Interrupteur. La présente invention concerne un inter rupteur à rupture dans l'air à voltage élevé, notamment pour le contrôle de grandes quan tités d'énergie électrique.
Les besoins croissants en interrupteurs à rupture dans l'air sûrs qui soient capables de contrôler les quantités croissantes d'énergie électrique à voltages élevés, présentent un pro- blême assez difficile au point de vue de la protection efficace de leurs dispositifs de commande électriques ou manuels à l'égard des parties es interrupteurs qui sont à un potentiel élevé, étant donné les limites d'es pace de montage relativement petites dont on dispose généralement.
I1 est extrêmement important que dans ce genre d'interrupteurs, il ne soit possible en aucune circonstance que l'énergie électrique puisse passer 4e n'importe quelle partie à po tentiel élevé aux dispositifs de commande, car, si tel était le cas, toute personne qui ac tionnerait l'interrupteur serait -exposée à un grand danger et l'appareil risquerait d'être sérieusement endommagé.
La présente invention a ainsi pour objet un interrupteur à rupture dans l'air, à vol tage élevé, qui comprend une base, des bornes espacées; sur ladite base, des éléments :de con tact mobiles sur ladite base pour établir et interrompre un circuit entre desdites bornes,
puis un dispositif de commande ayant des moyens de fermeture pour fermer lesdits élé ments de contact et des moyens d'ouverture permettant d'ouvrir lesdits éléments de con tact indépendamment de la position desdits moyens de fermeture, et .dans lequel ledit dispositif de commande est monté sur ladite base, avec toutes ses parties,
à une distance de sécurité de la région à haute tension entou rant lesdites bornes et les éléments de contact et est mécaniquement relié aux éléments de contact mobiles par d'intermédiaire d'une con nexion isolante.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention.
La fig. 1 montre une vue frontale d'un interrupteur à rupture dans l'air à trois pôles. La fig. 2 montre une coupe verticale de cet interrupteur, montrant le dispositif de commande et le pôle du centre, l'interrupteur étant en position fermée.
La fig. 3 montre une coupe verticale sem blable à celle de la fig. 2, mais montrant la position des parties immédiatement après que l'interrupteur a été mis en position d'ouver ture et avant que la connexion entre les moyens de fermeture et le levier de com mande qui a été décliquetée auparavant n'ait été automatiquement encliquetée.
La fig. 4 est une coupe verticale sembla ble à celle de la fig. 2, mais montrant l'inter rupteur en position d'ouverture et le dispo sitif de commande remis en position pour la fermeture.
En se référant au dessin annexé; l'inter rupteur à trois pôles représenté comprend un châssis métallique formant base, 7, qui est adapté pour être monté en position verticale dans une cellule de montage ou sur un sup port approprié.
Le châssis 7 comporte, dans la forme d'exécution représentée, une paire de barres latérales parallèles 9 espacées dans le sens latéral, ayant une section angulaire, et une pluralité de barres transversales 11 fixées auxdites barres latérales parallèles, les barres transversales 11 étant situées entre les barres latérales 9.
Une plaque métallique 13 est rigidement fixée aux barres transversales 11 et s'étend en travers du châssis 7, ladite plaque servant de support aux bornes et aux contacts de l'interrupteur.
Une seconde plaque métallique 15 s'étend en travers du châssis 7 au voisinage de l'extrémité inférieure de celui-ci, les extré mités de cette plaque étant rigidement fixées aux brides postérieures desdites barres laté- rales 9. La plaque 15 sert de support de mon tage pour le dispositif de commande 16 de l'interrupteur, qu'on décrira dans la suite.
Bien entendu, la base décrite pourrait aussi avoir d'autres formes; ainsi, par exem- ple, elle pourrait être constituée par une seule plaque ou planche en métal ou en matière isolante solide.
Les trois pôles de l'interrupteur sont dis- posés verticalement l'un à côté de l'autre sur la. base 7 et sont sensiblement identiques au point de vue de la construction, de sorte qu'il suffit de décrire un seul de ces pôles.
Chaque pôle de l'interrupteur comprend une paire de chevilles espacées verticalement formant bornes 17, des moyens de contact mobiles, indiqués en 19, pour établir et inter- rompre un circuit entre lesdites chevilles- bornes,
et un dispositif d'extinction d'arc in diqué en 21 pour éteindre les arcs tirés par les moyens de contact pendant l'interruption du circuit.
Les organes formant bornes et les moyens de contact des différents pôles sont séparés les uns des autres par des barrières isolantes 23 disposées verticalement,
tandis que les pôles extérieurs sont enfermés par des parois latérales 25 en matière isolante semblable à celle des barrières 23. Une barrière isolante 24 s'étend transversalement en travers du châssis 7 immédiatement au-dessus du dispo sitif de commande 16.
Chacune des chevilles-bornes 17 est en fermée dans une douille 27 en matière iso lante; la cheville-borne et sa douille passent perpendiculairement à travers le châssis 7 et à travers les ouvertures pratiquées dans la plaque de montage 13, les ouvertures dans la plaque de montage et les évidements dans les barres transversales 11 du châssis étant plus larges que le diamètre extérieur des douilles isolantes 27 qui renferment les chevilles 17.
Les chevilles-bornes 17 sont montées sur la plaque 13 à l'aide d'isolateurs tubulaires 29, qui enferment les parties en saillie vers l'ex térieur des chevilles-bornes et dont les extré mités à bride intérieure 31 sont rigidement fixées à la plaque 13. Les chevilles-bornes 17 font saillie à l'arrière du châssis 7 et sont disposées pour être électriquement reliées à des conducteurs de ligne prévus dans la cel lule de montage ou sur un support de mon tage.
Les moyens de contact stationnaires com prennent des blocs .de contact supérieur et inférieur 33 et 35 en matière conductrice qui sont fixés respectivement aux extrémités extérieures des chevilles bornes 17 supérieure et inférieure. Une paire de contacts station- naires principaux 37 est fixé sur les blocs de contact 33 et 35; ces contacts sont disposés de façon .à pouvoir être pontés par un pont de contact mobile porté par un assemblage de contacts mobile, dont on parlera plus loin.
Le bloc de contact supérieur 33 comporte un bras conducteur creux 39 dont la section a la forme .d'un U et qui y -est monté de façon à être susceptible d'un mouvement limité. Le bras 39 possède un contact intermédiaire 41 et un contact à arc 43 prévu à sa face exté rieure.
Le bras creux 39 est sollicité vers l'extérieur à l'aide de ressorts 45 et 47 et est monté sur le bloc -de contact 33 à l'aide de goupilles 49 dont une seule est représentée faisant saillie à partir des parois latérales du bras 39, qui s'engagent dans les fentes 51 prévues dans des guides espacés latéralement 53 portés par le bloc de contact 33.
Les gou pilles 49 et les fentes 51 permettent au bras creux 39 de @se mouvoir dans une certaine limite et :de s'ajuster automatiquement avec ses contacts 41 et 43 sur les contacts auxi liaires de l'assemblage de contacts .mobile.
Des arrêts appropriés (non représentés) sont prévus pour obliger le .contact intermédiaire 41 à rester en engagement avec le contact intermédiaire coopérant de l'assemblage de contacts mobile jusqu'à ce que le pont de con tact mobile se soit séparé d'une distance pré déterminée des contacts stationnaires princi paux 37, -et d'autres arrêts appropriés (non représentés) sont prévus pour permettre au bras cr$ux 39 de basculer, sous l'influence du ressort 45, dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre, afin :
de maintenir ainsi le contact à arc 43 en engagement avec le contact à arc mobile coopérant -de l'assem blage de contacts mobile jusqu'à ce que les contacts intermédiaires se soient séparés d'une distance prédéterminée.
Le bras conducteur creux 39 est électri- quement reliée au bloc de contact supérieur 33 par une connexion conductrice flexible 55 qui est disposée entre les parois latérales du bras creux 39.
L'assemblage de contacts mobile pour cha que pôle de l'interrupteur de circuit comprend un bras disjoncteur 57 monté pivot en 58 sur une console en forme d'un <B>.U</B> 59 qui est fixée au bloc de .contact inférieur 35.
Le bras disjoncteur 57 présente un .canal sur une partie -de sa longueur et porte une pièce de pontage mobile 61 destinée à ponter les con tacts stationnaires 37. La pièce de pontage 61 est librement montée sur le bras disjonc teur 57 par un boulon 63 fixé au bras disjonc teur 57.
Le boulon 63 est aménagé pour ad mettre un mouvement limité de la pièce de pontage 61 par rapport au bras disjoncteur, et un ressort 65 qui entoure le boulon 63 sert à solliciter la pièce de pontage 61 vers les contacts stationnaires 37 afin de procurer la pression de contact requise.
L'extrémité supérieure du bras disjonc- teur 57 présente un élément de contact rigide 67 qui y est fixé, et cet élément de contact est pourvu d'un contact intermédiaire 69, pour s'engager avec le contact intermédiaire stationnaire 41, et d'un contact à arc 71, pour s'engager avec le ,contact à :arc kation- naire 43.
Une connexion conductrice flexible 73 relie les contacts 69 et 71, et la pièce de pon tage mobile 61 au bloc .de contact infé rieur! 35.
Les, bras @disjoncteurs des différents pôles de l'interrupteur sont simultanément déplacés sur leur pivot 58 à la position d'ouverture ou de fermeture de circuit à l'aide du dispositif de commande 16 de l'interrupteur,décrit dans la suite. Durant le mouvement d'ouverture des bras disjoncteurs 57, les pièces de pontage 61 se séparent en premier lieu d'une distance eprédéterminée des, contacts stationnaires 37, pendant que les contacts intermédiaires et les contacts à arc restent en engagement.
D'ès que les pièces de pontage 61 se sont séparées d'une distance prédéterminée, les contacts in termédiaires, 41 et 69 commencent à se sépa- rer. Lorsque lesdits contacts intermédiaires se sont séparés d'une distance prédéterminée, le mouvement d'ouverture persistant des bras disjoncteurs oblige les contacts à arc mobiles à se séparer des contacts à arc stationnaires.
Pendant le mouvement de fermeture des bras disjoncteurs 57, les contacts précités s'enga gent les uns avec les autres dans l'ordre in verse.
Comme les contacts à arc se séparent tou jours en dernier lieu pendant l'ouverture de l'interrupteur, tous les arcs sont tirés entre ces contacts et sont éteints par les dispositifs d'extinction d'arc 21 décrits plus loin.
L'ensemble 16 est monté sur la plaque 15 à l'extrémité inférieure du châssis 7. La dis position de montage de ce dispositif de com mande est telle que toutes ses parties sont placées à une distance de sécurité de la région de haute tension entourant les bornes 17, les moyens de contact 19 et les autres parties qui sont à un potentiel élevé, de façon à em pêcher, en tout cas,
la transmission de poten tiel élevé à n'importe quelle partie du dispo sitif de commande 16. Ce dernier est porté par un châssis en forme d'un 11 77 qui est fixé à la plaque 15 par des boulons 79 et qui comporte des parois latérales 81 faisant sail lie perpendiculairement à la base 7.
Le dispositif de commande 16 comprend un solénoïde de fermeture 83, un dispositif de transmission de poussée décliquetable 85 pour transmettre le mouvement du noyau du solénoïde aux trois bras disjoncteurs 57 de façon à les fermer simultanément, puis un dispositif basculeur 87 actionnable pour dé clencher le dispositif de transmission de poussée de manière à occasionner l'ouverture de l'interrupteur.
Le solénoïde de fermeture 83 comporte un noyau stationnaire 89, puis un noyau mo bile 91 et un enroulement<B>93;</B> il est monté entre les parois latérales 81 du châssis 77 avec son noyau et son axe d'enroulement en position perpendiculaire à la base 7.
Le dispositif de transmission de poussée 85 est monté sur le châssis 77 entre les parois latérales de- celui-ci et au delà de l'extrémité extérieure du solénoïde de fermeture 83.
Ce dispositif de transmission de poussée com prend un levier d'actionnement en forme de joug 95 qui est mécaniquement relié aux trois bras disjoncteurs 57 par des moyens qui se ront décrits dans la suite,
et un levier de commande en forme de joug 97 qui est mé caniquement relié au noyau mobile 91 du solénoïde 88 et possède une connexion avec le levier d'actionnement 95, qui peut être dé- cliquetée et encliquetée.
Le levier d'actionnement 95 est monté à pivot entre les parois latérales du châssis 77 sur un bras à pivot 99 et est sollicité dans le sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre pour occasionner d'ouverture de l'in terrupteur à l'aide d'une paire de ressorts d'ouverture 101.
Le levier de commande 97 en forme de joug est placé à cheval sur le levier d'action- nement 95 et est monté à pivot entre les pa rois latérales du châssis 77 suer la même gou- pille-pivot 99 qui supporte le levier d'action nement 95.
Une paire de bielles 103 relient mécaniquement le levier de commande 97 au noyau mobile 91 du solénoïde de fermeture, ces bielles étant reliées à pivot, à leurs extré- mités extérieures, par des chevilles-pivota 105 qui font saillie latéralement sur des côtés du levier de commande 97,
alors que les extré mités intérieures des bielles sont reliées à pi vot au noyau mobile précité par une goupille- pivot 107.
L'extrémité libre du levier de commande 97 porte un galet 109 qui y est disposé pour être normalement engagé par un loquet pivoté 111 monté à l'extrémité libre du levier d'ac- tionnement 95 entre les côtés de ce dernier,
dans le but de réaliser une connexion de transmission de poussée rigide entre les deux leviers aussi longtemps que le loquet est re tenu en position d'engagement. Le loquet 111 est normalement retenu en position d'engage- ment pour maintenir ladite connexion rigide, par un loquet à détente 113 qui, lui aussi,
est porté par de levier d'actionnement et qui est pivoté en 115 entre les parois latérales du levier d'actionnement. Le .loquet à détente 113 possède un bras à. loquet 117, dont l'extrémité encochée 119 s'engage avec le loquet 111 en le retenant en position d'engagement.
Le loquet à détente 113 comporte aussi une queue cintrée relati vement longue 121 qui est disposée pour être engagée et déplacée par un élément basculeur pivoté 123, porté par de châssis, dans le but de décliqueter le mécanisme à loquet et d'oc casionner ainsi l'ouverture de l'interrupteur en produisant le décliquetage du levier d'ac- tionnement 95 de sa connexion rigide avec le levier de commande 97.
Un ressort 125 solli cite le loquet à ,détente 113 dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre à la position d'engagement, et un second ressort, 127, sollicite le loquet 111 également dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre. Une goupille 129 limite la sollicita tion du loquet 111 dans de sens du mouvement des aiguilles d'une montre.
Le loquet 111 est pourvu d'une face des tinée à s'engager avec le galet 109. Le pivot 112 du loquet 111 est .disposé de telle manière par rapport au point d'engagement de ladite face avec le galet 109, lorsque le loquet 111 est tenu dans sa position d'engagement, que la force de sollicitation imprimée au levier d'actionnement 95 par les ressorts; 101 ten dant à déplacer le levier 95 en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, ait aussi la tendance à déplacer le loquet 111 en sens inverse du mouvement des; aiguilles d'une montre à une position dégagée.
Le lo quet 111, cependant, est normalement tenu dans sa position d'engagement à l'encontre du mouvement -de déclenchement. par l'épau lement :de l'extrémité encochée du loquet à détente<B>113.</B> Les loquets 111 et 113 sont au tomatiquement remis en position normale par leurs ressorts d'actionnement 125 et 127 pen dant la portion finale du mouvement d'ouver ture en sens inverse du mouvement des ai guilles d'une montre du levier de commande 97 après que le galet 109 dégage l'extrémité libre de la queue 121 du loquet à détente 113.
Lorsque le levier :de commànde 97 atteint la position d'ouverture, le loquet 111 se réengage avec le galet 109 pour rétablir la connexion de transmission de poussée rigide entre les leviers 95 et 97, comme montré en fig. 4.
Le levier de commande 97 est sollicité en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre à l'aide d'un ressort 131 qui est intercalé entre le noyau fige 89 -et le noyau mobile 91, ledit ressort 131 étant placé dans des évidements prévus :dans les extrémités adjacentes des deux noyaux. Le ressort 131 agit pour déplacer le noyau 91 vers. l'exté rieur .de façon à occasionner un mouvement en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre du levier de commande 97 à la position d'ouverture montrée en fig. 4 lors que le levier de commande est déclenché.
Un loquet principal 133 est pivoté sur une goupille 135 portée par le châssis 77, ce loquet étant disposé pour s'engager avec le galet 109 du levier de commande afin de tenir ce dernier dans la position de fermeture montrée en fig. 2.
Attendu que le levier d'ac- tionnement 95 est normalement rigidement relié au levier de commande 97 à l'aide des .loquets 111 et 113, le loquet principal 133 agit par l'intermédiaire du levier de com mande 97 de façon à maintenir aussi le levier d'actionnement 95 en position de fermeture, maintenant ainsi les trois bras disjoncteurs en position de fermeture du circuit aussi longtemps que les loquets 111 et 113 sont .en position d'engagement.
Le loquet principal 133 est sollicité à la position d'engagement, comme montré- en fig. 2, par un ressort 139 dont une extrémité est reliée au talon du loquet principal <B>133.</B> L'autre extrémité du ressort 139 est reliée à une pièce saillante en poignée 141 de l'organe basculeur pivoté 123, de sorte que ce ressort sert aussi à solliciter l'organe basculeur 123 à la position montrée en fig. 2.
Le loquet principal 133 -est disposé pour être -automatiquement déplacé dans de sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre à la position déclenchée pour dégager le levier de commande 97, par le mouvement du levier d'aetionnement 95 vers la position d'ouverture.
Dans ce but, le nez 138 du loquet principal<B>133</B> est biseauté, comme montré en fig. 4, et le levier d'actionnement 95 est pourvu d'une surface en came 140 qui s'en gage avec le nez 138 du loquet principal 133 et qui force le loquet principal à .la position déclenchée pendant le mouvement en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre du levier d'actionnement 95 à sa po sition d'ouverture qui suit le relâchement du levier d'actionnement.
L'organe basculeur 123 est monté à pivot au côté du loquet principal 133 sur la même goupille-pivot 135 qui porte aussi le loquet principal. Il peut être actionné à la main dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre pour décliqueter le mécanisme à lo quets 111-113 et le levier d'actionnement 95 dans le but d'occasionner l'ouverture de l'in terrupteur en abaissant à la main la poi gnée 141.
L'organe basculeur 123 est aussi disposé pour être actionné électriquement dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre afin d'ouvrir l'interrupteur, à l'aide du dispo sitif de commande électromagnétique 87. Dans ce but, l'organe basculeur 123 possède un bras 143 en saillie vers l'arrière qui porte une goupille latéralement en saillie 145. Cette goupille 145 s'engage dans une encoche 147 du noyau mobile 149 du dispositif de com mande électromagnétique 87.
Lorsque le dis positif de commande électromagnétique 87 est excité, .son noyau 149 est déplacé vers en haut, entraînant avec lui la goupille 145, de manière à. communiquer à l'organe bascu- leur 123 un mouvement dans le sens du mou vement des aiguilles d'une montre vers la po sition d'ouverture.
Le dispositif électromagnétique 87 est disposé pour être excité par le moyen de relais protecteurs et aussi par le moyen d'un commutateur éloigné à commande manuelle d'une manière bien connue dans ce genre d'appareil. Le solénoïde de fermeture 83 est aussi disposé pour être excité par un ou plu sieurs circuits de commande appropriés (non représentés). Le levier de commande <B>97</B> est pourvu d'une ouverture taraudée 150 pour recevoir une poignée de manceuvre 152 permettant d'actionner l'interrupteur à la main.
L'unique levier d'actionnement 95 est mé caniquement relié aux trois bras disjoncteurs 57 par l'intermédiaire d'une entretoise 151 qui s'étend transversalement en travers des trois pôles de l'interrupteur. L'entretoise <B>151</B> est de préférence en acier ou autre matière solide et possède une paire de bras<B>153</B> qui y est rigidement figée.
Les extrémités infé rieures des bras 153 sont reliées à pivot au levier d'actionnement 95 par une goupille- pivot 155.
Chacun des bras disjoncteurs 57 présente un joug 157 en saillie vers l'exté- rieur, qui est mécaniquement relié avec l'en tretoise 151 par l'intermédiaire d'un boulon à ceillet 159 et d'un isolateur à voltage élevé<B>161.</B>
Le boulon à oeillet 159 est articulé par son extrémité supérieure au joug 157 du bras disjoncteur 57 à l'aide d'une goupille-pivot <B>1.63.</B> L'extrémité inférieure du boulon à aeil- let <B>159</B> est vissée dans. une pièce d'insertion en forme de pince 165 noyée dans la matière isolante de l'isolateur 161,
un contre-écrou avec une rondelle<B>167</B> servant à bloquer l'extrémité inférieure du boulon à aeillet dans l'isolateur<B>161.</B> Une seconde pièce d'insertion 169 en forme de cône est noyée dans la ma tière isolante de l'isolateur<B>161</B> entre les extrémités de la pièce d'insertion 165, cette pièce d'insertion 169 étant pourvue d'une ouverture taraudée pour recevoir l'extrémité filetée d'un boulon 171 qui passe à travers l'entretoise<B>151</B> pour fixer l'isolateur 161 à l'entretoise.
La matière isolante entre les pièces d'insertion 165 et 169 sert à isoler effi cacement le bras disjoncteur 57 de l'entretoise en métal 151 et la disposition des pièces d'in sertion est telle que la matière isolante entre elles ne soit soumise qu'à des efforts de com pression.
L'isolateur 161 est de préférence composé de matière isolante moulée. On peut cependant aussi employer, si on Je désire, de la porcelaine ou une autre matière isolante vitreuse à la place de ladite matière moulée.
L'engagement par filetage du boulon à ceillet 159 dans la pièce d'insertion 165 de l'isolateur 161 constitue un simple moyen pour .ajuster les positions des différents bras disjoncteurs 57 les uns par rapport aux autres afin d'assurer que les moyens de contact mo biles des divers pôles de l'interrupteur soient engagés ou séparés exactement au même mo. ment pendant 1e fonctionnement de l'inter rupteur.
Les ressorts d'ouverture 101 sont reliés, à leur extrémité supérieure, aux extrémités d'une barre 172 qui est rigidement fixée à l'entretoise métallique 151. Les extrémités inférieures de ces ressorts sont accrochées à des saillies 174 s'étendant vers l'extérieur à partir des parois latérales 81 du châssis. 77, comme montré en fig. 1.
Une paire de butées d'arrêt ajustables 176 (fig. 1) -est fixée aux parois latérales 81 du châssis 77, ces butées d'arrêt étant disposées pour être engagées par l'entretoise métalli que 151 dans la position d'ouverture de l'in terrupteur afin de limiter le mouvement en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre :
du levier d'actionnement 95 et d'absorber l'énergie cinétique des parties. en mouvement imprimée par les ressorts d'ouver ture 101.. Les butées. d'arrêt 176 constituées par des boulons filetés peuvent être ajustées pair vissage convenable pour régler la lon gueur de l'intervalle d'air entre les moyens de contact stationnaires et mobiles de l'interrup teur lorsque l'interrupteur est en position d'ouverture.
Le fonctionnement de l'interrupteur dé crit -est brièvement le suivant: Supposons que l'interrupteur soit dans sa position de fermeture, montrée ,en fig. 2. Lorsque le dispositif de commande 87 est excité, soit en :
dépendance de conditions pré déterminées, soit par l'actionnement de l'in terrupteur là commande manuelle éloigné, l'excitation du dispositif de commande 87 oblige l'élément du levier basculeur 123 à faire un mouvement dans le sens du mouve ment des aiguilles d'une montre vers la posi- tion de basculement. Ce mouvement de l'élé ment basculeur 128 à la position de bascule- ment force son extrémité supérieure à s'en-:
gager avec et à mouvoir la queue 121 du lo quet à détente 118 de façon à occasionner un mouvement -en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre du loquet à détente 113à sa position décliquetée. Le mouvement du loquet à détente 118 provoque le relâché ment du loquet 111, suspendant ainsi la con- nexion rigide entre le levier d'actionnement 95 et le levier de commande 97.
immédiate ment après ledit relâchement du loquet 111,, les ressorts d'ouverture 101 amènent le levier d'actionnemient 95 à se mouvoir en sens inverse du mouvement -des aiguilles d'une montre vers .sa position d'ouverture, comme montré en fig. 3.
Ce mouvement d'ouverture du levier d'aotionnement 95 provoque un mouvement simultané des trois bras disjonc teurs 57 vers la position d'ouverture du cir- cuit. <B>Il</B> faut noter que les trois bras disjonc teurs 57 sont libres de basculer par rapport aux moyens de fermeture, c'est-à-dire qu'ils peuvent basculer en position d'ouverture sans égard à la position du levier de commande 97 en raison du relâchement du levier d'ae- tionnement 95 par rapport au levier de com mande 97.
Pendant le mouvement en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre du levier d'actionnement 95, la sur face en came 1401 de icelui-ci s?engage avec et déplace le loquet principal 188 à la position déoliquetée, provoquant le dégagement du galet 109 et du levier de commande 97.
Dès que le levier de commande 97 est ainsi dé gagé, le ressort 131 oblige le noyau mobile 91 à faire un mouvement vers l'extérieur et, par conséquent, a pour effet que le levier de commande 97 fait un mouvement en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre à sa position d'ouverture montrée en fig. 4.
Durant la partie finale du mouvement d'ouverture du levier de-commande 97, le ga let 109 dégage l'extrémité libre de la queue cintrée 121 du loquet à détente 118, permet tant ainsi aux loquets 111 et 113 d'être auto- manquement remis en position par leurs res sorts 125 et 127.
Par un faible mouvement ultérieur du levier de commande 97, le galet 109 est mis en engagement avec la face de retenue du loquet 111, provoquant ainsi le rétablissement de la connexion rigide entre le levier de commande 97 et le levier d'actionne- ment 95. Les moyens de commande sont alors complètement remis à l'état normal et prêts à la fermeture de l'interrupteur. La position d'ouverture finale des deux leviers 95 et 97 est déterminée par l'ajustement des butées d'arrêt réglables 176.
Le fonctionnement précité de basculement en position d'ouverture peut aussi être effec tué à la main en abaissant la poignée 141 du levier basculeur 123.
Pour fermer l'interrupteur, le levier de commande 97 est tourné dans le sens du mou vement des aiguilles d'une montre depuis sa position d'ouverture montrée en fig. 4 à la position de fermeture montrée en fig. 2. Ce mouvement de fermeture du levier de com mande est provoqué soit à la main à l'aide de la poignée de manoeuvre 152, soit par exci tation du soleno'ide de fermeture 83.
Le mou vement de fermeture dans le sens du mouve ment des aiguilles d'une montre du levier de commande 97 oblige le levier d'actionnement 95 à faire un mouvement dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre à la position de fermeture montrée en fig. 2, attendu que les deux leviers sont reliés rigi dement ensemble pour le mouvement de fer meture par le mécanisme à loquets compre nant les loquets 111 et 113.
Dès que le levier de commande 97 atteint la position de fer meture, le loquet principal<B>133</B> s'engage avec le galet 109 pour retenir le levier de com mande 97 et le levier d'actionnement accou plé 95 dans leur position de fermeture. Le mouvement dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre du levier d'actionne- ment 95 vers sa position de fermeture occa sionnera un mouvement simultané des trois bras disjoncteurs 57 vers la position de fer meture montrée en fig. 2.
La queue cintrée relativement longue 121 du loquet à détente 113 empêche la remise en position encliquetée des loquets 111 et 113 jusqu'à ce que ;le galet<B>109</B> dégage la queue 121 et permette d'ouvrir l'interrupteur à n'im porte quelle position pendant le mouvement de fermeture des moyens de commande et des bras disjoncteurs 57. Ainsi, il est impossible de fermer l'interrupteur à l'encontre d'une condition de surcharge ou fautive.
Le dispositif d'extinction d'arc 21 de cha que pôle de l'interrupteur comprend des moyens électromagnétiques de déplacement ou d'extinction d'arc 173 qui sont rigidement fixés à .l'extrémité supérieure de la basse 7 au-dessus des contacts à arc, et un couloir amovible à arc 175 qui est aussi placé à la partie supérieure de la base 7.
Le couloir à arc 175, dans chaque pôle, comprend une paire de cornes à arc écartées 177 et 179 en matière conductrice, auxquelles les arcs tirés entre les contacts à arc 43 et 71 sont transférés par les moyens électromagné tiques de -déplacement d'arc 173 pendant l'ou verture de l'interrupteur. Ire couloir à arc 175 est aussi pourvu d'une série de plaques espa cées (non, montrées),
entre lesquelles l'arc est mû par les moyens électromagnétiques de dé placement d'arc 173. Les plaquas -d'extinction d'arc écartées refroidissent et désionisent ra pidement l'arc pour provoquer son extinction rapide.
Les moyens électromagnétiques de dépla cement d'arc 173 comprennent une paire de plaques espacées 171 en matière magnétique qui sont reliées à leurs extrémités intérieures par un noyau cylindrique 183 en matière magnétique. Les plaques 181 sont entourées et isolées par des gaines isolantes 182.
Un enroulement d'excitation 185 est dis posé sur le noyau 183. Cet enroulement est formé d'une barre de cuivre relativement épaisse de section transversale rectangulaire ou circulaire et est enroulé en deux sections sur le noyau 183 à partir de l'extérieur du noyau 183 vers le milieu de celui-ci:
Les extrémités intérieures <B>189</B> des sections d'en roulement sont fixées ensemble à un contact à, couteau 191 qui est disposé pour être en gagé par une paire de contacts en forme de doigts 198 fixés à la corne à arc intérieure <B>177</B> du couloir à arc 175.
Les extrémités exté rieures 187 .des deux sections .de l'enroulement 185, espacées les unes des autres, s'étendent vers le bas et sont rigidement fixées aux eôtés du bloc de ,contact :supérieur 33, de sorte que ces extrémités de l'enroulement 1.85 sont électriquement reliées au bloc de -contact 33,.
Les contacts en forme de doigt 193 sont fixées à l'extrémité inférieure de la corne à arc intérieure 177, et les extrémités infé- rïeures des contacts en forme de doigt sont sollicitées l'une vers l'autre à l'aide de ron delles à ressort appropriées 195 tenues par un boulon transversal 197 qui passe à travers les contacts à doigt 193 dans une fente évasée 199.
La corne <B>à</B> aro extérieure 179 portée par le couloir à arc 175 est reliée électriquement aux moyens de contact mobiles de l'interrup teur à l'aide,d'un conducteur flexible en déri vation 201 qui est amoviblement fixé à la corne à arc 179 par une vis 202.
On voit ainsi que lorsque le couloir à arc 175 est en position montée, la corne à arc intérieure 177 est électriquement reliée à l'enroulement 185 et par cet enroulement au bloc-borne supérieur 33 de l'interrupteur, et que da corne à arc extérieure 179 est électri quement reliée au contact là arc mobile 71.
Les moyens électromagnétiques de déplace ment de l'arc 173 sont en permanence fixés à la base 7 et les contacts séparables 191 et 193 permettent l'enlèvement du couloir à arc 175 de l'interrupteur pour permettre un accès aux moyens de contact relativement mobiles 19 de l'interrupteur.
Les moyens électromagnétiques de dépla cement de l'arc 173 sont fixés à la base 7 et isolés de cette dernière par un isolateur à voltage élevé 203 à l'extrémité supérieure de la base 7. L'isolateur 203,est fixé au châssis- base 7 à l'aide de boulons 209 et l'extrémité extérieure .de l'isolateur comporte une console angulaire 211 y fixée par un boulon 213.
La console angulaire 211 -.s'étend transversale ment entre les plaques magnétiques 181 et ces plaques sont fixées à la console 211 à l'aide de vis 215 qui passent à travers les plaques 181 et s'engagent dans des ouvertures taraudées prévues dans les bords latéraux de la console 211. Les bords inférieurs des pla ques magnétiques 181 s'appuient de. préfé rence, bien que cela ne .soit pas nécessaire, contre une paire de blocs :de support 205 en matière isolante (dont un seulement est repré senté).
Les blocs 205 sont fixés par des vis 206 aux côtés extérieurs des extrémités 189 des barres conductrices d'enroulement 187. Les conducteurs d'enroulement sont de sec tion relativement grande -et sont rigidement fixés au bloc de contact supérieur 33, .ce qui leur permet de supporter le poids des plaques magnétiques 181. L'isolateur 203 et les blocs isolants 205 servent à isoler électriquement les parties conductrices des moyens @ électro magnétiques de déplacement de l'arc par rap port au châssis métallique 7.
Les plaques magnétiques espacées. ou pôles 181 s'étendent perpendiculairement au châssis 7 et sont espacées de chaque côté du parcours de l'arc. Dés que les. contacts à air 43 et 71 se séparent et tirent un arc, le bout d'arc, qui joue sur le contact @à arc station naire 43, est déplacé vers en haut et transféré à la corne à arc intérieure 177 par une ré action magnétique.
Dès que le bout d'arc qui se trouvait sur le contact à arc stationnaire 43 est transféré à la corne à arc intérieure 177, le circuit pour l'enroulement 185 est complété par un circuit qui comprend l'arc et la corne à arc intérieure 177.
Les, moyens électromagnétiques de déplacement de l'arc, lorsqu'ils sont excités, déplacent l'arc vers le haut dans les plaques .espacées du couloir 175, où il est refroidi et éteint. Aussitôt que le contact à arc 71 s'est séparé d'une distance prédéterminée du contact à arc fixe 43; l'autre bout de l'arc .est transféré à la corne à arc extérieure 179, de façon que l'arc ne joue plus entre les. contacts à arc, mais entre les cornes #à arc 177 et 179.
Le couloir à arc 175 est amoviblement monté .sur les plaques magnétiques 181, les côtés du couloir à arc étant pourvus -d'évi- dements rectangulaires de guidage 217 (fig. 1) pour y engager les plaques magnéti ques 1.81. Le couloir à arc 175 est ainsi monté de façon à pouvoir glisser sur les plaques magnétiques espacées 181 et peut de la sorte être monté ou enlevé en le glissant horizon talement dans une direction perpendiculaire à. la base 7 sur les plaques 181.
Le couloir à arc est retenu en position montée au moyen d'une plaque-couvercle 219 fixée au couloir à arc au moyen de vis 221 qui sont vissées dans les extrémités extérieures des plaques magnétiques<B>181.</B>
Chacun des couloirs à arc 175 peut être facilement enlevé de l'interrupteur afin de donner accès aux moyens de contact 19, sim plement en enlevant à cet effet les vis 221, en défaisant les extrémités extérieures des conducteurs flexibles en dérivation 201 de la corne à arc extérieure 179 et en glissant en suite le couloir 175 à l'écart des plaques ma gnétiques<B>181</B> horizontalement dans une di rection perpendiculaire à la base.
Les moyens électromagnétiques de dépla cement d'arc<B>173</B> avec leurs plaques magné tiques 181, leur noyau et leur enroulement restent fixés à la base 7. Les contacts sépa rables<B>191</B> et 193 servent à relier automati quement la corne à arc intérieure 177 à l'en roulement 185 lorsque le couloir à arc 175 est glissé à sa position de montage sur les plaques magnétiques 181.
Si on le désire, la corne à arc intérieure 177 peut être fixée à la, base 7 tout en étant isolée de oelle-pi. Dans cette construction, il n'est pas nécessaire de prévoir les contacts sé parables 191 et 193, attendu que la corne à arc<B>177</B> peut être en permanence reliée élec triquement à l'extrémité <B>189</B> de l'enroulement 185, du moment qu'elle reste sur la base avec l'enroulement.
Il a. été signalé que toutes les parties porte-courant et moyens de contact, c'est-à- dire les bornes et les dispositifs d'extinction d'arc sont complètement isolées électrique ment de la base 7 et des moyens de com mande 16 par des moyens isolants capables de résister à des voltages élevés. Toutes les parties des moyens de commande 16 sont aussi disposées à une distance de sécurité de la région à tension
élevée qui entoure les moyens de contact mobiles et les bornes de l'interrupteur.
Une simplification sensible et une réduc tion des frais de construction sont impliquées par le fait que les couloirs à, arc<B>175</B> sont montés à glissement et de façon amovible sur les plaques magnétiques 181.
Les moyens de commande 16 sont complè tement à l'écart des moyens de contact mo biles 19, procurant ainsi un accès complet aux moyens de contact 19 lorsque les cou loirs à arc<B>175</B> sont enlevés. Le fait que les moyens de commande sont montés avec leur plus long ,axe perpendiculairement à la base, 7, réduit aussi sensiblement la hauteur totale de l'interrupteur.
La disposition de montage des couloirs à arc 175, qui permet de les mon ter ou de les enlever par un mouvement dans une direction perpendiculaire à la base 7, ré duit aussi l'espace de montage vertical re quis pour l'interrupteur en éliminant la né cessité de prévoir tout espace additionnel au- dessus de l'extrémité supérieure de la base 7 pour l'enlèvement des couloirs à arc. s