**ATTENTION** debut du champ DESC peut contenir fin de CLMS **.
REVENDICATIONS
1. Machine informatique pour l'acquisition et l'affichage de données, caractérisée en ce qu'elle comporte un boîtier muni sur sa surface d'un clavier de commande à commutateurs à touches, le boîtier étant également muni d'un dispositif d'affichage, ce boîtier comportant des circuits électroniques commandant l'écran et commandés par le clavier, ces circuits électroniques comportant une unité de commande centrale reliée au clavier pour en recevoir des informations sous forme de signaux électriques déterminés pa l'actionnement des touches, une mémoire divisée en au moins une centaine de cellules, chaque cellule comportant au moins deux parties, cette mémoire étant commandée par l'unité de commande centrale, et une unité de gestion du dispositif d'affichage, agencée pour commander ce dernier,
l'unité de commande centrale comportant une mémoire tampon ayant au moins deux parties de capacités respectives au moins égales aux deux parties d'une desdites cellules de la mémoire, et une unité de gestion de mémoire comportant un registre d'adresses, et agencée pour effectuer des transferts de contenus entre la cellule dont l'adresse se trouve au registre et l'unité de commande centrale, l'unité centrale de commande étant munie, pour des opérations de lecture, de moyens de sélection d'une cellule en fonction de la comparaison entre les contenus respectifs de la première partie de la mémoire tampon
avec le contenu de la première partie d'une cellule, et de moyens pour transférer à l'unité de gestion de l'écran le contenu de la
seconde partie de la cellule sélectionnée par lesdits moyens de sélection, et, pour des opérations d'écriture,
de moyens pour inscrire le contenu de la mémoire tampon dans une cellule, et de moyens pour classer les cellules selon les contenus de leurs premières parties.
2. Machine informatique selon la revendication 1, caractérisée
en ce que le clavier de commande comporte des moyens pour
commander la recherche d'une cellule en fonction d'un contenu mémorisé dans la seconde partie de la mémoire tampon, et en ce
que l'unité de commande centrale est agencée pour chercher en mémoire une cellule dont la seconde partie a le même contenu qui
ladite seconde partie de la mémoire tampon, et pour commander l'affichage, sous forme d'une date, du contenu de la première partie de cette cellule.
3. Machine informatique selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'unité de commande centrale comprend une unité
arithmétique comportant des moyens de comparaison entre, d'uni part, soit l'unie soit l'autre des deux parties de la mémoire tampon
et, d'autre part, la partie homologue du contenu de la cellule dont l'adresse est au registre d'adresses, des moyens pour décaler le
registre d'adresses.
L'invention concerne une machine informatique pour l'acquisition et l'affichage de données. Une telle machine est destinée notamment à assumer la fonction d'un agenda.
La tenue et la mise à jour d'un agenda sont extrêmement importantes pour une certaine catégorie de personnes et le but de la présente invention est de fournir un agenda facilitant ces tâches et résolvant certains problèmes.
Un des problèmes irritants que l'on rencontre avec les agendas classiques est qu'il faut les changer et reporter les rendez-vous notés dans l'agenda périmé pour les premiers mois de l'année nouvelle, avec tous les risques que comporte ce report.
De plus, les agendas classiques sont prévus pour aller de janvier à décembre, avec une place restreinte réservée aux premiers mois de l'année suivante, de sorte que pour avoir réellement toujours douze mois d'agenda devant soi, il faudrait se procurer dès le début de l'année l'agenda de l'année d'après, car il se peut que l'on doive déjà y prévoir certains éléments.
Un autre problème: un agenda classique permet de savoir ce qu'on fera à tel moment. Mais que se passe-t-il Si on essaie de se rappeler à quel moment on avait prévu de recevoir M. X.?
Il faut feuilleter l'agenda et, Si l'on n'est pas très calme on risque de rater la page. Enfin, que fait-on Si on annule ou déplace un rendez-vous? Il faut le biffer ici et l'insérer là, et, comme ceci se passe assez souvent, on est obligé de prévoir des pages assez largement dimensionnées. 111e fâut d'ailleurs aussi, parce qu'il existe des journées très chargées. Cela implique un gaspillage de place, car toutes les pages auront la même dimension correspondant à la capacité maximum d'une journée chargée.
On connaît en informatique des techniques de gestion de fichier utiles, par exemple dans le cadre d'un important bureau.
On connaît des systèmes ayant trait à la mémorisation et à l'affichage d'échéances, par exemple par les demandes allemandes DT N05 2252147 et 2117756 et par le brevet anglais N0 1148856 (IBM).
Mais ces systèmes ne constituent pas encore réellement un substitut commode de l'agenda. Dans la revue U.S. Electronics , vol. 48 N0 7, 3 avril 1975, p. 40, et dans le livre Electronic calculators de H. E. Robert, édité par Howards W., Sams & Co,
Indianapolis 1974, on mentionne l'idée d'une calculatrice de poche servant d'agenda. Une telle idée représente l'énoncé d'un problème, et c'est le but de l'invention que de contribuer à résoudre ce problème. La machine informatique selon la présente invention est définie dans la revendication 1.
L'invention sera décrite plus en détail dans la description qui va suivre, faite en référence au dessin dans lequel:
La fig. 1 représente une forme d'exécution,
la fig. 2 représente schématiquement la structure interne de la machine,
la fig. 3 représente schématiquement la structure de l'unité de gestion d'écran,
la fig. 4 représente une seconde forme d'exécution.
La fig. I représente une première forme de réalisation de la machine, telle qu'elle se présente à l'utilisateur. Il s'agit d'une version de type portatif. On distingue essentiellement un écran et un clavier comportant plusieurs parties, le tout formant un boîtier.
Le clavier dans son ensemble comporte plusieurs sections.
Tout d'abord, un clavier de commande 31 servant à déterminer quel genre d'opération on effectue, notamment Si on introduit un rendez-vous, Si on consulte l'agenda pour une date donnée ou Si, éventuellement, on fait une recherche sous rubrique, c'est-à-dire Si l'on veut savoir pour quand telle rubrique (rendezvous, action à accomplir) a été prévue. On peut rattacher à cette section une touche 318 disposée plus bas, et servant de sécurité, pour certaines opérations affectant gravement le contenu de l'agenda, c'est-à-dire en premier lieu Feffaçage.
La sécurité consiste en ce que, pour commander un effacement, il faut, à un moment donné, actionner la touche de sécurité 318 puis, immédiatement après, la touche de commande appropriée, disons la touche 314, qui ne lui est pas contiguë.
Toute autre action est incapable de produire l'effacement. Bien entendu on peut prévoir d'autres modes de verrouillage, mais celui-ci semble devoir donner satisfaction. On peut aussi imposer ce verrouillage à d'autres commandes.
Le clavier de commande comporte une touche Clear 319 destinée, lorsqu'on la presse une fois, à effacer la détermination de la rubrique et, lorsqu'on l'actionne une seconde fois, à effacer la détermination du temps, cela dans le buffer de commande qu'on verra plus loin, et non en mémoire. Cette touche initialise un ordre que l'on donne à l'agenda.
Mentionnons enfin le switch Il qui met l'agenda en état de recevoir des ordres. Lorsqu'il est déclenché, le clavier est muet et l'écran éteint, mais la mémoire centrale ne perd pas son contenu.
On voit ensuite un clavier date 32 comportant 12 touches pour la sélection du mois, dont 10 servent à la sélection du quantième.
Ce clavier sert également à la détermination de l'heure et com
porte ici, à cette fin, deux touches AM, PM, 325, 326, disposées au-dessus pour la détermination de l'heure.
On voit enfin un clavier alphabétique 33, comportant toutes les lettres de l'alphabet et une touche blanc 330, pour la spécification de ce qu'on appellera désormais la rubrique et qui, pour chaque cas, comprendra un nombre de caractères limité à une valeur fixe, par exemple ici: 12 caractères.
L'écran 2 est capable d'afficher quelques lignes, par exemple deux lignes de douze caractères, chiffres ou lettres.
Ce boîtier 1 contient tous les organes nécessaires au fonctionnement. En premier lieu, une batterie d'alimentation. Il peut s'agir d'une pile ou d'une batterie rechargeable. Avec l'appareil, on peut prévoir alors un bloc chargeur alimenté par le secteur, ce bloc assurant l'alimentation du dispositif ainsi que la recharge des batteries.
Les bornes et le logement éventuel d'une ou plusieurs piles doivent être accessibles. A cet effet, on a prévu un couvercle amovible 13 donnant accès à ces éléments.
La fig. 2 représente de manière schématique l'ensemble des circuits électroniques que contient le boîtier, avec les liaisons aux claviers et à l'écran, considérés comme des périphériques.
On y voit notamment l'unité de commande centrale 100, la mémoire 200, l'unité de gestion de l'écran 50 et les interfaces d'entrée 40, entre les claviers et l'entrée de l'unité de commande centrale.
Pour la mémoire, à titre d'exemple, voici quelles pourraient être sa capacité et sa gestion.
La capacité est de 10 K de 8 bits, permettant l'inscription d'un millier de rendez-vous. Pour chaque rendez-vous on dispose donc de 10 x 8 bits, formant une cellule, divisée en une partie numérique, ou temporelle, et une partie alphabétique, ou rubrique. La partie numérique occupe 4 x 8 bits, ce qui permet huit chiffres décimaux, chacun étant défini en quatre bits. Il n'y a pas de bit alphanumérique car l'affectation est ici numérique.
Ces chiffres sont le numéro du mois (2 chiffres), le numéro du quantième (2 chiffres), l'indication de l'heure (2 chiffres), la minute, par fraction de 5 mn (2 chiffres), soit 8 chiffres au total.
Ajoutons que le premier bit du premier chiffre de mois est utilisé pour la parité de l'année, ce qui permet de résoudre certains problèmes de report d'année, et que le premier bit du premier chiffre d'heure est utilisé pour la distinction AM/PM. Cela est possible car le premier chiffre de mois ou d'heure est 0 ou 1, de sorte que le bit de poids fort est disponible.
On remarquera que cette forme se prête à la comparaison arithmétique, un moment ultérieur à un autre étant représenté en mémoire par un nombre binaire plus grand.
Dans la mémoire, les cellules contenant les rendez-vous sont rangées de manière à se trouver contiguës, et ordonnées chronologiquement de façon compacte en un paquet. Pour insérer un rendez-vous, on décale d'une cellule un des côtés du paquet et on inscrit le rendez-vous dans le trou laisse.
Les adresses sont considérées comme rangées selon un cycle, c'est-à-dire qu'une exploration séquentielle vers le haut, au voisinage du sommet, compte ainsi: .., 1020, 1021, 1022, 1023, 0, 1, 2...: il n'y a donc pas de début de mémoire, mais il y a un début de paquet.
Cette gestion est assurée par l'unité de commande centrale.
Celle-ci comporte, dans l'exemple donné, un buffer de commande 110, un buffer mémoire, une unité arithmétique 130 capable d'effectuer des comparaisons en fonction desquelles l'unité centrale prend une décision et les éléments voulus pour exploiter la mémoire tels que, notamment, une unité de gestion dz la mémoire 150, un registre d'adresses 160 et un bus mémoire 210 commandé par le registre d'adresses et relié à lui par la ligne 151.
On sait actuellement comment compléter de telles indications de manière à constituer une unité de commande capable de fonctionner, par exemple, en lui adjoignant, de la manière connue pour un microprocesseur, des ROM comportant les programmes essentiels.
Cette unité de commande est également munie de moyens permettant de transférer des données vers l'écran. Ces données sont reçues par une unité de gestion de l'écran 50, qui s'occupe de décoder et préparer ces données. A cette fin, comme représenté à la fig. 3, l'unité de gestion d'écran comporte des unités de décodage 52, 53 remplaçant les représentations binaires adaptées à la mémoire centrale par d'autres représentations binaires mieux adaptées à l'affichage, en distinguant, par leur provenance, les chiffres et les lettres.
Cette unité peut comporter en option un calendrier perpétuel 60 qui fournit le jour de la semaine en fonction du mois et du quantième; cette information est également mise sous une forme adaptée à l'affichage.
L'unité de gestion d'écran comprend enfin l'interface 80 proprement dit. Cet interface reçoit les signaux des unités 52, 53 et éventuellement 60 et commande en conséquence l'écran pour qu'il affiche les signes correspondants.
Dans le modèle portatif, l'écran sera généralement de petite capacité: celle juste nécessaire pour afficher les données fournies par les décodeurs 53, 52 et, en option, 60, et qui correspondent au contenu d'une cellule.
Si l'écran est à grande capacité, une mémoire est indispensable. Si l'écran n'est pas lui-même à mémoire intrinsèque, il faut prévoir une mémoire tampon 90 ayant une capacité correspondant à celle de l'écran, explorée cycliquement. On peut la disposer soit avant, soit après le niveau des décodeurs 52, 53, 60. Si on l'installe avant, cette mémoire 90 peut consister en un prolongement de la mémoire centrale 200, prolongement qui serait sous le contrôle de l'unité de gestion de l'écran, qui comporterait sa section de gestion de mémoire, avec un registre d'adresses qui ne pourrait adresser que le bloc 90.
Pour l'utilisateur, le fonctionnement comporte plusieurs modes, notamment le mode inscription, le mode lecture, et éventuellement le mode recherche. On a déjà parlé de la possibilité d'effacer une partie de l'agenda. L'utilisateur commence par donner des indications temporelles. D'abord le mois, en appuyant sur la touche correspondante du clavier 32. Sous l'effet du contact fermé par cette touche, l'interface 40 envoie des informations codées dans la première partie 112 du buffer de commande 110.
En même temps, il est prévu un transfert de ces informations vers l'unité de gestion de l'écran 50, qui les transforme de manière à afficher trois lettres correspondant au mois en abrégé. Puis l'utilisateur donne le quantième en utilisant le même clavier 31 dont chacune des dix premières touches est affectée à un chiffre décimal. Il s'ensuit également enregistrement dans le buffer de commande et affichage sur l'écran. En outre, on peut prévoir que cela actionne une unité de calendrier perpétuel 60 qui calcule alors le jour de la semaine et envoie des signaux correspondants à l'interface de l'écran 80, qui les décode et commande en conséquence l'affichage sur l'écran de trois lettres indiquant le jour de la semaine. Pour accomplir cette tâche, cette unité 60 doit, bien entendu, savoir de quelle année il s'agit.
Cette information est alors donnée n'importe quand, en appuyant sur une touche spéciale Year 315 du clavier de commande, puis en composant le millésime en deux chiffres décimaux sur le clavier numérique.
Cette information sur l'année est valide jusqu'à une prochaine action de la touche Year. Cette touche a pour effet d'aiguiller les signaux du clavier vers une mémoire de l'unité de calendrier perpétuel pour lui permettre d'effectuer ses calculs. La date est alors entièrement déterminée, le buffer a reçu les signaux qui y correspondent et l'écran l'a affichée, avec indication du jour de la semaine.
L'utilisateur peut alors préciser l'objet du rendez-vous ou rubrique. Il frappe les lettres sur le clavier alphabétique 33 et les signaux codés sont enregistrés dans la deuxième-partie 111 du buffer de commande 110, en même temps qu'ils sont transférés vers l'unité de gestion de l'écran 50 qui les affiche. Puis, lorsque la rubrique est toute écrite (rappelons que dans l'exemple choisi elle n'excède pas douze caractères), l'utilisateur actionne une touche
Write 311 qui amorce le processus suivant.
L'unité de gestion de mémoire 150 pompe dans un buffer 120, parle bus 210, le contenu de la cellule dont l'adresse se trouve actuellement au registre d'adresses 160, quel qu'il soit. Elle teste Si cette cellule, 220, est inoccupée. Si ce n'est pas le cas, elle déplace le registre d'adresses d'une unité - disons vers le haut, c'està-dire vers les numéros d'adresses croissants - et recommence le test. Rappelons que lorsqu'on arrive au dernier numéro d'adresse (1023), le suivant sera alors le premier (0000).
Lorsqu'elle en trouve une inoccupée, elle fait décompter pas à pas le registre d'adresses et pompe les contenus successifs jusqu'à ce qu elle trouve une cellule non vide. Elle entame alors une routine de décalage qui peut se décomposer comme suit:
Elle fait un test sur la partie temps 122. Si celle-ci montre un nombre inférieur, c'est-à-dire un moment antérieur à celui contenu dans la partie 112 du buffer de commande qui contient le rendez-vous à enregistrer, le registre d'adresses 160 est alors décalé de un vers le bas, et le rendez-vous est inscrit dans la mémoire à la nouvelle adresse, puis l'unité de gestion met fin au cycle d'action qui consistait à écrire un rendez-vous.
Si le test échoue, le registre d'adresses 160 est décalé de un vers le haut et elle y inscrit le contenu que le bus vient de pomper de la cellule juste inférieure (celle-ci devient donc disponible pour le décalage ou l'inscription). Puis le registre d'adresses est décalé de deux vers le bas, et la routine de décalage recommence comme susdit.
Bien entendu, on peut prévoir des routines légèrement différentes. Toutefois on remarquera le principe particulier selon lequel l'adresse de la mémoire n'est pas la date, et cela est la principale différence entre l'agenda traditionnel et la machine informatique décrite. En effet, on pourrait comparer cette dernière plutôt à un fichier muni d'un dispositif de classement chronologique automatique à fiches en nombre constant ici (1024), mais effaçables et réutilisables à volonté, assurant ainsi une gestion beaucoup plus rationnelle que celle de l'agenda traditionnel.
Pour la lecture, le fonctionnement est relativement simple.
L'utilisateur donne les indications de temps, de la même manière que pour l'inscription. Puis il actionne la touche de commande
Read 312 qui déclenche un processus de consultation de la mémoire. Ce processus déplace le registre d'adresses 160 vers le bas, pas à pas, en testant les çontenus des cellules jusqu'à trouver une cellule remplie, Si la première ne l'était pas, puis en testant en 122 la partie temps des cellules, et en la comparant à la partie temps 112 de la question jusqu'à ce que le registre 160 pointe sur une cellule contenant un rendez-vous antérieur au moment faisant l'objet de la question. Puis c'est le contenu de la cellule suivante dans la mémoire, dont le moment est donc égal ou postérieur à celui de la question, qui est transféré et affiché.
Une réitération de la question, par action sur la touche spécifique du clavier de commande, a pour effet le transfert du contenu de la cellule suivante et son affichage.
On remarquera que l'on exploite ici le fait que les cellules contenant les rendez-vous se trouvent classées par ordre chronologique.
Pour le mode de fonctionnement de la recherche, on peut prévoir plusieurs possibilités. L'exemple suivant, simplifié, permettra d'en saisir le principe. L'utilisateur décrit une rubrique au moyen du clavier alphabétique 33, puis déclenche la recherche par action sur la touche de commande appropriée Search 313. L'unité de gestion de la mémoire fait descendre le registre d'adresses jusqu'à la cellule dont la partie temps est la plus petite, celle qui désigne donc un rendez-vous antérieur à tous les autres. Puis de là, elle avance pas à pas dans la mémoire en comparant, pour chaque cellule, la partie rubrique 121 au contenu correspondant 111 du buffer de commande, et affiche le contenu s'il y a égalité des contenus. L'action d'une touche appropriée fait continuer la recherche.
Bien entendu, on peut prévoir pour la recherche des modes de fonctionnement plus sophistiqués, mais il y aura toujours une comparaison entre un contenu de cellule et le contenu du buffer de commande, et l'affichage du contenu de cette cellule, lorsque le résultat de la comparaison montre une coïncidence au moins partielle.
La fig. 4 représente une autre forme de réalisation de l'agenda.
Il s'agit d'une version de table. On y distingue le clavier, dont la disposition est modifiée et l'écran, dont la capacité est plus importante, ce qui nécessite une touche spéciale Screen 351 pour vider l'écran, par exemple en vidant le buffer de l'écran 90.
Le clavier comporte essentiellement, comme dans l'autre modèle, une section commande, une section détermination du temps et une section alphabétique.
On remarque ici la disposition spéciale du clavier 32 de détermination du temps. ll comporte 12 touches telles que la touche 321, réparties autour de l'écran de la même manière que les 12 heures sur un cadran d'horloge. Et cette disposition est bien entendu adaptée à l'utilisation multiple de ces touches. On le comprendra mieux à l'aide du tableau suivant, qui donne les affectations des touches, à partir de la touche supérieure droite 320, et dans le sens des aiguilles d'une montre.
Mois Janvier Février Mars Avril Mai Juin
Nombre 1 2 3 4 5 6
Heure I Il III IV V VI
Minute +5 +10 +15 +20 +25 +30
Mois Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre
Nombre 7 8 9 - - 0
Heure VII VIII IX X XI XII
Minute +35 +40 +45 +50 +55 0 Exemple:
Désignons les touches par le chiffre romain. Si l'on veut frapper l'indication mars 18, 9 V2 h, on frappera successivement:
III = mars
I =1
VIII = 8
IX =9
VI = 30 mon
Il reste à spécifier s'il s'agit du matin ou du soir, à l'aide de l'une des touches AM, PM, 325, 326.
** ATTENTION ** start of DESC field can contain end of CLMS **.
CLAIMS
1. Computer machine for the acquisition and display of data, characterized in that it comprises a box provided on its surface with a control keyboard with key switches, the box also being provided with a device for display, this box comprising electronic circuits controlling the screen and controlled by the keyboard, these electronic circuits comprising a central control unit connected to the keyboard to receive information therefrom in the form of electrical signals determined by the actuation of the keys, a memory divided into at least one hundred cells, each cell comprising at least two parts, this memory being controlled by the central control unit, and a display device management unit, arranged to control the latter,
the central control unit comprising a buffer memory having at least two parts of respective capacities at least equal to the two parts of one of said memory cells, and a memory management unit comprising an address register, and arranged for carry out content transfers between the cell whose address is in the register and the central control unit, the central control unit being provided, for read operations, with means for selecting a cell as a function of the comparison between the respective contents of the first part of the buffer memory
with the content of the first part of a cell, and means for transferring to the screen management unit the content of the
second part of the cell selected by said selection means, and, for write operations,
means for writing the contents of the buffer memory into a cell, and means for classifying the cells according to the contents of their first parts.
2. Computer machine according to claim 1, characterized
in that the control keyboard comprises means for
order the search for a cell according to a content stored in the second part of the buffer memory, and in this
that the central control unit is arranged to search in memory for a cell whose second part has the same content which
said second part of the buffer memory, and to control the display, in the form of a date, of the content of the first part of this cell.
3. Computer machine according to claim 1, characterized in that the central control unit comprises a unit
arithmetic comprising means of comparison between, on the one hand, either the one or the other of the two parts of the buffer memory
and, on the other hand, the homologous part of the content of the cell whose address is in the address register, means for shifting the
address register.
The invention relates to a computer machine for acquiring and displaying data. Such a machine is intended in particular to assume the function of an agenda.
Keeping and updating a diary is extremely important for a certain category of people and the object of the present invention is to provide a diary which facilitates these tasks and solves certain problems.
One of the irritating problems that we encounter with classic agendas is that they have to be changed and postpone the appointments noted in the expired agenda for the first months of the new year, with all the risks involved in this postponement. .
In addition, the classic diaries are planned to go from January to December, with a limited place reserved for the first months of the following year, so that to really always have twelve months of diary in front of you, you would have to get hold of start of the year the agenda of the following year, because it may already be necessary to plan certain elements.
Another problem: a classic diary allows you to know what you will do at a particular time. But what if we try to remember when we planned to receive Mr. X.?
You have to leaf through the diary and, If you are not very calm you risk missing the page. Finally, what do we do if we cancel or move an appointment? You have to strike it out here and insert it there, and, as this happens quite often, you have to provide fairly large pages. He was also disappointed, because there are very busy days. This implies a waste of space, because all the pages will have the same dimension corresponding to the maximum capacity of a busy day.
Useful file management techniques are known in computer science, for example in the context of a large office.
Systems relating to the storage and display of deadlines are known, for example by the German applications DT N05 2252147 and 2117756 and by the British patent N0 1148856 (IBM).
But these systems are not yet really a convenient substitute for the agenda. In the journal U.S. Electronics, vol. 48 N0 7, April 3, 1975, p. 40, and in the book Electronic calculators by H. E. Robert, edited by Howards W., Sams & Co,
Indianapolis 1974, the idea of a pocket calculator serving as a diary is mentioned. Such an idea represents the statement of a problem, and it is the object of the invention to help solve this problem. The computer machine according to the present invention is defined in claim 1.
The invention will be described in more detail in the description which follows, made with reference to the drawing in which:
Fig. 1 represents an embodiment,
fig. 2 schematically represents the internal structure of the machine,
fig. 3 schematically represents the structure of the screen management unit,
fig. 4 shows a second embodiment.
Fig. I represents a first embodiment of the machine, as it appears to the user. This is a portable type version. There is essentially a screen and a keyboard comprising several parts, the whole forming a housing.
The keyboard as a whole has several sections.
First of all, a control keyboard 31 serving to determine what kind of operation is performed, in particular If an appointment is entered, If the diary is consulted for a given date or If, possibly, a search is made under section, that is to say If we want to know for when a given section (appointment, action to be performed) has been scheduled. One can attach to this section a key 318 arranged below, and serving as security, for certain operations seriously affecting the contents of the diary, that is to say in the first place the deletion.
Security consists in that, in order to command an erasure, it is necessary, at a given moment, to actuate the security key 318 and then, immediately thereafter, the appropriate control key, say the key 314, which is not contiguous to it.
Any other action is unable to produce the erasure. Of course, other locking modes can be provided, but this seems to be satisfactory. You can also impose this lock on other commands.
The control keyboard includes a Clear key 319 intended, when it is pressed once, to erase the determination of the item and, when it is pressed a second time, to erase the determination of the time, this in the buffer of command that we will see later, and not in memory. This key initializes an order that is given to the agenda.
Finally, let us mention the switch Il which puts the agenda in a state to receive orders. When triggered, the keyboard is mute and the screen is off, but the main memory does not lose its contents.
We then see a date keyboard 32 comprising 12 keys for selecting the month, 10 of which are used for selecting the date.
This keyboard is also used for determining the time and com
carries here, for this purpose, two keys AM, PM, 325, 326, arranged above for setting the time.
Finally, we see an alphabetic keyboard 33, comprising all the letters of the alphabet and a white key 330, for the specification of what will henceforth be called the heading and which, for each case, will include a number of characters limited to a value fixed, for example here: 12 characters.
Screen 2 is capable of displaying a few lines, for example two lines of twelve characters, numbers or letters.
This box 1 contains all the components necessary for operation. First, a battery pack. It can be a battery or a rechargeable battery. With the device, it is then possible to provide a charger unit powered by the mains, this unit providing power to the device as well as recharging the batteries.
The terminals and any compartment for one or more batteries must be accessible. For this purpose, a removable cover 13 has been provided giving access to these elements.
Fig. 2 schematically represents all the electronic circuits contained in the box, with the connections to the keyboards and to the screen, considered as peripherals.
It shows in particular the central control unit 100, the memory 200, the screen management unit 50 and the input interfaces 40, between the keyboards and the input of the central control unit.
For memory, as an example, here is what could be its capacity and management.
The capacity is 10K of 8 bits, allowing the registration of a thousand appointments. For each appointment, we therefore have 10 x 8 bits, forming a cell, divided into a numerical, or temporal part, and an alphabetic part, or heading. The digital part occupies 4 x 8 bits, which allows eight decimal digits, each defined as four bits. There is no alphanumeric bit because the assignment here is numeric.
These digits are the month number (2 digits), the date number (2 digits), the hour indication (2 digits), the minute, by fraction of 5 minutes (2 digits), i.e. 8 digits in total.
Let us add that the first bit of the first digit of the month is used for the parity of the year, which makes it possible to solve some problems of year carry forward, and that the first bit of the first digit of the hour is used for the AM distinction. / PM. This is possible because the first digit of the month or hour is 0 or 1, so the most significant bit is available.
It will be noted that this form lends itself to arithmetic comparison, one moment later than another being represented in memory by a larger binary number.
In memory, the cells containing the appointments are arranged so as to be contiguous, and ordered chronologically in a compact manner in a packet. To insert an appointment, shift one side of the package by one cell and write the appointment in the left hole.
The addresses are considered as arranged in a cycle, that is to say that a sequential scan upwards, in the vicinity of the vertex, counts as follows: ..., 1020, 1021, 1022, 1023, 0, 1, 2 ...: there is therefore no start of memory, but there is a start of packet.
This management is ensured by the central control unit.
This comprises, in the example given, a command buffer 110, a memory buffer, an arithmetic unit 130 capable of making comparisons on the basis of which the central unit makes a decision and the elements required to use the memory such as that, in particular, a memory management unit 150, an address register 160 and a memory bus 210 controlled by the address register and linked to it by line 151.
It is currently known how to supplement such indications so as to constitute a control unit capable of functioning, for example, by adding thereto, in the manner known for a microprocessor, ROMs comprising the essential programs.
This control unit is also provided with means for transferring data to the screen. These data are received by a screen management unit 50, which takes care of decoding and preparing these data. To this end, as shown in FIG. 3, the screen management unit comprises decoding units 52, 53 replacing the binary representations adapted to the main memory by other binary representations better adapted to the display, distinguishing, by their origin, the digits and letters.
This unit may optionally include a perpetual calendar 60 which provides the day of the week as a function of the month and the date; this information is also put in a form suitable for display.
The screen management unit finally includes the interface 80 proper. This interface receives the signals from units 52, 53 and possibly 60 and accordingly controls the screen so that it displays the corresponding signs.
In the portable model, the screen will generally be of small capacity: that just necessary to display the data supplied by the decoders 53, 52 and, optionally, 60, and which correspond to the content of a cell.
If the screen has a large capacity, memory is essential. If the screen itself does not have intrinsic memory, it is necessary to provide a buffer memory 90 having a capacity corresponding to that of the screen, scanned cyclically. It can be placed either before or after the level of decoders 52, 53, 60. If it is installed before, this memory 90 can consist of an extension of the main memory 200, an extension which would be under the control of the unit. management of the screen, which would include its memory management section, with an address register which could only address block 90.
For the user, the operation comprises several modes, in particular the registration mode, the reading mode, and possibly the search mode. We have already talked about the possibility of deleting part of the agenda. The user begins by giving time indications. First the month, by pressing the corresponding key on the keyboard 32. Under the effect of the contact closed by this key, the interface 40 sends coded information in the first part 112 of the command buffer 110.
At the same time, provision is made for this information to be transferred to the screen management unit 50, which transforms them so as to display three letters corresponding to the month in short. Then the user gives the date using the same keyboard 31, each of the first ten keys of which is assigned to a decimal digit. It also follows recording in the command buffer and display on the screen. Further, this can be provided to operate a perpetual calendar unit 60 which then calculates the day of the week and sends corresponding signals to the screen interface 80, which decodes them and accordingly controls the display on the screen. 'three letter screen indicating the day of the week. To accomplish this task, this unit 60 must, of course, know what year it is.
This information is then given at any time by pressing a special Year 315 key on the control keypad, then entering the year in two decimal digits on the numeric keypad.
This information on the year is valid until the next action of the Year key. This key has the effect of routing the keyboard signals to a memory of the perpetual calendar unit to enable it to perform its calculations. The date is then fully determined, the buffer has received the signals which correspond to it and the screen has displayed it, with indication of the day of the week.
The user can then specify the subject of the appointment or section. He types the letters on the alphabetical keyboard 33 and the coded signals are recorded in the second-part 111 of the control buffer 110, at the same time as they are transferred to the management unit of the screen 50 which displays them. Then, when the item is all written (remember that in the example chosen it does not exceed twelve characters), the user presses a key
Write 311 which initiates the following process.
The memory management unit 150 pumps into a buffer 120, by bus 210, the content of the cell whose address is currently in the address register 160, whatever it may be. It tests whether this cell, 220, is unoccupied. If not, it moves the address register by one - say up, that is, to increasing address numbers - and starts the test again. Remember that when we reach the last address number (1023), the next one will be the first (0000).
When it finds an unoccupied one, it counts down the address register step by step and pumps the successive contents until it finds a non empty cell. It then starts a shift routine which can be broken down as follows:
It makes a test on the time part 122. If this one shows a lower number, that is to say a time before that contained in the part 112 of the command buffer which contains the appointment to be recorded, the address register 160 is then shifted down by one, and the appointment is written into the memory at the new address, then the management unit ends the action cycle which consisted of writing an appointment .
If the test fails, the address register 160 is shifted upwards by one and it writes there the content that the bus has just pumped from the cell just below (this cell therefore becomes available for shifting or writing) . Then the address register is shifted down by two, and the shift routine begins again as above.
Of course, we can provide slightly different routines. However, we will notice the particular principle according to which the address of the memory is not the date, and this is the main difference between the traditional diary and the computer machine described. Indeed, we could compare the latter rather to a file provided with an automatic chronological filing device with constant number of files here (1024), but erasable and reusable at will, thus ensuring a much more rational management than that of the traditional agenda.
For reading, the operation is relatively simple.
The user gives the time information, in the same way as for registration. Then he presses the command key
Read 312 which triggers a memory lookup process. This process moves address register 160 down, step by step, testing the contents of the cells until a cell is found, if the first one was not, then testing the time portion of the cells at 122. , and comparing it to time portion 112 of the question until register 160 points to a cell containing an appointment prior to the time being questioned. Then it is the content of the next cell in the memory, the time of which is therefore equal to or later than that of the question, which is transferred and displayed.
Repeating the question, by pressing the specific key on the control keyboard, has the effect of transferring the content of the next cell and its display.
It will be noted that we exploit here the fact that the cells containing the appointments are classified in chronological order.
For the mode of operation of the search, one can provide several possibilities. The following example, simplified, will allow us to understand the principle. The user describes an item using the alphabetic keyboard 33, then initiates the search by pressing the appropriate Search command key 313. The memory management unit moves the address register down to the cell whose the time part is the smallest, the one which therefore designates an appointment prior to all the others. Then from there, it advances step by step in the memory by comparing, for each cell, the item section 121 with the corresponding content 111 of the command buffer, and displays the content if there is equality of the contents. The action of an appropriate key continues the search.
Of course, more sophisticated operating modes can be provided for the search, but there will always be a comparison between a cell content and the content of the command buffer, and the display of the content of this cell, when the result of the comparison shows at least partial coincidence.
Fig. 4 represents another embodiment of the diary.
This is a table version. We can distinguish the keyboard, the layout of which is modified, and the screen, whose capacity is greater, which requires a special Screen 351 key to empty the screen, for example by emptying the screen buffer 90.
The keyboard essentially comprises, as in the other model, a command section, a time determination section and an alphabetical section.
Note here the special arrangement of the keyboard 32 for determining the time. It has 12 keys such as key 321, distributed around the screen in the same way as the 12 hours on a clock face. And this arrangement is of course adapted to the multiple use of these keys. This will be better understood with the aid of the following table, which gives the assignments of the keys, starting from the upper right key 320, and in the direction of clockwise.
Month January February March April May June
Number 1 2 3 4 5 6
Time I II III IV V VI
Minute +5 +10 +15 +20 +25 +30
Month July August September October November December
Number 7 8 9 - - 0
Hour VII VIII IX X XI XII
Minute +35 +40 +45 +50 +55 0 Example:
Let us designate the keys by the Roman numeral. If we want to hit the indication March 18, 9 V2 h, we will hit successively:
III = March
I = 1
VIII = 8
IX = 9
VI = 30 my
It remains to specify whether it is morning or evening, using one of the keys AM, PM, 325, 326.