CH354269A - Lentille optique - Google Patents

Lentille optique

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CH354269A
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Bach Guy
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Saint Gobain
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    • GPHYSICS
    • G02OPTICS
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    • G02B3/04Simple or compound lenses with non-spherical faces with continuous faces that are rotationally symmetrical but deviate from a true sphere, e.g. so called "aspheric" lenses

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Description


  Lentille optique    La présente invention a     pour    objet une lentille  optique utilisable notamment en lunetterie.  



  On sait que les sujets atteints de presbytie qui ne  veulent pas utiliser plusieurs verres de lunettes pour  voir de loin et de     près,    ont     recours    à des verres spé  ciaux présentant des zones de puissances différentes.  Le nombre de ces zones est généralement limité à  deux ou trois et les verres sont alors appelés doubles  foyers et triples foyers. Dans de tels verres, il y a  discontinuité de puissance au passage de l'une à  l'autre de ces zones,     ce    qui présente un     inconvénient     évident pour les sujets utilisant de tels verres.  



  On a déjà proposé des procédés pour fabriquer  des verres possédant une infinité de foyers et dans  lesquels la variation de puissance est continue ; mais,  dans les verres fabriqués selon ces     procédés,    l'une au  moins des     surfaces    ne possède pas la symétrie de  révolution, ce qui, comme on le sait, complique la  fabrication.  



  L'invention     vise    à remédier à ces inconvénients  et la lentille qu'elle comprend est limitée par des  dioptres de révolution dont l'un au moins est consti  tué par une     surface        ayant    une     méridienne    dont la  courbure varie d'une façon continue, ce dioptre pré  sentant au moins dans une région de sa     surface    un  astigmatique constant, tel qu'en tout point de ladite  région, les rayons de     courbure    R et R', évalués en  mètres respectivement suivant le plan méridien et le  plan passant par la normale et perpendiculaire au  plan méridien, sont différents et satisfont sensible  ment à la relation :

    
EMI0001.0014  
   = constante = K dioptries (1)  n étant l'indice de réfraction de la matière constitu  tive de la lentille.  



  Dans la pratique, cette constance de l'astigma  tisme peut n'être qu'approchée, c'est-à-dire qu'il suf-    fit que la relation ci-dessus soit satisfaite avec la tolé  rance usuelle admise pour les besoins de l'application  envisagée, par exemple 1/4 de dioptrie s'il s'agit de la  lunetterie.  



  Le dessin illustre, à titre d'exemples, des formes  d'exécution de la lentille selon l'invention.  



  Les fig. 1 et 2 illustrent deux constructions géo  métriques permettant de déterminer une caractéristi  que principale desdites formes d'exécution.  



  La fig. 3 représente une courbe méridienne.  La     fig.    4 est une vue de     face    d'une     lentille.     



  Les     fig.    5 et 6 sont des vues en perspective des  deux formes d'exécution de la lentille.  



  On a représenté à la     fig.    1 une     courbe        plàne    C  continue et de     courbure    variable, deux     points    Mi et       M2    sur     cette        courbe,        N1    et     N2    les normales à la  courbe en     ces    points.     Soit    également 01 et O. les  centres de courbure de la     courbe    C en Mi et     M2     respectivement.

   A un point     O'1    choisi     arbitrairement     sur la     normale    Ni     correspond    un point     O'2    situé sur  la normale     N2    tel que la relation suivante soit satis  faite .  
EMI0001.0039     
    n étant     l'indice    de     réfraction    de la matière constituant  la lentille. La valeur     commune    des deux membres  de     cette    relation dépend du     choix    du point     O'1.    Dési  gnons par K cette valeur     commune.     



  Si l'on considère maintenant la normale     N3    à la  courbe C au point Ms, il est évident     qu'il    existe sur  cette normale un point Os qui est le     centre    de cour  bure de la     courbe    C et un     point        O's    tel que la rela-         tion     
EMI0001.0054     
    soit     encore        rigoureusement        vérifiée.         La titulaire a trouvé que, en général, ce point  O'3 n'est pas situé sur la droite O'1 O'2 mais que l'on  peut, après quelques essais avec différents points O'1  arbitrairement choisis, c'est-à-dire avec différentes  valeurs arbitraires de K,

   faire en sorte que le point  d'intersection I de la normale N3 avec la droite  O'1 O'2 soit situé assez près du point O'3 pour que  la relation (3) soit encore vérifiée au moins dans les  limites de l'approximation admise pour l'application  envisagée, quand on remplace     dans        cette    relation le  point O'3 par le point d'intersection I.  



  La surface cherchée est alors engendrée par la  rotation de la courbe C autour de la droite O'1 O'2  comme axe de révolution et représentant le lieu des  centres de courbure O' défini par les rayons de cour  bure R' qu'on déduit de la formule (1).  



  Il est à noter que l'on peut choisir tout à fait arbi  trairement la valeur de K étant donné que     cette    cons  tante représente l'astigmatisme du premier dioptre et  que cet     astigmatisme    sera compensé soit par celui du  second dioptre, soit     par        celui    du     second    dioptre con  curremment avec celui de l'oeil. Toutefois, dans la  pratique, il n'y a pas intérêt à choisir une valeur-de  K trop élevée. L'ordre de grandeur de la valeur de K  ne dépasse pas en général deux à trois dioptries, en  valeur absolue.  



  La surface ainsi obtenue peut être utilisée entre       certaines        limites    qui     correspondent    sur la     courbe    C  à deux points A et B qui ne sont pas nécessairement  les     points    extrêmes tels que Ml et     M2    ayant servi à  la construction ci-dessus. Au contraire, il y a en  général intérêt à effectuer     comme    ci-dessus la déter  mination de l'axe     O'1        O'2    à partir de normales en des  points de la courbe C situés à l'intérieur de l'arc AB.

    Dans ces     conditions,    en     effet,    la relation (2) pourra  se trouver plus rigoureusement vérifiée dans la région       centrale    du système optique qui, pour un verre de  lunette, est en général plus utilisée que les bords.  



  Il doit être entendu que le dioptre     défini        ci-          dessus,    dont la     méridienne    est à     courbure    variable,  peut être     indifféremment    convexe ou concave.  



  On peut choisir le second     dioptre    à lui associer  en vue d'obtenir une     lentille    d'astigmatisme     d6ter-          miné,    éventuellement nul,     ce    second dioptre étant, de  préférence, également d'astigmatisme constant.  



  On peut en     particulier    prendre pour second diop  tre une portion de tore symétrique par rapport au  plan     équatorial    du tore,     surface        particulièrement     facile à réaliser, et qui,     comme    l'on     sait,    est d'astig  matisme sensiblement     constant.     



  Dans le cas de l'optique     médicale,    le second  dioptre pourra être     choisi        comme    il va être expliqué  ci-après.  



  S'il s'agit de     corriger    en     particulier    la presbytie,  à l'exclusion d'un astigmatisme     cristallinien    ou cor  néen, on associe au premier dioptre défini ci-dessus  un     second    dioptre d'astigmatisme constant     constitué     par une     surface    de révolution, l'astigmatisme de ce  dioptre     étant    choisi égal à -K.

      S'il s'agit     de    corriger en plus de la presbytie un  astigmatisme     cornéen    ou     cristallinien,    on associe au  premier dioptre un second dioptre     d'astigmatisme          constant        constitué    par une     surface    de révolution, ce  dioptre     résultant    de la composition de façon connue  de deux dioptres d'astigmatisme constant, dont l'un  est d'astigmatisme égal à -K et l'autre d'astigmatisme  égal et opposé à     celui    de     l'oeil.     



  On voit ainsi que la première lentille dont il a  été question ci-dessus est une     lentille    non astigmate,  étant donné que     l'astigmatisme    du premier dioptre  est annulé par     celui    du second.  



  Au     contraire,    la deuxième     lentille    est une lentille  astigmate, mais     cela        précisément    dans la mesure où  elle permet de     corriger    l'astigmatisme de     1'#i1.     



  On     pourrait    aussi se donner à priori la valeur de  K et déterminer par tâtonnement une     courbe    C dont  le rayon de     courbure    R varie d'une façon continue et  qui peut engendrer par rotation autour d'un axe un  dioptre d'astigmatisme constant K.  



  Pour déterminer     une    telle courbe, on adopte, à  titre d'essai, pour ses différents points des valeurs de  R qu'on porte dans la formule (1), ainsi que la valeur  de K choisie à priori, et l'on déduit de la formule (1)  les valeurs de R' et la position des     centres    de cour  bure O'     correspondant    à R'.  



  En définitive, on choisit pour méridienne celle  des     courbes    C pour     laquelle    les centres O' ainsi déter  minés sont sensiblement en ligne droite et dont la  loi de     variation    de     courbure        convient    pour l'utilisa  tion envisagée.  



  La     fig.    2 illustre comment on parvient à     ce    résul  tat. Il est     rappelé    tout     d'abord    que la puissance D  en un point M est liée au rayon R par la formule  
EMI0002.0082     
    A une     puissance    D envisagée pour un point M de la  méridienne correspond donc un rayon de cour  bure R.  



  Pour simplifier les constructions géométriques et  les calculs, on constitue la méridienne par la juxta  position d'arcs de développantes de     cercles,    deux  arcs     consécutifs,    tels que M1 M2 et M2 M3, se rac  cordant au     point    M2 de telle manière que, en ce  point M2, les normales aux deux     arcs    soient con  fondues.  



  On commence la détermination de la méridienne  en se donnant arbitrairement tous les éléments cons  titutifs d'un arc de développante de     cercle,    tel que  M1 M2.  



  On se donne donc les deux points Ml et M., avec  les rayons de     courbure        correspondants        R,        R.,        ainsi     que l'angle al qu'ils font entre eux       L'arc    Mi     M2    étant une développante de     cercle    de  centre Cl et de rayon Pl , on a la relation  <B>01</B> Pl = O, Ml - Oz     M2         La longueur du rayon R'1= O'1 Ml se déduit  de celle du rayon O1 Ml = RI par application de  la formule (1)  
EMI0003.0001     
    De même,

   la longueur du rayon R'2 = O'2M2  se déduit de celle du rayon R2 = O2M2 par la for  mule  
EMI0003.0002     
    L'axe de révolution     est    alors défini par les points  O'1 et O'2.  



  On se donne ensuite le rayon de courbure  R3 = O3M3 de la méridienne en M3.  



  On prend arbitrairement un rayon P2 = O2C2  sur O2C1, ce qui définit un angle     #2,    car on a  P2     #2    = O2 M2 - O3 M3  On met alors en place le segment 03 M3 . On en  déduit la position du point O'3 par la relation  
EMI0003.0006     
    Mais le point O'3 ne se place pas nécessairement  sur l'axe.  



  Par des essais répétés, on cherche une valeur de  P2 qui permette, tout en mettant en place le segment  O3M3, de situer le point O'3 sur l'axe.  



  On procède de la même façon pour les segments  suivants.  



  Le     lieu    des     points    M constitue une méridienne C  qui, par révolution autour de l'axe, engendre une  surface d'astigmatisme pratiquement constant K en  tous ses points.  



  Pour d'autres valeurs des puissances D1 D2  D3 ...., c'est-à-dire des rayons de courbure R1 R2  R3 .... et en choisissant les angles     #a,,        #2    relatifs à  des normales à C en M1 M2 M3 ......, on obtient,  pour une même valeur de K, une autre courbe C,  et l'on choisit parmi les     courbes    C obtenues celle qui  convient le mieux pour la correction visée.  



  On a assimilé les arcs M1M2, M2M3, etc., à  des développantes de     cercles    pour des raisons de sim  plification. On aurait pu les identifier à des     déve-          loppantes    de courbes quelconques.  



  On peut encore tenir compte, pour la détermina  tion des courbes C, de la valeur de l'astigmatisme dû  à l'obliquité des rayons lumineux utilisés par l'oeil et  laisser subsister des résidus d'astigmatisme de surface  pour compenser l'astigmatisme en vision oblique.  



  La fig. 3 représente une méridienne C obtenue  par la construction ci-dessus décrite pour un astig  matisme constant K = 3 dioptries et un indice de  réfraction n = 1,523 . La rotation de la méridienne  C autour de l'axe OX engendre un dioptre d'astig  matisme     constant    dont la puissance dans le plan  méridien varie d'une façon continue.  



  On donne ci-après les coordonnées cartésiennes  par rapport à l'axe de rotation OX et un axe perpen  diculaire OY, des points de différentes puissances de    la méridienne, ainsi que les écarts d'astigmatisme en  ces points par rapport à la valeur K = 3 .  
EMI0003.0016     
  
    Ecart
<tb>  par <SEP> rapport <SEP> à <SEP> K
<tb>  Puissance <SEP> X <SEP> (mm) <SEP> y <SEP> (mm) <SEP> (dioptries)
<tb>  8,00 <SEP> 20,413 <SEP> 47,268 <SEP> +0,064
<tb>  8,12 <SEP> 30,552 <SEP> 46,382 <SEP> - <SEP> 0,009
<tb>  8,25 <SEP> 39,218 <SEP> 44,305 <SEP> +0,007
<tb>  8,37 <SEP> 43,358 <SEP> 42,840 <SEP> - <SEP> 0,018
<tb>  8,50 <SEP> 48,298 <SEP> 40,640 <SEP> +0,017
<tb>  8,75 <SEP> 53,824 <SEP> 37,515 <SEP> +0,007
<tb>  9,00 <SEP> 58,037 <SEP> 34,568 <SEP> +0,002
<tb>  9,50 <SEP> 63,952 <SEP> 29,340 <SEP> - <SEP> 0,014
<tb>  10,00 <SEP> 68,062 <SEP> 24,643 <SEP> +0,012
<tb>  10,

  50 <SEP> 70,640 <SEP> 21,010 <SEP> - <SEP> 0,061
<tb>  10,75 <SEP> 71,545 <SEP> 19,550 <SEP> - <SEP> 0,040
<tb>  11,50 <SEP> 73,849 <SEP> 15,196 <SEP> - <SEP> 0,056
<tb>  12,50 <SEP> 75,551 <SEP> 10,955 <SEP> - <SEP> 0,093       On voit par ce tableau que les variations d'astig  matisme sur la méridienne et, par     conséquent,    sur  la surface qu'elle engendre par rotation autour de       OX    n'atteignent pas 0,02 dioptrie dans la zone     cen-          trale    et 0,1 dioptrie en bordure.  



  La     fig.    4 représente une vue de     face    de la sur  face du     dioptre        obtenue    par révolution de la méri  dienne C autour de l'axe     OX.    Les points de ce diop  tre où la     puissance    est la même dans les différents  plans méridiens ont été     reliés        par    des     courbes    d'égale  puissance qui ne sont autres que les parallèles de la       surface        constituant    le dioptre de révolution.

   La répar  tition de ces parallèles     permet    d'apprécier     l'allure    de  la variation de     puissance    sur la surface du dioptre.  



  On a représenté en perspective,     fig.    5, une len  tille dont une     face    est définie par un     dioptre    tel que       celui    des     fig.    3 et 4 et l'autre     face    par un dioptre       astigmate    constitué par une     portion    de surface torique  dont l'un des plans de     sections    principales est con  fondu avec le plan de la     courbe        méridienne    C de la  première     surface.    Ce second dioptre présente un  astigmatisme constant égal et de signe contraire à  celui du premier dioptre.

   La lentille ainsi réalisée est  apte à     corriger    les défauts     de    la vue et notamment la  presbytie, à l'exclusion de l'astigmatisme     cristallinien     ou cornéen.  



  On a représenté,     fig.    6, une autre lentille dont  une des faces est encore constituée par le dioptre  représenté aux     fig.    3 et 4 et l'autre     face    par un second  dioptre     astigmate        constitué    par une     portion    de     surface     torique présentant un astigmatisme de 3,16 dioptries,  l'un des plans de sections     principales    de     cette        surface     faisant un angle de     54,315'    avec le plan de la courbe  méridienne C de la     première    surface.

   Ce dioptre tori  que résulte de la composition de deux dioptres     tori-          ques,    l'un d'astigmatisme égal et de signe contraire  à     celui    du premier dioptre, soit -3 dioptries, et l'autre  d'astigmatisme égal et opposé à     celui    de     1'oeil,    soit  -1 dioptrie,     ce    dernier dioptre     torique    ayant ses       plans    de sections principales faisant un     angle    de     45,,     avec ceux du premier dioptre torique.

        La lentille ainsi obtenue est apte à corriger les  défauts de la     vue,    notamment la presbytie et, en  outre, un astigmatisme cornéen ou cristallinien de  1 dioptrie.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Lentille optique, en matière réfringente d'indice n, limitée par des dioptres de révolution dont l'un au moins est constitué par une surface ayant une méri dienne dont la courbure varie d'une façon continue, caractérisée en ce que ce dioptre présente, au moins dans une région de sa surface, un astigmatisme cons tant tel que, en tout point de cette région, les rayons de courbure R et R', évalués en mètres respective ment suivant le plan méridien et le plan passant par la normale et perpendiculaire au plan méridien,
    sont différents et satisfont sensiblement à la relation EMI0004.0009 SOUS-REVENDICATIONS 1. Lentille selon la revendication, caractérisée en ce que l'autre dioptre est constitué par une surface de révolution dans laquelle la méridienne a un rayon de courbure constant. 2. Lentille selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisée en ce que l'autre dioptre est constitué par une surface de révolution qui pré sente un astigmatisme constant égal à -K.
CH354269D 1956-10-06 1957-10-04 Lentille optique CH354269A (fr)

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Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
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JP3852116B2 (ja) * 1995-11-24 2006-11-29 セイコーエプソン株式会社 累進多焦点レンズ及び眼鏡レンズ

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