CH149109A - Dispositif pour écrire et calculer. - Google Patents

Dispositif pour écrire et calculer.

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CH149109A
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Inventor
Edmond Boutet Rene
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Edmond Boutet Rene
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Description


  Dispositif pour écrire et calculer.    La présente invention est relative à un  dispositif pour écrire et calculer, établi en  vue de permettre une grande     rapidité    de tra  vail pour la transcription sur la machine à  écrire de textes doublés d'opérations arithmé  tiques comme c'est le cas, par exemple, pour  la rédaction de factures ou autres documents  analogues.  



  Actuellement, pour ce travail, l'opérateur  est obligé d'agir sur les touches de la ma  chine à écrire pour l'inscription des nombres,  puis sur les touches de la machine à calculer  pour l'enregistrement ou     introduction    dans  cette dernière de ces nombres sur lesquels les  opérations doivent porter. Cet opérateur at  tend ensuite le résultat, qu'il écrit finalement  sur la facture en agissant     sur    les touches de  la machine à écrire.  



  Le dispositif selon l'invention comprend  une machine à écrire et une machine à calcu  ler reliées au moyen de circuits électriques  dont la fermeture est commandée par la ma  chine à écrire lors de l'inscription de chiffres    sur des documents à remplir et dans lesquels  sont intercalés des électro-aimants suscepti  bles de commander     les    touches de la machine  à calculer pour l'introduction dans cette der  nière des nombres sur lesquels l'opération  doit porter.  



  Une forme d'exécution et des variantes de  ce     -dispositif    sont représentées, à titre d'exem  ple, au dessin annexé. ,dans lequel:  La     fig.    1 est une vue schématique d'une  machine à écrire et d'une machine à calculer  travaillant en coopération conformément. à.

    l'invention;  La     fig.    2 représente le schéma électrique  reliant les deux machines ci-dessus;  La     fig.    3 montre à plus grande échelle un  détail -de construction de la machine à écrire:    Les     fig.    4 -et 5 sont deux vues de détail;    La     fig.    6 est une vue schématique pour  l'explication du     fonctionnement;     La     fig.    7 est un schéma des connexions  électriques reliant selon une variante de cons-      traction de la fig. 2, la machine à écrire et la  machine à calculer;  La fig. 8 représente une forme de réali  sation des touches à double contact de la ma  chine à écrire, selon cette même variante;

    La fig. 9 représente en plan les plots  fixes portés par la machine à écrire et ta  barre porte-plots mobile;  Les fig. 10 et 11 montrent en élévation  (vues de l'arrière) et en plan une variante de  construction du dispositif de la fig. 9;  La fig. 12 montre un dispositif de remise  automatique à zéro de la machine à calculer;  La fig. 13 est un schéma des connexions  électriques prévues pour faire commander  automatiquement, par la machine à calculer,  l'enregistrement du résultat dans la machine  à écrire;  Les fig. 14 et 15 sont des vues de détail  intéressant le mécanisme représenté sur la  fig. 13;  Les fig. 16, 16a et 17 sont également  des vues de détail de ce même méca  nisme, la     fig    16a étant une coupe suivant  XVIa-XVIa, fig. 16, et la fig. 17, une coupe  suivant XVII-XVII, fig. 14;

    La fig. 18 est une vue de détail d'une  touche dite "total".  



  On a représenté sur la fig. 1 une machine  à écrire A et une machine à calculer B, tou  tes deux d'un type connu quelconque.  



  Le clavier de la machine à écrire com  porte, à la manière     habituelle    et en particu  lier, un certain nombre de touches correspon  dant aux dix premiers chiffres.  



  De même, la machine à calculer B com  porte un premier clavier de touches m com  portant 10 touches et correspondant au mul  tiplicateur et un second clavier M compor  tant ii rangées de touches, chacune des u ran  gées correspondant à un ordre d'unité du  multiplicande et dans chacune de ces rangées,  chacune des touches correspondant à l'un des  dix premiers chiffres; le nombre de rangées  varie naturellement avec la capacité de la  machine. (Dans l'exemple représenté, on a  supposé quatre rangées seulement.) Le     résul-          tat    de l'opération effectuée est enregistré    comme d'habitude dans les roues totalisa  trices B.

   Dans le cas représenté, la machine à  calculer est une machine à moteur électrique  dont la mise en marche est assurée par un  bouton 1 pour les additions, par exemple, et  par un bouton ou barre multiplicatrice     l    a  pour la multiplication; cette machine est au  tomatique, c'est-à-dire que pour effectuer une  opération, il suffit d'enregistrer préalable  ment tous les chiffres du multiplicande, puis  ceux du multiplicateur et de mettre la ma  chine en marche. Un bouton 2 permet la re  mise à zéro du totalisateur et un bouton 3  la remise à zéro des     différentes        touches.     



  Les deux machines<I>A et B</I> sont     reliées     électriquement; le circuit électrique repré  senté schématiquement sur la     fig.    2 comprend  un conducteur ,d'arrivée 4 et un conducteur  de retour 5. Sur ce circuit principal 4--5  -est monté en dérivation un premier circuit     C)     permettant la: commande des touches multi  plicatrices m.

   Sur ce circuit est également  monté un jeu de circuits dérivés     7a,    7b, 70,  7d     permettant    la commande des touches de  multiplicande; il y a autant de circuits 7a,       7b,    etc. qu'il y a -de rangées de touches de       multiplicande    (4 dans l'exemple     représentë).     Le circuit 7a correspond à la rangée<I>na,</I>     ie     circuit     7b    à la rangée     nb    et ainsi de suite.  Tous ces circuits dérivés sont normalement  ouverts et pour que l'un quelconque d'entre  eux soit fermé, il faut qu'une double condi  tion soit remplie. Il faut. d'abord que l'un  des interrupteurs Cl, C2, C3, etc. soit fermé.

    Chacun de ces interrupteurs correspond à  l'une des touches du clavier -de la machine à  écrire (correspondant. aux dix premiers chif  fres. Lorsque l'on agit sur l'une quelconque  de ces touches, on ferme le contact Cl, C2,       C3    correspondant. A cet effet,     il    suffit -de  rendre solidaire de chacune -de ces touches  T     (fig.    4) un plot métallique 8 qui, lorsque  la touche est enfoncée, relie électriquement  les deux plots fixes 9 et 9a de l'interrupteur.  Il faut également pour la     fermeture    d'un  circuit dérivé une autre condition qui est. la  fermeture soit du contact D en ce qui con  cerne le circuit 6, soit de l'un des contacts      Da, Db, etc., en ce qui concerne les circuits  7a, 7b, etc.

   Le circuit 6 peut donc se fermer  (lorsque l'interrupteur D est fermé), par  l'un ou l'autre des interrupteurs Cl, C2, C3,  etc. Suivant le cas c'est donc l'un ou l'autre  des électro-aimants El, E2, E3, etc., inter  calé sur ces différents circuits, qui se trou  vera excité. Chacun de ces électro-aimants  L'1, E2, E3 est susceptible de commander  une touche     correspondante        multiplicatrice    du  clavier m de la machine à calculer. L'électro  aimant El commande la touche 1, l'électro  E2 la touche 2 et ainsi de suite.  



  De même dans chacun des circuits 7a,     7b,     7c, 7d sont intercalés un certain nombre  d'électro-aimants EA1, EA2..., EB1, EB2,  etc. Chacune de ces rangées d'électros corres  pond à une rangée de touches de multipli  cande et chacun des électros à une touche de  la rangée correspondante. C'est ainsi que  EAlcorrespond à la touche 1, de la rangée  na, EA2, à la touche 2 de la rangée na, EB1  à la touche 1 de la rangée nb et ainsi de  suite.  



  La fermeture cles contacts D, Da, Db,  De. Dd se produit automatiquement lors du  déplacement du chariot de la machine à  écrire. A cet effet, ce chariot est solidaire  d'une barre 10 munie d'un plot PM et d'un  second plot Pmn. Cette barre 10 se déplace en  regard d'un bloc fixe isolant 11 dans lequel  sont également prévus, d'une part, un cer  tain nombre de plots pa, pb, pc, pd coopé  rant avec le plot PM, et, d'autre part, un plot  pin, coopérant avec le plot Pm. Le plot PM,  comme le plot<I>Pm</I> sont reliés au fil de  retour 5. Dans ce but, la barre 10 peut  être réalisée en métal conducteur et être re  liée à elle-même à ce fil 5. Les plots pa, pb,  pc, pd sont reliés aux circuits 7a, 7b, 7c, 7d  respectivement; le plot pin, est relié au cir  cuit 6.

   On se rend compte dans ces condi  tions, que lorsque la barre 10 se déplace et  que le plot PM vient successivement en con  tact avec les plots pa, pb, pc, pd, il fermera       successivement    les circuits 7a, 7b. De même,  lorsque le plot Pmn arrivera en regard du plot    pin, il fermera le circuit 6. En d'autres mots,  les contacts Da, Db, De, Dd, représentés  schématiquement sur la fig. 2, sont réalisés  par le plot PM,     coopérant    successivement  avec chacun des plots pa, pb, pc, pd, tandis  que le contact D est réalisé par des plots Pm  et pm.  



  Le dispositif fonctionne de la façon sui  vante  Si l'on suppose, comme représenté sché  matiquement sur la fig. 6 que l'on a à rédi  ger une facture qui, comme d'habitude. se  compose d'une première colonne dans laquelle  est indiqué le prix unitaire de l'objet, une  seconde colonne dans laquelle doit figurer  le nombre de ces objets, une troisième colonne  pour leur désignation et enfin, une quatrième  pour le total, on place cette facture sur la  machine à écrire, à la façon habituelle. Polur  commencer à écrire il faut donc que le point       d.e    .frappe de la machine soit. en regard de  la première colonne.

   La position de la barre  10 est alors déterminée pour -qu'à ce moment  le plot     P11'1    soit en regard du plot     pd.    Le con  tact     Dd    est alors     fermé;    si à ce moment on  appuie sur la touche correspondante au pre  mier chiffre du prix unitaire (c'est-à-dire  du multiplicande), on fermera le contact C1.  C2... correspondant. L'électro-aimant corres  pondant     ED1,        ED2,    etc. se trouvera excité     ct,     la. touche correspondante du multiplicande de  la rangée     nd    actionnée. On aura ainsi enre  gistré le premier chiffre du multiplicande.  



  Lorsqu'on inscrira le second chiffre du  prix unitaire, le plot PM se trouvera en re  gard du plot     pc    et lorsqu'on appuiera. sur la  touche correspondant au second chiffre, on  fermera de nouveau un contact C1, C2, C3,  etc. d'où     actionnement    d'une touche de la  deuxième rangée ne du multiplicande. Si le  prix unitaire a quatre chiffres, on comman  dera donc une touche à chacune des rangées  <I>na,</I>     nb....     



  Il est évident que dans le cas où le prix  unitaire ne comporte -que trois chiffres ou  moins, on devra, pour commencer à écrire,  amener le chariot dans la position pour la  quelle le plot PM se trouve en regard du plot      pc ou des plots pb, pa. Après l'inscription  du prix unitaire, on déplace le chariot de la  machine à écrire pour arriver en regard de la  colonne relative au nombre d'objets, lequel  nombre doit constituer le multiplicateur.  



  Dans cette position, le plot<I>Pm</I> se trouve  en regard du plot pm. Lorsqu'on appuiera sur  l'une des touches des chiffres de la machine  à écrire, on fermera donc le circuit 6, d'où  commande de l'une des touches multiplicatri  ces. En agissant sur plusieurs touches de la  machine à écrire, on enregistrera donc tous  les chiffres du multiplicateur.  



  Après cet enregistrement du multipli  cande et du multiplicateur, il suffit à l'opé  rateur d'appuyer sur le bouton 1 de la ma  chine à calculer pour provoquer son fonction  nement.  



  Pendant que cette machine effectue l'opé  ration, l'opérateur pourra continuer la rédac  tion de sa facture et lorsqu'il arrivera en re  gard de la colonne "total", il lui suffira de  regarder sur la machine à calculer le résultat  de l'opération pour l'enregistrer sur sa fac  ture.  



  Il n'y aura donc aucune perte de temps  alors qu'actuellement lorsqu'il y a une opé  ration à effectuer, l'opérateur est obligé d'a  gir non seulement sur les touches de la ma  chine à écrire mais encore     sur    celles de la  machine à calculer. Il y a donc une grande  simplification du travail. Naturellement, on  pourra prévoir d'autres plots sur la barre 10  et sur le bloc 11 pour commander automa  tiquement, toujours par le mouvement du  chariot, la remise à zéro ou l'inversion de la  machine à calculer.  



  Sur la fig. 3, on a représenté, comme  exemple, un plot supplémentaire Pl qui, en  coopérant avec un plot pl, ferme un contact  D1 branché sur un circuit 12 dans lequel  est intercalé un électro-aimant E0 comman  dant automatiquement la remise à zéro de la  machine à calculer.  



  Les électro-aimants El, E2...., E AI, EA2,  etc. permettant la commande des touches  multiplicatrices pourront être disposées de  toute manière appropriée.    Selon la disposition représentée sur la  fig. 5, chaque touche T comporte une tige  13 constituant le noyau plongeur de     l'élec-          tro-aimant    E correspondant. Lorsque cet  électro E est excité, il fait redescendre la  touche T dont la tige 13 commande alors la  tige 14 actionnant le mécanisme de la ma  chine à calculer.  



  On remarquera qu'avec     cette    disposition,  dans le cas où, pour une raison quelconque,  les électros E ne pourraient pas être excités,  la touche T pourrait être actionnée à la main  à la manière habituelle.  



  Le schéma électrique représenté sur la  fig. 7 constitue un perfectionnement du  schéma de la fig. 2, ce perfectionnement per  mettant l'élimination totale des courants dé  rivés. Dans la fig. 2, en effet, les électros  EA1, EA2, EA3..., ED1, EB2..., etc. sont  tous constamment interconnectés. Par suite,  on pourrait quelquefois provoquer, par  l'actionnement d'une seule touche Cl, C2...,  l'excitation de plusieurs     électros-.     



  Le schéma représenté sur la     fig.    7 élimine  totalement cet inconvénient.  



  On retrouve sur ce schéma le fil d'arrivée  4 du circuit général et le fil de sortie 5, les  interrupteurs CI,<I>C2,</I>     C3...   <I>C9, CO</I> comman  dés que les touches de la machine à     écrire    et.  enfin, les interrupteurs Da.     Db,    etc.  



  On remarquera toutefois. qu'alors que  dans la     fig.    ? on n'a représenté que quatre  rangées     d'électros        EAI,        EBI,    on a jugé pré  férable de représenter ici les neuf rangées       c1P    ces     électros    correspondant respectivement  aux neuf     rangées    de touches du clavier du  multiplicande     -de    la machine à calculer; on  sait en effet que ces machines à calculer  comportent généralement pour le multipli  cande, neuf rangées de touches.  



  Dans ce cas, les     électros        EA1,        EA2...     d'une même rangée ne sont pas, en temps nor  mal, reliés     directement    au fil aboutissant à  l'interrupteur<I>Da</I> correspondant. Dans ces  conditions, en temps normal, les différentes  rangées     d'électros    ne sont pas interconnectées.  



  Pour obtenir la liaison en temps opportun,  on prévoit pour chacune des rangées     EA1,         EA2... une barrette conductrice 20A, 20B,  20C, etc., portée par des biellettes pouvant  osciller autour des pivots isolants 40 et main  tenue normalement par des ressort 23a dans  la position dans laquelle elle n'est pas en  contact avec les électron EA1, EA2.... La  commande de chacune de ces barrettes 20A,  20B, etc. est obtenue par un électro 21A,  21B...; ces différents électron sont montés en  dérivation sur un circuit 22 dans lequel est  intercalé un interrupteur 23 qui est fermé  chaque fois que l'une des touches quelcon  ques<I>Cl, C2,</I>     C3    de la machine à écrire est  actionnée; on verra plus loin dans quelles  conditions.

   L'autre extrémité des électros  21A, 21B, etc., aboutit aux interrupteurs Da,  Db, etc.; lorsque l'un quelconque des électron  est excité, il attire la barrette 20A, 20B,  etc. correspondante qui vient alors en contact  avec le fil 24, relié également à l'interrup  teur Da, Db, etc. correspondant. On prévoit  de la même manière une barrette 25 pour la  rangée d'électron El, E2, E3, etc., correspon  dant aux touches du     multiplicateur    de la ma  chine à calculer.  



  Pour obtenir, par l'actionnement d'une  touche de la machine à écrire, la fermeture  simultanée du contact Cl, C2, C3, etc. cor  respondant et de l'interrupteur 23, on pourra  adopter, par exemple, la disposition repré  sentée sur la fig. 8, selon laquelle l'extrémité  26 de chacune des touches porte deux doigts  27 et 28 susceptibles d'agir respectivement  sur des broches 29 et 30 qui, lorsqu'elles  sont enfoncées, ferment, la première, le con  tact Cl ou C2 ou C3, etc. correspondant et  la seconde, le contact 23. De     préférence,    la  longueur des doigts 27 et 28 sera telle que le  contact 23 sera fermé le premier. De même, la  pièce 30 pourra être commune à toutes les  touches, puisque l'interrupteur 23 auquel elle  correspond doit être fermé chaque fois qu'une  touche est atteinte.  



  On a, enfin, représenté en plan, sur la  fig. 9, la disposition des plots commandés  par la machine à écrire et qui est d'ailleurs  sensiblement analogue dans ses     caractéristi-       ques essentielles à celle représentée sur la  fig. 3. On y retrouve en effet un bloc 11 sur  lequel sont montés tout d'abord les plots pa,  pb, pc, pe..., pi (un plot pour chaque rangée  d'électron EA1, EB2, etc.). Le plot PM  monté sur la barre 10, reliée à l'arrivée du  courant, est susceptible, du fait qu'il se dé  place avec le chariot, de s'appliquer successi  vement sur ces plots pi, ph, Pte. On retrouve  de même, sur le bloc 11, le plot pm pour la  commande du     multiplicateur,    lequel plot coo  père avec le plot mobile Pm monté sur la  barre 10.

   On prévoit, en outre, un plot 31  pour la mise de la machine à calculer en mul  tiplication et un plot 32 pour l'actionnement  de la barre multiplicatrice la de cette ma  chine.  



  L'ensemble de la machine à écrire et de  la machine à     calculer    fonctionne dans les  mêmes conditions que précédemment et on  ne reviendra pas sur c e fonctionnement. On  signalera simplement la seule différence qui  existe et qui réside en ce que l'opérateur agit  sur l'une quelconque des touches de la ma  chine à écrire (touche de chiffre naturelle  ment), .cette touche ferme tout d'abord le con  tact 23, ce qui permet aux électron 21A,  <I>21B...</I> d'être alimentés, puis le contact Cl,  C2... correspondant. en sorte que c'est seule  ment     l'électro        21,1,    21B... correspondant qui  sera excité et. qui attirera la     barrette    conduc  trice<I>20A, 20B...</I> correspondante.

   Dans ces  conditions, seul     l'électro        EA1,        EA2,        EA3     correspondant au contact<I>Cl, C2, C3,</I> et à  l'interrupteur<I>Da,</I>     Db,        Dc...    fermé à ce mo  ment, du fait ,de la. position du chariot de 1a  machine, se trouvera excité et     commandera,     la touche correspondante de la machine à cal  culer.  



  On remarquera que le fait d'avoir isolé  les     différentes    rangées verticales d'électron       EA1,        EA2,        EA3...    permet, .de façon cer  taine, l'élimination des courants dérivés entre  ces     différentes    rangées.  



  Ainsi que cela a déjà été indiqué, on peut  prévoir un certain nombre de plots sur 'le  bloc 11 pour la commande de certaines opé-      rations. C'est ainsi que dans le cas de la  fig. 9, on a prévu, en supplément des plots  déjà décrits, un jeu de plots 33, pcl, pdl...,  pil et 34 permettant une vérification des  opérations effectuées. On remarquera tout  d'abord que les plots pc1, pi1 sont reliés  électriquement avec les plots pc..., pi avec  décalage de deux rangées. Ce décalage, dont  on verra le rôle plus loin, suppose que l'on  travaille avec une machine à calculer dans la  quelle sont prévues deux décimales au multi  plicateur et deux décimales au multiplicande,  ce qui donne au résultat quatre décimales  dont on ne doit retenir que deux.

   Le plot 33  est relié à un circuit électrique dans lequel  sont montés les électro-aimants 33a néces  saires pour mettre automatiquement la ma  chine à calculer en soustraction et pour la  remise à zéro du clavier de cette machine.  Le plot 34 est relié à un électro 34a de com  mande du bouton du moteur de la machine  à calculer et permet sa mise en marche. Ces  plots fixes 33, pc1..., pi1 et 34 coopèrent avec  le plot 35 porté par la barre 10 et qui vient  en regard du plot 33 lorsque le chariot de la  machine à écrire est dans la position pour la  quelle le point de frappe se trouve en regard  de la colonne résultat. Donc, au moment où  l'opérateur va inscrire le résultat que l'opé  ration a donné, le plot 35 en venant en con  tact avec le plot 33, place la machine à calcu  ler en soustraction et remet le clavier à zéro.

    Ensuite, l'opérateur qui veut inscrire son ré  sultat actionne les touches correspondantes  du clavier de la machine à écrire, ce qui a  pour effet l'actionnement dans le clavier du  multiplicande, des touches correspondant aux  chiffres du résultat, avec la remarque essen  tielle que deux décimales sont négligées.  Etant donné en effet qu'on a vu qu'il s'agis  sait d'une machine à calculer dans laquelle  on ne prévoit que deux décimales pour le  multiplicande, il serait impossible d'y faire  figurer les quatre décimales que peut avoir  donné le résultat et c'est pour cette suppres  sion des deux décimales qu'on a relié les  plots pcl..., pil respectivement aux plots pc  et pi avec un décalage de deux rangées.

      Après l'inscription du résultat, le plot 35 ar  rive en regard du plot 34 et met la machine à  calculer en marche, laquelle effectue alors la  soustraction. Si l'opérateur a enregistré le  bon résultat, la machine devra revenir à  zéro et l'opérateur le vérifiera. Il aura donc  acquis la certitude d'avoir inscrit le bon ré  sultat; si au contraire, il s'est trompé dans  l'inscription du résultat, la machine sonnera  s'il a fait une erreur en plus et, s'il a fait  une erreur en moins, il restera dans la ma  chine à     calculer    un nombre dont la présence  renseignera l'opérateur sur l'inexactitude du  résultat qu'il a enregistré.

   Naturellement, si  l'on ne voulait pas supprimer de décimales,  le décalage susmentionné n'aurait pas à être  prévu; par contre, si on voulait supprimer  toutes les décimales, on pourrait faire un  décalage plus grand de 3, 4 rangées, etc.  



  On peut enfin prévoir sur le bloc 11  d'autres plots pouvant actionner des accessoi  res divers, tels que 41....    Un autre perfectionnement est prévu pour  remédier à l'inconvénient suivant: Alors que  les électro-aimants     EAI,        EA2.:.,        EB1,        EB2,     etc. ne peuvent être excités .qu'à la. double  condition qu'un interrupteur     Cl.,    C2... et un  interrupteur<I>Da,</I>     Dh...    soient fermés, les  électro-aimants correspondant aux plots 31,  32, 33, 34, etc. sont alimentés dès que le  plot mobile correspondant arrive en regard  de ces plots.

   Dans ces conditions, les électro  aimants pourraient être actionnés aussi bien  lorsque le chariot se déplace dans le sens de  marche que lorsqu'il se déplace en sens con  traire; or, seul le premier     actionnement        ;st     nécessaire; pour empêcher le second, on in  tercale sur le circuit 36, dans lequel sont  montés, en .dérivation par exemple, ces -diffé  rents électro-aimants, un interrupteur 37     qui     est. fermé chaque fois qu'on agit sur le ta  bulateur dont la machine à écrire est munie  et par le moyen duquel on     manoeuvre    le cha  riot lorsqu'on rédige une facture.

   Il s'agit  là d'un tabulateur bien connu qui, de     pr6fé-          rence,    sera un tabulateur décimal et que l'on  n'a pas besoin de décrire ici. Ce tabulateur      décimal comprend généralement un certain  nombre de touches correspondant aux ordres  d'unités, dizaines, centaines,     milles,    dizaines  de milles, etc. Suivant à quel ordre d'unité  correspond le premier chiffre du nombre  qu'on veut enregistrer, il suffit d'agir sur la  touche du tabulateur voulue. En agissant sur  cette touche, on ferme le contact 37, en sorte  que le circuit pourra se trouver fermé par  celui des plots 31, 32, 33, 34, etc. avec le  quel sera justement en contact à ce moment  le plot mobile correspondant de la barre 10.

    Par contre, lorsqu'on déplacera à la main le  chariot de la machine, l'interrupteur 37 res  tera toujours ouvert en sorte que lorsque les  plots mobiles passeront sur les plots fixes 31,  32, 33, 34, il n'y aura pas de commande des  électro-aimants montés sur le circuit 36.  



  On a représenté sur les fig. 10 et 11 un  perfectionnement dans la disposition des  plots sur la machine à écrire. Selon ce per  fectionnement, le bloc il de la fig. 9 est  remplacé par des blocs indépendants lia,  11b, ete., portant chacun l'un des jeux de  plots, le bloc lia portera, par exemple, le jeu  clé plots 31, pi, ph..., pa; le bloc 11b, le jeu  pua 32; le bloc lie (non représenté), le jeu  33 pil, ph1..., pc1, et ainsi de suite. Ces blocs  l1a, 11b, lie, etc. sont constitués par un  bloc de matière isolante aux deux extrémi  tés duquel sont     rapportées    des joues 45 for  mant curseurs, ce qui permet de les monter  dans des rainures d'une crémaillère 46 fixée  de toute manière appropriée sui le bâti de la  machine à écrire.

   Grâce à ce montage parti  culier, on peut fixer chacun des blocs lia,  l1b sur le bâti de la machine dans telle ou  telle position. Etant donné qu'on peut ainsi,  décaler les différents jeux de plots portés  par le bâti de la machine, on n'a plus à pré  voir de décalage entre les plots PM, Pm, 35,  etc., devant se déplacer avec le chariot;  plus simplement, on peut même remplacer  tous ces plots par un plot unique 47 porté  directement par le chariot. Ce plot 47 viendra  d'abord en contact avec les plots du bloc 11a,  puis avec ceux du bloc 11b et ainsi de suite.  Il suffira donc cle décaler convenablement    la position de ces différents blocs pour ob  tenir la commande des circuits dans les mê  mes conditions que celles exposées précé  demment.

   On remarquera d'ailleurs que, si  les circonstances le réclament, on peut mon  ter les blocs, soit comme représenté en traits  pleins vers l'extérieur de la machine, soit  vers l'intérieur, comme représenté en     poi.ii-          tillé.    Il suffit pour cela de prévoir un  deuxième plot 47a susceptible de coopérer  avec les plots -des blocs ainsi disposés vers  l'intérieur.  



  On a représenté sur la     fig.    12 un autre       perfectionnement    permettant la remise auto  matique à zéro de toutes les roues     totalisatri-          'ces        h    -de la machine à calculer. On a vu que  pour la vérification de l'inscription du résul  tat sur la machine à écrire, on     réenregistre     dans<B>le</B> clavier .de la machine à calculer le  résultat porté sur la machine à écrire et on  soustrait ce résultat enregistré dans ce cla  vier du résultat précédemment enregistré par  les roues totalisatrices de cette machine à  calculer.

   Mais on a vu également que dans     ce.-          tains    cas, il est préférable de négliger des dé  cimales (deux par exemple), en sorte que  l'on n'inscrit dans le clavier du multipli  cande que le résultat amputé de ses deux der  nières décimales. Lors de la soustraction, il  -est donc évident que dans les roues totalisa  trices de la machine à calculer, les deux -der  nières décimales du résultat     complet.    doivent  de toute façon subsister. Si les opérations  avaient été faites exactement, toutes les au  tres roues totalisatrices se retrouvent bien  à zéro, mais les     -deux    dernières roues conser  vent les deux dernières .décimales.  



  Pour la remise automatique à zéro de ces  deux dernières roues, on prévoit le     dispositif     suivant représenté sur la     fig.    12. Sur     chacun     des axes des différentes roues totalisatrices, on  monte un disque 48 portant. une encoche 49.  La     position    .de -ces différentes encoches est  telle que lorsque     toutes    les roues portant des  disques 48 sont à zéro, les encoches se trou  vent disposées suivant une ligne droite  comme c'est- le cas, par exemple, pour les trois      roues de gauche de la fig. 12. Au-dessus de  ces différents disques peut     se    déplacer une  tige 59 poussée par un ressort 60 et portant  autant d'ergots 61 qu'il y a de disques à en  coches 48.

   Si l'une quelconque des quatre  roues portant les disques 48 n'est pas dans la  position zéro, comme c'est, par exemple, le  cas pour la quatrième roue (en partant de la  gauche), l'ergot 61 correspondant bute contre  la surface extérieure du disque 48 et la tige  59 se trouve donc immobilisée dans sa posi  tion de gauche. Mais au contraire, si tous les  disques à encoches 48 se trouvent dans la po  sition zéro, toutes les encoches 49 sont en li  gne droite, et les ergots en venant se loger  dans ces différentes encoches permettent le  déplacement vers la droite (sous l'action de  son ressort) de la tige 59.

   Ce déplacement est  utilisé pour commander la remise à zéro des  deux dernières roues totalisatrices de droite  clans les conditions suivantes: L'extrémité de  la tige 59 commande la fermeture d'un in  terrupteur 62 intercalé dans un circuit élec  trique 63 dans lequel est également intercalé  un électro-aimant 64 agissant     sur    un noyau  65 articulé en 66 sur le levier 67 de remise  automatique à zéro ordinairement prévu sur  toutes les machines à calculer.

   Dans ces con  ditions, si après la vérification des opéra  tions, ainsi qu'exposé précédemment, toutes  les roues totalisatrices (à l'exception des deux  dernières de droite) se retrouvent à zéro, la  tige 59 se déplace, et par l'intermédiaire de  l'électro-aimant 64, commande le levier 67,  qui ramène également à zéro les deux derniè  res roues totalisatrices. Il n'y a donc plus  aucune     man#uvre    à faire pour que toutes les  roues totalisatrices de la machine à calculer  se     retrouvent    à zéro après un cycle d'opéra  tions. On pourrait naturellement prévoir la  remise à zéro d'un nombre quelconque de  roues totalisatrices suivant le nombre de dé  cimales négligées.  



  On peut également prévoir pour que les  machines soient complètement automatiques,  un dispositif permettant le retour automati  que du chariot de la machine à écrire. Dans  le cas représenté sur la fig. 12, le noyau de    l'électro 64 ferme, lorsqu'il arrive vers la fin  de sa course, un interrupteur 68 intercalé  dans un circuit électrique 69 dans lequel est  d'autre part intercalé un électro-aimant (non  représenté) fixé sur la machine à écrire, et  susceptible de commander le retour automa  tique du chariot en agissant, par exemple,  sur une touche appropriée (non représentée).  



  On a représenté sur les fig. 16 à 18 un  ensemble de     connexions    électriques et de dis  positifs permettant de faire commander au  tomatiquement, par la machine à calculer  après qu'elle a effectué l'opération, l'enre  gistrement du résultat obtenu dans la co  lonne "résultat" de la facture posée dans la  machine à écrire. En d'autres mots, ces cir  cuits électriques et dispositifs ont pour but  de remplacer l'inscription dactylographiée  que devait faire l'opérateur avec les disposi  tifs précédemment décrits, et, par consé  quent, de supprimer la nécessité de la vérifi  cation et toutes les opérations connexes  cette vérification.  



  On remarquera tout d'abord que le cir  cuit électrique qui permet d'obtenir ce ré  sultat et qui est représenté sur la fig. 13 est  complètement indépendant des circuits élec  triques précédemment décrits. Il comprend  une arrivée de courant 100 qui est reliée au  plot mobile 101 se déplaçant avec le chariot  de la machine à écrire, et qui peut ainsi  successivement venir en contact avec des  plots     102a,        1021>,    102c... portés par le bâti de  la machine à     Ucrire    dans les mêmes condi  tions, par exemple, que les plots     pa,        pb...     précédemment décrits.

   Chacun de ces plots  est relié à un circuit électrique     103a,        103b,     103c... et tous ces circuits sont eux-mêmes  reliés par un fil 104 à la sortie générale     10:î     (lu circuit. Dans le circuit 100-105 est     in-          t;:rcalé    un     interrupteur        106a-1.06b    com  mandé par une touche spéciale 107 prévue  sur le clavier de la machine à écrire et qu'on  appellera par la suite "touche total".  



  Dans le circuit 100-105 est également  intercalé un second interrupteur 108 dont on  verra le rôle plus loin. Dans chacun des cir-      cuits 103a-104, 108b-104, 103d-104... à  l'exception du circuit 103c-104, est inter  calé un électro-aimant 109a, 109b, 109d,  109e... qui se trouve excité chaque fois que le  circuit correspondant est fermé, du fait que  le plat mobile 101 est venu en contact avec  le plot fixe 102a, 102b... correspondant. Cha  cun de ces électro-aimants 109... est suscepti  ble de provoquer le déplacement     d'un    bloc  porte-lames de contact 110a, 110b, 110d... qui  coopère avec un mécanisme spécial prévu  pour chacune des roues totalisatrices de la  machine à calculer. On a représenté ce méca  nisme sur la fig. 14.

   L'axe 111 de chaque  roue totalisatrice est prolongé à l'extérieur  du carter 112 de la, machine à calculer, pour  pouvoir supporter une douille métallique 113  qui porte dix plots 1151, 1152, 1153... (un  pour chacun des dix premiers chiffres); ces  plots sont disposés suivant une ligne héli  coïdale de manière à ce que, lorsque la roue  totalisatrice correspondante a été commandée  pour désigner un chiffre déterminé, ce soit  1e plot 1151, 1l52... correspondant à ce chif  fre qui se trouve placé suivant une     généra-          trie    e déterminée de la douille 113, en regard  de laquelle génératrice est justement disposé  le bloc isolant 110 dont chacune des     lames-          contact    1141, 1142, 1143...

   coopère avec l'un  des plots 1151, 1152.... Ces plots peuvent être  réalisés, par exemple, par de simples vis vis  sées dans la douille 113. C'est d'ailleurs à  cette douille conductrice 113, isolée des or  ganes adjacents, qu'est relié le fil 103 d'ar  rivée de courant par l'intermédiaire d'une  lame-contact 114a portée par le bloc 110 et  d'une collerette 115a portée par la  douille 113.  



  Lorsque l'électro-aimant 109 n'est pas  excité, le bloc 110 est dans sa position écar  tée (position de la fig. 14) et aucun contact  n'est établi entre les lames 114 et les plots  115. Au contraire, lorsque l'électro-aimant  109 est excité, le bloc 110 s'est rapproché de  la douille 113 correspondante et l'une des la  mes 114 est venue en contact avec le plot 115  correspondant suivant la position angulaire  occupée par la roue totalisatrice correspon-    dante. Pour son déplacement, chacun des  blocs 110 porte deux rainures 150 dans les  quelles sont engagés des ergots 151 portés  par le bâti fixe de la machine.  



  Les mécanismes 118 solidaires des roues  totalisatrices se déplacent lors de l'opération  effectuée par la machine à calculer avec le  chariot de celle-ci, mais au moment où il est  nécessaire de procéder à l'enregistrement du  résultat, ces roues sont obligatoirement reve  nues dans la position     normale    pour laquelle  lesdits mécanismes sont justement en regard  des blocs 110 correspondants. Chacune des  lames-contact 1141, 1142... est reliée à un  circuit 1171, 1172... (voir fig. 13 et 14) et  chacun de ces circuits est relié à la sortie du  courant 105,  Il est bien entendu que pour chaque roue  totalisatrice il y a une douille 113, un bloc  110 et un jeu de circuits 1171, 1172, 1173.  On remarquera, toutefois, que tous les cir  cuits 1171 sont reliés en un seul, de même  tous les circuits 1172...

   On peut donc consi  dérer qu'il n'y a qu'un circuit 1171,     1172...     



  Dans chacun de ces circuits est intercalé  un électro-aimant 1181. 1182.     1183....    Ces       électro-aimants    sont montés sur les     touches-          chiffres    26 de la machine à écrire, comme on  l'a représenté, par exemple, sur la.     fig.    15.  Chacune de ces touches 26, dont la partie in  férieure est muni, comme représenté sur la       fig.    8, clé plots 27     et.    28 pour la commande  des circuits précédemment décrits (permet  tant la commande de la machine à calculer),  est surmontée .d'une tige 120 solidaire d'une  armature 121 qui constitue le noyau     dL     l'électro-aimant 118 correspondant.

   A sa par  tie supérieure, ce prolongement comporte  un bouton 122 permettant     l'actionnement    de  la touche à. la main. Lorsque l'électro-aimant  est excité, l'armature 121 est attirée et l'a  baissement de la touche commandé.  



  On a vu que le circuit 103c ne compor  tait pas d'électro-aimant 109; il comporte,  par contre, un électro-aimant 123 qui agit  sur la barre d'espacement de la machine à  écrire provoquant, comme on le sait, le dépla-      cernent du chariot sans l'inscription de carac  tères.  



  Le fonctionnement est le suivant:  La machine à calculer ayant, sous la  commande de la machine à écrire, enregistré  le multiplicande et le multiplicateur, et ef  fectué l'opération dans les conditions expo  sées précédemment, il suffit, pour enregis  trer le résultat dans la facture portée par la  machine à écrire, d'appuyer sur la touche  "total" 107. On ferme ainsi le circuit  100-105 (en supposant l'interrupteur 108  fermé).  



  Si l'on suppose alors qu'à ce moment le  chariot est dans une position telle que le plot  101 est en contact avec le plot 102a, le cir  cuit 100, 103a, 104 sera fermé et l'électro  aimant 109a excité. Le bloc 110a sera rap  proché de la douille 113 correspondante et  suivant la position de la roue totalisatrice  111 de ce mécanisme, c'est un plot déter  miné 1151, 1152, qui viendra en contact avec  la lame 1141, 1142 correspondante. On suppo  sera, par exemple, que c'est la lame-contact  1142. On voit alors que le circuit 1172 sera  fermé, ce qui provoque l'excitation de l'élec  tro-aimant 1182 et, par conséquent, l'abaisse  ment de la touche de la machine à écrire.  correspondant au chiffre 2 dont l'inscription  sur la facture sera ainsi commandée.

   Cet  abaissement de la touche aura pour effet de  provoquer le déplacement du chariot et le  plot 101 viendra en regard du plot 102b; les  mêmes opérations se reproduiront avec ins  cription d'un nouveau chiffre et ainsi de  suite.  



  Dans le cas représenté, on a supposé sim  plement quatre plots 102a, 102b, 102d, 102c  permettant l'inscription d'un chiffre et un  plot 102e permettant d'obtenir un espace en  tre les unités et les décimales. Lorsque le  plot 101 vient en regard du plot 102c, il n'y  a pas d'électro-aimant 109 excité, par consé  quent, il ne peut y avoir de touches     coin-          ma    ndées. Mais, par contre, l'électro-aimant  123 commande la barre d'espacement de la  machine à écrire dont le chariot se déplace  deux fois consécutivement, ce qui a pour ef-    fet d'amener le plot 101 en regard du plot  102d pour l'inscription d'un nouveau chiffre.  On va voir maintenant comment est réa  lisé l'interrupteur 108 et quel est son rôle.  



  Lorsqu'une touche de la machine à écrire  a été abaissée du fait de l'excitation de  l'électro-aimant 118, il est nécessaire, si l'on  veut permettre la remontée de la touche  (sous l'action, par exemple, d'un ressort non  représenté) de couper, à la fin de cette coure  d'abaissement, le courant arrivant dans  l'électro-aimant 118. A cet effet (fig. 16 et  16a), chacune des touches est munie de deux  becs 125 et 126 entre lesquels est dispose  l'extrémité d'un levier 127 calé sur un axe  128 parallèle à la rangée de touches et com  mun pour toutes ces touches. En d'autres  mots, sur cet arbre 128 sont calés autant de  leviers 127 qu'il y a de touches. Sur cet ar  bre 128 est en outre calé un levier isolant  129 susceptible de relier ou de séparer les  deux contacts formant l'interrupteur 108  susmentionné.

   Un ressort 130 -est susceptible  de maintenir le levier 129 aussi bien dans la,  position d'ouverture que dans la position de       fermeture    des contact 108.  



  Lorsque, en position de repos, toutes les  touches sont relevées, le levier 129     ferme        ï?     contact 108. Dès qu'une     touche-chiffre    quel  conque est abaissée, le contact 108 reste  fermé jusque vers la. fin de cette     course    d'a  baissement. Lorsque la touche arrive vers la  fin de sa course, le bec supérieur 125 agit  sur le levier 127 et     provoque    le pivotement  du levier 199 qui ouvre l'interrupteur 108.  A ce moment, l'électro-aimant 118 correspon  dant n'est plus excité et sous l'action de son  ressort la touche remonte.

   Lors de cette  remontée, le bec inférieur 126 agit à son  tour sur le levier 127 correspondant et le le  vier 129 est abaissé pour fermer à nouveau  le contact 108, en sorte que le circuit électri  que est à nouveau prêt pour provoquer un  nouvel abaissement d'une autre touche de la  machine à écrire, ou de la même touche.  



  Avec les circuits -et dispositifs qui vien  nent d'être décrits, on est. obligé, avant d'a  gir sur la touche "total", d'amener le     chariot         de la machine à écrire dans la position vou  lue pour que le plot 101 se trouve en regard  de celui des plots 102 qui correspond à la       première   <I>roue</I> totalisatrice     correspondant    au  premier ordredécimal du résultat.  



  Or, dans un grand nombre de machines  à écrire actuelles et comme on l'a précédem  ment indiqué, il est prévu un jeu de touches  supplémentaires dites "touches de tabulateur  décimal". Il y a, par exemple, une touche  pour les unités, une pour les centaines et  pour les milles, etc. Le chariot et le tabula  teur ayant     été    préalablement réglés, lors  qu'on appuie sur la touche "centaines", par  exemple, le chariot vient automatiquement se  placer dans la position pour laquelle la fac  ture présente, en regard du point de frappe,  exactement la position dans laquelle doit se  trouver le chiffre des centaines. En d'au  tres mots, ce tabulateur décimal     permet    d'ob  tenir, par une simple action sur une touche,  l'amenée du chariot dans une position voulue.

    Le dispositif peut être établi pour     permettre     la commande automatique de ces touches de  tabulateur décimal par la machine à calcu  ler.  



  A cet effet, et comme représenté sur la  fig. 17, sur l'axe 111 de chacune des roues  totalisatrices (trois seulement ont été repré  sentées) est calé un disque 131 comportant  une encoche 132 et coopérant avec un plot  mobile 133 susceptible de venir en contact  avec un plot fixe 134 prévu à l'extrémité  d'un circuit 135. On retrouve sur la fig. 13 les  différents circuits 135 (sept circuits seule  ment ont été représentés), tous montés en dé  rivation sur un circuit 136 dérivé lui-même  du circuit principal 100-105. On retrouve  également sur cette fig. 13, dans chacun des  circuits 135, l'interrupteur 137 réalisé par les  plots 133, 134 et un électro-aimant 138. Cha  cun de ces électro-aimants 138 correspond à  l'une des touches de tabulateur décimal de la  machine à écrire et est susceptible de pro  voquer son abaissement.

   Dans le circuit 136  est intercalé un interrupteur 106a-139 qui  est fermé par la touche "total" 107 à la fin    de sa course. Le calage des disques 131 sur  les axes 111 et la position des encoches 132  sont tels que les plots 133 sont engagés dans  ces encoches et séparés des plots 134 seule  ment lorsque la roue totalisatrice correspon  dante est à zéro (position des deux roues de  gauche de la fig. 17). Au contraire, lorsque  la roue totalisatrice est dans une position dif  férente, le contact 133 est repoussé et mis en  contact avec le plot 134 (position de la roue  de droite de cette même filg. 17).  



  Le fonctionnement est le suivant:  Lorsque la machine a effectué l'opération,  un certain nombre de roues totalisatrices de  cette machine ont été commandées. On suppo  sera, par exemple, que le premier chiffre de  gauche du résultat indique les centaines. Si  l'on suppose qu'il y a deux décimales, il y  aura donc cinq roues totalisatrices qui se  trouveront dans une position autre que la po  sition zéro. Les plots 133 et 134 de ces dif  férentes roues se trouveront donc en contact  et les circuits 1.35 correspondants seront  fermés.

   Lorsque pour l'insertion du résultat  dans la machine à écrire, on appuiera sur la  touche     "total",    l'interrupteur     106a-139    se       fermera    à son tour, ce qui provoquera le pas  sage du courant dans le circuit. 136 et, par  conséquent, dans tous les circuits 135 dont  les plots 133, 134 sont en contact. Les  électro-aimants 138 seront commandés, en       sorte    que toutes les touches de tabulateur dé  oimal de la machine à écrire correspondant  à ces électro-aimants seront enfoncées.  Comme la première de ces touches sera la  touche     "centaines",    elle provoquera l'amenée  automatique du chariot de la machine à  écrire dans la position correspondant à l'ordre  décimal des centaines.  



       On    a représenté sur la     fig.    18 un mode  de réalisation de la touche "total" 107. Cette  touche comporte un plot 106a relié à l'une  des arrivées .de     courant    105. A la fin de la  course de cette touche, ce plot 106a vient en       contact    avec le plot 139, ce qui ferme le cir  cuit 136     (fig.    13). Lorsqu'on cesse l'action  sur cette touche, elle tend à remonter sous       1-'action    -de son ressort, non représenté, mais      elle est maintenue par un verrou 140 dans  une position dans laquelle le plot conducteur  106a se trouve en contact avec le plot 106b,  ce qui provoque la fermeture du circuit  100-105 (fig. 13).

   Le retour de cette touche  à sa position normale est commandée à la  main en agissant sur le verrou 140.  



  Les dispositifs représentés sur les fig. 13  à 18 permettent donc, par le simple     action-          nement    de la touche "total", l'amenée auto  matique du chariot de la machine à écrire  dans la position voulue et l'enregistrement  automatique du résultat sur la     facture        portée     par la machine à écrire. On obtient donc  ainsi une machine complètement automati  que.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Dispositif pour écrire et calculer, caracté- risé par la combinaison d'une machine à écrire et d'une machine à calculer, ces deux machines étant reliées au moyen de circuits électriques dont la fermeture est commandée par la machine à écrire lors de l'inscription de chiffres sur des documents à remplir et dans lesquels sont intercalés des électro- aimants susceptibles de commander les tou ches de la machine à calculer pour l'intro duction dans cette dernière des nombres sur lesquels l'opération doit porter.
    SOUS-REVENDICATIONS: 1 Dispositif selon la revendication, caracté risé par des moyens pour effectuer la fer meture desdits circuits seulement pour des positions déterminées du chariot de la, machine à écrire. 2 Dispositif selon la sous-revendication 1, caractérisé par le fait que l'un quelconque desdits circuits ne peut être fermé qu'à, la double condition qu'un premier inter rupteur que comporte chaque circuit, soit fermé par l'actionnement de la touche de la machine à écrire, correspondant au chiffre que l'on veut enregistrer, et qu'un second interrupteur prévu également dans le circuit, soit de même fermé, ce qui -se produit lorsque le chariot de la machine à écrire occupe une position déterminée pour laquelle le document présente juste ment, en regard du point de frappe,
    le point de sa surface sur lequel doit être imprimé le chiffre introduit, d'autre part, dans la machine à calculer. 3 Dispositif selon la sous-revendication ?, dans lequel la machine à écrire comporte au moins un organe de contact se dépla çant avec le chariot, pour venir succes sivement en contact avec des organes clé contact fixes, de façon à fermer successi vement différents circuits électriques.
    4 Dispositif selon la sous-revendication 3, dans lequel le contact dudit organe qui est mobile avec le chariot, avec l'un ou l'autre desdits organes de contact fixes détermine celle des rangées de touches de la machine à calculer où une touche sera actionnée, tandis que la fermeture d'un interrupteur par l'actionnem nt de la touche à chiffre de la machine à écrire détermine laquelle des touches de la tige rangée est actionnée.
    5 Dispositif selon la sous-revendication =1, caractérisé par le fait que, du chariot de la machine à écrire, est solidaire une barre isolée, reliée à l'un des fils du cir cuit principal et sur laquelle sont prévus un certain nombre de plots correspondant' à différents circuits électriques dérivés et qui, lors du déplacement de la barre isolée, viennent en contact et successive ment avec d'autres plots correspondants prévus sur un bloc fixe en regard duquel. se déplace la barre isolée, le déplacement du chariot permettant. ainsi successive ment la fermeture des différents circuit.
    6 Dispositif selon la sous-revendication 4, caractérisé par le fait que les électron d'une même rangée, pour l'actionnemeut des touches du clavier de la machine à calculer, sont isolés les uns des autres et sont susceptibles d'être simultanément re liés au circuit d'alimentation par une bar rette conductrice mobile soumise à l'ac tion d'un électro-aimant supplémentaire excité chaque fois que, l'interrupteur commandé par le chariot de la machine étant fermé, on actionne une quelconque des touches de chiffres de la machine à écrire, cet électro supplémentaire provo quant alors la liaison électrique de la rangée d'électros avec le circuit d'alimen tation et,
    par conséquent, l'excitation de celui des électros de cette rangée, corres pondant à la touche actionnée. 7 Dispositif selon la sous-revendication 6, caractérisé par le fait que les électros supplémentaires spécifiés dans cette sous- revendication 6 sont montés en dériva tion sur un même circuit dans lequel est intercalé un interrupteur dont la ferme ture est commandée chaque fois qu'on ac tionne une touche-chiffre quelconque de la machine à écrire.
    8 Dispositif selon la sous-revendication 3, caractérisé par le fait que sur un bloc isolant porté par la machine à écrire et portant des plots de contact pour l'enre gistrement du multiplicateur et du multi plicande dans la machine à calculer, sont prévus en outre un plot intercalé dans un circuit dans lequel est monté un électro mettant, lorsque, dans la machine à écrire, le point de frappe arrive en regard de la colonne résultat, la machine à cal culer en soustraction et son clavier à zéro, et des plots grâce auxquels, lorsque l'opé rateur inscrit le résultat sur la machine à écrire, ce résultat est enregistré dans le clavier de la machine à calculer, grâce à quoi, si l'on remet la machine à calculer en marche, cette machine à calculer re vient à zéro,
    à moins que dans l'inscrip tion du résultat se produit une erreur qui sera immédiatement décelée. 9 Dispositif selon la sous-revendication 8, dans lequel un plot est prévu sur la ma chine à écrire pour remettre automati quement la machine à calculer en marche après inscription du résultat sur la ma chine à écrire. 10 Dispositif selon la sous-revendication 9, caractérisé par le fait que des plots sup- plémentaires sont également prévus pour la mise de la machine à calculer en mul tiplication, pour la mise en marche de cette machine et pour d'autres opérations accessoires. Dispositif selon la sous-revendication 10).
    caractérisé par le fait que tous les orga nes de contact de plots, autres que ceux permettant l'enregistrement ou introduc tion des chiffres dans la machine à calcu ler, sont montés en dérivation sur un cir cuit dans lequel est intercalé un interrup teur qui n'est fermé que lorsque le cha riot de la machine à écrire se déplace dans le sens de marche, et que pour ce déplacement, on agit sur un tabulateur dont la machine à écrire est munie, grâce à quoi, lorsqu'on déplace le chariot en sens inverse, les circuits des plots corres pondants ne sont pas alimentés. Dispositif selon la sous-revendication 3, caractérisé par le fait que sur la machine à. calculer sont montés des jeux de plot fixés sur des blocs indépendants que l'on peut fixer sur le bâti de la machine dans dès positions réglables.
    13 Dispositif selon la sous-revendication 1?, dans lequel lesdits blocs indépendants sont montés sur une crémaillère prévue à cet effet. sur le bâti de cette machine. 14 Dispositif selon la sous-revendication 1?, caractérisé par le fait que les plots spé cifiés dans cette sous-revendication 12 coopèrent, pour la commande des touches de la machine à calculer, avec un plot unique se déplaçant avec le chariot de la machine.
    15 Dispositif selon la sous-revendication 1, caractérisé par le fait qu'un mécanisme est prévu pour ramener automatiquement à. zéro les dernières roues de droite sur lesquelles sont inscrites les décimales qui ont été négligées, ce mécanisme compre nant des moyens qui commandent auto matiquement un levier de remise à. zéro prévu sur la machine à calculer, lorsque toutes les roues totalisatrices, à l'excep- Lion des dernières correspondant aux dé cimales négligées sont revenues dlans la position zéro.
    16 Dispositif selon la sous-revendication 15, caractérisé par le fait que pour la réali sation du mécanisme spécifié sous 15, on a monté sur l'axe de chacune des roues totalisatrices, à l'exception des dernières correspondant aux décimales à négliger, un disque présentant une encoche dans une position telle que lorsque toutes les roues sont à zéro, les encoches de tous les disques sont disposées suivant une ligne droite, et on a prévu, au-dessus de cet axe, une tige à déplacement rectiligne qui comporte autant d'ergots qu'il y a de dis ques à encoches, cette tige, qui est ainsi arrêtée par la surface extérieure des dis ques à encoches, effectuant, sous l'action d'un ressort,
    un certain déplacement lors que tous les disques à encoches sont reve nus dans la position zéro, du fait que les ergots sont logés dans les encoches, dé placement qui lui permet de commandar la fermeture d'un circuit dans lequel est intercalé un électro-aimant commandant le levier de remise à zéro, prévu sur la machine à calculer, et qui commandera ainsi la remise à zéro des deux .dernières roues totalisatriees. 7.7 Dispositif selon la revendication, caracté risé par -des moyens pour faire comman der par le levier de remise à zéro de la machine à calculer, lorsqu'il arrive à la fin -de sa course,
    la fermeture d'un cir cuit supplémentaire dans lequel est inter calé un électro-aimant commandant le retour automatique du chariot de la ma chine à écrire. 18 Dispositif selon la revendication, caracté risé par le fait que les machines , à écrire et à calculer sont en outre reliées par des circuits électriques supplémentaires per mettant la commande des touches de la machine à écrire par la machine à calcu ler pour l'enregistrement automatique dans cette machine à écrire, -du résultat de l'opération effectuée par la machine à calculer, chacun desdits circuits, un pour chacun des dix premiers chiffres, qui comprend un électro-aimant susceptible -de commander l'une des touches de la machine à écrire, n'étant fermé qu'à la double condition que l'un quelconque d'une première série d'interrupteurs,
    cor respondant à chacune des roues totalisa trices de la machine à calculer, et régis par le Phariot de la machine à écrire, soit fermé, et qu'un second interrupteur com mandé par la roue totalisatrice corres pondant au premier interrupteur préala blement fermé, soit également fermé.
    19 Dispositif selon la sous-revendication 18, caractérisé par le fait que, pour la réali sation matérielle du second interrupteur spécifié dans la sous-revendication 18, chacune .des roues totalisatrices comporte une douille munie de dix plots disposés en hélice et susceptibles, de venir, l'un ou l'autre,, suivant la position angulaire de la roue totalisatrice, c'est-à-dire suivant le chiffre qu'elle a enregistré, en contact avec l'un .des .dix contacts d'un bloc mo bile, rapproché de ladite douille par un électro-aimant excité dès que le premier interrupteur commandé par la.
    machine à écrire, correspondant à la roue totalisa trice envisagée, a été fermé, les dix plots et les -dix contacts constituant lesdits se- @conds interrupteurs des circuits spécifiés à la sous-revendication 18, chacun de ces interrupteurs pouvant ainsi être successi vement fermé par les différentes roues totalisatrices pour commander la touche correspondante dans les différents ordres décimaux.
    Dispositif selon la sous-revendication 18, caractérisé par le fait que le chariot de la machine à écrire commande, en outre ,des premiers interrupteurs susmentionnés, un interrupteur fermant un circuit dans lequel est intercalé un électro-aimant com mandant la barre d'espacement de la ma chine à écrire pour l'obtention d'un in tervalle entre les unités et les décimales du résultat. 21 Dispositif selon la sous-revendication 18, caractérisé par le fait que le circuit d'ali mentation général sur lequel sont montés en dérivation les différents circuits spé cifiés à la sous-revendication 18, com porte un interrupteur commandé par une touche spéciale appelée touche total",
    et que l'opérateur actionne lorsqu'il veut en registrer le résultat donné par la machine à calculer. 22 Dispositif selon la sous-revendication 18, caractérisé par le fait que dans le circuit général est également intercalé un autre interrupteur qui est ouvert par les tou ches de la machine à écrire lorsqu'elles arrivent à la fin de leur course d'abaisse ment, et est au contraire fermé par ces mêmes touches lorsqu'elles sont en posi tion de repos, cet interrupteur se trouvant ainsi ouvert et le circuit interrompu dès que l'une quelconque de ces touches ar rive à la fin de course d'abaissement, ce qui interrompt l'excitation de l'électro correspondant et permet, par conséquent, la remontée de cette touche en position de repos.
    23 Dispositif selon la sous-revendication 18, caractérisé par le fait que la machine à écrire comporte des touches de tabulateur décimal, permettant l'amenée automati que du chariot dans telle ou telle posi tion voulue correspondant à un ordre dé cimal déterminé, et qu'il est prévu des circuits électriques supplémentaires per- mettant la commande de ces touches de tabulateur décimal par les roues totalisa trices correspondantes de la machine à calculer.
    24 Dispositif selon la sous-revendication 23, caractérisé par le fait que chacun de ces circuits comporte un électro-aimant sus ceptible d'agir sur l'une des touches le tabulateur décimal et un interrupteur dont le rapprochement ou l'éloignement des plots est commandé par la roue tota lisatrice correspondante, sur l'axe de la quelle est prévu à cet effet un disque présentant une encoche dans laquePe, pour la position zéro est engagé le plot mobile dudit.
    interrupteur qui est alors ouvert, tandis que pour toutes les autres positions de cette roue totalisatrice, le disque précité maintient les deux cou- tacts de l'interrupteur l'un contre l'autra, et, par conséquent, le circuit correspon dant, fermé, en vue de provoquer l'excita tion -de l'électro-aimant et, par consé quent, l'abaissement de la touche du tabu lateur décimal correspondante. 25 Dispositif selon la.
    sous-revendication 2a. -caractérisé par le fait que le circuit sur lequel sont montés en dérivation les diffé rents circuits spécifiés à la sous-revendi- cation 24 comprend un interrupteur gé néral commandé par la touche "total", lorsqu'elle arrive à la fin de sa course.
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