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Mécanisme autorisant le déclenchement quotidien d'une sonnerie de réveil pendant plusieurs jours consécutifs L'objet de la présente invention est un mécanisme autorisant le déclenchement quotidien d'une sonnerie de réveil pendant plusieurs jours consécutifs, par exemple toutes les 24 heures dans un réveil 8-jours.
Il a déjà été proposé de résoudre ce problème en faisant usage d'un mécanisme compteur rotatif, muni de dents, et dont le déplacement s'effectue pas à pas sous l'influence du mécanisme d'entraînement du marteau, ledit ensemble provoquant, après avoir effectué une rotation d'un angle prédéterminé, la remise d'un organe d'arrêt précédemment libéré en position de blocage du marteau. La durée de la fonction de réveil dépend alors du temps que met l'ensemble compteur à effectuer la rotation prédéterminée prescrite par construction, par exemple 20 ou 30 secondes, et ne peut être écourtée.
Or, il apparaît souvent désirable de pouvoir arrêter à volonté cette fonction, ce qui sous-entend la possibilité de remettre ensuite le tout à zéro.
La présente invention poursuit ce but et y parvient en faisant usage d'un ensemble compteur rotatif comportant une étoile déplacée pas à pas sous l'influence du mécanisme d'entraînement du marteau et ramenant un organe d'arrêt en position de blocage de ce dernier après avoir effectué une rotation d'un angle prédéterminé, fixant la durée maximale de la fonction de réveil, mais en prévoyant que les dents de l'étoile sont attaquées par l'extrémité d'une bielle à laquelle un mobile du mécanisme d'entraînement du marteau imprime un mouvement positif dans le seul sens actif d'entraînement de l'étoile,
tandis que son mouvement oscillant de retour s'ef- fectue sous la pression d'un organe élastique de rappel.
De cette manière la bielle, tout en provoquant l'entraînement de l'étoile, autorise une rotation indépendante de cette dernière apte, comme on va le voir, à en permettre la remise à zéro après interruption de la fonction de sonnerie.
Le dessin annexé représente une forme d'exécution de l'objet de l'invention, donnée à titre d'exemple.
La fig. 1 est une vue simplifiée du mécanisme d'entraînement du marteau.
Les fig. 2 et 3 montrent les principaux éléments du mécanisme selon la forme d'exécution décrite, à marteau de sonnerie bloqué, respectivement libéré.
La fig. 4 est une vue partielle semblable se rapportant à une position intermédiaire des organes précités.
Les fig. 5 à 8 servent à expliquer l'action du déclencheur sur l'organe d'arrêt du marteau de sonnerie.
La fig. 9 est, une vue semblable à celle de la fig. 3, mais avec un mécanisme permettant d'interrompre en tout temps le fonctionnement de la sonnerie déclenchée.
Le mécanisme de sonnerie d'un type courant, que rappelle la fig. 1, comporte un barillet de sonnerie 1, un rouage intermédiaire 2 et la roue d'ancre 3, agissant sur l'ancre 4 du marteau 5, lui-même pivoté en 6.
Sur ces organes sont disposées deux goupilles constituant leur seule liaison avec le mécanisme de déclenchement et de répétition de réveil proprement
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dit : la goupille 7 d'arrêt du marteau et la goupille excentrique 8, tournant avec le rouage intermédiaire 2. Ces deux goupilles se retrouvent aux fig. 2, 3 et 9, la goupille 7, à la fig. 4.
La fig. 1 indique aussi les sens de rotation des mobiles représentés et il est entendu que, par rapport aux fig. 2 à 4 et 9, elle se place dans un plan situé au-dessous de ces dernières, soit au-dessous du plan du dessin.
La fig. 2 montre que la goupille de marteau 7 coopère avec une came d'arrêt 9 oscillant autour de 10 et qui, dans la position représentée, bloque le marteau, contrairement à ce que montre la fig. 3, où la came d'arrêt laisse libre jeu à la goupille de marteau 7 et par conséquent aussi à ce dernier.
La fig. 2 montre aussi comment la goupille excentrique 8 pénètre dans la fente 11 légèrement incurvée, d'une bielle 12, pivotée en 13, mais par l'intermédiaire d'un trou long 14 en autorisant le mouvement de va-et-vient indispensable.
Admettant, en effet, que la goupille excentrique 8 tourne dans le sens de la flèche 15 et prenne toujours appui dans l'extrémité de la fente 11 où elle est représentée (ceci par suite de la pression de rappel exercée par le ressort 16), on voit que la pièce 12 décrira effectivement un mouvement de bielle, tel que son nez 17 pousse une à une les dents de l'étoile 18, servant comme on le verra le compteur et dite étoile d'arrêt, qui est ainsi mise en rotation pas à pas et amenée à des positions d'immobilisation successives déterminées par son sautoir 19.
Le mécanisme représenté sera entièrement décrit et son fonctionnement facile à saisir en précisant que la came d'arrêt 9, outre son bras 9' coopérant avec la goupille d'arrêt du marteau, présente un bec 9" coopérant avec les dents de l'étoile d'arrêt 18 et un verrou 20 coopérant avec le déclencheur non représenté aux fig. 2 et 3 et dont le fonctionnement détaillé sera expliqué plus bas. Disons enfin que l'étoile 18 a neuf dents, dont trois angulairement équidistantes sont un peu plus longues que les autres.
La fig. 2 représente le mécanisme au repos, c'est-à-dire à marteau bloqué par la came d'arrêt 9, dont le bras 9' en retient la goupille 7 par son extrémité recourbée en L. Le bec 9" de la came d'arrêt vient d'échapper à la dent longue 21 de l'étoile d'arrêt 18.
Cette position de la came d'arrêt 9, soumise en réalité à l'action d'un ressort 22 tendant à la faire tourner dans le sens des aiguilles d'une montre par rapport au dessin, est fixée par la coopération du déclencheur non représenté et du verrou 20 de cette came, de la faon décrite plus bas.
Au moment du déclenchement de la sonnerie, ledit déclencheur libère le verrou 20, la came d'arrêt 9 oscille dans la position représentée à la fig. 3 et libère la goupille du marteau de sonnerie 7. Celui-ci se met à osciller, tandis que les mobiles qui l'entraînent tournent, en particulier le rouage intermédiaire 2 portant la goupille excentrique 8. La rotation de cette dernière met en mouvement la bielle 12 qui, guidée et effectuant un mouvement coulissant de va-et-vient par rapport au pivot 13, fait faire à son nez 17 un mouvement de rotation de sens antihoraire par rapport au dessin.
A chaque passage du nez dans le profil de l'étoile 18, il bute contre une dent, l'entraîne, et fait ainsi tourner ladite étoile d'une quantité suffisante pour qu'en collaboration avec le sautoir 19 elle avance d'un pas (ici d'un neuvième de tour ou 40 ).
A la fig. 3 la dent longue précédemment désignée par 21 a avancé jusqu'au sautoir du fait que la dent longue se trouvant sous le nez 17 à la fig. 2 et la petite dent suivante ont déjà été ainsi déplacées et que le nez 17 est sur le point de repousser la seconde petite dent 23, sur laquelle on le voit justement à l'appui. La dent longue 24, faisant suite à la dent longue 21 et aux deux petites dents se trouvant entre elles, occupe ainsi une position directement derrière le bec 9" de la came d'arrêt 9 déplacée.
A remarquer que si ce bec 9" autorise dans toutes les positions le passage des petites dents de l'étoile il peut par contre pénétrer dans la trajectoire des dents longues, ce qui est ici le cas, en sorte que la dent 24 va le rencontrer.
La fig. 4 illustre cette rencontre, qui se produit après un comptage de trois dents et quia pour effet de faire basculer la came d'arrêt 9 en position de blocage de la goupille 7 du marteau de sonnerie et d'arrêter cette dernière.
Le résultat obtenu par cette disposition est qu'à partir de l'instant du déclenchement et jusqu'au moment du blocage il s'écoule l'espace de temps nécessaire audit comptage ou transport de trois dents d'étoile par la bielle 12, soit par exemple un temps de l'ordre de grandeur de dix secondes. A chaque déclenchement il y aura donc sonnerie de la durée précitée, puis arrêt de la sonnerie.
Il est toutefois connu que les déclencheurs des sonneries de réveil, s'ils se déclenchent instantanément sous l'influence par exemple d'une roue d'heures et d'une mise à l'heure correspondante, ne reviennent qu'au bout d'un certain temps à leur position de repos. Ainsi, le déclencheur agissant sur le verrou 20 ne sera pas encore retourné à sa position de repos au moment de l'interruption de la fonction de sonnerie. C'est pourquoi le nez de la came d'arrêt 9 se trouve (en fig. 4) encore retenir la dent longue 24 par son extrême pointe, tandis que le sautoir 19 n'est pas au repos non plus. C'est comme on va le voir, le déclencheur qui maintient momentanément la came d'arrêt 9 dans cette position.
Les fia. 5 à 8 expliquent ce qui se passe.
En 20, on retrouve le verrou, dessiné à une échelle très agrandie avec une partie de la came d'arrêt 9, son pivot 10 et son ressort 22, cherchant à la faire tourner dans le sens de la flèche.
Le déclencheur se termine par un cadre 26, coiffant le verrou 20 et susceptible d'effectuer un mou-
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vement de translation perpendiculairement au plan du dessin. En position de verrouillage ou d'immobilisation de la sonnerie, il sera abaissé en direction du plan du dessin, en position de déclenchement ou de fonctionnement de la sonnerie, il sera au contraire soulevé en avant du plan du dessin.
Les coupes des fig. 6 à 8, menées par A-B de la fig. 5 expliquent ce qui se passe.
Le verrou 20, qui se dresse sur l'extrémité d'un bras de la came d'arrêt 9 et traverse le cadre 26, est profilé en escalier présentant deux étages latéralement décalés l'un par rapport à l'autre.
La fig. 6 correspond à la position de verrouillage de la fig. 2. Le cadre 26 abaissé retient la partie inférieure 20' du verrou, que le ressort 22 de la came d'arrêt 9 cherche constamment à déplacer en direction de la flèche 27.
En examinant et comparant les fig. 2 et 3, on voit que le verrou 20 doit se déplacer en direction de cette flèche 27 pour que la came 9 libère la goupille de marteau 7.
La fig. 7 montre que cela est rendu possible en soulevant le cadre 26, qui vient alors buter contre le second étage 20" du verrou en profil d'escalier. C'est la position de la fig. 3 contrairement à la position de la fig. 2 à laquelle correspond la fig. 6.
Ainsi donc se produit le déverrouillage, la libération du marteau de sonnerie et la mise en action de cette dernière.
Comme il a été spécifié plus haut, la fonction de déclenchement du déclencheur est instantanée, mais son retour à la position de départ ne s'effectue qu'après un laps de temps plus ou moins long, en particulier plus long que la durée de fonctionnement de la sonnerie, en sorte que la came d'arrêt 9 doit pouvoir retourner à la position de verrouillage avant que le déclencheur ne soit redescendu de la position de la fig. 7 à celle de la fig. 6.
On a vu que le blocage du marteau se produit tout d'abord en position intermédiaire de la came d'arrêt retenant encore une dent longue de l'étoile 18 (fig. 4). La fig. 8 explique cette position, fixée par la rencontre de l'étage supérieur de l'escalier du verrou 20 par son bord opposé à 20" avec le cadre 26 encore soulevé. Le retour à la position de verrouillage proprement dit de la fig. 2 se produit au moment où le cadre 26 redescend, donc par exemple à un moment quelconque suivant la fonction de sonnerie du réveil.
Le verrou 20 se trouvant alors libéré, la dent 24 pousse le nez 9" et lui échappe, après quoi, le ressort de came 22 étant libre d'entrer en action, le verrou 20 est ramené à la position de la fig. 6, c'est-à-dire à la position de repos de l'ensemble du mécanisme selon la fig. 2,> La fig. 9 montre un ensemble du mécanisme décrit dans lequel apparaît le déclencheur avec son, cadre 26, ainsi que la roue des heures et de déclenchement 27 coopérant avec un mobile non représenté n'effectuant un tour qu'en 24 heures. Sur cette figure apparaît un dispositif auxiliaire permettant d'arrêter à volonté la sonnerie avant que le comptage des dents de l'étoile d'arrêt soit terminé.
Ce dispositif n'est rien d'autre qu'une remise à zéro.
A cet effet, l'étoile d'arrêt 18 porte trois goupilles 28 angulairement également réparties et correspondant à la division en trois par les dents longues. Deux bascules 29 et 30 permettent d'agir sur ces goupilles en ce sens qu'en appuyant en 31 sur la bascule 29 on amène le bras coudé 30' de la bascule 30 à repousser celle des goupilles 28 se trouvant en face de lui et à faire tourner l'étoile 18 jusque dans la position de la fig. 4 d'où, après retour du déclencheur à sa position de départ, elle reprendra elle-même sa position de repos.
Pendant cette rotation imposée de l'étoile, la bielle 12 échappe aux dents grâce à sa fente 11 qui lui laisse toute liberté d'osciller.
II est évident que le mécanisme décrit pourrait aussi être complété par un dispositif d'arrêtage courant, permettant de bloquer la sonnerie lorsqu'on ne désire pas qu'elle fonctionne.
Il est évident aussi que la division en trois de l'étoile d'arrêt jouant le rôle d'organe compteur et le nombre de dents intermédiaires pourraient présenter d'autre valeurs, de même que la bielle 12 pourrait être actionnée par un autre mobile qu'un mobile intermédiaire du mécanisme de sonnerie, mais cinématiquement lié à ce dernier.
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Mechanism authorizing the daily triggering of an alarm clock for several consecutive days The object of the present invention is a mechanism allowing the daily triggering of an alarm clock for several consecutive days, for example every 24 hours in an alarm clock 8 -days.
It has already been proposed to solve this problem by making use of a rotary counter mechanism, provided with teeth, and the displacement of which takes place step by step under the influence of the hammer drive mechanism, said assembly causing, after have made a rotation of a predetermined angle, the return of a stopper previously released in the hammer locking position. The duration of the wake-up function then depends on the time taken by the counter assembly to perform the predetermined rotation prescribed by construction, for example 20 or 30 seconds, and cannot be shortened.
However, it often appears desirable to be able to stop this function at will, which implies the possibility of then resetting everything to zero.
The present invention pursues this object and achieves it by making use of a rotary counter assembly comprising a star moved step by step under the influence of the driving mechanism of the hammer and returning a stop member to the locking position of the latter. after having made a rotation of a predetermined angle, fixing the maximum duration of the alarm function, but by providing that the teeth of the star are attacked by the end of a connecting rod to which a mobile of the driving mechanism of the hammer prints a positive movement in the only active direction of the star's drive,
while its oscillating return movement takes place under the pressure of an elastic return member.
In this way, the connecting rod, while causing the star to be driven, allows independent rotation of the latter capable, as will be seen, of allowing it to be reset after interrupting the ringing function.
The appended drawing represents an embodiment of the object of the invention, given by way of example.
Fig. 1 is a simplified view of the hammer drive mechanism.
Figs. 2 and 3 show the main elements of the mechanism according to the embodiment described, with the striking hammer blocked, respectively released.
Fig. 4 is a similar partial view relating to an intermediate position of the aforementioned members.
Figs. 5 to 8 are used to explain the action of the trigger on the stopping device of the striking hammer.
Fig. 9 is a view similar to that of FIG. 3, but with a mechanism allowing the operation of the triggered bell to be interrupted at any time.
The striking mechanism of a common type, recalled in FIG. 1, comprises a striking barrel 1, an intermediate gear 2 and the anchor wheel 3, acting on the anchor 4 of the hammer 5, itself pivoted at 6.
On these components are arranged two pins constituting their only connection with the trigger mechanism and repeating the wake-up properly.
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said: the hammer stop pin 7 and the eccentric pin 8, rotating with the intermediate gear 2. These two pins are found in fig. 2, 3 and 9, the pin 7, in fig. 4.
Fig. 1 also indicates the directions of rotation of the moving parts shown and it is understood that, with respect to FIGS. 2 to 4 and 9, it is placed in a plane located below them, that is to say below the plane of the drawing.
Fig. 2 shows that the hammer pin 7 cooperates with a stop cam 9 oscillating around 10 and which, in the position shown, blocks the hammer, contrary to what FIG. 3, where the stop cam gives free play to the hammer pin 7 and therefore also to the latter.
Fig. 2 also shows how the eccentric pin 8 enters the slightly curved slot 11 of a connecting rod 12, pivoted at 13, but via a long hole 14 allowing the essential back and forth movement.
Admitting, in fact, that the eccentric pin 8 rotates in the direction of arrow 15 and always bears in the end of the slot 11 where it is shown (this as a result of the return pressure exerted by the spring 16), we see that the part 12 will indeed describe a connecting rod movement, such that its nose 17 pushes the teeth of star 18 one by one, serving as we will see the counter and said stop star, which is thus rotated step by step and brought to successive immobilization positions determined by its jumper 19.
The mechanism shown will be fully described and its operation easy to understand, specifying that the stop cam 9, in addition to its arm 9 'cooperating with the hammer stop pin, has a nose 9 "cooperating with the teeth of the star. stop 18 and a latch 20 cooperating with the trigger not shown in Figs. 2 and 3 and whose detailed operation will be explained below. Finally, let us say that the star 18 has nine teeth, three of which are angularly equidistant and are a little longer. than the others.
Fig. 2 shows the mechanism at rest, that is to say with a hammer blocked by the stop cam 9, the arm 9 'of which retains the pin 7 by its end bent in L. The spout 9 "of the cam d he stop has just escaped the long tooth 21 of the stop star 18.
This position of the stop cam 9, in reality subjected to the action of a spring 22 tending to make it rotate clockwise with respect to the drawing, is fixed by the cooperation of the trigger not shown. and the latch 20 of this cam, as described below.
When the alarm is triggered, said trigger releases the lock 20, the stop cam 9 oscillates in the position shown in FIG. 3 and releases the pin of the striking hammer 7. The latter begins to oscillate, while the moving parts which drive it rotate, in particular the intermediate gear 2 carrying the eccentric pin 8. The latter's rotation sets the wheel in motion. connecting rod 12 which, guided and performing a reciprocating sliding movement relative to pivot 13, causes its nose 17 to make a counterclockwise rotation movement relative to the drawing.
Each time the nose passes through the profile of star 18, it hits a tooth, drives it, and thus causes said star to rotate by a sufficient quantity so that in collaboration with jumper 19 it advances by one step (here by a ninth of a turn or 40).
In fig. 3 the long tooth previously designated by 21 has advanced to the jumper because the long tooth located under the nose 17 in FIG. 2 and the next small tooth have already been moved in this way and the nose 17 is about to push back the second small tooth 23, on which it can be seen just resting. The long tooth 24, following on from the long tooth 21 and the two small teeth located between them, thus occupies a position directly behind the nose 9 "of the displaced stop cam 9.
Note that if this beak 9 "allows in all positions the passage of the small teeth of the star, it can on the other hand enter the trajectory of the long teeth, which is the case here, so that tooth 24 will meet it. .
Fig. 4 illustrates this encounter, which occurs after a count of three teeth and which has the effect of tilting the stop cam 9 in the locking position of the pin 7 of the striking hammer and to stop the latter.
The result obtained by this arrangement is that from the moment of triggering and until the moment of blocking, the space of time necessary for said counting or transport of three star teeth by the connecting rod 12, i.e. for example a time of the order of magnitude of ten seconds. On each triggering there will therefore be ringing for the aforementioned duration, then the ringing will stop.
However, it is known that the triggers for alarm bells, if they are triggered instantly under the influence for example of an hour wheel and a corresponding time setting, do not return until after some time in their resting position. Thus, the trigger acting on the latch 20 will not yet be returned to its rest position when the ringing function is interrupted. This is why the nose of the stop cam 9 is (in fig. 4) still retaining the long tooth 24 by its extreme point, while the jumper 19 is not at rest either. As we will see, the trigger which momentarily maintains the stop cam 9 in this position.
The fia. 5 to 8 explain what is happening.
At 20, we find the lock, drawn on a very enlarged scale with part of the stop cam 9, its pivot 10 and its spring 22, seeking to make it rotate in the direction of the arrow.
The trigger ends with a frame 26, covering the latch 20 and capable of performing a movement.
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translational event perpendicular to the drawing plane. In the locking or immobilizing position of the bell, it will be lowered in the direction of the drawing plane, in the triggering or operating position of the bell, it will on the contrary be raised in front of the drawing plane.
The sections in fig. 6 to 8, led by A-B of fig. 5 explain what is happening.
The latch 20, which stands on the end of an arm of the stop cam 9 and passes through the frame 26, is stepped profile having two stages laterally offset with respect to one another.
Fig. 6 corresponds to the locking position of FIG. 2. The lowered frame 26 retains the lower part 20 'of the latch, which the spring 22 of the stop cam 9 constantly seeks to move in the direction of the arrow 27.
By examining and comparing Figs. 2 and 3, it can be seen that the latch 20 must move in the direction of this arrow 27 for the cam 9 to release the hammer pin 7.
Fig. 7 shows that this is made possible by lifting the frame 26, which then abuts against the second stage 20 "of the lock in the staircase profile. This is the position of Fig. 3 unlike the position of Fig. 2 to which Fig. 6 corresponds.
Thus occurs the unlocking, the release of the striking hammer and the actuation of the latter.
As specified above, the trigger function is instantaneous, but its return to the starting position is only carried out after a longer or shorter period of time, in particular longer than the operating time. of the buzzer, so that the stop cam 9 must be able to return to the locked position before the trigger is lowered from the position of FIG. 7 to that of FIG. 6.
We have seen that the locking of the hammer occurs first of all in the intermediate position of the stop cam still retaining a long tooth of star 18 (fig. 4). Fig. 8 explains this position, fixed by the meeting of the upper level of the staircase of the lock 20 by its opposite edge at 20 "with the frame 26 still raised. The return to the actual locking position of fig. 2 is produced when the frame 26 comes down again, so for example at any time following the ringing function of the alarm clock.
The latch 20 then being released, the tooth 24 pushes the nose 9 "and escapes it, after which, the cam spring 22 being free to come into action, the latch 20 is returned to the position of FIG. 6, that is to say in the rest position of the assembly of the mechanism according to fig. 2,> Fig. 9 shows a set of the described mechanism in which appears the trigger with its, frame 26, as well as the wheel hours and tripping 27 cooperating with a mobile, not shown, only performing one revolution for 24 hours In this figure, an auxiliary device is shown making it possible to stop the chime at will before counting the teeth of the star of shutdown is complete.
This device is nothing more than a reset.
For this purpose, the stop star 18 carries three angularly distributed pins 28 corresponding to the division into three by the long teeth. Two rockers 29 and 30 make it possible to act on these pins in the sense that by pressing at 31 on the rocker 29 one brings the bent arm 30 'of the rocker 30 to push back that of the pins 28 located in front of it and to rotate the star 18 to the position of fig. 4 from where, after returning the trigger to its starting position, it will itself resume its rest position.
During this imposed rotation of the star, the connecting rod 12 escapes the teeth thanks to its slot 11 which gives it complete freedom to oscillate.
It is obvious that the mechanism described could also be supplemented by a current stopping device, making it possible to block the bell when it is not desired to operate.
It is also evident that the division into three of the stop star playing the role of a counter member and the number of intermediate teeth could present other values, just as the connecting rod 12 could be actuated by another moving body. 'an intermediate mobile of the striking mechanism, but kinematically linked to the latter.