Dispositif de traitement de données La présente invention est relative à un dispositif de traitement de données. D'une manière plus parti culière, elle concerne un dispositif électronique des tiné à lire et à interpréter des enregistrements effectués magnétiquement, puis à réinscrire de tels enregistrements dans, des dispositifs de perforation ou d'impression, Sous son aspect le plus particulier, l'invention concerne un dispositif de conversion d'enregistre ments électronique agencé pour lire ces, enregistre ments effectués sur un ruban magnétique suivant un code donné tel qu'un code binaire modifié, par exem ple,
et pour transposer ces enregistrements et les réinscrire sous une forme différente et selon un code différent, tel que le code utilisé avec les cartes, per forées suivant le système Hollerith, par exemple.
Le dessin représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention.
La fig. 1 est un schéma général sous forme de bloc conventionnel destiné à représenter la totalité du dispositif.
La fig. 2 est une représentation schématique du dispositif représentant les lampes d'emmagasinage électrostatique à une échelle plus grande pour indi quer les types d'emmagasinage de données sur les grilles de ces lampes.
La fig. 3 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un couplage cathodique agencé pour recevoir un signal sous une impédance élevée et pour fournir des sorties de ten sion semblable sous, impédance plus faible. La fig. 4 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un couplage cathodique identique à celui représenté sur la fig. 3, mais présentant une résistance de cathode plus faible.
La fig. 5 représente à la fois sous forme de bloc et en, détail un schéma de câblage généralement sem blable à celui de la fig. 3, mais sans diviseur de tension.
La fig. 6 représente à la fois sous forme de bloc et en détail un schéma de câblage d'un couplage cathodique dont la sortie est conçue pour être utili sée en parallèle avec la sortie d'autres couplages cathodiques.
La fig. 7 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un circuit à thy- ratron utilisé dans le dispositif en vue d'exciter les électron de perforation.
La fig. 8 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un circuit à thy- ratron utilisé normalement pour exciter des relais d'enclenchement insérés, dans les circuits de com mande de la perforation.
La fig. 9 représente à la fois sous forme de bloc et en détail un schéma de câblage d'un circuit de sortie de déflexion, qui constitue en fait une variante d'un couplage cathodique habituel.
Les fig. 10 à 18 représentent â la fois sous forme de blocs et en détail les schémas de câblage de cir cuits d'incréments de déflexion, qui sont identiques les uns aux autres, sauf en ce qui concerne la valeur de la résistance d'incrément qui détermine le courant entrainé par chaque élément.
La fig. 19 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un déclencheur électronique et indique l'entrée modifiée nécessaire pour constituer un déclencheur binaire.
La fig. 20 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un déclencheur en anneau qui diffère du déclencheur de la fig. 19 en ce qui concerne les connexions de sortie. La fig. 21 représente à la fois sous forme de bloc et en détail un déclencheur de manipulation agencé pour être soumis à des .impulsions provenant de coupe-circuits mécaniques et dispositifs analogues.
La fig. 22 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un inverseur qui reçoit des signaux de commutation de niveau réduit et ne comporte pas de résistance d'anode.
La fig. 23 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un inverseur spé cial agencé pour être utilisé avec les sorties d'un multivibrateur.
La fig. 24 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un inverseur spécial agencé pour envoyer des impulsions à des déclencheurs à partir de signaux d'entrée de niveau réduit.
La fig. 25 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un inverseur spécial comportant une entrée de diviseur destiné à être utilisé avec des signaux de commutation de diodes.
La fig. 26 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un inverseur spé cial présentant une paire de sortie inversée.
La fig. 27 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un circuit de coiincidence et à diodes.
La fi-. 28 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un circuit ou présentant une paire d'entrées.
La fig. 29 représente à la fois sous, forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un circuit et à deux voies sans résistance de charge.
La fig. 30 représente à la fois sous forme sym bolique et en détail le schéma de câblage d'un-cir- cuit ou qui est essentiellement le même que le circuit et de la fig. 29. La fig. 31 représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un régulateur de tension.
La fig. 32 représente sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un multivibrateur. La fig. 32A représente à la fois sous forme de bloc et en détail le schéma de câblage d'un multi- vibrateur à une seule position stable.
Les fig. 33 à 47 et 52 à 54 réunies constituent la totalité du circuit du dispositif représenté sous forme de blocs.
La fi-. 48 constitue un tableau du code suivant lequel la donnée est emmagasinée sur le ruban ainsi que des équivalents de celui-ci en code Hollerith.
La fig. 49 est un schéma explicatif destiné à représenter le fonctionnement d'une matrice de dé codage à diodes.
La fig. 50 est un, schéma destiné à représenter les circuits de déflexion à faisceaux de rayons catho diques.
La fig. 51 est un tableau de réglage dans le temps, des circuits, de contrôle point-trait. La fig. 55 est un schéma. <I>Description générale</I> La présente invention concerne un dispositif électronique destiné à convertir une information enregistrée magnétiquement sur un ruban pour l'uti liser sur des. cartes perforées ou des éléments (Tenre- gistrement imprimés.
La machine comporte des dis positifs destinés à transposer des enregistrements emmagasinés, sur un ruban magnétique suivant le code binaire et à perforer ces enregistrements dans des cartes. conformes au système Hollerith, par exemple.
Le système de conversion utilisé ici est constitué par trois éléments distincts, à savoir un dispositif d'entraînement, un élément électronique de conver sion et d'emmagasinage, et enfin un dispositif repro ducteur tel qu'une machine imprimant ou perforant des cartes. L'invention sera décrite en se référant à la perforation des cartes dans une machine dite per foratrice série, type IBM 523.
Le dispositif électronique de conversion et d'em magasinage contient un, registre d'emmagasinage ini tial destiné à emmagasiner momentanément chaque caractère reçu. du ruban., une matrice de décodage à diode, un, système d'emmagasinage électrostatique à lampe à rayons cathodiques, et les éléments de con trôle y associés, tels. que les circuits de déflexion nécessaires., ainsi que les circuits destinés à régéné rer les données emmagasinées, un groupe de thyra- trons destinés à commander les électros. de perfora tion, et les.
circuits de contrôle normaux nécessaires pour relier les éléments constitutifs.
Une paire de lampes à rayons cathodiques sont utilisées pour réaliser une capacité suffisante pour permettre l'emmagasinage d'un enregistrement com portant cent caractères à partir du ruban. Ceci cons titue une capacité suffisante pour perforer une carte à quatre-vingts colonnes tout en laissant des carac- tères de non-perforation ou de perforation supplé mentaire tels que les repères de zones. La perfora trice série mentionnée ci-dessus a été légèrement modifiée pour pouvoir fonctionner en combinaison avec le système de manière à constituer un tout avec lui.
La perforatrice série est agencée pour fonction ner à une vitesse réglée de cent cartes à la minute. Pendant l'intervalle de temps s'écoulant entre la per foration de la rangée de perforations 9 et la rangée de perforations 12 de la carte suivante (c'est-à-dire le temps entre cartes qui se suivent), l'élément de ruban est mis en route, un enregistrement d'un seul élément est exploré et emmagasiné, puis l'élément de ruban est arrêté. En commençant par la rangée de perforations 12 de la carte, l'enregistrement est extrait et perforé dans la carte. L'élément de ruban fonctionne ainsi de façon intermittente et envoie le ruban seulement pendant le court intervalle de temps qui s'écoule entre la perforation effective des cartes.
L'ensemble du système est représenté sur la fig. 1 du dessin, à laquelle il y aura lieu de se reporter pour comprendre d'une manière générale la nature et le fonctionnement du dispositif de conversion. Immédiatement après, que la rangée de perforation 9 d'une carte donnée a été perforée,
un signal prove nant de la perforatrice met en route l'élément d'en traînement du ruban de telle sorte qu'il envoie un élément d'enregistrement contenant l'information des tinée à la carte suivante. L'information est emmaga sinée sur sept pistes du ruban de telle sorte que cha que caractère est représenté par une sortie sensible ment simultanée d'une ou plusieurs des bobines de lecture disposées dans, la tête de lecture 10 du ruban. Un caractère est représenté par un groupe de spots magnétiques se présentant sur une ligne transversale par rapport au ruban.
Le code binaire est utilisé pour l'enregistrement et la septième piste du ruban constitue un contrôle d'élément établi suivant le principe bien connu du contrôle de la répétition de l'élément. Environ dix millisecondes après la mise en route du ruban, le. premier caractère de l'élément d'enregistrement doit atteindre les têtes de lecture 10 et apparaître aux entrées des amplificateurs 12 de lecture du ruban.
Les sorties d'une ou de plusieurs des sept pistes affectées au premier caractère sont emmagasinées pendant quelques, microsecondes dans un registre d'emmagasinage 14 à déclencheur électronique qui retient la donnée extraite du ruban de telle sorte que les signaux tardifs dus à la réduction électrique ou mécanique ne se trouvent pas perdus. Cette disposi tion est nécessaire pour la raison que le dispositif 16 de transposition du code doit recevoir simultané ment les impulsions engendrées par le ruban.
Lors que se sont écoulées les quelques millisecondes pen dant lesquelles l'information provenant du ruban est maintenue dans le registre d'emmagasinage 14, le caractère complet contenu dans le registre 14 est introduit par une entrée à sept voies dans la matrice 16 de transposition du code. Cette matrice est inter rogée par un anneau de distribution 18 que l'on pourra désigner sous le nom d' Anneau de Treize .
L'anneau. de distribution fonctionne à 100 kilocycles et contrôle la position verticale des faisceaux de la lampe à rayons cathodiques. La sortie de la matrice 16 de transposition du code est soumise à impulsions représentant le cycle réglé dans le temps du carac tère conforme au code Hollerith et apparaît sous cette forme à la ligne de sortie 20.
Etant donné que la matrice 16 de transposition bu de conversion est interrogée par l'anneau de dis tribution 18, qui commande également la position verticale des faisceaux des lampes à rayons cathodi ques, la représentation réglée dans le temps d'une colonne du code Hollerith apparaissant sur la ligne de sortie 20 se trouve sous une forme convenant à l'emmagasinage dans une lampe à rayons cathodi ques. La représentation de l'information dans la lampe. à rayons cathodiques est disposée par colon nes et rangées. semblables aux colonnes et aux ran gées d'une carte comptable perforée.
Lorsque l'information est apparue sur la ligne de sortie 20, et qu'elle représente un 4, par exemple, une impulsion apparaît sur la ligne de sortie au moment où les faisceaux de la lampe à rayons catho diques se trouvent sur la quatrième rangée d'une colonne donnée, et cette impulsion est emmagasinée sur la surface de la lampe à rayons cathodiques.
En se reportant à la fig. 2, on voit que l'infor mation provenant du ruban est emmagasinée sur les surfaces. de deux lampes à rayons, cathodiques sui vant une disposition à quatre grilles. Chaque grille est constituée par douze rangées de spots disposés en vingt-cinq colonnes.. Chaque grille peut donc être utilisée pour représenter la disposition des perfora tions. dans vingt-cinq colonnes d'une carte perforée. Les, colonnes sont numérotées de 1 à 100, permettant l'emmagasinage de cent caractères en provenance du ruban.
Les faisceaux des deux lampes à rayons catho diques fonctionnent en synchronisme et explorent de ce fait des positions identiques de leurs lampes res pectives. Si la lampe de gauche 22 (fig. 2) explore la colonne 1, la lampe de droite 24 explore la colonne 26, étant donné que les mêmes circuits de déflexion verticale et horizontale sont utilisés pour les deux lampes. Si l'information doit être emmaga sinée dans la colonne 1, la lampe de gauche de meure à pleine puissance, tandis que la lampe de droite fonctionne de façon atténuée.
Lorsqu'un chiffre doit être emmagasiné dans une lampe à rayons cathodiques, et éventuellement repré senté par une perforation dans une colonne d'une carte correspondant à une colonne particulière de la lampe à rayons cathodiques, le point se trouvant dans. la position de chiffre correspondante de la lampe s'allonge en forme de trait vertical. La dispo sition emmagasinée sur la surface de la lampe à rayons cathodiques peut être considérée comme une image d'une carte perforée divisée en quatre par ties, les perforations étant représentées par des traits verticaux et les positions de points d'index non per forées étant représentées par de petits points.
Il apparait maintenant clairement pourquoi une représentation du code Hollerith dont la progression est réglée dans le temps avec l'exploration verticale des lampes à rayons cathodiques est nécessaire à la sortie 20 de la matrice de transposition de code. Les faisceaux balaient une colonne verticale dans laquelle l'information peut être emmagasinée en progressant spot par spot. Les circuits de déflexion horizontale 28 déplacent alors les faisceaux vers la colonne sui vante de manière à emmagasiner le caractère suivant extrait du ruban.
Lorsque l'information est en cours d'emmagasinage dans une lampe à rayons cathodi ques, le faisceau de l'autre lampe est coupé. Pendant l'opération d'emmagasinage, les circuits 30 de dé flexion verticale sont commandés par l'anneau de distribution 18, qui est entraîné par le générateur d'impulsions. 32 fonctionnant à 100 kilocycles. A ce moment, le circuit 28 de déflexion horizontale est commandé par un anneau de distribution 34 à cent positions, désigné ci-après sous le nom d' Anneau de Cent , lequel est à son. tour avancé d'une posi tion à la fin de chaque exploration de colonne.
D'une manière identique, cent caractères pro venant du ruban peuvent être emmagasinés, après quoi le ruban. est arrêté automatiquement par la dé tection d'un repère d'enregistrement disposé à la fin de l'enregistrement. Pendant cette période, la per foratrice continue à fonctionner, de telle sorte que, au moment convenable, la position 12 de la carte immédiatement suivante atteint l'étage de perfora tion. Pendant ce temps, la régénération automatique de la disposition emmagasinée sur la surface de la lampe à rayons cathodiques. a lieu, empêchant ainsi la disposition d'être détruite.
Au temps de perforation 12 (début d'une nou velle carte à perforer), la perforatrice émet une impul sion en direction du dispositif de conversion et d'em magasinage, qui interrompt le processus de régénéra tion et amorce un mode différent d'exploration de la lampe en vue de l'extraction de la disposition emma gasinée.
<I>Extraction des données.</I> - Chaque électro de perforation de la perforatrice Type 523 est relié par fils volants. disposés sur un tableau de commande à un thyratron disposé dans l'élément électronique de conversion et d'emmagasinage. Cent thyratrons sont prévus, à raison d'un par caractère emmagasiné dans les lampes à rayons cathodiques. On a prévu des perforations supplémentaires, des signes algébriques, etc., au moyen d'un câblage disposé à travers les divisions verticales des colonnes standard dans la per foratrice.
La grille de contrôle de chaque thyratron est connectée à un circuit et<B> </B> à deux entrées, grâce à quoi les deux entrées du circuit et peu- vent être simultanément soumises à impulsions en vue de provoquer la conduction du thyratron.
L'information est extraite des lampes à rayons cathodiques en série, c'est-à-dire que l'opération d'extraction s'effectue rangée par rangée plutôt que colonne par colonne, ce qui constituait l'ordre sui vant lequel l'information avait été emmagasinée à la surface des lampes. Au temps de perforation 12, la rangée 12 de la totalité des cent colonnes se trou vant dans l'emmagasinage est vérifiée et les thyra- trons correspondant aux colonnes dans lesquelles se trouve un trait s'allument.
A ce moment, le circuit de déflexion horizontale 28, qui est entraîné par l'anneau de distribution 34 dit de Cent, lequel est maintenant contrôlé par le générateur 32 à 100 kilo cycles, force les faisceaux de rayons cathodiques à se déplacer de spot en spot de la colonne: 1 à la colonne 100 dans l'ordre, les circuits 30 de déflexion verticale étant commandés par un anneau de perfo ration 36 pour localiser les faisceaux dans la douzième rangée des dispositions emmagasinées.
Chaque fois qu'un trait se rencontre au cours de cette opération d'exploration rapide, un signal est capté par l'anode réceptrice appropriée 36, ampli fiée par un amplificateur vidéo 38 et envoyée par l'entremise d'un conducteur 40 à une entrée de la totalité des circuits et 42 qui sont connectés aux grilles. de commande des cent thyratrons disposés. dans le réseau de thyratrons 44.
Pendant l'exploration d'extraction, l'anneau de distribution, de l'exploration horizontale 34 dit de Cent alimente l'autre entrée des circuits et 42 à raison d'une à la fois, à un moment correspondant à la position du spot en cours d'exploration sur la surface de la lampe. S'il existe une coïncidence d'im pulsion sur la ligne d'essai 40 avec l'impulsion de réglage provenant de l'anneau de Cent, le thyratron particulier alimenté par le circuit et 42 auquel est appliquée cette coïncidence est forcé de s'allu mer.
Ainsi, si un trait se trouve dans la colonne 3 de la lampe d'emmagasinage, par exemple, lorsque la douzième rangée de données emmagasinées dans cette lampe est en, cours d'exploration en vue de l'extraction, le troisième thyratron de la douzième rangée s'allume. De cette manière, un thyratron s'al lume pour chaque trait détecté à la surface de l'une ou l'autre lampe correspondant à la position de colonne de ces traits. Lorsqu'un thyratron est allumé, il excite un électro, de perforation disposé dans la reproductrice 46, entraînant ainsi la perforation d'un trou dans une carte comptable.
Etant donné que l'exploration par rangée est une opération en série qui s'effectue à la cadence de 100 kilocycles, la différence maximum entre le pre mier trait en cours d'exploration et le dernier trait exploré est de 1 milliseconde seulement. 11 se passe maintenant un instant avant que la carte perforée atteigne la position des perforations 11, de telle sorte que la régénération des données emmagasinées à la surface des lampes 22 et 24 peut s'effectuer à nouveau.
Lorsque le temps de perforation 11 est atteint, une impulsion de commande de la perforatrice pro voque la répétition de l'opération de perforation décrite ci-dessus, sauf si, à ce moment, les, faisceaux des lampes à rayons cathodiques se trouvent déviés verticalement et maintenus sur la rangée 11 de spots. Le reste de la carte est perforée rangée par rangée de manière correspondante. Après que la dernière rangée de perforations a été pratiquée dans la carte, le ruban. est à nouveau mis en route ; un nouvel élé ment d'enregistrement est lu et emmagasiné dans les lampes à rayons cathodiques, le ruban est arrêté et l'information, extraite des lampes à rayons cathodi ques, puis perforée dans une carte.
Cette opération se poursuit jusqu'à ce que l'élément d'entraînement du ruban arrive. à fin, de course ou que la perfora trice a épuisé son alimentation en cartes. Eléments <I>de circuits</I> Avant de passer à une description plus détaillée de l'élément d'emmagasinage et de conversion, il peut paraître opportun de considérer maintenant la nature et le rôle des éléments électroniques utilisés dans le système. Si l'on se reporte au schéma de l'ensemble du circuit, on constatera que de nombreux éléments se retrouvent à travers tout le circuit.
La description individuelle de chacun, de ces éléments alourdirait inutilement l'explication. C'est la raison pour laquelle on va maintenant décrire un élément appartenant à chacune des diverses catégories avec suffisamment de détails pour faire comprendre son rôle dans le système. Ensuite, lors de la description plus détaillée du système considéré dans son ensemble, on ne reviendra plus, sur la nature particulière de l'élément, puisque l'on supposera suffisamment connus la nature et le fonctionnement de l'élément.
2 CF. - La fig. 3 représente un circuit habituel de couplage cathodique qui reçoit à une entrée le signal à niveau d'impédance élevé en provenance des circuits et et ou et fournit une sortie de ten sion semblable mais de niveau d'impédance moindre pour donner une énergie suffisante pour transmettre des signaux à traverse des circuits présentant des déperditions considérables.
L'entrée au couplage cathodique est pourvue d'un diviseur qui lui permet de recevoir les signaux de niveau élevé en prove nance de déclencheurs, de multivibrateurs à une seule position stable ou de dispositifs analogues qui, normalement, dans. le présent système, fournissent des signaux dont les niveaux sont situés entre -f- 140 et + 50 volts. Le diviseur, dont l'extrémité inférieure est connectée à une source sous -100 volts, réduit les signaux de niveau. élevé aux niveaux de -i- 10 volts et de -30 volts nécessaires pour la commuta tion des diodes. Le couplage cathodique peut être constitué par une lampe du type 12AV7 dont les deux moitiés sont fréquemment utilisées.
Dans ce dernier cas, le symbole désignant le couplage catho dique lorsqu'il est représenté sous forme de bloc est 2CF. Dans certaines applications, on n'utilise qu'une moitié de la lampe du type 12AV7. Dans ce cas, l'élément est identifié uniquement par les lettres CF. Le nombre précédant le symbole CF indique le nom bre de moitiés de lampes utilisées dans le circuit.
<I>Couplage cathodique</I> (2CFd. - La fig. 4 repré sente un couplage cathodique semblable à l'élément 2CF de la fig. 3, à cette seule différence près que la résistance du circuit de cathode est légèrement infé rieure. Ceci permet de l'utiliser dans des circuits nécessitant une énergie supérieure.
On ne l'utilise toutefois que lorsqu'une puissance supérieure -est nécessaire pour des. raisons pratiques, car ce circuit impose une plus grande fatigue à la lampe 12AV7. <I>Couplage cathodique spécial</I> (CFa). - Ce circuit de couplage cathodique diffère du circuit de l'élé ment 2CF en. ce sens qu'aucun diviseur d'entrée n'est prévu.
Il est donc agencé pour recevoir les sorties de signaux des circuits de commutation de diodes et il agit comme dispositif d'adaptation de l'impédance pour permettre l'entrainement de circuits à forte charge sans charger les circuits de commutation de diodes eux-mêmes. Un circuit CFa de ce genre est représenté sur la fig. 5.
<I>Couplage cathodique spécial</I> (CFv). - Le cir cuit de couplage cathodique de la fig. 6 est un cir cuit spécial qui est utilisé seulement avec sa sortie en parallèle avec la sortie d'un autre couplage catho dique ou d'autres couplages cathodiques. L'élément CFv diffère du couplage cathodique normal en ce sens qu'il ne présente aucune résistance de cathode connectée à une source d'énergie ou à la masse.
Il peut donc être monté en parallèle avec un autre cou plage cathodique présentant une résistance de cathode pour former un circuit de couplage cathodique ou sans. que cela entraîne une valeur anormale ment basse de la résistance de cathode commune, qui pourrait surcharger un couplage cathodique distinct.
<I>Thyratron standard (TH).</I> - Les circuits de thyratrons qui sont utilisés dans le présent système pour exciter les électros, de perforation sont ceux représentés sur la fig. 7 et, partout où ils apparaî tront sur le schéma sous forme de blocs, le symbole TH sera utilisé pour les identifier.
Ce circuit com porte un circuit et à connexion directe à deux entrées, plus un réseau destiné à allonger les impul sions pour assurer l'allumage du thyratron à l'aide des impulsions courtes qui sont reçues aux bornes d'entrées du circuit à diodes et . Pour allumer le thyratron et mettre en action un électro de perfora tion, il est nécessaire que des impulsions simultanées allant vers le positif atteignent les bornes, d'entrée 6 et 8. L'impulsion de sortie résultante en provenance du circuit et traverse une diode pour charger un condensateur connecté à la grille numéro 1 de la lampe. La lampe peut être une lampe 2D21.
Trois microsecondes environ après le début du signal, son niveau retourne de + 10 volts à -30 volts. Le con densateur b et la grille numéro 1 demeurent toute fois sous + 10 volts après la fin du signal d'entrée, dont le régime de décharge lente est déterminé par la résistance en retour de la diode de charge a. Ceci maintient une tension positive sur la grille numéro 1 du thyratron. pendant une période de temps suffi samment longue pour garantir l'allumage.
<I>Thyratron spécial</I> (THa). - Ce thyratron spécial peut être également une lampe du type 2D21 et le circuit est utilisé normalement pour exciter les relais d'enclenchement disposés dans l'élément de perfora tion à partir des niveaux normaux de signaux de commande électroniques. Le signal de commande électronique présentant normalement un niveau d'im pédance élevée est appliqué à la borne 8 du circuit qui est connectée à la grille de commande du thyra- tron. Normalement, ce point est maintenu sous -30 volts, ce qui ne permet pas au thyratron d'être con ducteur.
Un signal positif sous + 10 volts allume le thyratron, forçant la source sous 80 volts connectée à l'anode par la borne 5 à apparaître à la borne 3 pour exciter un relais connecté à celle-ci.
<I>Sortie de déflexion (DO).</I> - Ce circuit constitue une variante d'un circuit de couplage cathodique standard et il est utilisé entre les circuits d'incré ments de déflexion et les anodes de déflexion de la lampe à rayons cathodiques. Il est utilisé comme dispositif d'adaptation de l'impédance pour fournir l'énergie nécessaire à l'entraînement des longues lignes de déflexion de la lampe à rayons cathodiques sans charger les circuits sensibles de déflexion.
Il diffère des autres couplages. cathodiques utilisés dans la machine en ce sens. que sa résistance de cathode est renvoyée à la masse plutôt que sous -100 volts parce qu'il fonctionne toujours sous tension large ment positive.
<I>Circuits d'incréments de déflexion</I> (BSAl, <I>A2,</I> <I>A5, A8, 0102 et A15).</I> - Les circuits d'incréments de déflexion ainsi que le symbole schématique ser vant à les désigner sous forme de bloc sont représen tés sur les fig. 10 à 18. Ces circuits sont identiques l'un à l'autre, sauf en ce qui concerne la valeur de la résistance d'incrément qui détermine le courant entraîné par chaque élément.
L'unité d'incrément est essentiellement un dispositif de commutation à cou rant constant qui est conçu pour entraîner une valeur prédéterminée constante de courant lorsqu'il est mis hors circuit. Le système de déflexion complet com porte plusieurs de - ces. commutateurs d'incréments connectés en parallèle, de sorte qu'ils peuvent être man#uvrés isolément ou en combinaison pour entraî ner une quantité prédéterminée de courant à travers une résistance commune.
La chute de tension qui en résulte dans la résistance est alors appliquée aux lampes à rayons cathodiques pour mettre fin à la déflexion nécessaire du faisceau exigée pour disposer les faisceaux sur les emplacements distincts désirés à la surface de chaque lampe. Sur les figures respec tives qui servent à représenter ces circuits d'incré ments, de déflexion, la demi-lampe de droite (qui, dans chaque cas, peut être une lampe 12AV7), agit comme un couplage cathodique où la grille étant maintenue sous un potentiel constant de + 87 volts.
La grille étant maintenue à ce potentiel constant, le courant traversant la .lampe et la résistance de cathode est déterminé essentiellement par la résis- tance de cathode plutôt que par les caractéristiques de la lampe. Ainsi, le potentiel à la borne 8, qui est connectée en parallèle avec d'autres éléments à la résistance commune de chute de tension, potentiel qui constitue également la tension de déflexion de la lampe à rayons. cathodiques, peut varier à l'inté rieur d'une gamme très étendue sans affecter sensi blement le courant traversant la lampe.
Pour ame ner les commutateurs en position ouverte et, de ce fait, n'entraîner aucun courant à travers la résistance commune de chute de tension, il suffit d'amener la broche 5 sous une tension supérieure à 87 volts. La moitié de gauche de la lampe est alors conductrice et, agissant comme un couplage cathodique habituel, tend à amener la résistance de cathode commune à une tension supérieure à 87 volts, ce qui met évi demment hors circuit la moitié de droite de la lampe.
<I>Déclencheurs électroniques standard (T) oit</I> (BT). - La fig. 19 représente le déclencheur élec tronique standard utilisé à travers les circuits. Par tout où, dans le schéma sous forme de blocs, le sym bole T est utilisé à l'intérieur d'un bloc, il représente le circuit de la fig. 19, sauf lorsque, ainsi qu'on l'in diquera ci-dessous, le déclencheur est muni d'une entrée binaire, auquel cas on utilise le symbole BT. Le déclencheur de la fig. 19 est un multivibrateur à deux positions stables ;
cela revient à dire qu'il demeure dans l'un ou l'autre de deux états stables jusqu'à ce qu'il soit contraint par un signal venu de l'extérieur d'occuper l'autre état. Cette action de con trainte est appelée déclenchement ou basculement. Ces déclencheurs sont quelquefois désignés sous le nom de circuits flip ;flop >. La caractéristique de bistabilité d'un déclencheur permet son utilisation comme dispositif d'emmagasinage, registre et comp teur. Des impulsions, dynamiques ne sont pas néces saires pour permettre à un circuit de déclencheur d'emmagasiner de façon continue un bit ou élément binaire.
Fondamentalement, un circuit de déclencheur ressemble à deux circuits d'inverseurs, la sortie d'anode de chacun de ces circuits étant couplée à la grille de l'autre circuit. Dans un état stable, la lampe de gauche dé la fig. 19 est totalement conductrice tandis que la lampe de droite est hors circuit. Dans l'autre état, la lampe de droite est totalement con ductrice, tandis que la lampe de gauche est hors circuit. Pour effectuer la commutation d'un état à l'autre, un signal extérieur doit être appliqué à un point sensible du circuit.
Par exemple, on supposera que la lampe de droite étant conductrice, l'anode de droite est sous tension peu élevée ; en d'autres ter mes, sa tension est considérablement inférieure à 4- 150 volts, tandis que l'anode de gauche est sous tension élevée (au voisinage de + 150 volts). Une méthode de basculement de ce circuit consiste à appliquer une impulsion négative à l'anode de gau che. Cette impulsion négative est couplée à la grille de droite par l'entremise du diviseur de tension. Etant donné que la lampe de droite est conductrice, sa tension de grille est à zéro ; de ce fait, l'impulsion négative provenant de l'anode de gauche force la tension de la grille de droite à aller vers le négatif.
Cette variation de tension provoque la mise hors circuit de la lampe de droite et, par conséquent, l'augmentation de la tension de l'anode de droite. Cette augmentation est alors couplée par l'entremise d'une autre anode au diviseur de tension de grille en direction de la grille. de gauche, attirant cette ten sion de grille vers. la masse. La lampe de gauche commence alors à être conductrice, diminuant sa tension d'anode. Cette variation à l'anode de la lampe de gauche va dans le même sens que la variation appliquée à partir d'une source extérieure ; par con séquent, l'action initiale est renforcée et la régénéra tion poursuit la tendance de la tension qui vient d'être amorcée.
Lorsque la tension à la grille de gauche atteint la tension de masse, elle ne s'élève pas davantage et la tension de l'anode de gauche ne tombe pas davantage. De même, la grille de droite est attirée suffisamment loin vers le négatif par la chute de la tension de l'anode de gauche pour que la lampe de droite soit mise hors circuit et que sa tension d'anode soit au voisinage de + 150 volts. La condition résultante constitue alors le second état stable dans lequel le déclencheur peut être basculé. L'impulsion d'entrée peut maintenant être interrom pue sans faire basculer à nouveau le déclencheur parce que la conduction de la lampe de gauche main tient la tension de l'anode de gauche à un niveau peu élevé.
Le déclencheur peut également être basculé par application d'une impulsion positive à la grille sous tension peu élevée (celle correspondant à la lampe hors circuit) ou par application d'une impulsion négative à la grille sous tension élevée (celle corres pondant à la lampe qui est conductrice). Dans tous les cas, une impulsion d'entrée doit amorcer une action. de régénération pour mettre hors circuit la lampe conductrice et amener à la conduction totale la lampe qui était non conductrice.
Dans le déclencheur standard, les impulsions d'entrée sont appliquées aux bornes 3 ou 4, de sorte qu'une impulsion appliquée à l'une de ces bornes est nécessaire pour modifier l'état du déclencheur. Cer tains déclencheurs, comme c'est le cas dans le pré sent système, sont alimentés par une entrée binaire ; grâce à quoi chaque impulsion envoyée au déclen cheur a pour résultat un changement d'état. C'est ainsi que, sur la fig. 19, la ligne en pointillés inter connectant les bornes 3 et 4 représente une entrée binaire au circuit de déclencheur.
Partout où, sur les schémas. représentant le système, le symbole BT apparaît conjointement à la représentation d'un déclencheur sous forme de bloc, un tel circuit cons titue un déclencheur standard à entrée binaire. Dans un déclencheur binaire, toute impulsion appliquée à l'entrée B est envoyée à la fois à la borne 3 et à la borne 4 de sorte que, quel que soit l'état dans lequel le déclencheur se trouvait, l'état de celui-ci se trouve inversé.
<I>Déclencheur en anneau</I> (RT). - La fig. 20 représente en détail le circuit et le symbole sous forme de bloc d'un. déclencheur en anneau qui dif fère du déclencheur standard uniquement par les connexions de sortie prévues. Du fait des limitations imposées par la totalité des bornes disponibles dans les éléments à contact par fiches dans lesquels ces déclencheurs sont insérés, il n'est pas possible de réaliser un déclencheur universel qui fournirait la totalité des signaux de sortie requis.
De ce fait, le déclencheur en anneau de la fig. 20 est différent en ce sens qu'une sortie en dérivation est prévue, qui est mieux adaptée à l'entraînement d'autres déclen cheurs situés dans un. anneau que les quatre sorties normalement fournies par le déclencheur standard.
<I>Déclencheur de blocage (KT).</I> - La fig. 21 représente en détail le circuit ainsi que le symbole d'un déclencheur de blocage. Les déclencheurs de blocage sont utilisés essentiellement pour engendrer des impulsions à forme d'onde dont le bord d'attaque est peu prononcé à partir d'impulsions d'entrées comportant très vraisemblablement des formes d'on des à bord d'attaque accentué. Le fonctionnement de coupe-circuits a tendance à produire des impul sions transitoires dues, à un contact imparfait ou au rebondissement du commutateur.
Les déclencheurs de blocage sont habituellement utilisés là où il est nécessaire de recevoir des impulsions d'entrée par l'entremise de tels dispositifs. Le déclencheur de blocage est actionné par envoi d'une tension de com mande à travers une résistance série à l'une ou l'au tre des entrées de grilles. L'entrée au déclencheur de blocage constitue un circuit d'intégration constitué par deux séries de résistances et deux condensateurs en dérivation.
L'effet d'intégration facilite la produc tion d'une impulsion à pente douce qui aide à l'ac tion de déclenchement positive si l'impulsion d'en trée persiste suffisamment longtemps; de ce fait, les intégrateurs aident à empêcher les impulsions transi toires d'agir sur le déclencheur de blocage. Le cou plage par condensateurs disposés entre les grilles rend également le déclencheur de blocage insensible aux impulsions transitoires. La variation de tension d'anode va de + 135 volts environ à + 30 volts et la variation de tension de grille oscille entre la ten sion de masse et environ -30 volts.
Le temps pen dant lequel augmente la tension du déclencheur de blocage est de l'ordre de 9 microsecondes ; le temps d'indication est de l'ordre de 0,2 microseconde.
<I>Inverseur standard (1).</I> - L'inverseur représenté sur la fig. 22 ainsi que le bloc destiné à l'identifier peut être constitué par la moitié d'une lampe 12AV7. L'inverseur est un circuit qui produit un décalage vers le négatif à son anode lorsqu'un décalage vers le positif est appliqué à sa grille, et une oscillation positive à l'anode lorsqu'une oscillation négative est appliquée à la grille. Cette propriété permet de l'uti liser dans l'inversion de conditions logiques.
L'in verseur est également un élément avantageux en ce sens qu'il amplifie les signaux et, de ce fait, on peut l'utiliser dans. le réglage des niveaux de signaux. L'inverseur est conçu pour engendrer des impulsions dont les temps de montée et de chute sont courts. Bien que la résistance de charge d'anode soit suffi samment grande pour donner une tension élevée, elle n'est pas suffisamment élevée pour ralentir de façon appréciable les, transitions de signaux.
L'inver seur peut avoir une de trois entrées standard. L'in verseur reçoit sous forme d'entrée les signaux de commutation de diodes à niveau peu élevé, mais n'a pas de résistance d'anode. Il est donc essentiellement agencé pour être utilisé comme dispositif d'attrac tion d'un déclencheur (at over device) ; son anode étant connectée directement à une anode désirée de déclencheur.
<I>Inverseur spécial</I> (1",). - L'inverseur représenté en détail sur la fig. 23 ainsi que son symbole sous forme de bloc est agencé spécialement pour être utilisé avec la sortie du multivibrateur dans, le circuit de distribution décrit ici. Plusieurs de ces inverseurs sont utilisés pour donner des temps de montée plus rapides que ceux que l'on pourrait obtenir directe ment à partir du multivibrateur lui-même.
Cet inver seur est muni d'un diviseur d'entrée qui reçoit les signaux de niveau élevé normalement fournis par le multivibrateur et les réunit aux limites de -I- 10 volts et -30 volts qui s'avèrent désirables en connexion avec la cathode mise à la masse.
<I>Inverseur spécial (la).</I> - La fig. 24 représente en détail le circuit ainsi que le bloc symbolique d'un inverseur spécial utilisé dans les circuits lorsque l'on désire transférer un déclencheur à l'aide d'un signal provenant d'un circuit de commutation de diodes. Cet inverseur n'a pas de diviseur de tension et reçoit directement de ce fait les signaux de diode de niveau peu élevé. Sa sortie est une sortie en dérivation qui convient particulièrement pour commuter les déclen cheurs.
Une sortie totale, qui donnerait une oscilla- tion de 90 volts, a tendance à entraîner un déclen cheur trop loin et à provoquer un déclenchement retardé. <I>Inverseur spécial</I> (I5). - La fig. 25 représente en détail le circuit ainsi que le bloc symbolique d'un inverseur spécial identifié dans le schéma de circuit par les lettres I5. Cet inverseur présente une entrée diviseuse destinée à être utilisée avec les signaux de commutation de diodes et il est particulièrement destiné aux applications, nécessitant des,
temps de montée et de chute très rapide. Il utilise donc une lampe du type 5687 et une valeur peu élevée de résistance d'anode, ainsi qu'une compendation par condensateur dans le diviseur d'entrée.
<I>Inverseur spécial</I> (ID-II . - La fig. 26 repré sente en détail le circuit ainsi que le symbole destiné à l'identifier dans. le schéma sous forme de blocs, d'un inverseur spécial utilisé ici et qui reçoit les signaux de commutation de diodes et présente deux sorties, dont l'une est toujours l'inverse de l'autre. Ces sorties inversées présentent une valeur et un niveau d'impédance convenant à leur application directe à l'entrée des éléments d'incréments de dé flexion. Les sorties inversées sont utilisées pour obtenir l'action de push-pull désirée aux plaques de déflexion. des lampes à rayons cathodiques.
<I>Circuits de coïncidence ou circuits et et</I> <I> ou .</I> - Les circuits à diodes et et ou sont très fréquemment utilisés dans les circuits de com mande décrits ici. Les circuits et et les circuits ou sont des circuits de commutation de diodes à cristal utilisés dans le système à des fins de blo cage et d'isolement. Ils peuvent avoir chacun deux entrées ou davantage, mais une seule sortie seule- ment. Le circuit et de la fig. 27 et le circuit ou de la fig. 28 sont respectivement des circuits et -i- et ou -I- .
Ces circuits sont caractérisés par le fait que les. entrées ont pour effet, par l'entre mise de diodes qui peuvent comporter des diodes à germanium de fabrication normalisée connues sous le nom de Sylvania D436A ou D437A, d'engendrer une sortie de tension sous -I- 10 volts. Le circuit et -i- présente cette propriété logique que la tota lité des. lignes d'entrée doivent être positives pour engendrer une sortie positive. En d'autres termes, la première entrée et la seconde entrée, ainsi que toutes les autres entrées, doivent être positives pour engen drer une sortie positive.
Un circuit ou -I- présente cette propriété logique que si l'une ou l'autre, ou un nombre quelconque de lignes d'entrée est positive, la ligne de sortie sera positive. Ces circuits sont appelés circuits et -I- et ou -i- parce qu'ils laissent passer des: signaux positifs lorsqu'ils fonc tionnent comme commutateurs.
<I>Circuit spécial et (et,,) et circuit spécial ou </I> <I>(ou,,).</I> - Les fig. 29 et 30 représentent respective ment un circuit spécial et et un circuit spécial ou , ainsi que les, blocs symboliques servant à les identifier. Ces circuits sont les mêmes que les cir- cuits des fig. 27 et 28 respectivement, à cette diffé rence près qu'ils ne présentent pas de résistance de charge. Les circuits sont donc agencés pour être uti lisés en parallèle avec d'autres circuits et ou d'au tres circuits ou respectivement, qui comportent une résistance de charge.
<I>Régulateur de tension</I> (REG). - La fig. 31 représente en détail le circuit ainsi que le bloc sym bolique destiné à l'identification d'un circuit de ten sion de référence utilisant une résistance de chute de tension en même temps qu'une lampe du type 5651 pour fournir un niveau de tension constant de 80 volts destiné à être utilisé dans les commutateurs d'incréments des circuits de déflexion. <I>Multivibrateur</I> (MV). - La fig. 32 représente en détail le circuit ainsi que le bloc symbolique d'un multivibrateur utilisé dans le système pour engen drer des impulsions de réglage dans le temps de 100 kilocycles. La lampe utilisée peut être du type 6J6.
Ce circuit ressemble à un, circuit de déclencheur standard, à cette différence près qu'il n'existe pas de couplage par résistance d'une anode à la grille oppo sée. Lorsque le circuit est tout d'abord fermé, le dés équilibre entre les éléments constitutifs force unie lampe à être plus conductrice que l'autre. La chute de tension à son anode provoque une chute de ten sion à la grille opposée et commence à mettre l'autre lampe hors circuit. L'anode de l'autre lampe, lors que sa tension, monte, force la première lampe à entraîner davantage de courant.
Cette action, de déclenchement se poursuit jusqu'à ce que la première lampe soit fortement conductrice, et que l'autre est entièrement hors circuit. Etant donné qu'il n'existe pas de couplage par résistance entre la grille sous tension réduite et l'anode sous tension élevée ;
mais, étant donné le couplage par résistance à la source de tension d'entrée constituée par la résistance de réglage dans le temps, la grille sous tension basse voit sa tension s'élever expon.entiellement au fur et à mesure que le condensateur de couplage est dé chargé à travers la résistance de réglage dans le temps et la lampe conductrice. Lorsque cette grille atteint une valeur telle que la lampe hors circuit commence à être conductrice, le circuit passe aux conditions opposées en raison de l'action de régé nération mentionnée plus haut.
Du fait que le circuit est symétrique, cette action se répète de façon con tinue à une cadence déterminée par la grandeur de l'oscillation, vers le négatif sur les grilles et par la valeur de la résistance de réglage dans le temps et de la capacitance. <I>Multivibrateur à une seule position stable</I> (SS). - La fig. 33 représente le circuit détaillé ainsi que le symbole soifs forme de bloc du multivibrateur à une seule position stable utilisé dans le système. Ce circuit est utilisé pour engendrer des blocages ou impulsions de durée déterminée et pour fournir des retards.
Un multivibrateur à une seule position stable ressemble à un circuit de déclencheur en ce sens qu'il peut être amené par basculement à un certain état, mais il retourne alors à son état antérieur en un temps, prédéterminé sans avoir reçu d'impulsions en provenance d'une source extérieure. Son état normal peut être désigné sous le nom d'état stable tandis que son état anormal peut être désigné sous le nom d'état quasi stable, car il demeure stable dans ce dernier état jusqu'à ce que se soit écoulée la période de temps prédéterminée qui lui est propre.
A l'état stable, la lampe de gauche est hors circuit et la lampe de droite fortement conductrice.
La méthode la plus courante pour allumer un multivibrateur à une seule position stable consiste à attirer son anode. Lorsqu'on utilise l'attraction d'anode, l'anode de gauche du multivibrateur à une seule position stable est connectée à l'anode d'un convertisseur d'attraction, la résistance de charge de 1 anode de gauche agissant comme résistance de charge de l'inverseur d'attraction. La durée de l'im pulsion de sortie du multivibrateur à une seule posi tion stable dépend dans une large proportion du temps de décharge du condensateur connecté entre l'anode de gauche et la grille de droite.
La résistance et le condensateur peuvent être modifiés pour déter miner la durée de l'impulsion et c'est la raison pour laquelle on les appelle résistance de réglage dans le temps et condensateur de réglage dans le temps. Plus la résistance et le condensateur sont forts, plus long est le temps nécessaire. pour l'augmentation de la tension à la grille de droite.
Le multivibrateur à une seule position stable peut comporter une lampe du type 12AV7. <I>Description détaillée des circuits</I> On estime que la description qui précède des caractéristiques essentielles des éléments utilisés dans le circuit est suffisante pour comprendre le rôle de ces éléments dans le circuit et pour que, dans la des cription qui va suivre, il soit inutile de se référer d'une façon détaillée particulière au fonctionnement de l'élément.
Ces préliminaires posés, il est donc pos sible d'entamer une description plus particulière de circuit considéré dans son ensemble et tel qu'il est représenté particulièrement sous forme de blocs sur les fig. 33 à 47.
<I>Entrée en</I> provenance <I>de l'élément de lecture du</I> <I>ruban.</I> - On a indiqué précédemment que l'infor- mation emmagasinée sur le ruban magnétique est disposée sur le ruban sur sept pistes sous la forme de spots magnétiques. Un caractère particulier se présente suivant une ligne sensiblement droite tra versant les. pistes du ruban perpendiculairement à la direction longitudinale du ruban.
L'élément de lec ture magnétique est constitué par sept têtes, de lec ture disposées en alignement sur une ligne droite de telle sorte que les sept pistes sont lues simultané ment. Les impulsions provenant des têtes de lecture sont amplifiées, de façon appropriée par les ampli- ficateurs disposés dans l'élément d'entrainement du ruban et sont envoyées au dispositif électronique de conversion sous la forme d'impulsions positives sous 40 volts.
Le mode de construction particulier des têtes de lecture du ruban, ainsi que du système des tiné à amplifier les impulsions captées par les têtes ne constitue point partie de l'invention et il ne sera pas décrit en détail ici.
Les impulsions provenant du système d'ampli fication des, impulsions à partir du ruban sont envoyées aux entrées du système de conversion élec tronique désignées par 48, 50, 52, 54, 56, 58 et 60 (fig. 35). Si aucun signal n'est reçu d'une piste par ticulière du ruban, la borne d'entrée se trouve alors sous -30 volts. Les bornes acceptant une entrée des pistes du ruban sur lesquelles un signal est présent se trouveront toutefois sous -f- 10 volts.
L'information disposée sur le ruban se présente sous la forme du code binaire. Par conséquent, qua tre des, pistes du ruban contiennent l'information numérique d'après le code binaire 1-2-4-8. Deux des pistes portent l'information de zone nécessaire pour les caractères alphabétiques. Ces derniers sont dési gnés par les, pistes 0-1 et 1-0.
La piste restante est utilisée pour supporter un bit de contrôle de répétition utilisé pour vérifier le nombre total de bits apparaissant à travers le caractère en un point donné quelconque conformément au principe bien connu du contrôle par répétition. On expliquera plus loin le code binaire au moment de la discussion du rôle de la matrice de décodage.
<I>Registre d'emmagasinage de déclencheurs. -</I> Les impulsions représentatives de bits arrivant aux canaux d'entrée 48 à 60 traversent les inverseurs 62, et ainsi de suite, dont la sortie a pour effet d'allu mer un déclencheur associé 64, un déclencheur de ce genre étant prévu pour chaque ligne d'entrée et constituant ainsi un registre d'emmagasinage. Le registre d'emmagasinage comportant les déclencheurs 64, et ainsi de suite,
est prévu dans le but d'emma gasiner temporairement les éléments d'information en provenance d'une ou plusieurs des sept pistes d'emmagasinage du ruban pendant une courte période de temps de sorte que les signaux arrivant en retard du fait de l'obiquité électrique ou magné tique ne se trouvent pas perdus. Le registre de déclencheurs est agencé pour transférer simultané ment des bits enregistrés dans celui-ci à la matrice de décodage à la demande de ces matrices.
L'obiquité résulte d'un mauvais réglage mécani- que ou électrique entre le ruban et la tête de lecture et il résulte de la lecture sensiblement en série des divers spots disposés sur l'une des sept pistes lors que le ruban passe sous les têtes de lecture, alors que, dans la situation. idéale, la totalité des spots se trouvant sur l'une des, sept pistes devraient être lus simultanément.
Sur la fig. 35, le canal d'entrée 48 reçoit le bit de répétition, le canal 50 reçoit l'information de zone 1-0, utilisée lorsque la perforation 12 ou 11 doit être effectuée dans une carte.
Le canal d'entrée 52 est le canal de zone 0-1, utilisé lorsque la perforation 12 ou la perforation 0 doit être effectuée dans une carte, le canal d'entrée 54 est le canal du chiffre 1 , utilisé pour indiquer 1 en code 1-2-4-8, le canal 56 est le canal du chiffre . 2 , utilisé pour indiquer 2 en code 1-2-4-8, le canal 58 est le canal du chiffre 4 uti lisé pour indiquer 4 en code 1-2-4-8, et le canal 60 est le canal du chiffre 8 , utilisé pour repré senter 8 en code 1-2-4-8.
Si un. bit d'information est emmagasiné. sur le ruban magnétique dans l'un quelconque des canaux, le signal émis par la tête de lecture du ruban est pré senté au canal d'entrée convenable 48 à 60 sous forme d'impulsion. positive. Si un 8 a été emma gasiné sur le ruban, une impulsion positive arrive au canal d'entrée 60 et elle provoque la conduction de l'inverseur 66 qui lui est associé. Chaque inverseur utilise la résistance de charge d'anode de la moitié de gauche de la partie du déclencheur auquel il est connecté sur les déclencheurs 64, et ainsi de suite.
Les déclencheurs constituant le registre sont remis à zéro, de sorte que la borne désignée par un x dans la représentation, symbolique de ceux-ci sur la fig. 35 est conductrice. Ainsi, le fait que l'inverseur 66 a été rendu totalement conducteur fera que la tension d'anode du côté non. conducteur du déclencheur 66 descendra jusqu'à un point où la conduction de la paire de déclencheurs se trouvera transférée au côté gauche.
Une paire de couplages cathodiques 68 et 70 sont connectés aux anodes du déclencheur 66A de telle sorte que la matrice de diodes ne charge pas la paire de déclencheurs. Du fait de l'emmagasinage du 8 , le potentiel de courant continu de la sortie du couplage cathodique 68 est de -30 volts et celui du couplage cathodique 70 de -f- 10 volts. L'infor mation lue initialement sur le ruban est emmagasi née dans les paires de déclencheurs 64,<I>50a, 52a,</I> 54a ; 56a, 58a et 66a.
Les potentiels de courant continu des sorties des couplages cathodiques 68, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76; 77, 78, 79 et 80 sont connectés à la matrice de conversion à diodes et indi quent l'état des déclencheurs d'emmagasinage que l'on vient de décrire. Les matrices de conversion sont représentées sur les fig. 36 et 37 du dessin.
La totalité des déclencheurs d'emmagasinage (fig. 35) disposés dans le registre sont ramenés en position de départ avant la réception de chaque caractère. Cette remise à zéro est réalisée au moyen d'une impulsion. envoyée à travers un inverseur 82. L'inverseur 82 est commandé par une impulsion en provenance d'un anneau de distribution au moment où l'anneau amorce son cycle. De ce fait, les déclen cheurs, sont ramenés cent fois en position pendant la réception et l'emmagasinage d'un élément d'enregis trement sur les, lampes à rayons cathodiques.
<I>Matrice de décodage.</I> - La matrice de décodage des fig. 36 et 37 est prévue pour convertir l'infor mation initialement reçue des sept pistes du ruban et maintenant emmagasinée dans le registre de déclen cheurs (fig. 35) en une série d'impulsions réglées dans le temps et représentatives du code Hollerith habituel utilisé pour la perforation de cartes compta bles. La sortie de la matrice est utilisée pour emma gasiner l'information à la surface des tubes à rayons cathodiques.
Ainsi qu'on l'a indiqué plus haut, la codification Hollerith peut comporter une informa tion numérique ou alphabétique aussi bien que l'un quelconque des caractères spéciaux.
Les couplages cathodiques 68 à 80 présentent simultanément l'information emmagasinée. à la ma trice à diode suivant la grandeur de leurs. tensions de cathode particulières. La matrice convertit les sorties appliquées simultanément en code binaire en un jeu de douze sorties apparaissant simultanément et représentant le code Hollerith. Du fait que le code Hollerith doit être introduit en série dans les lampes d'emmagasinage à rayons cathodiques, les sorties en série de la matrice doivent être ramenées à l'ordre en série réglé dans le temps représenté.
Ceci est réalisé par interrogation séquentielle de chaque sor tie pour déterminer si oui ou non. un signal est pré sent sur celle-ci. Un circuit et est utilisé à cha que sortie et il est tel qu'un signal de sortie est fourni lors de la coïncidence d'une entrée provenant de la matrice et d'une impulsion provenant de l'an neau de distribution.
L'anneau de distribution est l'anneau dit de Treize représenté sur la fig. 38 et cet anneau est également utilisé pour contrôler la dé flexion verticale des faisceaux de rayons cathodiques de telle sorte que la représentation en série corres- ponde aux diverses positions des faisceaux dans, une colonne donnée des lampes à rayons cathodiques.
<I>Code binaire et code Hollerith.</I> - La fig. 48 est un tableau. représentant la corrélation entre le code Hollerith et le code binaire. Le code binaire com porte six chiffres d'information binaire grâce aux quels des combinaisons de ces chiffres peuvent être utilisées pour représenter des caractères. Les deux premiers chiffres, comme on l'a indiqué ci-dessus, sont utilisés pour la représentation de zone dans la codification de caractères alphabétiques, et les qua tre derniers chiffres sont utilisés pour représenter des caractères numériques, le tout de la manière indiquée ci-dessus.
La conversion des deux zones du code binaire aux trois zones du code Hollerith se présente de la manière représentée sur la fig. 48 où l'on voit qu'un 1 indique la présence d'un signal et un 0 l'absence du signal.
EMI0011.0027
Zones <SEP> en <SEP> code <SEP> Zones <SEP> Hollerith
<tb> 1-1 <SEP> Perforation <SEP> 12
<tb> 1-0 <SEP> Perforation <SEP> 11
<tb> 0-1 <SEP> Perforation <SEP> 0
<tb> 0-0 <SEP> Nombres Les quatre derniers, chiffres du code binaire re présentent les chiffres 8, 4, 2, 1, de telle sorte que le nombre 11, par exemple, est constitué par la combinaison 8-2-1.
Un nombre en code Hollerith est représenté dans le code binaire par addition de 3 à la représentation Hollerith. Par exemple, un 8 en code Hollerith est représenté en code bi naire par 11 . D'une manière identique, là où la lettre B est représentée sous la forme d'une perfora tion dans la zone 12 et d'une perforation. 2 en code Hollerith, elle est indiquée par une perforation dans la zone 1-1 et dans la zone 4-1 (ou 5) en code binaire.
On peut donc dire que deux opérations sont nécessaires. pour convertir le code binaire en code Hollerith. Premièrement, l'information de zone doit être transposée d'une zone à l'autre. Deuxièmement l'information numérique doit être transposée de la représentation 8-4-2-1 en un seul chiffre ayant une valeur inférieure de 3 à celle donnée par la repré sentation 8-4-2-1 du code binaire. <I>Matrice de conversion à diodes.</I> - La matrice de conversion est constituée en fait par une paire de matrices, dont l'une est représentée sur la fig. 36 et l'autre sur la fig. 37.
La matrice de la fig. 36 effec tue la conversion du code binaire au code Hollerith, tandis que la matrice de la fig. 37 effectue la con version des données. numériques disposées en. code binaire. Chacune des. matrices est composée de circuits et à diodes connectés de telle sorte qu'une com binaison particulière d'entrées donnera une sortie particulière. L'entrée à la matrice doit indiquer l'absence d'un. chiffre aussi bien que sa présence.
Un couplage cathodique est connecté à chaque anode des déclencheurs d'emmagasinage (fig. 35), comme on l'a indiqué, de telle sorte qu'une sortie sous -I-- 10 volts d'un. tel couplage cathodique, le couplage cathodique 68, par exemple, indiquera l'absence de caractère, tandis qu'une. sortie sous -i-- 10 volts du couplage cathodique 70 indiquera la présence d'un caractère dans ce canal.
Les couplages cathodiques qui sont alimentés par les déclencheurs de registres sont connectés à la matrice de zone de sorte que leurs sorties sont envoyées dans les, éléments horizontaux du réseau de matrice. L'autre entrée principale aux matrices est constituée par la sortie de l'anneau de distribu tion de la déflexion verticale, c'est-à-dire l'anneau dit de Treize (représenté par l'élément 18 de la fig. 1 et indiqué plus en détail sur la fig. 38). Cet anneau de distribution. a douze sorties correspondant aux douze positions de points d'index d'une colonne de carte.
Les sorties sont conditionnées à raison d'une à la fois. à un moment situé dans l'ordre suivant lequel une carte est ordinairement explorée, c'est- à-dire avec la position de point d'index 12 en. tête. Les sorties 12, 11 et 0 de l'anneau de Treize pénè trent dans la matrice de zone par l'intermédiaire d'un, câble 84. Les sorties 1 à 19 de l'anneau de Treize pénètrent dans la matrice numérique par l'en tremise d'un câble 86.
Les circuits et des matri ces sont disposés de telle sorte qu'une impulsion provenant de l'anneau de distribution constitue une partie nécessaire de la coïncidence qui engendre une sortie de la matrice de conversion. Les sorties en code Hollerith 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 8/3, 8/4 sont connectées aux bornes 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97 et 98 respectivement. Chacune de ces bornes de sorties (fig. 37) aboutit à un couplage cathodique qui fait partie d'un groupe de couplages cathodiques 99.
Les sorties de la matrice de zone (fig. 36) con nectent les grilles d'ün jeu similaire de couplages cathodiques 100. Le fonctionnement des circuits et utilisés dans les, deux matrices de conversion des fig. 36 et 37 sera mieux compris en se référant à la fig. 29.
Si l'on considère l'un quelconque des conducteurs 101, 102 et 103, une coïncidence de la totalité des entrées connectées à ce conducteur par l'entremise des diodes. doit se présenter avant que la grille du couplage cathodique également connectée à cette colonne particulière voit sa tension s!'élever suffisamment pour provoquer l'apparition d'une sor tie sous -I- 10 volts à la ligne de sortie 104.
Les entrées A, B et C, et les entrées à l'anneau de dis tribution TR sont soit sous -30 volts, soit sous -f- 10 volts. Si les entrées A et B sont sous -I- 10 volts et l'entrée C sous -30 volts, une impulsion de sortie de -I- 10 volts apparaît au conducteur de sortie 104 lorsqu'une impulsion de réglage dans le temps est appliquée au conducteur 101.
L'application d'une impulsion de réglage dans le temps aux conducteurs 102 et 103 en succession, après son application au conducteur 101, ne produira pas d'impulsions de sortie étant donné que l'entrée C maintient les deux conducteurs sous -30 volts.
<I>Conversion dans la</I> matrice. - Dans la descrip tion du fonctionnement des matrices représentées sur les fig. 36 et 37, on se reportera aux nombres appa raissant dans une colonne située à droite des matri ces.
Ces nombres indiquent les couplages cathodiques auxquels sont connectés les conducteurs horizontaux de la matrice. Ainsi, le nombre 8 désigne le con ducteur horizontal de la matrice qui se trouvera sous un courant continu de -I-- 10 volts lorsqu'un 8 se présentera sur le ruban. Le nombre 8 de la seconde position à partir du bas représente le fait qu'aucun 8 n'est présent dans le mot en cours d'extraction du ruban.
Supposons que le mot binaire de six chiffres. 0-0 1-0-1-1 ait été lu sur le ruban, et considérons seu lement la partie numérique du mot, c'est-à-dire les quatre derniers chiffres ; la matrice numérique (fig. 37) recevrait alors les entrées suivantes qui se trouveraient sous -f- 10 volts 8 = présence d'un 8 4 = absence d'un 4 2 = présence d'un 2 1 = présence d'un 1 Dans ces conditions, les autres entrées demeurent sous -30 volts. Les impulsions de l'anneau de distri bution sont maintenant appliquées par l'entremise du câble 86 à une fréquence de 100 kilocycles.
Une impulsion de réglage dans le temps est tout d'abord appliquée à travers un, conducteur 106. Un conduc teur 108, qui aboutit à la borne de sortie 88, est connecté aux conducteurs horizontaux 8, 4, 2 et Î à travers les diodes. Etant donné que tous ces con ducteurs sont sous -30 volts, le niveau de courant continu de la grille d'un couplage cathodique 110, dans lequel débouche la ligne 108, ne peut être élevé pour provoquer la conduction. Une impulsion de réglage dans le temps est ensuite appliquée à travers un conducteur 112.
Etant donné qu'une ou plusieurs des lignes horizontales de la matrice, connectées, par l'entremise des diodes au conducteur 114, se trouvent sous -30 volts, il ne se produit pas de sortie. Ce processus se poursuit jus qu'à ce que chaque conducteur vertical de la matrice ait été interrogé.
Au moment ou une impulsion de réglage dans le temps est appliquée à travers un conducteur 116, on voit que la totalité des conducteurs horizontaux con nectés au conducteur 118 par l'entremise des diodes sont sous -I- 10 volts, sauf le conducteur 1, qui se trouve sous -30 volts. Il ne se produit donc pas de sortie.
Toutefois, la totalité des conducteurs horizontaux connectés, par l'entremise des diodes à un conduc teur vertical 120 se trouvent sous un potentiel de -f- 10 volts ; de ce fait, l'application d'une impulsion de réglage dans le temps sous -I- 10 volts par l'entre mise du conducteur 12,1 provoque l'élévation à -F- 10 volts de la tension au conducteur 120.
Etant donné que la borne de sortie 95 du conducteur 120 se trouve maintenant sous -h 10 volts, le couplage cathodique 110a qui lui est connecté émettra une impulsion de sortie de -f- 10 volts qui sera appliquée à un conducteur 123. En vérifiant le reste des matri ces numériques de la manière décrite, on voit qu'au cune impulsion de sortie ne se produit.
La totalité des impulsions de sortie provenant des couplages cathodiques. du groupe<B>110</B> sont appliquées. au con ducteur<B>123</B> suivant une séquence réglée dans le temps. et elles sont distribuées à travers le système à partir de ce conducteur.
Pour examiner la totalité des éléments actifs de la matrice numérique de conversion à diodes de la fig. 37, on prendra un exemple dans lequel la sortie du conducteur 123 correspondra aux perforations 8 et 3 d'une carte (les perforations 8 et 3 représentent le signe # en code Hollerith).
La représentation des perforations 8 et 3 du code Hollerith dans le code binaire est constituée par le nombre binaire 0-0-1-1-0-1. Les entrées à la matrice numérique qui, pour ce nombre, doivent être sous + 10 volts., sont les suivantes 8 = présence. d'un 8 4 = présence d'un 4 2 = absence d'un 2 1 = présence d'un 1 Les autres entrées sont sous -30 volts.
A l'examen, des diverses: possibilités, on peut voir que le seul conducteur vertical qui puisse être amené à + 10 volts est le conducteur 122. Le conducteur 122 ne peut voir sa tension. s'élever que si le conduc teur 124 est sous + 10 volts. Au temps 3, une impul sion de réglage dans le temps sous + 10 volts est envoyée de l'anneau dit de Treize (fig. 38), en. pas sant par le câble 86, à la matrice par l'entremise d'un conducteur 126. Cette impulsion est appliquée par un conducteur 128 à un, circuit ou 129.
Le circuit ou 129 amène à la conduction un cou plage cathodique 130, de sorte que + 10 volts sont appliqués au conducteur 124. Le fait que les con ducteurs horizontaux 8, 4 et 1 sont sous + 10 volts, conjugué avec le fait que le conducteur 124 est main tenant lui aussi sous + 10 volts, provoque l'éléva tion à + 10 volts de la tension du conducteur 122. Une tension de + 10 volts est par conséquent appli quée au couplage cathodique 110b, forçant la con duction, à se produire, de telle sorte qu'une impulsion de sortie apparaîtra sur le conducteur 123.
De ce fait, une impulsion correspondant à la perforation 3 de la carte est apparue sur le conducteur 123.
Au moment 8 du cycle, une impulsion de réglage dans le temps de + 10 volts est appliquée à la matrice par l'entremise du conducteur 12.1. Cette impulsion est appliquée au circuit ou 129 par l'entremise d'un conducteur 131. Le circuit ou <B>129</B> transmet l'impulsion, pour amener le couplage cathodique<B>130</B> à conduire, élevant de ce fait le con ducteur 124 à + 10 volts. Ceci, à son tour, amène le conducteur 122 à + 10 volts une fois de plus. Le couplage cathodique 110b est ainsi conducteur et produit une impulsion de sortie sur le conducteur 123 au temps 8.
Le résultat total est constitué par l'application suivant une séquence réglée dans le temps d'une impulsion 3 et d'une impulsion 8 sur le conducteur 123, correspondant aux points d'index 8 et 3 d'une carte perforée.
Un, exemple du. fonctionnement de la matrice de zone de la fig. 36 aidera à mieux comprendre son rôle. Ainsi qu'on l'a indiqué précédemment, la ma trice de zone (fig. 36) est constituée par divers cir cuits et à entrées multiples alimentant une série de couplages cathodiques 100. La totalité des catho des des couplages cathodiques 100 sont reliées entre elles et elles sont connectées au conducteur de sortie 123 par l'entremise d'une ligne 132. On a donné une introduction à ce circuit dans la description de la fig. 49.
Les deux canaux de zone 50 et 52 venant des têtes de ruban pénètrent dans la matrice de zone aux bornes 133, 134, 135 et 136. A la droite de la matrice, ces conducteurs, horizontaux sont identifiés par le fait de savoir si une information est présente ou non sur l'une quelconque des lignes. intéressées.
C'est ainsi que le symbole 1-0 indique qu'aucune information n'est présente dans le canal d'entrée 50, que le symbole 1-0 indique qu'un signal est présent dans le canal d'entrée 50, que le symbole 0-1 indi que qu'aucune information. n'est présente dans le canal d'entrée 52, et que le symbole 0-1 indique la présence d'un signal dans le canal d'entrée 52.
Avant d'en venir à ce troisième exemple, il appa raît nécessaire de considérer les six can<U>aux</U> ho<U>rizon</U> taux de matrice désignés par 000, 0010, 0011, 0000, 0010, 0011, qui sont alimentés à travers les couplages cathodiques par la matrice numérique de la fig. 37.
Il existe plusieurs mots binaires dans le code bi naire qui n' 'ont point de signification dans le code Hollerith conventionnel, à savoir: 0-0-0-0 du code Hollerith est égal à 0 du code binaire, 0-0-0-1 est égal à 1 dans le code binaire, et 0-0-1-0 est égal à 2 dans le code binaire. On tire profit de ce fait, et ces nombres sont combinés avec les diverses zones pour désigner ces éléments sous le nom de repères de zone, repères d'enregistrements et repères de ruban.
Les, indications que l'on vient de mentionner sont utilisées pour contrôler certaines opérations du système, telles que la mise en route et l'arrêt de l'élé ment d'entraînement du ruban, par exemple, ainsi qu'on l'expliquera plus en détail ci-après..
Si le nombre binaire 0-0-0-0 se trouvait présent dans la matrice numérique (fig. 37), les entrées 1, 2, 4, et 8 se trouveraient sous + 10 volts. De ce fait, le conducteur vertical 138 (fig. 37) se trouvait élevé à + 10 volts.
Ceci servirait à provoquer la conduction d'un couplage cathodique 140 de sorte que la sortie apparaissant sur l'a ligne 142 serait amenée à + 10 volts, amenant ainsi le conducteur de matrice horizontale 0-0-0-0 (fig. 36) à + 10 volts. Au même moment, le couplage cathodique 140, en raison de sa tension de sortie élevée, provoque la conduction d'un inverseur 144.
La diminution de la tension d'anode de l'inverseur 144 prive un couplage cathodique de tout entraînement de sorte que son condensateur de sortie 148 se trouve sous. -30 volts. Un<U>potentie</U>l de -30 volts sur le conducteur horizon- tal 0-0-0-0, qui est<U>connec</U>té au conducteur 14.8, indique que l'entrée 0-0-0-0 n'est pas présente, ou que l'entrée 0=0-0-0 est présente dans la matrice numérique.
D'une manière identique, si l'entrée 0-0-1-0 était présentée à la matrice numérique, le conducteur ver tical 150 serait sous + 10 volts, provoquant la con- duction. d'un couplage cathodique 152. La sortie sous -I- 10 volts du couplage cathodique 152 force le conducteur horizontal 0-0-1-0 de la matrice de zone à se trouver sous -f- 10 volts.
La sortie du cou plage cathodique 152 provoque la conduction d'un inverseur 154, forçant le couplage cathodique 156 à être non conducteur. Par conséquent, le conducteur horizontal 0010 de la matrice de zone se trouve sous -30 volts.
D'une manière identique à celle indiquée dans les paragraphes, précédents, l'application de l'entrée 0-0-1-1 à la matrice numérique forcera le conducteur vertical de matrice 158à monter à -f- 10 volts, ce qui provoquera la conduction de la cathode 160 qui lui est connectée et, du fait de l'inverseur 162, la non-conduction du couplage cathodique 164. Il en résulte que le conducteur horizontal 0-0-1-1 de la matrice de zone se trouve<U>sous</U> -I- 10 volts et que le conducteur horizontal 0-0-1-1 se trouve sous -30 volts.
Si l'on en vient maintenant au troisième exem ple dans lequel il est question de la matrice de zone, on supposera que le mot binaire 1-1-1-0-1-1 a été extrait du ruban et envoyé aux matrices. Du tableau représentant les codes de la fig. 48, il res sort que cette entrée représente la lettre H dans le code Hollerith, ce qui est indiqué par des perfora tions aux positions de points d'index 8 et 12 d'une carte.
L'application du mot binaire aux matrices fournit un potentiel de -i- 10 volts aux conducteurs <U>horizon</U>taux<U>de la</U> matrice de zone 1-0, 0-1, 0-0-0-0 0-0-1-0 et 0-0-1-1.
Les autres conducteurs horizon taux de la matrice de zone (fig. 36) se trouvant sous -30 volts. Ainsi, lorsqu'une impulsion de réglage dans le temps sous -I- 10 volts est appliquée à tra vers un conducteur 166 au -moment 12, le conduc teur 168 est amené à -!- 10 volts. Ceci permet à un couplage cathodique 100 d'être conducteur et d'émet tre de ce fait une impulsion de sortie représentant la perforation 12 sur le conducteur 132, qui est connecté au conducteur de sortie 123 (fig. 37).
On a décrit précédemment comment une impulsion représentant la perforation 8 apparait sur le conduc teur 123 au temps 8. Le résultat net consiste en l'ap parition d'une impulsion 12 et d'une impulsion 8 sur le conducteur 123 suivant une séquence réglée dans le temps, de manière à représenter une perforation 12 et une perforation 8 dans une carte comptable perforée.
Un examen supplémentaire de la matrice de zone (fig. 36) révèle que le mot binaire 1-0-0-0-0-0 (indi catif d'un repère d'enregistrement) forcera les con ducteurs horizontaux 1-0 et 0-0-0-0 à s'élever à -I- 10 volts.
Lors de l'application d'une impulsion de réglage dans le temps, sous -I- 10 volts au moment 12 par l'entremise du conducteur 166, le conducteur vertical 170 se trouve sous -I- 10 volts, de sorte que le couplage cathodique 100 est conducteur, provo quant l'apparition d'une impulsion de sortie sur un conducteur situé en 172. Cette impulsion est envoyée à d'autres éléments du système de manière à indi quer la fin d'un enregistrement. Le rôle de l'impul sion de repère d'enregistrement sera décrit plus en détail ultérieurement.
D'une manière identique, le mot binaire 0-1-0 0-0-0 (indicatif d'un. repère de ruban) provoquera l'apparition d'une impulsion de sortie sur une ligne de sortie 174 par l'entremise du couplage cathodique 100. Cette impulsion est utilisée par d'autres élé ments du système de contrôle pour signifier la fin d'une bobine de ruban dans le mécanisme d'entraî nement du ruban. La manière suivant laquelle l'im pulsion. de repère du ruban est utilisée sera décrite plus en détail dans la suite de la description.
La sortie de la matrice de conversion totale (fig. 36 et 37) constituant la représentation réglée dans le temps du code Hollerith, apparait sur le conduc teur 123 (fig. 37) et elle est envoyée à travers divers circuits de contrôle pour apparaitre finalement à la grille des lampes d'emmagasinage à rayons cathodi ques, provoquant l'emmagasinage de l'information dans celles-ci.
<I>Régulation sous 100 kilocycles.</I> - On a prévu dans, le présent dispositif, et on a représenté en détail sur la fig. 34 un générateur d'impulsions de base ou dispositif de régulation., destiné à régler électrique ment dans le temps le système de .conversion élec tronique. La base, du réseau de régulation est cons tituée par un multivibrateur 175 (fig. 34) qui est analogue au multivibrateur représenté sur la fig. 32. Les éléments, constituant le multivibrateur ont été conçus pour fonctionner à la fréquence de 100 kilo cycles par seconde.
La sortie du multivibrateur 175 est envoyée à travers un inverseur 176 qui module les impulsions suivant une forme sensiblement rec tangulaire. Les impulsions de l'inverseur entraînent un réseau de couplage cathodique 177 qui est utilisé pour isoler le dispositif de régulation du reste des circuits et pour fournir le courant demandé par les circuits recevant les impulsions de réglage. Les impul sions de réglage varient entre les limites extrêmes de -f- 10 et -30 volts, et chaque impulsion présente une largeur de 10 microsecondes.
De la sortie des, couplages cathodiques 177, les impulsions de réglage sont envoyées aux autres cir cuits du système de conversion partout où cela est nécessaire. Les impulsions de réglage sous 10 kilo cycles, sont utilisées pendant l'opération d'enregis trement pour faire avancer l'anneau dit de Treize (fig. 38), l'anneau de Treize interrogeant à son tour la matrice de diodes, de la manière précédemment décrite, et contrôlant la position verticale des fais ceaux de lampes à rayons cathodiques.
Pendant l'opération d'extraction, les impulsions de réglage sous 100 kilocycles font avancer l'anneau dit de Cent représenté sur la fig. 43. L'anneau de Cent contrôle la position horizontale des faisceaux des lampes à rayons cathodiques. Pendant la période où les éléments disposés dans les lampes à rayons cathodiques, se trouvent en cours de régénération, les impulsions de réglage sous 100 kilocycles sont envoyées dans l'anneau de Treize.
L'inverseur 178 (fig. 34) est utilisé pour suppri mer le fonctionnement du multivibrateur 175 pen dant une courte période de temps à la suite de la remise en position de départ de la totalité des an neaux et déclencheurs, disposés, à travers la machine. Par enfoncement d'un commutateur de remise à zéro, la tension sous -100 volts appliquée par l'intermé diaire d'une résistance à la borne 9 de l'inverseur 178 est coupée. Par conséquent, la grille de l'inver seur 178 est amenée sous + 10 volts, de sorte que l'inverseur est pleinement conducteur.
Du fait que l'anode de l'inverseur 178 est connectée à une anode du multivibrateur 175, le multivibrateur ne peut fonctionner aussi longtemps que le potentiel à l'anode de l'inverseur 178 est réduit. Etant donné que la grille de l'inverseur 178 est amenée sous -f- 10 volts, le condensateur 180 se charge jusqu'à un point voi sin de + 150 volts. Par conséquent, la constante de temps du condensateur 180 et de sa résistance en dérivation<B>181</B> provoquent un retard dans le retour sous -30 volts de. la grille de l'inverseur 178.
Ce retard force le multivibrateur 175 à demeurer inactif pendant quelques millisecondes. 11 est désirable de supprimer le fonctionnement du multivibrateur 175 pendant une courte période de temps en vue de garantir que la totalité des déclencheurs, etc., auront le temps. de retourner en position de départ avant l'apparition, des: impulsions de réglage.
<I>L'Anneau de</I> Treize. - La fig. 38 du dessin représente l'anneau de Treize qui fournit les impul sions de réglage dans le temps utilisées pour con trôler la déflexion verticale des faisceaux des lam pes à rayons cathodiques, l'exploration de la matrice de conversion à diodes, les circuits de contrôle par répétition et les circuits de blocage de caractères. Il y a lieu de noter que l'anneau de Treize émet des impulsions de réglage dans le temps suivant une séquence correspondant aux points d'index d'une colonne de carte perforée.
L'anneau de Treize est entrainé par le multivibra teur 175 qui, ainsi qu'on l'a indiqué plus haut, fonc tionne à la fréquence de 100 kilocycles par seconde. L'information est emmagasinée, ainsi qu'on l'a dit plus haut, en colonnes sur la surface de la lampe à rayons cathodiques suivant une disposition, sembla ble à la disposition des points d'index de la carte. Chaque colonne d'information est emmagasinée en disposant les faisceaux de la lampe à rayons catho diques, position. par position, c'est-à-dire point d'in dex par point d'index, en bas de la colonne.
C'est l'anneau de. Treize qui contrôle les circuits de dé flexion verticale, mettant ainsi en place les faisceaux de rayons cathodiques. La manière suivant laquelle les impulsions de réglage provenant de l'anneau de distribution interrogent les matrices de conversion (fig. 36 et 37) a déjà été indiquée. Les impulsions de réglage dans le temps en provenance de l'anneau de Treize sont également utilisées pour contrôler les circuits, de vérification par répétition et le blocage de caractères,
dont on discutera plus loin en détail le rôle respectif.
L'anneau de Treize est constitué par treize paires de déclencheurs, dont chacun est réalisé de la manière représentée sur la fig. 20 du dessin. Ces paires sont connectées sous forme d'anneau fermé pour constituer un anneau d'Overbeck de la manière décrite dans, le brevet américain No 2404918.
L'anneau de Treize, tel qu'il est représenté sur la fig. 38, a la totalité de ses déclencheurs remis à zéro sur celui des côtés qui est identifié par un petit x dans le bloc destiné à symboliser le déclencheur, 1'x indiquant le côté sur lequel le déclencheur est conducteur. Les impulsions négatives de 100 kilo cycles sous 40 volts destinées à l'entraînement sont appliquées à l'anneau par l'entremise du conducteur d'entrée 182. Connecté à l'anode de la lampe de droite de chaque paire de déclencheurs est disposé un couplage cathodique.
Les couplages cathodiques sont utilisés pour empêcher le chargement des paires de déclencheurs. En transférant la conduction de la lampe de droite à celle de gauche, une paire de déclencheurs émet un. signal de direction positive qui est transmise au couplage cathodique qui lui est associé. Le couplage cathodique alimente les circuits connectés à l'anneau de distribution.
D'une manière plus précise, les déclencheurs de la fig. 38 qui sont identifiés par le symbole RT sont en outre identifiés par un nombre désignant l'étage du déclencheur. La borne de sortie positive 5 de chaque déclencheur est connectée au couplage catho dique qui lui est associé par la borne 9 de celui-ci.
Si l'on considère l'anneau à ramener en position de départ tel qu'on le voit sur la fig. 38, -on remar quera que la première impulsion négative appliquée à la ligne d'entrée 182 provoque le transfert du déclencheur 183, émettant ainsi une impulsion néga tive en direction de la borne 4 de l'étage inférieur suivant (déclencheur 184). L'impulsion négative appliquée au déclencheur 184 le force à transférer la conduction à son côté gauche.
Le fait que le dé clencheur 184 est transféré provoque l'application d'un, potentiel positif à la borne 9 d'un couplage cathodique<B>185</B> connecté au déclencheur 184, ren dant de ce fait le couplage cathodique 185 pleine ment conducteur. La tension de sortie du couplage cathodique 185 s'élève à -1- 10 volts. Cette impulsion de sortie représente la perforation 12 en code Holle rith.
L'impulsion de réglage dans le temps suivante qui arrive à la ligne d'entrée 182 provoque le trans fert du déclencheur 184 vers le côté droit. Le trans fert du déclencheur 184 provoque l'interruption de l'entrée positive au couplage cathodique 185, après quoi la sortie de cette lampe tombe à -30 volts.
Le transfert de la conduction dans le déclencheur 184 provoque également l'émission d'une impulsion néga tive à la borne 4 de l'étage de déclencheur suivant 186, forçant ainsi le déclencheur 186 à transférer la conduction à sa partie gauche. Cette action force le couplage cathodique 187 qui lui est associé à émet tre une sortie de -I- 10 volts correspondant à la per foration 11 du code Hollerith.
Le processus, de déclenchement que l'on vient de décrire se poursuit aussi longtemps que la position de l'anneau de Treize progresse à la fréquence de 100 kilocycles, jusqu'à ce que le dernier déclencheur 188 de celui-ci se trouve dans la condition où le côté gauche de celui-ci est conducteur (ce déclen cheur représentant la position de point d'index 9 en code Hollerith).
L'application de l'impulsion suivante de réglage dans le temps de 10 kilocycles au conduc teur d'entrée 182 force le déclencheur <B>188</B> à inverser son état de conduction et à émettre à nouveau un signal de sens négatif par l'entremise d'un conduc teur 189 qui est connecté entre la sortie de droite du déclencheur<B>188</B> et le côté gauche du déclencheur d'entrée 183.
L'impulsion négative appliquée sur le conduc teur 189 force le déclencheur 183 à basculer et à devenir conducteur sur sa partie gauche, de sorte que le signal envoyé à la borne 9 d'un couplage cathodique 190 auquel le déclencheur 183 est con necté provoque l'élévation à -I-- 10 volts du potentiel de courant continu de la ligne de sortie 191 du cou plage cathodique.
L'impulsion positive sur la ligne 199 constitue le signal de report de treize , et elle est appliquée à l'inverseur 82 (fig. 35) et, par l'en tremise de cet inverseur, au côté gauche de chacun des déclencheurs 64, 50a, 52a, 54a, 56a, 58a, 66a, du registre d'emmagasinage d'entrée (fig. 35), for çant ces déclencheurs à retourner en position de départ où leur côté droit est conducteur.
Après que les déclencheurs du registre d'emmagasinage d'entrée ont été ramenés en position de départ, les circuits sont prêts à recevoir un autre mot en provenance du ruban.
Le signal de report de treize est également appliqué, par l'entremise d'un conducteur 192, aux circuits de contrôle de la fig. 33, provoquant la dis connexion des impulsions de réglage d'avec le con ducteur d'entrée 182<B>(fi-. 38)</B> à la fin d'une révolu tion de l'anneau de Treize.
Le début du mot suivant actionnera les circuits de contrôle de la fig. 33 pour réétablir la connexion entre le dispositif de régulation sous 100 kilocycles et l'entrée de l'anneau de Treize, conducteur 182. Cette dernière fonction sera décrite en détail au moment où, dans la suite de la descrip tion, on traitera du blocage de caractère.
Le signal de report de treize de l'anneau de Treize est également appliqué aux circuits de con trôle point-trait de la fig. 47 par l'entremise d'une connexion 193 pour forcer les circuits point-trait à fonctionner .pendant l'enregistrement et la régénéra tion de l'élément disposé dans la lampe à rayons cathodiques. <I>Circuits de contrôle de blocage de caractère. -</I> Les circuits de contrôle de blocage de caractère ont été conçus pour synchroniser l'entrée d'un caractère provenant du ruban avec le fonctionnement cyclique de l'anneau de Treize.
En bref, les éléments d'infor mation représentant un mot arrivent par les six canaux d'entrée en provenance du ruban (fig. 35). Après l'arrivée du premier élément, l'anneau de Treize ne commence pas l'interrogation de la matrice de conversion (fig. 36 et 37) avant que la totalité des éléments représentant ce mot soient arrivés. Les circuits de contrôle de blocage de caractère donnent un retard de 50 à 60 microsecondes après l'arrivée du premier élément et avant le début d'un cycle de l'anneau de Treize.
Pendant ce retard de 50 à 60 microsecondes, la totalité des éléments sont supposés être arrivés. et ils sont supposés être emmagasinés dans les déclencheurs du registre d'entrée (fig. 35). A la fin de cette période de retardement, l'anneau de Treize est autorisé à effectuer un cycle tout en interrogeant la matrice de conversion avant que le cycle ne soit interrompu. L'arrivée du premier élé ment du mot suivant provoque la répétition de l'opé ration qui vient d'être décrite.
Sur la fig. 35, les éléments individuels d'infor mation qui ont été extraits du ruban et qui repré sentent un seul mot arrivant aux lignes d'entrée 60, par exemple, pénètrent dans un inverseur d'entrée (66, par exemple) et forcent un déclencheur associé (66a, par exemple) du registre d'entrée à transférer son état de conduction. Si un déclencheur est actionné, le couplage cathodique approprié (70, par exemple) est amené à être conducteur et les conduc teurs (194, par exemple) réunis à la sortie du cou plage cathodique voient leur potentiel s'élever à -I-- 10 volts.
Les conducteurs 194, 196, 197, 198, 199, 200 et 201 sont connectés aux sorties des cou plages cathodiques oui , c'est-à-dire aux couplages cathodiques de la fig. 35 qui ont une sortie positive lors de l'arrivée d'un élément d'information. Les lignes 194 à 201 (fig. 35) sont connectées à un groupe de circuits et et à un groupe associé de couplages cathodiques représentés sur la fig. 35. Le conducteur 194 constitue une entrée à un circuit et 202 (fig. 35).
Le conducteur 196 alimente un circuit et<B> </B> 203, le conducteur 197 alimente un circuit et 204, le conducteur 199 alimente un circuit et 206; le conducteur 200 alimente un circuit et 207, et le conducteur 201 alimente un circuit et 208.
Il y a lieu de noter également que ces entrées aux circuits et sont également con nectées respectivement aux couplages cathodiques associés 209, 210, 211, 212, 213, 214 et 215 qui sont tous représentés sur la fig. 35. Etant donné que seul le couplage cathodique 215 comporte une résis tance de cathode, les, cathodes de la totalité des autres couplages cathodiques sont connectées à la cathode du couplage cathodique 215, ce groupe d'élé ments. constitutifs composant en effet un circuit ou à sept voies.
Ainsi, l'arrivée du premier élé- ment d'information en provenance du ruban forcera l'un des couplages cathodiques à être rendu conduc teur de sorte que. le conducteur de sortie 216 se trou vera sous + 10 volts.
La tension sous -'-- 10 volts existant sur le con ducteur 216 entraînera un inverseur<B>216</B> (fig. 34) à l'état de conduction, avec ce résultat qu'un multi- vibrateur 217 à une seule position stable qui y est réuni est actionné et forcé d'émettre une impulsion positive présentant une longueur de 50 à 60 micro secondes à sa borne 6. Le bord arrière, dirigé vers le négatif de l'impulsion provenant du multivibrateur à une seule position stable force un déclencheur 218 à transférer la conduction à sa partie gauche.
Le transfert de la conduction du déclencheur 218 force sa borne 5 à s'élever à un potentiel élevé de sorte qu'un couplage cathodique 219 qui lui est connecté est amené à l'état de conduction, élevant le potentiel de son conducteur de sortie 220 à + 10 volts. Ceci conditionne une entrée d'un circuit et 22.1.
L'au tre entrée du circuit et 221 est constituée par l'impulsion de réglage sur le conducteur 22, grâce à quoi la réception d'une impulsion de réglage a pour effet d'amener la seconde entrée (borne 3) du circuit et 221 à + 10 volts. Ainsi, la sortie du circuit et 221 sera une impulsion positive de + 10 volts qui entraînera un inverseur 223 qui lus est connecté à l'état de conduction.
Le signal en direction, négative provenant de l'in verseur 223 est envoyé à l'entrée binaire y connectée d'un déclencheur 224, forçant ce déclencheur à transférer la conduction à son côté droit. L'impul sion de réglage suivante sur le conducteur d'entrée 222 force également la sortie du circuit et 221 à entraîner l'inverseur 223 à la conduction totale. Le signal de sortie de direction négative provenant de l'inverseur 223 est envoyé aux deux grilles du dé clencheur d'entrée binaire 224, forçant ce déclen cheur à ramener la conduction à son côté gauche.
Le fait que le déclencheur 224 a transféré la conduction à sa partie gauche provoque l'envoi d'un signal de direction négative au déclencheur 218, après quoi ce déclencheur est transféré et devient conducteur sur son côté droit.
Le déclencheur 218 est disposé dans un réseau constitué par le couplage cathodique 219, le cir cuit et 221, l'inverseur 223 et le déclencheur 224 pour garantir que l'impulsion qui excite le déclen cheur d'enregistrement 225 se produit en coïncidence avec l'une des impulsions de réglage. Cette condi tion est nécessaire puisque le moment exact auquel arrive. une impulsion de caractère ne peut être garanti avec certitude.
Lorsque le déclencheur 218 passe du côté gau che au côté droit, la borne de sortie 8 de celui-ci émet une impulsion négative et force ainsi le déclen cheur d'enregistrement 225 à basculer pour deve nir conducteur sur sa partie gauche. Il en résulte que la borne de sortie 8 du déclencheur 218 devient négative, forçant ainsi le déclencheur d'enregistre- ment 225 à changer de position et devenir conduc teur sur sa partie gauche. Il en résulte que la borne de sortie du déclencheur d'enregistrement 225 est amenée à une tension positive élevée qui provoque la conduction d'un couplage cathodique 226 relié à celui-ci.
La sortie du couplage cathodique 226, qui se trouve maintenant sous + 10 volts, transmet son impulsion à travers: un circuit ou 227 pour appli quer une impulsion positive ou + 10 volts à une entrée d'un circuit et 228.
L'autre entrée du cir cuit et 226 est connectée par l'entremise d'un conducteur 229 à la source d'impulsions de réglage sous 100 Kc. Ainsi, aussi longtemps que l'entrée à la borne 4 du circuit et 228 demeure sous -I- 10 volts, un inverseur 232 est actionné par les impul sions, de réglage, envoyant de ce fait les impulsions de réglage sous 10 kilocycles par l'entremise d'un conducteur 182 à l'anneau de Treize de la fig. 38.
Si l'on se réfère au déclencheur d'emmagasinage 225 (fig. 34), il est évident que la borne 5 de ce déclencheur se trouvera sous tension réduite pen dant le temps, où s'effectue l'opération d'enregistre ment.
Ainsi, pendant l'enregistrement, une entrée négative est appliquée à la borne 9 d'un couplage cathodique 234 (fig. 34), de sorte que le potentiel d'un conducteur de sortie 235 se trouve être de -30 volts. L'existence de la tension négative lors de l'enregistrement a pour but d'empêcher tous signaux provenant de l'amplificateur vidéo d'atteindre les circuits de contrôle d'enregistrement des lampes à rayons cathodiques.
L'anneau de Treize avance maintenant au fur et à mesure des treize impulsions suivantes, interrogeant les matrices de conversion et faisant avancer les fais ceaux des lampes à rayons cathodiques vers le bas de la première colonne. La treizième impulsion ra mène le déclencheur 188 (fig. 38) à son état original provoquant ainsi l'apparition d'une impulsion néga tive sur le conducteur de sortie 198, qui ramène le déclencheur 183 à l'état de conduction à gauche.
La tension positive résultante à la borne de sortie 5 du déclencheur 183 amène le couplage cathodique qui lui est associé à devenir conducteur, de sorte que le conducteur de sortie 191 relié à celui-ci est amené sous + 10 volts. Ce signal de report de 13 (in diquant que l'anneau de Treize a achevé un cycle) qui vient d'être reçu sur le conducteur 192 entraîne un inverseur 235 (fig. 33) à l'état de conduction et ceci force le déclencheur d'enregistrement 225 (fig. 34) à basculer et devenir conducteur par sa partie droite.
Cette action interrompt le signal d7entraîne- ment en provenance du couplage cathodique 226 de sorte que l'action résultante est constituée par une interruption de l'impulsion d'entrée positive prove nant du circuit et 228. Par conséquent, les im pulsions de réglage sur le conducteur 229 ne sont pas envoyées plus, longtemps au conducteur de sortie 182 de l'inverseur 232, et la progression de l'anneau de Treize est stoppée.
Le signal positif de report de Treize sur le conducteur 192 a été également envoyé par l'entre mise d'un condensateur 237 (fig. 33) et d'un cou plage cathodique 238 à un circuit ou 239 qui provoque la conduction totale d'un inverseur 240 de telle sorte qu'une impulsion négative est délivrée par l'entremise d'un conducteur 241 à l'entrée de l'anneau de Cent (fig. 43).
L'impulsion négative sur la ligne 241 force l'anneau de Cent (fig. 43) à avan cer d'une position, de sorte que les circuits. de dé flexion horizontale déplacent les faisceaux des lam pes à rayons cathodiques vers la colonne suivante.
L'action complète que l'on vient de décrire peut être résumée comme suit: le premier élément d'in formation reçu du ruban amorce un retard de 50 à 60 microsecondes nécessaire pour garantir la récep tion de toute l'information en provenance du ruban en ce qui concerne le mot unique disposé sur celui- ci et dont les éléments peuvent arriver à peu près, en série en raison de l'obliquité, ainsi qu'on, l'a expliqué plus haut.
A la fin de la période de retardement de 50 à 60 microsecondes, l'anneau de Treize progresse de treize positions pour interroger les matrices de conversion et emmagasiner l'information dans la lampe à rayons cathodiques lorsque le faisceau pro gresse au bas de la première colonne.
A la fin. de la première colonne, un signal de report de 13 est émis à partir de l'anneau de Treize, signal qui arrête la progression de l'anneau et force l'anneau de Cent à avancer d'une position, déplaçant ainsi le faisceau de rayons cathodiques vers la colonne suivante. Le système est maintenant prêt pour recevoir le premier élément d'information du mot suivant à extraire du ruban.
<I>L'Anneau de Cent.</I> - L'anneau dit de Cent est prévu pour engendrer des impulsions de réglage dans le temps destinées aux circuits de déflexion horizon tale et à l'allumage d'une série de thyratrons qui sont agencés pour exciter les électros de perforation.
L'anneau -de Cent doit fonctionner à des vites ses différentes suivant que le système effectue l'em magasinage dans, ou l'extraction hors des lampes à rayons cathodiques. Lors de l'enregistrement de l'in formation dans les lampes à rayons cathodiques, le faisceau de rayons cathodiques est amené vers la colonne suivante après achèvement d'une colonne précédente. Ainsi, dans ce cas, l'avance de l'anneau de Cent doit être contrôlée par le fonctionnement cyclique de l'anneau de Treize; chaque fois que l'anneau de Treize achève un cycle, l'anneau de Cent est avancé d'une position.
L'information est extraite de la lampe à rayons cathodiques rangée par rangée à la fréquence de 100 kilocycles. De ce fait, pendant l'opération d'extrac tion des lampes à rayons cathodiques, l'anneau de Cent doit être contrôlé par le multivibrateur à 100 kilocycles.
Lorsque les faisceaux des lampes à rayons cathodiques traversent une rangée, une entrée d'un circuit et , qui est connectée à la grille d'un thy- ratron (correspondant aux colonnes) doit être con ditionnée de, telle sorte que si un trait est rencontré en un point particulier de la grille de la lampe, le thyratron, correspondant à celui-ci (et ce thyratron seulement) est allumé.
* L'anneau de Cent est représenté sur la fig. 43 du dessin. L'entrée à l'anneau est appliquée sur le conducteur 241 à partir soit de l'impulsion de report de 13 émise par l'anneau de Treize, soit du multi- vibrateur à 100 kilocycles sous le contrôle de la per foratrice.
Il peut être avantageux à ce point de la discus sion de s'écarter de la discussion de l'anneau de Cent et de considérer l'entrée à cet anneau pendant l'enregistrement de l'information en provenance du ruban magnétique dans les lampes à rayons catho diques.
Dans la partie de la présente description qui avait trait au contrôle de blocage de caractères., il a été signalé que, aussi longtemps que le déclencheur d'enregistrement 225 (fig. 34) se trouve en position fermée, les impulsions, de réglage dans le temps sous 100 kilocycles sont envoyées à l'anneau de Treize par l'entremise du conducteur d'entrée 182. On a noté également que, après que l'anneau de Treize a terminé un cycle et retourne à sa position de départ, un signal de report de 13 est présent sur le conduc teur 192 (fig. 33).
Cette impulsion de report est appliquée à travers l'inverseur 235 et, par l'entre mise de celui-ci à la borne 3 du déclencheur d'en registrement 225, forçant ce déclencheur à passer en . position ouverte. Par conséquent, la source d'impul sions de réglage est déconnectée d'avec l'anneau de Treize. L'anneau de Treize a achevé un cycle, com plétant ainsi l'emmagasinage de l'information dans une colonne à la surface d'une lampe à rayons catho diques.
Il est maintenant nécessaire de provoquer le déplacement du faisceau de la lampe à rayons catho diques, en direction de la seconde colonne, de sorte que l'emmagasinage d'une information supplémen taire puisse s'effectuer. Etant donné que l'anneau de Cent contrôle la position horizontale des faisceaux de rayons cathodiques, cet anneau doit être avancé chaque fois que l'anneau de Treize complète un cycle et émet un signal de report de 13. Le signal de report de 13 arrive sur le conducteur 192 et est envoyé par l'entremise du couplage cathodique 238 et du circuit ou 239 à l'inverseur 240.
Le signal de sortie en direction négative de l'inverseur 240 est envoyé par l'entremise du conducteur 241 à l'an neau de Cent de la fig. 43, forçant ce dernier anneau à avancer d'une position.
L'entrée à l'anneau de Cent pendant l'opération d'extraction. de l'information hors des lampes à rayons cathodiques en direction des électros de per foration des cartes sera examinée plus en détail lors de la discussion du fonctionnement de l'anneau de perforation. Il suffit pour l'instant de mentionner que l'entrée à l'anneau pendant l'extraction: s'effectue à partir du multivibrateur sous 100 kilocycles, sous le contrôle de l'anneau de perforation qui sera examiné plus loin.
Sur la fig. 43, l'anneau de Cent est ramené en position de départ de telle sorte que le côté de cha que déclencheur qui est marqué d'un X sur cette figure indique le côté conducteur des divers déclen cheurs composant cet anneau. L'indication numéri que suivant les caractères d'identification, des d6clen- cheurs respectifs dans les blocs destinés à représen ter les déclencheurs respectifs indique la valeur de comptage représentée par les déclencheurs, respectifs.
La première partie de l'anneau de Cent est constituée par un anneau fermé d'Overbeck à cinq déclencheurs. Ceux-ci sont disposés: sur la fig. 43 et identifiés par le nombre de référence 242. Cet anneau de cinq déclencheurs entrame un second anneau fermé d'Overbeck à cinq déclencheurs disposés dans la fig. 43 et identifiés par le nombre de référence 243. La sortie de l'anneau 243 entraîne deux paires de déclencheurs supplémentaires 244 et 245.
Cet anneau est ramené à la position 1 plutôt qu'à la position 0, c'est-à-dire que le premier anneau 246 est ramené en position fermée. Après que le premier anneau 242 a compté jusqu'à cinq, la sixième impulsion négative émise par l'entremise d'un couplage cathodique 246 à partir du dernier étage 247 de l'anneau 242 est, par l'entremise d'un connecteur 248, transmise au second anneau 243 où cette impulsion fait passer en position ouverte le déclencheur de 0 désigné par 250 et amène en position fermée le déclencheur 251 à la position + 5.
La sortie négative du déclencheur 247, par l'en tremise d'un conducteur 252, ramène à nouveau en position fermée le premier déclencheur 246. Le pre mier anneau à cinq déclencheurs 242 compte de nou veau jusqu'à cinq, après quoi une impulsion néga tive sur le conducteur 248 amène en position ouverte le déclencheur 251 représentant + 5 et en position fermée le. déclencheur 253 représentant + 10.
Un autre comptage de cinq par le premier anneau 242 provoquera le passage en, position ouverte du déclen cheur + 10 253 du second anneau, ainsi que le pas sage en position fermée du déclencheur + 15 254 du second anneau. Ce processus se poursuit jusqu'à ce que la vingt-cinquième impulsion fasse passer en position ouverte le déclencheur + 20 255 et en posi tion fermée le déclencheur + 25 244.
Les deux anneaux d'Overbeck désignés par 242 et 243 continuent à fonctionner jusqu'à ce que la quinzième impulsion amène en position ouverte le déclencheur + 25, engendrant ainsi une impulsion négative sur le conducteur 256, et cette impulsion négative amène en position fermée le déclencheur + 50 245. Le comptage se poursuit à nouveau jus qu'à ce que la centième impulsion fasse passer en position ouverte le déclencheur + 50 245, envoyant ainsi une impulsion, positive à un couplage cathodi que 258.
Par conséquent, une impulsion positive apparaît à la sortie du couplage cathodique 260, indiquant que l'anneau de Cent a achevé son cycle. Le rôle du signal de report de 100 sera décrit en temps utile.
Connectés aux sorties de chacune des paires de déclencheurs de l'anneau de Cent se trouvent des couplages cathodiques associés qui alimentent les divers circuits contrôlés par l'anneau de Cent. Les sorties des couplages cathodiques sont soit sous + 10 volts, soit sous -30 volts, suivant la tension d'entrée appliquée. Le nombre qui se trouve alors dans l'anneau est déterminé par la somme des nom bres représentés par les couplages cathodiques pré sentant une sortie sous tension de + 10 volts.
Si l'anneau de Cent a reçu trente-deux impulsions, les couplages cathodiques 261, 262 et 263 présenteront une sortie sous + 10 volts. Les trente-deux impul sions placeront l'anneau sur la position 33 de sorte que les faisceaux des, lampes à rayons cathodiques se trouveront situés sur la trente-troisième colonne: La sortie de l'anneau de Cent est envoyée par l'entremise d'un, câble 264 aux circuits de déflexion horizontale, et aux thyratrons des fig. 44 et 45 par l'entremise de circuits et (fig. 46).
Les circuits de déflexion horizontale qui ont également reçu la sortie de l'anneau de Cent sont représentés sur la fig. 42. <I>Circuits de</I> déflexion <I>horizontale.</I> - Les circuits de déflexion, horizontale sont les éléments qui con trôlent la position horizontale des faisceaux électro- niques de la lampe d'emmagasinage à rayons catho diques,
grâce à quoi le potentiel moyen des plaques de déflexion est celui de la dernière électrode du canon électronique de telle sorte que l'astigmatisme est réduit au minimum. On rappelle que les deux lampes d'emmagasinage à rayons cathodiques sont connectées en parallèle sous tous rapports sauf en ce qui concerne les grilles de contrôle.
En se rapportant à la fig. 2, on peut expliquer que, pendant le temps d'enregistrement, les faisceaux explorent progressivement colonne par colonne un faisceau couvrant les colonnes 1 à 25, tandis que l'autre faisceau couvre les colonnes 26 à 50. Lorsque les, faisceaux se déplacent pour la pre mière fois de la gauche vers la droite dans les lam pes, la lampe de gauche 22 couvre à pleine puis sance les colonnes: 1 à 25.
Les faisceaux traversent alors le même trajet, la lampe de droite 24 couvrant à pleine puissance les colonnes 26 à 50. Les, fais ceaux sont alors: ramenés vers le bas à la rangée équi valant aux grilles inférieures où le même processus se répète pour les colonnes 51 à 100. Il en résulte que la totalité des cent colonnes ont été explorées.
Par conséquent, les circuits de déflexion horizon tale doivent être capables de fournir vingt-cinq éta pes les unes à la suite des autres. De même, l'an neau de. :Cent qui contrôle les circuits de déflexion horizontale doit couvrir séquentiellement vingt-cinq étapes, après quoi une indication est fournie que les vingt-cinq étapes ont été effectuées. L'anneau doit alors recompter vingt-cinq étapes, indiquant que les vingt-cinq étapes ont été effectuées pour la seconde fois.
Cette dernière indication est utilisée pour con trôler les, circuits de déflexion verticale de telle sorte que les faisceaux sont disposés dans la grille infé rieure de la fig. 2.
Le circuit de déflexion horizontale est constitué de deux groupes de lampes disposées par paires, dans lesquels chaque paire de lampes représente, lorsqu'elle est mise en action, un incré ment de déflexion particulier. Ainsi, si la paire de lampes représentant A5 sont mises en action, le fais ceau sera déplacé de cinq incréments ou colonnes vers la droite de sa position de repos.
Si les circuits A10, A5, A2 et A2 sont mis en action, les faisceaux seront déplacés de dix-neuf positions vers. la droite de la position de repos, colonne 1, colonne 2, et ainsi de suite.
Il existe deux groupes de ces lampes, de sorte que l'on peut utiliser la déflexion en push-pull. On va donner ici une brève description nécessaire à l'in telligence de cette opération, en se référant à la fig. 50. Supposons que les inverseurs A et H de la fig: 50 se trouvent hors circuit, c'est-à-dire non conduc teurs.
De ce fait, l'entrée à l'inverseur B sera sous -f- 10 volts et la sortie de cet inverseur sera sous -i-- 50 volts, tension qui est appliquée à la grille de la triode C. Etant donné que la triode C est mise hors circuit, elle ne contribue point à la chute de tension à travers la résistance de cathode commune des tri odes C et D. De ce fait, la triode D conduit son maximum de courant à travers la résistance de charge d'anode E.
Il est évident que la triode L serait con ductrice du courant à travers la résistance de cathode d'une manière semblable à la triode D. De même, toutes les. autres paires de lampes semblables aux triodes C et D auraient une lampe (telle que D) con ductrice du courant d'anode à travers la résistance de charge d'anode commune E, pourvu que la triode telle que C ne soit pas conductrice. Par conséquent, le courant combiné à travers la résistance de charge d'anode commune E provoquera une forte chute de tension à travers cette résistance,
chute telle que le conducteur F se trouvera sous potentiel assez bas (voir le schéma de tensions à la partie supérieure gauche de la fig. 12).
D'une manière identique, le fait que la totalité des triodes de gauche telles que M sont mises hors circuit force le conducteur G à monter au potentiel B+ de 300 volts (voir schéma de tensions à la par tie inférieure droite de la fig. 50).
Si le faisceau de la lampe à rayons cathodiques (CRT, fig. 50) doit être disposé dans la première colonne, l'entrée à l'inverseur A doit être positive. Ainsi l'inverseur B force la grille de la lampe C à monter à -I- 100 volts, forçant la lampe à conduire davantage de -courant.
Le courant supplémentaire provoquera l'augmentation de la tension de polarisa tion de cathode de la lampe D. Etant donné que la grille de la lampe D se trouve maintenue à -f- 87 volts, la tension de polarisation supplémentaire de cathode provoque un flux de courant moindre, de sorte que la chute de tension à travers la résistance de charge d'anode E est moindre et que, ainsi, le potentiel du conducteur F est élevé à V.,.
Par un processus semblable, l'entrée positive à l'inverseur A provoque l'abaissement du potentiel du conduc teur G à V'z . Etant donné que les grilles de la tota lité des lampes de gauche sont maintenues sous -I-- 87 volts, la quantité de courant que peut con duire une lampe particulière dépend de la dimension de sa résistance de cathode.
La résistance de cathode de la lampe D a une valeur telle que si cet élément est mis hors circuit une modification du potentiel du conducteur F se produit et a pour effet que le faisceau de la lampe à rayons cathodiques se trouve dévié d'une unité. La triode M fonctionnant conjointement avec la tri ode D constitue un système de déflexion push-pull. Une paire différente de lampes est utilisée (avec une résistance de cathode de valeur différente) pour pro duire une déflexion de deux unités, par exemple.
On. peut ainsi voir que si l'entrée à l'inverseur H est positive et que celle de l'inverseur A ne l'est point, le potentiel du conducteur F s'élève davantage et que celui du conducteur G diminue davantage, de sorte que le faisceau de la lampe à rayons cathodi ques est disposé dans la seconde colonne. Si les entrées aux deux inverseurs A et H étaient positives, le faisceau se trouverait situé dans la troisième co lonne. Il existe d'autres paires de lampes qui don- ment d'autres. incréments de déflexion représentés sur la fig. 42.
On peut voir à l'examen des schémas de tension, qui constituent partie de la fig. 50 que le potentiel moyen entre les plaques de déflexion est toujours, le même, mais que la différence de tension entre les plaques augmente au fur et à mesure que A augmente. Ceci est nécessaire pour réduire l'astig matisme possible.
Le degré de déflexion provoqué par une paire de lampes est fonction de la dimension de la résis tance de. cathode. Plus la résistance est grande, plus l'incrément de déflexion est faible, plus la résistance est petite, plus important est l'incrément. La valeur des résistances peut être notée à l'examen des fig. 10 à 18 où l'on voit que les circuits des lampes de déflexion diffèrent l'un par rapport à l'autre de la valeur de leurs résistances de cathode.
La fig. 42, qui représente le circuit de déflexion horizontale, comporte les lignes d'entrée 265, 266, 267, 268, 269 et 270, qui constituent les lignes d'en trée aux inverseurs par l'intermédiaire desquels les circuits de déflexion sont alimentés. Lorsqu'un po tentiel de -I- 10 volts est appliqué à ces lignes d'en trée, la déflexion. incrémentale produite est la sui vante :
le conducteur 265 produit une unité de déflexion, le conducteur 266 produit deux unités de déflexion, le conducteur 267 deux unités., le conduc teur 268 cinq unités, le conducteur 269 dix unités, et le conducteur 270 dix unités. Comme on l'a men tionné précédemment, une combinaison de plusieurs entrées produit une déflexion égale à la somme des unités. Si le conducteur 267, par exemple, se trouve sous -f- 10 volts, un inverseur<B>271</B> est amené à la conduction.
Cet inverseur met hors d'état de con duire un inverseur 272, élevant de ce fait le potentiel d'une ligne de sortie 273. De ce fait, une paire de lampes 274 fonctionnent de manière à élever le potentiel de la ligne de sortie 275 à une valeur de 2, ou deux incréments. L'élévation de potentiel du conducteur 275 force un couplage cathodique 276 à conduire de façon plus accentuée, de sorte que la tension de sortie de celui-ci sur une ligne 277 se trouve augmentée.
Les couplages cathodiques 276 sont les couplages cathodiques spéciaux représentés sur la fig. 9. Ces couplages cathodiques sont utilisés comme dispositif d'adaptation d'impédance pour fournir l'énergie nécessaire à l'entraînement des lignes longues de déflexion de la lampe à rayons cathodiques sans charger les circuits de déflexion sensibles.
Il y a lieu de noter que les couplages cathodiques DO diffèrent des couplages cathodiques normalisés utilisés dans le système en ce sens que la résistance de cathode est renvoyée à la masse plutôt que sous -100 volts parce qu'elle fonctionne sous tension largement positive.
La sortie de l'inverseur 271 est également envoyée à une paire de lampes de déflexion 278, pro voquant l'abaissement de potentiel d'une ligne de sortie 279 connectée à celui-ci, et provoquant de ce fait l'abaissement du potentiel du conducteur de sor tie des couplages cathodiques 280. Le résultat des modifications de tension sur les conducteurs 277 et 281 provoque le déplacement vers la seconde colonne des, faisceaux des lampes. Si le faisceau est disposé sur la vingt-cinquième colonne, les conduc teurs 268, 269 et 270 doivent se trouver sous -I- 10 volts.
Il ressort de ce qui précède que les diverses sorties combinées disponibles à partir des circuits de déflexion horizontale fourniront chaque incrément nécessaire à la déflexion graduée du faisceau d'une colonne à la colonne suivante. <I>Les circuits de contrôle de la déflexion horizon-</I> <I>tale.</I> - On a vu que les circuits de contrôle sont nécessaires pour faire entrer en action les conduc teurs d'entrée 265 à 270 allant aux circuits de dé flexion horizontale. Les. circuits de déflexion hori zontale sont essentiellement commandés par l'anneau de Cent (fig. 43).
Cependant, dans la mesure où cela intéresse les circuits de déflexion horizontale, l'an neau compte de 1 à 25 puis recommence à compter de 1 à 25 jusqu'à ce que l'opération ait été répétée quatre fois et que le complément total de 100 colon nes ait été exploré.
On peut donner plusieurs exemples d'établisse ment des connexions, entre l'anneau de Cent et le circuit de déflexion. Lorsque l'anneau de Cent a compté quinze, par exemple, un conducteur (fig. 43) qui reçoit la sortie du déclencheur 254 se trouve sous -I- 10 volts. Cette tension est envoyée sous forme d'entrée à une paire. de circuits ou 283 et 284. Ainsi, les conducteurs 268 et 269 se trouvent sous -f- 10 volts, de sorte qu'un incrément total de déflexion de quinze unités est indiqué.
Ceci amène les faisceaux des lampes à rayons cathodiques sur la quinzième colonne. Si l'anneau de Cent se trou vait en position vingt-quatre, par exemple, les con ducteurs 285 et 286 se verraient appliquer la sortie de tension de -I- 10 volts provenant du déclencheur -f- 20 255 et du déclencheur -I- 4 288 par l'entre mise des couplages cathodiques qui y sont connec tés. Ces tensions sont à leur tour envoyées aux cir cuits. ou 290, 291 et 292, appliquant ainsi ce potentiel sur les lignes de sorties des circuits ou 266, 267, 269 et 270.
Ceci provoquerait une dé flexion des faisceaux vers la vingt-quatrième colonne.
En relation avec l'exploration des lampes à rayons cathodiques, il est évident que l'anneau de Cent doit indiquer, du fait que son conducteur de sortie 293 est positif, que la lampe de gauche doit être à toute puissance lorsqu'elle explore les colon nes 1 à 25, et que son conducteur de sortie 294 doit être positif lors de l'exploration des colonnes 26 à 50, de telle sorte que la lampe de droite se trouve à pleine puissance.
Lors, de l'exploration des, colon nes 51 à 100, un couplage cathodique 295 (fig. 43) maintiendra un conducteur de sortie 296 sous -I- 10 volts, ce qui indique que les faisceaux doivent être déplacés vers les grilles inférieures.
<I>Les circuits de déflexion verticale.</I> - Le rôle des circuits de déflexion verticale est de constituer un dispositif destiné à commander la position verti cale des faisceaux électroniques des lampes à rayons cathodiques, grâce à quoi l'astigmatisme se trouve réduit au minimum en rendant le potentiel moyen des plaques. de déflexion identique à celui de la der nière électrode disposée dans le canon électronique.
Les circuits destinés, à contrôler la déflexion verti cale des faisceaux doivent être prévus pour forcer le faisceau électronique à explorer une colonne en avançant rapidement rangée par rangée pendant le processus. d'enregistrement, et à disposer temporai rement le faisceau à un niveau correspondant à une rangée donnée pendant le processus d'extraction.
Un circuit doit être prévu, qui provoquera la déflexion du faisceau électronique de quinze unités ou rangées au-dessous de la première rangée de la grille supérieure dans les positions 1 à 50 (voir fig. 2). Ceci est nécessaire pour que les faisceaux puissent explorer les colonnes 51 à 100 après que les colonnes 1 à 50 ont été explorées.
En d'autres termes, il existe douze rangées dans la première grille et deux rangées. entre les grilles, de sorte que la première rangée de la grille inférieure constitue en fait la quinzième rangée vers laquelle le faisceau doit être dévié pour amorcer l'exploration de la grille inférieure.
L'impulsion de signal qui provoque le déplacement des faisceaux vers la grille inférieure est fournie par l'anneau de -Cent et elle sert à com- mander les circuits de déflexion verticale de la fig. 41.
Pendant l'emmagasinage de l'information dans les lampes 'a rayons cathodiques, le circuit de dé flexion verticale est placé sous la commande de l'anneau de Treize et le faisceau est successivement déplacé de colonne à colonne dans l'ordre normal. Les impulsions de réglage dans le temps provenant de l'anneau de Treize sont envoyées par l'entremise d'un câble 298 (fig. 38) à un groupe de douze cir cuits ou tels que 300, par exemple (fig. 40).
Les circuits ou de la fig. 40, en effet, représentent les positions de points d'index d'une colonne de la carte perforée.
Pendant l'extraction de l'information des lampes à rayons cathodiques en direction des thyratrons (et de ce fait en direction des électros de perforation, par exemple), les circuits de déflexion verticale sont contrôlés par l'anneau dit anneau de perforation 38 (fig. 1), et le faisceau explore chaque rangée avant d'être entraîné de cet anneau vers l'anneau suivant.
Les impulsions de réglage dans le temps provenant de l'anneau de perforation atteignent les douze cir cuits ou de la fig. 40 par l'entremise de coupla ges cathodiques tels que le couplage cathodique 301 de la fig. 39, ainsi que par l'entremise de douze cir cuits et associés tels que le circuit et 302 (fig. 39). Les circuits ou de la fig. 40 sont con nectés à des couplages cathodiques associés tels que 303, par exemple.
Sur la fig. 40 (en commençant par le bas de la colonne de couplages cathodiques), le couplage cathodique 303 représente la perforation 12 en code Hollerith, le couplage cathodique 304 représente la perforation 11, le couplage cathodique 305 représente la perforation 0, et ainsi de suite à travers l'ordre complet jusqu'à ce que le couplage cathodique 306 représente la perforation 9. Un seul de ces couplages cathodiques présente une sortie sous -I- 10 volts à un moment donné quelconque.
Les couplages cathodiques de la fig. 40 sont con nectés à quatre circuits ou à six voies désignés par 307, 308, 309 et 310 de telle sorte que les douze positions possibles, du faisceau d'une colonne (repré sentées par les couplages cathodiques) sont trans posées dans un code 1-2-4-8.
Ainsi, la pefforation 0 du code Hollerith représentée par une sortie de -I-- 10 volts provenant du couplage cathodique 305 consti tue en fait la troisième position à partir du haut d'une colonne de la lampe à rayons cathodiques, et elle sera représentée par les sorties des circuits ou à six voies sous la forme 2-1. La perforation 0 serait représentée par -I- 10 volts sur la ligne de sortie 311 du couplage cathodique 305, qui envoie son impulsion à travers le circuit ou 309 et le circuit ou 310.
D'une manière identique, la per foration 9 serait représentée sous la forme 8-1, c'est- à-dire par les sorties des circuits ou 307 et 310. Les sorties des quatre circuits ou 307 à 310 de la fig. 40 sont connectées aux inverseurs 312, 313, 314 et 315 respectivement de la fig. 41. Le circuit de déflexion verticale fonctionne de la manière expliquée à propos de la description des circuits de déflexion horizontale.
Cette description indiquait essentiellement que les entrées d'un ou plusieurs des conducteurs 316, 317, 318 et 319 for cent les inverseurs 312, 313, 314 et 315 respecti vement à actionner les paires de tubes provoquant la déflexion, incrémentale. Lorsque le faisceau est dévié vers le bas de la colonne, les deux paires de lampes telles que 320 et 321 (fig. 41) ou les com binaisons d'autres paires de lampes provoquent l'élé vation de potentiel du conducteur 322 si le potentiel du conducteur 323 est abaissé. L'utilisation de deux paires. de lampes constitue un système de déflexion à push-pull ainsi qu'on l'a expliqué précédemment.
La tension existant au conducteur 322 (fig. 41) actionne une paire de couplages cathodiques 324, tandis, que la tension sur le conducteur 323 actionne une paire de couplages cathodiques 326. La sortie des couplages cathodiques 324 est envoyée aux pla ques de déflexion des lampes à rayons cathodiques par l'entremise d'un conducteur 328, tandis que la sortie des, couplages cathodiques 326 est envoyée aux lampes à rayons cathodiques par l'entremise d'un conducteur 330.
Pendant l'enregistrement dans ou l'extraction hors des lampes, à rayons cathodiques, le faisceau doit être ramené à la grille inférieure (fig. 2) lorsque les colonnes 51 à 100 sont en cours d'exploration. La représentation d'une information sur les surfaces des lampes à rayons cathodiques a été réglée de telle sorte que la rangée 12 des colonnes 51 à 100 se trouvera à quinze incréments au-dessous de la posi tion de la rangée 12 des colonnes 1 à 50.
De ce fait, en plus des paires de lampes produisant une déflexion verticale de A1, 02, 04 et 48, le circuit de déflexion verticale comporte des paires de lampes 331 et 332 qui, lorsqu'elles sont mises en action, produisent une déflexion incrémentale de 415, ou quinze unités. Ces paires de lampes sont commandées par les inver seurs 333 et 334.
Etant donné que l'anneau de Cent contrôlant le circuit de déflexion horizontale indique les colonnes dans lesquelles les faisceaux se trouvent à un moment quelconque, le même anneau peut être utilisé pour déterminer le moment où le faisceau doit être ramené vers le bas pour couvrir les colonnes 51 à 100. La description de l'anneau de Cent indiquait que le dé clencheur 245 (fig. 43) est amené en position fermée lorsqu'il y a lieu d'explorer les colonnes 51 à 100. De ce fait, le couplage cathodique 295 produit une sortie de -I- 10 volts sur le conducteur 296 qui est connecté à l'inverseur 334 (fig. 41).
L'entrée sous -I-- 10 volts à l'inverseur 334 provoque la déflexion de 015 nécessaire pour que les faisceaux couvrent les colonnes 51 à 100.
<I>Représentation de données significatives sur la</I> <I>grille d'une lampe.</I> - S'il y a lieu d'effectuer une perforation dans une carte, le point de la lampe à rayons cathodiques représentant l'emplacement de la perforation s'allongera jusqu'à prendre la forme d'un trait vertical. Ceci s'effectue à la fois pendant les périodes d'enregistrement initial et de régénération. Le faisceau est tout d'abord amené sur une position donnée par les circuits de déflexion.
Un circuit 333 (fig. 41) de balayage de l'élément de déflexion verti cale, qui est le même que celui représenté sur la fig. 10, est mis en route pour forcer le faisceau de rayons cathodiques à se déplacer légèrement vers le haut. S'il y a lieu d'enregistrer un trait, la lampe à rayons cathodiques appropriée est mise à pleine puis sance pendant la période de cette exploration d'élé ment. Cependant, les circuits 333 de balayage d'élé ments sont toujours actifs et le fait qu'un point doit ou non être enregistré dépend de la question de savoir si oui ou non une lampe à rayons cathodiques fonctionne à pleine puissance.
L'impulsion d'entrée au circuit 333 de balayage d'élément se trouve sur un conducteur 334 (fig. 41) et elle prend sa source dans un déclencheur 335 de balayage d'éléments représenté sur la fig. 47. Le fonctionnement du cir cuit de contrôle de balayage d'éléments sera expli qué lors de la description détaillée qui va suivre des circuits de contrôle point-trait.
<I>Circuits de contrôle point-trait.</I> - On a décrit jusqu'ici la manière suivant laquelle un caractère est extrait du ruban magnétique, converti en code Holle rith et envoyé sous forme d'une série d'impulsions se produisant suivant une séquence réglée dans le temps à la sortie de la matrice de décodage. On a décrit également la manière suivant laquelle les: fais ceaux des lampes d'emmagasinage à rayons cathodi ques explorent leurs grilles respectives pas à pas avec l'interrogation de la matrice de conversion pen dant l'enregistrement. Il est maintenant nécessaire d'expliquer comment un nombre d'impulsions appa raissant sur le conducteur 336 (fig. 37) provoque l'enregistrement d'un trait à la surface des lampes à rayons cathodiques.
On peut noter que, s'il n'y a pas lieu d'inscrire un trait sur la surface d'une lampe à rayons cathodiques, un point y sera enregistré à la place.
Supposons que l'information ait été extraite du ruban, envoyée à travers la matrice de décodage (fig. 36 et 37) et qu'elle soit maintenant prête à être em magasinée sur la surface d'une lampe à rayons cathodiques. Sur la fig. 37, les impulsions positives provenant de la matrice de conversion représentant l'information sont appliquées au conducteur de sor tie 336 qui débouche dans le circuit ou 364 de la fig. 47. Les impulsions de 100 kilocycles, prove nant du multivibrateur 175 (fig. 34) sont présentés sur le conducteur 230 de la fig. 47. Le conducteur 230 a un prolongement 338.
Le conducteur 193 de la fig. 47 est connecté sur la fig. 38 au conducteur 191 et se trouve sous _30 volts, une fois que l'anneau de Treize a commencé à fonctionner. Ces quelques conditions suffisent à expliquer le fonctionnement des circuits qui contrôlent l'emmagasinage d'un point ou d'un trait dans les lampes à rayons cathodiques.
Du fait qu'un inverseur 340 (fig. 47) est mis hors circuit, son, couplage cathodique 341 est forte ment conducteur pour entraîner un circuit ou 342, forçant celui-ci à envoyer une tension positive à un circuit et 344.
Etant donné que la tension positive envoyée au circuit et 344 par le circuit ou 342 est présente, tandis qu'une colonne entière de la lampe à rayons cathodiques est en cours d'em magasinage, le circuit et 344 se trouve sous la commande de l'un des couplages cathodiques. appar tenant à une paire de couplages cathodiques 345 ou 346.
Un multivibrateur à une seule position stable 348 est entraîné de façon continue par les impulsions de réglage apparaissant à sa ligne d'entrée 350. Le bord d'attaque d'une impulsion de réglage positive force le multivibrateur à une seule position stable 348 à fonctionner et à envoyer une impulsion posi tive de quatre microsecondes qui est inversée par un inverseur 351. Si aucune information n'est reçue de la matrice de conversion. pendant cette impulsion réglée dans le temps, un point est inscrit sur la lampe à rayons: cathodiques.
Dans ce cas, le bord arrière de l'impulsion négative de quatre microsecondes provenant de l'inverseur 351 met en action un multi- vibrateur à une seule position stable 352. Le fonc tionnement du multivibrateur 352 à une seule posi tion stable provoque l'envoi au couplage cathodique 345 d'une impulsion, positive ayant une durée de 0,7 microseconde.
Cette impulsion de 0,7 micro seconde provoque la conduction du couplage catho dique 345, de sorte qu'une impulsion positive (0,7 microseconde) apparaît à la borne 4 du circuit et 344.
Du fait qu'une impulsion positive est présente à la borne 5 du circuit et 344, ce circuit émet une impulsion positive et provoque la conduction d'un couplage cathodique 352' qui lus est connecté. La tension de sortie de -I- 10 volts du couplage cathodique 352' est appliquée à une borne 4 d'une paire de circuits et 353 et 354 (fig. 46).
On se souviendra de ce que, si l'anneau de Cent est en train. de compter entre 1 et 25 ou entre 51 et 75, le conducteur 293 (fig. 43) qui débouche dans le circuit et 353 (fig. 46) se trouve sous -i-- 10 volts. Cependant, si l'anneau est en train de compter entre 26 et 50 ou entre 76 et 100, le conducteur 294 (fig. 43) qui débouche dans le circuit et 354 (fig. 46) se trouve sous -I- 10 volts.
Tenant compte de ce qui précède, l'impulsion positive de 0,7 microseconde se présentant à la sor tie du couplage cathodique 352' (fig. 47) met en action soit le circuit ou 353, soit le circuit et 354 (représentés tous deux sur la fig. 46). Si le cir cuit et 353 est mis en action, par exemple, l'im pulsion positive provenant de ce circuit entraîne un inverseur 356 et le met en état de conduction, met tant ainsi hors circuit un inverseur 358 qui lui est connecté.
Ceci provoque l'apparition d'une impulsion positive au connecteur de sortie 3 60. Le connecteur 360 est relié à la grille de contrôle de la lampe à rayons cathodiques de gauche; cette lampe se trouve donc à pleine puissance pendant 0,7 microseconde pour inscrire un point. Si le circuit et 354 avait été mis en action, les inverseurs 361 et 362 connec tés à celui-ci auraient été influencés de manière à appliquer une impulsion positive à la ligne de sortie 363.
La ligne 363 est connectée à la grille de la lampe à rayons cathodiques de droite, lampe qui se trouve par conséquent fonctionner à pleine puissance pendant 0,7 microsecon.de.
La fig. 51 est un tableau de réglage dans le temps qui représente parmi d'autres conditions le rôle des impulsions apparaissant sur les lignes de commande de la grille de la lampe à rayons catho diques. S'il y a lieu d'inscrire un trait dans la lampe à rayons cathodiques, une impulsion positive se trouve enregistrée dans le conducteur 336 (fig. 37) et pénètre dans un circuit ou 364 représenté sur la fig. 47 pour provoquer la conduction d'un inver seur 366 (fig. 46).
La sortie négative de l'inverseur 366 provoque le transfert d'un déclencheur 367 de telle sorte que le côté gauche de celui-ci est conduc teur. (Le déclencheur 367 avait été précédemment ramené en position de départ, dans laquelle son côté droit était conducteur). Ainsi, le côté gauche du dé clencheur<B>367</B> étant conducteur, la borne de sortie 8 de celui-ci se trouve sous potentiel positif élevé, ce qui force le couplage cathodique 368 a être totale ment conducteur. La sortie positive du couplage cathodique 368 donne une entrée positive à la borne 4 d'un circuit et 369.
Il y a lieu de garder pré sent à l'esprit le fait que cette entrée positive se poursuit aussi longtemps que le côté gauche du déclencheur 367 est conducteur. La forme de tension à la borne 8 du déclencheur 367 est représentée sur le tableau de réglage dans le temps de la fig. 51.
Le multivibrateur à une seule position stable 352 (fig. 47) qui, lorsqu'il s'allume, produit une impulsion positive de 0,7 microseconde à sa borne de sortie 8, provoque la conduction d'un inverseur 370, de telle sorte qu'une impulsion négative de 0,7 microseconde est appliquée à un multivibrateur à une seule posi tion stable<B>371.</B> Le bord arrière de cette impulsion force le multivibrateur à une seule position stable <B>371</B> à émettre une impulsion positive sur son con ducteur de sortie 372 pendant une durée de 3,5 mi crosecondes.
Le bord arrière des impulsions de 3,5 microsecondes provoque le transfert du déclencheur 367 (fig. 46) de sorte que la partie droite de celui-ci devient conductrice. Cependant, cette impulsion de 3,5 microsecondes provoque la conduction d'un cou plage cathodique 373. La sortie du couplage catho dique 373 constitue la seconde entrée du circuit et 369.
On voit ainsi que l'entrée au circuit et 369 en provenance du couplage cathodique 373 est con trôlée par la sortie du multivibrateur à une seule position stable 371 (fig. 47) ; l'autre entrée au cir- cuit et 369, par l'entremise du couplage catho dique 368, est contrôlée par la sortie du déclencheur 367. La coïncidence de ces deux entrées donne la forme d'onde qui, sur la fig. 51, est désignée par sortie 369.
La sortie du circuit et 369 est appliquée au couplage cathodique 346 (fig. 13). Comme les sor ties des couplages cathodiques 345 et 346 sont con nectées pour constituer l'entrée au circuit et 344, une entrée au couplage cathodique 346 aura la même influence que le circuit et 344 que la sortie pro venant du couplage cathodique 345, ainsi qu'on l'a décrit ci-dessus.
Ainsi, si un trait doit être inscrit dans. les lampes à rayons cathodiques à la suite d'un signal provenant de la matrice de décodage, le type de tension appli qué à la grille de contrôle sera celui représenté sur la fig. 51 et désigné sous le nom de : grille de CRT pour le trait . Cette forme d'onde force la lampe à rayons cathodiques à fonctionner à pleine puissance pendant sa durée.
<I>Contrôle de balayage d'éléments.</I> - Lorsque la lampe à rayons cathodiques est en cours d'explora tion pendant une opération quelconque, le faisceau électronique est avancé de position en position ainsi qu'on l'a indiqué. Une fois que le faisceau a été amené sur une position, le couplage cathodique 345 (fig. 47) est actionné pendant 0,7 microseconde envi ron, de sorte qu'un trait se trouve inscrit. Le fais ceau est alors déplacé verticalement vers le haut par les circuits de balayage d'éléments 333 (fig. 41). Le balayage vertical d'éléments intervient suivant qu'un trait doit être ou non inscrit dans la lampe.
Toute fois, s'il y a lieu d'inscrire un trait, le couplage cathodique 346 (347) est actionné de telle sorte que la lampe fonctionne à pleine puissance, tandis que s'effectue le balayage vertical d'éléments.
Sur la fig. 47, le conducteur 338 est connecté au conducteur 230 qui est alimenté en impulsions de réglage sous 100 kilocycles. Ces impulsions posi tives entraînent un inverseur 374 (fig. 47) de telle sorte que les impulsions négatives de celui-ci sont appliquées au déclencheur 335 de balayage d'élé ments.
Le bord d'attaque d'une impulsion négative provenant de l'inverseur 374 provoque le transfert du déclencheur 335 de telle sorte que son côté gau che devient conducteur. Environ quatre microsecon- des plus tard, le bord arrière de l'impulsion de l'in verseur 351 provoque la mise en route d'un multi- vibrateur à une seule position stable 375, appliquant de ce fait une impulsion positive de 1 microseconde au déclencheur 335 de balayage d'éléments.
Le bord arrière de cette impulsion de 1 microseconde provo que le transfert du déclencheur 335 de telle sorte que celui-ci devient conducteur par son côté droit. La sortie positive résultante du déclencheur 335 est appliquée par l'entremise de sa ligne de sortie 334 aux circuits de balayage d'éléments (fig. 241). Ceci provoque le balayage vertical d'éléments qui est nécessaire pour réaliser un trait.
Le déclencheur 335 de balayage d'éléments (fig. 47) est ramené en posi tion de départ par l'impulsion de réglage suivante se présentant sur son conducteur d'entrée 230. <I>Circuit de commande</I> <I>de l'entraînement du ruban</I> On a prévu dans le présent dispositif un circuit de commande de l'entraînement du ruban qui est agencé pour provoquer la mise en route de l'élément d'entrainement du ruban décrit et revendiqué dans le brevet américain cité plus haut, et ce au moment approprié du cycle de perforation de la carte,
de sorte que le mécanisme d'entraînement du ruban ait atteint sa vitesse maximum au moment où les cir cuits décrits ici sont prêts à recevoir le premier caractère de l'élément d'enregistrement à extraire.
Comme on l'a indiqué précédemment, la régé nération des éléments disposés à la surface des lampes à rayons cathodiques progresse tandis que le méca nisme décrit ici n'utilise pas effectivement l'informa tion dans le processus d'enregistrement des données dans les lampes à rayons cathodiques ou d'extraction des données hors des lampes. Par conséquent, les circuits de régénération des lampes à rayons, catho diques commenceront à fonctionner juste avant le moment où commence une opération d'enregistre ment. Un coupe-circuit commandé par came P24 (fig. 3) se ferme au temps 13,6 du cycle de carte.
La fermeture du coupe-circuit P24 applique une ten sion de + 40 volts à un conducteur 376. Le conduc teur 376 est connecté à la grille de gauche du déclen cheur de blocage de. lecture 377 (fig. 33). La tension sous + 40 volts au conducteur 376 provoque l'attrac tion du déclencheur de blocage 377 de telle sorte que le côté gauche. de celui-ci devient conducteur. Un couplage cathodique 378 est amené à conduction totale de sorte que -I- 10 volts sont appliqués à un inverseur 379.
La tension de + 10 volts appliquée à l'inverseur 379 provoque l'envoi d'une impulsion négative au côté gauche d'un déclencheur d'entraî nement du ruban 380, provoquant le transfert de ce dernier de telle sorte que son côté gauche devient conducteur. Le transfert du déclencheur 380 applique un potentiel positif à son conducteur de sortie<B>381</B> de sorte qu'un couplage cathodique connecté à celui- ci et désigné par 382 est rendu pleinement conduc teur. Chaque fois que le couplage cathodique 382 est pleinement conducteur, sa ligne de sortie 383 est amenée à -f- 10 volts. Cette tension est envoyée aux circuits de commande de l'élément d'entraînement du ruban.
Lorsque l'élément d'entraînement du ruban reçoit + 10 volts sur la ligne 383, il est excité pour entraî ner le ruban vers l'avant. Le mécanisme grâce auquel le ruban est entraîné soit vers l'avant, soit en sens inverse, soit encore arrêté, ne constitue point partie de l'invention mais constitue l'objet du brevet amé ricain cité précédemment et par conséquent n'a pas besoin d'être décrit ici d'une façon plus, détaillée. Pendant la période de temps au cours de laquelle un élément d'enregistrement est extrait du ruban, le conducteur de commande 383 demeure sous -f- 10 volts.
En. vue d'arrêter l'avance du ruban, à travers les têtes d'extraction/enregistrement du mécanisme d'entraînement du ruban, la tension sous -I- 10 volts doit être écartée du conducteur 383. Il existe deux circonstances dans. lesquelles l'élément d'entraîne ment du ruban doit être arrêté.
En premier lieu, il doit être arrêté lorsqu'un élément d'enregistrement comportant cent caractères a été extrait, de sorte que cet élément qui a été emmagasiné dans les lampes, à rayons, cathodiques puisse être extrait en direction du mécanisme de perforation. Cette opération est nécessaire avant que la machine ne soit prête à rece voir un nouvel enregistrement. En second lieu, le mécanisme d'entraînement du ruban doit être arrêté chaque fois qu'il arrive à la fin du ruban. La fin du ruban est indiquée par un caractère auquel on don nera ici le nom de repère de ruban.
Précédemment, au cours de la discussion rela tive à la matrice de décodage, on a indiqué que la réception d'un repère d'enregistrement provenant du ruban force la matrice de conversion à amener le couplage cathodique 100b à la conduction complète, de telle sorte que le conducteur 172 qui lui est con necté se verra appliquer une tension de -f- 10 volts. Le conducteur 172 est connecté à un conducteur 385 (fig. 33) qui, à son tour, est connecté à un cir cuit ou 386.
Le fait que le conducteur 385 se voit appliquer -I- 10 volts lors de la réception d'un repère d'enregistrement provoque la mise en route d'un circuit ou 386 (fig. 33) de sorte qu'un inver seur 387 connecté à celui-ci enverra une impulsion négative à un multivibrateur à une seule position stable 388. Le multivibrateur 388 émet une impul sion positive de 16 millisecondes. Le bord arrière de cette impulsion, appliqué au déclencheur 388, pro voque le transfert du déclencheur de son côté droit à son côté gauche.
Le résultat de ce transfert est que le conducteur de sortie 381 de ce déclencheur reçoit un potentiel positif réduit, de sorte que le couplage cathodique 382 se trouve mis hors circuit. Du fait que le couplage cathodique 382 n'est pas plus long temps conducteur, soin conducteur de sortie 383 reçoit un potentiel de -30 volts. Comme on l'a signalé plus haut, le fait que le conducteur 383 n'est pas plus longtemps sous -I- 10 volts force les, circuits de commande du mécanisme d'entraînement du ruban décrits, dans le brevet américain cité plus haut à interrompre l'avancement du ruban magnétique.
Le retard de 16 millisecondes engendré dans le multi- vibrateur à une seule position stable 388 est néces saire pour disposer convenablement le ruban lors qu'il vient de s'arrêter.
Chaque fois qu'une bobine de ruban atteint l'une de ses extrémités, elle doit contenir un repère de ruban qui sera interprété par la matrice de conver sion de la fig. 36, provoquant la montée sous -I- 10 volts du conducteur de sortie 174. Le conducteur 174 constitue une entrée au circuit ou 386 (fig. 33).
On a signalé, à propos du rôle d'un repère d'en registrement, que chaque fois que le circuit ou 386 transmet une impulsion le déclencheur 380 est transféré, de sorte que le mécanisme d'entraînement du ruban est forcé d'interrompre l'avancement da ruban.
Le signal de repère de ruban apparaissant sur le conducteur 174 est appliqué à un conducteur 388' (fig. 34 et 54). La tension sous -I-- 10 volts appli quée au conducteur 388' indique la présence d'un repère de ruban et provoque l'allumage d'un thyra- tron 390 (fig. 55),
de sorte qu'un relais 391 de repère de ruban se trouve excité. Le fait que le relais 391 de repère de ruban est excité provoque l'ouver ture d'un jeu de ses contacts 391a de sorte que le mécanisme de perforation est mis hors d'action. La perforatrice est mise hors d'action du fait que le con tact 391a est disposé en série avec le relais d'amor çage de perforation du mécanisme de perforation, le relais d'amorçage de perforation étant placé sous le contrôle de l'embrayage de perforation..
Le méca nisme particulier de perforation et son dispositif de commande ne constituent point partie de la présente invention et l'on pourra examiner sa nature et son fonctionnement dans la description du brevet précité.
<I>Circuit de préparation de l'entraînement du</I> <I>ruban.</I> - On a prévu dans le présent dispositif un circuit de préparation de l'élément d'entraînement du ruban destiné à garantir que la perforatrice n'en trera pas en action si l'élément d'entraînement du ruban n'est pas, pour une raison quelconque, prêt à faire avancer le ruban magnétique.
Le circuit de préparation du mécanisme d'entraînement du ruban est constitué par une série de commutateurs, enclen chés qui sont commandés par des opérations telles que la fermeture des carters d'entraînement du ruban, la présence de ruban ou de bobines de ruban, le fait que le ruban est ininterrompu et de nombreu ses autres conditions qu'il n'y a pas lieu de décrire ici. Il suffit de dire que si le mécanisme d'entraîne ment du ruban est prêt à envoyer du ruban, un con ducteur 392 (fig. 54) se trouve sous -I-- 10 volts.
L'application de cette tension sur le conducteur 392 entraîne la conduction d'un réseau d'inverseur 393 de sorte qu'un relais de préparation 394 se trouve excité. L'excitation des relais de préparation 394 ferme ces points 394a de sorte que le relais d'amor çage de la perforation du ruban se trouve excité et que, par conséquent, l'embrayage de ruban se trouve ainsi mis en état d'excitation au temps approprié.
Réénroulement <I>automatique.</I> - Chaque fois que le mécanisme d'entraînement du ruban reçoit un repère de ruban provenant du ruban, il est néces saire d'amener le mécanisme d'entraînement du ruban à réenrouler le ruban sur ses bobines. On a décrit plus haut, à propos du rôle d'un repère de ruban, que celui-ci force le thyratron 390 (fig. 54) à s'al lumer, de sorte que le relais 391 se trouve excité. Le fait que le relais 391 de repère de ruban se trouve excité provoque la fermeture de ses contacts 391b, de sorte que -I- 40 volts sont appliqués à une ligne 394 de réenroulement automatique.
La ligne 394 de réenroulement automatique est connectée au méca nisme de commande de l'élément d'entraînement du ruban de telle sorte que chaque fois que cette ligne se trouve sous -f- 40 volts, la machine provoque la mise en route du mécanisme de réenroulement du ruban et le réenroulement du ruban. Ici encore, la nature et le rôle particuliers du système de réenrou- lement du ruban ne constituent point partie de l'in vention et il n'y a pas lieu de pousser plus avant en ce qui concerne sa nature à ce point de la des cription.
<I>Circuit de remise à</I> zéro <I>en cas d'erreur. - Cha-</I> que fois qu'une erreur est commise par le mécanisme décrit ici, la machine est arrêtée, de telle sorte que la source de l'erreur puisse être déterminée. Pour conditionner les circuits de telle sorte que les opéra tions puissent se dérouler de façon normale, les dé clencheurs et les circuits de vérification d'erreurs doivent être remis à zéro. On y parvient en fermant momentanément un bouton 395 de remise à zéro (fig. 54). La fermeture du bouton de remise à zéro 395 provoque l'excitation d'un relais 396 de remise à zéro, de sorte que son contact 396a s'ouvre. L'ou verture des contacts 396a provoque l'extinction d'un thyratron 397.
Le thyratron 397 est forcé de s'allu mer chaque fois que les circuits de vérification d'er reurs qui seront décrits plus loin ont déterminé l'exis tence d'une erreur et ont transmis une impulsion au thyratron 397. Par conséquent, le thyratron 397, lnrsqu'il est allumé, indique l'existence d'une erreur et doit être éteint avant que les circuits de contrôle ne puissent poursuivre leurs opérations normales.
<I>Régénération des éléments</I> <I>disposés dans les lampes à rayons cathodiques</I> Les, éléments d'information emmagasinés à la surface des lampes à rayons cathodiques sont régéné rées par un processus, qui consiste à extraire l'infor mation ainsi emmagasinée et à provoquer la réintro- duction de cette information à la même place dans les lampes. Le processus de régénération comporte, par conséquent, le fonctionnement de deux circuits différents. Le premier de ces circuits provoque l'ins cription d'un point ou d'un trait sur les lampes à rayons cathodiques, suivant qu'un point ou un trait s'y trouvait initialement emmagasiné.
Le circuit cons titue une partie du circuit de contrôle point-trait des fig. 46 et 47, qui a été décrit précédemment à pro pos des circuits de contrôle point-trait. Le second circuit amené à fonctionner dans le processus de régénération est constitué par certains éléments de contrôle qui commandent le fonctionnement des cir cuits, de déflexion, le fonctionnement cyclique de l'anneau de distribution et commandent le début et l'arrêt du processus de régénération. Les circuits de contrôle de la régénération forcent la régénération à avoir lieu à tout moment sauf lorsque l'information est' effectivement en cours d'emmagasinage ou en cours d'extraction des lampes à rayons cathodiques.
La régénération a donc lieu entre l'extraction et la perforation pendant l'intervalle existant entre l'extrac tion de deux rangées quelconques d'information pro venant des lampes à rayons cathodiques. Les circuits de contrôle point-trait utilisés pendant la régénéra tion seront examinés les premiers étant donné qu'une grande partie de ce circuit a été déjà décrite et est familière au lecteur. <I>Circuits point-trait pour la régénération.</I> - On considérera pour le moment que les circuits de con trôle de la régénération fonctionnent et qu'ilsi for cent les faisceau des, lampes d'emmagasinage à rayons cathodiques de la fig. 52 à explorer les faces de leurs lampes respectives.
Si un faisceau rencontre un trait pendant l'exploration d'une colonne particu lière, un signal vidéo est produit et est présent sur l'une des anodes de réception 36 (fig. 1 et 52).
Les anodes de réception 36 sont connectées par l'entremise d'un conducteur commun 401 à l'entrée de l'amplificateur vidéo représenté sur la fig. 55. Etant donné que l'amplificateur vidéo est de cons truction et de fonctionnement connus, il n'a pas besoin d'être décrit en, détail si ce n'est pour dire qu'un signal vidéo représentant un trait sur sa ligne d'entrée 401 provoque l'apparition d'une impulsion positive sur sa ligne de sortie 402.
On a indiqué, lors de la discussion des circuits de contrôle de blocage de caractère ainsi que lors de la description des circuits de contrôle point-trait que le conducteur 235 (fig. 47) se trouve sous -30 volts pendant l'opération d'enregistrement. Du fait que cette condition (c'est-à-dire le potentiel négatif) met hors d'action un circuit et 403, tout signal arrivant de l'amplificateur vidéo sur la ligne 402 est empêché de mettre en route les circuits de contrôle point-trait pendant l'enregistrement de l'information dans les lampes à rayons cathodiques.
Toutefois, pendant les périodes au cours desquel les la régénération des données emmagasinées sur la surface des lampes est interrompue, le conducteur 235 est positif. Pendant les périodes de régénération, les faisceaux balaient les lampes à rayons cathodi ques de sorte que des impulsions vidéo ne sont pas reçues par les anodes de réception 36 (fig. 52). Ces impulsions se trouvent amplifiées par l'amplificateur vidéo et se présentent sur le conducteur 402 (fig. 56 et 47) sous la forme d'impulsions positives.
On a expliqué à propos des circuits de contrôle point-trait que le conducteur 193 (fig. 47) se trouve sous -30 volts pendant le temps où l'anneau de Treize fonctionne. L'anneau de Treize commande le système de déflexion verticale pendant la régénéra tion d'uns manière précisément identique à celle exis tant pendant l'opération d'enregistrement.
(La régé nération a lieu par exploration colonne par colonne). Le fait que le conducteur<B>193</B> (fig. 47) est sous -30 volts forcera la borne 3 du circuit et 344 à se trouver sous + 10 volts, étant donné que l'in verseur 340 applique une impulsion positive au circuit et 344 par l'entremise du couplage catho dique 341 et du circuit ou 342.
Au même moment, le bord d'attaque d'une im pulsion de réglage dans le temps apparaissant au conducteur 350 (par l'entremise du conducteur 230) force le multivibrateur à une seule position stable 348 à émettre une impulsion positive présentant une longueur de quatre microsecondes. Le bord arrière de l'impulsion. du multivibrateur à une seule position stable force, par l'entremise de l'inverseur 351, un multivibrateur 404 à une seule position stable à envoyer une impulsion, positive de 0;6 microseconde à un couplage cathodique 405. La tension de sortie sous + 10 volts du couplage cathodique 405 est appliquée à un circuit et 406.
Une impulsion vidéo (représentant un trait) arri vant au conducteur 402 est couplée capacitivement aux étages, d'amplification et de modulation 407 et 408 qui sont identiques aux circuits représentés sur la fig. 26. L'impulsion positive en provenance de l'inverseur 408 est appliquée à un couplage catho dique 410, de sorte qu'une impulsion positive est dirigée vers la seconde entrée du circuit et 406.
La coïncidence des. entrées sous + 10 volts sur le circuit et 406 provoque l'application d'une impulsion sous + 10 volts sous forme d'entrée au circuit et 403. L'autre entrée du circuit et 403 est sous + 10 volts pendant la régénération ainsi qu'on l'a expliqué plus haut. La sortie du cir cuit et 403 est envoyée par l'entremise du cir cuit ou 364 et de l'inverseur 366 (fig. 46) au déclencheur 367, forçant le déclencheur à transférer son état de conduction.
Comme on l'a expliqué à propos de la descrip tion des circuits de contrôle trait-point, le transfert de l'état de conduction du déclencheur 367 provoque l'envoi d'un signal, par l'entremise du couplage cathodique 368, du circuit et 369 et du couplage cathodique 346 (fig. 47), au circuit et 344. Etant donné que les deux entrées au circuit et 344 sont positives, un signal de sortie en résulte qui entraîne un couplage cathodique 352. Etant donné que la sortie du multivibrateur à une seule position stable 371 a provoqué la mise en route du circuit 369 (fig. 46) pendant trois.
à cinq microsecondes, le signal apparaissant à la sortie du couplage cathodi que 352 (fig. 37) forcera la lampe à rayons catho diques appropriée à fonctionner à pleine puissance de sorte qu'un trait se trouvera inscrit. Le tableau de réglage dans le temps (fig. 51) peut être consulté à propos des circuits de contrôle point-trait des fig. 46 et 47.
<I>Circuits de contrôle de la régénération.</I> - Les circuits de contrôle de la régénération permettent aux éléments, d'information disposés dans les lampes d'emmagasinage à rayons, cathodiques d'être régé nérés, à tout moment sauf pendant l'emmagasinage effectif d'une colonne ou l'extraction d'une rangée à partir des. lampes à rayons cathodiques. Les cir cuits de contrôle doivent également prévoir le retour des faisceaux d'exploration au point de départ des grilles des lampes, à rayons cathodiques lorsque la régénération est interrompue au milieu d'une posi tion.
Pendant le processus de régénération, les fais ceaux des lampes à rayons cathodiques explorent colonne par colonne comme pendant l'opération d'enregistrement. L'anneau de Treize fait avancer le faisceau vers le bas de la colonne à la fréquence de 100 kilocycles. Le- signal de report de 13 produit à l'anneau de Treize atteint le bas de la colonne, force l'anneau de Cent à avancer d'une position et entrain le faisceau vers la colonne suivante.
On a indiqué précédemment que les impulsions de réglage dans le temps à la fréquence de 100 kilocycles sont envoyées à l'anneau de Treize à partir du circuit et 228 (fig. 34) ainsi qu'à l'inverseur 232 par l'entremise du conducteur 182. On peut maintenant indiquer comment les circuits de contrôle de la régé nération actionnent le circuit et .228 de telle sorte que les impulsions de réglage puissent atteindre l'an neau de Treize.
Fondamentalement, les circuits de contrôle de la régénération sont tels que, pour que la régénération s'effectue, un déclencheur 411 d'ar rêt de la régénération (fig. 33) doit avoir son côté droit conducteur. Si c'est le cas, la sortie provenant du déclencheur 411 se trouve sous tension positive élevée, ce qui amène un couplage cathodique 412 à son état de conduction, après quoi une impulsion positive est envoyée au circuit ou 227 (fig. 34). Par conséquent, le circuit et 228, qui est ali menté par le circuit ou 227 est actionné par les impulsions de 100 kilocycles arrivant sur le conduc teur 229 sous forme de seconde entrée au circuit et 228.
Ceci provoque l'envoi d'une impulsion négative, provenant de l'inverseur 232, à l'anneau de Treize par l'entremise du conducteur 182. Dans les conditions décrites ci-dessus, la régénération de l'élé ment d'information se poursuit indéfiniment jusqu'à ce que le déclencheur d'arrêt de régénération 411 voie à nouveau son côté gauche rendu conducteur. Les circuits de contrôle de la régénération peuvent maintenant être considérés dans leurs rapports, avec les opérations d'emmagasinage et d'extraction. <I>Situation préalable au commencement de l'em-</I> <I>magasinage.</I> - On supposera que la régénération des éléments. d'informations disposés dans les lampes à rayons cathodiques est en cours.
La rangée de la dernière carte a été perforée au temps 9 du cycle de la carte. La régénération a commencé et s'est pour suivie jusqu'au temps 13,6 environ du cycle de la carte. On. voit sur la fig. 53 que le coupe-circuit P24 ferme son contact au temps 13,6 du cycle de la carte et applique de ce fait une tension de -I- 40 volts au conducteur 376. Le conducteur 376 est con- necté à la grille de gauche du déclencheur d'extrac tion 377 (fig. 33).
Si l'on. se réfère à la fig. 21, on. voit que ce déclencheur de blocage est conçu pour fonctionner sous l'action d'une impulsion sous +40 volts en provenance du coupe-circuit. L'élément a été conçu de telle sorte que les effets indésirables de rebon dissement associés à un coupe-circuit à commande par came se trouvent éliminés. Le déclencheur de blocage est conçu de telle sorte .qu'un signal sous -i-- 40 volts sur une grille particulière provoque l'at traction du déclencheur de telle sorte que le côté auquel le signal a été appliqué commence à être conducteur.
La tension sous + 40 volts appliquée par le coupe-circuit P24 (fig. 53) par l'entremise du con ducteur 376 au déclencheur d'extraction 377 force le déclencheur d'extraction à transférer la conduc- tion à son côté gauche. Ceci a pour résultat un. signal positif provenant de sa borne de sortie, signal qui entraîne le couplage cathodique 378 à l'état de con- duction, appliquant de ce fait + 10 volts au circuit <B>ou D</B> 414.
La sortie du couplage cathodique. 378 est également appliquée à l'inverseur 379 qui consti tue une partie du circuit commandant l'élément de traitement du ruban pour forcer celui-ci à fonction ner et à faire avancer une longueur de ruban con tenant un élément d'enregistrement. Ce circuit a été décrit dans le chapitre intitulé: Circuit de com mande de l'entraînement du ruban .
La tension sous + 10 volts appliquée au circuit ou 414 force ce dernier à transmettre une impul sion destinée à amener l'inverseur 415 à l'état de conduction. La sortie négative de l'inverseur 415 est appliquée à la grille de droite d'un déclencheur 416, forçant ce déclencheur à devenir conducteur sur son côté gauche. Le déclencheur 416 est considéré comme étant revenu en position de départ lorsque son côté droit est conducteur. Le transfert de la conduction dans le déclencheur 416 provoque l'ap plication de + 10 volts à un couplage cathodique 417.
La sortie sous + 10 volts du couplage catho dique 417 est appliquée sous forme d'une entrée au circuit ou 418.
Etant donné que la régénération a progressé pendant ce temps, l'anneau de Treize continue à faire avancer les faisceaux des lampes à rayons cathodiques vers le bas de la colonne qui est actuel lement en, cours d'exploration. Lorsque l'anneau de Treize atteint la fin de son comptage, le < signal de report de Treize est envoyé par l'entremise du conducteur 192 au circuit et 448 où il constitue la seconde entrée.
Le signal de report de 13 sur la ligne 192 est également envoyé par l'entremise du couplage cathodique 238 au circuit ou<B> </B> 239 pour forcer l'anneau de Cent à avancer d'une posi tion. Les faisceaux des lampes à rayons cathodiques sont maintenant instantanément disposés au sommet de la colonne suivante. La coïncidence de signaux d'entrée positifs dans le circuit et 418 produit une sortie qui amènera à la conduction un inverseur 420, produisant ainsi un signal de sortie négatif qui est envoyé au déclen cheur 416, provoquant le transfert de ce déclencheur et l'amenant à conduire sur son côté droit.
Cette action force les déclencheurs 416 à émettre un signal allant vers le négatif sur sa borne 8, signal qui est appliqué à, et force un déclencheur 411 d'arrêt de régénération à transférer son état de conduction au côté gauche. Comme on l'a expliqué précédemment, chaque fois que le côté gauche du déclencheur 411 d'arrêt de la régénération est conducteur, les impul sions de réglage sont isolées de l'anneau de Treize de telle sorte que la régénération de l'image emmaga sinée dans les lampes à rayons cathodiques se trouve effectivement arrêtée.
Même si la régénération a été arrêtée, les fais ceaux doivent être ramenés au début des grilles en vue d'être prêts à amorcer une nouvelle opération si c'est nécessaire. L'opération décrite ci-dessus ra mène le faisceau au sommet de la colonne particu lière dont il effectuait l'exploration. On conçoit ce pendant que le faisceau pouvait se trouver sur l'une quelconque des cent colonnes et qu'il doit, par con séquent, être ramené au sommet de la première colonne.
Le signal négatif qui constitue la sortie à la borne 8 du déclencheur 416 (fig. 33) et qui a agi pour basculer le déclencheur 411, est également appliqué sous forme d'entrée à un déclencheur dit d'achève ment rapide 421, et force ce déclencheur à conduire par son côté gauche. Il en résulte qu'un signal posi tif est appliqué à un couplage cathodique 422, qui applique sa sortie positive sous 10 volts à un circuit ou 423, ainsi qu'à un couplage cathodique 424.
En mettant en route le circuit ou 423, un cou plage cathodique 425 est amené à l'état de conduc- tion pour envoyer une tension de -f- 10 volts à un circuit<B> </B>et<B> </B> 426. De ce fait, les impulsions de réglage de 10 kilocycles sur le conducteur 228, qui constitue la seconde entrée au circuit et 426, sont envoyées à travers ce dernier circuit ainsi qu'à travers le circuit ou 2.39 et l'inverseur 240, qui applique des. impulsions de réglage négatives au con ducteur de sortie 241.
Ceci envoie les impulsions de réglage à l'anneau de Cent et force celui-ci à ache ver rapidement son comptage jusqu'à cent, après quoi le signal de report de Cent (indiquant que l'anneau de Cent a atteint la centième position) arrive sur un conducteur 426. Le signal positif de report de cent sur le conducteur 426 (fig. 33) est appliqué à un inverseur 427, qui applique ce signal à un déclencheur d'extraction double 428. Ce signal exige que le déclencheur 428 soit amené en position de départ avec son côté droit conducteur.
Le signal de report de cent est également envoyé à un circuit et 429 (fig. 33) et, étant donné que sa seconde entrée est positive, il est conducteur et envoie une impulsion à un inverseur 430, de sorte qu'un signal de sortie négatif est envoyé par l'inver seur 430 au déclencheur 421, provoquant le trans fert du déclencheur 421 et la conduction sur le côté droit de celui-ci. Etant donné que le déclencheur 421 n'entraîne pas.
plus longtemps désormais le couplage cathodique 422, le circuit ou 423 n'est pas mis en action et de ce fait le signal positif est écarté du circuit et 426. Par conséquent, les impulsions de réglage sous 100 kilocycles, sont écartées de l'anneau de Cent. Les faisceaux des lampes à rayons catho diques sont maintenant disposés au début de leurs grilles.
Le signal négatif en provenance du couplage cathodique 422 est également envoyé au, et force le déclencheur d'extraction, double 428 à se transférer au côté gauche. Il en résulte que la sortie positive du déclencheur 428 entraîne un couplage cathodique 430 de telle sorte que la tension de -f- 10 volts est appliquée au circuit et<B> </B> 431. Cependant, la se conde entrée au circuit et 431 à ce moment est sous -30 volts, étant donné qu'un couplage catho dique 432 n'est pas, conducteur.
Le couplage catho dique 432 ne peut être conducteur, étant donné qu'il ne reçoit pas, d'impulsions d'un déclencheur de blo cage 433 dont le côté droit est conducteur à ce moment. Le fonctionnement des circuits de contrôle de la régénération sous la commande du déclencheur de blocage 433 sera discuté plus loin sous le titre Situation préalable au commencement de l'extrac tion .
La discussion ci-dessus a indiqué les étapes né cessaires à l'arrêt de la régénération des éléments d'information disposés dans les lampes. à rayons cathodiques au moment où le système est prêt à amorcer l'opération d'emmagasinage. La tension sous -!- 10 volts émise par le couplage cathodique 378 a provoqué l'arrêt de la régénération, a forcé les faisceaux des lampes. à rayons cathodiques à retour ner au début de leurs grilles, et a enfin forcé le mécanisme d'entraînement du ruban à amorcer l'en voi d'un nouvel élément d'enregistrement.
Le méca nisme d'entraînement du ruban requiert environ dix millisecondes pour parvenir à la vitesse suffisante avant que le nouvel élément d'enregistrement ne par- vienne sous la tête d'extraction/enregistrement. L'ex traction d'un nouvel enregistrement à partir du ruban va s'effectuer maintenant, l'anneau de Treize et l'an neau de Cent fonctionnant de la manière précédem ment décrite.
A peu près au temps 14,8 du cycle de la carte, un coupe-circuit P23 commandé par came (fig. 53), qui est situé dans le mécanisme de perforation, se ferme et applique -I- 40 volts à un conducteur 432 qui est connecté au déclencheur d'extraction 377 (fig. 33). Cette action provoque le retour du déclen cheur 377 à sa position de départ, dans laquelle le côté droit est conducteur, parce que, à ce moment, (temps, 14,8 du cycle de la carte) le déclencheur 377 a rempli son rôle.
Tandis que l'opération d'emmagasinage se pour suit, les circuits de régénération n'entrent pas en action, de sorte qu'un élément d'enregistrement com plet est emmagasiné dans les lampes d'emmagasi nage à rayons cathodiques avant que la régénération puisse reprendre. Lorsque l'opération d'emmagasi nage est complète et que le faisceau a exploré la cen tième colonne d'emmagasinage dans la lampe à rayons cathodiques, l'anneau de Treize émet à nou veau un signal de report de Treize sur le con ducteur 192 (fig. 33). L'impulsion est envoyée au circuit ou 239 par l'entremise du couplage catho dique 238, provoquant la conduction de l'inverseur 240.
Le signal de sortie négatif provenant de l'inver seur 240 est envoyé à l'anneau de Cent par l'entre mise du conducteur 241. Le signal négatif sur le conducteur 241 force l'anneau de Cent à avancer de la position 100 à la position 1, après quoi un signal de report de Cent<B> </B> est émis par l'anneau sur le conducteur 426 (fig. 33).
Le signal positif de report de cent sur le conduc teur 426 est appliqué à l'inverseur 427, provoquant ainsi la conduction de cet élément. Le signal de sor tie négatif de l'inverseur 427 est appliqué au déclen cheur d'extraction, double 428, provoquant ainsi le transfert de la conduction à son côté droit.
Du fait du transfert de la conduction du déclencheur 428, un signal négatif est transmis par l'entremise du couplage cathodique 430 au déclencheur 411 d'arrêt de régénération, forçant le déclencheur 411 à trans férer sa conduction à son côté droit. On a indiqué précédemment que chaque fois que le déclencheur 411 d'arrêt de régénération est conducteur sur son côté droit, les éléments disposés sur les lampes à rayons cathodiques se trouveront régénérés.
La régé nération est maintenant en cours, dans les condi tions décrites ci-dessus, et se poursuit approximati vement jusqu'au temps 12 du cycle de la carte, où la perforatrice est prête à provoquer l'extraction et la perforation de la rangée 12 de perforations de la carte immédiatement suivante.
<I>Situation préalable au commencement de l'ex-</I> <I>traction.</I> - On supposera que l'opération d'enregis trement a pris fin et que la régénération est en cours. A l'examen de la fig. 53, on peut voir que, au temps 12 du cycle de la carte, un coupe-circuit P21 com mandé par came (fig. 53) applique une tension de + 40 volts à un conducteur 434. En se reportant à la fig. 33, on voit qu'une impulsion sur le conduc teur 434 constitue une entrée au déclencheur 433 de blocage de la perforation.
La tension sous + 40 volts appliquée au conducteur 434 provoque le transfert du déclencheur de blocage 433, c'est-à-dire l'attrac tion de son côté gauche. Le transfert de conduction dans le déclencheur 433 force le couplage cathodique 432 à conduire et applique + 10 volts au circuit ou , ainsi que, par l'entremise du circuit et 431,à un conducteur 435. La tension de + 10 volts existant sur le conduc teur 435 provoque l'avancement de l'anneau de per foration. Le déclencheur 433 de blocage de perfora tion est excité pour chaque chiffre de l'enregistre ment. Par conséquent, chaque fois que le déclen cheur de blocage 433 est excité, l'anneau de perfo ration avance.
Entre l'extraction des. rangées en direction de la perforation, les circuits, de régénéra tion sont mis en. route et la régénération s'effectue de la manière décrite ci-dessus. Le fonctionnement de l'anneau de perforation sera décrit ci-après sous le titre: Fonctionnement de l'anneau de perfora tion . La tension sous + 10 volts appliquée au cir cuit et 431 ne peut provoquer la mise en route de ce circuit, étant donné que, à ce moment, son autre entrée se trouve sous -30 volts.
La tension sous + 10 volts appliquée au circuit ou 414 est envoyée à l'inverseur 415, provo quant l'envoi d'un signal de s, s négatif au déclen cheur 416. Le signal négatif provenant de l'inver seur 413 provoque le transf !rt du déclencheur 416 de sorte qu'il est conducteur sur son côté gauche, donnant ainsi un signal de sortie positif qui entraîne le couplage cathodique 417. La sortie sous + 10 volts en, provenance du couplage cathodique 417 conditionne une entrée du circuit 418.
L'anneau de Treize poursuit son cycle actuel, forçant les faisceaux des lampes à rayons cathodi ques, à terminer l'exploration et à régénérer la colonne présente, moment auquel l'anneau de Treize émet un signal de report de 13 sur le conducteur 192. Le signal de report de 13 sous + 10 volts sur le conducteur 192 est envoyé au circuit ou<B> </B> 239 (fig. 33) par l'entremise du couplage cathodique 238, forçant une impulsion négative, transmise par le conducteur 241, à faire avancer d'une position l'an neau de Cent.
Les faisceaux des lampes à rayons cathodiques sont maintenant disposés instantané ment au sommet de la colonne d'emmagasinage sui vante.
Le sial de report de 13 ,sur la ligne 192 est également appliqué au circuit et 418. Etant donné que l'autre entrée au circuit et<B> </B> 418 se trouve également sous. + 10 volts, le circuit et fournit une sortie sous +<B>10'</B> volts, forçant l'inverseur 420 à devenir complètement conducteur, ce qui, à son tour, envoie un signal négatif au déclencheur 416.
Le signal négatif appliqué au déclencheur 416 forci; ce déclencheur à transférer sa conduction au côté droit, ce qui provoque l'envoi d'un signal de sortie de direction négative au déclencheur 411 d'arrêt de régénération ainsi qu'au déclencheur 421 d'achève ment rapide. Le signal négatif appliqué aux déclen cheurs 411 et 421 oblige ces déclencheurs à transfé rer la conduction à leurs côtés gauches respectifs.
On, a indiqué précédemment que, chaque fois que le déclencheur 411 d'arrêt de la régénération est con ducteur sur son côté gauche, les impulsions de réglage sous 100 kilocycles sont isolées de l'anneau de Treize. Le fait que le déclencheur 421 d'achèvement rapide (fig. 33) est transféré provoque l'applica tion de + 10 volts aux couplages cathodiques. 422 et 424 et, par conséquent, au circuit et 429 et, directement au circuit ou 423. L'autre entrée au circuit et 429 est à ce moment sous -30 volts.
L'entrée sous + 10 volts au circuit ou 423 est envoyée à travers ce circuit ou , à travers le cou plage cathodique 425 ainsi qu'au circuit et 426. Par conséquent, les impulsions de réglage arrivent sur la ligne 229, qui constitue l'autre entrée au cir cuit et 426, sont envoyées à travers le circuit et et traversent le circuit ou 239 ainsi que l'inverseur 240, parvenant ainsi sur le conducteur de sortie 241 sous forme d'impulsions de réglage négatives.
Les impulsions de réglage négatives de la ligne 241 sont appliquées à l'anneau de Cent, forçant cet anneau à achever son cycle en comptant jusqu'à cent et forçant les faisceaux des lampes à rayons cathodiques à retourner au commencement des grilles.
Lorsque l'anneau de Cent achève son cycle, il émet un signal sous + 10 volts de report de cent sur le conducteur 426 (fig. 43). Ce signal de report est appliqué à l'inverseur 427 (fig. 33), ce qui exige effectivement que le déclencheur 428 d'extraction double soit remis en position de départ ; son côté droit étant conducteur. Le signal de report de cent est également appliqué au circuit et 429 (fig. 33), provoquant la conduction de l'inverseur 430.
(La seconde entrée au circuit et 429 est sous + 10 volts, étant donné que le déclencheur 421 a son côté gauche conducteur.) Le signal de sortie négatif de l'inverseur 430 provoque le transfert du déclencheur 421 d'achèvement rapide de sorte que celui-ci est conducteur sur son côté gauche.
Le fait que le déclencheur 421 d'achèvement rapide conduit maintenant par son côté gauche pro voque l'application d'un potentiel positif inférieur au couplage cathodique 422, ce qui entraîne l'applica tion de -30 volts. au déclencheur 428 d'extraction double ainsi qu'au circuit ou 423. Le fait que le circuit ou 423 n'actionne pas plus longtemps le couplage cathodique 425 a pour résultat l'isolement des impulsions de réglage sur la ligne 229, de sorte que. l'anneau de Cent n'est pas plus longtemps ali menté par l'entremise de la sortie 421.
Le signal en direction. négative provenant du couplage cathodique 422 provoque le transfert du déclencheur 428 d'extraction double, de sorte qu'il est maintenant conducteur par son côté gauche et que cela provoque la conduction du couplage: catho dique 430. La sortie du couplage cathodique 430 se trouve sous + 10 volts, et le circuit et 431 émet une impulsion et amène son conducteur de sor tie 436 à ce potentiel. Le conducteur -436 est con necté aux grilles de trois couplages cathodiques 437 montés en parallèle (fig. 39).
La tension sous + 10 volts sur la ligne 436 force les couplages cathodiques 437 à entrer en action et à élever ainsi à + 10 volts le potentiel existant sur le conducteur 438. Les + 10 volts du conducteur 438 sont transmis au circuit ou 423 (fig. 33), forçant ce circuit à transmettre l'impulsion. L'une des, entrées au circuit et 431 (fig. 33) se trouve sous + 10 volts, étant donné que le déclencheur 433 de blocage de perforation est conducteur sur son côté gauche.
Au moment où le déclencheur 433 de blocage de perforation transfère la conduction à son côté gau che, un signal de direction positive est émis par l'entremise du couplage cathodique 432 vers le con ducteur de sortie 435. Ce signal est transmis à un inverseur 439 (fig. 39) et envoyé par l'entremise d'un conducteur 440 à l'anneau de perforation.
En bref, la présence de cette impulsion négative sur le con ducteur 440 force l'anneau -de perforation à avancer de telle sorte que le déclencheur d'anneau 441 soit amené en position fermée. Ainsi, le couplage catho dique 301 est mis. en action et une tension de + 10 volts est appliquée au circuit et 302. On a indi qué plus haut que, étant donné que le déclencheur 428 d'extraction double (fig. 33) est en position fer mée, le conducteur 436 se trouve sous + 10 volts.
Ce potentiel sur le conducteur 436 provoque la mise en route des couplages cathodiques 437 (fig. 39) de telle sorte que la seconde entrée au circuit et 302 se trouve sous + 10 volts. La coïncidence d'entrée sur le circuit et 302 provoque la mise en route du circuit ou. 300.
Dans la partie de la descrip tion qui a trait aux circuits de déflexion verticale, un a expliqué qu'une sortie de potentiel sous + 10 volts en provenance du circuit ou 300 a provoqué la mise en place des faisceaux des lampes à rayons cathodiques sur la douzième colonne.
La tension sous + 10 volts appliquée au circuit ou 423 (fig. 33) force cet élément à entraîner le couplage cathodique 425 avec ce résultat qu'une entrée au circuit et 426 est amenée à + 10 volts. Par conséquent, les impulsions de réglage dans le temps de 100 kilocycles apparaissant sur la ligne 229 qui constitue la seconde entrée au circuit et 426 sont envoyées à l'anneau de Cent par l'entre mise du conducteur de sortie 241.
Cette action pro voque le début de l'extraction des lampes à rayons cathodiques en direction de l'extraction, les. faisceaux explorant la rangée 12 des grilles. Ainsi, la régéné ration a été interrompue et l'opération d'extraction a commencé.
L'anneau de Cent force les faisceaux à extraire la totalité des cent colonnes de la rangée 12 des lampes à rayons cathodiques, après quoi une tension de + <B>10</B> volts, représentant le signal de report de cent, est appliquée au conducteur 426 (fig. 43).
'Ce signal de direction positive entraîne l'inverseur 427 à l'état de conduction de telle sorte qu'un- signal de sortie négatif est appliqué au déclencheur d'extraction dou ble, forçant cet élément au transfert, de telle sorte qu'il est conducteur sur son côté droit.
Il en résulte qu'une impulsion négative en provenance du déclen cheur 428 d'extraction double mettra hors circuit le couplage cathodique 430 de telle sorte qu'un signal de direction négative est appliqué au déclencheur 411 d'arrêt de régénération. .Le signal négatif du déclencheur 411 d'arrêt de régénération force cet élément au transfert, de sorte qu'il est conducteur sur son côté droit.
On a indiqué précédemment que, chaque fois. que le déclencheur 411 d'arrêt de la régénération est conducteur sur le côté droit, la régé nération des éléments d'information disposés dans les lampes à rayons cathodiques a lieu et que, ainsi, l'extraction de la rangée 12 s'est effectuée et que la régénération de l'élément a commencé une fois de plus.
A peu près au temps<B>12,5</B> du cycle de la carte, le coupe-circuit P22 a commandé par came (fig. 53) applique -I- 40 volts à un conducteur 442 qui est connecté à la grille de droite du déclencheur 433 de blocage de la perforation (fig. 33). La tension de -I- 40 volts sur le conducteur 442 provoque l'attrac tion du déclencheur 443, c'est-à-dire son transfert, de telle sorte qu'il soit conducteur sur son côté droit.
Cette action ramène en position de départ le déclen cheur 433 de blocage de perforation, de sorte qu'il est prêt à être actionné au temps 11 du cycle de la carte.
Au temps 11 du cycle de la carte, le coupe- circuit à commande par came P2L (fig. 53) applique à nouveau -i- 40 volts au conducteur 434, forçant le déclencheur de blocage de perforation 433 (fig. 33) à transférer la conduction à son côté gauche. Cette action amorce l'opération décrite plus haut, grâce à laquelle la régénération est arrêtée et la rangée 11 extraite et perforée dans la carte.
Les opérations décrites se poursuivent indéfini ment jusqu'à ce que la totalité des rangées aient été extraites et perforées sur la carie, après quoi la machine est prête à interrompre la régénération et amorcer l'emmagasinage de l'information provenant du ruban dans les lampes. Cette dernière opération a été décrite ci-dessus sous le titre : Situation préa lable au commencement de l'enregistrement . Il est important de noter que la régénération intervient entre l'extraction des rangées.
<I>Circuits de vérification d'erreurs</I> Il existe dans le système trois circuits de vérifi cation d'erreurs tels que l'entrée en action de l'un quelconque de ces circuits force la perforatrice et le mécanisme d'entraînement du ruban, à interrom pre respectivement l'envoi des cartes et de ruban. Les circuits de vérification sont respectivement le circuit de vérification par répétition d'élément, le contrôle de longueur d'enregistrement et le contrôle par comptage de traits.
Le circuit de contrôle par répétition vérifie que les éléments en provenance des sept pistes du ruban se trouvent en nombre impair. Il est ainsi possible que se produisent deux erreurs ou un nom bre pair d'erreurs, ce qui provoque un effet de com pensation. Un exemple est constitué par la perte totale de deux éléments, d'information en provenance du ruban, de sorte que le nombre effectif d'éléments reçus se trouve encore être impair.
Dans ce cas, une erreur serait susceptible de se produire, qui ne pour rait être indiquée par les circuits de vérification par répétition d'éléments.
Le circuit de vérification de longueur d'enregis trement a pour rôle de déterminer que le centième caractère qui est reçu du ruban est un repère d'en registrement. Ce circuit provoque l'arrêt du système si, par exemple, l'élément d'entraînement du ruban a commencé à lire un élément d'enrgistrement en un point situé au milieu de l'enregistrement.
Le circuit de vérification par comptage de traits force la totalité des traits (représentant les perfora tions à effectuer) d'un élément d'enregistrement à être envoyés à un déclencheur binaire pendant l'opé ration d'emmagasinage. Pendant l'opération d'extrac tion, les traits sont envoyés à nouveau à ce déclen cheur binaire. Si le même nombre de traits sont envoyés au déclencheur binaire à la fois pendant l'opération d'emmagasinage et pendant l'opération d'extraction, le déclencheur est renvoyé à son état original. Si le déclencheur ne se trouve pas dans son état original à la fin de l'opération d'extraction, une indication d'erreur se trouve engendrée et les méca nismes sont arrêtés.
Ici encore, il est possible de compenser la production des erreurs. Il est possible qu'un trait soit perdu au cours de l'emmagasinage et de l'extraction, auquel cas les circuits de vérification n'indiquent pas la présence (furie erreur.
<I>Circuits de</I> vérification <I>par répétition</I> d'éléments. - On a signalé plus haut, à propos de la descrip tion concernant l'entrée provenant de l'élément de lecture du ruban., que les éléments d'information du code à sept éléments arrivent sur les conducteurs d'entrée 148 à 160 (fig. 35). Les éléments d'infor mation sont temporairement emmagasinés dans le registre de déclencheurs comportnat les déclencheurs 64, 50a, 52a, 54a, 56a, 58a et 66a (fig. 35).
Connectés aux sorties de ces déclencheurs se trouvent un groupe de couplages cathodiques dont les. potentiels de sortie reflètent l'état de leurs déclen cheurs respectifs. Les conducteurs 194,<B>196,</B> 198, 197, 199, 200 et 201 sont connectés aux sorties de ces couplages cathodiques qui se trouvent sous -I-- 10 volts lorsque les, déclencheurs respectifs sont en train d'emmagasiner des éléments d'information.
Il y a lieu de noter que l'enregistrement sur le ruban est disposé de telle sorte sur celui-ci qu'un élé ment est enregistré ou n'est pas enregistré dans la septième piste (piste de répétition) du ruban, de sorte que le nombre total d'éléments constituant un seul mot se trouve être un nombre impair.
Le fait que les divers éléments d'information sont emmagasinés dans les déclencheurs du registre pro voque la mise simultanée sous -f- 10 volts de diver ses combinaisons des conducteurs 194 à 201 (fig. 35). Chacun des conducteurs 194 à 201 est con necté à l'entrée d'un groupe de circuits et 202 à 208 (fig. 35). La sortie de ces circuits et est connectée par l'entremise des couplages cathodiques <I>202a,</I> 203a,<I>204a,</I> 205a, 206a,<I>207a</I> et 208a à un conducteur de sortie. 444. L'autre entrée aux circuits et 202 à 208 est connectée respectivement aux sorties 12, 11, 0, 1, 2, 3 et 4 de l'anneau. de Treize (fig. 38).
Par conséquent, l'information arrivant simultanément sur les conducteurs 194 à 201 (sous forme parallèle) arrive au conducteur de sortie 444 (fig. 35) et s'y présente en, série, étant donné que les circuits et <I>202a</I> à 208a sont soumis à impul sions en série. De ce fait, si cinq éléments d'informa tion se trouvaient présents dans les sept pistes du ruban, cinq impulsions séparées apparaissent au con ducteur de sortie 444 lorsque l'anneau de Treize effectue son cycle pendant l'opération. d'emmagasi- nage. Au temps. 5 (impulsion représentant 5 en code Holle.rith) l'impulsion de + 10 volts est appliquée au circuit et 445 (fig. 35) par l'anneau de Treize.
La seconde entrée au circuit et 445 est sous + 10 volts pendant la totalité de l'opération d'em magasinage, étant donné que cette entrée est consti tuée par la sortie du couplage cathodique 226 (fig. 34), transmise par l'entremise d'une connexion. 446. Par conséquent, au temps 5 de l'anneau de Treize, une impulsion est émise par l'intermédiaire du cir cuit et 445 (fig. 35) et du couplage cathodique 446 qui lui est connecté au conducteur 444. Le rôle de cette dernière impulsion survenant au temps 5 est de rendre pair le nombre total d'impulsions arrivant sur le conducteur 444.
La coïncidence de chaque impulsion sur le con ducteur 444 est d'une impulsion de réglage appli quée sous forme de seconde entrée à un circuit et 447 amène à la conduction totale un inverseur 448, de sorte qu'une impulsion négative est appliquée à un déclencheur 449, provoquant le transfert du dé clencheur. Etant donné que le déclencheur 449 est connecté sous forme de déclencheur binaire, il change de conduction, à chaque impulsion reçue. Par con séquent, comme un nombre pair d'impulsions agit sur le déclencheur 449, celui-ci est renvoyé à son état original, c'est-à-dire à l'état dans lequel son côté gauche est conducteur.
Dans ce cas, l'entrée<B>à</B> un couplage cathodique 450 se trouve sous -30 volts, de sorte qu'un circuit et 450 qui lui est connecté ne peut être conducteur.
Cependant, pour permettre une intelligence par faite de l'opération des circuits de vérification par répétition, on. supposera qu'une erreur s'est produite, de sorte que, à la fin du temps 5 de l'anneau de Treize, le déclencheur binaire 449 est conducteur sur son côté droit. Du fait que la sortie du déclencheur binaire 449 se trouve sous potentiel positif élevé, le couplage cathodique 450 est amené à la conduction, donnant une impulsion de sortie qui constitue une entrée au circuit et 451. Au temps 6 de l'anneau de Treize, l'autre entrée au circuit et<B> </B> 451 se trouve également être positive.
En raison de la coin- cidence de ces deux impulsions dans le circuit et 451, une impulsion est transmise par l'entremise du circuit et à un circuit ou 452, par l'entremise de ce circuit et d'un circuit ou 453, appliquant ainsi une tension de + 10 volts au conducteur 454. Le fait que le conducteur 454 est positif indique qu'une erreur a été détectée. Le circuit ou 453 est connecté par l'entre mise du conducteur 454 au thyratron 397 (fig. 54).
La tension de + 10 volts existant sur le conducteur 454 amène la grille-écran du thyratron 397 à un point où cet élément s'allume, provoquant l'excita tion d'un relais, d.'erreur 455 (fig. 54). Un jeu de contacts 455a sont mis en action par le relais d'er reur 455, provoquant l'allumage. d'une lampe d'er reur 456 et provoquant également l'interruption du circuit du moteur de perforation (non représenté).
<I>Circuits de vérification de longueur d'enregistre-</I> <I>ment.</I> - Ainsi qu'on l'a noté précédemment, les cir cuits de vérification de longueur d'enregistrement provoquant l'excitation du relais d'erreur 455 (fig. 54) si le centième caractère reçu du ruban n'est point un repère d'enregistrement. Ce circuit doit alors uti liser la centième position de l'anneau de Cent et le signal de sortie de la matrice de décodage qui repré sente un repère d'enregistrement. Il se produit une coïncidence d'entrée à un circuit et 458 à quatre voies (fig. 43) pendant le centième comptage de l'an neau de Cent.
A ce moment, les faisceaux des lampes à rayons. cathodiques se trouvent sur la centième colonne. Une entrée au circuit et 458 se trouve sous + 10 volts lorsque le déclencheur 245 est con ducteur par son côté droit. Ceci se produit lorsque l'anneau est situé entre. 51 et 100. Une seconde entrée au circuit et 458 se trouve sous + 10 volts lorsque le déclencheur 244 est conducteur sur son côté droit.
Le déclencheur 244 est conducteur sur son côté droit lorsque l'anneau est situé entre 26 et 50 ou entre 76 et 100. Etant donné qu'il est nécessaire d'obtenir une indication du moment où l'anneau est situé sur sa centième position, l'intérêt se concentre sur ses positions 67 à 100. Le circuit et 458 aura deux entrées excitées lorsque l'an neau de Cent se trouvera situé entre 76 et 100. La troisième entrée au circuit et 458 se trouvera sous + 10 volts lorsque le déclencheur 255 sera conducteur sur son côté droit. Ceci se produit lors que l'anneau est situé entre 20 et 25, 45 et 50, 70 et 75 et entre 75 et 100. L'intérêt se concentre donc sur les positions 95 à 100.
La quatrième entrée au circuit et 458 se trouve sous + 10 volts chaque fois que le cinquième déclencheur du groupe 242, c'est-à-dire le déclencheur 247, est conducteur sur son côté droit. Etant donné que ceci se produit tou tes les cinq impulsions,, cette situation se produira lorsque l'anneau de Cent se trouvera sur 100. Il est donc évident qu'une coïncidence des quatre entrées au circuit et 458 se rencontrera lorsque l'anneau arrivera sur sa centième position.
La coïncidence des quatre entrées au circuit et 458 force son couplage cathodique 460 à être entraîné à la conduction totale, après quoi une impul sion de sortie apparaît sur le conducteur 461. Cette impulsion de sortie, qui est sous -f- 10 volts, est envoyée à un circuit et 462 (fig. 34), ainsi qu'à un circuit ou 463 (fig. 34).
Dans la partie de la description traitant du regis- tre d'emmagasinage à déclencheur, on, a signalé que l'arrivée d'un repère d'enregistrement (indiquant que la fin d'un. élément d'enregistrement de 100 mots a été reçu du ruban) provoque la conduction du cou plage cathodique 100b (fig. 36), de sorte qu'une impulsion positive apparaît sur le conducteur 172. Le conducteur 172 est connecté de manière à cons- tituer la seconde entrée au circuit et 462 ainsi qu'une entrée au circuit ou 463 (fig. 34).
Lorsqu'une tension positive est présente à la fois sur le conducteur 172 et sur le conducteur 461 de la fig. 34, le circuit et 462 transmet une impulsion destinée à entraîner l'inverseur 464 de telle sorte que le couplage cathodique 465 qui lui est connecté transmet -30 volts à un circuit et 466.
Etant donné que la sortie du couplage cathodique 465 est sous -30 volts, aucune impulsion n'est transmise à travers le circuit et 466. On voit ainsi que si les deux conducteurs 172 et 461 sont sous -1- 10 volts, le circuit et 466 n'est pas conducteur. Au même moment, la tension sous -I- 10 volts existant sur le conducteur 461 ou 172 force le circuit ou 463 à rendre positive une entrée à un circuit et 467.
Au temps 7 de l'anneau de Treize, la seconde entrée au circuit et 467 se trouve amenée à -f, 10 volts de sorte que le couplage cathodique 468 qui lui est connecté est conducteur, après quoi la seconde entrée au circuit et 466 est amené à -f- 10 volts. Cepen dant, le circuit et 466 ne peut transmettre une impulsion, étant donné que son autre entrée, par l'entremise du couplage cathodique 465, se trouve sous -30 volts ainsi qu'on l'a signalé dans le para graphe précédent.
On va considérer maintenant le cas dans lequel un seul des conducteurs 172 ou 461 se trouve sous -1- 10 volts. Comme on l'a expliqué plus haut, si l'un ou l'autre de ces conducteurs se trouve sous -i- 10 volts., la borne 3 du circuit et 466 sera sous -f- 10 volts pendant le temps 7 de l'anneau de Treize.
Etant donné que le circuit et 462 ne reçoit qu'une entrée, il ne pourra fonctionner et l'inverseur 464 demeurera hors circuit. Le fait que l'inverseur 464 est hors circuit force le couplage cathodique 465 à être entièrement conducteur, de sorte que la sortie en provenance du couplage cathodique 465 applique -t- 10 volts sur le circuit et 466.
Par conséquent, au temps 7 de l'anneau de Treize, les deux entrées au circuit et 466 se trouvent sous -i- 10 volts, de sorte qu'une impulsion est transmise au circuit ou 452. La sortie du circuit ou 452 est transmise par l'intermédiaire du circuit ou 453, avec ce résultat que le conducteur de sortie 454 est amené à -f- 10 volts, indiquant ainsi qu'une erreur s'est pro duite.
La tension. sous -I-- 10 volts au conducteur 454 force à s'allumer le thyratron 397 (fig. 54), de sorte que le relais d'erreur 455 se trouve excité, provo quant l'arrêt de la machine ainsi qu'on l'a expliqué plus haut.
Le circuit de vérification de longueur d'enregis trement de la fig. 34 constitue en fait un circuit ou exclusif, en ce sens que l'un et l'autre des conducteurs d'entrée 172 ou 461 considéré en soi forcera une sortie à se produire, tandis que la pré sence de ni l'un ni l'autre ou des deux mettra le circuit hors d'état de fonctionner. L'impulsion 7 pro venant de l'anneau de Treize constitue simplement un temps particulier au cours duquel le système doit être interrogé en vue de déceler la présence d'une erreur.
<I>Circuit de vérification du nombre de traits. -</I> Ainsi qu'on l'a indiqué précédemment, le circuit de vérification du nombre de traits comporte un déclen cheur binaire dans lequel la totalité des traits repré sentatifs de perforations à effectuer dans la carte, sont introduits pendant l'emmagasinage dans les lam pes à rayons cathodiques et à nouveau pendant l'ex traction en direction, de la perforatrice. Si, à la fin d'une opération, d'extraction, le déclencheur binaire a été ramené à son état initial, on peut supposer que le même nombre de traits a été extrait des lampes à rayons cathodiques que celui qui y a été enregistré. Cependant, ce circuit est sujet à des erreurs de com pensation, ainsi qu'on l'a noté plus haut.
On a signalé plus haut, à propos de la descrip tion des circuits de contrôle de blocage de caractère, que pendant l'opération d'emmagasinage le déclen cheur d'emmagasinage 225 (fig. 34) est conducteur sur son côté gauche. Ce fait provoque la conduction complète du couplage cathodique 226 de sorte que la borne 4 d'un circuit ou 470 se trouve sous -f- 10 volts. Ceci transmet à son tour une impulsion positive sous forme d'une entrée à un circuit et ,> 471.
Comme on l'a signalé dans la partie de la des cription relative à la régénération des éléments dis posés dans les lampes, à rayons cathodiques, le dé clencheur 367 (fi-. 46) est conducteur sur son côté gauche chaque fois qu'un trait doit être inscrit dans les, ou chaque fois, qu'un trait doit être extrait des lampes, à rayons cathodiques. Chaque fois que le côté gauche du déclencheur 367 est conducteur, le couplage cathodique 368 est totalement conducteur, de telle sorte que la ligne de sortie 472 se voit appli quer -I- 10 volts.
La tension sous -;- 10 volts à la ligne 472 (chaque fois qu'un trait se présente) consti tue la seconde entrée au circuit et 471 (fig. 34).
La coïncidence d'entrées positives au circuit et 471 force ce circuit à transmettre une impul sion qui provoque la conduction d'un. inverseur 474. Le signal de direction négative provenant de l'inver seur 474 provoque le transfert d'un déclencheur bi- noire 475 à son état opposé. Le déclencheur binaire 475 change d'état de conduction lors de la réception de chaque impulsion représentative d'un trait. De ce fait, chaque trait se présentant pendant l'opération d'emmagasinage est envoyé au déclencheur binaire 475.
La description des circuits de régénération a mis en évidence le fait que, pendant l'opération d'extrac tion, les deux entrées au circuit et 431 (fig. 33) se trouvent sous + 10 volts, de sorte que le conduc teur de sortie 436 et, par conséquent, le conducteur 438, par l'entremise du groupe de couplages catho diques 437 (fig. 39), sont positifs. Le conducteur 438 constitue une entrée au. circuit ou 470 (fig. 34), de sorte que cet élément est également actionné pendant l'opération, d'extraction.
Il est donc évident que les traits se présentant pendant l'extraction, sont également envoyés au déclencheur binaire 475.
Si le déclencheur binaire 475 est ramené à son état original où le côté droit est conducteur, un cou plage cathodique 477 qui lui est connecté transmet une impulsion négative à un circuit et 478. Cependant, si une erreur a été détectée, le déclen cheur binaire 475 est conducteur sur le côté gauche, ce qui force le couplage cathodique 477 à appliquer + 10 volts. à l'entrée du circuit et 476.
Après que l'opération d'extraction a été effectuée et au moment où le ruban est à nouveau mis en route, le déclencheur 380 d'entraînement du ruban (fig. 33) change d'état, après quoi le couplage catho dique 382 fonctionne de telle manière qu'une tension de + 10 volts se trouve appliquée à une sortie 479. Cette impulsion de direction positive est couplée par capacité à un couplage cathodique 480 (fig. 34) ren dant de ce fait le couplage cathodique 480 pleine ment conducteur. Etant donné que la sortie du cou plage cathodique 480 se trouve sous + 10 volts, la seconde entrée au circuit et 478 est positive.
Si une erreur s'était produite, la borne 4 du circuit et 478 se trouverait sous + 10 volts. Dans ce cas, le circuit et 478 transmettrait une impulsion à travers le circuit ou 455, de sorte que le con ducteur de sortie 454 se verrait appliquer une impul sion positive indicatrice d'une erreur. Le conducteur 454 (fig. 34) est connecté à la grille de contrôle du thyratron 397 (fig. 54), de sorte que le thyratron est forcé de s'allumer et, par conséquent, d'exciter le relais d'erreur 455. L'excitation du relais d'erreur 455 provoque l'arrêt de la machine ainsi qu'on l'a expliqué plus haut.
<I>Résumé de l'opération d'emmagasinage</I> Un bref résumé des opérations entraînées par l'extraction de l'information hors du ruban magné tique et par l'emmagasinage de celle-ci à la surface des lampes à rayons cathodiques peut servir à établir la relation des fonctions suivant une base de temps.
Il y a lieu de se souvenir de ce que le fonction nement du système de conversion décrit ici com porte l'arrêt de l'opération de régénération, la mise en, route de l'élément d'entramement du ruban, la lecture d'un élément d'enregistrement et l'emmagasi nage de cet élément d'enregistrement dans les. lampes à rayons cathodiques, l'arrêt du mécanisme d'entraî nement du ruban, et enfin l'extraction de l'informa tion emmagasinée dans les lampes à rayons, catho diques en direction de la perforatrice des cartes, où l'information est perforée dans les cartes suivant le code Hollerith.
Environ au temps. 13,6 du cycle de la carte, le coupe-circuit P24 à commande par came (fig. 53) applique + 10 volts au conducteur 376, de sorte que le déclencheur de lecture 377 (fig. 33) est trans féré et devient conducteur sur son côté gauche.
Le fait que le déclencheur de lecture 377 est conduc teur sur son: côté gauche force le déclencheur 380 d'entraînement du ruban à passer en position fer mée, de sorte que l'élément d'entramement du ruban commence à envoyer le ruban portant les enregistre ments à travers les têtes d'extraction/enregistrement. Au même moment, le déclencheur 416 (fig. 33) est amené en position fermée,
de sorte que l'arrivée du signal de report de 13 provenant de l'anneau de Treize fait passer au côté gauche la conduction du déclencheur 411 d'arrêt de la régénération. Cette action déconnecte les impulsions de réglage d'avec l'anneau de Treize et, au même moment, provoque le passage en. position fermée du déclencheur 421 d'achèvement rapide (fig. 33), de sorte que les impul sions. de réglage sont envoyées à l'anneau de Cent, forçant cet élément à compléter son comptage jus qu'à cent, après quoi les faisceaux des lampes à rayons cathodiques sont renvoyés au commencement de leurs grilles.
Le signal de report de-100 reçu de l'anneau de Cent au moment où le comptage est terminé, force le déclencheur 42.1 d'achèvement rapide à déconnec ter les impulsions de réglage d'avec l'anneau de Cent. Environ dix millisecondes après que l'élément d'entraînement du ruban a commencé à envoyer du ruban, il a atteint sa pleine vitesse et le premier mot provenant de l'élément d'enregistrement arrive aux entrées 48, 50, 52, 54, 56, 58 et 60 (fig. 35). Le mot reçu de ces entrées est emmagasiné dans les déclencheurs, de registre 64, et ainsi de suite.
L'état de ces déclencheurs de registre est interprété par un jeu de couplages cathodiques connectés à ceux-ci. Les couplages cathodiques envoient des signaux à la matrice de décodage (fig. 36 et 37), de sorte que cette matrice peut convertir le mot, reçu en code binaire, en code Hollerith. Les tensions, représentant les mots qui sont envoyés à la matrice de décodage, sont également envoyés. à un jeu de couplages catho diques 209 et 215 (fig. 35).
Le fait que l'un quel conque des sept éléments du mot a été reçu rend pleinement conducteur l'un des couplages, cathodi ques 209 à 215, de sorte que le conducteur de sortie commun 216 est amené à + 10 volts. Le signal de direction. positive apparaissant au conducteur de sortie 216 est retardé pendant cinquante à soixante micro-secondes avant d'être appliqué au déclencheur 218 (fig. 34). L'application de ce signal au déclen cheur 218 force la seconde impulsion de réglage sui vante apparaissant sur le conducteur d'entrée 222 à faire passer en position fermée le déclencheur d'em magasinage 225.
Le fait que le déclencheur d'emma gasinage 225 est en position fermée provoque la cont- duction du circuit et 228 (fig. 34), de sorte que les impulsions de réglage peuvent être envoyées à l'anneau de Treize par l'entremise du conducteur de sortie .182. L'anneau de Treize est maintenant prêt à effectuer un cycle complet pendant lequel il fait avancer les faisceaux des lampes à rayons cathodi ques au bas de la première colonne et interroge au même moment la matrice de conversion,
de sorte quo le mot envoyé à la matrice de conversion apparair sous la forme d'une série d'impulsions espacées dans le temps sur le conducteur 336 (fig. 37). Si une impulsion apparait sur le conducteur 336, il est dés), rable d'emmagasiner cette impulsion sous forme uc trait dans les lampes à rayons cathodiques de telle sorte que, à un moment ultérieur, ce trait puisse être utilisé pour commander une perforation dans une carte.
*Une impulsion apparaissant sur le conducteur 336 est envoyée au circuit ou 364 (fig. 47). Le fait que l'anneau de Treize est en train de fonction ner permet au conducteur 193 (fig. 47) de se trou ver sous -30 volts de sorte que le circuit et 344 peut être mis en route. Le multivibrateur à une seule position stable 348 est actionné par les impulsions de réglage dans le temps apparaissant sur le conduc teur d'entrée 350.
Le fonctionnement du multivibra teur à une seule position stable 348 provoque l'envoi d'une impulsion au circuit et<B> </B> 369 (fig. 46) par l'entremise de l'inverseur 351 du multivibrateur 352 à une seule position stable, .de l'inverseur 370, du multivibrateur 371 à une seule position stable (qui sont tous représentés, sur la fig. 47) et du couplage cathodique 373 (fig. 46).
L'impulsion apparaissant sur la ligne 336 (fig. 47) provoque la mise en route du circuit ou 364 et de l'inverseur 366 (fig. 46) de sorte que le déclencheur 367 est transféré.
Le transfert du déclencheur 367 applique -h- 10 volts qui constitue une entrée au circuit et<B> </B> 369 de sorte que la sortie de ce circuit et , dont l'autre entrée est également positive, force le couplage cathodique 346 (fig. 47) à entraîner les circuits et 353 (fig. 46) et 354.
Suivant que l'informa tion doit être emmagasinée dans la première ou dans la seconde lampe à rayons cathodiques, les conduc teurs 360 à 363 (fig. 36) sont amenés à un potentiel positif élevé. Le fait que l'un ou l'autre des conduc teurs 360 ou 363 se trouve sous potentiel positif élevé force la grille de contrôle de la lampe à rayons cathodiques de droite ou de gauche à fonctionner en pleine puissance. La lampe à rayons cathodiques appropriée fonctionne à pleine puissance pendant la durée du balayage vertical d'éléments.
Les faisceaux des lampes à rayons cathodiques inscrivent un point sur chaque position représentative d'un point d'index d'une carte perforée lorsqu'ils balaient les colonnes respectives. Chaque fois que le faisceau est disposé sur une position particulière de la grille, une légère tension de balayage vertical est appliquée aux plaques de déflexion verticale, de sorte que, lorsque la lampe fonctionne à pleine puis- sance, un trait se trouve inscrit.
Par conséquent, chaque fois que l'on désire inscrire un trait, la lampe à rayons cathodiques appropriée doit fonctionner à pleine puissance.
On voit sur la fig. 47 que le fonctionnement du multivibrateur 348 à une seule position stable pro voque l'envoi d'un, signal au déclencheur 335 qui, à son tour, applique un potentiel positif élevé à son conducteur de sortie 334. Le potentiel sur le con ducteur 334 provoque la mise en action du circuit 333 (fig. 41) de déflexion de balayage d'éléments. Le circuit 333 fournit une légère tension de déflexion nécessaire à l'inscription d'un trait. Il y a lieu de se souvenir de ce que l'anneau de Treize est responsable du fonctionnement des cir cuits de déflexion verticale.
L'anneau de Cent est responsable du fonctionnement des circuits de dé flexion horizontale. L'anneau de Treize est également utilisé pour provoquer le fonctionnement des circuits, de déflexion d'erreur au temps, approprié. Au temps 6 de l'an neau de Treize, le circuit de vérification par répéti tion est interrogé pour voir si le nombre d'éléments qui représentent le caractère reçu était impair ou pair. Si le nombre d'éléments reçus est pair, le dé clencheur binaire 475 (fig. 34) n'est pas ramené à son état initial, de sorte que le relais d'erreur 455 (fig. 54) se trouve excité.
Etant donné que les. éléments représentatifs du mot arrivent en, parallèle, le moment où l'anneau de Treize établit la vérification par répétition importe peu. L'anneau de Treize provoque, lors de l'achève ment de son cycle, la montée du conducteur 191 (fig. 38) à -I- 10 volts. Cette tension, représentant le signal de report de Treize, force l'inverseur 82 (fig. 35) à ramener à zéro les déclencheurs du regis tre de sorte que le caractère suivant peut être reçu.
Le signal de report de 13 apparaissant sur le con ducteur 191 est également envoyé au conducteur 192 (fig. 33). Le signal de report de 13 sur le con ducteur 192 provoque la mise en route du circuit ou 239 de sorte qu'une seule impulsion est en voyée à l'anneau de Cent, provoquant l'avancement de l'anneau d'une position,
de sorte que les faisceaux de lampes à rayons cathodiques sont déplacés vers la colonne suivante. Le signal de report de treize apparaissant sur le conducteur 192 est appliqué au déclencheur d'emmagasinage 225 (fig. 34) par l'en tremise de l'inverseur 235 (fig. 33), provoquant la mise en, position ouverte du déclencheur 225. On se souviendra que, puisque le déclencheur d'emmaga- Binage 225 a _ son côté droit conducteur, il provoque l'isolement des impulsions de réglage apparaissant sur la ligne 229 d'avec l'anneau de Treize.
Le.signal de report de Treize est également appli qué au conducteur 193 (fig. 47) pour envoyer -30 volts au, couplage cathodique 341, de sorte que le circuit < ou 342 ne fonctionne pas plus longtemps. Ceci met en effet les circuits de contrôle trait-point dans l'impossibilité de provoquer l'inscription d'un trait dans les lampes à rayons cathodiques lorsque l'anneau de Treize ne fonctionne pas.
Jusqu'ici, la régénération s'est trouvée arrêtée, L'entraînement du ruban a été amorcé, et le premier mot d'un, élément d'enregistrement de cent mots a été lu et emmagasiné dans les lampes à rayons catho diques du système de conversion.
Le second mot est maintenant reçu sur les entrées 48, et ainsi de suite, (fig. 35). Ce mot est emmagasiné dans les déclencheurs de registre, et des tensions représentatives du mot sont envoyées aux couplages cathodiques 209 à 215 (fig. 35) comme précédemment. La sortie de ces couplages cathodi ques, force les circuits de blocage de caractère à fournir un retard de cinquante à soixante micro secondes, après quoi le déclencheur de lecture 225 (fig. 34) est amené en position fermée.
Par consé quent, les impulsions de réglage apparaissant sur le conducteur 229 sont envoyées par l'entremise du circuit < et 228 (fig. 34) et de l'inverseur 232 au conducteur de la ligne d'avancement 182 de l'an neau de 13. Le processus d'enregistrement et d'em magasinage du second caractère se répète mainte nant de la manière décrite plus haut. Le processus d'enregistrement se répète pour chaque mot jusqu'à ce que la totalité des 100 mots inscrits dans l'élé ment d'enregistrement du ruban ait été emmaga siné dans les: lampes, à rayons cathodiques. Lorsque le centième mot est extrait du ruban, il doit être vérifié pour constater que ce caractère constitue un repère d'enregistrement.
La réception d'un repère d'enregistrement par la matrice de décodage provo que la conduction du couplage 100b (fig. 36), de sorte que le conducteur 172 de repère d'enregistre ment voit sa tension monter à -i- 10 volts. Le fait que le conducteur 172 se trouve sous -i- 10 volts provoque la mise en route du circuit de vérification de longueur d'enregistrement lorsque l'anneau de Cent atteint sa centième position, si une erreur a été détectée. On a indiqué précédemment que la ligne 461 (fig. 34) se trouve sous + 10 volts lors que l'anneau de 100 arrive à sa centième position.
Le circuit de vérification de longueur d'enregistre ment est essentiellement un, circuit ou. exclusif. Si l'une ou l'autre entrée à la ligne 172 représentant un repère d'enregistrement ou l'entrée à la ligne 461 représentant la centième colonne est présente par elle-même, le circuit de vérification de longueur d'en registrement (fig. 34) délivre un potentiel de sortie. Cependant, si les deux entrées sont présentes ou si les deux entrées sont absentes, le circuit de vérifi- cation de longueur d'enregistrement ne produit pas de sortie.
En supposant que le caractère de repère d'enre gistrement ne se soit pas présenté dans la centième colonne, le circuit et<B> </B> 466 (fig. 34) se trouve, dans ces conditions, mis en action de telle sorte que les circuits ou 452 et 453 sont conducteurs d'une impulsion sur la ligne de sortie 454, de telle sorte que le thyratron 397 excite le relais d'erreur 455. Comme on l'a signalé précédemment, chaque fois que le relais d'erreur 455 est excité, l'embrayage de commande du mécanisme de perforation de la carte se trouve désexcité.
Lorsque l'anneau de 100 a achevé son comptage, un signal de report de 100 est reçu sur la ligne 426 (fig. 33) et ce signal entraîne l'inverseur 427 à la conduction totale, de sorte qu'un signal de direction négative est appliqué au déclencheur 428 d'extrac tion double, forçant ce déclencheur à devenir con ducteur sur son côté droit. Il résulte du transfert du déclencheur 428 qu'un, signal de direction négative est envoyé au déclencheur 411 d'arrêt de régénéra tion par l'entremise du couplage cathodique 430.
Un signal appliqué au déclencheur 411 d'arrêt de régéné ration force celui-ci à changer d'état, de sorte qu'il devient conducteur sur son côté droit. Ainsi qu'on l'a indiqué précédemment, chaque fois que le dé clencheur 411 d'arrêt de régénération est conduc teur sur son côté droit, la régénération des éléments d'information disposés à la surface des lampes à rayons cathodiques s'effectue.
Un enregistrement complet de cent mots a main tenant été extrait du ruban magnétique et emmaga siné dans les lampes à rayons cathodiques. Lors de l'achèvement de la lecture de l'enregistrement de 100 mots, le processus de régénération a été remis en route à nouveau. La régénération se poursuit jus qu'au moment du cycle de la carte où la perforatrice est prête à commencer la perforation de la rangée 12 de perforations de la carte.
<I>Fonctionnement de l'anneau de perforation</I> L'anneau de perforation constitue un dispositif de contrôle pas à pas des circuits de déflexion des lampes d'emmagasinage à rayons cathodiques pen dant le temps où le mot emmagasiné dans les lampes est extrait en direction de la perforatrice. Etant donné que la carte est perforée suivant l'ordre ran gée par rangée, l'extraction des lampes à rayons cathodiques doit s'effectuer dans le même ordre.
Les faisceaux des tubes, doivent être maintenus sur une rangée particulière jusqu'à ce qu'un signal de con trôle soit donné, qui provoque une avance vers la rangée suivante. L'anneau de perforation, est com mandé par la perforatrice et il n'est en action, que pendant la partie perforation du cycle de la machine.
Une impulsion provenant de la perforatrice pro voque l'arrêt de la régénération des éléments d'infor mation disposés dans les lampes et le retour des fais- ceaux au commencement des grilles. L'anneau de perforation est alors avancé vers la position 12 (cor respondant à la perforation 12 d'une carte) et les impulsions de réglage sous 100 kilocycles sont en voyées à l'anneau de Cent, ce qui provoque l'ex traction de la rangée des 12 des lampes à rayons cathodiques et sa perforation dans les cartes. Le signal de report de 100 qui se produit à la fin des cent colonnes de la rangée 12 remet en route la régénération des données emmagasinées dans les lampes à rayons cathodiques.
Au même moment, l'anneau de perforation est déconnecté d'avec les circuits de déflexion verticale. La régénération se poursuit alors jusqu'à ce que la perforatrice soit par venue au temps 11 du cycle de la carte, après quoi la régénération est interrompue et la onzième rangée extraite.
On supposera que les éléments d'information disposés à la surface des lampes à rayons cathodi ques sont en, cours de régénération, et que la régé nération des données emmagasinées est sur le point d'être arrêtée.
A peu près au temps 12 du cycle de la carte, le coupe-circuit P21 à commande par came (fig. 53) applique -f- 40 volts, au conducteur 434, ce qui pro voque l'attraction du déclencheur 433 de blocage de perforation (fig. 33), de sorte que celui-ci devient conducteur sur son côté gauche. Par conséquent, le couplage cathodique 432 est amené à conduction complète de sorte qu'une impulsion est appliquée au circuit ou<B> </B> 414 ainsi qu'au circuit et<B> </B> 431.
La tension sous -f- 10 volts appliquée au circuit ou 414 force l'inverseur 415 à envoyer un signal de direction négative au déclencheur 416, ramenant ainsi la conduction au côté gauche du déclencheur. De ce fait, le couplage cathodique 417 devient entiè rement conducteur de telle sorte que la sortie de celui-ci, en coïncidence avec le signal de report de 13 suivant, force le circuit et 418 à devenir con ducteur et entraîne l'inverseur 420 qui, à son tour, provoque le retour de la conduction du déclencheur 416 à son côté droit.
L'action du déclencheur 416 provoque le transfert de la conduction au côté gau che du déclencheur 411 d'arrêt de la régénération et du déclencheur 421 d'achèvement rapide. Comme on l'a indiqué précédemment, lorsque le côté gauche du déclencheur 411 d'arrêt de la régénération est con ducteur, les impulsions de réglage sont isolées d'avec l'anneau de 13.
Etant donné que le déclencheur 421 d'achèvement rapide a changé d'état, le couplage cathodique 422 transmet une impulsion. de -I- 10 volts par l'entremise du circuit ou 423 et du cou plage cathodique 425 en direction du circuit et 426. Il en résulte que les impulsions de réglage sur la ligne 229, ligne qui constitue la seconde entrée au circuit et 426 sont appliquées par l'entremise du circuit et 426, du circuit ou 239, de l'inver seur 240 et de la ligne 241 à l'anneau de 100.
L'anneau de Cent achève son comptage à 100 (renvoyant les faisceaux des lampes à rayons catho- diques au commencement de leurs grilles, respecti ves), après quoi un signal de report de<B>100</B> est émis sur le conducteur 426 (fi-. 33). Le signal de report de 100 force le circuit et 429 à entraîner l'in verseur 430 de telle sorte que le déclencheur 421 d'achèvement rapide transfère à nouveau la conduc- tion de son côté droit.
La modification d'état du déclencheur 421 d'achèvement rapide force le cou plage cathodique 422 à envoyer un signal de direc tion négative vers le déclencheur 428 d'extraction double, forçant cet élément à modifier son état et à devenir conducteur sur son côté gauche. Etant donné que le couplage cathodique 422 n'est pas plus longtemps conducteur, les impulsions de réglage sont écartées de l'anneau de Cent.
En raison du fait que le déclencheur 428 d'ex traction double est conducteur sur son côté gauche, le couplage cathodique 430 élève à -i- 10 volts une entrée au circuit < et 431. On rappelle que le dé clencheur 433 de blocage de perforation est conduc teur sur le côté gauche de sorte que le couplage cathodique 432 est entièrement conducteur, donnant une sortie sur la ligne 435, qui constitue la seconde entrée au circuit et<B> </B> 431. De ce fait, le circuit et 431 est mis en action. Il conduira une impul sion de sorte que son conducteur de sortie 436 (par l'entremise du groupe de couplages cathodiques 437) donnera une entrée positive au circuit et 423 (fig. 33).
La tension de -I- 10 volts appliquée au cir cuit ou 423 conditionne le circuit et 426 pour permettre aux impulsions de réglage apparaissant sur le conducteur 229 d'être envoyées à l'anneau de Cent. Les. impulsions de réglage forcent les faisceaux des lampes à rayons cathodiques à explorer la douzième rangée et de ce fait extraire l'information emmagasinée dans cette rangée.
La tension de -f- 10 volts sur le conducteur 435 (qui constitue la sortie du couplage cathodique 432, fig. 33) est appliquée à l'inverseur 439 (fig. 39), pro voquant l'application d'un signal de direction néga tive à l'anneau de perforation par l'entremise du conducteur 440. Chaque impulsion de direction négative reçue sur le conducteur 440 provoque l'avance d'une position de l'anneau.
La première impulsion reçue force le déclencheur 480 de position 9 à passer en position ouverte et le déclencheur 441 de position 12 à passer en position fermée. L'anneau de perforation est un. anneau fermé à douze positions conforme au brevet mentionné précédemment. L'an neau est disposé pour représenter les douze rangées de perforations, d'une carte. Les sorties des diffé rents déclencheurs sont connectées à des couplages cathodiques, tels que 301, qui sont connectés à des circuits et tels que 302.
Une entrée de chacun. des circuits et , tels que 302, provient des, couplages cathodiques 301, par exemple, tandis que l'autre entrée de la totalité des circuits. et est constituée par une entrée d'alimen- tation commune provenant du conducteur 481. Les impulsions apparaissant sur le conducteur 481 sont envoyées par le couplage cathodique 437.
Les en trées des couplages cathodiques de ce groupe pro viennent de la ligne 436 qui est sous + 10 volts du fait que le circuit et 431 (fig. 31) a été rendu conducteur de la manière décrite ci-dessus.
Les circuits et tels que 301 (fig. 39) exigent que la perforatrice sait en train d'effectuer une opé ration de perforation pour que la tension provenant de l'anneau de perforation traverse les circuits de déflexion verticale. Il peut être opportun de signaler que les circuits ou tels que 300 (fig. 40), par exemple, permettent aux circuits de déflexion verti cale d'être entraînés soit par l'anneau de perfora tion, soit par l'anneau de Treize. Le fonctionnement de ces anneaux ne coïncide jamais à aucun point du cycle de fonctionnement.
Les circuits de déflexion verticale sont mainte nant commandés par l'anneau de perforation de la même manière qu'ils avaient été commandés par l'anneau de Treize dans la partie de la description qui concernait plus particulièrement les circuits de déflexion verticale.
A la fin de l'extraction de la totalité des cent colonnes de la douzième rangée, l'anneau de Cent émet un signal de report de Cent sur la ligne 426 (fig. 33), signal qui est inversé par l'inverseur 427 et provoque le transfert du déclencheur 428 d'ex traction double de telle sorte que celui-ci devient conducteur sur son. côté droit. Par conséquent, une sortie du couplage cathodique 430 se trouve sous -30 volts, ce qui, par l'entremise du circuit et 431, écarte la tension sous + 10 volts du conduc teur 436 et envoie également une impulsion de direc tion négative au déclencheur 411 d'arrêt de régéné ration.
De ce fait, le conducteur 436 est maintenant sous -30 volts et l'anneau de perforation (fig. 39) est déconnecté d'avec les circuits de déflexion verti cale du fait que les, circuits et tels que 302, par exemple, (fig. 39) sont maintenant inaptes à la con duction. Le signal de direction négative envoyé au déclencheur 411 d'arrêt de la régénération (fig. 33) par l'entremise du couplage cathodique 430, provo que le transfert du, déclencheur de telle sorte qu'il soit conducteur sur son côté droit, après quoi la régé nération des éléments d'information disposés dans les lampes à rayons cathodiques est amorcée une fois de plus.
A peu près au temps 12,5 du cycle de la carte, le coupe-circuit P22 commandé par came (fig. 53) applique + 40 volts sur le conducteur 442, ce qui provoque la remise en, position de départ du déclen cheur de blocage de perforation 433 (fig. 33), posi tion dans laquelle son côté droit est conducteur.
Au temps 11 du cycle de la carte, la came com mandée par le coupe-circuit P21 (fig. 53) applique à nouveau + 40 volts au conducteur 434, après quoi le déclencheur 433 de blocage de perforation (fig. 33) change à nouveau d'état et la totalité de l'opéra tion décrite ci-dessus se répète.
<I>Circuit de commande à thyratron</I> <I>des</I> électros <I>de perforation</I> Le système comporte cent thyratrons (fig. 44 et 45) qui peuvent être connectés aux électros de per foration par l'entremise du câblage du tableau de commande de manière connue. Si un thyratron par ticulier est forcé de s'allumer,
l'électro de perforation auquel il est connecté se trouve excité. Les circuits de commande à thyratrons des électros de perfora tion sont prévus pour conditionner séquentiellement les éthyratrons et forcent ces derniers à s'allumer suivant la présence ou l'absence de données envoyées à ceux-ci.
On a indiqué précédemment que l'extraction de l'information emmagasinée dans les lampes à rayons cathodiques s'effectue rangée par rangée du fait que les cartes, doivent être perforées dans cet ordre dans le mécanisme de perforation.
Pendant le processus d'extraction, le conducteur 484 (fig. 47) se trouve sous + 10 volts, ce qui force le circuit ou 342 à transmettre une impulsion. Un potentiel sur le conducteur 448 permet au circuit de commande point-trait d'être mis en action. pen dant l'extraction, tandis que le potentiel sur le con ducteur 193 (fig. 47) permet à ce circuit d'être mis en action. pendant les, périodes de régénération.
Le fonctionnement du circuit de contrôle point-trait pendant l'emmagasinage est identique à son fonction nement pendant l'extraction à la différence près des exceptions notées ci-dessus.
<I>Extraction en direction des thyratrons.</I> - Les fig. 44 et 45 sont constituées de plus de 100 thyra- trons dont les sorties peuvent être connectées par l'entremise du câblage d'un tableau de commande aux électros de perforation situés dans le mécanisme de perforation, de la manière indiquée plus haut.
Les thyratrons sont commandés par la sortie de plu sieurs circuits et dont l'entrée double constitue la sortie de l'anneau de Cent et la sortie des circuits de contrôle point-trait. Une entrée de chacun des circuits et tels que 486, par exemple, (fig. 44) est connectée à l'anneau de Cent d'une manière telle que ces entrées se trouvent excitées suivant une séquence correspondant à la position séquentielle des faisceaux des lampes. à rayons cathodiques:
L'autre grille des. circuits. à thyratrons est connectée par l'entremise d'un autre jeu de circuits et au dis positif de circuit de contrôle point-trait, de telle sorte que, si un, trait est rencontré pendant l'extraction, un thyratron particulier se trouve excité, provoquant la perforation. d'un trou dans la carte.
Pendant l'extraction, une impulsion positive ap- parait sur la ligne 488 (fig. 46) à la suite du signal video. apparaissant sur la ligne 402 (fig. 47), signal qui représente un trait. L'impulsion sur le conducteur 488 constitue une entrée d'un circuit et 490. L'autre entrée du circuit et 490 est connectée par l'entremise d'un, conducteur 491 au conducteur 484 (fig. 47), qui se trouve sous + 10 volts pendant l'extraction, ainsi qu'on l'a expliqué ci-dessus.
Ces deux impulsions positives sur le circuit et 490 ont pour résultat que les circuits de modulation 492 et 493 sont excités de sorte qu'un couplage catho dique 494 est forcé d'être conducteur et de produire ainsi une sortie de + 10 volts à son conducteur de sortie 496. La présence d'un potentiel de + 10 volts sur le conducteur 496 est indicatif du fait qu'un, trait se trouvait présent dans la position de la lampe à rayons cathodiques: en cours d'extraction.
Cette impulsion est utilisée pour allumer le thyratron, cor respondant à la position à partir de laquelle le trait a été extrait.
Pendant le temps d'extraction, les faisceaux de lampes à rayons cathodiques explorent cent colonnes d'une rangée donnée avant de passer à la colonne suivante. Il est alors nécessaire que les thyratrons. qui actionnent les électros, de perforation soient exci tés suivant la même séquence que celle avec laquelle l'exploration s'effectue. Par conséquent, l'anneau de Cent qui commande des circuits de déflexion hori zontale des lampes, à rayons cathodiques doit égale ment contrôler une entrée de chaque circuit et à thyratron.
Comme les faisceaux des lampes à rayons cathodiques couvrent séquentiellement les colonnes 1 à 100, les entrées des circuits et<B> </B> à thyratrons doivent être conditionnées au même mo ment et dans le même ordre.
Ainsi, si le faisceau de la lampe à rayons cathodiques se trouve momentané ment sur la trentième colonne, une entrée du tren tième circuit à thyratron est excitée par l'anneau de Cent et l'autre entrée se trouve excitée par les cir cuits de contrôle point-trait dans le cas où un trait est présent .dans le spot en cours d'exploration à la surface des lampes à rayons, cathodiques.
Le câble 498 (fig. 44 et 45) connecte l'anneau de Cent au groupe de circuits et 486, par exem ple, (fig. 44) qui sont à leur tour connectés pour constituer une entrée d'un groupe de circuits et à thyratrons. Par exemple, le circuit et 486 (fig. 44) se trouve mis. en action si l'anneau de Cent se trouve en position 1 et si le déclencheur d'anneau 250 (fig. 43) n'a pas été mis en action. Il y a lieu de rappeler que l'anneau de Cent compte de 1 à 25 puis recommence à compter à nouveau.
Des indica- tions supplémentaires, sont fournies en ce qui con- cerne la position de l'anneau, telles que le fait qu'il se trouve en dessous de 5, en dessous de 10, en des sous de 15, en dessous de 20 ou en dessous de 25, et qu'il se trouve dans. la gamme de 1 à 25, dans la gamme de 1 à 50, dans la gamme 26 à 50, dans la gamme 51 à 75 ou dans la gamme 76 à 100.
Ainsi, si l'anneau se trouve à 16, le circuit et 500 (fig. 45) est mis en action pour indiquer la position. 16, la position 41, la position. 66 et la position 91. Il en résulte que le conducteur de sortie 501 se trouve sous -I- 10 volts, excitant une entrée des quatre thy- ratrons, connectés au conducteur 501. L'autre entrée de l'un des quatre thyratrons est conditionnée sui vant celui des circuits et 502, 503, 504 ou 505 (fig. 46) qui est mis en action.
Si l'anneau se trouve sur 1, les. entrées 1 à 25 et 1 à 50 aux circuits et 502 se trouvent sous + 10 volts; cependant, si un trait se présente, le conducteur 496 se trouve sous + 10 volts, de sorte que le circuit et 502 est conducteur et provoque la conduction des couplages cathodiques 506.
Un potentiel de + 10 volts est de ce fait appliqué au conducteur 507, lequel, si l'on se réfère à la fig. 44, provoque l'allumage du thyra- tron 508, étant donné que ses deux entrées se trou vent sous + 10 volts, Ceci donne naissance à l'im pulsion qui excitera l'électro de perforation connecté à ce thyratron particulier par l'entremise du fil volant inséré dans la prise 509, par exemple.
D'une manière identique, une coïncidence des impulsions. d'entrée aux circuits et 503 (fig. 46) force le conducteur 510 à se trouver sous + 10 volts, ce qui entraînera l'allumage du thyratron 511 (fig. 44) et la perfora tion d'un trou dans. la vingt-sixième colonne de la carte par l'entremise du fil volant disposé dans la prise 512. Essentiellement, les entrées d'un câble 513 (fig. 46) indiquant dans quelles grilles le faisceau actif de la lampe à rayons cathodiques est situé.
Les entrées au câble 498 indiquent dans laquelle des vingt-cinq colonnes d'une grille particulière se trouve localisé le faisceau actif. Il est évident que l'emplacement de l'anneau de Cent - et de ce fait le faisceau des lampes à rayons cathodiques - est indiqué par les tensions sur les câbles 498 et 513, tandis :que le fait qu'un point ou un trait est présent est indiqué par la tension. sur la ligne 496.
En. utilisant cette information, les circuits de contrôle à thyratrons des fig. 44 et 45 sélectent et allument le thyratron approprié et provoquent, par conséquent, la perforation d'un trou dans la posi tion de point d'index désiré d'une carte.
L'invention qui fait l'objet de la présente demande a été décrite dans son application à un dis positif de perforation de cartes perforées. La consi dération, importante réside toutefois dans le fait que les électros. de contrôle de la reproductrice sont sou mis à impulsions à la fin du fonctionnement du sys tème. Ces, électros sont sensiblement les mêmes, qu'ils servent à contrôler une perforatrice reproductrice ainsi qu'on l'a décrit en, particulier ici, ou qu'ils cons tituent les. éléments de contrôle d'une tabulatrice imprimante ou d'une machine à écrire.
C'est la rai son pour laquelle les électros peuvent être désignés sous le nom d'électros. de contrôle de la reproductrice dans. ce sens qu'ils peuvent contrôler la reproduction des données traitées, par perforation ou par impres sion. Chacun des dispositifs de reproduction men tionnés; ici est entraîné par le courant électrique, d'une manière connue dans la technique et comporte par conséquent des, arbres entraînés par l'énergie et agencés pour entraîner les cames nécessaires, de com mande des contacts. destinés à assurer le réglage dans le temps du système.
Data processing device The present invention relates to a data processing device. More specifically, it relates to an electronic device designed to read and interpret recordings made magnetically, then to rewrite such recordings in, perforation or printing devices, In its most particular aspect, the The invention relates to a device for converting electronic records arranged to read these records made on a magnetic tape according to a given code such as a modified binary code, for example,
and to transpose these recordings and rewrite them in a different form and according to a different code, such as the code used with the cards, per drilled according to the Hollerith system, for example.
The drawing represents, by way of example, an embodiment of the object of the invention.
Fig. 1 is a general diagram in the form of a conventional block intended to represent the entire device.
Fig. 2 is a schematic representation of the device showing electrostatic storage lamps on a larger scale to indicate the types of data storage on the grids of these lamps.
Fig. 3 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a cathode coupling arranged to receive a signal at a high impedance and to provide outputs of a similar voltage at a lower impedance. Fig. 4 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a cathodic coupling identical to that shown in FIG. 3, but having a lower cathode resistance.
Fig. 5 shows both in block form and in detail a wiring diagram generally similar to that of FIG. 3, but without voltage divider.
Fig. 6 shows both in block form and in detail a wiring diagram of a cathode coupling, the output of which is designed to be used in parallel with the output of other cathode couplings.
Fig. 7 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a thy-ratron circuit used in the device to excite the puncture electrons.
Fig. 8 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a thyratron circuit normally used to energize inserted latch relays in the perforation control circuits.
Fig. 9 shows both in block form and in detail a wiring diagram of a deflection output circuit, which is in fact a variation of a usual cathodic coupling.
Figs. 10 to 18 show both in block form and in detail the wiring diagrams of circuits of deflection increments, which are identical to each other, except for the value of the increment resistance which determines the current drawn by each element.
Fig. 19 shows both in block form and in detail the wiring diagram of an electronic trip unit and indicates the modified input required to constitute a binary trip unit.
Fig. 20 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a ring trigger which differs from the trigger of FIG. 19 for the output connections. Fig. 21 shows both in block form and in detail a manipulation trigger arranged to be pulsed from mechanical circuit breakers and the like.
Fig. 22 shows both in block form and in detail the wiring diagram of an inverter which receives reduced level switching signals and does not have an anode resistor.
Fig. 23 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a special inverter arranged for use with the outputs of a multivibrator.
Fig. 24 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a special inverter arranged to send pulses to triggers from reduced level input signals.
Fig. 25 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a special inverter having a divider input for use with diode switching signals.
Fig. 26 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a special inverter having an inverted output pair.
Fig. 27 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a coiincidence and diode circuit.
The fi-. 28 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a circuit or showing a pair of inputs.
Fig. 29 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a circuit and two-way without load resistance.
Fig. 30 shows both in symbolic form and in detail the wiring diagram of a circuit or which is essentially the same as the circuit and of FIG. 29. FIG. 31 shows both in block form and in detail the wiring diagram of a voltage regulator.
Fig. 32 shows in block form and in detail the wiring diagram of a multivibrator. Fig. 32A shows both in block form and in detail the wiring diagram of a single stable position multi-vibrator.
Figs. 33 to 47 and 52 to 54 taken together constitute the entire circuit of the device shown in the form of blocks.
The fi-. 48 constitutes a table of the code according to which the data is stored on the tape as well as of the equivalents of this one in Hollerith code.
Fig. 49 is an explanatory diagram intended to represent the operation of a diode decoding matrix.
Fig. 50 is a diagram intended to represent the deflection circuits with cathodic ray beams.
Fig. 51 is a table of adjustment in time, circuits, point-line control. Fig. 55 is a diagram. <I> General description </I> The present invention relates to an electronic device for converting information recorded magnetically on a tape for use on. punched cards or items (Record- ing printed.
The machine includes devices intended to transpose stored recordings onto a magnetic tape according to the binary code and to punch these recordings into cards. according to the Hollerith system, for example.
The conversion system used here is made up of three distinct elements, namely a drive device, an electronic conversion and storage element, and finally a reproduction device such as a card printing or punching machine. The invention will be described with reference to the perforation of cards in a so-called serial drilling machine, type IBM 523.
The electronic conversion and storage device contains an initial storage register for momentarily storing each character received. ribbon., a diode decoding matrix, a cathode ray lamp electrostatic storage system, and associated control elements, such. as the necessary deflection circuits, as well as the circuits intended to regenerate the stored data, a group of thyra- trons intended to control the electros. perforation, and.
Normal control circuits required to link the component parts.
A pair of cathode ray lamps are used to provide sufficient capacity to allow storage of a one hundred character recording from the tape. This provides sufficient capacity to punch an eighty column card while leaving additional non-punch or punch characters such as area markers. The serial perforator mentioned above has been slightly modified to be able to work in combination with the system so as to constitute a whole with it.
The serial punch is arranged to operate at a regulated speed of one hundred cards per minute. During the time interval between the perforation of the row of perforations 9 and the row of perforations 12 of the next card (that is to say the time between successive cards), the element of tape is started, a record of a single item is explored and stored, and then the tape item is stopped. Starting with row of perforations 12 of the card, the recording is extracted and perforated into the card. The tape element thus operates intermittently and sends the tape only during the short time interval between the actual perforation of the cards.
The whole system is shown in fig. 1 of the drawing, to which it will be necessary to refer to understand in general the nature and the functioning of the conversion device. Immediately thereafter, punch row 9 of a given card has been punched,
a signal from the punch activates the tape drive element so that it sends a recording element containing the information of the tines to the next card. The information is stored on seven tracks of the tape such that each character is represented by a substantially simultaneous output of one or more of the read coils disposed in the read head 10 of the tape. A character is represented by a group of magnetic spots occurring in a line transverse to the ribbon.
The binary code is used for recording and the seventh track on the tape is a clip check established according to the well known principle of clip repeat control. About ten milliseconds after the ribbon is turned on, the. first character of the recording element must reach the read heads 10 and appear at the inputs of the tape read amplifiers 12.
The outputs of one or more of the seven tracks assigned to the first character are stored for a few microseconds in an electronically triggered storage register 14 which retains the data extracted from the tape so that late signals due to electrical reduction or mechanics are not lost. This arrangement is necessary for the reason that the code transposition device 16 must simultaneously receive the pulses generated by the tape.
When the few milliseconds have elapsed during which the information from the ribbon is held in the storage register 14, the completeness contained in the register 14 is introduced by a seven-way entry in the transposition matrix 16 of the coded. This matrix is interrogated by a distribution ring 18 which may be referred to as the Thirteen Ring.
The ring. distribution unit operates at 100 kilocycles and controls the vertical position of the beams of the cathode ray lamp. The output of the code transposition matrix 16 is pulsed representing the time-regulated cycle of the character conforming to the Hollerith code and appears in this form on the output line 20.
Since the transposition or conversion matrix 16 is interrogated by the distribution ring 18, which also controls the vertical position of the beams of the cathode ray lamps, the time-regulated representation of a column of the Hollerith code appearing on the output line 20 is in a form suitable for storage in a cathode ray lamp. Representation of information in the lamp. with cathode rays is arranged in columns and rows. similar to the columns and rows of a punched account card.
When the information has appeared on the output line 20, and it represents a 4, for example, a pulse appears on the output line when the beams of the cathode ray lamp are on the fourth row. of a given column, and this pulse is stored on the surface of the cathode ray lamp.
Referring to fig. 2, it can be seen that the information from the tape is stored on the surfaces. of two ray lamps, cathode in a four-grid arrangement. Each grid is made up of twelve rows of spots arranged in twenty-five columns. Each grid can therefore be used to represent the arrangement of the perforations. in twenty-five columns of a punched card. The columns are numbered from 1 to 100, allowing the storage of one hundred characters from the ribbon.
The beams of the two cathode ray lamps operate in synchronism and therefore explore identical positions of their respective lamps. If the left lamp 22 (Fig. 2) scans column 1, the right lamp 24 scans column 26, since the same vertical and horizontal deflection circuits are used for both lamps. If the information is to be stored in column 1, the left lamp dies at full power, while the right lamp operates dim.
When a digit is to be stored in a cathode ray lamp, and possibly represented by a perforation in a column of a card corresponding to a particular column of the cathode ray lamp, the point being in. the corresponding number position of the lamp lengthens in the form of a vertical line. The arrangement stored on the surface of the cathode ray lamp can be viewed as an image of a punched card divided into four parts, the perforations being represented by vertical lines and the non-perforated index dot positions being represented by small dots.
It is now clear why a representation of the Hollerith code, the progression of which is time-regulated with the vertical scanning of the cathode ray lamps, is required at the output of the code transposition matrix. The beams sweep a vertical column in which information can be stored while progressing spot by spot. The horizontal deflection circuits 28 then move the beams towards the next column so as to store the next character extracted from the ribbon.
When the information is being stored in a cathode ray lamp, the beam of the other lamp is cut. During the storage operation, the vertical deflection circuits 30 are controlled by the distribution ring 18, which is driven by the pulse generator. 32 operating at 100 kilocycles. At this time, the horizontal deflection circuit 28 is controlled by a hundred position distribution ring 34, hereinafter referred to as the Hundred Ring, which is its own. turn forward one position at the end of each column exploration.
Likewise, one hundred characters from the ribbon can be stored, after which the ribbon. is automatically stopped by detecting a record mark arranged at the end of recording. During this period, the perforator continues to operate, so that, at the appropriate time, position 12 of the immediately following card reaches the perforation stage. Meanwhile, the automatic regeneration of the arrangement stored on the surface of the cathode ray lamp. takes place, thus preventing the disposition from being destroyed.
At the punching time 12 (start of a new punch card), the punch emits a pulse towards the converting and storing device, which interrupts the regeneration process and initiates a different scanning mode. of the lamp with a view to extracting the disposal emma gasinée.
<I> Data extraction. </I> - Each electro-perforator of the Type 523 perforator is connected by flying wires. arranged on a control panel to a thyratron arranged in the electronic conversion and storage element. One hundred thyratrons are planned, one per character stored in the cathode ray lamps. Additional perforations, algebraic signs, etc., were provided by means of wiring arranged through the vertical divisions of the standard columns in the perforator.
The control grid of each thyratron is connected to a circuit and <B> </B> with two inputs, whereby the two inputs of the circuit and can be simultaneously subjected to pulses in order to cause the conduction of the thyratron.
Information is extracted from cathode ray lamps in series, i.e. the extraction operation is performed row by row rather than column by column, which was the order in which the information had been stored on the surface of the lamps. At puncture time 12, row 12 of all the hundred columns in the storage is checked and the thyra- trons corresponding to the columns in which there is a dash light up.
At this moment, the horizontal deflection circuit 28, which is driven by the so-called Cent distribution ring 34, which is now controlled by the generator 32 at 100 kilo cycles, forces the cathode ray beams to move from spot to spot. column spot: 1 to column 100 in order, the vertical deflection circuits 30 being controlled by a perforation ring 36 to locate the beams in the twelfth row of the stored arrangements.
Each time a line is encountered during this rapid scanning operation, a signal is picked up by the appropriate receiver anode 36, amplified by a video amplifier 38, and sent through a conductor 40 to a. input of all circuits and 42 which are connected to the gates. order of the one hundred thyratrons arranged. in the thyratron lattice 44.
During the extraction exploration, the distribution ring of the horizontal exploration 34 known as Cent feeds the other input of the circuits and 42 at a rate of one at a time, at a time corresponding to the position of the spot being explored on the surface of the lamp. If there is a pulse coincidence on test line 40 with the tuning pulse coming from the Cent ring, the particular thyratron fed by circuit and 42 to which this coincidence is applied is forced to s' light up.
Thus, if a line is in column 3 of the storage lamp, for example, when the twelfth row of data stored in that lamp is being scanned for retrieval, the third thyratron of the twelfth row lights up. In this way, a thyratron lights up for each line detected on the surface of either lamp corresponding to the column position of those lines. When a thyratron is ignited, it excites an electro, perforation placed in the reproducer 46, thus causing the perforation of a hole in an accounting card.
Since row scanning is a serial operation which is performed at a rate of 100 kilocycles, the maximum difference between the first stroke being scanned and the last stroke scanned is only 1 millisecond. A moment now passes before the punched card reaches the position of the perforations 11, so that the regeneration of the data stored on the surface of the lamps 22 and 24 can take place again.
When the perforation time 11 is reached, a command pulse of the perforator causes the repetition of the perforation operation described above, unless, at this time, the beams of the cathode ray lamps are deflected vertically. and maintained on row 11 of spots. The rest of the card is punched row by row in a corresponding manner. After the last row of perforations has been made in the card, the tape. is started again; a new recording element is read and stored in the cathode ray lamps, the tape is stopped and the information is extracted from the cathode ray lamps, then punched into a card.
This operation continues until the ribbon drive element arrives. at the end of the race or when the punch has exhausted its card supply. Elements <I> circuits </I> Before proceeding to a more detailed description of the storage and conversion element, it may seem appropriate now to consider the nature and role of the electronic elements used in the system. If we refer to the diagram of the entire circuit, we will see that many elements are found throughout the circuit.
The individual description of each of these elements would unnecessarily burden the explanation. This is the reason why we will now describe an element belonging to each of the various categories in sufficient detail to explain its role in the system. Then, during the more detailed description of the system considered as a whole, we will no longer come back to the particular nature of the element, since we will assume that the nature and operation of the element are sufficiently known.
2 CF. - Fig. 3 shows a usual cathodic coupling circuit which receives at one input the high impedance level signal coming from the and and or circuits and provides an output of similar voltage but of lower impedance level to give sufficient energy to transmit signals passing through circuits with considerable losses.
The input to the cathodic coupling is provided with a divider which allows it to receive high level signals from triggers, single stable position multivibrators or similar devices which normally in. the present system, provide signals with levels between -f- 140 and + 50 volts. The divider, the lower end of which is connected to a sub-100 volt source, reduces level signals. raised to the levels of -i- 10 volts and -30 volts necessary for switching the diodes. The cathodic coupling can be constituted by a lamp of the 12AV7 type, the two halves of which are frequently used.
In the latter case, the symbol designating the cathodic coupling when it is represented as a block is 2CF. In some applications, only half of the 12AV7 type lamp is used. In this case, the element is identified only by the letters CF. The number before the CF symbol indicates the number of lamp halves used in the circuit.
<I> Cathodic coupling </I> (2CFd. - Fig. 4 shows a cathodic coupling similar to the 2CF element in Fig. 3, with the only difference that the resistance of the cathode circuit is slightly lower. This allows the '' use in circuits requiring higher energy.
However, it is only used when a higher power is needed for. practical reasons, because this circuit imposes greater fatigue on the 12AV7 lamp. <I> Special cathodic coupling </I> (CFa). - This cathodic coupling circuit differs from the circuit of the 2CF element in. this meaning that no input divider is provided.
It is therefore arranged to receive the signal outputs from the diode switching circuits and it acts as an impedance matching device to allow the driving of high load circuits without loading the diode switching circuits themselves. A circuit CFa of this kind is shown in FIG. 5.
<I> Special cathodic coupling </I> (CFv). - The cathodic coupling circuit of fig. 6 is a special circuit which is used only with its output in parallel with the output of another cathodic coupling or other cathodic couplings. The CFv element differs from normal cathodic coupling in that it has no cathode resistance connected to a power source or to ground.
It can therefore be mounted in parallel with another cathode pad neck having a cathode resistance to form a cathodic coupling circuit or without. that this results in an abnormally low value of the common cathode resistance, which could overload a separate cathode coupling.
<I> Standard Thyratron (TH). </I> - The thyratron circuits which are used in the present system to excite the perforation electrodes are those shown in fig. 7 and wherever they appear on the diagram as blocks, the symbol TH will be used to identify them.
This circuit comprises a circuit and with direct connection to two inputs, plus a network intended to lengthen the pulses to ensure the ignition of the thyratron using the short pulses which are received at the input terminals of the diode circuit and . To ignite the thyratron and activate an electro perforation it is necessary that simultaneous positive pulses reach the terminals, input 6 and 8. The resulting output pulse coming from the circuit and passing through a diode to charge a capacitor connected to the number 1 grid of the lamp. The lamp can be a 2D21 lamp.
About three microseconds after the start of the signal, its level returns from + 10 volts to -30 volts. Capacitor b and grid number 1, however, remain below + 10 volts after the end of the input signal, the slow discharge rate of which is determined by the return resistance of the charge diode a. This maintains a positive voltage on the number 1 grid of the thyratron. for a period of time long enough to guarantee ignition.
<I> Special Thyratron </I> (THa). - This special thyratron can also be a 2D21 type lamp and the circuit is normally used to energize the closing relays arranged in the perforation element from the normal levels of electronic control signals. The electronic control signal normally exhibiting a high impedance level is applied to terminal 8 of the circuit which is connected to the control gate of the thyroid gland. Normally this point is kept below -30 volts, which does not allow the thyratron to be conductive.
A positive signal below + 10 volts turns on the thyratron, forcing the 80 volts source connected to the anode through terminal 5 to appear at terminal 3 to energize a relay connected to it.
<I> Deflection output (DO). </I> - This circuit is a variation of a standard cathode coupling circuit and is used between the deflection increment circuits and the deflection anodes of the cathode ray lamp. It is used as an impedance matching device to provide the energy necessary to drive the long deflection lines of the cathode ray lamp without loading the sensitive deflection circuits.
It differs from other couplings. cathodes used in the machine for this purpose. that its cathode resistance is returned to ground rather than under -100 volts because it always operates under a largely positive voltage.
<I> Deflection increment circuits </I> (BSAl, <I> A2, </I> <I> A5, A8, 0102 and A15). </I> - The deflection increment circuits as well as the schematic symbol used to designate them in block form are shown in figs. 10 to 18. These circuits are identical to each other, except for the value of the increment resistance which determines the current driven by each element.
The increment unit is essentially a constant current switching device which is designed to drive a constant predetermined value of current when turned off. The complete deflection system comprises several of these. Increment switches connected in parallel, so that they can be operated singly or in combination to drive a predetermined amount of current through a common resistor.
The resulting voltage drop across the resistor is then applied to the cathode ray lamps to terminate the necessary beam deflection required to arrange the beams at the desired distinct locations on the surface of each lamp. In the respective figures which serve to represent these increment and deflection circuits, the right half-lamp (which, in each case, can be a 12AV7 lamp), acts as a cathodic coupling where the grid is kept under a constant potential of + 87 volts.
With the grid held at this constant potential, the current through the lamp and cathode resistance is determined primarily by the cathode resistance rather than the characteristics of the lamp. Thus, the potential at terminal 8, which is connected in parallel with other elements to the common voltage drop resistor, which potential is also the deflection voltage of the ray lamp. cathodic, can vary within a very wide range without significantly affecting the current through the lamp.
To drive the switches to the open position and therefore not cause any current through the common voltage drop resistor, it suffices to bring pin 5 to a voltage greater than 87 volts. The left half of the lamp is then conductive and, acting as a usual cathode coupling, tends to bring the common cathode resistance to a voltage greater than 87 volts, which obviously turns off the right half of the lamp.
<I> Standard electronic trip units (T) oit </I> (BT). - Fig. 19 shows the standard electronic trip unit used across circuits. By all where, in the diagram in the form of blocks, the symbol T is used inside a block, it represents the circuit of fig. 19, except when, as will be indicated below, the trip unit is provided with a binary input, in which case the symbol BT is used. The trigger of FIG. 19 is a multivibrator with two stable positions;
this amounts to saying that it remains in one or the other of two stable states until it is forced by a signal from outside to occupy the other state. This restraining action is called tripping or tilting. These triggers are sometimes referred to as flip circuits; flop>. The bistability characteristic of a trip unit allows its use as a storage device, register and counter. Pulses, dynamics are not required to allow a trigger circuit to continuously store a bit or binary element.
Basically, a trigger circuit is like two inverter circuits, with the anode output of each of these circuits being coupled to the gate of the other circuit. In a stable state, the left lamp in fig. 19 is fully conductive while the right lamp is off. In the other state, the right lamp is fully conducting, while the left lamp is switched off. To switch from one state to another, an external signal must be applied to a sensitive point in the circuit.
For example, it will be assumed that the right lamp being conductive, the right anode is under low voltage; in other words, its voltage is considerably less than 4-150 volts, while the anode on the left is under high voltage (in the neighborhood of + 150 volts). One method of switching this circuit is to apply a negative pulse to the left anode. This negative pulse is coupled to the right gate through the voltage divider. Since the lamp on the right is conductive, its gate voltage is zero; therefore the negative pulse from the left anode forces the right gate voltage to go negative.
This voltage variation causes the right lamp to switch off and, consequently, to increase the voltage of the right anode. This increase is then coupled through another anode to the gate voltage divider in the direction of the gate. left, attracting this grid tension towards. the mass. The left lamp then begins to conduct, decreasing its anode voltage. This variation at the anode of the left lamp is in the same direction as the variation applied from an external source; consequently, the initial action is reinforced and the regeneration continues the tendency of the tension which has just been initiated.
When the voltage at the left gate reaches the ground voltage, it does not rise further and the voltage at the left anode does not fall further. Likewise, the right gate is attracted far enough towards the negative by the drop in the voltage of the left anode so that the right lamp is switched off and its anode voltage is in the vicinity of + 150 volts. . The resulting condition then constitutes the second stable state in which the trigger can be switched. The input pulse can now be interrupted without flipping the trigger again because the left hand lamp conduction keeps the left anode voltage low.
The trigger can also be toggled by applying a positive pulse to the low voltage gate (that corresponding to the lamp off) or by applying a negative pulse to the high voltage gate (the one corresponding to the lamp. who is a driver). In all cases, an input pulse must initiate an action. regeneration to switch off the conductive lamp and bring the lamp which was non-conductive to full conduction.
In the standard trigger, the input pulses are applied to terminals 3 or 4, so a pulse applied to one of these terminals is required to change the state of the trigger. Some triggers, as in the present system, are powered by a binary input; whereby each pulse sent to the trigger results in a change of state. Thus, in FIG. 19, the dotted line interconnecting terminals 3 and 4 represents a binary input to the trigger circuit.
Everywhere, on the diagrams. representing the system, the symbol BT appears together with the representation of a trip unit in block form, such a circuit constitutes a standard trip unit with binary input. In a binary trigger, any pulse applied to input B is sent to both terminal 3 and terminal 4 so that whatever state the trigger was in, the state of it this is reversed.
<I> Ring trigger </I> (RT). - Fig. 20 shows in detail the circuit and the symbol as a block. ring trigger which differs from the standard trigger only by the output connections provided. Due to the limitations imposed by the totality of the terminals available in the plug-in contact elements in which these triggers are inserted, it is not possible to realize a universal trigger which would provide all of the required output signals.
Therefore, the ring trigger of FIG. 20 is different in that a bypass output is provided which is better suited for driving other triggers located in a. ring than the four outputs normally provided by the standard trigger.
<I> Blocking trigger (KT). </I> - Fig. 21 shows in detail the circuit as well as the symbol of a blocking release. Blocking triggers are used primarily to generate waveform pulses with low leading edge from input pulses most likely having sharp leading edge waveforms. Circuit breaker operation tends to produce transient pulses due to imperfect contact or switch bounce.
Blocking triggers are typically used where it is necessary to receive input pulses through such devices. The blocking release is actuated by sending a control voltage through a series resistor to one or the other of the gate inputs. The input to the blocking release constitutes an integration circuit consisting of two series of resistors and two bypass capacitors.
The integrating effect facilitates the production of a gently sloping pulse which assists in positive triggering action if the input pulse persists long enough; therefore, integrators help prevent transient impulses from acting on the blocking trigger. The neck range by capacitors arranged between the gates also makes the blocking trigger insensitive to transient pulses. The anode voltage variation ranges from approximately +135 volts to +30 volts and the gate voltage variation oscillates between the ground voltage and approximately -30 volts.
The time during which the voltage of the blocking trigger increases is of the order of 9 microseconds; the indication time is of the order of 0.2 microseconds.
<I> Standard inverter (1). </I> - The reverser shown in fig. 22 as well as the block intended to identify it may consist of half of a 12AV7 lamp. The inverter is a circuit that produces a negative shift at its anode when a positive shift is applied to its gate, and a positive oscillation at the anode when a negative oscillation is applied to the gate. This property allows it to be used in the inversion of logical conditions.
The inverter is also an advantageous element in that it amplifies the signals and therefore can be used in. adjusting signal levels. The inverter is designed to generate pulses with short rise and fall times. Although the anode load resistance is large enough to give a high voltage, it is not high enough to appreciably slow down the signal transitions.
The inverter can have one of three standard inputs. The inverter receives low level diode switching signals as input, but has no anode resistor. It is therefore essentially designed to be used as a device for attracting a trigger (at over device); its anode being connected directly to a desired trigger anode.
<I> Special inverter </I> (1 ",). - The inverter shown in detail in Fig. 23 together with its block symbol is specially arranged for use with the output of the multivibrator in the distribution circuit described here. Several of these inverters are used to give faster rise times than could be obtained directly from the multivibrator itself.
This inverter is provided with an input divider which receives the high level signals normally supplied by the multivibrator and combines them to the limits of -I- 10 volts and -30 volts which are desirable in connection with the cathode placed. to ground.
<I> Special inverter (la). </I> - Fig. 24 shows in detail the circuit as well as the symbolic block of a special inverter used in circuits when it is desired to transfer a trigger using a signal from a diode switching circuit. This inverter has no voltage divider and therefore receives low level diode signals directly. Its output is a bypass output which is particularly suitable for switching triggers.
Full output, which would oscillate at 90 volts, tends to drive a trigger too far and cause a delayed trigger. <I> Special inverter </I> (I5). - Fig. 25 shows in detail the circuit as well as the symbolic block of a special inverter identified in the circuit diagram by the letters I5. This inverter has a divider input for use with diode switching signals and is particularly suitable for applications requiring,
very fast rise and fall times. It therefore uses a 5687 type lamp and a low value of anode resistance, as well as a capacitor compensation in the input divider.
<I> Special inverter </I> (ID-II. - Fig. 26 shows in detail the circuit as well as the symbol intended to identify it in the diagram in the form of blocks, of a special inverter used here and which receives the signals. switching diodes and has two outputs, one of which is always the inverse of the other. These inverted outputs have an impedance value and level suitable for their direct application to the input of the increment elements of Deflection Inverted outputs are used to achieve the desired push-pull action at the deflection plates of cathode ray lamps.
<I> Coincidence circuits or circuits and and </I> <I> or. </I> - Diode circuits and and or are very frequently used in the control circuits described here. The and circuits and the or circuits are crystal diode switching circuits used in the system for blocking and isolation purposes. They can each have two or more entrances, but only one exit. The circuit and in fig. 27 and the circuit or of FIG. 28 are respectively circuits and -i- and or -I-.
These circuits are characterized by the fact that the. The inputs have the effect, by the input of diodes which may include germanium diodes of standard manufacture known under the name of Sylvania D436A or D437A, to generate a voltage output under -I- 10 volts. The circuit and -i- has this logical property that the totality of. input lines must be positive to generate a positive output. In other words, the first input and the second input, as well as all other inputs, must be positive to generate a positive output.
An or -I- circuit exhibits this logical property that if either or any number of input lines is positive, the output line will be positive. These circuits are called circuits and -I- and or -i- because they pass positive signals when they function as switches.
<I> Special circuit and (and ,,) and special circuit or </I> <I> (or ,,). </I> - Figs. 29 and 30 respectively represent a special circuit and and a special circuit or, as well as the symbolic blocks serving to identify them. These circuits are the same as the circuits of figs. 27 and 28 respectively, with the difference that they do not present a load resistance. The circuits are therefore arranged to be used in parallel with other circuits and or other circuits or respectively, which include a load resistor.
<I> Voltage regulator </I> (REG). - Fig. 31 shows in detail the circuit as well as the sym bolic block for identifying a reference voltage circuit using a voltage drop resistor together with a 5651 type lamp to provide a constant voltage level 80 volts intended for use in increment switches of deflection circuits. <I> Multivibrator </I> (MV). - Fig. 32 shows in detail the circuit as well as the symbolic block of a multivibrator used in the system to generate adjustment pulses over time of 100 kilocycles. The lamp used can be of the 6J6 type.
This circuit looks like a standard trigger circuit, except that there is no resistance coupling of an anode to the opposite gate. When the circuit is first closed, the dice of equilibrium between the constituent elements forces one lamp to be more conductive than the other. The voltage drop at its anode causes the voltage to drop at the opposite grid and starts turning the other lamp off. The anode of the other lamp, as its voltage rises, forces the first lamp to draw more current.
This triggering action continues until the first lamp is highly conductive, and the other is completely off. Since there is no resistance coupling between the low voltage gate and the high voltage anode;
but, given the resistance coupling to the input voltage source constituted by the adjustment resistor over time, the low voltage gate sees its voltage rise exponentially as the coupling capacitor is unloaded through the time adjustment resistor and the conductive lamp. When this grid reaches a value such that the off-circuit lamp begins to conduct, the circuit switches to the opposite conditions due to the regenerating action mentioned above.
Because the circuit is symmetrical, this action is repeated continuously at a rate determined by the size of the oscillation, towards the negative on the gates and by the value of the adjustment resistance over time and the capacitance . <I> Single stable position multivibrator </I> (SS). - Fig. 33 shows the detailed circuit as well as the thirst block symbol of the single stable position multivibrator used in the system. This circuit is used to generate blockages or pulses of fixed duration and to provide delays.
A single stable position multivibrator is like a trigger circuit in that it can be tilted to a certain state, but then it returns to its previous state within a predetermined time without having received any pulses from it. from an outside source. Its normal state may be referred to as the steady state while its abnormal state may be referred to as the near steady state, since it remains stable in the latter state until the period of time has elapsed. predetermined that is specific to it.
In steady state, the left lamp is switched off and the right lamp is highly conductive.
The most common method of turning on a multivibrator at a single stable position is to attract its anode. When using anode attraction, the left anode of the single stable position multivibrator is connected to the anode of an attraction converter, the load resistance of 1 left anode acting as the resistor of charge of the attraction inverter. The duration of the single stable position multivibrator output pulse depends to a large extent on the discharge time of the capacitor connected between the left anode and the right gate.
The resistor and the capacitor can be changed to determine the duration of the pulse, and this is why they are called time-adjusting resistor and time-adjusting capacitor. The stronger the resistor and the capacitor, the longer the time required. for the voltage increase at the right gate.
The single stable position multivibrator may have a 12AV7 type lamp. <I> Detailed description of the circuits </I> It is considered that the preceding description of the essential characteristics of the elements used in the circuit is sufficient to understand the role of these elements in the circuit and so that, in the description which follows, it is unnecessary to refer to in a detailed manner specific to the operation of the element.
These preliminaries having been completed, it is therefore possible to begin a more particular description of the circuit considered as a whole and as it is shown particularly in the form of blocks in FIGS. 33 to 47.
<I> Entry into </I> provenance <I> of the read element of the </I> <I> ribbon. </I> - It was previously indicated that the information stored on the magnetic tape is arranged on the tape on seven tracks in the form of magnetic spots. A particular character appears following a substantially straight line crossing them. tape tracks perpendicular to the longitudinal direction of the tape.
The magnetic reading element consists of seven reading heads arranged in alignment on a straight line so that all seven tracks are read simultaneously. The pulses from the read heads are amplified, suitably by the amplifiers disposed in the ribbon drive member, and are sent to the electronic converter device as positive pulses at 40 volts.
The particular method of construction of the tape read heads, as well as of the system of tines for amplifying the pulses picked up by the heads does not constitute part of the invention and it will not be described in detail here.
The pulses from the ribbon pulse amplification system are sent to the inputs of the electronic conversion system designated 48, 50, 52, 54, 56, 58 and 60 (Fig. 35). If no signal is received from a particular tape track, then the input terminal is below -30 volts. Terminals accepting input from tape tracks on which a signal is present will however be below -f-10 volts.
The information on the tape is in the form of binary code. Therefore, four of the tracks on the tape contain the digital information according to the binary code 1-2-4-8. Two of the tracks carry the zone information needed for alphabetic characters. These are designated by tracks 0-1 and 1-0.
The remaining track is used to support a repeat check bit used to check the total number of bits appearing through the character at any given point according to the well known principle of repeat check. The binary code will be explained later when discussing the role of the decoding matrix.
<I> Trigger storage register. - </I> The representative bit pulses arriving at the input channels 48 to 60 pass through the inverters 62, and so on, the output of which has the effect of igniting an associated trigger 64, such a trigger being provided for each input line and thus constituting a storage register. The storage register comprising the triggers 64, and so on,
is intended to temporarily store pieces of information from one or more of the seven ribbon storage tracks for a short period of time so that signals arriving late due to obiquity electric or magnetic are not lost. The trigger register is arranged to simultaneously transfer bits recorded in it to the decoding matrix on demand of these matrices.
Obiquity results from poor mechanical or electrical adjustment between the tape and the read head and it results from reading substantially in series of the various spots arranged on one of the seven tracks when the tape passes under the heads. reading, while in the situation. Ideally, all spots on one of the seven tracks should be played simultaneously.
In fig. 35, the input channel 48 receives the repeat bit, the channel 50 receives the zone information 1-0, used when punching 12 or 11 is to be made in a card.
Input channel 52 is zone channel 0-1, used when punch 12 or punch 0 is to be performed in a card, input channel 54 is digit 1 channel, used to indicate 1 in code 1-2-4-8, channel 56 is the digit channel. 2, used to indicate 2 in code 1-2-4-8, channel 58 is the channel of digit 4 used to indicate 4 in code 1-2-4-8, and channel 60 is the channel of digit 8 , used to represent 8 in code 1-2-4-8.
If a. bit of information is stored. on the magnetic tape in any one of the channels, the signal from the tape read head is presented to the appropriate input channel 48-60 as a pulse. positive. If an 8 was emma gas on the tape, a positive pulse arrives at the input channel 60 and it causes the conduction of the inverter 66 associated with it. Each inverter uses the anode load resistance of the left half of the part of the trigger to which it is connected on triggers 64, and so on.
The triggers constituting the register are reset to zero, so that the terminal designated by an x in the representation, symbolic thereof in FIG. 35 is a conductor. Thus, the fact that the inverter 66 has been made fully conductive will cause the anode voltage on the non-side. trigger driver 66 will descend to a point where conduction from the pair of triggers is transferred to the left side.
A pair of cathode couplings 68 and 70 are connected to the anodes of trigger 66A such that the diode array does not load the pair of triggers. Due to the storage of 8, the direct current potential of the output of cathodic coupling 68 is -30 volts and that of cathodic coupling 70 is -f-10 volts. The information read initially on the tape is stored in the pairs of triggers 64, <I> 50a, 52a, </I> 54a; 56a, 58a and 66a.
The direct current potentials of the outputs of the cathode couplings 68, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76; 77, 78, 79 and 80 are connected to the diode conversion matrix and indicate the state of the storage triggers just described. The conversion matrices are shown in Figs. 36 and 37 of the drawing.
All the storage triggers (fig. 35) arranged in the register are returned to the starting position before each character is received. This reset is carried out by means of a pulse. sent through an inverter 82. The inverter 82 is controlled by a pulse from a distribution ring at the time the ring begins its cycle. As a result, the triggers are returned to position a hundred times during the reception and storage of a recording element on the cathode ray lamps.
<I> Decoding matrix. </I> - The decoding matrix of fig. 36 and 37 is intended to convert the information initially received from the seven tape tracks and now stored in the trigger register (Fig. 35) into a series of time-regulated pulses representative of the usual Hollerith code used for punching of accounting cards. The output of the matrix is used to store information on the surface of the cathode ray tubes.
As indicated above, the Hollerith code can include numeric or alphabetical information as well as any of the special characters.
The cathode couplings 68 to 80 simultaneously present the stored information. to the diode matrix according to the size of their. particular cathode voltages. The matrix converts the simultaneously applied binary code outputs into a set of twelve simultaneously occurring outputs representing the Hollerith code. Because the Hollerith code must be serially fed into the cathode ray storage lamps, the serial outputs of the array must be returned to the serial order set in the time shown.
This is done by sequentially polling each output to determine whether or not. a signal is present on it. A circuit and is used at each output and is such that an output signal is provided upon coincidence of an input from the matrix and a pulse from the distribution ring.
The distribution ring is the so-called Thirteen ring shown in FIG. 38 and this ring is also used to control the vertical deflection of the cathode ray beams so that the series representation corresponds to the various positions of the beams in a given column of the cathode ray lamps.
<I> Binary code and Hollerith code. </I> - Fig. 48 is a table. representing the correlation between Hollerith code and binary code. The binary code has six digits of binary information by which combinations of these digits can be used to represent characters. The first two digits, as indicated above, are used for zone representation in the encoding of alphabetic characters, and the last four digits are used to represent numeric characters, all as indicated above. -above.
The conversion of the two areas of the binary code to the three areas of the Hollerith code is presented in the manner shown in fig. 48 where we see that a 1 indicates the presence of a signal and a 0 the absence of the signal.
EMI0011.0027
Zones <SEP> in <SEP> code <SEP> Zones <SEP> Hollerith
<tb> 1-1 <SEP> Perforation <SEP> 12
<tb> 1-0 <SEP> Perforation <SEP> 11
<tb> 0-1 <SEP> Perforation <SEP> 0
<tb> 0-0 <SEP> Numbers The last four digits of the binary code represent the digits 8, 4, 2, 1, so that the number 11, for example, is made up of the combination 8-2-1.
A number in Hollerith code is represented in binary code by adding 3 to the Hollerith representation. For example, an 8 in Hollerith code is represented in binary code by 11. Likewise, where the letter B is shown as a perforation in area 12 and a perforation. 2 in Hollerith code, it is indicated by a perforation in area 1-1 and in area 4-1 (or 5) in binary code.
We can therefore say that two operations are necessary. to convert binary code to Hollerith code. First, the zone information must be transposed from one zone to another. Second, the digital information must be transposed from the 8-4-2-1 representation into a single digit having a value 3 less than that given by the 8-4-2-1 representation of the binary code. <I> Diode conversion matrix. </I> - The conversion matrix is in fact made up of a pair of matrices, one of which is shown in fig. 36 and the other in fig. 37.
The matrix of FIG. 36 performs the conversion from binary code to Hollerith code, while the matrix of FIG. 37 performs the data conversion. digital arranged in. binary code. Each of the. matrices is made up of circuits and diodes connected in such a way that a particular combination of inputs will give a particular output. The entry to the matrix should indicate the absence of a. figure as well as its presence.
A cathodic coupling is connected to each anode of the storage triggers (fig. 35), as indicated, such that an output under -I-- 10 volts of one. such cathodic coupling, cathodic coupling 68, for example, will indicate the absence of character, while a. under -i-- 10 volts output of cathode coupling 70 will indicate the presence of a character in that channel.
The cathode couplings which are fed by the register triggers are connected to the zone matrix so that their outputs are sent to the horizontal elements of the matrix network. The other main entry to the dies is formed by the exit of the vertical deflection distribution ring, that is to say the so-called Thirteen ring (represented by element 18 of fig. 1 and shown in more detail in Fig. 38). This distribution ring. has twelve outputs corresponding to the twelve index point positions of a map column.
The outputs are conditioned one at a time. at a time in the order in which a map is ordinarily scanned, i.e. with the index point position 12 in. head. Ring of Thirteen outputs 12, 11 and 0 enter the zone matrix via cable 84. Ring of Thirteen outputs 1 through 19 enter the digital matrix through the in case of a cable 86.
The circuits and matrices are arranged such that a pulse from the distribution ring is a necessary part of the coincidence which generates an output from the conversion matrix. Hollerith code outputs 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 8/3, 8/4 are connected to terminals 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97 and 98 respectively. Each of these output terminals (fig. 37) leads to a cathodic coupling which is part of a group of cathodic couplings 99.
The outputs of the zone matrix (Fig. 36) connect the gates of a similar set of cathode couplings 100. The operation of the circuits and used in the two conversion matrices of Figs. 36 and 37 will be better understood by referring to FIG. 29.
Considering any one of the conductors 101, 102 and 103, a coincidence of all of the inputs connected to that conductor through the diodes. must occur before the cathode coupling grid also connected to that particular column sees its voltage rise enough to cause a sub-I-10 output to appear at output line 104.
The inputs A, B and C, and the inputs to the distribution ring TR are either under -30 volts or under -f- 10 volts. If inputs A and B are under -I- 10 volts and input C under -30 volts, an output pulse of -I- 10 volts appears at the output conductor 104 when a timing pulse is applied. to the driver 101.
Applying a timing pulse to conductors 102 and 103 in succession, after applying it to conductor 101, will not produce output pulses since input C keeps both conductors under -30 volts .
<I> Conversion in the </I> matrix. - In the description of the operation of the dies shown in FIGS. 36 and 37, we refer to the numbers appearing in a column to the right of the matri ces.
These numbers indicate the cathode couplings to which the horizontal conductors of the matrix are connected. Thus, the number 8 designates the horizontal conductor of the matrix which will be under a direct current of -I-- 10 volts when an 8 is present on the tape. The number 8 in the second position from the bottom represents the fact that no 8 is present in the word being pulled from the tape.
Suppose the six-digit binary word. 0-0 1-0-1-1 has been read on the tape, and consider only the numeric part of the word, ie the last four digits; the digital matrix (fig. 37) would then receive the following inputs which would be found under -f- 10 volts 8 = presence of an 8 4 = absence of a 4 2 = presence of a 2 1 = presence of a 1 Under these conditions, the other inputs remain under -30 volts. The pulses from the distribution ring are now applied through cable 86 at a frequency of 100 kilocycles.
A timing pulse is first applied through a conductor 106. A conductor 108, which terminates at the output terminal 88, is connected to the horizontal conductors 8, 4, 2 and Î through the diodes. . Since all of these conductors are under -30 volts, the DC level of the grid of a cathode coupling 110, into which the line 108 opens, cannot be high to cause conduction. A timing pulse is then applied through a conductor 112.
Since one or more of the horizontal lines of the matrix, connected, through diodes to lead 114, are below -30 volts, no output occurs. This process continues until every vertical conductor in the array has been polled.
As a timing pulse is applied through a conductor 116, it is seen that all of the horizontal conductors connected to conductor 118 through the diodes are under -I- 10 volts, except conductor 1, which is under -30 volts. There is therefore no exit.
However, all of the horizontal conductors connected through the diodes to a vertical conductor 120 are at a potential of -f- 10 volts; therefore, the application of a time adjustment pulse under -I- 10 volts through the input of conductor 12,1 causes the voltage at conductor 120 to rise to -F- 10 volts.
Since the output terminal 95 of conductor 120 is now below -h 10 volts, cathode coupling 110a connected to it will emit an output pulse of -f- 10 volts which will be applied to conductor 123. Checking the remainder of the digital matrices in the manner described, it is seen that at no output pulse occurs.
All of the output pulses from the cathode couplings. of the group <B> 110 </B> are applied. to the driver <B> 123 </B> following a sequence regulated in time. and they are distributed through the system from this conductor.
To examine all of the active elements of the digital diode conversion matrix of FIG. 37, we will take an example in which the output of conductor 123 will correspond to perforations 8 and 3 of a card (perforations 8 and 3 represent the sign # in Hollerith code).
The representation of perforations 8 and 3 of the Hollerith code in the binary code is formed by the binary number 0-0-1-1-0-1. The inputs to the digital matrix which, for this number, must be under + 10 volts., Are the following 8 = presence. of an 8 4 = presence of a 4 2 = absence of a 2 1 = presence of a 1 The other inputs are under -30 volts.
On examination of the various possibilities, we can see that the only vertical conductor which can be brought to + 10 volts is conductor 122. Conductor 122 cannot see its voltage. rise only if the conductor 124 is below + 10 volts. At time 3, a time adjustment pulse under + 10 volts is sent from the so-called Thirteen ring (fig. 38), in. not sant through cable 86, to the matrix through conductor 126. This pulse is applied through conductor 128 to a circuit or 129.
The circuit or 129 leads to conduction a neck cathode range 130, so that + 10 volts are applied to the conductor 124. The fact that the horizontal conductors 8, 4 and 1 are under + 10 volts, combined with the fact that the conductor 124 is now also below + 10 volts, causes the voltage of conductor 122 to rise to + 10 volts. A voltage of + 10 volts is therefore applied to the cathodic coupling 110b, forcing the connection, at occur, so that an output pulse will appear on conductor 123.
As a result, a pulse corresponding to the perforation 3 of the card appeared on the conductor 123.
At time 8 of the cycle, a time adjustment pulse of + 10 volts is applied to the matrix through conductor 12.1. This pulse is applied to the circuit or 129 through a conductor 131. The circuit or <B> 129 </B> transmits the pulse, to bring the cathodic coupling <B> 130 </B> to drive, thereby raising driver 124 to +10 volts. This, in turn, brings conductor 122 to +10 volts once more. Cathodic coupling 110b is thus conductive and produces an output pulse on conductor 123 at time 8.
The total result is constituted by the application according to a time-regulated sequence of a pulse 3 and a pulse 8 on the conductor 123, corresponding to the index points 8 and 3 of a punched card.
One, example of. operation of the zone matrix of FIG. 36 will help to better understand its role. As previously indicated, the zone matrix (fig. 36) is made up of various circuits and with multiple inputs supplying a series of cathodic couplings 100. All of the cathodes of the cathodic couplings 100 are connected between they and they are connected to the output conductor 123 through a line 132. An introduction to this circuit has been given in the description of FIG. 49.
The two zone channels 50 and 52 coming from the tape heads enter the zone matrix at terminals 133, 134, 135 and 136. To the right of the matrix, these horizontal conductors are identified by knowing whether a piece of information is present or not on any of the lines. interested.
Thus, the symbol 1-0 indicates that no information is present in the input channel 50, that the symbol 1-0 indicates that a signal is present in the input channel 50, that the symbol 0-1 indicates that no information. is present in input channel 52, and that the symbol 0-1 indicates the presence of a signal in input channel 52.
Before coming to this third example, it appears necessary to consider the six can <U> to </U> ho <U> rizon </U> matrix rates denoted by 000, 0010, 0011, 0000, 0010, 0011, which are fed through the cathodic couplings by the digital matrix of FIG. 37.
There are several binary words in the binary code which have no meaning in the conventional Hollerith code, namely: 0-0-0-0 of the Hollerith code is equal to 0 of the binary code, 0-0-0 -1 is equal to 1 in the binary code, and 0-0-1-0 is equal to 2 in the binary code. This fact is taken advantage of, and these numbers are combined with the various areas to refer to these elements as area marks, record marks and tape marks.
The indications just mentioned are used to control certain operations of the system, such as starting and stopping the tape drive element, for example, as will be explained. in more detail below.
If the binary number 0-0-0-0 were present in the digital matrix (fig. 37), inputs 1, 2, 4, and 8 would be under + 10 volts. As a result, the vertical conductor 138 (fig. 37) was raised to + 10 volts.
This would serve to cause conduction of a cathodic coupling 140 so that the output appearing on line 142 would be taken to + 10 volts, thereby bringing the horizontal matrix conductor 0-0-0-0 (Fig. 36). at + 10 volts. At the same time, the cathodic coupling 140, due to its high output voltage, causes an inverter 144 to conduction.
Decreasing the anode voltage of inverter 144 deprives a cathodic coupling of any drive so that its output capacitor 148 is under. -30 volts. A <U> potentie </U> l of -30 volts on the horizontal conductor 0-0-0-0, which is <U> connec </U> ty to conductor 14.8, indicates that input 0-0-0-0 is not present, or that input 0 = 0-0-0 is present in the digital matrix.
Likewise, if the 0-0-1-0 input were presented to the digital matrix, the vertical conductor 150 would be below + 10 volts, causing conduction. of cathodic coupling 152. The sub -I- 10 volts output of cathodic coupling 152 forces the horizontal 0-0-1-0 conductor of the zone matrix to be below -f- 10 volts.
Exiting the cathode pad neck 152 causes an inverter 154 to conduction, forcing the cathode coupling 156 to be non-conductive. Therefore, the horizontal conductor 0010 of the zone matrix is below -30 volts.
In a manner identical to that indicated in the preceding paragraphs, applying the 0-0-1-1 input to the digital matrix will force the vertical matrix conductor 158 to rise to -f- 10 volts, which will cause the conduction of the cathode 160 connected to it and, due to the inverter 162, the non-conduction of the cathodic coupling 164. As a result, the horizontal conductor 0-0-1-1 of the zone matrix is found <U> under </U> -I- 10 volts and the horizontal conductor 0-0-1-1 is under -30 volts.
Turning now to the third example in which the zone matrix is discussed, it will be assumed that the binary word 1-1-1-0-1-1 has been extracted from the tape and sent to the arrays. From the table representing the codes in fig. 48, it appears that this entry represents the letter H in the Hollerith code, which is indicated by perforations at the index point positions 8 and 12 of a map.
Applying the binary word to the matrices provides a potential of -i- 10 volts to the conductors <U> horizon </U> rate <U> of the </U> zone matrix 1-0, 0-1, 0-0-0-0 0-0-1-0 and 0-0-1-1.
The other horizon rate conductors of the zone matrix (fig. 36) being below -30 volts. Thus, when a sub-10 volts timing pulse is applied through a conductor 166 at time 12, the conductor 168 is brought to -! - 10 volts. This allows a cathodic coupling 100 to be conductive and thereby emit an output pulse representing the perforation 12 on the conductor 132, which is connected to the output conductor 123 (fig. 37).
We have previously described how a pulse representing perforation 8 appears on conductor 123 at time 8. The net result consists of the appearance of a pulse 12 and a pulse 8 on conductor 123 following a sequence set in. time, so as to represent a perforation 12 and a perforation 8 in a perforated accounting card.
Further examination of the zone matrix (fig. 36) reveals that the binary word 1-0-0-0-0-0 (indicative of a record mark) will force horizontal conductors 1-0 and 0 -0-0-0 to amount to -I- 10 volts.
When applying a timing pulse, under -I- 10 volts at time 12 through conductor 166, vertical conductor 170 is under -I- 10 volts, so that the coupling cathode 100 is conductive, causing the appearance of an output pulse on a conductor located at 172. This pulse is sent to other elements of the system so as to indicate the end of a recording. The role of the registration mark pulse will be described in more detail later.
Similarly, the binary word 0-1-0 0-0-0 (indicative of a tape mark) will cause an output pulse to appear on an output line 174 through the cathodic coupling 100. This pulse is used by other elements of the control system to signify the end of a tape spool in the tape drive mechanism. The way in which the impulse. mark of the tape is used will be described in more detail in the remainder of the description.
The output of the total conversion matrix (fig. 36 and 37) constituting the time-regulated representation of the Hollerith code, appears on conductor 123 (fig. 37) and is sent through various control circuits to finally appear. to the grid of the cathode ray storage lamps, causing the information to be stored in them.
<I> Regulation under 100 kilocycles. </I> - Provision has been made in the present device, and there is shown in detail in FIG. 34 a basic pulse generator or control device., Intended to regulate electric ment over time the electronic .conversion system. The basis of the regulation network is constituted by a multivibrator 175 (fig. 34) which is analogous to the multivibrator shown in fig. 32. The elements constituting the multivibrator have been designed to operate at a frequency of 100 kilo cycles per second.
The output of multivibrator 175 is sent through an inverter 176 which modulates the pulses in a substantially rectangular shape. The inverter pulses drive a cathodic coupling network 177 which is used to isolate the regulator from the rest of the circuits and to provide the current demanded by the circuits receiving the regulator pulses. The tuning pulses vary between the extreme limits of -f- 10 and -30 volts, and each pulse is 10 microseconds wide.
From the output of the cathode couplings 177, the tuning pulses are sent to the other circuits of the conversion system wherever needed. The setting pulses under 10 kilo cycles are used during the recording operation to advance the so-called Thirteen ring (fig. 38), the Thirteen ring in turn interrogating the matrix of diodes, previously described manner, and controlling the vertical position of the cathode ray lamp beams.
During the extraction operation, the adjustment pulses under 100 kilocycles advance the so-called Cent ring shown in fig. 43. The Hundred Ring controls the horizontal position of the beams of the cathode ray lamps. During the period when the elements arranged in the cathode ray lamps are being regenerated, the adjustment pulses under 100 kilocycles are sent to the ring of Thirteen.
The inverter 178 (fig. 34) is used to suppress the operation of the multivibrator 175 for a short period of time following the return to the starting position of all the rings and triggers, arranged, through the machine. By depressing a reset switch, the voltage below -100 volts applied through a resistor to terminal 9 of inverter 178 is cut off. Consequently, the grid of the inverter 178 is brought under + 10 volts, so that the inverter is fully conductive.
Because the anode of inverter 178 is connected to an anode of multivibrator 175, the multivibrator cannot operate as long as the potential at the anode of inverter 178 is reduced. Since the gate of inverter 178 is taken below -f- 10 volts, capacitor 180 charges to a point near + 150 volts. Therefore, the time constant of capacitor 180 and its shunt resistance <B> 181 </B> cause a delay in the return under -30 volts of. the inverter grid 178.
This delay causes multivibrator 175 to remain idle for a few milliseconds. It is desirable to suppress operation of multivibrator 175 for a short period of time in order to ensure that all triggers, etc., will have time. to return to the starting position before the appearance of: adjustment pulses.
<I> The Ring of </I> Thirteen. - Fig. 38 of the drawing represents the ring of Thirteen which provides the timing pulses used to control the vertical deflection of the beams of the cathode ray lamps, the exploration of the diode conversion matrix, the control circuits by repetition and character blocking circuits. It should be noted that the ring of Thirteen emits adjustment pulses over time in a sequence corresponding to the index points of a punch card column.
The ring of Thirteen is driven by the multivibrator 175 which, as indicated above, operates at a frequency of 100 kilocycles per second. The information is stored, as mentioned above, in columns on the surface of the cathode ray lamp in an arrangement, similar to the arrangement of the index points of the map. Each column of information is stored by arranging the beams of the cathode ray lamp, position. by position, that is, in dex point by index point, at the bottom of the column.
This is the ring of. Thirteen which controls the vertical deflection circuits, thus setting up the cathode ray beams. The way in which the adjustment pulses from the distribution ring interrogate the conversion matrices (Figs. 36 and 37) has already been indicated. The timing pulses from the ring of Thirteen are also used to control circuits, repeat verification and character blocking,
the respective role of which will be discussed in detail later.
The ring of Thirteen is formed by thirteen pairs of triggers, each of which is made as shown in fig. 20 of the drawing. These pairs are connected as a closed ring to form an Overbeck ring as described in, U.S. Patent No. 2,404,918.
The ring of Thirteen, as shown in fig. 38, has all of its triggers reset to zero on that of the sides which is identified by a small x in the block intended to symbolize the trigger, 1'x indicating the side on which the trigger is conductive. The negative pulses of 100 kilo cycles at 40 volts intended for the drive are applied to the ring through the input conductor 182. Connected to the anode of the right lamp of each pair of triggers is arranged a cathodic coupling.
Cathodic couplings are used to prevent loading of trigger pairs. By transferring conduction from the right lamp to the left one, a pair of triggers emit one. positive direction signal which is transmitted to the cathodic coupling associated with it. The cathodic coupling powers the circuits connected to the distribution ring.
More precisely, the triggers of FIG. 38 which are identified by the symbol RT are further identified by a number designating the stage of the trigger. The positive output terminal 5 of each trip unit is connected to the cathodic coupling which is associated with it by the terminal 9 thereof.
If we consider the ring to be returned to the starting position as seen in FIG. 38, note that the first negative pulse applied to input line 182 causes trigger 183 to transfer, thereby emitting a negative pulse to terminal 4 of the next lower stage (trigger 184). The negative pulse applied to trigger 184 forces it to transfer conduction to its left side.
The fact that the trigger 184 is transferred causes the application of a positive potential to the terminal 9 of a cathode coupling. <B> 185 </B> connected to trigger 184, thereby making the cathode coupling 185 fully conductive. The output voltage of the cathode coupling 185 is -1-10 volts. This output pulse represents the perforation 12 in Holle rith code.
The next timing pulse which arrives at input line 182 causes trigger 184 to transfer to the right side. Transfer of trigger 184 causes the positive input to be interrupted at cathode coupling 185, after which the output of this lamp drops to -30 volts.
The transfer of conduction into trigger 184 also causes a negative pulse to be emitted at terminal 4 of the next trigger stage 186, thereby forcing trigger 186 to transfer conduction to its left side. This action forces the cathodic coupling 187 which is associated with it to emit an output of -I- 10 volts corresponding to the perforation 11 of the Hollerith code.
The triggering process just described continues as long as the position of the ring of Thirteen progresses at the frequency of 100 kilocycles, until the last trigger 188 thereof is in the condition where the left side of it is conductive (this trigger representing the point position of index 9 in Hollerith code).
Applying the next 10 kilocycles timing pulse to input driver 182 forces the trigger <B> 188 </B> to reverse its conduction state and to emit a negative direction signal again through a conductor 189 which is connected between the right output of the trigger <B> 188 </B> and the left side of the input trigger 183.
The negative pulse applied to conductor 189 forces trigger 183 to switch over and become conductive on its left side, so that the signal sent to terminal 9 of a cathode coupling 190 to which trigger 183 is connected causes the trigger to switch. raising to -I-- 10 volts the direct current potential of the output line 191 of the cathode range neck.
The positive pulse on line 199 constitutes the carry signal of thirteen, and is applied to inverter 82 (Fig. 35) and, through that inverter, to the left side of each of the triggers 64, 50a, 52a, 54a, 56a, 58a, 66a, of the input storage register (Fig. 35), forcing these triggers to return to the starting position where their right side is conductive.
After the input storage register triggers have been returned to the start position, the circuits are ready to receive another word from the ribbon.
The thirteen carry signal is also applied, through a conductor 192, to the control circuits of FIG. 33, causing the control pulses to disconnect from the input conductor 182 <B> (fi-. 38) </B> at the end of a revolu tion of the Ring of Thirteen.
The start of the next word will activate the control circuits of fig. 33 to re-establish the connection between the regulation device under 100 kilocycles and the input of the ring of Thirteen, conductor 182. This last function will be described in detail when, in the remainder of the description, we will deal with the blocking Character.
The thirteen carry signal from the thirteen ring is also applied to the dot-dash control circuits of FIG. 47 through connection 193 to force the dot-to-line circuits to operate during recording and regeneration of the element disposed in the cathode ray lamp. <I> Character blocking control circuits. - </I> The character blocking control circuits have been designed to synchronize the input of a character from the ribbon with the cyclic operation of the Ring of Thirteen.
In short, the pieces of information representing a word arrive through the six input channels from the ribbon (Fig. 35). After the arrival of the first element, the ring of Thirteen does not start the interrogation of the conversion matrix (fig. 36 and 37) until all the elements representing that word have arrived. The character blocking control circuitry gives a delay of 50 to 60 microseconds after the arrival of the first element and before the start of a ring of Thirteen cycle.
During this 50-60 microsecond delay, all elements are assumed to have arrived. and they are supposed to be stored in the triggers of the input register (fig. 35). At the end of this delay period, the ring of Thirteen is allowed to cycle while polling the conversion matrix before the cycle is interrupted. The arrival of the first element of the following word causes the repetition of the operation which has just been described.
In fig. 35, individual pieces of information which have been pulled from the tape and which represent a single word arriving at input lines 60, for example, enter an input inverter (66, for example) and force a trigger. associated (66a, for example) of the input register to transfer its conduction state. If a trigger is actuated, the appropriate cathodic coupling (70, for example) is caused to be conductive and the conductors (194, for example) joined at the outlet of the cathode range neck see their potential rise to -I-- 10 volts.
The conductors 194, 196, 197, 198, 199, 200 and 201 are connected to the outputs of the neck cathode pads yes, that is to say to the cathode couplings of FIG. 35 which have a positive output when an information element arrives. Lines 194 to 201 (fig. 35) are connected to a group of circuits and and to an associated group of cathode couplings shown in fig. 35. Conductor 194 forms an input to a circuit and 202 (Fig. 35).
Conductor 196 feeds a circuit and <B> </B> 203, conductor 197 powers a circuit and 204, conductor 199 powers a circuit and 206; the conductor 200 supplies a circuit and 207, and the conductor 201 supplies a circuit and 208.
It should also be noted that these inputs to the circuits and are also respectively connected to the associated cathode couplings 209, 210, 211, 212, 213, 214 and 215 which are all shown in FIG. 35. Since only cathodic coupling 215 has a cathode resistor, the cathodes of all other cathodic couplings are connected to the cathode of cathodic coupling 215, this group of elements. constitutive in fact a circuit or seven ways.
Thus, the arrival of the first piece of information from the ribbon will force one of the cathode couplings to be made conductive so that. the output conductor 216 will be under + 10 volts.
The voltage under -'-- 10 volts existing on the conductor 216 will cause an inverter <B> 216 </B> (fig. 34) in the conduction state, with the result that a single stable position multi-vibrator 217 joined therein is actuated and forced to emit a positive pulse having a length of 50 at 60 microseconds at its terminal 6. The trailing edge, directed towards the negative of the impulse coming from the multivibrator at a single stable position forces a trigger 218 to transfer the conduction to its left part.
The transfer of conduction from trigger 218 forces its terminal 5 to rise to a high potential so that a cathode coupling 219 connected to it is brought into the conduction state, raising the potential of its output conductor 220. at + 10 volts. This conditions an entry of a circuit and 22.1.
The other input of the circuit and 221 is constituted by the adjustment pulse on conductor 22, whereby the reception of an adjustment pulse has the effect of bringing the second input (terminal 3) of the circuit and 221 at + 10 volts. Thus, the output of the circuit and 221 will be a positive pulse of + 10 volts which will drive an inverter 223 which read is connected to the conduction state.
The directional, negative signal from inverter 223 is sent to the connected binary input of a trigger 224, causing that trigger to transfer conduction to its right side. The next trim pulse on input conductor 222 also forces the output of the circuit and 221 to drive inverter 223 to full conduction. The negative direction output signal from inverter 223 is sent to both gates of binary input trigger 224, forcing that trigger to return conduction to its left side.
The fact that the trigger 224 has transferred conduction to its left side causes a negative direction signal to be sent to the trigger 218, after which this trigger is transferred and becomes conductive on its right side.
Trigger 218 is disposed in an array consisting of cathodic coupling 219, circuit and 221, inverter 223 and trigger 224 to ensure that the pulse which energizes recording trigger 225 occurs in coincidence with the trigger. 'one of the adjustment pulses. This condition is necessary since the exact moment at which arrives. an impulse of character cannot be guaranteed with certainty.
When the trigger 218 moves from the left side to the right side, the output terminal 8 thereof outputs a negative pulse and thus forces the recording trigger 225 to switch to become conductive on its left side. As a result, the output terminal 8 of the trigger 218 becomes negative, thereby forcing the recording trigger 225 to change position and become a conductor on its left side. As a result, the output terminal of the recording trigger 225 is brought to a high positive voltage which causes conduction of a cathode coupling 226 connected thereto.
The output of cathode coupling 226, which is now below + 10 volts, transmits its pulse through: a circuit or 227 to apply a positive pulse or + 10 volts to an input of a circuit and 228.
The other input of the circuit and 226 is connected through a conductor 229 to the source of tuning pulses at 100 Kc. Thus, as long as the input to terminal 4 of the circuit and 228 remains below -I- 10 volts, an inverter 232 is actuated by the setting pulses, thereby sending the setting pulses under 10 kilocycles per l 'through a conductor 182 at the ring of Thirteen of FIG. 38.
If one refers to the storage trigger 225 (fig. 34), it is obvious that terminal 5 of this trigger will be under reduced voltage during the time when the recording operation is carried out.
Thus, during recording, a negative input is applied to terminal 9 of a cathode coupling 234 (Fig. 34), so that the potential of an output conductor 235 is found to be -30 volts. The existence of the negative voltage during recording is intended to prevent any signals from the video amplifier from reaching the recording control circuits of the cathode ray lamps.
The ring of Thirteen now advances with the next thirteen pulses, interrogating the conversion matrices and advancing the beams of the cathode ray lamps down the first column. The thirteenth pulse ra drives the trigger 188 (Fig. 38) to its original state thereby causing a negative pulse to appear on the output lead 198, which returns the trigger 183 to the left conduction state.
The resulting positive voltage at the output terminal 5 of the trigger 183 causes the cathodic coupling associated with it to become conductive, so that the output conductor 191 connected to it is brought under + 10 volts. This carry signal of 13 (indicating that the ring of Thirteen has completed a cycle) which has just been received on conductor 192 drives an inverter 235 (fig. 33) to the conduction state and this forces the trigger. recording 225 (fig. 34) to switch and become a driver by its right side.
This action interrupts the drive signal from cathodic coupling 226 so that the resulting action is an interruption of the positive input pulse from circuit and 228. Therefore, the tuning pulses on the conductor 229 is not sent any longer to the output conductor 182 of the inverter 232, and the progress of the ring of Thirteen is stopped.
The positive carry signal of Thirteen on the conductor 192 was also sent through the input of a capacitor 237 (fig. 33) and a cathode pad 238 to a circuit or 239 which causes the total conduction of an inverter 240 such that a negative pulse is delivered through a conductor 241 to the input of the Hundred ring (Fig. 43).
The negative pulse on line 241 forces the Hundred Ring (Fig. 43) to move forward one position, so that the circuits. of horizontal deflection move the beams of the cathode ray lamps to the next column.
The complete action just described can be summarized as follows: the first piece of information received from the tape initiates a delay of 50 to 60 microseconds necessary to ensure receipt of all the information from the tape with regard to the single word arranged on it and whose elements can arrive approximately, in series due to the obliquity, as was explained above.
At the end of the 50-60 microsecond delay period, the ring of Thirteen advances thirteen positions to interrogate the conversion matrices and store the information in the cathode ray lamp as the beam progresses down the first. column.
At the end. of the first column, a carry signal of 13 is emitted from the ring of Thirteen, which signal stops the progress of the ring and forces the ring of Hundred to advance one position, thus moving the beam of cathode rays to the next column. The system is now ready to receive the first piece of information from the next word to be pulled from the tape.
<I> The Ring of the Hundred. </I> - The so-called Cent ring is designed to generate time adjustment pulses intended for the horizontal deflection circuits and for the ignition of a series of thyratrons which are arranged to excite the perforation electros.
The Hundred Ring should operate at different speeds depending on whether the system is storing in, or removing from, the cathode ray lamps. When recording information in cathode ray lamps, the cathode ray beam is supplied to the next column after completion of a previous column. Thus, in this case, the advance of the Hundred ring must be controlled by the cyclic operation of the Thirteen ring; each time the ring of Thirteen completes a cycle, the ring of Hundred is advanced one position.
The information is extracted from the cathode ray lamp row by row at the frequency of 100 kilocycles. Therefore, during the operation of removing the cathode ray lamps, the Cent ring must be controlled by the multivibrator at 100 kilocycles.
When the beams of the cathode ray lamps pass through a row, an input of a circuit and, which is connected to the gate of a thy- ratron (corresponding to the columns) must be conditioned, so that if a line is met in a particular point of the grid of the lamp, the thyratron, corresponding to this one (and this thyratron only) is lit.
* The Hundred ring is shown in fig. 43 of the drawing. Input to the ring is applied to conductor 241 from either the transfer pulse of 13 emitted by the ring of Thirteen or from the 100 kilocycles multi-vibrator under the control of the drill.
It may be advantageous at this point in the discussion to move away from the discussion of the Hundred Ring and consider the input to this ring while recording the information from the magnetic tape in the lamps. cathodic rays.
In the part of the present description which dealt with character blocking control, it has been pointed out that as long as the recording trigger 225 (Fig. 34) is in the closed position, the pulses, of adjustment in the time under 100 kilocycles is sent to the ring of Thirteen through the input conductor 182. It was also noted that after the ring of Thirteen has completed a cycle and returns to its starting position, a 13 carry signal is present on conductor 192 (fig. 33).
This carry pulse is applied through inverter 235 and, by inputting it to terminal 3 of recording trigger 225, forcing this trigger to go to. open position. Therefore, the source of the tuning pulses is disconnected from the ring of Thirteen. The ring of Thirteen has completed a cycle, completing the storage of information in a column on the surface of a cathode ray lamp.
It is now necessary to cause the displacement of the beam of the cathode ray lamp, in the direction of the second column, so that the storage of additional information can take place. Since the Cent ring controls the horizontal position of the cathode ray beams, this ring must be advanced whenever the Thirteen ring completes a cycle and emits a carry signal of 13. The carry signal of 13 arrives. on conductor 192 and is sent through cathode coupling 238 and circuit or 239 to inverter 240.
The negative output signal from inverter 240 is sent through conductor 241 to the cent ring of FIG. 43, forcing this last ring to move forward one position.
Entrance to the Cent Ring during the mining operation. Information outside of the cathode ray lamps towards the card piercing appliances will be considered in more detail when discussing the operation of the piercing ring. It suffices for the moment to mention that the entry to the ring during the extraction: is carried out from the multivibrator under 100 kilocycles, under the control of the perforation ring which will be examined later.
In fig. 43, the Cent ring is returned to the starting position so that the side of each trigger which is marked with an X in this figure indicates the driver side of the various triggers making up this ring. The numeral indication that following the identifying characters of the respective triggers in the blocks intended to represent the respective triggers indicates the count value represented by the respective triggers.
The first part of the Cent ring is a closed five-trigger Overbeck ring. These are arranged: in fig. 43 and identified by the reference number 242. This ring of five triggers enters a second closed Overbeck ring with five triggers arranged in fig. 43 and identified by the reference number 243. The output of ring 243 drives two additional pairs of triggers 244 and 245.
This ring is returned to position 1 rather than to position 0, that is to say, the first ring 246 is returned to the closed position. After the first ring 242 has counted to five, the sixth negative pulse emitted through cathode coupling 246 from the last stage 247 of ring 242 is, through connector 248 , transmitted to the second ring 243 where this pulse causes the 0 trigger designated by 250 to go into the open position and brings the trigger 251 to the + 5 position in the closed position.
The negative output of trigger 247, through a conductor 252, again returns the first trigger 246 to the closed position. The first five trigger ring 242 counts again to five, after which a pulse negative on the conductor 248 brings the trigger 251 representing + 5 into the open position and into the closed position. trigger 253 representing + 10.
Another count of five by the first ring 242 will cause the switch to the open position of the trigger + 10 253 of the second ring, as well as the wise step into the closed position of the trigger + 15 254 of the second ring. This process continues until the twenty-fifth pulse moves the trigger + 20255 to the open position and the trigger + 25244 to the closed position.
The two Overbeck rings designated by 242 and 243 continue to operate until the fifteenth pulse brings the trigger + 25 to the open position, thus generating a negative pulse on conductor 256, and this negative pulse brings the closed position of the trigger + 50 245. The counting continues again until the hundredth pulse causes the trigger + 50 245 to go to the open position, thus sending a positive pulse to a cathode coupling 258.
Therefore, a positive pulse appears at the output of cathodic coupling 260, indicating that the Cent ring has completed its cycle. The role of the 100 carry signal will be described in due course.
Connected to the outputs of each of the Hundred Ring trigger pairs are associated cathode couplings that power the various circuits controlled by the Hundred Ring. The outputs of the cathodic couplings are either under + 10 volts or under -30 volts, depending on the input voltage applied. The number which is then in the ring is determined by the sum of the numbers represented by the cathodic couplings presenting an output under tension of + 10 volts.
If the Cent ring has received thirty-two pulses, cathode couplings 261, 262, and 263 will output below + 10 volts. The thirty-two pulses will place the ring on position 33 so that the beams of the cathode ray lamps will be located on the thirty-third column: The output of the Hundred Ring is sent through 'a, cable 264 to the horizontal deflection circuits, and to the thyratrons of FIGS. 44 and 45 through circuits and (fig. 46).
The horizontal deflection circuits which also received the output of the Cent ring are shown in fig. 42. <I> Circuits of </I> deflection <I> horizontal. </I> - The horizontal deflection circuits are the elements which control the horizontal position of the electron beams of the cathode ray storage lamp,
whereby the average potential of the deflection plates is that of the last electrode of the electron gun so that astigmatism is minimized. It will be recalled that the two cathode ray storage lamps are connected in parallel in all respects except as regards the control grids.
Referring to fig. 2, it can be explained that, during the recording time, the beams progressively explore column by column one beam covering columns 1 to 25, while the other beam covers columns 26 to 50. As the beams move for the first time from left to right in the lamps, the left lamp 22 fully covers the columns: 1 to 25.
The beams then cross the same path, the right lamp 24 covering columns 26 to 50 at full power. The beams are then: brought down to the row equivalent to the lower grids where the same process is repeated for the columns. columns 51 to 100. As a result, all of the hundred columns have been explored.
Therefore, the horizontal deflection circuits must be able to provide twenty-five steps one after the other. Likewise, the year of. : One hundred which controls the horizontal deflection circuits must sequentially cover twenty-five steps, after which an indication is given that the twenty-five steps have been performed. The ring should then recount twenty-five steps, indicating that the twenty-five steps have been performed for the second time.
This last indication is used to control the vertical deflection circuits so that the beams are arranged in the lower grid of fig. 2.
The horizontal deflection circuit consists of two groups of lamps arranged in pairs, in which each pair of lamps represents, when activated, a particular deflection increment. Thus, if the pair of lamps representing A5 are activated, the beam will be moved five increments or columns to the right of its rest position.
If circuits A10, A5, A2 and A2 are activated, the beams will be moved nineteen positions towards. the right of the rest position, column 1, column 2, and so on.
There are two groups of these lamps, so one can use push-pull deflection. We will give here a brief description necessary for the intelligence of this operation, with reference to FIG. 50. Let us suppose that the inverters A and H of fig: 50 are off circuit, that is to say not conducting.
Therefore, the input to the inverter B will be under -f- 10 volts and the output of this inverter will be under -i-- 50 volts, voltage which is applied to the gate of the triode C. Since the triode C is switched off, it does not contribute to the voltage drop across the common cathode resistance of tri odes C and D. Therefore, the triode D conducts its maximum current through the load resistance of anode E.
Obviously, the L triode would conduct current through the cathode resistor in a manner similar to the D triode. Likewise, all. other pairs of lamps similar to triodes C and D would have a lamp (such as D) that conducts the anode current through the common anode load resistor E, provided that the triode such as C is not conductive. Therefore, the combined current through the common anode load resistor E will cause a large voltage drop across this resistor,
drop such that the conductor F will be under low enough potential (see the voltage diagram in the upper left part of fig. 12).
In an identical manner, the fact that all the left triodes such as M are switched off forces the conductor G to rise to the potential B + of 300 volts (see voltage diagram at the lower right part of fig. 50 ).
If the beam of the cathode ray lamp (CRT, fig. 50) is to be placed in the first column, the input to the inverter A must be positive. So inverter B forces the grid of lamp C to rise to -I- 100 volts, forcing the lamp to conduct more current.
The additional current will cause the cathode bias voltage of lamp D to increase. Since the grid of lamp D is held at -f- 87 volts, the additional cathode bias voltage causes a flux of less current, so that the voltage drop across the anode load resistor E is less and, thus, the potential of the conductor F is raised to V.,.
By a similar process, the positive input to the inverter A causes the lowering of the potential of the conductor G to V'z. Since the grids of all of the lamps on the left are kept below -I-- 87 volts, the amount of current a particular lamp can conduct depends on the size of its cathode resistance.
The cathode resistance of the lamp D has a value such that if this element is switched off a change in the potential of the conductor F occurs and has the effect that the beam of the cathode ray lamp is deflected by one. The M triode working in conjunction with the D triode constitutes a push-pull deflection system. A different pair of lamps is used (with a different value cathode resistor) to produce a deflection of two units, for example.
We. can thus see that if the input to the inverter H is positive and that of the inverter A is not, the potential of the conductor F rises more and that of the conductor G decreases more, so that the beam of the cathode ray lamp is disposed in the second column. If the inputs to both inverters A and H were positive, the harness would be located in the third column. There are other pairs of lamps which give others. deflection increments shown in fig. 42.
On examination of the voltage diagrams, which form part of fig. 50 that the average potential between the deflection plates is always the same, but that the voltage difference between the plates increases as A increases. This is necessary to reduce possible astigmatism.
The degree of deflection caused by a pair of lamps is a function of the size of the resistor. cathode. The larger the resistance, the smaller the deflection increment, the smaller the resistance, the larger the increment. The value of the resistors can be noted by examining figs. 10 to 18 where it is seen that the circuits of the deflection lamps differ from each other in the value of their cathode resistances.
Fig. 42, which represents the horizontal deflection circuit, has the input lines 265, 266, 267, 268, 269 and 270, which constitute the input lines to the inverters through which the deflection circuits are supplied. When a potential of -I- 10 volts is applied to these input lines, the deflection. incremental output is the following:
conductor 265 produces one deflection unit, conductor 266 produces two deflection units, conductor 267 two units, conductor 268 five units, conductor 269 ten units, and conductor 270 ten units. As mentioned previously, a combination of several inputs produces a deflection equal to the sum of the units. If conductor 267, for example, is found under -f- 10 volts, an inverter <B> 271 </B> is brought to conduction.
This inverter disables an inverter 272, thereby raising the potential of an output line 273. Hence, a pair of lamps 274 operate to raise the potential of the output line 275. to a value of 2, or two increments. The rise in potential of conductor 275 forces cathodic coupling 276 to conduct more strongly, so that the output voltage thereof on line 277 is increased.
Cathodic couplings 276 are the special cathodic couplings shown in FIG. 9. These cathode couplings are used as an impedance matching device to provide the energy necessary to drive the long deflection lines of the cathode ray lamp without loading the sensitive deflection circuits.
It should be noted that DO cathodic couplings differ from standard cathodic couplings used in the system in that the cathode resistance is referred to ground rather than below -100 volts because it operates at largely positive voltage.
The output of inverter 271 is also sent to a pair of deflection lamps 278, causing the potential of an output line 279 connected to it to be lowered, and thereby causing the potential to be lowered. output conductor of the cathode couplings 280. The result of the voltage changes on the conductors 277 and 281 causes the displacement of the beams of the lamps towards the second column. If the beam is disposed on the twenty-fifth column, the conductors 268, 269 and 270 should be below -I- 10 volts.
It is apparent from the above that the various combined outputs available from the horizontal deflection circuits will provide each increment necessary for the graduated deflection of the beam from one column to the next column. <I> The horizon deflection control circuits </I> <I> tale. </I> - We have seen that the control circuits are necessary to activate the input conductors 265 to 270 going to the horizontal deflection circuits. The. Horizontal deflection circuits are essentially controlled by the Cent ring (Fig. 43).
However, as far as horizontal deflection circuits are concerned, the ring counts from 1 to 25 and then starts again from 1 to 25 until the operation has been repeated four times and the total complement of 100 colon nes have been explored.
Several examples can be given of establishing connections between the Cent ring and the deflection circuit. When the Cent ring has counted fifteen, for example, a conductor (Fig. 43) which receives the output of trigger 254 is under -I- 10 volts. This voltage is sent as an input to a pair. of circuits or 283 and 284. Thus, conductors 268 and 269 are below -f-10 volts, so that a total deflection increment of fifteen units is indicated.
This brings the beams from the cathode ray lamps to the fifteenth column. If the Cent ring were in position twenty-four, for example, conductors 285 and 286 would have the voltage output of -I- 10 volts applied from trigger -f- 20 255 and trigger -I. - 4 288 by the input of the cathodic couplings which are connected to it. These tensions are in turn sent to the circuits. or 290, 291 and 292, thus applying this potential to the output lines of the circuits or 266, 267, 269 and 270.
This would cause the beams to deflect towards the twenty-fourth column.
In connection with the exploration of cathode ray lamps, it is obvious that the Cent ring must indicate, because its output conductor 293 is positive, that the lamp on the left must be at full power when it is exploring the columns 1 to 25, and that its output conductor 294 must be positive when scanning columns 26 to 50, so that the right lamp is at full power.
When scanning columns 51 to 100, a cathode coupling 295 (Fig. 43) will maintain an output conductor 296 below -I- 10 volts, indicating that the beams need to be moved to the lower grids.
<I> Vertical deflection circuits. </I> - The role of the vertical deflection circuits is to constitute a device intended to control the vertical position of the electronic beams of the cathode ray lamps, whereby astigmatism is reduced to a minimum by making the average potential of the plates. deflection identical to that of the last electrode arranged in the electron gun.
The circuits intended to control the vertical deflection of the beams must be provided to force the electron beam to explore a column while advancing rapidly row by row during the process. recording, and temporarily arranging the beam at a level corresponding to a given row during the extraction process.
A circuit must be provided which will deflect the electron beam fifteen units or rows below the first row of the upper grille in positions 1 to 50 (see fig. 2). This is necessary so that the beams can scan columns 51 to 100 after columns 1 to 50 have been scanned.
In other words, there are twelve rows in the first grid and two rows. between the grids, so that the first row of the lower grid is in fact the fifteenth row to which the beam must be deflected in order to initiate the exploration of the lower grid.
The signal pulse which causes the beams to move towards the lower grid is provided by the -Cent ring and is used to control the vertical deflection circuits of FIG. 41.
While the information is stored in the cathode ray lamps, the vertical deflection circuit is placed under the control of the Thirteen ring and the beam is successively moved from column to column in the normal order. The timing pulses from the ring of Thirteen are sent through cable 298 (fig. 38) to a group of twelve circuits or such as 300, for example (fig. 40).
The circuits or of FIG. 40, in fact, represent the positions of index points of a column of the punched card.
During the extraction of information from the cathode ray lamps in the direction of the thyratrons (and therefore in the direction of the perforation electrodes, for example), the vertical deflection circuits are controlled by the ring called the perforation ring 38 ( fig. 1), and the beam explores each row before being drawn from this ring to the next ring.
The adjustment pulses over time from the perforation ring reach the twelve circuits or of fig. 40 through cathodic couplings such as cathodic coupling 301 of FIG. 39, as well as through twelve circuits and associated such as the circuit and 302 (fig. 39). The circuits or of FIG. 40 are connected to associated cathodic couplings such as 303, for example.
In fig. 40 (starting at the bottom of the column of cathodic couplings), cathodic coupling 303 represents perforation 12 in Hollerith code, cathodic coupling 304 represents perforation 11, cathodic coupling 305 represents perforation 0, and so on. through the full order until cathodic coupling 306 represents perforation 9. Only one of these cathodic couplings has a sub -I-10 output at any given time.
The cathode couplings of FIG. 40 are connected to four circuits or to six channels designated by 307, 308, 309 and 310 so that the twelve possible positions of the beam of a column (represented by the cathode couplings) are transposed in a code 1 -2-4-8.
Thus, the 0 pefforation of the Hollerith code represented by an output of -I-- 10 volts from cathode coupling 305 is in fact the third position from the top of a column of the cathode ray lamp, and it will be represented through the outputs of the circuits or six-way in the form 2-1. Perforation 0 would be represented by -I- 10 volts on the output line 311 of cathode coupling 305, which sends its pulse through circuit or 309 and circuit or 310.
In an identical manner, the perforation 9 would be represented in the form 8-1, that is to say by the outputs of the circuits or 307 and 310. The outputs of the four circuits or 307 to 310 of FIG. 40 are connected to the inverters 312, 313, 314 and 315 respectively of FIG. 41. The vertical deflection circuit operates as explained in connection with the description of horizontal deflection circuits.
This description essentially indicated that the inputs of one or more of the conductors 316, 317, 318 and 319 force the inverters 312, 313, 314 and 315, respectively, to actuate the pairs of tubes causing the deflection, incrementally. When the beam is deflected down the column, the two pairs of lamps such as 320 and 321 (fig. 41) or the combinations of other pairs of lamps cause the potential of conductor 322 to rise if the potential of conductor 323 is lowered. The use of two pairs. lamps constitute a push-pull deflection system as explained previously.
The voltage at conductor 322 (Fig. 41) drives a pair of cathode couplings 324, while the voltage at conductor 323 operates a pair of cathode couplings 326. The output of cathode couplings 324 is sent to the deflection plates of the cables. cathode ray lamps through a conductor 328, while the output of the cathode couplings 326 is sent to the cathode ray lamps through a conductor 330.
During recording in or extraction out of cathode ray lamps, the beam should be returned to the lower grid (Fig. 2) when columns 51 to 100 are being scanned. The representation of information on the surfaces of cathode ray lamps has been set so that row 12 of columns 51 to 100 will be fifteen increments below the position of row 12 of columns 1 to 50 .
Therefore, in addition to the pairs of lamps producing a vertical deflection of A1, 02, 04 and 48, the vertical deflection circuit has pairs of lamps 331 and 332 which, when activated, produce an incremental deflection. of 415, or fifteen units. These pairs of lamps are controlled by inverters 333 and 334.
Since the Cent ring controlling the horizontal deflection circuit indicates which columns the beams are in at any one time, the same ring can be used to determine when the beam should be brought down to cover the columns. columns 51 to 100. The description of the Cent ring indicated that the trigger 245 (Fig. 43) is brought to the closed position when it is necessary to explore columns 51 to 100. Therefore, the coupling Cathode 295 produces an output of -I- 10 volts on lead 296 which is connected to inverter 334 (Fig. 41).
The sub -I-- 10 volt input to inverter 334 causes the 015 deflection needed for the beams to cover columns 51 to 100.
<I> Representation of significant data on the </I> <I> grid of a lamp. </I> - If a hole is to be punched in a map, the point on the cathode ray lamp representing the location of the hole will lengthen until it becomes a vertical line. This is done during both the initial recording and regeneration periods. The beam is first brought to a given position by the deflection circuits.
A circuit 333 (fig. 41) for scanning the vertical deflection element, which is the same as that shown in fig. 10, is turned on to force the cathode ray beam to move slightly upward. If a stroke is to be recorded, the appropriate cathode ray lamp is turned to full power during the period of this element scan. However, element scanning circuits 333 are still active and whether or not a point should be recorded depends on whether or not a cathode ray lamp is operating at full power.
The input pulse to element scan circuit 333 is on conductor 334 (Fig. 41) and is sourced from element scan trigger 335 shown in Fig. 47. The operation of the element scanning control circuit will be explained in the detailed description which follows of the point-to-line control circuits.
<I> Point-trait control circuits. </I> - The way in which a character is extracted from magnetic tape, converted into a Holle rith code and sent as a series of pulses occurring in a time-regulated sequence has been described so far. output of the decoding matrix. The manner in which the beams of the cathode ray storage lamps explore their respective grids step by step has also been described with the interrogation of the conversion matrix during recording. It is now necessary to explain how a number of pulses appearing on the conductor 336 (Fig. 37) causes the recording of a line on the surface of the cathode ray lamps.
It can be noted that if there is no need to inscribe a line on the surface of a cathode ray lamp, a point will be recorded there instead.
Suppose the information has been pulled from the tape, sent through the decoding matrix (Figs. 36 and 37), and is now ready to be shopped on the surface of a cathode ray lamp. In fig. 37, the positive pulses coming from the conversion matrix representing the information are applied to the output conductor 336 which opens into the circuit or 364 of FIG. 47. The pulses of 100 kilocycles, coming from the multivibrator 175 (fig. 34) are presented on the conductor 230 of fig. 47. Conductor 230 has extension 338.
The conductor 193 of FIG. 47 is connected in fig. 38 to conductor 191 and is under _30 volts, once the Ring of Thirteen has started to operate. These few conditions are sufficient to explain the operation of the circuits which control the storage of a point or a line in cathode ray lamps.
Because an inverter 340 (Fig. 47) is turned off, its cathode coupling 341 is strongly conductive to drive a circuit or 342, forcing the latter to send a positive voltage to a circuit and 344.
Since the positive voltage sent to the circuit and 344 by the circuit or 342 is present, while an entire column of the cathode ray lamp is being stored, the circuit and 344 is under the control of the one of the cathode couplings. belonging to a pair of cathode couplings 345 or 346.
A single stable position multivibrator 348 is continuously driven by the trim pulses appearing at its input line 350. The leading edge of a positive trim pulse forces the single stable position multivibrator 348 to operate. and sending a positive four microsecond pulse which is inverted by an inverter 351. If no information is received from the conversion matrix. during this pulse regulated in time, a point is inscribed on the ray lamp: cathode.
In this case, the trailing edge of the negative four microsecond pulse from inverter 351 activates a single stable position multivibrator 352. Operation of multivibrator 352 at a single stable position causes the multivibrator to operate at a single stable position. sending to cathodic coupling 345 a positive pulse having a duration of 0.7 microseconds.
This 0.7 microsecond pulse causes conduction of cathodic coupling 345, so that a positive pulse (0.7 microseconds) appears at terminal 4 of the circuit and 344.
Because a positive pulse is present at terminal 5 of the circuit and 344, this circuit outputs a positive pulse and causes conduction of a cathode coupling 352 'which is read connected. The -I-10 volt output voltage from cathode coupling 352 'is applied to terminal 4 of a pair of circuits and 353 and 354 (Fig. 46).
It will be remembered that, if the Hundred Ring is on. to count between 1 and 25 or between 51 and 75, the conductor 293 (fig. 43) which opens into the circuit and 353 (fig. 46) is under -i-- 10 volts. However, if the ring is counting between 26 and 50 or between 76 and 100, the conductor 294 (fig. 43) which leads into the circuit and 354 (fig. 46) is under -I- 10 volts.
Taking the above into account, the positive 0.7 microsecond pulse at the output of the cathodic coupling 352 '(fig. 47) activates either the circuit or 353, or the circuit and 354 (both shown in fig. 46). If the circuit and 353 is put into action, for example, the positive pulse coming from this circuit drives an inverter 356 and puts it into a conduction state, thus switching off an inverter 358 which is connected to it.
This causes a positive pulse to appear at output connector 360. Connector 360 is connected to the left cathode ray lamp control grid; this lamp is therefore at full power for 0.7 microseconds to register a point. If circuit and 354 had been energized, inverters 361 and 362 connected to it would have been influenced to apply a positive pulse to output line 363.
Line 363 is connected to the grid of the right cathode ray lamp, which lamp therefore happens to be operating at full power for 0.7 microseconds.
Fig. 51 is a time adjustment table which shows, among other conditions, the role of the pulses appearing on the control lines of the grid of the cathode ray lamp. If it is necessary to inscribe a line in the cathode ray lamp, a positive impulse is registered in the conductor 336 (fig. 37) and enters a circuit or 364 shown in fig. 47 to induce conduction of an inverter 366 (fig. 46).
The negative output of inverter 366 causes a trigger 367 to transfer such that the left side of it is conductive. (The 367 trigger had previously been returned to the starting position, in which its right side was conductive). Thus, the left side of the trigger <B> 367 </B> being conductive, the output terminal 8 thereof is under high positive potential, which forces the cathodic coupling 368 to be fully conductive. The positive output of cathode coupling 368 gives a positive input to terminal 4 of a circuit and 369.
Keep in mind that this positive input continues as long as the left side of trigger 367 is conductive. The voltage form at terminal 8 of trip unit 367 is shown in the time adjustment table in fig. 51.
The single stable position multivibrator 352 (fig. 47) which when turned on produces a positive 0.7 microsecond pulse at its output terminal 8, causes an inverter 370 to conduction, so that a negative pulse of 0.7 microseconds is applied to a multivibrator with a single stable position <B> 371. </B> The trailing edge of this pulse forces the multivibrator to a single stable position <B> 371 </B> to emit a positive pulse on its output conductor 372 for a period of 3.5 mi croseconds.
The trailing edge of the 3.5 microsecond pulses causes trigger 367 to transfer (Fig. 46) so that the right side of it becomes conductive. However, this 3.5 microsecond pulse causes the conduction of a cathode field neck 373. The output of cathode coupling 373 constitutes the second input of the circuit and 369.
It can thus be seen that the input to the circuit and 369 coming from the cathodic coupling 373 is controlled by the output of the multivibrator at a single stable position 371 (FIG. 47); the other input to the circuit and 369, through cathodic coupling 368, is controlled by the output of trigger 367. The coincidence of these two inputs gives the waveform which, in FIG. 51, is designated as exit 369.
The output of the circuit and 369 is applied to the cathodic coupling 346 (Fig. 13). Since the outputs of the cathode couplings 345 and 346 are connected to constitute the input to the circuit and 344, an input to the cathodic coupling 346 will have the same influence as the circuit and 344 as the output from the cathode coupling 345, as well as 'has been described above.
So if a trait should be inscribed in. cathode ray lamps following a signal coming from the decoding matrix, the type of voltage applied to the control grid will be that shown in fig. 51 and referred to as: CRT grid for trait. This waveform forces the cathode ray lamp to operate at full power for its duration.
<I> Element scan control. </I> - When the cathode ray lamp is being explored during any operation, the electron beam is advanced from position to position as indicated. Once the beam has been brought to a position, cathode coupling 345 (Fig. 47) is actuated for about 0.7 microseconds, so that a line is inscribed. The beam is then moved vertically upwards by element scanning circuits 333 (Fig. 41). The vertical scanning of elements occurs depending on whether or not a line should be inscribed in the lamp.
However, if a dash is to be inscribed, the cathode coupling 346 (347) is actuated such that the lamp operates at full power while the vertical scanning of elements takes place.
In fig. 47, the conductor 338 is connected to the conductor 230 which is supplied with adjustment pulses under 100 kilocycles. These positive pulses drive an inverter 374 (Fig. 47) such that the negative pulses thereof are applied to the element scan trigger 335.
The leading edge of a negative pulse from inverter 374 causes trigger 335 to transfer so that its left side becomes conductive. About four microseconds later, the trailing edge of the inverter pulse 351 causes a 375 stable single position multivibrator to switch on, thereby applying a positive 1 microsecond pulse to the element scan trigger 335.
The trailing edge of this 1 microsecond pulse causes the transfer of the trigger 335 so that it becomes conductive on its right side. The resulting positive output of trigger 335 is applied through its output line 334 to the element scan circuits (Fig. 241). This causes the vertical sweep of elements which is necessary to achieve a stroke.
The element sweep trigger 335 (fig. 47) is returned to the starting position by the following adjustment pulse on its input conductor 230. <I> Control circuit </I> <I> tape drive </I> Provided in the present device is a tape drive control circuit which is arranged to cause the start of the tape drive element described and claimed in the US patent cited above, and this at the appropriate time of the card perforation cycle,
so that the tape drive mechanism has reached its maximum speed by the time the circuits described here are ready to receive the first character of the recording element to be read out.
As previously indicated, the regeneration of the elements disposed on the surface of the cathode ray lamps progresses while the mechanism described here does not effectively use the information in the process of recording data in the lamps. cathode ray or data extraction out of lamps. Therefore, the regeneration circuits of the ray, cathode lamps will begin to operate just before the time when a recording operation begins. A circuit breaker controlled by cam P24 (fig. 3) closes at time 13.6 of the card cycle.
Closing circuit breaker P24 applies a voltage of +40 volts to a conductor 376. Conductor 376 is connected to the left grid of the lockout release. reading 377 (fig. 33). The voltage under + 40 volts to the conductor 376 causes the pull of the lockout trigger 377 so that the left side. of this becomes driver. Cathodic coupling 378 is made fully conduction so that -I-10 volts are applied to inverter 379.
The voltage of + 10 volts applied to inverter 379 causes a negative pulse to be sent to the left side of a tape drive trigger 380, causing the latter to transfer such that its left side becomes driver. The transfer of the trigger 380 applies a positive potential to its output conductor <B> 381 </B> so that a cathodic coupling connected thereto and designated 382 is made fully conductive. Whenever cathode coupling 382 is fully conductive, its output line 383 is taken to -f- 10 volts. This voltage is sent to the control circuits of the ribbon drive element.
When the ribbon drive element receives + 10 volts on line 383, it is energized to drive the ribbon forward. The mechanism by which the tape is driven either forwards, or in the opposite direction, or even stopped, does not constitute part of the invention but constitutes the subject of the American patent cited above and therefore does not need to be described here in more detail. During the period of time in which a recording element is pulled from the tape, the control conductor 383 remains below -f-10 volts.
In. In order to stop the tape feed, through the tape drive extractor / register heads, the voltage below -I- 10 volts must be removed from conductor 383. There are two circumstances in this. which the ribbon drive element is to be stopped.
In the first place, it must be stopped when a recording element of one hundred characters has been extracted, so that this element which has been stored in the lamps, rays, cathode rays can be extracted towards the punching mechanism. This is necessary before the machine is ready to receive a new recording. Second, the tape drive mechanism must be stopped whenever it comes to the end of the tape. The end of the ribbon is indicated by a character which will be given the name of ribbon marker here.
Previously, during the discussion of the decoding matrix, it was indicated that the reception of a registration mark from the tape forces the conversion matrix to bring the cathode coupling 100b to full conduction, so that the conductor 172 which is connected to it will have a voltage of -f- 10 volts applied. Conductor 172 is connected to conductor 385 (Fig. 33) which, in turn, is connected to circuit or 386.
The fact that the conductor 385 is seen applying -I- 10 volts upon reception of a registration mark causes the activation of a circuit or 386 (fig. 33) so that an inverter 387 connected to this will send a negative pulse to a single stable position multivibrator 388. The multivibrator 388 outputs a positive 16 millisecond pulse. The trailing edge of this pulse, applied to trigger 388, causes the trigger to transfer from its right side to its left side.
The result of this transfer is that the output conductor 381 of this trigger receives a reduced positive potential, so that the cathode coupling 382 is switched off. Because the cathodic coupling 382 is not longer conductive, the output conductor 383 receives a potential of -30 volts. As noted above, the fact that conductor 383 is no longer below -I- 10 volts forces the tape drive mechanism control circuits described in the United States Patent cited above at. stop the advancement of the magnetic tape.
The 16 millisecond delay generated in the single stable position multivibrator 388 is necessary to properly position the tape when it has just stopped.
Each time a reel of tape reaches one of its ends, it must contain a tape mark which will be interpreted by the conversion matrix of fig. 36, causing output conductor 174 to rise below -I- 10 volts. Conductor 174 is an input to circuit or 386 (Fig. 33).
It has been pointed out, in connection with the role of a registration mark, that each time the circuit or 386 transmits a pulse the trigger 380 is transferred, so that the tape drive mechanism is forced to interrupt. advancement of the ribbon.
The tape mark signal appearing on conductor 174 is applied to conductor 388 '(Figs. 34 and 54). The voltage under -I-- 10 volts applied to the conductor 388 'indicates the presence of a tape mark and causes the ignition of a thyra- tron 390 (fig. 55),
so that a ribbon marker relay 391 is energized. The fact that the tape marker relay 391 is energized causes a set of its contacts 391a to open so that the puncture mechanism is disabled. The perforator is disabled because the contact 391a is arranged in series with the perforation initiating relay of the perforation mechanism, the perforation initiating relay being placed under the control of the perforation clutch. perforation..
The particular perforation mechanism and its control device do not form part of the present invention and its nature and operation can be examined in the description of the aforementioned patent.
<I> Circuit for preparing the training of the </I> <I> ribbon. </I> - There is provided in the present device a circuit for preparing the tape drive element intended to ensure that the punch will not come into action if the tape drive element is not not, for some reason, ready to advance the magnetic tape.
The tape drive mechanism preparation circuit is made up of a series of switches, engaged which are controlled by operations such as closing the tape drive housings, the presence of tape or reels of tape, the that the tape is unbroken and many other conditions that need not be described here. Suffice it to say that if the tape drive mechanism is ready to send tape, a conductor 392 (fig. 54) is under -I-- 10 volts.
The application of this voltage to the conductor 392 causes the conduction of an inverter network 393 so that a preparation relay 394 is energized. The energization of the preparation relays 394 closes these points 394a so that the tape perforation initiation relay is energized and, consequently, the tape clutch is thus placed in a state of energization. appropriate time.
Rewinding <I> automatic. </I> - Whenever the tape drive mechanism receives a tape mark from the tape, it is necessary to cause the tape drive mechanism to rewind the tape onto its spools. It has been described above, with regard to the role of a tape marker, that the latter forces the thyratron 390 (fig. 54) to turn on, so that the relay 391 is energized. The fact that the tape marker relay 391 is energized causes its contacts 391b to close, so that -I- 40 volts are applied to an automatic rewind line 394.
The automatic rewind line 394 is connected to the tape drive element control mechanism so that whenever this line is below -f- 40 volts, the machine will start the tape drive mechanism. rewinding the ribbon and rewinding the ribbon. Here again, the particular nature and role of the tape rewinding system does not form part of the invention and there is no need to go further as to its nature at this point in time. cription.
<I> Reset circuit </I> zero <I> in case of error. - Cha- </I> that once an error is made by the mechanism described here, the machine is stopped, so that the source of the error can be determined. To condition the circuits so that operations can proceed normally, the triggers and the error checking circuits must be reset. This is achieved by momentarily closing a reset button 395 (fig. 54). The closing of the reset button 395 causes the energization of a reset relay 396, so that its contact 396a opens. Opening contacts 396a causes the extinction of a thyratron 397.
Thyratron 397 is forced to ignite whenever the error checking circuits which will be described later determine the existence of an error and have transmitted a pulse to thyratron 397. Therefore, the thyratron 397, when illuminated, indicates an error exists and must be turned off before the control circuits can continue their normal operation.
<I> Regeneration of elements </I> <I> arranged in cathode ray lamps </I> The elements of information stored on the surface of cathode ray lamps are regenerated by a process, which consists of extracting the information thus stored and causing this information to be reintroduced in the same place. in the lamps. The regeneration process therefore involves the operation of two different circuits. The first of these circuits causes the inscription of a point or a line on the cathode ray lamps, depending on whether a point or a line was initially stored there.
The circuit constitutes part of the point-line control circuit of fig. 46 and 47, which has been described previously with regard to point-to-line control circuits. The second circuit made to operate in the regeneration process consists of certain control elements which control the operation of the deflection circuits, the cyclic operation of the distribution ring and control the start and stop of the regeneration process. . Regeneration control circuits force regeneration to take place at all times except when the information is actually being stored or being removed from the cathode ray lamps.
Regeneration therefore takes place between the extraction and the perforation during the interval between the extraction of any two rows of information from the cathode ray lamps. The dot-to-dash control circuits used during regeneration will be discussed first as much of this circuit has already been described and is familiar to the reader. <I> Point-trait circuits for regeneration. </I> - For the moment, it will be considered that the regeneration control circuits are functioning and that they force the beams of the cathode ray storage lamps of fig. 52 to explore the faces of their respective lamps.
If a beam encounters a line while scanning a particular column, a video signal is produced and is present on one of the receiving anodes 36 (Figs. 1 and 52).
The receiving anodes 36 are connected through a common conductor 401 to the input of the video amplifier shown in FIG. 55. Since the video amplifier is of known construction and operation, it does not need to be described in detail except to say that a video signal representing a line on its line of sight. input 401 causes the appearance of a positive pulse on its output line 402.
It has been pointed out in the discussion of the character blocking control circuits as well as in the description of the dot-dash control circuits that the conductor 235 (fig. 47) is under -30 volts during the operation of. recording. Because this condition (i.e. negative potential) disables a circuit and 403, any signal arriving from the video amplifier on line 402 is prevented from activating the point control circuits. -treatment during recording of information in cathode ray lamps.
However, during the periods when the regeneration of data stored on the surface of the lamps is interrupted, the conductor 235 is positive. During the regeneration periods, the beams sweep the cathode ray lamps so that video pulses are not received by the receiving anodes 36 (Fig. 52). These pulses are amplified by the video amplifier and appear on conductor 402 (FIGS. 56 and 47) in the form of positive pulses.
It has been explained in connection with the dot-dash control circuits that the conductor 193 (Fig. 47) is under -30 volts during the time when the ring of Thirteen is operating. The Ring of Thirteen controls the vertical deflection system during regeneration in precisely the same manner as that existing during the recording operation.
(Regeneration takes place by exploration column by column). The fact that the driver <B> 193 </B> (fig. 47) is below -30 volts will force terminal 3 of the circuit and 344 to be below + 10 volts, since the inverter 340 applies a positive pulse to the circuit and 344 through it. of the cathodic coupling 341 and of the circuit or 342.
At the same time, the leading edge of a timing pulse appearing to driver 350 (through driver 230) forces single stable multivibrator 348 to emit a positive pulse having a length of four microseconds. The trailing edge of the pulse. The single stable position multivibrator forces, through inverter 351, a 404 single stable position multivibrator to send a positive pulse of 0; 6 microseconds to a cathode coupling 405. The output voltage under + 10 volts of the cathodic coupling 405 is applied to a circuit and 406.
A video pulse (representing a line) arriving at conductor 402 is capacitively coupled to amplification and modulation stages 407 and 408 which are identical to the circuits shown in FIG. 26. The positive pulse from inverter 408 is applied to cathodic coupling 410, so that a positive pulse is directed to the second input of the circuit and 406.
The coincidence of. inputs under + 10 volts on the circuit and 406 causes the application of a pulse under + 10 volts as an input to the circuit and 403. The other input of the circuit and 403 is under + 10 volts during the regeneration as well as 'we explained above. The output of circuit and 403 is sent through circuit or 364 and inverter 366 (Fig. 46) to trigger 367, forcing the trigger to transfer its conduction state.
As explained in connection with the description of the dot-dot control circuits, the transfer of the conduction state of the trigger 367 causes a signal to be sent, through the cathodic coupling 368, of the circuit and 369 and from cathodic coupling 346 (Fig. 47), to circuit and 344. Since both inputs to the circuit and 344 are positive, an output signal results which results in cathodic coupling 352. Since the output of the single stable multivibrator 371 caused circuit 369 (Fig. 46) to be started for three.
at five microseconds, the signal appearing at the output of cathode coupling 352 (Fig. 37) will force the appropriate cathode ray lamp to operate at full power so that a line is inscribed. The time adjustment table (fig. 51) can be consulted with regard to the dot-line control circuits of fig. 46 and 47.
<I> Regeneration control circuits. </I> - The regeneration control circuits allow the elements of information placed in the ray, cathode storage lamps to be regenerated, at any time except during the actual storage of a column or extracting a row from. cathode ray lamps. The control circuits must also provide for the return of the exploration beams to the starting point of the grids of the cathode ray lamps when regeneration is interrupted in the middle of a position.
During the regeneration process, the beams of the cathode ray lamps scan column by column as during the recording operation. The ring of Thirteen moves the beam down the column at the frequency of 100 kilocycles. The carry signal of 13 produced at the ring of Thirteen reaches the bottom of the column, forces the ring of Hundred to advance one position, and draws the beam to the next column.
It was previously indicated that the time adjustment pulses at the frequency of 100 kilocycles are sent to the ring of Thirteen from the circuit and 228 (fig. 34) as well as to the inverter 232 via the conductor 182. We can now indicate how the regeneration control circuits operate the circuit and .228 so that the tuning pulses can reach the ring of Thirteen.
Basically, the regeneration control circuits are such that for regeneration to take place a regeneration stop trigger 411 (fig. 33) must have its right driver side. If so, the output from trigger 411 is at high positive voltage, which brings cathodic coupling 412 to its conduction state, after which a positive pulse is sent to circuit or 227 (Fig. 34). Therefore, the circuit and 228, which is supplied by the circuit or 227 is actuated by the 100 kilocycles pulses arriving at the conductor 229 as a second input to the circuit and 228.
This causes a negative pulse to be sent, from the inverter 232, to the ring of Thirteen through the lead 182. Under the conditions described above, the regeneration of the information element continues indefinitely until the regeneration stop trigger 411 again sees its left side made conductive. Regeneration control circuits can now be seen in their relation to storage and extraction operations. <I> Situation prior to the start of the employment </I> <I> shopping. </I> - We will assume that the regeneration of elements. information arranged in the cathode ray lamps is in progress.
The row of the last card was punched at time 9 of the card cycle. Regeneration began and continued until approximately 13.6 card cycle time. We. see in fig. 53 that the circuit breaker P24 closes its contact at time 13.6 of the cycle of the card and thereby applies a voltage of -I- 40 volts to the conductor 376. The conductor 376 is connected to the left grid of the card. 377 extraction release (fig. 33).
If one. refers to fig. 21, on. see that this blocking release is designed to operate under the action of a +40 volt pulse from the circuit breaker. The element has been designed in such a way that the unwanted bounce effects associated with a cam operated circuit breaker are eliminated. The blocking trigger is designed so that a signal below -i-- 40 volts on a particular grid causes the trigger to pull so that the side to which the signal was applied begins to conduct.
The + 40 volts voltage applied by circuit breaker P24 (fig. 53) through conductor 376 to extractor trigger 377 forces the extractor trigger to transfer conduct to its left side. This results in a. positive signal from its output terminal, signal which drives cathodic coupling 378 to the on state, thereby applying + 10 volts to the circuit <B> or D </B> 414.
The output of the cathodic coupling. 378 is also applied to the inverter 379 which constitutes a part of the circuit controlling the tape processing element to force the latter to operate and to advance a length of tape containing a recording element. This circuit has been described in the chapter titled: Ribbon drive control circuit.
The voltage below + 10 volts applied to the circuit or 414 forces the latter to transmit a pulse intended to bring the inverter 415 to the conduction state. The negative output of inverter 415 is applied to the right gate of a trigger 416, forcing that trigger to turn on on its left side. The trigger 416 is considered to have returned to the starting position when its right side is conductive. The transfer of conduction in the trigger 416 causes the application of + 10 volts to a cathodic coupling 417.
The + 10 volt output of the cathodic coupling 417 is applied as an input to the circuit or 418.
As regeneration has progressed during this time, the Ring of Thirteen continues to advance the beams from the cathode ray lamps down the column which is currently being explored. When the ring of Thirteen reaches the end of its count, the The Thirteen carry signal is sent through conductor 192 to circuit and 448 where it is the second input.
The carry signal of 13 on line 192 is also sent through cathodic coupling 238 to the circuit or <B> </B> 239 to force the Hundred Ring to move forward one position. The beams from the cathode ray lamps are now instantly arranged at the top of the next column. The coincidence of positive input signals in circuit and 418 produces an output which will cause an inverter 420 to conduct, thereby producing a negative output signal which is sent to trigger 416, causing that trigger to transfer and cause it to pass. to drive on its right side.
This action causes triggers 416 to emit a negative signal on its terminal 8, which signal is applied to, and forces a regeneration stop trigger 411 to transfer its conduction state to the left side. As explained above, whenever the left side of the regeneration stop trigger 411 is conductive, the adjustment pulses are isolated from the ring of Thirteen so that the regeneration of the image is stored. sine in cathode ray lamps is effectively stopped.
Even if the regeneration has been stopped, the bundles should be brought back to the start of the screens in order to be ready to start a new operation if necessary. The operation described above takes the beam to the top of the particular column which it was exploring. We can imagine that the beam could be on any one of the hundred columns and that it must, therefore, be brought back to the top of the first column.
The negative signal which constitutes the output at terminal 8 of the trigger 416 (fig. 33) and which acted to switch the trigger 411, is also applied as an input to a so-called quick completion trigger 421, and forces this trigger to drive from its left side. As a result, a positive signal is applied to a cathodic coupling 422, which applies its positive output at 10 volts to a circuit or 423, as well as to a cathodic coupling 424.
By switching on the circuit or 423, a cathode field neck 425 is brought into the conductive state to send a voltage of -f- 10 volts to a circuit. <B> </B> and <B> </B> 426. Therefore, the setting pulses of 10 kilocycles on the conductor 228, which constitutes the second input to the circuit and 426, are sent through the latter circuit as well as through the circuit or 2.39 and l 'inverter 240, which applies. negative control pulses to output conductor 241.
This sends the tuning pulses to the Cent ring and forces the Cent ring to quickly complete its count up to one hundred, after which the Cent carry signal (indicating that the Cent ring has reached the hundredth position) arrives on a conductor 426. The positive cent carry signal on conductor 426 (Fig. 33) is applied to an inverter 427, which applies this signal to a dual pull trigger 428. This signal requires that the trigger 428 be brought into the starting position with its driver's right side.
The hundred carry signal is also sent to a circuit and 429 (Fig. 33) and, since its second input is positive, it is conductive and sends a pulse to an inverter 430, so that an output signal negative is sent by the inverter 430 to the trigger 421, causing the transfer of the trigger 421 and conduction on the right side thereof. Since trigger 421 does not pull.
longer now the cathodic coupling 422, the circuit or 423 is not activated and therefore the positive signal is removed from the circuit and 426. Consequently, the setting pulses under 100 kilocycles, are removed from the ring of Cent. The beams of the cathode ray lamps are now placed at the start of their grids.
The negative signal from the cathode coupling 422 is also sent to, and forces the pull-out trigger, double 428 to transfer to the left side. As a result, the positive output of trigger 428 drives cathodic coupling 430 so that the voltage of -f- 10 volts is applied to the circuit and <B> </B> 431. However, the second input to the circuit and 431 at this time is under -30 volts, since a cathode coupling 432 is not, conductive.
The cathodic coupling 432 cannot be conductive, given that it does not receive, pulses from a blocking trigger 433 whose right side is conductive at this time. The operation of the regeneration control circuits under the control of the blocking trigger 433 will be discussed later under the heading Situation prior to the start of extraction.
The above discussion has indicated the steps necessary to stop the regeneration of the information elements arranged in the lamps. with cathode rays when the system is ready to begin the storage operation. The under -! - 10 volts emitted by cathode coupling 378 caused the regeneration to stop, forced the beams of the lamps. cathode ray tubes to return to the start of their grids, and finally forced the tape drive mechanism to start sending a new recording element.
The tape drive mechanism requires about ten milliseconds to achieve sufficient speed before the new recording element reaches under the extraction / recording head. The extraction of a new recording from the tape will now take place, the ring of Thirteen and the ring of Hundred operating in the manner previously described.
At about time 14.8 of the card cycle, a cam-driven P23 circuit breaker (Fig. 53), which is located in the punch mechanism, closes and applies -I- 40 volts to a 432 conductor. which is connected to the extraction release 377 (fig. 33). This action causes the 377 trigger to return to its starting position, in which the right side is conductive, because at that time (time, 14.8 of the card cycle) the 377 trigger has served its purpose.
While the storage operation continues, the regeneration circuits do not come into operation, so that a complete recording element is stored in the cathode ray storage lamps before regeneration. can resume. When the storage operation is complete and the beam has explored the cen tth storage column in the cathode ray lamp, the ring of Thirteen again emits a transfer signal of Thirteen to the conductor 192 (fig. 33). The pulse is sent to circuit or 239 through cathodic coupling 238, causing inverter 240 to conduction.
The negative output signal from inverter 240 is sent to the Cent ring through the input of conductor 241. The negative signal on conductor 241 forces the Cent ring to advance from position 100 to position. position 1, after which a carry signal of Cent <B> </B> is emitted by the ring on conductor 426 (fig. 33).
The positive cent carry signal on conductor 426 is applied to inverter 427, thereby causing this element to conduction. The negative output signal from inverter 427 is applied to the double pull trigger 428, causing conduction to transfer to its right side.
As a result of conduction transfer from trigger 428, a negative signal is transmitted through cathodic coupling 430 to regeneration stop trigger 411, causing trigger 411 to transfer its conduction to its right side. It was previously indicated that each time the regeneration stop trigger 411 is conductive on its right side, the elements arranged on the cathode ray lamps will be regenerated.
Regeneration is now in progress, under the conditions described above, and continues approximately until time 12 of the card cycle, when the punch is ready to cause the extraction and perforation of row 12. perforations of the immediately following card.
<I> Situation prior to the beginning of the ex- </I> <I> traction. </I> - We will assume that the save operation has ended and that the regeneration is in progress. On examination of FIG. 53, it can be seen that at time 12 of the card cycle, a cam-operated circuit breaker P21 (fig. 53) applies a voltage of + 40 volts to a conductor 434. Referring to fig. 33, it can be seen that an impulse on the conductor 434 constitutes an input to the trigger 433 for blocking the perforation.
The voltage under + 40 volts applied to the conductor 434 causes the transfer of the blocking trigger 433, that is to say the attraction of its left side. The conduction transfer in trigger 433 forces the cathodic coupling 432 to conduct and applies + 10 volts to the circuit or, as well as, through the circuit and 431, to a conductor 435. The voltage of + 10 volts existing on the conductor 435 causes the penetration ring to advance. The punch blocking trigger 433 is energized for each digit of the record. Therefore, each time the blocking trigger 433 is energized, the perforation ring advances.
Between the extraction of. rows in the direction of the perforation, the circuits, regeneration are put in. route and regeneration is performed as described above. The operation of the perforation ring will be described below under the heading: Operation of the perforation ring. The voltage under + 10 volts applied to the circuit and 431 cannot cause the start of this circuit, since, at this moment, its other input is under -30 volts.
The voltage under + 10 volts applied to the circuit or 414 is sent to the inverter 415, causing the sending of a negative s, s signal to the trigger 416. The negative signal coming from the inverter 413 causes the transfer of the trigger 416 so that it is conductive on its left side, thus giving a positive output signal which drives the cathodic coupling 417. The output under + 10 volts from the cathodic coupling 417 conditions an input of the circuit 418.
The ring of Thirteen continues its current cycle, forcing the beams from the cathode ray lamps to complete the scan and regenerate the present column, at which point the ring of Thirteen emits a carry signal of 13 on conductor 192. The 13 sub + 10 volt carry signal on conductor 192 is sent to the circuit or <B> </B> 239 (fig. 33) through cathodic coupling 238, forcing a negative impulse, transmitted by conductor 241, to advance the ring of Hundred one position.
The beams from the cathode ray lamps are now arranged instantaneously at the top of the next storage column.
The carry sial of 13, on line 192 is also applied to circuit and 418. Since the other input to circuit and <B> </B> 418 can also be found under. + 10 volts, the circuit and provides an output under + <B> 10 ' </B> volts, forcing inverter 420 to become fully conductive, which in turn sends a negative signal to trigger 416.
The negative signal applied to trigger 416 is forced; This trigger to transfer its conduction to the right side, causing a negative direction output signal to be sent to the regeneration stop trigger 411 as well as to the quick completion trigger 421. The negative signal applied to triggers 411 and 421 causes these triggers to transfer conduction to their respective left sides.
It was previously stated that whenever the regeneration stop trigger 411 is conducting on its left side, the setting pulses under 100 kilocycles are isolated from the Thirteen ring. The fact that the quick completion trigger 421 (Fig. 33) is transferred causes the application of + 10 volts to the cathode couplings. 422 and 424 and, therefore, to circuit and 429 and, directly to circuit or 423. The other input to circuit and 429 is at this time under -30 volts.
The + 10 volt input to the circuit or 423 is sent through this circuit or, through the cathode field neck 425 as well as to the circuit and 426. Therefore, the tuning pulses arrive on line 229, which constitutes the The other input to the circuit and 426, are sent through the circuit and and pass through the circuit or 239 as well as the inverter 240, thus reaching the output conductor 241 as negative tuning pulses.
Negative tuning pulses from line 241 are applied to the ring of Cent, forcing that ring to complete its cycle by counting to a hundred and forcing the beams from the cathode ray lamps to return to the beginning of the grids.
When the Cent ring completes its cycle, it emits a signal under + 10 volts of cent carry over on conductor 426 (Fig. 43). This transfer signal is applied to the inverter 427 (fig. 33), which effectively requires that the double extraction trigger 428 be returned to the starting position; its right side being conductive. The hundred carry signal is also applied to circuit and 429 (Fig. 33), causing inverter 430 to conduction.
(The second input to the circuit and 429 is below + 10 volts, since trigger 421 has its left side conductive.) The negative output signal of inverter 430 causes the transfer of the quick completion trigger 421 so that it is conductive on its left side.
The fact that the quick completion trigger 421 is now driving through its left side causes the application of a lower positive potential to the cathodic coupling 422, resulting in the application of -30 volts. to the dual pull trigger 428 as well as to circuit or 423. Failure of circuit or 423 to actuate cathodic coupling 425 for a longer time results in isolation of the control pulses on line 229, so that . Cent's ring is no longer supplied via exit 421.
The signal in direction. negative from cathodic coupling 422 causes transfer of dual extraction trigger 428, so that it is now conductive on its left side and this causes conduction of coupling: cathode 430. The output of cathodic coupling 430 is located under + 10 volts, and the circuit and 431 emits a pulse and brings its output conductor 436 to this potential. The conductor -436 is connected to the gates of three cathode couplings 437 mounted in parallel (fig. 39).
The voltage under + 10 volts on line 436 forces the cathode couplings 437 to come into action and thus to raise to + 10 volts the potential existing on the conductor 438. The + 10 volts of the conductor 438 are transmitted to the circuit or 423 (fig. . 33), forcing this circuit to transmit the pulse. One of the inputs to the circuit and 431 (fig. 33) is below + 10 volts, since the puncture blocking trigger 433 is conductive on its left side.
As the puncture blocking trigger 433 transfers conduction to its left side, a positive direction signal is output through cathodic coupling 432 to the output conductor 435. This signal is passed to an inverter 439. (Fig. 39) and sent through a conductor 440 to the piercing ring.
Briefly, the presence of this negative impulse on the conductor 440 forces the piercing ring to advance so that the ring trigger 441 is brought into the closed position. Thus, the cathodic coupling 301 is put. in action and a voltage of + 10 volts is applied to the circuit and 302. It was indicated above that, given that the double extraction release 428 (fig. 33) is in the closed position, the conductor 436 is located under + 10 volts.
This potential on the conductor 436 causes the activation of the cathode couplings 437 (fig. 39) so that the second input to the circuit and 302 is below + 10 volts. The entry coincidence on the circuit and 302 causes the starting of the circuit or. 300.
In the part of the description which relates to vertical deflection circuits, it was explained that a potential output below + 10 volts from the circuit or 300 caused the beams of the cathode ray lamps to be placed on the line. twelfth column.
The voltage under + 10 volts applied to the circuit or 423 (fig. 33) forces this element to drive the cathodic coupling 425 with the result that an input to the circuit and 426 is brought to + 10 volts. Therefore, the 100 kilocycles time adjustment pulses appearing on line 229 which is the second input to the circuit and 426 are sent to the Cent ring through the input of output conductor 241.
This action causes the beginning of the extraction of the cathode ray lamps towards the extraction, the. beams exploring row 12 of the grids. Thus, the regeneration was stopped and the extraction operation started.
The Hundred Ring forces the beams to extract all of the one hundred columns in row 12 of the cathode ray lamps, after which a voltage of + <B> 10 </B> volts, representing the hundred carry signal, is applied to conductor 426 (Fig. 43).
This positive direction signal drives the inverter 427 in the conduction state such that a negative output signal is applied to the double pull trigger, forcing this element to transfer so that it is driver on its right side.
As a result, a negative pulse from the dual extraction trigger 428 will turn off the cathode coupling 430 so that a negative direction signal is applied to the regeneration stop trigger 411. The negative signal from the regeneration stop trigger 411 forces this element to transfer, so that it is conductive on its right side.
It was previously stated that each time. that the trigger 411 for stopping the regeneration is conductive on the right side, the regeneration of the information elements arranged in the cathode ray lamps takes place and thus the extraction of row 12 has taken place and that the regeneration of the element has started once more.
About the time <B> 12.5 </B> of the card cycle, cam-controlled circuit breaker P22 (fig. 53) applies -I- 40 volts to a conductor 442 which is connected to the right grid of the perforation blocking trigger 433 (fig. 33). The voltage of -I- 40 volts on the conductor 442 causes the attraction of the trigger 443, that is to say its transfer, so that it is conductive on its right side.
This action returns the perforation blocking trigger 433 to the starting position, so that it is ready to be actuated at time 11 of the card cycle.
At time 11 of the card cycle, the P2L cam operated circuit breaker (fig. 53) again applies -i- 40 volts to conductor 434, forcing the puncture blocking trigger 433 (fig. 33) to transfer. conduction to its left side. This action initiates the operation described above, by which the regeneration is stopped and the row 11 extracted and perforated in the card.
The described operations continue indefinitely until all of the rows have been extracted and perforated on the decay, after which the machine is ready to interrupt the regeneration and begin to store the information from the ribbon in the lamps. . This last operation has been described above under the heading: Situation prior to the start of recording. It is important to note that the regeneration takes place between the extraction of the rows.
<I> Error checking circuits </I> There are three error checking circuits in the system such that any one of these circuits comes into action forcing the punch and the tape drive mechanism to interrupt the feed, respectively. sending cards and ribbon. The verification circuits are respectively the element repeat verification circuit, the record length control and the stroke count control.
The repeat control circuit verifies that the elements coming from the seven tracks of the tape are in odd number. It is therefore possible that two errors or an even number of errors occur, which causes a compensation effect. An example is the total loss of two pieces of information from the tape, so that the actual number of received items is still odd.
In this case, an error would be likely to occur which could not be indicated by the verification circuits by repeating elements.
The function of the record length checking circuit is to determine that the hundredth character which is received from the tape is a record mark. This circuit causes the system to stop if, for example, the tape drive element has started playing a recording element at a point in the middle of the recording.
The stroke count verification circuit forces all of the strokes (representing the punctures to be performed) of a recording element to be sent to a binary trigger during the store operation. During the extract operation, the dashes are sent again to this binary trigger. If the same number of dashes are sent to the binary trigger both during the store operation and during the fetch operation, the trigger is returned to its original state. If the trigger is not in its original state at the end of the extraction operation, an error indication is generated and the mechanisms are stopped.
Here again, it is possible to compensate for the production of errors. It is possible that a trait is lost during storage and extraction, in which case the verification circuits do not indicate the presence (fury error.
<I> Circuits of </I> verification <I> by repetition </I> of elements. - It has been pointed out above, in connection with the description concerning the input from the read element of the tape, that the information elements of the seven element code arrive at the input conductors 148 to 160 ( fig. 35). The information items are temporarily stored in the trigger register comprising the triggers 64, 50a, 52a, 54a, 56a, 58a and 66a (Fig. 35).
Connected to the outputs of these triggers are a group of cathodic couplings including the. output potentials reflect the state of their respective triggers. Conductors 194, <B> 196, </B> 198, 197, 199, 200 and 201 are connected to the outputs of these cathode couplings which are below -I-- 10 volts when the respective triggers are storing information elements.
It should be noted that the recording on the tape is so arranged thereon that an item is recorded or is not recorded in the seventh track (repeat track) of the tape, so that the total number of items making up a single word happens to be an odd number.
The fact that the various pieces of information are stored in the triggers of the register causes the simultaneous sub-f-10 volts of various combinations of the conductors 194 to 201 (fig. 35). Each of the conductors 194 to 201 is connected to the input of a group of circuits and 202 to 208 (fig. 35). The output of these circuits and is connected through cathode couplings <I> 202a, </I> 203a, <I> 204a, </I> 205a, 206a, <i> 207a </I> and 208a to an output conductor. 444. The other input to circuits and 202 to 208 is connected respectively to outputs 12, 11, 0, 1, 2, 3 and 4 of the ring. of Thirteen (Fig. 38).
Consequently, the information arriving simultaneously on the conductors 194 to 201 (in parallel form) arrives at the output conductor 444 (Fig. 35) and occurs there in, series, since the circuits and <I> 202a </I> to 208a are subjected to serial pulses. Therefore, if five pieces of information were present in the seven tracks of the ribbon, five separate pulses appear at the output conductor 444 as the ring of Thirteen cycles during operation. of storage. At the time. 5 (pulse representing 5 in Holle.rith code) the pulse of + 10 volts is applied to the circuit and 445 (fig. 35) by the ring of Thirteen.
The second input to the circuit and 445 is under + 10 volts during the entire storage operation, since this input is constituted by the output of the cathode coupling 226 (fig. 34), transmitted through the intermediary. a connection. 446. Therefore, at time 5 of the ring of Thirteen, a pulse is emitted through the circuit and 445 (Fig. 35) and the cathode coupling 446 which is connected to it to the conductor 444. The role of this last pulse occurring at time 5 is to make even the total number of pulses arriving at conductor 444.
The coincidence of each pulse on conductor 444 is of a trim pulse applied as a second input to a circuit and 447 causes an inverter 448 to fully conduction, so that a negative pulse is applied to a trigger 449, causing the trigger to transfer. Since trigger 449 is connected as a binary trigger, it changes conduction with each pulse received. Consequently, since an even number of pulses acts on the trigger 449, the latter is returned to its original state, that is to say to the state in which its left side is conducting.
In this case, the entry <B> to </B> a cathode coupling 450 is under -30 volts, so that a circuit and 450 connected to it cannot be conductive.
However, to allow a complete understanding of the operation of the repeat verification circuits, we. will assume that an error has occurred, so that at the end of ring of Thirteen time 5, binary trigger 449 is conducting on its right side. Because the output of binary trigger 449 is under high positive potential, cathode coupling 450 is made to conduct, giving an output pulse which constitutes an input to the circuit and 451. At time 6 of the ring of Thirteen, the other entry to the circuit and <B> </B> 451 also happens to be positive.
Owing to the coin- cidence of these two pulses in the circuit and 451, a pulse is transmitted through the circuit and to a circuit or 452, through this circuit and through a circuit or 453, applying thus a voltage of + 10 volts at lead 454. The fact that lead 454 is positive indicates that an error has been detected. The circuit or 453 is connected by the input of the conductor 454 to the thyratron 397 (fig. 54).
The voltage of + 10 volts existing on the conductor 454 brings the screen grid of the thyratron 397 to a point where this element turns on, causing the energization of a relay, d.'error 455 (fig. 54). A set of contacts 455a are activated by error relay 455, causing ignition. of an error lamp 456 and also causing the interruption of the circuit of the perforation motor (not shown).
<I> Record length verification circuits- </I> <I> lying. </I> - As noted previously, the record length check circuits causing error relay 455 (fig. 54) to be energized if the hundredth character received from the tape is not point a registration mark. This circuit must then use the hundredth position of the Cent ring and the output signal of the decoding matrix which represents a registration mark. A one-channel and four-way 458 input coincidence (Fig. 43) occurs during the hundredth count of the Hundred ring.
At this time, the beams of the ray lamps. cathodes are found on the hundredth column. An input to the circuit and 458 is below + 10 volts when the 245 trigger is conducting on its right side. This happens when the ring is located between. 51 and 100. A second input to the circuit and 458 is below + 10 volts when the trigger 244 is conducting on its right side.
Trigger 244 is conductive on its right side when the ring is between 26 and 50 or between 76 and 100. Since it is necessary to get an indication of when the ring is in its hundredth position, the interest is concentrated on its positions 67 to 100. The circuit and 458 will have two inputs energized when the Hundred ring is located between 76 and 100. The third input to the circuit and 458 will be under + 10 volts when the trigger 255 will be conducting on its right side. This occurs when the ring is located between 20 and 25, 45 and 50, 70 and 75 and between 75 and 100. The interest is therefore focused on positions 95 to 100.
The fourth input to the circuit and 458 is under + 10 volts whenever the fifth trigger of group 242, i.e. trigger 247, is conducting on its right side. Since this occurs on all five pulses, this situation will occur when the cent ring is over 100. It is therefore evident that a coincidence of the four inputs to the circuit and 458 will occur when the ring arrives. on its hundredth position.
The coincidence of the four inputs to the circuit and 458 forces its cathodic coupling 460 to be driven to full conduction, after which an output pulse appears on conductor 461. This output pulse, which is below -f- 10 volts, is sent to a circuit and 462 (fig. 34), as well as to a circuit or 463 (fig. 34).
In the part of the description dealing with the trigger storage register, it has been pointed out that the arrival of a registration mark (indicating that the end of a 100 word registration element has been received from the ribbon) causes the cathode neck neck 100b to conduction (fig. 36), so that a positive pulse appears on the conductor 172. The conductor 172 is connected so as to constitute the second input to the circuit and 462 as well. an input to the circuit or 463 (fig. 34).
When a positive voltage is present on both conductor 172 and conductor 461 of FIG. 34, the circuit and 462 transmits a pulse intended to drive the inverter 464 such that the cathode coupling 465 connected to it transmits -30 volts to a circuit and 466.
Since the output of the cathode coupling 465 is below -30 volts, no pulse is transmitted through the circuit and 466. It is thus seen that if the two conductors 172 and 461 are under -1-10 volts, the circuit and 466 is not a conductor. At the same time, the voltage under -I- 10 volts existing on the conductor 461 or 172 forces the circuit or 463 to make positive an input to a circuit and 467.
At time 7 of the ring of Thirteen, the second input to the circuit and 467 is brought to -f, 10 volts so that the cathode coupling 468 connected to it is conductive, after which the second input to the circuit and 466 is brought to -f- 10 volts. However, circuit and 466 cannot transmit a pulse, since its other input, through cathodic coupling 465, is below -30 volts as noted in the previous paragraph.
We will now consider the case where only one of the conductors 172 or 461 is below -1-10 volts. As explained above, if either of these conductors is below -i-10 volts, terminal 3 of the circuit and 466 will be below -f- 10 volts during time 7 of l. thirteen ring.
Since the circuit and 462 receives only one input, it will not be able to operate and the inverter 464 will remain off. Having inverter 464 turned off forces cathodic coupling 465 to be fully conductive, so that the output from cathodic coupling 465 applies -t- 10 volts to circuit and 466.
Therefore, at time 7 of the ring of Thirteen, both inputs to the circuit and 466 are below -i- 10 volts, so that a pulse is passed to circuit or 452. The output of circuit or 452 is passed. through the circuit or 453, with the result that the output lead 454 is brought to -f-10 volts, thus indicating that an error has occurred.
Voltage. under -I-- 10 volts to the driver 454 forces the thyratron 397 to light up (fig. 54), so that the error relay 455 is energized, causing the machine to stop as well as 'explained above.
The recording length checking circuit of FIG. 34 is in fact a circuit or exclusive, in that either of the input conductors 172 or 461 considered per se will force an output to occur, while the presence of neither Either or both will disable the circuit from functioning. The pulse 7 from the ring of Thirteen is simply a specific time during which the system must be interrogated for the presence of an error.
<I> Circuit for checking the number of lines. - </I> As previously indicated, the circuit for checking the number of lines comprises a binary trigger in which all of the lines representing perforations to be made in the card are introduced during storage in the card. the cathode ray lamps and again during the extraction towards the perforator. If, at the end of an extraction operation, the binary trigger has been reset to its initial state, it can be assumed that the same number of strokes has been extracted from the cathode ray lamps as recorded there. However, this circuit is subject to compensation errors, as noted above.
It has been pointed out above, in connection with the description of the character blocking control circuits, that during the store operation the store trigger 225 (Fig. 34) is conductive on its left side. This fact causes the cathode coupling 226 to fully conduction so that terminal 4 of a circuit or 470 is below -f-10 volts. This in turn transmits a positive pulse as an input to a circuit and,> 471.
As pointed out in the part of the description relating to the regeneration of the elements placed in the cathode ray lamps, the trigger 367 (fig. 46) is conductive on its left side whenever a line must be inscribed in, or each time, a line must be extracted from cathode ray lamps. Whenever the left side of trigger 367 is conductive, cathode coupling 368 is fully conductive, such that output line 472 is applied to -I- 10 volts.
The voltage under -; - 10 volts on line 472 (whenever a dash occurs) is the second input to the circuit and 471 (fig. 34).
The coincidence of positive inputs to the circuit and 471 forces this circuit to transmit a pulse which causes a conduction. inverter 474. The negative direction signal from inverter 474 causes a bi-black trigger 475 to transfer to its opposite state. Binary trigger 475 changes conduction state upon receipt of each pulse representative of a stroke. Therefore, every stroke occurring during the store operation is sent to binary trigger 475.
The description of the regeneration circuits has shown that, during the extraction operation, the two inputs to the circuit and 431 (fig. 33) are below + 10 volts, so that the output conductor 436 and, therefore, conductor 438, through cathodic coupling group 437 (Fig. 39), are positive. Conductor 438 is an entry to. circuit or 470 (fig. 34), so that this element is also actuated during the operation, extraction.
It is therefore evident that the lines appearing during the extraction are also sent to the binary trigger 475.
If the binary trigger 475 is returned to its original state where the right side is conductive, a cathode field neck 477 connected to it transmits a negative pulse to a circuit and 478. However, if an error has been detected, the binary trigger 475 conducts on the left side, which forces cathodic coupling 477 to apply + 10 volts. at the entrance to the circuit and 476.
After the extraction operation has been performed and the moment the ribbon is started again, the ribbon drive trigger 380 (Fig. 33) changes state, after which the cathodic coupling 382 operates. such that a voltage of + 10 volts is applied to an output 479. This positive direction pulse is capacitively coupled to a cathodic coupling 480 (fig. 34) thereby making the cathodic coupling 480 fully conductive. . Since the output of the cathode range neck 480 is below + 10 volts, the second input to the circuit and 478 is positive.
If an error had occurred, circuit terminal 4 and 478 would be below + 10 volts. In this case, the circuit and 478 would pass a pulse through the circuit or 455, so that the output conductor 454 would be given a positive pulse indicative of an error. Conductor 454 (fig. 34) is connected to the control grid of thyratron 397 (fig. 54), so that the thyratron is forced to turn on and, therefore, energize the error relay 455. The energization of the error relay 455 causes the stop of the machine as explained above.
<I> Summary of the storage operation </I> A brief summary of the operations involved in extracting information from the magnetic tape and storing it on the surface of cathode ray lamps can be used to establish the relation of functions according to a time base.
It should be remembered that the operation of the conversion system described here includes stopping the regeneration operation, starting up the tape drive element, reading out a recording element and the storage of this recording element in them. cathode ray lamps, stopping the tape drive mechanism, and finally extracting the information stored in the cathode ray lamps in the direction of the card punch, where the information is punched in the cards following the Hollerith code.
Approximately at the time. 13.6 of the card cycle, cam-operated circuit breaker P24 (fig. 53) applies +10 volts to conductor 376, so that read trigger 377 (fig. 33) is transferred and becomes conductive on its left side.
The fact that the read trigger 377 is conductive on its: left side forces the tape drive trigger 380 to go into the closed position, so that the tape drive element begins to send the tape carrying the tape. recordings through the extraction / recording heads. At the same time, the trigger 416 (fig. 33) is brought into the closed position,
so that the arrival of the carry signal of 13 from the ring of Thirteen causes the conduction of the regeneration stop trigger 411 to pass to the left side. This action disconnects the adjustment pulses from the Thirteen ring and, at the same time, causes the change to. closed position of the trigger 421 of rapid completion (Fig. 33), so that the pulses. of adjustment are sent to the ring of Cent, forcing that element to complete its count to one hundred, after which the beams of the cathode ray lamps are returned to the beginning of their grids.
The -100 carry signal received from the Cent ring at the time the count is complete, forces the fast completion trigger 42.1 to disconnect the setting pulses from the Cent ring. About ten milliseconds after the ribbon drive element starts sending ribbon, it has reached full speed and the first word from the recording element arrives at inputs 48, 50, 52, 54, 56 , 58 and 60 (fig. 35). The word received from these inputs is stored in triggers, register 64, and so on.
The state of these register triggers is interpreted by a set of cathode couplings connected to them. The cathode couplings send signals to the decoding matrix (Figs. 36 and 37), so that this matrix can convert the word, received in binary code, into Hollerith code. The voltages, representing the words that are sent to the decoding matrix, are also sent. to a set of cathodic couplings 209 and 215 (fig. 35).
The fact that any one of the seven elements of the word has been received makes one of the couplings, cathodes 209 to 215 fully conductive, so that the common output conductor 216 is brought to + 10 volts. The direction signal. positive appearing at output lead 216 is delayed for fifty to sixty microseconds before being applied to trigger 218 (Fig. 34). Applying this signal to trigger 218 forces the next second adjustment pulse appearing on input conductor 222 to move the store trigger 225 to the closed position.
The fact that the storage trigger 225 is in the closed position causes the circuit and 228 to be switched on (fig. 34), so that the adjustment pulses can be sent to the ring of Thirteen through the output conductor. 182. The ring of Thirteen is now ready to perform a complete cycle during which it advances the beams from the cathode ray lamps at the bottom of the first column and at the same time interrogates the conversion matrix,
so that the word sent to the conversion matrix appears as a series of time-spaced pulses on conductor 336 (Fig. 37). If a pulse appears on conductor 336, it is desirable to store this pulse as a trait in cathode ray lamps so that at a later time this trait can be used to control perforation in the cathode ray lamps. a map.
* A pulse appearing on conductor 336 is sent to circuit or 364 (fig. 47). The fact that the thirteen ring is operating allows conductor 193 (Fig. 47) to be below -30 volts so that the circuit and 344 can be started. The single stable position multivibrator 348 is actuated by the timing pulses appearing on the input conductor 350.
Operation of the 348 single stable position multivibrator causes a pulse to be sent to the circuit and <B> </B> 369 (fig. 46) through the inverter 351 of the multivibrator 352 to a single stable position,. Of the inverter 370, of the multivibrator 371 to a single stable position (which are all shown, on Fig. 47) and cathode coupling 373 (Fig. 46).
The pulse appearing on line 336 (fig. 47) causes the activation of the circuit or 364 and the inverter 366 (fig. 46) so that the trigger 367 is transferred.
The transfer of trigger 367 applies -h- 10 volts which constitutes an input to the circuit and <B> </B> 369 so that the output of this circuit and, whose other input is also positive, forces the cathode coupling 346 (fig. 47) to drive the circuits and 353 (fig. 46) and 354.
Depending on whether the information is to be stored in the first or in the second cathode ray lamp, the conductors 360 to 363 (fig. 36) are brought to a high positive potential. The fact that either of the conductors 360 or 363 is under high positive potential forces the control grid of the right or left cathode ray lamp to operate at full power. The appropriate cathode ray lamp operates at full power for the duration of the vertical element scan.
The beams of the cathode ray lamps mark a point on each position representative of an index point of a punch card as they sweep the respective columns. Each time the beam is disposed at a particular position on the grid, a slight vertical sweep voltage is applied to the vertical deflection plates so that when the lamp is operating at full power a line is inscribed.
Therefore, whenever it is desired to inscribe a line, the appropriate cathode ray lamp must operate at full power.
It is seen in fig. 47 that operation of multivibrator 348 at a single stable position causes a signal to be sent to trigger 335 which, in turn, applies a high positive potential to its output conductor 334. The potential on conductor 334 causes the activation of circuit 333 (fig. 41) for deflecting the scanning of elements. Circuit 333 supplies a slight deflection voltage necessary for writing a line. It should be remembered that the ring of Thirteen is responsible for the operation of the vertical deflection circuits.
The Cent ring is responsible for the operation of the horizontal deflection circuits. The Ring of Thirteen is also used to cause the appropriate time deflection error deflection circuits to operate. At time 6 of the ring of Thirteen, the repeat check circuit is interrogated to see if the number of elements which represent the received character was odd or even. If the number of elements received is even, the binary trigger 475 (fig. 34) is not reset to its initial state, so that the error relay 455 (fig. 54) is energized.
Since the. elements representative of the word arrive in parallel, it does not matter when the ring of Thirteen establishes the verification by repeat. The ring of Thirteen causes, at the end of its cycle, the rise of the conductor 191 (Fig. 38) to -I- 10 volts. This voltage, representing the carry signal of Thirteen, forces the inverter 82 (FIG. 35) to reset the triggers of the register to zero so that the next character can be received.
The carry signal of 13 appearing on conductor 191 is also sent to conductor 192 (Fig. 33). The carry signal of 13 on the conductor 192 causes the start of the circuit or 239 so that a single pulse is sent to the ring of Cent, causing the ring to advance one position,
so that the cathode ray lamp beams are moved to the next column. The carry signal of thirteen appearing on the conductor 192 is applied to the storage trigger 225 (fig. 34) by the input of the inverter 235 (fig. 33), causing the open position of the trigger 225. It will be remembered that, since the storage trigger 225 has its right conductive side, it will isolate the trim pulses appearing on line 229 from the ring of Thirteen.
The Thirteen carry signal is also applied to conductor 193 (Fig. 47) to send -30 volts to cathodic coupling 341, so that the circuit <or 342 does not work any longer. This in fact makes it impossible for the dot-dot control circuits to cause the writing of a dot in the cathode ray lamps when the Thirteen ring is not working.
So far, regeneration has been halted, Ribbon drive has been initiated, and the first word of a one hundred word recording element has been read and stored in the cathode ray lamps of the system. conversion.
The second word is now received on inputs 48, and so on, (fig. 35). This word is stored in the register triggers, and voltages representative of the word are sent to the cathode couplings 209 to 215 (fig. 35) as before. The output of these cathode couplings forces the character blocking circuits to provide a delay of fifty to sixty microseconds, after which the read trigger 225 (Fig. 34) is moved to the closed position.
Therefore, the tuning pulses appearing on the conductor 229 are sent through the circuit <and 228 (fig. 34) and from the inverter 232 to the conductor of the feed line 182 of the ring of 13. The process of recording and storing the second character is now repeated from the manner described above. The recording process is repeated for each word until all of the 100 words written in the recording element of the tape have been stored in the: lamps, cathode ray. When the hundredth word is taken from the tape, it should be checked to see that this character constitutes a registration mark.
Reception of a registration mark by the decoding matrix causes coupling 100b (Fig. 36) to conduction, so that registration mark conductor 172 sees its voltage rise to -10 volts. The fact that the conductor 172 is under -10 volts causes the recording length checking circuit to be activated when the Cent ring reaches its hundredth position, if an error has been detected. It was previously indicated that line 461 (fig. 34) is below + 10 volts when the ring of 100 arrives at its hundredth position.
The record length check circuit is essentially a, or circuit. exclusive. If either entry at line 172 representing a record mark or the entry at line 461 representing the hundredth column is present by itself, the record length check circuit (Fig. . 34) delivers an output potential. However, if both inputs are present or if both inputs are absent, the record length checking circuit does not produce an output.
Assuming that the record mark character did not appear in the hundredth column, the circuit and <B> </B> 466 (fig. 34) is, under these conditions, put into action so that the circuits or 452 and 453 are conductors of a pulse on the output line 454, so that the thyratron 397 energizes error relay 455. As previously noted, each time error relay 455 is energized, the card-punching mechanism control clutch is de-energized.
When the ring of 100 has completed its count, a carry signal of 100 is received on line 426 (Fig. 33) and this signal drives inverter 427 to full conduction, so a negative direction signal is applied to dual pullout trigger 428, forcing that trigger to become conductive on its right side. As a result of the transfer of the trigger 428, a negative direction signal is sent to the regeneration stop trigger 411 through the cathode coupling 430.
A signal applied to the regeneration stop trigger 411 forces the latter to change state, so that it becomes conductive on its right side. As indicated above, each time the regeneration stop trigger 411 is conducting on its right side, the regeneration of the information elements arranged on the surface of the cathode ray lamps takes place.
A complete recording of one hundred words has now been extracted from the magnetic tape and stored in the cathode ray lamps. Upon completion of the reading of the 100-word record, the regeneration process was started again. Regeneration continues until the time of the card cycle when the punch is ready to start punching row 12 of card punches.
<I> Operation of the punch ring </I> The perforation ring constitutes a step-by-step control device of the deflection circuits of the cathode ray storage lamps during the time when the word stored in the lamps is extracted in the direction of the perforator. Since the card is punched in the order arranged by row, the extraction of the cathode ray lamps must be carried out in the same order.
The bundles of the tubes must be held in a particular row until a control signal is given which causes an advance to the next row. The perforation ring is controlled by the perforator and is only in action during the perforation part of the machine cycle.
An impulse coming from the punch causes the stop of the regeneration of the information elements arranged in the lamps and the return of the beams to the beginning of the grids. The perforation ring is then advanced to position 12 (corresponding to the perforation 12 of a card) and the adjustment pulses under 100 kilocycles are sent to the cent ring, which causes the extraction of the row of 12 cathode ray lamps and its perforation in the cards. The carryover signal of 100 which occurs at the end of the hundred columns in row 12 restarts the regeneration of the data stored in the cathode ray lamps.
At the same time, the perforation ring is disconnected from the vertical deflection circuits. Regeneration then continues until the punch has come to time 11 of the card cycle, after which regeneration is interrupted and the eleventh row extracted.
It will be assumed that the information elements disposed on the surface of the cathode ray lamps are being regenerated, and that the regeneration of the stored data is about to be stopped.
At approximately time 12 of the card cycle, the cam-operated circuit breaker P21 (fig. 53) applies -f- 40 volts, to conductor 434, which causes the pull of the release 433 to block the circuit board. perforation (fig. 33), so that it becomes conductive on its left side. Therefore, the cathodic coupling 432 is made fully conduction so that a pulse is applied to the circuit or <B> </B> 414 as well as at the circuit and <B> </B> 431.
The sub-10 volts voltage applied to circuit or 414 forces inverter 415 to send a negative direction signal to trigger 416, thereby returning conduction to the left side of the trigger. Therefore, the cathodic coupling 417 becomes fully conductive so that the output thereof, coinciding with the next 13 carry signal, forces the circuit and 418 to become conductive and drives the inverter 420 which , in turn, causes the conduction of trigger 416 to return to its right side.
The action of trigger 416 causes conduction to transfer to the left side of regeneration stop trigger 411 and rapid completion trigger 421. As previously indicated, when the left side of the regeneration stop trigger 411 is conducting, the adjustment pulses are isolated from the ring of 13.
Since the quick completion trigger 421 has changed state, the cathode coupling 422 transmits a pulse. of -I- 10 volts through the circuit or 423 and the neck cathode range 425 towards the circuit and 426. As a result, the adjustment pulses on line 229, which line constitutes the second input to the circuit and 426 are applied through circuit and 426, circuit or 239, inverter 240 and line 241 to the ring of 100.
The Cent ring completes its count to 100 (returning the beams from the cathode ray lamps to the beginning of their respective grids), after which a carry signal of <B> 100 </B> is emitted on conductor 426 (fig. 33). The carry signal of 100 forces the circuit and 429 to drive the inverter 430 so that the quick completion trigger 421 again transfers the conduct to its right side.
The change in the state of the quick completion trigger 421 forces the cathode array neck 422 to send a negative direction signal to the dual extraction trigger 428, forcing this element to change its state and become conductive on its left side. . Since cathode coupling 422 is no longer conductive, the adjustment pulses are moved away from the Cent ring.
Due to the fact that the dual-pull trigger 428 is conductive on its left side, the cathode coupling 430 raises an input to the circuit to -i- 10 volts. <and 431. Recall that the puncture blocking trigger 433 is conductive on the left side so that the cathode coupling 432 is fully conductive, giving an output on line 435, which is the second input to the circuit and <B> </B> 431. As a result, the circuit and 431 is put into action. It will conduct a pulse so that its output lead 436 (through cathode coupling group 437) will give a positive input to the circuit and 423 (fig. 33).
The voltage of -I- 10 volts applied to the circuit or 423 conditions the circuit and 426 to allow the trim pulses appearing on the conductor 229 to be sent to the Cent ring. The. Tuning pulses force the beams of the cathode ray lamps to scan the twelfth row and thereby extract the information stored in that row.
The voltage of -f- 10 volts on the conductor 435 (which constitutes the output of the cathode coupling 432, fig. 33) is applied to the inverter 439 (fig. 39), causing the application of a direction signal. negative to the puncture ring through conductor 440. Each negative steering pulse received on conductor 440 causes the ring to advance one position.
The first pulse received forces the 9-position trigger 480 to move to the open position and the 12-position trigger 441 to the closed position. The perforation ring is one. closed ring with twelve positions in accordance with the aforementioned patent. The ring is arranged to represent the twelve rows of perforations on a card. The outputs of the different triggers are connected to cathodic couplings, such as 301, which are connected to circuits and such as 302.
One entry from each. circuits and, such as 302, comes from, cathode couplings 301, for example, while the other input of all circuits. and is formed by a common power input from lead 481. Pulses appearing on lead 481 are sent through cathodic coupling 437.
The inputs of the cathode couplings of this group come from line 436 which is below + 10 volts because the circuit and 431 (fig. 31) has been made conductive as described above.
Circuits and such as 301 (Fig. 39) require the perforator to be aware of performing a perforation operation in order for the voltage from the perforation ring to pass through the vertical deflection circuits. It may be advisable to point out that circuits or such as 300 (fig. 40), for example, allow the vertical deflection circuits to be driven either by the perforation ring or by the thirteen ring. The operation of these rings never coincides at any point in the operating cycle.
The vertical deflection circuits are now controlled by the perforation ring in the same manner as they had been controlled by the Thirteen ring in the part of the description which more particularly concerned the vertical deflection circuits.
At the end of the extraction of all the hundred columns of the twelfth row, the Cent ring emits a Cent carry signal on line 426 (fig. 33), which signal is inverted by inverter 427 and causes the transfer of the double extraction trigger 428 so that the latter becomes conductive on its sound. right side. Therefore, an output of the cathodic coupling 430 is below -30 volts, which, through the circuit and 431, pushes the voltage under + 10 volts away from the conductor 436 and also sends a negative direction pulse to the trigger. 411 stop regeneration.
As a result, conductor 436 is now under -30 volts and the piercing ring (Fig. 39) is disconnected from the vertical deflection circuits because circuits and such as 302, for example, ( fig. 39) are now unfit for conduction. The negative direction signal sent to the trigger 411 for stopping regeneration (fig. 33) through the cathode coupling 430, causes the transfer of the trigger so that it is conductive on its right side, after whereby the regeneration of the information elements arranged in the cathode ray lamps is initiated once more.
At approximately time 12.5 of the card cycle, the cam-controlled circuit breaker P22 (fig. 53) applies + 40 volts to the conductor 442, which causes the reset to the starting position of the trigger. perforation lock 433 (fig. 33), position in which its right side is conductive.
At time 11 of the card cycle, the cam controlled by circuit breaker P21 (fig. 53) again applies + 40 volts to conductor 434, after which the perforation blocking trigger 433 (fig. 33) changes to new state and the entire operation described above is repeated.
<I> Thyratron control circuit </I> <I> of </I> appliances <I> perforation </I> The system has one hundred thyratrons (fig. 44 and 45) which can be connected to the drilling machines through the wiring of the control panel in a known manner. If a particular thyratron is forced to light up,
the perforation electro to which it is connected is energized. The thyratron control circuits of the perforation electrodes are designed to condition the ethyratrons sequentially and force the latter to turn on according to the presence or absence of data sent to them.
It was previously indicated that the extraction of the information stored in the cathode ray lamps is carried out row by row because the cards must be punched in this order in the punching mechanism.
During the extraction process, conductor 484 (fig. 47) is below + 10 volts, which forces the circuit or 342 to transmit a pulse. A potential on lead 448 allows the dot-dash control circuit to be activated. during extraction, while the potential on the conductor 193 (fig. 47) allows this circuit to be activated. during the regeneration periods.
The operation of the dot-to-line control circuit during storage is identical to its operation during extraction with the difference with the exceptions noted above.
<I> Extraction towards thyratrons. </I> - Figs. 44 and 45 are made up of more than 100 thyra- trons, the outputs of which can be connected through wiring from a control panel to the punching machines located in the punching mechanism, as indicated above.
The thyratrons are controlled by the output of several circuits and of which the double input constitutes the output of the Hundred ring and the output of the point-line control circuits. An input of each of the circuits and such as 486, for example, (fig. 44) is connected to the Cent ring in such a way that these inputs are found excited in a sequence corresponding to the sequential position of the beams of the lamps. . cathode ray:
The other grid of. circuits. to thyratrons is connected through another set of circuits and to the dot-trait control circuit device, so that, if a trait is encountered during extraction, a particular thyratron is excited, causing perforation. a hole in the card.
During extraction, a positive pulse appears on line 488 (fig. 46) following the video signal. appearing on line 402 (fig. 47), signal which represents a line. The pulse on conductor 488 forms one input of one circuit and 490. The other input of circuit and 490 is connected through a conductor 491 to conductor 484 (Fig. 47), which is located under + 10 volts during extraction, as explained above.
These two positive pulses on the circuit and 490 result in the modulation circuits 492 and 493 being energized so that a cathodic coupling 494 is forced to be conductive and thus produce an output of + 10 volts to its conductor. output 496. The presence of a potential of + 10 volts on the conductor 496 is indicative of the fact that a line was present in the position of the cathode ray lamp: during extraction.
This pulse is used to ignite the thyratron, corresponding to the position from which the stroke was extracted.
During the extraction time, the cathode ray lamp beams explore one hundred columns in a given row before moving on to the next column. It is then necessary that the thyratrons. which actuate the perforation electrodes are energized in the same sequence as that with which the exploration is carried out. Therefore, the Cent ring which controls horizontal deflection of lamps, cathode ray circuits must also control an input of each circuit and thyratron.
As the beams of the cathode ray lamps sequentially cover columns 1 to 100, the inputs of the circuits and <B> </B> thyratrons must be packed at the same time and in the same order.
Thus, if the beam of the cathode ray lamp is momentarily on the thirtieth column, one input of the thyratron circuit is excited by the Hundred ring and the other input is excited by the control circuits. dot-line in the case where a line is present. in the spot being explored on the surface of ray or cathode lamps.
Cable 498 (fig. 44 and 45) connects the Cent ring to the group of circuits and 486, for example, (fig. 44) which are in turn connected to form an input of a group of circuits and to thyratrons. For example, the circuit and 486 (fig. 44) is found put. in action if the Cent ring is in position 1 and if the ring trigger 250 (fig. 43) has not been activated. Remember that the hundred ring counts from 1 to 25 and then starts counting again.
Further guidance is given as to the position of the ring, such as that it sits below 5, below 10, under 15, below 20. or below 25, and it is in. the range 1 to 25, in the range 1 to 50, in the range 26 to 50, in the range 51 to 75 or in the range 76 to 100.
Thus, if the ring is at 16, the circuit and 500 (fig. 45) is put into action to indicate the position. 16, position 41, position. 66 and position 91. As a result, the output conductor 501 is below -I- 10 volts, energizing one input of the four thyratrons, connected to the conductor 501. The other input of one of the four thyratrons is conditioned according to that of circuits and 502, 503, 504 or 505 (fig. 46) which is put into action.
If the ring is on 1, the. inputs 1 to 25 and 1 to 50 to circuits and 502 are under + 10 volts; however, if a dash occurs, conductor 496 is below + 10 volts, so circuit and 502 is conductive and causes cathode couplings 506 to conduction.
A potential of + 10 volts is therefore applied to the conductor 507, which, referring to FIG. 44, causes the ignition of thyra- tron 508, since its two inputs are under + 10 volts, This gives rise to the impulse which will excite the perforation electro connected to this particular thyratron through flying lead inserted into socket 509, for example.
In an identical way, a coincidence of impulses. input to circuits and 503 (fig. 46) forces conductor 510 to be below + 10 volts, which will cause thyratron 511 (fig. 44) to ignite and a hole punched in. the twenty-sixth column of the map through the jumper wire disposed in socket 512. Essentially, the entries of a cable 513 (fig. 46) indicating in which grids the active beam of the cathode ray lamp is located .
The entries to the cable 498 indicate in which of the twenty-five columns of a particular grid the active beam is located. It is evident that the location of the Hundred Ring - and therefore the beam of the cathode ray lamps - is indicated by the voltages on the cables 498 and 513, whereas the fact that a dot or a line is present is indicated by the voltage. on line 496.
In. using this information, the thyratron control circuits of FIGS. 44 and 45 select and light the appropriate thyratron and therefore cause a hole to be punched in the desired index point position of a card.
The invention which is the subject of the present application has been described in its application to a device for punching perforated cards. The important consideration, however, is that the appliances. control of the breeder are pulsed at the end of the operation of the system. These electrodes are substantially the same whether they are used to control a reproductive perforator as has been described in particular here, or whether they constitute them. control elements of a printer or typewriter tabulator.
This is the reason why appliances can be referred to as appliances. of reproductive control in. This means that they can control the reproduction of the processed data, by perforation or by printing. Each of the reproduction devices mentioned; here is driven by electric current, in a manner known in the art and therefore comprises shafts driven by energy and arranged to drive the necessary cams for controlling the contacts. intended to ensure the adjustment over time of the system.