Machine pour dispenser des liquides La présente invention a pour objet une machine pour dispenser des liquides récemment mélangés en quantités déterminées, par exemple des cordiaux aux fruits, du thé, du café, etc., tous ces liquides étant désignés ci-après sous le terme général de boissons.
La machine faisant l'objet de la présente inven tion est caractérisée en ce qu'elle comprend un ré servoir à eau, au moins un autre réservoir pour un concentré liquide, une chambre de mélange dans la quelle l'eau et le concentré sont mélangés, une sta tion de dispensation du liquide vers laquelle un con duit amène le liquide mélangé provenant de ladite chambre, des moyens pour commander l'écoulement de l'eau vers la chambre de mélange, des moyens à soupape pour commander l'écoulement du concentré liquide vers la chambre de mélange, au moins une pile de gobelets, des moyens pour séparer de la pile un gobelet à la fois et permettre l'envoi du gobelet séparé dans la station de dispensation,
un moteur électrique comprenant un dispositif de commande à temps et actionnant indirectement les moyens de commande de l'écoulement d'eau et du concentré liquide vers la chambre de mélange, un interrupteur principal dans la station de dispensation, susceptible d'être actionné par un gobelet quand.
ce dernier at teint ladite station pour préparer partiellement le cir cuit principal dudit moteur en vue de son fonctionne ment, et un mécanisme à pièce de monnaie suscep tible de compléter ledit circuit quand il a accepté une pièce de monnaie reçue, afin de faire fonction ner la machine, la disposition étant telle que lors que l'interrupteur principal est actionné par le go belet et que la pièce de monnaie reçue a été accep tée par la machine, une quantité mesurée d'un mé- lange récemment préparé de concentré liquide et d'eau est dispensée dans ledit gobelet séparé, l'enlè vement de ce gobelet hors de la machine produisant l'ouverture de l'interrupteur principal.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemples, trois formes d'exécution de la machine selon l'in vention et un schéma électrique.
La fig. 1 est une vue schématique de la première forme d'exécution.
La fig. 2 est une vue schématique de la deuxième forme d'exécution.
La fia. 3 est le schéma électrique de la ma chine.
La fig. 4 est une vue en perspective d'une par tie de la troisième forme d'exécution.
La fig. 5 montre, à plus grande échelle, un dé tail représenté à la fig. 4.
Dans les deux formes d'exécution représentées aux fig. 1 et 2 respectivement, la machine com prend un coffret 1 qui présente des portes (non re présentées) permettant l'accès aux diverses parties de la machine, et une porte 2 susceptible de couvrir et de découvrir une plate-forme de dispensation 3 sur laquelle un acheteur se sert d'un gobelet rempli 4. Deux réservoirs sont montés dans le coffret, soit un réservoir principal 5 pour l'eau et un réservoir 6 plus petit pour un concentré liquide. Le réservoir 6 com munique par une soupape de mesure 7 commandée par solénoïde avec une chambre de mélange 8 dis posée dans le coffret au-dessus du niveau de la plate- forme 3.
Un élément réfrigérateur 9 comprenant un serpentin 10 entourant le réservoir 5 maintient l'eau de ce réservoir à une température déterminée.
Un élément de gazéification 11 et une bouteille d'anhydride carbonique 12 permettent de gazéifier l'eau venant du réservoir 5 avant qu'elle atteigne la chambre de mélange 8. Une pompe 13 mue par un moteur électrique permet d'envoyer l'eau du réser voir 5 à cette chambre de mélange 8. L'élément de gazéification est de type connu quelconque et l'eau gazeuse, après gazéification et avant d'atteindre la chambre de mélange 8, passe à travers un serpentin 101 immergé dans l'eau du réservoir 5, afin de prendre la température désirée.
Un support de gobelet 14 est monté dans le coffret 1. Il comprend une broche rotative 15 por tant, dans la troisième forme d'exécution représenté- <B>à</B> la fig. 4, six compartiments tubulaires 16 (dont un seul est représenté) disposés radialement autour de la broche, chacun étant agencé pour contenir une pile 17 de gobelets. Au-dessous du support 14 se trouve un plateau 18 présentant une ouverture 19 de dimension telle qu'un gobelet est susceptible de tom ber à travers elle. Deux rails de guidage 20 en forme de spirales sont disposés dans la trajectoire des gobe lets inférieurs des piles 17 quand la broche 15 tourne.
Ils sont disposés de manière à engager lesdits gobe lets inférieurs quand les piles tournent autour de la broche pour séparer à tour de rôle le gobelet infé rieur de chaque pile. Le gobelet séparé de sa pile tombe à travers l'ouverture 19 sur la plate-forme 3. Des moyens 21 permettent de s'assurer que le gobe let inférieur de chaque pile, quand il est sur l'ouver ture 19, est complètement séparé de cette pile et tombe par l'ouverture 19. Ces moyens 21 seront dé crits plus loin.
Un moteur électrique 22 (fig. 4) par exemple du type synchrone est monté sur le panneau frontal du coffret. Il est couplé à un arbre 24 susceptible de tourner par un embrayage à griffe 23 comprenant un dispositif à mouvement à vide d'un type connu. Un pignon 25 est monté à glissement sur l'arbre 24 à proximité de l'embrayage 23. Il engrène avec une crémaillère 26 montée à glissement sur le panneau frontal. Le pignon 25 présente des moyens à came (qui seront décrits plus loin) grâce auxquels, s'il n'est plus libre de tourner pour des raisons qui seront envisagées plus bas, il peut glisser le long de l'arbre 24 sans se dégager cependant de la crémaillère 26.
Un ressort hélicoïdal 27 est monté autour de l'arbre 24 pour pousser le pignon 25 vers la gauche quand on regarde la fig. 4. Un cliquet 29 est monté à l'autre extrémité de l'arbre 24 au moyen d'un bras 28. Il peut engager une roue à rochet 30 susceptible de tourner sur cet arbre, la disposition étant telle que dans un sens de rotation de l'arbre 24, le cliquet 29 est libre de se déplacer autour de la roue 30, tandis que dans l'autre sens de rotation de l'arbre 24, le cliquet 29 engage ladite roue à rochet à laquelle est fixée une roue à chaîne 31. Une chaîne 32 est en- traînée par la roue 31 et passe autour d'une roue à chaîne 33 portée par une broche 34 montée par des moyens non représentés dans le panneau frontal du coffret.
Un pignon 35 est fixé sur la broche 34 et engrène avec une roue à couronne dentée 36 qui est fixée à l'extrémité inférieure de la broche 15. On voit ainsi que lorsque l'arbre 24 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre (vu depuis la droite de la fig. 4), le cliquet 29 engage la roue à rochet 30 pour faire tourner la roue à chaîne 31 et, par l'inter médiaire de la chaîne 32, la roue 33, la broche 34, le pignon 35 et la roue à couronne 36 qui fait tour ner la broche 15.
Le support de gobelet 14 présente des moyens grâce auxquels chaque pile 17 de gobelets peut être localisée à son tour verticalement au-dessus de l'ou verture 19 du plateau 18. Ces moyens comprennent un bras 37 pivotant à une extrémité et présentant à son autre extrémité un nez 38 qui engage (fia. 4) des goujons 39 s'étendant à partir de la roue à couronne 36. Le nez 38 est poussé en contact avec les gou jons 39 par un léger ressort 40.
La porte 2 est fixée à l'extrémité inférieure de la crémaillère 26 et présente une patte 41 agencée pour engager un bras de contact d'un interrupteur 42 quand la porte est en position ouverte ou supérieure. Un bras 43 est fixé à la partie supérieure de la cré maillère 26 et s'étend perpendiculairement au plan du panneau frontal. Ce bras 43 est agencé pour en gager les bras de contact d'interrupteurs 44, 45 et 46 quand la porte est en position fermée ou infé rieure. Le fonctionnement des interrupteurs 42, 44, 45 et 46 sera décrit plus loin.
Quand la porte est en position fermée, le bras 43 engage un organe des moyens 21, de manière que le gobelet inférieur soit séparé de la pile 17 qui se trouve alors verticalement au-dessus de l'ouverture 19 dans le plateau 18. Ces moyens comprennent une tige 47 montée verticalement dans une console 48 fixée au rail de guidage 20 extérieur, la tige 47 étant poussée vers le haut par un ressort hélicoïdal 49. Un disque 50 est fixé à l'extrémité inférieure de la tige 47 et est agencé pour engager le bord d'un go belet 51 (fig. 4). Un collier 52 porté par la tige 47 s'engage avec une extrémité d'un bras 53 pivotant en son centre sur un montant 54 monté sur le rail extérieur 20.
Une extrémité d'un câble Bowden (marque déposée) 55 est fixée à l'autre extrémité du bras 53. Un second disque 56 est fixé à l'autre ex trémité du câble 55 et s'engage avec le bord du go belet 51 en une position diamétralement opposée à celle du disque 50. Le disque 56 est poussé vers le haut par un ressort hélicoïdal 57.
La disposition du mécanisme décrit est telle que lorsque le moteur 22 est enclenché et tourne dans un sens, par exemple en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre (quand on regarde la fig. 4), les opérations suivantes se produisent. Par suite du dispositif à mouvement à vide dans l'em brayage à griffe 23, le moteur fait près d'une révolu- tion complète avant que l'arbre 24 commence à tour ner. Dès que l'arbre 24 tourne, la porte 2 de la ma chine est soulevée par la crémaillère 26 et le pi gnon 25 et quand elle commence à se déplacer vers le haut, le bras 43 se dégage des bras de contact des interrupteurs 44, 45 et 46 et aussi de la tige 47, permettant ainsi aux ressorts 49 et 57 de déplacer les disques 50 et 56 vers le haut.
Quand l'arbre 24 tourne, le cliquet 29 se déplace autour de la roue à rochet 30 et n'engage pas cette dernière. Quand la porte atteint sa position supérieure, la patte 41 engage le bras de contact de l'interrupteur 42 et, comme on le verra, rompt le circuit électrique du moteur 22 qui s'arrête.
Le circuit est tel que lors de la prochaine exci tation du moteur, ce dernier tourne en sens inverse, soit dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre. Comme précédemment, le moteur 22 fait près d'une révolution complète avant que l'arbre 24 commence à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre. Dès que cela se produit, la porte 2 est abaissée et le support de gobelet tourne afin qu'un gobelet soit séparé de l'une des piles 17 et tombe à travers l'ouverture 19. Le rapport d'en grenage entre les deux roues à chaîne 31 et 33, la roue à couronne 36 et le pignon 35 est tel que le support de gobelet ne tourne que d'un sixième de tour pendant que la porte 2 se déplace de la posi tion ouverte à sa position complètement fermée.
Quand la porte 2 atteint sa position fermée, le bras 43 engage les bras de contact des interrupteurs 44, 45, 46, dont l'un ouvre le circuit du moteur 22, et le bras 43 engage aussi la tige 47 pour la déplacer vers le bas contre l'action des ressorts 49 et 57. Quand la tige 47 se déplace vers le bas, le disque 50 et le disque 56, par l'intermédiaire du bras 53 et du câble Bowden 55, engagent le gobelet 51, qui est le gobelet inférieur de la pile disposée verticale ment au-dessus de l'ouverture 19, pour pousser ce gobelet vers le bas afin de le séparer de la pile et de le faire tomber sur la plate-forme 3.
On voit qu'en faisant tourner le moteur 22 d'abord en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre puis en sens opposé ou vice versa, la porte est d'abord ouverte, permettant l'accès à un gobelet sur la plate-forme 3, puis fermée pour inter dire cet accès. Pendant la fermeture de la porte 2, un autre gobelet est délivré sur la plate-forme 3.
Un mécanisme de surcharge (fig. 5) assure le déclenchement automatique du moteur 22 si la porte 2, pour une raison quelconque, est empêchée de se fermer, jusqu'à un moment où l'obstruction est éli minée et que la porte 2 se ferme automatiquement. Ce mécanisme comprend une face de came 80 fixée â une pièce de l'embrayage 23 et un suiveur de came 81 porté par un collier 82 du pignon 25. Comme on l'a dit précédemment, le pignon 25 est libre de glisser le long de l'arbre 24 et est poussé vers la gauche, en regardant la fig. 4, par le ressort 27.
Si la porte, alors qu'elle se ferme, est empêchée de se déplacer vers le bas, c'est-à-dire si le pignon 25 ne peut tour ner alors que le moteur 22 continue à tourner, le pi gnon 25 est obligé de glisser vers la droite le long de l'arbre 24 sous l'action de la came 80 et du suiveur 81. Quand le pignon se déplace vers la droite, il engage un bras de contact 58 d'un interrupteur 59, déclenchant ainsi le moteur 22. Quand l'obstruction a cessé, la porte commence à se déplacer vers le bas sous l'action de son propre poids et, dès que cela se produit, le pignon 25 commence à tourner et glisse le long de l'arbre 24 vers la gauche i(fig. 4 et 5), libé rant ainsi le bras de contact 58 et enclenchant le mo teur 22.
Un mécanisme 59'à pièce de monnaie (fig. 1) comprend un relais 60 à pièce de monnaie. Une pièce qui a été insérée dans le mécanisme 59' et acceptée par celui-ci passe à travers le mécanisme vers le bas dans une glissière 61 et dans une boîte 62.
L'élément de gazéification 11 peut être quelcon que. Il peut comprendre, par exemple, une chambre de mélange automatiquement alimentée en anhydride carbonique à travers une soupape de pression à par tir de la bouteille 12 (fig. 2). Une entrée pour le gaz se trouve à la partie inférieure de cette chambre de sorte que le gaz doit passer à travers l'eau contenue dans la chambre. L'eau provenant du réservoir 5 est envoyée dans la chambre de mélange de l'élément de gazéification par une pompe qui est automatiquement commandée par un dispositif dépendant de la pres sion du gaz dans la chambre de mélange.
L'eau ga zeuse provenant de la chambre de mélange peut être soutirée à volonté en ouvrant une soupape de mesure commandée par un solénoïde 76 (fig. 5) dans un tuyau de sortie adjacent au fond de la chambre de mélange, de sorte que l'eau gazeuse est obligée de passer dans cette sortie par la pression régnant dans la chambre. D'une autre manière on peut utiliser une pompe dans la sortie pour tirer l'eau gazeuse à vo lonté.
Le cycle de la machine est le suivant en se rap portant au schéma de la fig. 3 : supposons les ré servoirs chargés de concentré et d'eau et qu'un go belet vide 51 est disposé sur la plate-forme 3 de dis- pensation. Le mécanisme 59' à pièce de monnaie étant prêt à recevoir la pièce requise, et le poids du gobelet vide placé sur la plate-forme 3 fermant l'in terrupteur 63 à deux voies du circuit d'excitation du relais 60, ce qui permet que la pièce peut être insérée dans le mécanisme 59' (fig. 1).
La pièce est alors in sérée dans ce mécanisme et, quand .elle passe à tra vers ce dernier, ferme momentanément un circuit pour un relais principal 64, de sorte qu'un plon geur 65 de ce relais se déplace pour fermer des in terrupteurs 66 et 67 du circuit du moteur 22 et du circuit de la soupape de concentré liquide et de la soupape d'eau respectivement. Le plongeur 65 est maintenu dans cette position par un mécanisme de verrouillage 68 actionné par solénoïde. A ce stade, le moteur 22 est à nouveau en rotation mais, par suite de la connexion à mouvement à vide. dans l'em- brayage à griffe 23, aucun mouvement n'est transmis à l'arbre 24. Le concentré liquide et l'eau sont dis pensés dans la chambre de mélange 8.
Quand le mo teur a fait près d'une révolution, le mouvement à vide de l'embrayage 23 est entièrement rattrapé. L'arbre 24 commence à tourner et, comme indiqué plus haut, soulève la porte 2 par le pignon 25 et la crémaillère 26, ce qui ouvre les interrupteurs 45 et 46. L'inter rupteur 45 coupe le circuit de la soupape 7 du con centré liquide et de la soupape d'eau commandée par le solénoïde 76, et l'interrupteur 46 ouvre le circuit du relais de monnaie de sorte que toute nouvelle pièce de monnaie insérée dans le mécanisme pendant cette suite d'opérations est automatiquement rejetée.
Quand la porte commence à s'élever, elle enclenche l'interrupteur 44 d'un circuit agencé pour faire tour ner le moteur 22 dans le sens inverse, cependant, cet interrupteur ne ferme pas ce circuit mais prépare sa fermeture. Quand la porte 2 atteint sa position supé rieure ouverte, la patte 41 ferme l'interrupteur 42 qui ferme un circuit pour exciter le solénoïde 68 afin de libérer le mécanisme de verrouillage correspon dant, de manière que le plongeur 65, chargé par res sort retourne à sa position normale.
Quand le plon geur 65 se déplace, il ouvre les interrupteurs 66 et 67 et ferme un interrupteur 69 dans le circuit destiné à faire tourner le moteur 22 dans le sens opposé et un interrupteur 70 inséré dans le circuit du relais 60.
Il faut noter que la plate-forme 3 agit sur un in terrupteur 63 à deux voies lequel, quand un gobelet est placé sur la plate-forme 3, complète le circuit du relais 60 de manière que le mécanisme à pièce de monnaie accepte une pièce et, quand il n'y a pas de gobelet sur la plate-forme 3, complète partiellement un circuit avertisseur comprenant une lampe rouge 77.
Le gobelet sur la plate-forme 3 étant rempli, le poids du liquide fait pivoter la plate-forme 3 pour maintenir ouvert un interrupteur 71 qui, lorsqu'il est fermé, complète le circuit pour faire tourner le mo teur 22 dans le sens opposé. Cela signifie que dès que le gobelet a été soulevé de la plate-forme 3, le mo teur 22 commence à tourner dans le sens opposé. Mais, par suite du mouvement à vide dans l'em brayage 23, la porte ne commence pas à se fermer immédiatement et laisse un temps suffisant pour que le gobelet soit enlevé de la machine par le client. Dès que la connexion à mouvement à vide de l'em brayage a rattrapé son jeu, l'arbre 24 commence à tourner et, par la crémaillère 26 et le pignon 25, ferme la porte.
Comme il a été mentionné plus haut, un dispositif de surcharge est prévu pour tenir comp te du fait qu'un acheteur peut enlever trop lente ment le gobelet et que le mouvement vers le bas de la porte peut être empêché par le bras ou la main de cet acheteur. Dans ce cas, le moteur 22 est déclen ché et la porte reste stationnaire jusqu'à ce que cette obstruction soit éliminée.
Quand le moteur tourne, le support de gobelet 14 décrit précédemment tourne afin qu'un autre gobelet soit séparé de l'une des piles 17 et tombe à travers l'ouverture 19 du plateau 18 sur la plate-forme 3, préparant ainsi la machine pour le prochain cycle d'opérations.
Quand la porte atteint sa position complètement fermée, elle ouvre l'interrupteur 44, ce qui déclenche le moteur 22, et ferme les interrupteurs 45 et 46, ce qui prépare le circuit de la soupape du concentré li quide et de la soupape d'eau, ainsi que le circuit des tiné à faire tourner le moteur pour ouvrir la porte.
Le circuit avertisseur indique à un acheteur éven tuel que la machine n'est pas en service. Ce circuit est enclenché si le plongeur 65 du relais principal 64 est dans sa position normale fermant les interrupteurs 69 et 70 et s'il n'y a pas de gobelet sur la plate- forme 3. Dès qu'un gobelet tombe sur la plate-forme 3, l'interrupteur 63 à deux voies est déplacé pour ou vrir le circuit avertisseur et enclencher le circuit du relais de monnaie.
Des interrupteurs 72 et 73 sont prévus également dans le circuit avertisseur. Ils sont du type normale ment fermé et sont actionnés respectivement par des mécanismes flotteurs 74 et 75 dans les réservoirs 6 et 5 de concentré liquide et d'eau, de manière que si tout le concentré ou toute l'eau a été utilisé, le cir cuit avertisseur est enclenché et le relais de monnaie est déclenché, de sorte qu'aucune pièce de monnaie n'est acceptée par le mécanisme 59'.
Une pompe peut être utilisée pour pomper l'eau à partir du réservoir d'eau vers la chambre de mé lange, tandis que la délivrance du concentré liquide peut être placée sous la commande d'une soupape commandée par solénoïde dans le réservoir du con centré.
Dans une variante, la machine peut comprendre plus d'un réservoir de concentré liquide, chacun avec sa soupape de commande et un tuyau de sortie con duisant à la chambre de mélange. La machine com prend alors des moyens permettant à l'acheteur de choisir le concentré liquide qui doit être dispensé. On peut utiliser dans ce but un interrupteur qui permet seulement l'ouverture de la soupape du réservoir choisi.
Dans une autre variante, la machine peut dispen ser des boissons chaudes. Le réservoir d'eau com prend alors un corps de chauffe électrique agissant, par exemple, par immersion, remplaçant l'élément ré frigérateur 9 des deux premières formes d'exécution décrites.