d’encliquetage, et une liaison élastique entre le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) dans un état de décliquetage. Selon un deuxième aspect de l’invention, le cliquet (40), le ressort (42) et celui du premier mobile (10) et du deuxième mobile (14) qui comporte le cliquet, sont monolithiques.

Description

Description
Domaine technique [0001] La présente invention se rapporte au domaine de l’horlogerie. Elle concerne, plus particulièrement, un système de remontage pour pièce d’horlogerie comportant un système d’encliquetage particulier. Ce dernier comprend un premier mobile et un deuxième mobile montés coaxialement à rotation l’un par rapport à l’autre. Le premier mobile et le deuxième mobile étant l’un, solidaire d’un moyeu et l’autre, solidaire d’une roue.
[0002] De tels systèmes d’encliquetage sont utilisés de manière habituelle en horlogerie, pour réaliser des systèmes d’entraînement unidirectionnels, des embrayages ou des systèmes d’entraînement à limitation de couple dans le contexte d’une chaîne cinématique de remontage d’un ressort moteur.
[0003] Dans les systèmes connus, l’un parmi le premier mobile et le deuxième mobile comporte une denture d’entraînement unidirectionnel, et l’autre parmi le premier mobile et le deuxième mobile comporte un cliquet associé à un ressort. Le cliquet est agencé pour coopérer avec la denture d’entraînement unidirectionnel pour lier solidairement en rotation le premier mobile et le deuxième mobile lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un premier sens de rotation, définissant un état d’encliquetage, et pour laisser libre en rotation le premier mobile par rapport au deuxième mobile lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un deuxième sens de rotation, définissant un état de décliquetage.
[0004] Selon les configurations, la roue ou le moyeu peuvent être moteur, c’est-à-dire être entraîné par une tige de remontoir ou une masse oscillante, afin d’entraîner dans une seule direction l’autre mobile.
Etat de la technique [0005] Dans l’état de la technique, on connaît diverses alternatives de constructions pour réaliser un tel mécanisme. De manière générale, il est extrêmement difficile d’obtenir un système qui permette à la fois de transmettre des couples importants, sans avoir des ressorts qui soient forts et qui, en conséquence, induisent des frottements importants lors du décliquetage. Ces frottements génèrent de l’usure, des bruits parasites, et selon l’application du système, une perte de rendement.
[0006] Dans ce but, le brevet CH 705 322 propose d’utiliser des cliquets, solidaires de leur ressort respectif, venant se loger dans une ouverture appropriée de la roue et coopérant avec une denture extérieure formée sur le moyeu. Chaque cliquet comporte plusieurs dents, coopérant avec des dentures correspondante du moyeu, ce qui permet de générer une friction importante et donc de transmettre un couple élevé. Lors du décliquetage, seulement une des dents du cliquet est en contact avec la denture, ce qui permet de réduire les frottements lors du décliquetage. Cependant, cette solution nécessite de maintenir les cliquets dans leur logement par des flasques de part et d’autre du moyeu. De plus, les ressorts des cliquets sont sollicités tant lors de l’encliquetage que lors de décliquetage et il reste difficile de dissocier le réglage des forces impliquées dans les deux sens de rotation. Ce document mentionne explicitement l’utilisation d’un tel système d’entraînement dans le cadre du remontage d’un ressort de barillet par le biais d’une charnière d’articulation d’un appareil électronique portable.
[0007] Le brevet DE 1 922 475 propose également une construction dans laquelle la roue du système d’entraînement est solidaire du cliquet par l’intermédiaire d’une lame élastique. Comme précédemment, cette solution implique que l’effort transmissible entre le moyeu et la roue dépend des caractéristiques de la lame élastique. Il en est de même pour le décliquetage.
[0008] De manière générale, on constate une importante corrélation entre les efforts transmissibles et les efforts de décliquetage. Un tel résultat ne peut notamment pas convenir pour un remontoir automatique entraîné par une masse oscillante, puisque les pertes d’énergie et la résistance au décliquetage impliquent un rendement trop faible.
[0009] La présente invention a pour but de proposer un système de remontage muni d’un système d’encliquetage exempt des inconvénients ci-dessus et permettant de dissocier les efforts transmissibles et les efforts de décliquetage, améliorant ainsi le rendement du système de remontage. On peut ainsi obtenir une capacité à transmettre des couples importants dans le système de remontage, tout en limitant les efforts et autres pertes d’énergie lors du décliquetage.
Divulguation de l’invention [0010] De façon plus précise, l’invention concerne un système de remontage agencé pour le remontage d’un ressort moteur d’une pièce d’horlogerie. Ce système de remontage comporte un système d’encliquetage comprenant un premier mobile et un deuxième mobile montés coaxialement à rotation l’un par rapport à l’autre, le premier mobile et le deuxième mobile étant l’un solidaire d’un moyeu et l’autre solidaire d’une roue, l’un parmi le premier mobile et le deuxième mobile étant destiné à être entraîné par un organe de remontage telle qu’une tige de remontoir, une masse oscillante ou similaire, l’autre parmi le premier mobile et le deuxième mobile étant destiné à remonter ledit ressort moteur en étant en liaison cinématique avec ce dernier, dans lequel l’un parmi le premier mobile et le deuxième mobile comporte une denture d’entraînement unidirectionnel, et l’autre parmi le premier mobile et le deuxième mobile comporte un cliquet associé à un ressort, le cliquet étant agencé pour coopérer avec la denture d’entraînement unidirectionnel pour lier solidairement en rotation le premier mobile et le deuxième mobile lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un premier sens de rotation, définissant un état d’encliquetage, et pour laisser libre en rotation le premier mobile par rapport au deuxième mobile lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un deuxième sens de rotation, définissant un état de décliquetage.
[0011] Selon un premier aspect de l’invention, le système d’encliquetage est agencé de manière à ce que le ressort et le cliquet forment une liaison rigide entre le premier mobile et le deuxième mobile dans l’état d’encliquetage, et une liaison élastique entre le premier mobile et le deuxième mobile dans l’état de décliquetage.
[0012] Selon un autre aspect de l’invention, le cliquet, le ressort et celui du premier mobile et du deuxième mobile qui comporte le cliquet, sont monolithiques.
Brève description des dessins [0013] D’autres détails de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description qui suit, faite en référence au dessin annexé dans lequel: la fig. 1 et la fig. 2 sont respectivement des vues de dessus en perspective, et en coupe, d’un système d’encliquetage convenant pour un système de remontage selon l’invention, les fig. 3, 4 et 5 montrent différents variantes de ressort 42 et de cliquet pouvant être mis en oeuvre dans un tel système d’encliquetage, et les fig. 6 et 7 illustrent l’intégration d’un tel système d’encliquetage dans un barillet.
Mode de réalisation de l’invention [0014] On a représenté sur les fig. 1 à 5 un mode de réalisation d’un système d’encliquetage adapté à un système de remontage selon l’invention. Ce système est destiné à prendre place dans une chaîne cinématique de remontage qui relie cinématiquement un organe de remontage, telle qu’une tige de remontoir, une masse oscillante ou similaire, à un ressort moteur afin de pouvoir remonter ce dernier sous l’effet de l’organe de remontage. Le système d’encliquetage peut en principe se situer n’importe où dans une telle chaîne cinématique, mais peut notamment être intégré dans un système de barillet logeant ledit ressort moteur, comme sera décrit ci-dessous dans le cadre des fig. 6 et 7.
[0015] Dans ce mode de réalisation, on a un premier mobile 10 solidaire d’un moyeu 12, et un deuxième mobile 14 solidaire de (ou comprenant) une roue 16. Le premier mobile 10 et le deuxième mobile 14 sont montés coaxialemeht, mobiles en rotation l’un par rapport à l’autre. L’homme du métier n’aura aucune difficulté pour adapter la présente description à un mode de réalisation dans lequel la construction serait inversée, c’est-à-dire dans laquelle le premier mobile 10 serait solidaire d’une roue 16 et le deuxième mobile 14 solidaire d’un moyeu 12. L’un parmi le premier mobile 10 et le deuxième mobile 14 peut être configuré comme entrée du dispositif d’encliquetage, destinée à être entraînée en rotation par un organe de remontage telle qu’une tige de remontoir agencée pour être actionnée manuellement ou une masse oscillante. L’autre peut être configurée comme sortie, et est donc destinée à remonter un ressort moteur, comme par exemple un ressort logé dans un barillet. L’homme du métier sait comment prévoir des liaisons cinématiques en amont et en aval du dispositif d’encliquetage afin de lier ce dernier d’une part avec l’organe de remontage, d’autre part avec le ressort moteur. Par conséquent, ces liaisons cinématiques ainsi que les organes de remontage ne doivent pas être décrits en détails ici.
[0016] Plus particulièrement, dans ce mode de réalisation, le premier mobile 10 comporte une ouverture centrale 18. Le moyeu 12 comporte une planche 20 qui comporte des portions concentriques de hauteurs différentes. La planche 20 définit ainsi une portée plate 22 à sa périphérie, dont le rôle apparaîtra plus loin. La planche 20 comporte encore un corps central 24, formant une portée circulaire 26 à l’interface entre le corps et la portée plate 22. Enfin, au centre de la planche 20, un axe 28 permet le montage à rotation du moyeu 12, les extrémités de l’axe 28 dépassant de part et d’autre du plan de la planche 20.
[0017] Par son ouverture centrale 18, le premier mobile 10 est monté sans jeu sur l’axe 28 du moyeu 12, du côté de la portée plate 22. Le premier mobile 10 est en outre fixé sur le moyeu 12. Différents moyens de fixation sont possibles, comme un chassage sur l’axe, un collage ou autre. Dans l’exemple, le premier mobile 10 est vissé sur le corps de la planche 20. La roue 16 est guidée en rotation sur la portée circulaire 26 et est positionnée en hauteur entre la portée plate 22 que comporte le moyeu 12, et le premier mobile 10. La roue 16 comporte une gorge 30 circulaire dont le diamètre extérieur est plus grand que le diamètre du premier mobile 10. Le diamètre intérieur de la gorge 30 peut être sensiblement égal au diamètre du premier mobile 10. Le deuxième mobile 14 est disposé dans la gorge 30, solidairement à la roue 16. Le deuxième mobile 14 prend la forme d’une couronne, munie d’une denture 32 intérieure située au moins partiellement dans le plan du premier mobile 10. La denture 32 intérieure est de type denture 32 d’entraînement unidirectionnel, comme une denture à dents de loup par exemple. Ce type de denture 32 est généralement asymétrique et est prévu pour permettre un entraînement dans un sens et un dégrènement dans l’autre sens de rotation, comme on le comprendra mieux ci-après.
[0018] Le premier mobile 10 comporte un cliquet 40 associé à un ressort 42, le cliquet 40 étant agencé pour coopérer avec la denture 32 d’entraînement unidirectionnel. Plus particulièrement, le cliquet 40 est monté sur le mobile. Il comporte un bec 44 agencé pour coopérer avec la denture 32 d’entraînement unidirectionnel, le bec 44 étant conformé de manière à lier solidairement en rotation le premier mobile 10 et le deuxième mobile 14 lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un premier sens de rotation.
[0019] En référence à la fig. 1, si le premier mobile 10 est entraîné par le moyeu 12 dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, il entraîne le deuxième mobile 14. On définit ainsi un état d’encliquetage. Celui-ci est également défini par un entraînement moteur du deuxième mobile 14 dans le sens des aiguilles d’une montre, qui permet également d’entraîner en rotation le premier mobile 10.
[0020] Le bec 44 est également agencé de manière à laisser libre en rotation le premier mobile 10 par rapport au deuxième mobile 14 lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un deuxième sens de rotation. En référence à la fig. 1, si le premier mobile 10 est entraîné par le moyeu 12 dans le sens des aiguilles d’une montre, il tourne sans entraîner le deuxième mobile 14, le cliquet 40 se déplaçant en contraignant le ressort 42. On définit ainsi un état de décliquetage. Celui-ci est également défini lors d’un entraînement moteur du deuxième mobile 14 dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, qui s’effectue également sans entraîner en rotation le premier mobile 10.
[0021] De manière avantageuse et selon un premier aspect de l’invention, le premier mobile 10, le cliquet 40 et le ressort 42 sont monolithiques et venus d’une pièce. Ils peuvent être réalisés de manière monolithique, par des techniques de gravure de type DRIE, ou de croissance de type LIGA. Ainsi, le premier mobile 10, le cliquet 40 et le ressort 42 sont disposés dans un même plan, ce plan étant au moins partiellement situé dans le plan de la denture 32 d’entraînement unidirectionnel du deuxième mobile 14, pour permettre la coopération du bec 44 du cliquet 40 avec cette denture 32. Par des techniques de fabrication multiniveau, le ressort 42 et le cliquet 40 peuvent avoir des épaisseurs différentes, permettant d’avoir par exemple une bonne résistance mécanique pour le cliquet 40 et un coefficient de raideur faible pour le ressort 42, en faisant un cliquet 40 plus épais que le ressort 42. On obtient ainsi une construction très avantageuse, facile à monter et peu encombrante, ne nécessitant pas de plaque pour tenir le cliquet ou le ressort dans sa denture.
[0022] Dans le mode de réalisation préféré, proposé en tant qu’exemple d’illustration de l’invention, le premier mobile 10 présente une découpe latérale 46, comprenant une ouverture en arc de cercle 48 débouchant latéralement en regard de la denture 32 d’entraînement unidirectionnel. Le cliquet 40 présente une base 50 circulaire de diamètre légèrement inférieur au diamètre de l’ouverture circulaire 48. La base 50 est logée dans l’ouverture circulaire 48 qui forme un siège pour la base 50 du cliquet 40, qui est susceptible de pivoter en référence au centre du siège, mais également de prendre appui contre les parois du siège. La paroi de l’ouverture circulaire 48 est ainsi agencée pour former une butée de la base du cliquet 40.
[0023] Le ressort 42 est agencé pour exercer sur le cliquet 40 une force qui tend à le maintenir engagé dans la denture 32 d’entrainement unidirectionnel, en exerçant un couple tendant à mettre la base du cliquet 40 en rotation dans l’ouverture.
[0024] Le ressort 42 est avantageusement de type lame, formé directement dans l’épaisseur du premier mobile 10. Il relie le premier mobile 10 et le cliquet 40, en s’étendant dans l’espace laissé libre par la découpe latérale. Il se rattache au cliquet 40 par le bord du bras formé entre la base 50 et le bec 44. Ainsi, une rotation du cliquet 40 en référence au centre de l’ouverture circulaire 48, entraîne une déformation élastique du ressort 42.
[0025] Selon un second aspect de l’invention qui est indépendant du premier aspect susmentionné, le système d’encliquetage est agencé de manière à ce que le ressort 42 et le cliquet 40 forment une liaison rigide entre le premier mobile 10 et le deuxième mobile 14 dans l’état d’encliquetage, et une liaison élastique entre le premier mobile 10 et le deuxième mobile 14 dans l’état de décliquetage.
[0026] Par liaison rigide, on entend une liaison essentiellement rigide, voire exclusivement rigide, c’est-à-dire qui ne sollicite que très peu, voire pas du tout le ressort 42 du cliquet 40. Par liaison élastique, on entend une liaison qui entraîne la déformation élastique de l’organe ressort 42.
[0027] De manière plus précise, le cliquet 40 est agencé de manière à ce que le moment de force exercé sur le cliquet 40 autour de son axe de rotation, par l’action de la denture 32 d’entraînement unidirectionnel, quand il est dans l’état d’encliquetage, est nul ou sensiblement nul. Pour ce faire, l’homme du métier peut agir sur les géométries des becs du cliquet 40 et de la denture 32 d’entraînement unidirectionnel, ainsi que sur leur positionnement respectif.
[0028] Le cliquet 40 est en outre agencé de manière à ce que, dans l’état d’encliquetage, la force exercée par la denture 32 d’entrainement unidirectionnelle sur le cliquet 40 ou la résultante de ces forces, présente une orientation essentiellement, de préférence exclusivement, radiale tendant à presser la base du cliquet 40 contre la paroi du siège, sans mettre le cliquet 40 en rotation. En l’espèce, en référence à la fig. 2, l’appui d’une première dent de la denture 32 d’entrainement unidirectionnel sur le flanc 44a du bec 44 entraîne un contre-appui du flanc 44b sur la dent voisine. La résultante de ces forces passe par l’axe de rotation du cliquet et le couple qu’elle exerce est nul.
[0029] Ainsi, étant donné que le système d’encliquetage est agencé pour éviter, en tout cas minimiser la rotation du cliquet 40 lorsqu’il est dans l’état d’encliquetage, la déformation du ressort 42 est également minimisée.
[0030] On pourra prévoir différentes formes de ressort 42 permettant d’obtenir les mêmes orientations des forces élastiques. Les fig. 3, 4 et 5 proposent différents exemples.
[0031] A la fig. 3, comme sur les fig. 1 et 2, le ressort 42 forme un coude depuis le bord de la découpe latérale 46, puis forme plusieurs méandres avant de rejoindre le bord du bras du cliquet 40.
[0032] A la fig. 4, la découpe latérale s’étend au-delà du niveau de l’ouverture circulaire 48, formant une fente 52 dans le premier mobile. Le ressort 42 est connecté par une de ses extrémités, avec cette fente, avant de rejoindre le bord du bras du cliquet 40, par plusieurs méandres, similaires à ceux de la fig. 3.
[0033] A la fig. 5, la découpe latérale ouvre une bande 54 entre le centre du premier mobile et sa périphérie qui comporte l’ouverture circulaire 48. Le ressort 42 est connecté par une de ses extrémités avec l’extrémité de la bande. Il forme un seul coude avant de se connecter avec le cliquet, à la base du bec 44.
[0034] Ainsi et de manière particulièrement avantageuse, le ressort 42 n’est pas sollicité lors des phases d’encliquetage. L’entrainement du mobile mené par le mobile menant se fait avec très peu de jeu, le jeu minimum entre la base du cliquet 40 et son siège. Cet entraînement se fait par une liaison rigide, qui permet en outre de transmettre des couples importants. Surtout, étant donné que le ressort 42 n’intervient pas dans cette phase, il peut être dimensionné librement pour les phases de décliquetage et être très léger, limitant ainsi les contraintes lors du passage du cliquet 40. On peut parfaitement dissocier le dimensionnement et le réglage des éléments intervenant lors de l’encliquetage et du décliquetage.
[0035] Si le mode de réalisation principalement illustré propose d’avoir le premier mobile 10 qui porte le cliquet 40, comme évoqué ci-dessus, l’homme du métier peut envisager différentes combinaisons. Par exemple, on pourrait disposer le cliquet 40 sur le mobile qui est solidaire de la roue 16, en l’espèce le deuxième mobile 14. La denture 32 d’entraînement unidirectionnel est alors disposée sur le mobile solidaire du moyeu 12, en l’espèce le premier mobile 10.
[0036] Dans les deux cas, on peut envisager d’avoir des dentures 32 d’entraînement unidirectionnel qui soient des dentures 32 intérieures ou extérieures, même si certaines configurations peuvent être complexes.
[0037] Dans toutes les configurations, l’un ou l’autre des mobiles peut être le mobile menant, c’est-à-dire recevant le couple à transmettre, l’autre des mobiles étant le mobile mené, lors des phases d’encliquetage. De plus, le système d’encliquetage peut comprendre une pluralité d’ensembles ressort- cliquet qui sont repartis angulairement autour de l’axe 28. Dans ce cas, les cliquets 40, les ressorts 42 et le premier ou le deuxième mobile sont tous monolithiques et venus d’une seule pièce conformément au premier aspect de l’invention.
[0038] Ainsi est proposé un système d’encliquetage particulièrement efficace, tant au niveau de son encombrement, du couple qu’il est capable de transmettre, que de la dissociation des fonctions d’encliquetage et de décliquetage, qui permettent de dimensionner l’organe ressort 42 uniquement en considérant le décliquetage. Les contraintes d’usures et de frottement lors du décliquetage sont ainsi réduites par rapport aux dispositifs de l’art antérieur.
[0039] Les fig. 6 et 7 illustrent en vue isométrique ainsi qu’en coupe diamétrale selon l’axe A-A, un système de barillet 60 incorporant un système d’encliquetage du genre décrit ci-dessus, notamment celui illustré sur les fig. 1 et 2.
[0040] Le barillet 60 comporte un tambour 61 muni d’une première denture extérieure 62 destinée à entraîner un mouvement horloger (non illustré). À l’intérieur du tambour 61 est logé un ressort moteur 63, dont l’extrémité extérieure est liée au tambour 61, et dont l’extrémité intérieure est liée à l’arbre de barillet 64 par l’intermédiaire d’une bonde.
[0041] L’arbre 64 est libre de pivoter par rapport au tambour, et porte, sur une première face du tambour 61, un système d’encliquetage comme décrit ci-dessus. Dans la variante illustrée, le premier mobile 10 du système d’encliquetage est solidaire en rotation d’un carré 64a (ou autre forme appropriée) que comporte l’arbre 64, ce carré 64a prenant place dans l’ouverture centrale 18 du premier mobile 10. Cette ouverture centrale 18 est de forme complémentaire au carré 64a afin de rendre ces deux éléments mutuellement solidaires en rotation.
[0042] Le premier mobile 10 comporte deux cliquets 40, diamétralement opposés l’un par rapport à l’autre, chacun étant semblable à celui des fig. 1 et 2, mais ils peuvent être substitués par ceux des autres figures susmentionnées. Par conséquent, ces cliquets 40 ne doivent pas être décrits en détail encore une fois.
[0043] Le deuxième mobile 14, porteur de la denture 32, est à nouveau disposé dans une gorge 30 dont est munie la roue 16. Le diamètre de cette dernière est identique à celle de la denture 62 du tambour 61, mais d’autres diamètres sont possibles.
[0044] La deuxième roue 16 fait office d’entrée, et est destinée à être entraînée par un organe de remontage (non illustré) telle qu’une tige de remontoir ou qu’une masse oscillante, par l’intermédiaire d’un rouage et/ou d’un mécanisme de conversion ad hoc comme généralement connu de l’homme du métier.
[0045] Lorsque la deuxième roue est pivotée dans le sens horaire (par rapport à la fig. 6) par l’organe de remontage, les cliquets 40 sont entraînés par la denture 32, et cette rotation est transmise à l’arbre 64. Le ressort moteur 63 est ainsi remonté. En revanche, lorsque la deuxième roue 16 tourne dans le sens inverse, les cliquets 40 se soulèvent comme décrit ci-dessus, se débrayent de la denture 32 et l’arbre 64 n’est pas entraîné en rotation.
[0046] Il va sans dire que d’autres configurations de systèmes d’encliquetage comme définies ci-dessus peuvent être utilisées dans le même but.
[0047] On note par ailleurs que le barillet 60 illustré dans les fig. 6 et 7 comporte en outre une deuxième sortie, notamment une roue supplémentaire 65 se situant sur l’autre face du tambour 61 que celle où se trouve le système d’encliquetage. Cette roue supplémentaire peut entraîner une entrée d’un système de réserve de marche, ou peut entraîner un dispositif

Claims (16)

  1. supplémentaire tel qu’un dispositif de sonnerie de manière indépendante du tambour 61 du barillet 60 ainsi que du rouage de finissage du mouvement (non illustré). [0048] L’homme du métier pourra encore envisager d’autres alternatives à partir de la description donnée ci-dessus à titre d’illustration non limitative de l’invention, sans toutefois sortir du cadre de la protection délimité par les revendications. Particulièrement, le système d’encliquetage peut également être utilisé en tant qu’inverseur d’automatique, c’est-à-dire pour convertir les rotations de la masse oscillante dans les deux sens, en une rotation unidirectionnelle du röchet de barillet. Différents types d’inverseurs avec des systèmes d’encliquetage travaillant en opposition sont connus de l’homme du métier. Celui décrit ci-dessus permet une amélioration nette du rendement, du fait que les ressorts peuvent être dimensionnés légèrement dans leur composante de décliquetage. On pourra donc adapter un ou plusieurs systèmes d’encliquetage tel que proposé ci-dessus, dans un inverseur d’automatique. [0049] Dans les exemples proposés ci-dessus, le système d’encliquetage se trouvant cinématiquement dans la chaîne cinématique s’étendant entre l’organe de remontage et l’arbre 64 du barillet 60, il fait bien évidemment partie du dispositif de remontage agencé pour remonter le ressort 63. Revendications
    1. Système de remontage agencé pour le remontage d’un ressort moteur (63) d’une pièce d’horlogerie, ledit système de remontage comportant un système d’encliquetage comprenant un premier mobile (10) et un deuxième mobile (14) montés coaxialement à rotation l’un par rapport à l’autre, le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant l’un solidaire d’un moyeu (12) et l’autre solidaire d’une roue (16), l’un parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant destiné à être entraîné par un organe de remontage, l’autre parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant destiné à remonter ledit ressort moteur (63), dans lequel l’un parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) comporte une denture (32) d’entraînement unidirectionnel, et l’autre parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) comporte un cliquet (40) associé à un ressort (42), le cliquet (40) étant agencé pour coopérer avec la denture (32) d’entraînement unidirectionnel pour lier solidairement en rotation le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un premier sens de rotation, définissant un état d’encliquetage, et pour laisser libre en rotation le premier mobile (10) par rapport au deuxième mobile (14) lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un deuxième sens de rotation, définissant un état de décliquetage, caractérisé en ce qu’il est agencé de manière à ce que le ressort (42) et le cliquet (40) forment une liaison rigide entre le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) dans l’état d’encliquetage, et une liaison élastique entre le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) dans l’état de décliquetage. 2. 2. Système de remontage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le cliquet (40) est monté pivotant sur son mobile selon un axe de rotation et en ce que le cliquet (40) est agencé de manière à ce que le moment de force exercé sur le cliquet (40) selon son axe de rotation, par l’action de l’autre mobile quand il est dans l’état d’encliquetage, est nul ou sensiblement nul.
  2. 3. Système de remontage selon l’une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce qu’il est agencé de manière à minimiser la déformation du ressort (42) lorsqu’il est dans l’état d’encliquetage.
  3. 4. Système de remontage selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le mobile comportant le cliquet (40), ledit cliquet (40) et ledit ressort (42) sont monolithiques.
  4. 5. Système de remontage selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le mobile comportant le cliquet (40), ledit cliquet (40) et ledit ressort (42) sont disposés dans un même plan.
  5. 6. Système de remontage selon la revendication 5, caractérisé en ce que le mobile comportant le cliquet (40), présente une ouverture circulaire débouchant latéralement, le cliquet (40) présentant une base circulaire de diamètre inférieur au diamètre de ladite ouverture, ladite base étant logée dans ladite ouverture, et en ce que la paroi de l’ouverture forme butée de la base dans l’état d’encliquetage.
  6. 7. Système de remontage selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le mobile comportant le cliquet (40) est celui du premier et du deuxième mobiles (14) qui est solidaire d’un moyeu (12), et en ce que le mobile comportant la denture (32) d’entrainement unidirectionnel est celui du premier et du deuxième mobiles (14) qui est solidaire de la roue (16).
  7. 8. Système de remontage selon l’une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le mobile comportant le cliquet (40) est celui du premier et du deuxième mobiles (14) qui est solidaire de la roue (16), et en ce que le mobile comportant la denture (32) d’entrainement unidirectionnel est celui du premier et du deuxième mobiles (14) qui est solidaire du moyeu (12).
  8. 9. Système de remontage selon l’une des revendications 7 et 8, caractérisé en ce que la denture (32) d’entrainement unidirectionnel est une denture (32) intérieure.
  9. 10. Système de remontage selon l’une des revendications 7 et 8, caractérisé en ce que la denture (32) d’entrainement unidirectionnel est une denture (32) extérieure.
  10. 11. Système de remontage selon la revendication 7 et la revendication 9, caractérisé en ce que la roue (16) est guidée en rotation sur une portée circulaire (26) que comporte le moyeu (12) et positionnée en hauteur entre une portée plate (22) que comporte le moyeu (12), et le mobile comportant le cliquet (40).
  11. 12. Système de remontage agencé pour le remontage d’un ressort moteur (63) d’une pièce d’horlogerie, ledit système de remontage comportant un système d’encliquetage comprenant un premier mobile (10) et un deuxième mobile (14) montés coaxialement à rotation l’un par rapport à l’autre, le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant l’un solidaire d’un moyeu (12) et l’autre solidaire d’une roue (16), ou respectivement l’un solidaire d’une roue (16) et l’autre solidaire d’un moyeu (12), l’un parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant destiné à être entraîné par un organe de remontage, l’autre parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) étant destiné à remonter ledit ressort moteur (63), dans lequel l’un parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) comporte une denture (32) d’entrainement unidirectionnel, et l’autre parmi le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) comporte un cliquet (40) associé à un ressort (42), le cliquet (40) étant agencé pour coopérer avec la denture (32) d’entrainement unidirectionnel pour lier solidairement en rotation le premier mobile (10) et le deuxième mobile (14) lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un premier sens de rotation, définissant un état d’encliquetage, et pour laisser libre en rotation le premier mobile (10) par rapport au deuxième mobile (14) lorsqu’ils pivotent l’un relativement à l’autre dans un deuxième sens de rotation, définissant un état de décliquetage, caractérisé en ce que le cliquet (40), le ressort (42) et celui du premier mobile (10) et du deuxième mobile (14) qui comporte le cliquet, sont monolithiques.
  12. 13. Système de remontage selon la revendication 12, caractérisé en ce que le cliquet (40), le ressort (42) et celui du premier mobile (10) et du deuxième mobile (14) qui comporte le cliquet, sont disposés dans un même plan.
  13. 14. Système de remontage selon l’une des revendications précédentes, dans lequel ledit système d’encliquetage est monté sur un barillet (60) comprenant un tambour (61) logeant ledit ressort moteur (63) ainsi qu’un arbre de barillet (64) auquel une extrémité intérieure dudit ressort moteur (63) est attachée.
  14. 15. Système de remontage selon la revendication précédente, dans lequel ledit système d’encliquetage est porté par ledit arbre de barillet (64).
  15. 16. Système de remontage selon la revendication précédente, dans lequel ledit premier mobile (10) est solidaire en rotation dudit arbre de barillet (64), ledit deuxième mobile (14) étant destiné à être entraîné par ledit organe de remontage.
  16. 17. Système de remontage selon la revendication précédente, dans lequel ledit deuxième mobile (14) comporte ladite denture d’entrainement unidirectionnelle (32).
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