CA2796550A1 - Outil pour la gestion de ressources et d'infrastructures informatiques et de reseaux - Google Patents

Abstract

Un outil d'aide à l'exploitation d'un réseau d'équipements communicants possédant chacun des capacités de transmission, de stockage et/ou de traitement d'informations numériques, comprend un gestionnaire de ressources associé une structure de données où un identifiant d'équipement est en relation avec une première suite de valeurs datées de capacité fonctionnelle globale exploitable de la ressource, et une ou plusieurs suites de valeurs datées de capacité fonctionnelle temporairement attribuée. Un sélecteur de ressources (1700) comprend un premier outil de sélection ( 1704) qui retourne un sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnés dans le stockage de données selon des données d'identification fonctionnelle. Un outil de planification (1710) évalue une condition d'acceptation à partir d'expressions de comparaison de dates qui portent sur une capacité fonctionnelle datée et sur lés suites datées de capacité fonctionnelle maintenues en relation d'un ou plusieurs identifiants de ressources. Un allocateur de ressources reçoit une requête identifiée de réservation temporaire de capacités fonctionnelles, comprenant un jeu daté de données fonctionnelles, il y répond en appelant sélecteur de ressources pour chaque donnée fonctionnelle de la requête, l'outil de planification pour certains au moins des identifiants du sous-ensemble retourné par le sélecteur de ressources; et en retournant un ensemble d'identifiants de ressource comme réponse à la requête de réservation.;

Description

OUTIL POUR LA GESTION DE RESSOURCES ET D'INFRASTRUCTURES
INFORMATIQUES ET DE RESEAUX

L'invention concerne les réseaux et les ég .ipeirichts informartigçes de trànsmission et/i u de traitement dei' formatiion numérique L'invention concerne en particulier les réseau: en; us exploités grâce protocole "I`P" (pour "Interxtet'Pi-eto.col" ou "protocole hiterriet" en fr ça s).
Les réseaux et les systèrr es informatiques, sont conçus et exploit&s de Enanicre très diffèrente les uns des autres.

Les réseaux informatiques sont usuellement partagés simpletnetit; cest-à-dire sans aucun contrat particuliers ni offre de garantie, de. perfarn aiaces n t~unznent. Les systèmes de calcul vu de stockage, et pais généralement les systèmes dits: "d'extrézi ;ité,.5 qum. t à -eux, restent: privés et physiquement isolés, à tout te moins pote ce qui est de leur fonction propre.:

Il n'existe à ce. jour aucune possibilité de garantir un nives de performance, u. de puissance, qui pourrait dés lors être offert un utilisateur pour la jouissarrce..d'ui ensemble de ressources, réseau ou d'e trrémitë, éventuellement combinées, par e: ample par Finterrr ëd $ire d`un.cnntrat de location.

A la base, les réseaux étendus utilisent principalement la. transmission de 1'infotnration.sous la forme de paquets formatés et acheminés selon le protocole internet. Le service offert par .ce protocole nternet: est du type dit "best effort'?, ou "on fait de son mieux"
en français. Le protocole Internet prévoit l'acheminement au mieux de l'information (ou "best.:ef`f'ort delivery"
en anglais), compte tenu des ressourcc,s de communication, en particulier, les liens et les passerelles, et des ressources inforratiques dispoisibles dans le réseau.

Certaines applications des réseaux étendus nécessitent des garanties de délai et/ou de débit d'arrivée de l'infermation. Dans ie, cas de la diffusion vidéo on de musique, par exemple, l'information est transmise sous la. forme d'un signal échantillonné à une fréquence fixe, et ce signal doit être reconstruit et restitué au récepteur à cette même fréquence.
Bien que ces applications puissent s'accommoder dans une certaine mesure de variations du délai et/ou du

2 débit d'acheminement, elles exigent néanmoi s un délai dl borné (du,mbtit ordre de grandeur que la période d'échantillonnage du signal émis) et un débit d'achemnentminal pour que le récepteur bénéficie de la qualité et de la fluidité
de.l'information t tille que diffusée (émise).

En pareil cas, la transmission' au inieux" n'est pas véritablement satisfaisante.

il est possible de construite dans un réseau étendu ce cule l'on appelle un réseau privé virtuel.
Dans ce cas, une partie des captés de transmission peut être dédiée au réseau privé'virtue]. La capacité ainsi mobilisée pour le réseau priivé. del est généralement supérieure à ses besoins réels . les capacités intrinsèques du lien réseau privé, ntariainettt sa bande bandé-passante, peuvent être supérieures aux besoins, etfou il: existe-des périodes dctempsperxdarit.lesquelles ce lien privé vi=rtuel &estpas utilisé Il en résulte que la capacité totale de transmission du réseau étendu, y cyompris dans sa dimension. temporelle, est mal utilisée.

On. assiste par ailleurs à un usage généralisé des réseaux de type Internet..ll est dcitc souhaitable de faire en sorte que tous les types de données puissent transiter sur de tels réseaux, que ce soient des données s'accommodant de.l'approche'%csteffott"; ou bien; au contraire,, clé données.
qui nécessitent des garanties de performance quant aga déb# et/ot :déliaide ssic~zt. C'est là
un enjeu de ce que l'on appelle parfois ;" I nternet du fu t".

L'invention vient améliorerla.situation: à cet égard en prtposant un outil d'aide. à I'exploitation d'un réseau d'équipements communicants possédant. chacun. des capacités de transmission, de stockage et/ou de traitement d'infonnations numériques, comprenant un gestionnaire de ressources associé à un stockage de données. de situation de ressources agencé selon une structure de. données dans laquelle un identifiant est mis en relation avec des valeurs datées de grandeursquantitatives;. le gestionnaire de ressources étant agencé pour enregistrer certains au moins des équipements du réseau en tant que ressources dans. le stockage de données ées de site at.imn, avec - comme identifiant, un identifiant d'équipement - comme valeurs datées de grandeurs quantitatives, une première suite, de valeurs

3 datées de capacité de transmission, de stockage et ou de traitement d finissant une capacité globale exploitable de la ressource, et une ou plusieurs suites de valeurs datées. de capacité de transmission, de stockage et/ou de traitement définis antdes capacités de ressource ternpz rairement attrib z s un sélecteur de ressources comprenant un premier outil de sélection adapté pour retourner un slDus-enseint te d`identifiants de ressources sélectionnés dans le st kage de donnëea selon des données d' identification fonctionnelle, un outil de planification adapté pour évaluer une condition d'ace ptation à
partir d'expressions de-comparai'rson. de dates: qui portent sur une capacité
foncti nnelle datée et sur les suites datées- de capacité de transmission, de stockage et/ou de traitement maintenues en relation d'un ou lrlusicurs identifiants de, ressources, un allocateur de ressources agencé pour recevoir une requét identitiec de rëserva#ian temporaire de capacités %rxctio é les. con prenant urr; u daté
de:donn,ées fonctionnelles, t pour y répondue - appelant ler sélecteur de ressources pour chaque donné .loua onneïle de la requête,.
appelant l'outil de planifeat' On pour certains au moins des ide'n'tifiants du sous-ensemble retourné par le sélecteur de, r e ssour s, et en retournantun ensemble didentifiants de ressource conne réponse. à la requête de réservation.

Des caractéristiques optionnelles de l itiventi , co nplérnentaires ou de substitution sont énoncées ci-après.

., La structure de données met en, relation chaque identifiant de ressource avec des valeurs de données de localisation géographique; :et le. sélecteur de ressources comprend un, second outil de sélection adapté pour retourner un sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnés dans le stockage de données selon des données de lrsçalisat`ton géographique t'iodes de la ruéte de réservation.

4 - Le sélecteur de ressources est agencé pour répondre à la requête de réservation en. appelant le second outil de sélection et en appelant ensuite le premier outil de sélection avec les identifiants de ressource retournés par le second outil de sélection.

- La structure do données met en relation chaque identifiant de ressource avec des valeurs d'attributs de ressource non fonctionnels, et le sélecteur de ressources comprend un trfflierne outil de sélection adapté, pour retourner un sous-ensemble: d'identifiant de ressources sélectionnés dams le stockage de données selon des donnée d'attributs non fsnotiionnels tirées de la requête.

Le sélecteur de ressources. "est agencé pour répondre à la.: requête. de réservation en appelant le troisième outil de sélection pour un, ensei ble d'identifiants de ressources retournés par le.
premier outil de sélection.:

- Le gestionnaire die résout-es est associé-#. un stockage de don né de liitisari, gencéselon une structure de données dans laquelle un identifiant de lien est mis en relation avec une donnée d'origine et une donnée de destination dudit lien, et le gestionnaire de ressources est adapté pour enregistrer certains au moins des équipements du réseau fiant: lien de -comiirnur ication avec;
- Comme identifiant de lien, un premier identifiant de ressource correspondant à
l'équipement en question dans: le stockage de données "situation, - cornue identifiant d'origine, un second identifit dee; ressource correspondant à
l'un des équipements directement connecté parl'équiliement en question dans"
le stockage de données de situation, comme identifiant de destination, un troisième identifiant de ressource correspondant a fun des. autres équipements directement connectés. par Péquipement en question dans le stockage de données de situation.

- Le sélecteur de ressources comprend un quatrième outil de sélection adapté
pour recevoir un sous-ensemble d'identifiants de ressources et pour retourner

5 PCT/FR2011/050859 S"
d'une part, uniquementt ceux des identi arts mus qui sont maintenus dans le.
stockage de données de liaison comme second, ou troisième identifiant rie re`sseurce en relation avec un premier identifiant. de ressource, - d'autre pue. chacun des premiers identifiants en questrin.

- Le sélecteur de ressources est agencé pour répandre a, la.requête.
deréservation en appelant le quatrième outil de sélection pour un ensemble :d'identifiants de ressources.r'etourn s par le premier outil de sélection:

- Le sélecteur de ressources est agencé peur répondre a. la re lues de réservat on en appelant le quatrième outil de sélection pour un, ensemble d'identifiants de ressources retournés par le troisième outil de sélection.

Le sélecteur de ressources est agencé pour rêpendre à 1a requête de réservation en appelant. le quatrième outil de sélection pour un ensemble d'identifiants de ressources retournés par Poufil d'allocation de ressources.

D'autres caractéristiques et. avantages dt l9nvention apparaîtront à l examen de, la descxiption détaillée ci-après; et des dessins annexés, sur lesquels - la figure 1 représente physiquement une infrastructure de Manipulation d'informations ,=

- la figure 2 représente physiquernent une autre infrastructure de manipulation d'informations la figure 3 représente deux noeuds d'une infrastructure de manipulation d' in-formatior ;

la figure 4 reprëseite.l4infrastructure de la ligure 2, modifiée selon un.
aspect de l' invent `on la figure 5A représente physiquement un ensemble d'inf rastruictures de manipulation d'information, complété selon un, autre aspect de l'invention.

- la figure 5B représente une partie de Finfrastrucrure de la figure SA, sous une forme virtualisée ;

6 les figures 6A â. 6E représentent des égtupeinents de manipulation d'informatâ'on à usage d les infrastructures des figures'. 4s SA ou SB. par exemple ;

- la figure 7 repres nte un. profil capacitif dom- ressouec-e de n aùipulatiôti d'information - la figure 8 est analogue à la figure 7 pour. ùne=autre ressource de inan.ipulation d`infortnat1on ;.
- la figure 9 représente un diagramme fonctionnel pour une partie du gestionnaire d'infrastructure de la. figure 4 ;

la figure 10 est analogue à la gur 93 pout une antre partie du gestionnaire la figure 11 est un graphique illustrant un profil d'une ressource de 'infrastructure- de la figure 4 et une série d'événements temporels correspondants la figure 12 est un ordinogramme illustr t le traiternent de réservation de la figure 9 la figure 13 est un or iinogi.: une détaillant l'opération.960 de la figure 12 ;
la figure l4 est urt. ordinogran. me détaillant l,'bpératiotn 970 de la figure 12;

la figure 15 est un ôrdinogranim illusùaût l'exploitation d'une série temporelle au sein d'une ressource de'l'infrasuucture de la figuré 4';

la figure 16 est un ordino ran mne: illustrant le fonctionnement d'un gestionnaire d'infrastructure - la figure 17 illustre' un dispositif d valuatiàn de requête, - la figure 18 est un ordinogramme illustrant une fonction d'un outil du dispositif de la figure 17, - la figure 19 est un ordinogrran e .illustrant une autre foneti'on e l'outil de la figure 18 - la figure 20 est un ordinogramme illustrant le fonctionnementd'unautre ott%
I du dispositifdea la figure 17 - les figures 21, 22 et 23 sont des ordinogrammes illustrant respectivement des fonctions différentes d'un autre outil encore du dispositif de la figure 17;.

7 les figures 24 à 27 sont. des ordino grammes illustrant respectivement des fonctions d'un autre outil encore du dispositif de la figure 17, - la figure 28 este un schéma dun modèle conceptuel de données pour l'outil, de l'i ventiofi la figura 29 est un schéma illustrant rinitialisation de l'outil selon l'invention, En outre, la description détaillée est augmentée des annexes suivantes :.

- lannexe 1 illustre un.exen ple de:structures de donnés utilisables pour la mise en vivre de l'invention ;

- l'annexe 2 définit un ensemble de fonction à usage dans l'invention.

Ces enniexes sont parties iritégr te de la description, et. pouir, . nttdone non seulement servir- à
mieux faire comprendre la présente invention, mais aussi contribuer à: sa définition, le cas échéant. Ceci s'applique également eh tous points aux dessins-Le, prrsetit docunient.lpeut contenir des éléments susceptibles d'une protectiotpar droit d'auteur ou copyright. Le. titulaire des droits n'a pas d'objection à la t rbd rçtion.
à ltidentiquepar quiconque de. ce document de laïeve4 tel-qu'il apparat. dans les dossiers et/ou publications des offices de brevet. Pat contre,, il réserve pour le.reste l'intégralité de ses droits d'auteur et/ou de copyright.

La figure l fait apparaître trois ordinateurs 100, 102 et 103, également notés "COi l?tï"e ''COMP2" et "C.OMI'3 ", interconnectés. par l'intermédiaire d'tni routeur 101, également noté
"ROUTi ". L'ordinateur COMPO 100 est interconnecté avec le muteurROUT1 101 par un lien bidirectionnel, dont les directions: sont décomposées en un lien aller 111, de COMI'O vers ROUTI,. et un lien. retour 112, de ROUTI vers COMPO. De mène le rouleur ROUTI
101 est interconnecté avec l'ordinateur COiv 102 par un lien aller 121, de ROUTI vers COMP2, et un lien retour 122, de COMP2 vers ROUT1. Le routent BOUT I.101 est en outre interconnecté
avec l'ordinateur COMP3 103 par un lien aller 13. .1, de ROUTI à COMP3,, et un lien retour 132, de C:OMP3 à ROUI l .

On peut utiliser le mat "arc" pour le mot "lien".

Les liens allers et/ou retours. peuvent être, au moins en paru, des liens.
internet.

Chacun des éléments qui viennent d'étre~ dé+crlts en ilaan avec la figure Lest considér4 comme;
une ressource, Sont ainsi des ressources - l'ordinateur COMP0100,. on ressource "Res ;
- le rciuteur ROUT i 101, ou i essou e "1Zes1 - l'ordinateur CflMP2.102, ou ressource "rRes2"
- l'ordi nateur C+OMP3 103, ou ressource "Res3";
- le, lien atlër 111, ou ressoUrCe "Resll ", al% été au point soue, c'est- à-dire l'ordinateur - le lien retour 112, affecté entant que ressource "Rés 12" a .u. roteur R{?ÜT
1 101., - le lien aller 121, affecté entant que ressource "Res2I ",au routeur ROtIT.1 - le lien retour 122, aifec* . en tant que-ressource "Re.s22" à l'ord'inateur COM?2 102;.
- le lien aller 13 1, affecté en tant. que ressource "Res31" au ro.uteur RQUTI
101;
- le lien retour 132, aâ ecté en tant que ressource "RRes32" ii l' irdiriàteur COMP3 103..

La figure 1 est présentée comme un système réduit,. dais lequel l'invention peut commencer à se manifester. Il est clair qu'un réseau étendu comprend m- beaucoup plus de ressources, Mais elles resteront, au moins en parie, traitées comme cela. est décrit â propos de la ire 1..

Par ailleurs, les éléments tels que= les ordinateurs ou le roùteur de la figure I sont souvent appelés 'noeuds" lorsqu'on les considère cornet e interconnectés en réseau.
Ainsi, dans un réseau;
un nçtud peint être un ordinateur, un moteur, un commutateur, un système de stockage, un modem ou encore un système de visualisation, un système d'acquisition de données ou encore un sous-réseau de capteurs. Ces n uds sont interconnectés par des liens réseau, généralement bidirectionnels, comme vu plus haut.

La figure 2 montre schématiquement un exemple simple :de ce que l'on appelle auj ,oürd'huiune "infrastructure physique étendue". Cent infrastructure physique, déstgn ci -après infrastmcturc Pl 200, fait apparaître un noeud 20,1, désigné N 1, interconnecté à u n noeud.202, désigné N2 par l'intermédiaire d'un lien aller 2012, désigné L12, er d'un lien retour 2021 désigné L21; Le nt eud N2 202 e s t lui-même interconnecté à un noeud 2 . . 0 4 , désigné N4, p a r l'intermédiaire d lieu aller 2024, référencé L24, et d'un sien .retour 2042, réf*cnc.é L42.

Au;n ud..N4 204 S rit également.interconneetés.les n uds désignés i`!3 203, N5 205, i 2(l$ et N7 20 ,7, respectiverriew par l'intermédiaire de liens allers 34 20 4, L54 2054, .L64 2064, L74 2074 et de liens retours L43 2043,1 5 2045, L46'244 L472,047-L'ensemble des noeuds Ni et des tiens Li qui les relient entre eux constitue l'infrastructure Pl 200. Cette infrastructure Pl 200 est dél rnit e par un: cadre en trait t rete épais sur la figure 2. Ici, les noeuds sont des ordinateurs pour le plupart. Toutefois, dans l'exemple, le n ud N4 peut être un grdïnatteur; un routeur ou un semeur.

Il est présurné ici qu'un noeud i correspond:âuneunité physique de i'inf astructure:P1r200 (un ordinateur ou un routeur par exemple), les liens étant pr.îneipale nt à es liens réseaux, y compris des liens Internet, le cas échéant.

La nature exacte d'un n ud et de ses liens ;dépend de la finesse de la.
dtwmposition de l'infrstructure physique : dans une représentation plus fe,.un: noeud pour lit être constituié
d'une. unité f-onctiçonnclle d'un ordinateur (disque, unité de traitement), tandis que, dans, une représentation plus grossière, un noeud pourrait étr"e constitué d'un sousrëseau, par exemple.
D'autre part, la finesse de la décomposition peut être différente selon les noeuds de l'infrastructure : un noeud particulier peut être constitué de 1'emèmble d'un sous-réseau tandis qu'un n ud différent de la mn re infrastructure, peut être uniquement constitué d'un ordinateur individuel d'un autre sons-réseau.

1'0 La figure 3 est un exemple générique et simplifié de la variété des dispositifs qui peuvent constituer un noeud. Cette figure 3 fait apparaître un noeud N1310 interconnecté avec: un noeud N2 320.

Le n ud Ni 310 peut comprendre un dispositif d'affichage, oit dispositif DISP
3 11, et/où un disque de stockage, ou disque DSK 312, avec: son contrôleur, et/ou encore une unité centrale de traitement, ou unité CPU 313.

Le noeud N2 320 peut comprendre un modem MDM 321, et/ou un commutateur SW 322, qui peut être également routeui.

Les ressources comprises dans un noeud sont au.moiris partieilementconf gurable, par exemple au moyen d'une commande reçu par l'unité de calcul, ou CPU., du noeud en question. Le terme d'unité de calcul doit être pris ici dans un sens large, et ne pas être limité
au microïrocesseur équipant l'unité centrale d'un ordinateur personnel, dune station de travail ou d'un serveur.
Sur la base de: telles structures, peut réaliser des réseaux étendus sophistiqués,. Dans et domaine, il existe actuellementuupjetdit,"HII CAL-" et un autre dit"CA IOCAS", utilisant le concept de "HIPerNet", â savoir un accès :aisé et prutégê â une infrastructure de calcul distribuée. Ce type de réseau est souvent associé à la notion de .réseaux en grille, ou "grid networks" en anglais, ainsi que de calcul en grille, ou "gr`id: computing en,anglais, et de calcul distribué, ou "Cloud computing en anglais. Le mot "calcuP' Vise ici toute opération. réalisable par un ordinateur.

On cite maintenant quelques unes des publications. existant dans ce domaine..

- "Flow scheduling and irt mpt rrl rate contml in. grid networks' S. SOUDAN, B. CHE , P. ViCAT-BLANC PRIMET, Future ge erration eonI pater systems 25 (20091)1 Elsevier, pages 901 à 911.
Cet article s'intéresse a la ggstin des mouvements de jeux de données rrtassi#s a l'intérieur de ressources distribuées, de calculs ou de stockage, assô.ciés â
des I
instruments scientifiques de captures d'informations. La soltition.proposée est basé sur un mécanisme de mise en oeuvre de prof) de largeur de bande, associé au protocole de transport traditionnel. Cet article introduit E'approclre d'allocation iztailéâlile de ressource par profil temporel de capacité représenté par une fonetieR `en escalier. Ce profil n'est utilisé que dans le cas de l'allocation de bande passante P pour acheminer un volume de donnée en, temps déterministe.

"Virtuaiizing and schedt Jing optical network. infrastructure for enzerging;
IT services", P. VIC T-BLANC PREvT, S. SOUDAN, D. VERCHERE, Opticïrl Ie:tworks for the i< e Inter t, édition spécial du Journal of optical Côm unications and eti'orking (JOCiri), i(2) .Al:2 i..
A 132, 2009.

Cet art iële s'intéresse â la gestion des r ;servations de bande passante dans un réseau opt aILie. La solution proposée estbasée surun algorithme doptimisation ut lisant la prograinmatioin linéaire et mixant des requêtes rigides et des requêtes malléables (avec plusieurs niveaux de baside passante).

- A. scalable security model for enabl ing.Dy-nimio Virtual PrivateExecution In tructt tes on..
the Internet", P. VTCA.T-BLANC PRtn, L-P. GELAS, 0. MORNARD; O KosLovsKi, V.
RocA, L. GIItAuD, J. MoerAGNAT, T. TRuoNG HtU, in IEEE/ACM International Conferenee on Cluster Computing and the Grid (CÇGrzd20o9), Shanghai, mai 2009.

Cet article s'intéresse â. la gestion de la sécurité: dans des infrastructures virtuelles à la demande.
La solution proposée est' basée sur l'utilisation d'une inftastructure à clé
publique simplifiée et:
sur la,délégation.

Cet article introduit le concept d`infrastructure virtuelle combinant des ressources du réseau et de traitement informatique; Aucune gestion du temps n'est introduite.

- "Les Infrastmctüres Virtuelles â la demande pour'un usage.fled ble de llnternet", l~; Ai iHALT, G. KOSLoVSii,. M. PAarN, J:-P. GELAS, P. VIC AT-BLANC PRU T, Journée.
Doctorales en Informatique et Réseaux, MIR 09, Belfort, France; Vivrier 2009.

Cet article introduit le concept d`iitfrastrucinire virtuelle c binant des ressources du réseau et de traitement informatique. Auçune gestion du teftips: n`y est dév-eïop c- "E
plr r ng the virtuel infrastructure service concept in Grid15OOO1; P,. VicAT
BLAN
PRiMET, F. ANHALT, G. Ko.si ovsKi, 2Oth ITC.Spécialist &minar on ,Nelivork.t tualtzation, Hoi An, Vietnam, mai. 2009.

Cet article explore le concept d'infrastruçture virtuelle coitrbi ttdcs:
ressources du réseau et. de traitement informatique, Il s'intéresse à 1'ttsage &U ne telle infrastructure pour la création d'environnements expérimentaux â la demande.

- 41VXE L.: Virtual Resot çesand biterçonnection Network% Description Language", G.. PWGAS
Kostovsm, P. "VIcAT-BLANC PST, A. SC TEER.TNF; Z CHARAO, Netwvrk for Grid Applications, Springer Berlin Heidelberg, 2069 Cet àrticle propose un langage de description. & une ëntité "infrastructure vntuei e" combinant des ressources du réseau et des ressources informatiques.

"Network Virtualization : State t îthe Art and. Research Chatienges", N. M.
Niost-tM AF
KABIRCHOWDHUItY,R.BOUTABA,IEEEcommunications Magazine, juillet2009,pages 2Qà26 Cet article fait un état de fart des problématiques de visualisation réseau., ne mentionne aucune combinaison de ressources réseau viiituatisées et de ressources de calcul.

- "Executing distributed applications sin viirtualized infrastructures sp ified with the VXDL
language and managed by the H:IPerNET framework", G. KosLovslu, T. TRUGHG Hvu.

3â
J. MONTAGNAT, P. VICAT-BLANC; PREME ; FIrrt international Cot ference or . Clo dComputing (CLOU.DCOMP 2-009), Munich, Allemagne, octobre 20.09:.

Cet article s'intéresse à l'utilisation et à l'évaluation d'in frastretctures virtuelles combinant des ressources du réseau et des ressources informatiques. La gestion du. temps n'est pas développée.
- "CARRIOCAS project. Tàw rds Converged Interrt;ët Infrastruct Ires Supporting Higb Performance Distributed Applications", 0. AUDDotrr-i. D. i RRTf1 M. GAQNMÇ R, C. MOUTON, P. VICAT-BLANC PRIME , D. RODRTGU S, L. T :1XAL, D. /ERcj fl /OSA Jounïal of Lightvw t.e Techrx lo , 2009_ Cet article présente,de manière très générale l'approche de vittualisation combinée- lu. réseau t des équipements informatiques.

Le contenu de ces articles est considéré comme étant intégré dans son ensile à
ta présente-, Demande de brevet aux États-Unis d'Amérique au nom...de IOHANSSON et al publiée sous le numéro, US 2003/0.157644 Al pour "Method and system for a eserving_ resources within an IP-Norte".

Dans des réseaux étendus tels que ceux des articles ci-dessus, notamment I
PCAI, et le concept:
associé H1PerNET, on utilise: le plus souvent la "vîïfuaJisation", c'est-â-dire.qu'un ensemble d'éléments physiques, d'une infrastructure physique, sont gérés collectivement pour former un élément; virtuel, d'une infrastructure virtuelle. Par exemple, plusieurs unités de calcul, y compris distantes les unes des autres, peuvent: être virtuellement associées pour constituer une unique unité; de calcul, de capacité supérieure.

Inversement, un même élément. de l'infrastructf re physique peut héberger des éléments..
différents dune même infrastructure virtuelle ou des, éléments d'infrastructures virtuelles différentes. C.'est le cas par exemple lorsque plusieurs machines virtuelles sont exécutées sur une même machine physique.

La figure 4 montre un gestïonnaire d' infrastructure physique, nugestittï
naine P111+14f11, a j nt à
l'infrastructure Pl 200.. Le gestionnaire PIM 401 . est rèlié à chacun des noeuds Ni de cette infrastructure. PI 200 au moyen d'Un lien respectif 411-î, représenté en trait tirete fin. Chaque lien permet tut échange de données entre le gestionfialire. PIM 401 et le-.noeud. Ni. corrrespondarrL
Le gestionnaire PTM= 401 peut en outre ëtre relié it une interface utilisateur, ou interface Dl: 405...
Ce gestionnaire PIM 401 est capable de recevoir une requête X, éventuellement par ri. n tenn édiaire de d' interface UI 4015, sur laquelle requête on revi end ra plus avina:

Le gestionnaire Pf41' 401 est adapté pour :maintenir unie représenta n dynamique de t'infrastiucture: Pl 200, c'est-à-dire principalement de Pense b}le des.
ressources de cette infrastructure Pl 200, y compris les n uds Ni de cette infrastructure et les liens de communication entre ces noeudswLe gestionnaire PLM. 401 est ën. outre adapté
pour maintenir une représentation de l'état fcnctitsnnei de, ces rçssources..

En relation arec chacune des ressources de l'infrastructure PI 200, le gestionnaire PIM 401 maintient en particulier une liste d'attributs dits "physiques", -ainsi qu'une liste :de fonctions de contrôle et de commande pour la ressource en question. Ces fonctions de contrôle sont gértèriquement désignées "fonctions CTRLo", et les fonctions de commande, "fonctions.
CMD(". La forme des fientions CTRi et Cam() dépend de; la. nature de la:
ressource concernée.

Par exemple, le gestionnaire PI.M 401 maintient pourchacune des ressources de l'infrastructure PI 200 un objet correspondant de type "ressource de m anipulatioh. de l'infar ation", tel que défini en a n n e x e A .1 .1.2, que l'on désigne ci-après objet de type R. On comprend qu'un "type"
d'objet peut correspondre à ce que lon appelle généralement. nage. "Classe"
d'objet..

Chaque objet de type R comprend notamment, en tant qu'attributs physiques., usa identifiant universel de ressource physique ",U tt" et un type de ressource-physique lequel type appartient â l'ensemble extensible des types de ressources décrit en annexe A.J.3.L

Le gestionnaire PIM 401 peut être relié à un espace de stockage de données organisé pour maintenir cette représentation de l'infrastructure PI 200. L'espas`e de stoclg prend:par'exempie ici au moins partiellement la forme d'are base de données, désignée base RDB
402 sur la figure 4.

Dans un mode de réalisation avantageux, le gestiicam aire PM 401 crée une instance de la classe R pour chaque ressource de l'infra5iructum Pl 200 sous la, forme de ce que l'on, appelle un "démon'' ou encore un " daemon". Chaque démon peut ainsi être invoqué, par exenippit;:par des fonctions listées dans la classe!?, ou. d'autres fonctions encore.

La figure 28 montre parexemple que- le :gestionnaire PIM 401 maintient.
pour chaque noeud Ni de l'infrastructure Pl 200, un objet correspondant, génériques en:t noté Substrate,Nbde 2760, porte chaque lien Li. ale type réseau entre ces n uds, un objet correspondant gérrengùement désigné objet Substrate-Gin.2770z pour chaque dispositif de routage, un objet correspondant générignement désigné.
objet Substrate Router 2780.

Bien que la figure 4 n outre deux. réseaux d7écbange de données distincts, il est possible de réaliser un dispositif fimctionneilernent équivalent en un unique réseau.
Autrement dit, le gestionnaire PIM 401 peut échanger des données avec ee tain au moins. dee n uds Ni par l'intermédiaire des liens réseaux entre ces. ncetids.

En. outre, bien que: le gestionnaire PIM 401 ait été représenté ici en dehors de l'infrastructure Pl.
200, il faut comprendre que ce gestionnaire peut également: appartenir à cette infrastr4zcture, voire être distribué sur un ou. plusieurs. des nÃerrds de cette dernière.

La figure 5A montre une pluralité d'infrastructures physiques, à savoir les infrastructures PI
200-1., PI2200-2,...,,P i200-i,,:..,P1n2.00-n, contrôlées par des.
gestionnaires dIn.frastructures physiques respectifs, à savoir les gestionnaires PIM 1401 - 1, PIM2 401-2,..., PIMi 401-i,..., et PIMn 401-n.. Ces gestionnaires PIMi 400-i sont reliés un gestionnaire d'infrastructure virtuelle, ou gestionnaire VIM 500. Là communication entre le gestionnaire VIM 500 et les gestionnaires PIMi 401-i peut s'établir selon un protocole standard, par exemple de type MTOSI (de l`anglais "Mnlti Technology Opérations System Interface" ou "Interface de systèmes d'exploitation de multiples technoiogiés".en français), ou un protocole aiagï é, y compris pro priétaire Le gestionnaire VIM 500 est capable d'émettre des requêtes X W destination de chacun clés P1Mi 401-i, lesquelles requêtes peuvent comprendre des commandes à. ewécuter corme on le verra plus loin. Ce gestionnaire VT 500. peut recevoir des requêtes sur lesquelles on reviendra également plus loin.

La fgure. 5B représente en partie basse une partie de I'i t astrùcture de la figure 5A sous aine forme dite "virtuaiiséc", que Von peutdésigner infrastructure virtuel le; ou infrastructure VI51( .
Dans cette: forme virtuelisée, chaque ressource physique est vue par le gestionnaire V1M 500 comme un élément fonctionnel en termes de mauipul lion d'in f rrtiatians. Le gestionnaire V1lvi 500 voit ainsi chaque infrastructure: physique PI comme un agrégat di;lérrents fonctionnels.
La figure 58 montre par exemple une infrastructure physique Pif, référencée.
510-1, une infrastructure physique PI2, référencée 510.2,, une infrastructure physique P13, référencée 510-3, une infr tru.cture physique .Pli, générique, référent 510- , et une infrastructure-physique l'in, référencée 51 O-n, à chaque fois sous une forme virtualisée.

Chaque élément fonctionnel est représenté par un cube. Bien. que cela ne soit pas. visible sur la figure 5.B,. chaque ressource physique est fractionnab e, tri, ce, qui concerne sa capacité
fonctionnelle propre, en plusieurs éléments fonctionnels. En: outre, la capacité de ces éléments fonctionnels peut être variable dans le temps.

De manière générique, chaque élément fonctionnel peut être vu comme une "machine virtuelle"
s'exécutant sur une ressource physique.

'17 La farine d'une machine virtuelle, et les possibilités de, gestion qu'elle offre, dépendent de la nature de la ressource physique sur laquelle elle est exécutée et de sa fonction au sein de l'infrastructure. Sur ce point, la notion de machine virtuelle telle qu'elle est entendue ici peut aller au-delà de ce que la technique. entend classiquement pat une machine virtuelle: Par exemple, une partition d'un espace de stockage de d onnées p Ãit étre vue comme une, machine virtuelle "s'exécutant" sur cet espace. Ceci a été fait pou: aiderà la compréhension de, la présente description.

Des exemples de produits perarettantlav:irttatisatioE.&équipements informatiques comprennent lés logiciels "VMWARE" (non! commercial enregistré) et "XEN" (nom commmmerciâl enregistré).
Un exemple de comrnutatcur/routeur virtualisable a été décrit dans ,la demande de: brevet français déposée sous. le numéro:

En toute rigueur, la virtuatisatio>rt."ne ressource. physique consiste ,-à
défrrir. une eu plusieurs ressources vulUelles partageant en capacité-et1ou dans le temps, la capacité
fonctionnelle de cette ressource physique. Cela implique l'exécution: d'agents de virtualisation sur la ressource physique elle-même ou au moins sur le gestionnaire Pil qui a la-charge de cette. ressource. Ces agents peuvent cQmnander, eonflgurer:et/ou contrôler la ressoui e physique par' i'intermedia re des fonctions CM:D() et CRT.L0 évoquées plus..haut.

En pratique, chaque gestionnaire PIIi 401 i décile des ressources de son infrastnwture physique qui vont être virtualisées. Pour certainees ressources, on peut choisir de ne virtualiser qu'une partie de là ressources.

Les liens physiques composant l'infrastructure physique sont égalernent décomposables en liens virtuels. Par exemple, la figure 5B montre un lien virtuel LI 554-1 relianules infrastructures P12, P13, -Pli et PIn, tandis que des liens virtuels L2 556-2 et-L3.5-5-0a-3 relient les infrastructures PIl;
Pï2, PI3 et Pli.

Dans la forme "virtualisée" de l'infrastructure physique, chaque .noeud ou lien. est vu comme fonctionnellement homogène. Autrement dit, pour l'infrastructure virtuelle, chaque ressource 1$
n'est douée, à un :instant donné, que d'une seule: fonction, dite principale, telle .que: stockage, calcul, lien de communication, ou routeur par exemple. Le plus souvent; une ressource physique assure constamment la même fonction, mais cela n'est pas obligatoire Par exemple; Un ordinateur personnel, en ce qu'il comprend une capacité. de calcul grâce à son processeur et une capacité de stockage offerte par son disque,dur, est susceptible, ë s une infrastructure virtuelle, d'offrir ces fonctions deux fonctions, mais pas de manière simultanée.

Bien que la partie basse de la figure 58 ne représente qu'une partie de l'infeture de la figure 5A, on comprend que l'ensemble de cette infrastructure a vi cation: à être virtualisée, en.
particulier, chaque infrastructure physique PI-i, par exemple I'in triocture Pl 1,200-1;1'1200-2, Pi-i 244-i et Pin 200-n.

Dans certains cas; il. sepeutque tous les noeuds d'unernêùie sous-infms xucttrrep physique oeent en permanence une même fonction, C est le cas, par exemple. lorsque la sousMitrfrastruçturè
prend la fbrrne de ce que Pou appelle usa "clùster" en anglais, ou une :grappe de serveurs français. Cela n'est cependant pas obIi ipir-e.

Sur la lie d'une infrastructure physique virtualisée telle que montrée en partie basse de la.
figure 5$, le gestionnaire VIII 500 est adapté pour définir une ou plusieurs infrastructures virtuelles, ou infrastructures VPXI (de l'anglais "Virtual Private eXecution Infractnre"; ou õirfhs , ctured'exécution privée virme1le'' enfrattçais). Chaque kfiastructur#
XI comprend ainsi des noeuds virtuels reliés entre ceux parles liens virtuels.. Autrement dit, une.infrastru tore VPXI est composée de ressources virtuelles dénies à partir de ressources physiques. De manière générale, chaque n ud virtuel ,comprend. une partie de la capacité
fanetioru-elle il'un.
noeud physique, Et un lien. virtuel comprend une partie de lia. bande-passante offerte parle ou les liens physiques sur, lesquels elle s'appuie. Cependant, certaines. ressources virtuelles peuvent correspondre ii l'ensemble, de la capacité fonctionnelle d'uni ressource physique, du moins !'ensemble de la capacité fonctionnelle que l' in a dé,cidé de virtu iser, aussi appelée "capacité
exposée''.

A titre d'exemple, la partie supérieure de la figure 5B. montre une première infrastructure virtuelle VPXI-1 570-l, comprenant des n uds virtuels représentés par des cules hachurés a et une seconde inhastructürevirtuelle VPX1.2 570-Z; comprenant des noeuds horizontalement virtuels représentés pares cubes. hachïirésol liquement. Les hachures différeiiciar t les premiére et seconde infmst ciutes ,ïirti + lles. VPXT I.570-1. V XI: 2 -570-2 éntitë
reprises sur la part e basse de la figure 5B, à chaque fois en relation avec lesn uds ph s quel correspondants.
Comme on l'a évoqué plus haut, un noeud virtuel, peut être défini à pat* d'une partie seulement de la capacité foneti iririelle duii même n ud physique.

Une inéïtie sous-infrastructure virtuelle peut ne rassembler que des ressources de même foalcttori (calcul, stockage ou impression par exempté), ce qui permet, d'une certaine façon, d'additronner leur capacité respective. Cependant, il est également possible de créer des.
infrastructures virtuelles complexes, par exemple comprenait deux éléments de calcul reliés entre eux par un lien.lnterriet, en plus d'un ensemble d'éléments de stockage relié à l'un deces deux éléments de calcul-.

Les différentes infrastructures virtuelles sont isoles lesiunes des autres, ce qui permet a.chaque i frastructure de bénéficier den niveau. élevé de sécurité et.- de gestion de capacité et de performance.

Une fois définie, une infrastructure VPXI peut être spécifiquement at ribuée à
un utilisateur.
Entre autres choses, le gestionnaire: VI lf 50.0 sélectionne, alloue et gère les ressources virtuelles et tes liens. entre les noeuds virtuels.

Pour chaque infrastructure virtuelle VPXI, le gestionnaire- V M 500 maintient un objet informatique représentant cette infrastructure, génériquement désigné objet VPXI 2710 sur la figure 27.

Cet objet VPi Xl maintient en relation - un ensemble d'attributs généraux relatifs à la sous-infrastruc are virtuelle, comprenant notamment une donnée d'identification de la SOUS-infrastructure virtuelle, une: donnée d'identification de" l'utilisateur auquel cette sous-infrastructure est attribuée, une donnée de localisation géographique, ou pofn d'ancrage >,désignantlapartiedel'infrnstruetu.ePlM
200 qui .requiert la réservation de ressources, une. donnée de eentr te de séeurrité, qui définiÃ
le niveau de sécurité requis pour les ressources; une'ddtinéc de période dallocation, qui définit une période d'existence de la sous-infrastructure dans le temps, par exemple sous la forme d'une date de début de réservation et un temps total, drexécution ou une date de fin d'allocation ;
- une liste des. ressources, généralement virtuelles, concernées par l'objet VPXI, arec notamment les liens reliant les nmudsS entre eux, là, description de chaque ressource, les attributs fonctionnels et non fonctionnels de la ressource -sava r les ressouKes individuelles ou agrégées impliquées dWs là sots-infrastructure les performances de là
ressource en question, par exemple sa capacité, les attributs de sécurité de la ressource, le.type du contrôle d'accès ou le niveau de cenfidentlalité requis, éventuellement une donnée de coût de réservation admissible, les fonctions élémentaires qui peuvent être attribuées à cette ressource; éventuellement les services. spécifiques fou mis par la rCSSOUTe - la topologie du réseau virtuel comprenant des caractéristiques.de perffimance telles que la bande passante et la lateriçe, ainsi que, des attributs de sécurité, de coût commercial et de temps liant les ressources virtuelles entre elles>
- un ensemble" de fonctions de gestion qui peuvent étre aises en oeuvre sur la sous--infrastructure ;
une ligne de temps virtuel avec une définition en rés+unné pour les ressources fraies et:
les liens.

Pour chaque n ud virtuel, le gestionnaire M, 500 crée et maintient un objet infornatique correspondant, génériquement noté objet VXnode 2730 sur la figure Zg mettant en relation une liste d'attributs dits "virtuels" et une liste de fonctions de pilotage de la ressource physique correspondante. Ces fonctions de pilotage sont.génériquement désignées fonctions PILOT-().Un objet VXnode 2730 comprend encore une liste de calendriers, sur lequel on reviendra plus avant.

Les attributs virtuels cotnp t, type ... renr en entre autres choses, un de ressource, noté ,iy e r", lequel type appartient l'ensemble extensible "des types de ressource de traitement de l'information" décrit à l'annexe A.!.3,1, ou ensemble Ri, des a buts de sécurité, de fiabilité, de mobilité, d'autonomie de red-i-mensionner ent et de surveillance;

Le gestionnaire VIM 50:0 maintient encore un objet de lien virtuel pour chaque l ic n v ii t fiel d'une sous-infrastructure virtuelle,,.générrq iementnoté objet VXlink 2740 sur la figure 28, et qui met en relation des entrées analogues àut objet V~ode2730..Entre res choses; un objet VXlink 2740 comprend un identifiant du. noeud virtuel dIbrigine et un identifiant du n ud virtuel de ,destination:

Le gestionnaire VINT main tient encore pour chaque rouleur virtuel un objet, informatique, génériquement désigné objet V .. ter 27:50 sur la fi iu. 2:8, et qui présente ries entrées analogues à l'objet VXnode.

Comme le montre la figure 28 chaque objet VPXI' comprend. des pointeurs vers chacune des ressources virtuelles qui le composein à savoir un ou, picasieuï .'.ob ets Vxnode ?7 t}, r'xiink 2740 et VXrouter 2750.

Chaque objet VXnode 2730 comprend un point iir vers un objet subst-rnte N ode correspondant au .d physique sur lequel est défini le n ud virtuel. En -aérai, plurs eur-s.
objets VXnotie 2730 peuvent pointer vers un même objet substrate Node 276Q, De manière analogue, chaque objet; Vxlink 2740 et chaque objet Vxrouter 2750 pointe respecti vement vers un objet substr: ate lin. 2770 et un objet substrate router 2780.

Le gestionnaire fil .4 500 maintient en.outre pour chaque utiiisateur'd' ze zi~trastruçtiire VrXI, un objet utilisateur, génériquer ent représenté USER. 2720 sur la figure Z$ en relation avec l'objet VPXI 2710 qui lui est attribué. Un objet USER 2720 maintient en relation:.

- une liste d'attributs généraux relatifs à l'utilisateur, comprenant notamment des données de nom d'utilisateur, des. onnéës de type d util sateur des données dé. loc rsatioi géographique de 1'utilisàteur une liste de fonetio.ns de gestion, ou génériquemeut désignées fonctions Management( une liste de fonctions de paiement, oit ge'xiêriquern nt désignées fonctions Billingd..
Pour le stockage des différents objets, le gestionnaire VL.. 1500 peut' être relié à u1 espace de stockage organisé du type base de données, par exemple la. base de données VRDB 502. de la figure 5A.

Dans un mode de réalisation avantageux, chaque objet VXhode 2730, chaque objet V PXJ 271.0,.
chaque objet VXlink.2740, chaque objet VXrciuter 2750 prend la foririe dun "démon", ou d'un agen4 exécuté parle gestionnaire VIM,5W. En option, chaque objet USER 2720 peut égal.emmeiit être réalisé sous cette forme Ce gestionnaire VIM 50O.peutavantageusement être. réalisé sous la forme de ce que"Pou appe le un "frainew.ork" en anglais, ou "cadred'applicütian`~ en français.

La gestion des infrastructures virtuelles VPâi, comme celle des infrastructures physiques, implique que l'on puisse intervenir sur chaque ressource de P-infra tructt; r physique, considéré
individuellement Des exemples de structures physiques qui- le:pient sont décrits, à titi d'exemple non limitatif en faisant référence aux figures 6A a 6E.

La figure 6A montre un disque de stockage de données, ou disque DSK 601, assorti de son contrôleur de capacité, ou contrôleur CTRLR 611, qui permet t'échange de données utiles, ou données U DAT, en lecture et/ou &,titure avec le disque DSK 6.0i,1e contrôleur CTRLR.611 est capable de faire opérer le. disque IDSK 60.1, conformément à un jeu de paramètres de fonctionnement.

Le contrôleur CTRLR 610 est assorti dune unité qui âsstire son interconnexion avec un gestionnaire PIM en charge du disque DSK 601. Cette uirit désignée unité ACT
611, peut étre vue comme un actionneur chargé d'exécuter des instructions provenait du gestionnaire PlM
concerné, par exemple transmises au travers. du réseau de commsnication représenté en,'trait.
tireté sur la figure 4. Ces instiùctions.peuvent avoir u forme partieuiièrer Ces.in trustions.
correspondent aux appels fonctions CTR et CMD d pointées par les objets Substrate node 2760, substrats thik 2770, et/ou substrats router 2:7$0. En général, la fonce de ces instructions dépend. au moins en partie de la nature de l'équipe ent contrôlé/commandé.

Les figures 6B à 6E illustrent des dispositions semblables à celles de la figure 6A
- sir la figure 6B,: un dispositif d'affichages :ou dispositifDiSP 602, est.relie à son contrôleur CTRLR 612 respectif, lui-même relié â fane utttité ACT 622..
- sur la figure 6C, une unité centrale de calcul, ou unité CpU 603, est reliée à une unité ACT
623. par l'intermédiaire de son coritrieür CTRLR 612 sur la figure fiD . un commutateur et/ou ràutéur, ou dispositif RTR 604, est relié à son contrôleur CTRLR 614, lequel est à son relié à une unité ACT 6-24;
sur 1a figure 6E, un point d'accès réseau, oti poil NAP 60 , est;reiié à une unité ACT 62S par l'intermédiaire de son contrôleur CTRLR 615.

Dans le cas général.;. le gestionnaire PIM envoie des instructions aux actiÃmneurs.ACT sur appel dess. fonctions CTRL( .. et/ou CMD{ j., D urs certains cas; le recours i `.urt actionr eraür ACTn est'pas possible ou pas nécessaire. Alors les; données nécessaires à la con figuratîon au contr`cOle et/ou à
la commande de la ressource sont directement reçues au contrôleur CTRLR sous la forme de données utiles, daignées données U -DAT sur les figures 6A à.6E; Ceci inclut le cas o6 les données utiles sent directcrneft efntrée5 sur, I êqûipement parun opérateur hutnaiii, par exemple lorsqu'une reconfig ration manuelle de fequip. nt est nécessaire. L'actionneur ACT est, capable de modifier certains au moiiis des paramètres de fonctionnement de son contrôleur respectif, L'actionneur peut être. vu comme un agent de gestion pour une ressource.

La gestion des. ressources dans l'infrastructure P1200 nécessite des agents de gestion capable de maintenir des fonctions. de contrôle et de commande ainsi qu'un registre d'état pour chaque ressource & l'infrastructure. Pour la bonne gestion . de J i fra:structure, eehagne'a gent de gestion doit pouvoir s'exécuter, idéalement en pernia pence, De la nature de la ressource physique â
gérer, peut dépendre renvironnemetat d'exécution de l'agent. Ainsi, pat exe nple, lorsque la ressource est dépourvue de moyens d'exécution (calcul} l'agent pour sa gestion, peut être déporté à.un emplacement différentde.l'infrastrus re, typiquement scur !e gestiant aire PM00,:
comme c'est le cas en particulier des liens réseau. Il peut être alors avantageux de prévoir un agent commun à l'ensemble des ressources à. gérer au niveau du gestionnaire PIM 200.

Le. contrôleur est capable de modifier des données quantitatives de capacité
maximale: de. la ressource dont ii s'occupe.

La figure 7 représente. un exemple:. de ce que l'on peut appeler un "profil temporel de capacité'' pour une ressource, que l'on note profil C(t).

Un profil temporel C4 4 peut être établi pour tourte ressoume.phys iq ue de linf tr cturePl 2.00.
.
Un tel profil peut également être établi pour toute ssourcë virt elle.-.Le profil temporel C(r) d'une ressource est constitué de l'ensemble des variations concernant la capacité fonctionnelle C de cette ressourcée art cours du temps t, ou d'une période de temps. Tout profil . C(t) comprend d'abord un sous-profil temporel de capacité totale, ou profil Crriax(t), correspondant à. l'évolution temporelle de la capacité fonctionnelle maximale de la ressource.
Sur la figure 7, la capacité totale Czar dé la ressource est constante dans le temps, mais cela ne constitue qu'un exemple.

Un profil. C(t) peut en outre comprendre un ensemble de sous-profils temporels de capacité
réservée, à chaque fois, à une infrastructure i. En.général, Vin structure prendra la forte d'une sous-infirtructure virtuelle, typiquement une infrastructure lPXI; sans que cela ne soit pour autant obligatoire. Le sous-profil de capacité réservée à llin restructure Pest noté Ci(t). La figure 7 montre ainsi un sous-profil-de capacité réservée peur fuie première infrastructure 1, noté
C1(t), et un sous profil de capacité réservée pour une seconde infrastructure 2, noté C2(t).

Un sous-profil de capacité réservée Ci(t) peut comprendre un ou plusieu fragments de réservation, c"cstwâ-dire une quantité de la capacité de la ressource réservée à la partie de l'infrastructure en question entre deux dates A h fragment de réservation.
peut correspondre une capacité intégrale, définie comme la son=e entre ces deuxdates dela partiecorrespondarate du sous-profil de capacité réservée, Ui profil C(t) peut encore comprendre un sous-profil de capacité "best effort"; ou profil de capacité au mieux, noté Cbe(t):. sous-prof l Cbe(t) ccirr pcind:à la imité tle la r4ssour qui est publique et dédiée â du. service dit ' bes effort". dette eapae té best' tl t rt`` rs'est pas douée à une partie spécifique de l'in rastructure- Pl 200. Lorsgii'UU est eotrsidéré
entre deux dates, ce pro l de capacité "test effort" défi raite unfragrnent dit"bestel ort", repres tant une capacité
intégrale. Autrement dit, toute ressource dont la capàcité ;totale peut être-répartie entre teste capacité sans garantie et une capacité garantie comprend un.profil C(t) avec une capacité "test effort Cbe.(t). C`est le cas. eii particulier des ressui es de type coinmu iicabon Ou qui comprennent un lien lntettiët., Le profil C(t) peut encore comprendre un sous7profil: de capacité de réserve, ou profil Crvn(t), correspondant à la capacité de la ressource mise en réserve. Le profil nrvn(t) peut comprendre des fragments de capacité de réserve.

Enfin, le profil C(.) comprend un sous-profil de capacité résiduelle, ou profil: Crsl(t), qui correspond à l'évolution temporelle de la capacité de la ressource .grs n'est ni attribuée à une partie de l'infr trEietüre; ni mise en réserve, ni allouée au service BB Cette capacité résiduelle est disponible pour les éléments de l'infrastructure PI 200. Elle peut ette qualifiée de capacité
"réservable", "disponible" ou encore "exposée".

L,e. prof 1 C(t) d'une ressource peut être reps ser t par.un ensemble de fonctionsternporeiles. en forure d'escalier. Chaque fonction peut prendre des valeurs positives dans l'ensemble des .

ambres. réels, des nombres rationnels, des nombres entiers ou des no ires booléens, en fonction notamment des possibilités de divserla capacité de cette ressource.
La fonctrcrn d'une ressource s'entend comme la fonction. que cette ressource exerce au sein de Fi nfrast? cture; par exemple une fonction de calcul ou de traitement de l'information, une fonction de stockage, une fonction de communication, une fonction de routage, une fonction de visualisation, une fonction d'acquisition ou de capture de donné.'S.

La mesure de la capacité fonctionnelle C d'une ressource dépend de la:
fouctiori de cette ressource. Par exemple, la capacité associée à une fonction d e c ïrnmum-ation putt êtii n ur par un débit de transmission de données numériques,. par exemple exprimée en bits, et la capacité associée à une fonction de stockage peut être exprimée sous la.forme d'une quantité de données numériques, par exemple exprimée en octets.

A chaque instant, la. som rio des capacités fonctionnelles allouées curie effectivement: allouées à uni: infrastructure, est inférieure ou au plus égale, à la capacité
maximale de cette ressource. La capacité résiduelle d'une ressource, qui s'exprime également à une infrastructure ou gardée en réserve.
sous la foire d'un profil, peut etm proposée Autres ent dit, la capacité totale d'une ressource peut être vie comme l'imbrication de l'ensemble des profils de capacité fbuctiormelie allouée et du profil de capacité fonctionnelle résiduelle. Chaque profil peut âtre vu comme un jeu de valeurs dates de données quantitatives de capacité.

!.:'allocation d'un fr; grnen"t de.capacité à. une iaf structure s'entend dans un sens large comme indiquant que, pendant la per ode.te pore le correspondante, la ressource opère pour le compte-de l`infrastructure en question. La partie de la capacité correspondante constitue alors sine ressource virtuelle de l'infrastructure en question pour la période de temps correspondante.
Autrement dit, il est équivalent de dire qu'un fragment le capacité estafloué
à une infrastructure cru à une ressource de cette infrastructure.

Une même ressource physique peut assurer des fonctions différentes au sein de.l'infrastructure, physique ou virtuelle, nais, dans une période de temps donnée, cette ressource n'assure qu'une seule et unique fonction, dite "principale".

La figure 8 montre que la capacité maximale Cmax d'une ressource peut se trouver modifiée dans le temps, Cela peut résulter, par exemple, &évolutions d'approsionemt, de pages et autres. Par exemple, la capacité totale d'une baie de stockage s'accroît âpartir de.
l'instàtttuü un disque dur supplémentaire est installé, Ou, à l'inverse, .décroît dés i'instaat où. l'un des disques de ta baie dysfonctionne et jusqu'à ce que' ce disque. soit réparé ou remplacé.

La capacité totale d'une ressource peut également:-se trouver modifiée ensuite d'une nouvelle répardti n des ressources du réseau que l'on appelle aussi "reprovisioni" ou encore .reps ~ris n'nem~itt .

Par exemple, dams un. réseau de eomanunicatinns . fibres âpt qut s, une auge entatic'n de la capacité maximale peut correspondre à 1'éclarent d'une, fibre optique supplémentaire du réseau ou à l'activation de nouvelles longueurs d'ondé.

Toujours à titre d'exemple, cela peut correspondre à une modification des parait Ires dune machine virtuelle, tels qu'une taille de mémoire de tramail, une quantité dé
bande passante ou encore de puissance de caicdl. Dans le cas particulier d'un profil temporel de capacité C (t) relatif d une ressource virtuelle, une variation. de la capacité maximale Crnax, qui peut être temporaire, peut résulter/impliquer une redéfinition de cette. ressource à
partir de laressï urce physique sur laquelle elle s'appuie. Par exemple, cela peut correspondre à une augmentation de la taille d'une partition de stockage de données d'un équipement physique, attribuée .à la ressource virtuelle en question,:

Ici, la mémorisation des différents profils associés aux ressources, virtuelles et physiques, fait intervenir les objets informatiques définis aux annexes A. 1.1.6 â A. 1.1.9.
Chaque profil peut prendre la forme d'uni :démon exécuté selon les cas sur un contrôleur du type du contrôleur PIM
ou du contrôleur VIM, et/ou être stoclté, sur l'une des bases RDB402 et VRDB50.

En particulier, la liste des calendriers d'un objet VXnôe 27301 VXliink 2740, ou VKEouter2750 peut comprendre un lien vers le profil de celte ressource virtuelle et/ou un lien vers chaque ressource physique impliquée dans cette ressvu virtuelle.- Le cas échéant, ce lien peut pointer vers une partie seulement: d'un profil, tel qu'un sous profil de capacité
réservée. Le plus souvent, le profil de capacité C (t) d''une ressource virtuelle se déduit des profils de capacité des ressources physiques; voire dans certains cas virtuelles, qui la composent.

De même, un objet de ressource physique peut comprendre un lien vers le profil tempore, Id c cette ressource, par exemple maintenu entant qu'attribut physique dans l'un des objets Subi e node 276O, Substrate link 2770 et S bstrate router 2780.

Le gestionnaire PiM 400 peint maintenir un profil. de paciïé. C() $ur ehaque'.ressar(rce de l'infrastructure PI 2W, en particulier dans les attributs physiques des objets Substrate Node, Substrâte Link ou Substrate Router Le profil de capacité C(t) d'une ressource peut également être: stocké dans la ressource elle-même, lorsque la constitution physique de cette ressource le permet. Dans, ce cas, les objets S ibstrate Node, Substrats L nk ou Substrats:
Router peuvent pointer vers ce profil.

Le gestionnaire VINT 500 maintient un profil de capacités C(t) peur chaque ressource virtuelle basée sur l'in stncture P1200_ C'est ce que I'on a appelé "Calendrier" en relation avec la figure, 28. Cela permet notamment de créer des infrastructures VPXI par agrégationliàison de fragments de capacité d'une ressource virtuelle.

En outre, un noeud virtuel et/ou un objet VPXI peut être crée en agrégeant des capacités fonctionnelles de noeuds physiques (fragments). non attribuées. Par exemple, on peut, sur le même principe, créer des. in frastructures dites "test effort" en associant les capacités "best effort" de différentes ressources physiques.

Un profil capacitif temporel associe à une valeur de temps (date) une valeurde capacité. Sur ce principe, il est possible de créer des profils temporels. pour des ressources physiques ou virtuelles relatifs à d autres attributs de la ressource que sa capacité; Il est possible d état lir des.
profils de sécurité autorisant par exemple l'accès à la ressource seulement à
certains ti . nts de la journée, des profils de réplication selon lesqueis, par exemple, une ressource (sttckage) est répliquée en J u ée et non la nuit, ou encore des profils: de surveillance selon lesquels par exemple une ressource est surveillée les joùt s: ouvrables et-non-les jotas fériés.

On. peut définir un profil de rapacité pour chaque n ud virtuel car celui-ci peut fonctionner, simultanément, successivement ou tour à tour; pop différentes infr mt tires VPX.

On. peut établir des profils temporels pour d`autres attributs, notamment des valeurs relatives. à la sécurité, la performance, la localisation géographique, le coût monétaire ou énergétique de la ressource en question, La requête Y de la figure SA peut être me requête dite de "réservation", _par laquelle du demande la mobilisation d'une partie au.=moins de la capoté fitnr~e{Ie;-desaressoeirces:e l'infrastructure physique Pl 200, pour une période do temps donnée. La, requête Y peut viser une quant té donnée de cette capacité, en accord avec: le caractère divisible de c e t t e c a p a c i t é . La réservation de la ressource` peut.
être limitée dans le temps, et doris ce cas être exprimée sous une forme absolue, ce st a-di deli'tnitée par deux dates universelles de l' infrastrunture physique Pl 2-00, ou. relative, par'exennpie paria doimée d'un délai de début et d'une période de réservation.

Généralement. une requête en réservation constitue plus exactement une requête de 'gré-réservation", car elle vise urne réservation future de la capacité
fonctionnelle de ressource.

La requête Y peut être également une requête dite de "reprovision', c'est-à-dire me demande de, modification de. la capacité fonctionnelle d'une ou plusieurs ressources de l'infrastructure, voire de l'ensemble des ressources de cette dernière.

Le plus souvent, une requête de reprovisiorn: vise ou implique d'adapter, ou de répartir, les ressources de l'infrastructure physique Pi 200 d'une manière différente.

Une requête de reprovision peut être définie de manière absolue oui relit ve, et être ou non bornée ifs le temps.

La requête Y peuh. viser des éléments virtuels, ou des ressources physiques virtualisécs.
Généralement, une requête Y a trait à une capacité: fonctionnelle et à une période de temps, daté
ou non, sans viser un équipement physique ou un n ud virtuel particulier.

La figure 9 illustre: le traitement d'une requête YI, analogue 4 la requête Y
de la figure SA, parle gestionnaire VIM.500.

La. requête YI consiste en une requête derésser ratim. Legestiotmaire VTM 500-met en uvre un traitement sur réservation, dé signé traitement Rarvn, représenté par le bloc:90'1.

Le traitement Rsrv 901 interagit avec une description de l'état des ressources de l' inrastructue Pl 200 ou de l'infrastructure. virtuelle V,l, ou. description RStat;
repré4ehtee par le bloc 902 Lâ
description RStat 902 peut faire appel aux profils maintenus dans la base RDB
402 et/ou V RDB
502..t e traitement Rsrvn 901 résulte e un profil C(t) àpré- rà rvation, bloc 910 Ce profil C(t) à pré-réservation est stocké, par exemple, en remplaceraient du profil initial de la ressourct.
La figure 9 illustre également le traitement d'une requête Y2 de- reprovision.
Le gestionnaire VIM 500 met en oeuvre un traitement de reprovision, ou tr itemneht Rprvn, représenté parle bloc 903. Le traitement Rprvn 903 peut interagir avec l'a descrippion RStat902 pour établir un profil C(t) à reprovision 910.

Le traitement Rsrvn 902 peut impliquer en outre un traitement Rprvn 903, comme l'illustre la flèche en trait tireté fin de la figure 9. Ce, peut être le cas, par exemple, lorsque la capacité

résiduelle du profil de la ressource est instàfsante au vu -de la capacité à
réserver ensuite de la requéte. Y I.

Comme le montre la figure 10, immédiatement ou par la suite, le profil C(t) peut être -appliqué à
un convertisseur Cnvttr 914 pain obtenir ce que l'on appelle cî une "série temporelle d'événements de capacité", ou série Se 916.

Une série Se représente une suite chronologiquement ordonnée d'événements datés futurs qui déclenchent des actions de configuration et/ou de gestion de la z ssource c'onsidérée ensuite de variations dans le profil C(t) de cette ressource.

Ici, une telle série est dite ,à "horizon brimé", c'est à dire qu'elle ne contient que lies évén mots de capacité compris entre une date. de début BD et une date de fin ED, cette date de fin .ED étant temporellement éloignée de; la date de début d'une période fi*ée, vu horion te pare! h. Cette série est égalem t dite "glissante", c'est-à-dire que la date de début :BD est regu ére ent avancée à mesure que le temps passeõ

Le convertisseur 914 peut être vu, comme interprétant les profils de capacité
tennporels.

La figure 11 montre une représentation d'une série 5e correspondant au profil.
C. de la figure 7.
La série Se comprend un ensemble de triplets informatiques E/ Ek+1, :..,Ek+5, comprenant chacun une donnée de date universelle, une donnée de valeur de capacité et une donnée de pointeur vers un ensemble de fonctions et/ou paramètres de configurat on etfou de gestion- de la ressource concernée. A chaque fois que le profil présente une Modification d'une quelconque mesure de capacité, un. tri=piet,= ou événement; est généré en rcirespondanee.
'Par exemple, le triplet. événementE7r+l correspond. la fin de la mise. en réserve de capacité
Crsi().

Avantageusement, la série temporelle 916 prend la forme d'un objet informatique tel que défini en annexe A. 1.1..4, en combinaison des objets définis aux annexes A. I,1 3, A:1.1..5, A. 1.1: 1, De manière plus générale, un événement Ek met en relation une date,. un ou plusieurs identifiants de commande pour la ressource et un jeu de paramètre pour ces fonctions, établis d'après une valeur datée d'attribut Autrement dit, il est possible d'établir unesérie- temporelle Se pour tout profil décrivant la.variation d`un attribut de ressource dans le temps.

L'exécution dune série temporelle Se, eest-à-dire l'appel du cr nvertissenr evec une indication d'horizon temporel et l'appel chronologique de chaque fonction et pam ètre dé
cettesérie, à. la date adéquate, peut étaie réalisée, en parme et pour certaines ressources physiques au moins, par le gestionnaire. PIM 200 en charge de cette ressource.

La figure 12 illustre le rra cernent die requ ête de: réservation.Y parle gestionnaire VIM 500.
En entrée, étape 950, le gestionnaire VM 500 reçoit une requcte Y. Cette requête comporte îles indications de capacité fonctionnelle à. réserver,. y compris la fonction en elle-même et la ''quantité." de cette fonction qui est visée, dà pédddc tertiporelle 4e réservation, ou au-moins une date de début de réservation, et éventuellement de: r'essour~ce4isée (individualisée).

A l'étape 952, le gestionnaire V 500 çonsulte l'état des ressources de l'infrastructure. Vl, telles qu'elles figurent par exemple dans la description de ressources 901.:
Ceci peut être efftué
à l'aide des prafls de ressource contenus dans la base VRDB 502 et/ou.RDB 402.

A l'étape 954, le gestionnaire VIM 401 évalue s'il est possible de satisfaire la requête- C, gris quel. mesure, et coin ont. Cette étape 954, comprend zti é étape ,dans laquelle la roquéte Y est mise en forme, confarrnéinent à la représentation faite des.ressôurces:dans labase DI3 502.
Autrement dit, la requête Y est stockée à la manière de'n uds. fonctionnels reliés entre eux, par des liens de communication. La requête Y 'peut spécifier la capas ité de chaque n ud fonctionnel et de chaque lien.

La mesure dans laquelle la requête Y peut être satisfaite sera décrite plus tard.

Si la requête Y ne peut être satisfaite, le gestionnaire V M. 500 retourÃte un échec de traitement de la requête à l'étape 998.

Au contraire, si la requête Y peut être satisfaite; le gestionnaire VIM 500 crée un objet dit "VPX`l'', à l'étape 960 La création d'un objet VPXI de l'étape 960 coznprend_notaniment la définition de l'objet 'VPXI
en question, son stockage dans fine: structure organisée de données, et son attribution à
l'utilisateur ayant généré la requête Y.

Avantageusement, la requête Y peut être soumise au gestionnaire VIM sous la forme d'un objet VPXI,. par exemple : l'aide d'un langage à balises conforme au standard XML.

Ensuite, les ressources de l'infrastnicturephysique sont virtuellement aIlouéesselon:ect objet, à
l'étape 970. Et le gestionnaire VIM 500 retourne un avis de succès à 'étape 999..

L'opération 960 de la figure 12 est illustrée de tanière plus détaillée sur la figure 13 La création d'un objet VPXlcomrnence à l' pe 962 pI la création d'une nouvelle entrée dans une table des VPXI telle que représentée par exemple sur la tg tre 27.
Pourchaque objet VPXI, cette table maintient en relation, entre autrres choses; une donnée d'identifiant del' objet VPXL, une donnée d'identifiant utilisateur, une description de cet objet, ou un lien : vers une telle dose, r'tption, en termes de ressources (liens, nà uds et.routeùrs notamment), une liste,de,,foftction de gestion et la topologie de l'objet VPXL

Ensuite, à l'étape 964, la table des ressources de t' inl tr: ctureest mise à
jour. Cela comprend la mise en relation de chacune des ressources impliquées dans l'objet VPXI en question avec la:
donnée d'identifiant de cet objet VPXX, et la misée en conformité de son profil temporel de capacité. Cela inclut la création d'un fragment de capacité réservé (période de réservation) dans le profil de capacité de la ressource; attribué à l'objet VPXI en question Cela implique généralement la création d'un noeud Virtuel relié à l'objet VPXI et à une ressource physique.

I'operàtien 966 comprend le, calcul de grandeurs auxiliaires. Cette opération est illustrée en traits tirëtés car elle est optionnelle.

Cette étape 966 comprend notamment la mise à jour de variables globales, telles que. là variable.
"capacité. résiduelle globale" de l'infirs ructure V 14400. De telle, s variables sont utilisées pour accélérer les phases d'allocation et, d'ordonnancem t, sur lesqueliessonreviendra plus loin. Par exemple, si la valeur associée . àla capacité résiduelle gk.. alc est isiférieure 1 une valeur p lanc her prédéfinie, le gestionnaire VINT 500 ,peut être configuré pour refiiser le traitement de toute requéte en réservation pour la période correspàndan.te.

L'opération 968- vient ensuite donner à l'utilisateur les deciits, dll ac cès définis clans l'objet VPXI
qui vient d'être créé. Dans un mode de réalisation avantageux, l'opération 968 comprend en outre le chargement de l'objet mi PXI nouvellement crée: sous la. forme d'un démon.

L"étape 964 implique la ir ise â jour et/ou la création d'un, objet VPXI 2710, et d'objets Vx nodé
2730, Vxlink 2740, Vxrouter.2750 et deobjets subs e node 276Ã, substrate links 2770 et substrate router 2780, On aura compris que l'opération 968 constitue.une réponse vers r'utilisateur,.répons qui fait suite à la requête que cet utilisateur a émise. Ii ciste aussi une réponse dans une requête de reprovis on.

Et l'on arrive à la fin 969.

En parallèle, il faut configurer les ressources en conséquence de la requête que Iton vient d'accepter. L'accès de l'utilisateur aux ressources réservées est empêché
jusqu'à. la bonne configuration. du système et, le cas échéant, avant la date de début de réservation et après la à ate de fin. de réservation. Avec la réponse, le gestion renvoie une référence qui permet au client de retirer des éléments de contrôle d'accès qui ne seront actifs qulaux moments adéquats.

La figure 14 détaille l'étape 970 de la figure 13.

A l'étape 972, on recense l'ensem'be des ressources concernées par l'objet XI, et Il y aura lieu de configurer. Ceci implique de consulter la liste des ress . tees maintenues en relation avec l'objet VPXI en question dans la base RVDB 502.

Ensuite, on commence une structure de boucle en établit une première ressource comme ressource courante, au cours. d'une étape 974; Ensuite, on détermine si cette ressource courante est un n ud ou un arc (ou lien), au cours d'une étape 976.

Si la ressource est un noeud, on va considérer ce noeud à l'étape-979. Si la ressource est un are, on va ronsidéter le nt d sàurce de Pareà l'étape: 978. Le noeud source de l'arc est celui eoù part la communication effectuée sur l'arc ou lien considéré

L'étape 980 consiste à appliquer au n ud des étapes 979 ou 978 un Utkemot défini particulièrement pour lui.

Dans un objet VPX1, ce traitement peut, être considéré comme- une proce"dure`reiat vè au n ud concerné, procédure qui est dêfinie dans l'objet VPXI, par exemple par pointage d'une procédure particulière, avec des paramètres, parmi un ensemble prédéfin . de prt cédi s.
Ceci implique généralement lenvoi au gestionnaire PIM 20 de commandes de pilotage. Ces commandes peuvent être vues comme le résultat d'appels de fonctions de pilotage, génériquerrtent notées PILOT{), â effet sur le gestionnaire PIM 200, schématiquement représenté par le requête X
décrite plus haut.

Par exemple, une procédure particulière peut correspondre ai déploiement. et au démarrage dj nar iques d'une image de machine virtuelle `i i, avec système;d'e?
plôitation etprogram rues exécutables pré-compilés, sur une machine particulière Mk. Une telle procédure peut être' désignée Mk deplo (VMi)", et constitue un exemple de fonction GMD{.

Toujonr par exemple, une autre procédure particulière peut ro spondre;. Pour un lien de transmission, à l'association d'un indicateur de lien virtuel (VL) avec une capacité de service garantie (GARANTEED) et une valeur seu.i~l. de débit. (MtN) s ur le port Pie,.

Une telle procédure peut être désignée E Liak Config. (P VLi, GARANTEE1J MEN), Å. chaque type de ressource correspond ensemble, ou jeu, de procédures de configuration prédéfinies. Ces procédures de configuration sont transmises au noeud physique considéré soit, directement, soit par l'intermédiaire du gestionnaire P31v1,.

Le test 982 détermine si toutes les ressources de Pt>bjet VPXI ont été
traitées: Si cc n'est pas le cas, on. Passe, à la .ressource suivante à l'étape" 984, pour laquelle on réitère les étapes 976 .
Quand toutes les ressources oni.été traitées, on arrive "à étape finale 988.

Le traitement de l'ensemble des ressources d un objet VPXI peut être réalisé
en parallèle, par ressources, étant donné que ces ressources. peuvent en général être configurées de matière indépendante lés unes des autres. Ceci permet <Pacçélérer glol alenient le traitement d'une requête Y.

La figure 15 illustre. comment .on peut exploiter une "série, temporelle i "
donnée. Après l'entrée 1300, l'étape 1302 fixe à (? (par exemple) la va üc d'eri indice k. Ensuite, l`étape 1304 exé te l'événement défini dans la série temporelle, pour le temps T T. pour k= 0) Ensuite, on passe à l'événement suivant, de rang k 1, de la série. Ceei est syti boisé en 1306 par le fait que l'on passe de k â k l. (à ce stade de 0 à 1).

Le test 1308 détermine si l'on a dépassé la fin de la série. Dans le cas contraire, l'étape 1310 consiste en une attente pendant un temps égal à Tk., TT. Au terme de ce temps d'attente, on exécute l'événement de la série pour la nouvelle valeur de k, en.1304, et ainsi de .s itè-, jusqu'à ce que le test 1308 permette de sortir vers l'étape de fin 1312..

Le dispositif chargé de l'explotation d'une série temporelle peut être, de matière différente suivant les capacités de la ressource physique considérée. Bats certains cas, par exemple lorsque la ressource impliquée comprend un ordinateur, la ressource exploite elle-même sa série temporelle, Dans d'autres cas, la ressource se contente de répondre aux appels de fonctions correspondant à chacun des événements (réception &instructions uniquement).

Le et nvert'isseur 914 est avantageusement exécuté ,sut` le gestionnaire PIR
202.

Dans ce qui précède, on a considéré le fonctionnement du système de irianière dynamique. En pratique,, il convient de considêrcr également soi initial sation.

On fait référence à la figure 29 pour décrire ce processus d'Ãnitialisation.

A l'initialisation du, système global, un démon de gestion VPXI est chargé
ainsi-qu'un ensemble de tables vierges:

Le gestionnaire VPXI embarque un nodule d'al ocation de ressources qui permet d%tablir les n o e u d s virtuels répondant à une roquéte VPXL U t p r e m i e r - p a r a m é t r a g e qui p e u t , ère manuel, consiste âreuseigner les informations A!, '-àe Chaque dé non de contrôle d'une ressource physique, à savoir chaque démon Substrate Mode,.
Substrats Li ik et strate Router de la figure 28 suivant la nature de la ressource en question, est chargé et initialisé. lors d'une opération d'enregistrement de cette ressource physique auprès de son gestionnaire PTl respectif 444..

Cet enregistrement, qui comprend le renseignement des informations nécessaires â. la création d'un objet de type R, peut être: automatique, par exemple résultant de l'exécution d'une série d'inset ctions sous la forme d'un code informatique, ou manuel, par intervention du propriétaire/gestionnaire de la ressource. Cet enregistrement déclenche l'iuitialisation des procédures de configuration propre à chaque ressource, en particulier des fonctions CTRLQ et 3.8 Les démons VXnode VXliuk et VXrouter, qui agissent en lit que démons de pilotage: de ressources virtuelles, sont chargés. et initialisés dés . ils sont alloués t une infrastructure VPXI par le gestionnaire de VPXL

Les dénions VPX , qui contrôlent les différentes iniras%ae s: VPXI, sont urgés et initialisés:
lors de r'a tivation 4e leur infrastructure VPXI respective, La figure 29 montre que le système décrit fonctionne e manière globale suivant plusieurs grandes étapes:
- Une première étape El comprend l'enregistrement; ou la déclaration, des rëssoturces dans ce que Von pourrait appeler un "substrat" de ressources:. Cet enregistrernent -se fait auprès du gestionnaire PIM 400 respectif de la ressource.
- Une seconde étape .E2 correspond àla soumission d'urte.requête d"inûastruitare VPXI pare utilisateur.
- Une troisième étape correspond à l'allocat on dtu e ou plusië s rèssources virtuelles parle gestionnaire VPXI du gestionnaire VIM 500 â tin, objet - Une quatrième étape E4 correspond â l'activation d'une ïnftwtructure VPX I, - Une cinquième étape E5 correspond à l'activation d'une fonction de l ilotago des ressources virtuelles en fonction de leurs calendriers, respectifs.
- Une sixième étape E6 correspond à l'activation d'une fonction de commande de ressource physique par l'intermédiaire du gestiQnua.irePll par exemple une fonction de configuration. - Une septième étape= E7 correspond â l'accès et à u#il sat.io t. du fragment de la ressource physique par l'utilisateur.

La figure 16 considère que cela est traité pat une procédure principale. Après son départ 1400, celle-ci établit une configuration initiale, qui est en général prédéterminée, et xe que cette configuration initiale est la configuration courante en 1404. Ensuite, on attend une. requête en 14.06. Lorsqu'arrive une requête, elle lest traitée de la manière indiquée précédemment, en 14()8.
Ii en résulte.urie nouvelle con'fïg .iratiôn, qui estetallie cc uiie configuration courante en 1410, après quoi on retourne en 1406 pour atteïndre la requête suivante.

On a vu que la création d'un. objet VPXI impiique ta réservation de. fragments de capacité. dans les profils de capacité de chacune des ressources concernées par cet objet VPXI. -De la même manie qu'une ressource physique ou virtuelle présente un profil temporel de.
capacité, tout objet VPXIpeut présenter tu.aussiunprofil temporelde~capacité;correspondantàl'agr gatioin des fragments de capacité des ressources qui le constitue, Le profil de l'objet VPXJ peut en particulier comprendre un fragment réservé ensu te d'une requête d obj .
VPXl,, un frag -ent de eapacité disponible, ou. à réserver, un fragment de capacité `best, effort"
utilisable, sans autre, garantie par tout utilisateur de l'in frastructure. Ce profil temporef, cru du moins un lien vers ce profil,: peut (être maintenu dans la stni tore de stockage qui mémorise les objets VPXl Et ce profil temporel peut être soumis au convertisseur pour obtenir à chaque fois une série temporelle;

Comme le montre la figure 17, le gestionnaire V 500 comprend un..dispositifd~évaluation de requête, désigné dispositif RED 1700, capable, &'interactio t avec la base V
.DB 502 pour déterminer si une requête Y qui lui est soumisepeut être ;satisfaite, et dans quelle mesure. Ce dispositif peut prendre la fonte d'un module informatique au, oins.
partieileii ettt exécuté sur le gestionnaire VIM 500. En pârtieufer, ce module peut prendre ,la: .d rn démon.
Ce moduie peut également être désigné module d'allocation de ressources, ou module Vx alloc.

Le dispositif RED 1700 comprend un outil dé sélection géographique .de r essourees, ou outil GEOCFL 1702, adapté pour sélectionner un sous-ensemble de ressources de la, base VRDB 502 selon un ou plusieurs critères géographiques, tirés de la req ul e. Y. En complérrre rt, ou en.
supplément; la sélection du sous-ensemble de ressources peut prendre en compte des critères politiques appartenarmce à une Nation, un pays, un gouwrnerrment, une institution ou autres).
Le dispositif RED 1700 comprend en outre un outil, de sélection fonctionnel de ressources, ou outil FCTSEL 1704, adapté pour sélectionner certaines des ressources de la base VRDB 502 en fonction d'attributs fonctionnels maintenus dans la base. eu relation avec les ressources en question. En particulier, l'outil FCTSEL 1704 est agencé pour établir cette sêleetion parmi un sous-ensemble de ressources sélectionné par l'outil GEOS L 1702.

Le dispositif RED 1700 comprend encore un outil de sélection dé ressourcés par attribut, ou outil ATTRSEL 1706, adapté pour1recevoirune partie au moins de larequéte Y, et pour établir en sortie un sous:-ensemble de ressources dee la base. V tDl3. 502, sélectionné. sur la, base d'attributs maintenus chas cette base VRDB 402, en relation avec les ressources en question. En particulier, l'outil ATTRSEL 1706 est agencé pour établir cette sélection parmi un scias-ensemble de ressources sélectionné par l'outil FCTSEL 1704.

Le dispositif 1700 comprend encore un outil de sélection de liens, ou. outil.
RLNK 17Ui, adapté pour recevoir un ensemble de liens et de ressources en entrée, et pour délivrer en sortie un sous-ensemble de liens sélectionnés, L'outil RNLK. 1708 peut travailler sur n sous-ensemble de liens et de ressources sélectionnés par P outil AT VRSEL 1706.

Le dispositif RED 1700 comprend enfin un outil de planification, ou outil SCHDLR 1"710, adapté pour recevoir un ensemble de ressources et de liens, et pour établir en tantt,que. sortie un sous-ensemble optimise desdites r sources et lieras, sur la base d ne.rrtin rn satibn clés codts.en fonction de critères choisis. L'outil SCHDLR 1719 est agencé pouf- travailler sur un sous ensemble de liens et de ressources issu de l'ooutil R ILK 17{)8 et/ou de l'outil. ATTRSEL=1706.
'ensemble, formé de l'outil GEOSEL 1702, de Foutu FCTSEL 1704, de.lbutil et de l'outil ATTR EL 170E et de Ibutil RLNK 1702, entre autres, peut être vu, globalement comme un outil de sélection de ressources; ou "sélection de ressource".

La figure 18 illustre une première tbnction de l'outil GEOSEL .1702.

A l'étape initiale 1804, l'outil GEOSEL 1702 reçoit en entrée la requête Y; ou une partie au moins de cette dernière, ainsi: qu'un anus-ensemhie de ressources, ou ensemble de ressources d'entrée, ou ensemble IRS, de la base VRDB 502.

Dans un moi de de réalisation préférentiel, l'outil GEOSEL 1702 est appelé
préalablement aux autres outils de sélection du dispositif RED 1700, en sorte que l'ensemble IRS
correspond sensiblement à l'ensemble de la base VRDB 502.

A l'étape 1802, on établit le nombre, noté n, de ressources visées par la requête Y, à l'exclusion des liens. L'ensemble de ces. ressources, liens exclus, est noté ?R pour la requête Y.

A l'étape 1804, une boucle est initiée sur la variable muette laquelle, évolue de 1 à n par incrément unitaire.

A l'étape 1806, on appelle unie fonction location pour une ressource particulière, notée R4 de la requête Y. Cette fonction, définie à l'annexe A.2 1, retourne un attribut de localisation maintenu dans la requête Y en relation avec la ressource. Ri.

Cet attribut de localisation peut êUe explicite, c'est7à dire explicité par l'utilisateur qui a éanis la requête Y., Cet attribut de localisation, peut également être 1 pliéite, &esr4dire déduit d'informations sur l'utilisateur en question, connues du système, et/ou de la conz aissârice d'utilisateurs ou de ressources situés à proximité de 1'atiïisateur/ netteur de la requête Y.

A l'étape 1806, on teste. si la fonction location, a retourné un ensemble vide ou nit Si le test de l'étape 1806:e st posiitif, c'est-à:-dire si aucun attribut de localisation n'est assr cié à la ressource Ri de la requête Y, alors on traite la ressource Y.Ri suivante.. (la variable i es .
incrémentée).

Si le test de l'étape 1806 est négatif, c`est-4-dire s'il existe un attribut de localisation en relation avec la ressource Y,Rï, alors on sélectionne, à l'étape 1808, un sous-ensemble de ressources.
résultat pour la ressource Y Ri,. au sous-ensemble RSSi, comprenant Pense able ,des ressources Rj de'. l'ensemble 1RS :dont. l'attribut de localisation, tel que ,renvoyé par la ï=onctton locati correspond à l'attribut de localisation de la ressource Ri de la requête Y.

Et les. étapes 1806 et 1808 sont recommencées pour la resfsource Y.Ri sùivante.

A l'étape 1810, on établit un ensemble de ressources de sortie, ou ensemble ORS, comprenant chacun des sous-ensembles RSS , ainsi que les liens de l'ensenibie IRS notés dans leur ensemble 1RS.L.

A Pét pe 1912, l'outil GEOSEL 1702 retourne l'ensemble, OSR en tant que résultat La figure 19 illustre une seconde fonction de l'outil GEOSEL 1702.

A l'étape 1900, cette seconde fonction de, l'outil GEOSEL 17)2 reçoit une reqüete Y, et: ul ensemble de. ressources d'entrée, ou ensemble RSS.

Dans un mode de ralisation préférentiel; l'ensemble IRS de l'étape 1900 correspond d l'ensemble OSR âélivré en sertie de'lâ prerr~iére fonction de l'outil GEOSEL.1702.

A l'étape 1902, on détermine le nombre, noté n de liens Li contenus dans là
requête; Y.
L'ensemble des liens visés dans la requête Y est noté Y.L.

A l'étape. 19044 on débute une boucle portant, sur 1a variable miette laquelle est.incréimentée unitaireanent de 1 à

A l'étape 1.906,. on détermine un s a s-et sènïble-résultatRSSi pour un lien particulier, noté lien Li. Le sous-ensemble RSSi comprend les liens: Lj de l'ensemble IRS tels que - le résultat de l'appel de ta fonction atencjm, pour le. lien Li. de la requête Y est supérieur au résultat de l'appel de la. fonction Lat cy n n pour le, lien L j en question, et:
tel que - l'appel, de la fonction Latençjmiii2 pour le llèn Li de la requête Y est.
inférieur au résultat de l'appel de fonction Latenccyr ax. pour ce lien Lj.

Les fonctions Latencymax et Latencymin sont respectivement définies aux annexes A.22 et A.2.3.

L'étape 1906 est recommencée pour le lien Li suivant (la variable muette i est incrémentée de 1).

A l'issu de la boucle, à l'étape 1908, .on définit un ensemble--résultat de ressources, noté SR.
L'ensemble OS, R comprend chacun des sous=ensembles RSSi, ainsi que les ressources, honnis les liens, de l'ensemble ISR, notées dans leur ensemble ISR.R.

A l`étape 19.10, l'ensemble ORS est retourné. en tant que résultat de la.
seconde fonction de l'outil GEOSEL 1702..

La figure 20 illustre le fonctionnement de 1'cutil FCTSEL 1704.

A l'étape 2000, l'outil FCTSEL 1704 reçoit une requête Y et un ensemble de ressources d'entrée, noté IRS.

Dans un. mode de réalisation préféré, l'ensemble 1RS reçu â létape 2000 correspond a l'ensemble ORS délivré en sortie de :L'outil GI OSEL 1702, en part ieu,Iier de la seconde fonçtion de: cet outil.

A l'étape 2002, on, établit le nombre n de ressources R vises parla requête Y, hors tiens, L'ensemble de ces ressources est noté Y. R.

A. l'étape 2,004, on débute une boucle sur la variable muette "i", laquelle est incrémentée unitaireinerit de I. a n.

Pour une ressource particuliére,notée Ri,de:la uêteY,onappellelafonctionfüriçriondéfnie en annexe A2.4. Si le résultat de cet appel est l'ensemble vide (étape 2006), alors cette étape 2006 est recommencée pour l'objet Ri suivant, Sinon, à. l'étape 2Otl8, on établit le hombre,; note m, de fonctions retournées par l'appel de la fonction function.

A l'étape 2010; on débute une boucle sur la variable muette j, laquelle est incrémentée unitairement de 1 à r.

Pour une fonction particulière, notée Fj, on établit le sous-ensemble de ressources-résultat pour la fonction fi de la ressource Ri, noté RSSij; Le sous-ensemble RS S j comprend ies ressources Rk de l'ensemble IRS dont l'une des fricti~ïns associes, notée lr 1, côrrepoid â la fonction 1M j en question. Ceci constitue l'étape 2012.

Ensuite, on recorrin once l'étape 2:0.12 pour la ,fonction Fj suivante de la même ressource Ri.
A l'étape 2014, on établit un sous-ensemble de ressources-résultat pour la ressource Ri, noté
RSSI. Le sous-ensemble RSSi comprendchacun des sous-ensembles RSSij.

Ensuite, les étapes 2006.à 2014 sont recommencées pour la ressource Ri suivante.

A l'étape 2016, on établit l'ensemble.:résultat QS1t,. comprenant le sous-ensemble RSSI de chacune des ressources R î, ainsi que l'ensemble des liens- de l'ensemble ISR, noté 1RS.L.
Finalement, à l'étape 2018, l'ensemble OSR este renvoyé en tant que résultat, La figure 21 illustre une première fonction de l`ail .A.TTRSEL 1706.

A l'étape 210#1, l'outil ATTRSEL:1706 reçoit la requête Y et uri ensemble. de ressources.fRS, L'ensemble 1RS reçu à l'étape 2100 peut être correspondre à l'ensemble ORS
délivré par la fonction FCTSEL 1704, ou non.

A l'étape 2102, on. détermine le nombre n de ressources R, tiens exclus, visés parla requête Y,.
A l'étape 2104, on. initie fine boucle portant sur la variable muette "i", laquelle va. être incrémentée unitairetnent de I à n.

A l'étape 2106, on détermine un premier-sous-ensemble de. ressources-résultats RSSI É pour une ressource particulière, notée Ri. Ce sous-ensenible RSSli comprend les ressources Rj, de Pense ble IRS: telles que - le résultat de l'appel de la fonction epumax, telle :que défie en annexe 2,3.5, pour la ressource Ride la requête Y est supérieure au. résultat de l'appel de la fonction, cp rnin, telle qùe définie en annexe A.3.7, pour la. ressource Rj en question, et telles que, - le résultat de l'appel de la fonction uprimn pour la ressource Ri de la requête Y est inférieur a résultat de l'appel de l'a fonction cpumax pour la ressource Rj de l'ensemble IRS.
A l'étape 2108, on déterminé un second sous-ensemble de re, ssôurce5-résultats RSS21 pour la ressource Ri, comprenant l'ensemble-des ressources Rj de l'ensemble IRS tel les que - le résultat de l'appel de la fonction rcim`m c, telle que définie en annexe 2.3.8, peur la ressource Ri est supérieure au résultat de l'appel de la fonction rammin, telle que définie en annexe A.2.3.9, sur la ressource Rj.en questi.oo,, et telles que - le résultat de l'appel de la fonction ravm, mi r p eur la ressource Ri est inférieur au résultat de l'appel de la fonction ranrac pour la ressource Rj.

A l'étape 21 ID, on. étertn é un troisiérne soi syerrse i~lede ressources=résultats RSS3 pour la ressource Ri comprenant 1'ensemble.des ressources Rj de l'ensenshle:IRS telles que - le résultat de l'appel de la fonction hdmax, telle que définie: en annexe 13.10,,po la ressource Ri est: supérieur au résultat de l'appel. de la fonction hcrn n, telle que défin ie à l'annexe 13.11, pour la ressource Rj en question, et telles que le résultat de l'appel de l'a fonction h hi sur-la ressource Rî est inférieur au résultat, de l'appel de la fonction h ax pour cette ressource Rj.

Å l'étape 2112, on détera ine un quatrième sous-ensemble deressources-résultats RSS4i pour la ressource Ri, comprenant l'ensemble des ressources Rj de l'ensemble IRS
telles:que le résultat de l'appel de la fonction sizemax, telle que déftr ie,à l`annexe A.3J.2',_ pour la.
ressource Ri est supérieur au résultat de l'appel de la fonction. eiz min, telle que défnlc à
l'annexe 3:.1.3, pour la ressource Rj en question, et telles que - le résultat de l'appel de la fonction, sizem in.pour la ressource Ri est inférieur au résultat de l'appel. de la fonction sizernax pour cette ressource Rj.

A l'étape 2114, on détermine un cinquiéme sois-ensemble deressources-résu tacs RS.S5i. pour l.a ressource Ri; comprenant l'ensemble des ressources. Ri de l'ensemble. IRS
telles que le résultat de l'appel de la fonction vmmode, telle que définie à l'annexe A.3.13, pour la ressource Ri est inférieur au résultat de l'appel de la fonction vmallocated, telle que définie à
l'annexe 1.3.14, pour la ressource Rien question.

A l'étape 211.6, on définit un sous=enserinbte-résultat RSSi pour la ressource Ri. Ce sous-ensemble RSS'i comprend l'intersection des ensembles SR1 i, SR2i, SR3i; SR4i et SRSi pour, la ressource Ri.

A l'étape 2118, on définit un ensemble de ressources-résultats OSR comprenant chacun des sous-ensembles RSSi correspondan taux ressources Ri de la requête Y ainsi que l'ensemble des liens de l'ensemble IRS, noté IRS.L:

Finalement, à l'étape 2120, on retourne Fensemble OSR en tut que résultat, La figure 22. illustre- une seconde fonction de routil A:UTRSEL 1706.

A l'étape 220, cette seconde fonction de l'outil A.TTREL 1705 reçoit la requête Y et un ensemble de ressources IRS..

De préférence, l'ensemble IRS reçu; à l'étape 2.200 correspond à :l'ensemble OSR résultant de l'appel de la première fonction de l'outil ATTRSEL 1706.

A l'étape 2202,. on établit. le non bre n de ressources Ri concernées par la requête. Y.

A l'étape 2204, oit initie une. boucle. portant sur la variable mette 'Y' laquelle varie de 1 à n par incrément de "1" ("un"3.

A l'étape 2206, on établit un sous-ensemble de ressources-résultats ..RSS;S.i.
pour une ressource particulière, notée Ri. Le sous-ensemble RSSi comprend 'l'ensemble des ressources Rj de l'ensemble IRS telles que:.
- le. résultat de l'appel de, la fonction end, telle que définie à l'annexe A.3.15, pour la ressource Ri est supérieure au résultat de l'appel de la fonction start; telle que définie à l'annexe A.3.16, pour la ressource Rj en question, et telle que - le résultat de l'appel de la fonction siat pourla ressource lei est inférieur au résultat de l'appel de la fonction end pour la-ressource Rj.

Ensuite, l'étape 2206 est recommencée pour la ressource Ri suivante.

A l'étape 2208, on définit un sous-ensemble, de ressources-résultats OSR
comprenant le sous-ensemble RSSi de chacune des ressc urces Ri de, lare .uute:Y, ainsi que l'ensemble des liaisons de l'ensemble IRS, noté IRS.L.

A l'étape 21,10, on retourne l'ensemble ORS en tant que résultat.

La figure 23 illustre une: trc isï ère fonction de l'outil ATTRSEL 1706.

r étape 230.0, la troisième fonction de l'outil ATTRSEL 1,706 reçoit une requête Y et un.
A ensemble de ressources IRS_ De préférence,. l'ensemble de ressources IRS.reçu â. Iétape 2300 correspond ::1'enserrible OSR
résultant de l'appel de la seconde fonction de l'outil ATRSEL 1706.

A l'étape 2302, on détérrtrine le iombre n de liens L visés par la requête Y.

A l'étape 2304,. on initie une boucle sur la variable. muette "i", celle-ci variant de 1 à par incréments de "1 "A l'étape: 2306, on détermine un sous-ensemble de ressources-résultat RSSi pour le lien Li, comprenant !'ensemble des liaisons Lj de l'ensemble IRS tels. que :
le résultat de l'appel de la fonction end sur la liaison Li. est supérieur au résultat de l'appel de la fonction ,stars sur la liaison Lj de l'ensemble IRS, et tel.
que.
- le résultat de :l'appel de la. fonction start sur la liaison Li est inférieur au résultat de l'appel de la fonction end sur la liaison Lj de l'ensemble 1RS.

L'étape 2306 est ensuite'reçommencée pour le lien Li de la requête Y suivant.

A. l'étape 23118, on définit un. ensemble. de ressources-résultats OSR
comprenant le sous-ensemble RSSI de chacun des liens Li de la. requête Y, ainsi que, l'ensemble des ressources de l'ensemble IRS,.noté 1RS.R.

Finalement; à l'étape 2310,1'ensemble CARS est retourné en tant que résultat:
La figure 24 illustre une première fonction de l'outil RLN:K.1708.

A l'étape 2400, la fonction.RLNK reçoit un ensemble de resso rées IRS.

L'ensemble de ressources IRS reçu à l'étape 2400peut résulter de l'appel l'une des fonctions e Poutil ATTRSEL 1706, en particulier de la troisième fonctions :de cet outil.

A l'étape 2402, on détermine le nombre m de ressources, honnis les liens, comprises dans l'ensemble IRS.

A l'étape 2404, on initie une boucle p rrtant sux la variable mueüt "z", celle-ci. variânt.de I &m.
Pour une ressource particulière Ri; o détermine' m premier sons-ennsçn ble de ressources-résultat RSSi 1 comprenant les liens Lj de l'ensemble Ili tels que l'appel de la fonction to, telle que définie en annexe A.3.17, pour ce. lien Lj est égal à la ressource Ri.

On détermine ensuite, toujours au cours de cette étape 2406 etpour la ressource Ri en question, un second sous-ensemble de ressources-résultatRSS2i comprenant les. liaisons L.j de J'ennsemble [RS telles que le résultat de l'appel de: la fonction frârn, telle que définie a l'annexe A.3.. 18 pour 49, cette liaison Lj a pour résultat la ressource Ri.

A l'étape 2408, on réalise un testeur savoir si l'ensenble RSS l.i est vide ou dort.

Sï oui, on passe à l'étape 2410 qui Wise à déterminer, si l'ensemble RSS2i est vide: ou non, si oui, passe l'étaape 2412 dans laquelle on définit un sous-ensemble de ressources résultats RSSi pour la ressource Ri, lequel vaut: l'ensemble vide. Et con recommence les étapes 240 et suivantes pour la ressource Ri suivante de l'ensemble IRS.

Dans le cas où le test de l'étape, 2409 est rxegati f, comme dans le cas tau le test de V étape 2410 est négatif on passe à l'étape 2414 au cours de laquelle r nsembte BSSi pour la.
ressource Ri est défini et comprend la ressource. Ri de l'ensemble 1RS en question. Puis, or reconrriience les étapes 2406 et suivantes pour la ressource Ri suivante'.de l'ertseml le ERS.

A la fin de cette boucle, à I'étape2416 on. defntit 1'erisemble de ressources-résultats OSR, lequel comprend chacun des sots-ensembles Si ainsi que l'ensemble des liens de l'ensemble IRS, noté IRS.L.

Finalement, à l'étape 2418, l'objet OSE. est dél vrr en tant que résultat.
La figure 25 Illustré. une seconde fonction de l'outil RLNK 1708., A l'étape 2500, cette seccirtde fonction reçoit un ensemble, de ressources d'entrée ISR

A l'étape 2542, on détermine: la fois le nombre, noté m, de liens compris dans l'ensemble ISR.
A l'étape 2504, on initie une boucle portant sur la variable muette "i", laquelle est unitairement incrémentée de 1 à rat.

Pour une liaison particulière, notée Li, de l'ensemble ISR, on détermine, à
l'étape 2506 - un premier sous-ensemble de ressources; noté RSSI.i, pc urle lien Li, comprenant les ressources Rj, honnis les liens, de l'ensemble TSR telies-que le résultat de l'appel de la fonction to pour la liaison Li considérée correspond. â cette réseource Rj, et - un second sous-ensemble de ressources, noté RSS2i, pour ce lien Li;
comprenant les ressources Rj, hormis les liens, de l'ensemble ISR correspondant: au:
résultat: de l'appel de la fonetionfom sur la liaison Li.

A l'étape 2508, on vérifie, si le sous-ensemble RSS1i est vide ou non.

Si oui, on passe à l'étape 2510, dans laeelle on. crée .unsons-ensemble de..ressources-résultats;
noté 1LSSi; pour le lien. Le sous-ensemble RS Si est établi comme étant vide.

Sinon, au. cours de l'étape 2512, -on vérifie si le sorte-ensemble 1 S 2i est vide ou non:

Si oui, on. passe l'étape 2510. Sinon, on passe à l'éiapé 2514, dans laquelle o crée un sorts-ensemble RSSi que l'on établit commue comprenant la liaison Li en question.

Ensuite, onrecommence. lesétapes 25016 et suivantes pour la liaison Lis vante de Vensemble SR.

A l'issue de la boucle initié. 1'é.tape 250 Ã, on définit.uàert5emble de ressources4ésultats OSR.
L'ensemble OSR comprend le sous-ensemble semblé RSSi correspondant à chacun des liens Li de l'ensemble ISR, ainsi: que l'eznsemble des ressources, â l'^exclusion des liens, de cet ensemble ISR, noté globalement ISR,R.

Finalement, à l'étape 2518, l'ensemble OSR est retourné en tant que résultat.
La figure 26 illustre une troisième fonction de l'outil RLNK 1708.

A l'étape 2600, la fonction en question reçoit 1 requête Y et e ensemble de ressources d'entrée ISR.

51.

A l'étape 2602, on détermine le nombre, noté n, de liens visés par la requête Y.

A l'étape 2604, on initie une boucle sur la variable muette "i"?
laquellevarêtre incrémentée de 1 à n.

Pour chaque lieu ge"nériquement noté Li, de l'a requete Y; on détermine vit sorts-ertse nble de ressources-résultats, noté RSSi, comprenant les liens Uj de ]'/ensemble IRS
tels. que le r65uitat de l'appel de: la fonction ban d vidthrn c, telle que définie à
t'annexe A.3.,18, pour le lien Li de la teqüête Y' soit supérieur au résultat de l'appel de la fonction brzndwidthmin, telle que définie en annexe .A..3.19, sur le lien Lj en question, et tels que, - le résultat de l'appel de la fonction brandi .idthmin sur le lien Li de la requête Y soit inférieur au, résultat de l'appel de la fonction bandividthmax sur le lieu Lj en question.
Ceci se fait a.u co n-s de l'étape 2606.

L'étape 260 est ensuite recommencée pour le lien Li suivant de la requête Y.

A l'étape 2608, on définit un ensemble. de ressourcesirésultats OSR comprenant le sous-ensemble RSSi correspondant à, chacun des liens Li de la requête Y, ainsi que I'ensemble des ressources, noté ISR.R, hors liens, de l'ensemble ISR.

Finalement, à l'étape 2610, on renvoie l'ensemble ORS en tait que résultat.
La figure 27 illustre le fonctionnement de l'outil SCHDLR. 1710.

A. Vétape 2700, on reçoit la requête Y et un sous-ensemble de ressources virtuelles ISR...De:
préférence, ce sous-ensemble ISR résulte de l'appel suecessifd s fonctions RNLK et AT TRSEL, en sorte que le sous-ensemble ISR comprend seulement des n uds et des liens susceptibles de répondre, éventuellement en combinaison les uns, des autres, à la requête Y.

A l'étape 2702, tin considère le profil capacitifde chacune des, ressources du sous-ensemble. ISR.
Ceci implique généralement une interrogation de la base DB 502.

A l'étape 2704, on détermine s'il existe dans le sous-ensemble ISR une solution à la requête Y
qui soit compatible avec les profils capacitifs respectifs des ressources.
Autrement dit, pour chacune des ressources du sous-ensemble ïSR, on d4terni e si. son profil.
capàciti autorise une réservation convenable. en termes de date/durée et de capacité. Finalement, on détermine un sous-ensemble de solutions pour la requête Y.

Si l'ensemble des solutions est vide,. alors, à l'étape 2705, on retourne un profil capacitif vide A. l'étape 2708, qui fait sorite â l'étape 2704, on détermine s'il: existe une solutionou plusieurs à la requête Y.

S'il existe une unique solution, on retourne à l'étape 27 10 un ensemble de profils capacitifs mis: à
gours; c`est-à-dire sont rit les réservations nécessaires, en capacité et en temps. Et M. ci*
l'objet VPXI adéquat dans la table des VPXL.

S'il existe plusieurs solutions, on lance une procédure d'opfimisaton pour déterminer laquelle des solutions e l'ensemble de l'étape 2704 répondent le mieux à des crittresprédéterminés. Ces critères concernent essentiellement la. gestion des infrastructures dans leur ensemble.

Dans l'exemple de réalisation illustré par la figure2.7 le module SCHD R 17 1.0 met en uvre un algorithme d'ordonnancement requête par requête. Ce module SC TDLR 1710 peut également être agencé de manière à traiter ensemble plusieurs: requêtes du type de la requête. Y.
Autrement dit, le module SCHDLR 1710 peut fonctionner par lots, L'étape doptimisation 2712 vise à définir la meilleure période temporelle pour effectuer l'ensemble des réservations de capacité des ressources impliquées dans la ou les requêtes Y.
Ceci s'apparente à un problème d'ordonnancement.

Pour cette optimisation, on peut faire appel à un programme linéaire adapté
pour optimiser une fonction dite "objectif' prédéfinie par le gestionnaire du système de virtuaJ.isation d'infrastructure, ici lé gestionnaire VIM 500. Une fonction "objectif' peut, ainsi consister à
maximiser le nombre de req êtes Y acceptées. Selon la distribution statistique Viles requêtes, unie telle maximisation pourrait être obtenue en'àllouant la capaçit rninle,à cagne requête sur là
plus grande période de temps, du moins pour les requêtes spécifiant une capacité rntégrate.
L'étape d'opti tiisation 2712 peut fàiré appel à un ordonnaneettr plus complexe, par exemple adapté. pour optimiser simultanément, plusieurs critères tels que la sat sfaïct on. utilisateur, l'utilisation des res, unes, la nsomtnation d'énergie, le coût monétaire poo r :le client ou analogues.

On en revient ensuite à l'étape 270.

L'invention ne saurait être limitée à un algorithme d'ordonnancement particulier. En pratique, tout ordonnanceur capable d'établir les profils de réservation dé ressource à
partir d'un. ensemble de ressources peut être utilisé ici.

Des exemples d'algorithmes applicables sont proposés dans les articles référencés ci-dessus _ Çes algorithmes ont été en générai optimisés pour la réservation de bande passante ou l'ordonnancement de requêtes de transfert de données Ces algorithmes ont notamment été
implantés dans le logiciel `cpen source' ("somas. libres"' en fiançais) jBDTS
déposé à
l'Agence pour la protection des programmes;. ou A:P1, sous: le fiuméro Ii DN F1 .001.220025.000.S.P.2D0:8'.000.10700, et cheduler déposé à l'APP sous le numéro IDDN.FR.001.290010.000.S.P.2909 000.1000.

Le fonctionnement optima du système nécessite que les différents éléments constitutifs de l'infrastructure virtuelle 5.00-soient synchronisés entre eux.

A tout le moins, cela impose que le gestionnaire,, V'NI 500, chacun des gestionnaires PI-i 200-i, et chaque dispositif exécutant lui-même des. séries Se. soi ent'synchrc visés enta eux. Ceci. peut être fait au moyen d'un dispositif de synchronisation, reliant donc les: modules responsables de l'interprétation des profils temporels, de l'exécution des séries. temporelles et des contrôleurs opérant les changements au sein des équipements de rinfrasructure. Ce dispositif peut comprendre une ou plusieurs horloges globales det'pe CPS, un =serveur NTP et des clients NTP
une horloge globale distribuée, par exemple réalisée sous la fonte dan lagieiei . oui est construite et tesynchronisée à partir d'üne quelconque source temporelle physique.

Oit. vient de dêcrïre un outil aidant à i'exploitati 3n. dun réseau d'équipements physiques iutc onnectés possédant chacun. des capacités de transmission, de stockage et/ou de traitement d'informations numériques,.

Cet outil comprend notamment un gestionna de ressources associe à un stockage de données:
décrivant les capacités des différents équipements du :réseau, oil données de situation de ressources, Ce stockage est agencé selon une structure de: données dans laquelle un identifiant était mis en relation. avec des valeurs datées de grandeurs quantitatives.

Le gestionnaire de ressources enregistre certains au moins des énuipeménts du résidu en tant que ressources dans le stockage de damnées de: situation avec, c. ann e identifiant, un identifiant _, équipement, et comme valeur datée de grandeur quantitatives, une pr.ëmiére suite de valeurs datée de capacités de, transmission, de stockage eUou de traitement défiiraissaat une capacité
globale exploitable de la ressource, et une ou plusieurs suites: de valeurs datées de capacité de transmission, de stockage et/ou de traitement définissant des rapacités de ressources.
temporairement attribuées. Ces suites de valeurs prennent la forme de ce que l'on a appelé des.
profils temporels de capacité, qui peuvent être relatifs a des capacités réservées, maximales, attribuable, etc:

On a également décrit un. sélecteur de ressources, a usage pat' exemple dans cet outil d'aide. â
l'exploitation d'un réseau, comprenant un premier outil de sélection adapté
pour retourner un sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnées dans le stockage de données selon des 5:5 données d`identification fonctionnelle, un second outil de: sélection adapté
pour retourner un sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnées dans un stockage de données selon des.
données de localisation géographique ti "rées de la requête: en réservation, un troisième outil de sélection adapté pour retournerxn sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnées dans le stockage de données selon des données d'attributs non fonctionnels tirés de cette requete un quatrième outil. de sélection adapté pour recevoir un. sous=ensemble didentifiants, de ressources et pour retourner, d'unie part, uniquement ceux des identifts reçus qui sont maintenus dans un stockage de données de, liaison en. tant que second ou troisième identifiant de ressources erg relation avec un premier identifiant de ressources et, dautre pari, chacun des premiers identifiants en question.

Il s'agit là d'une configuration particulièrement avantageuse: 'du sélecteur de ressources, comprenant un ensemble de fonctions de sélection opérant stïr des critères différénts.les uns des autres: Le sélecteur de resso urces. peut ne comprendre; que certaines seulement de ces fonctions de sélection On a encore décrit un outil de p1ar.it catïon adapté polir évaluer une condition d'acceptation à
partir d'expressions de comparaison de dates qui portent sur une capacité
fonctionnelle-datée, et sur les suites dattes de capacité de transmission de stockage etlou de traitement maintenue en relation d'un ou plusieurs identifiants de ressources. Cet outil. de planification est ainsi capable de vérifier si une mess ur peut être réserves, axttrèï ent dit, si son. profil de capacité autorise une réservation et dans quelles conditions.

On a en outre décrit un allocateur de ressources agencé poùrrecevoir une requête identifiée de réservat i on temporaire de capacité fonctionnelle comprenant un jeu daté de données fonctionnelles et pour y répondre en appelant le, sélecteur de ressources pour chaque donné e fonctionnelle de la requête,. en appelant l'outil, de planification pour certains, au. moins: des identifiants du sous-ensemble retourné par le sélecteur de ressources, et en retournant finale ment un ensemble d' dentif nits de ressources en tant que réponse à la requête de réservation.

On a également décrit un gestionnaire d'infrastructures virtuelles qui est associé à un second 5,6 stockage de données de situations et dfiinfrastruetures virtuelles. C e second stockage de données est agencé selon une seconde structure de données dansaquelle un identifiant est mis en relation avec des valeurs datées de grandeurs quantitatives.

Le gestionnaire d'infrastructures virtuelles estadaptépciur enregistrer des unités-virtuelles dans le. second stockage de données, avec, comme identifiant un identifiant de l'unité et, nomme valeur datée de grandeur quantitative, une seconde suite de valeurs datées de capacités de traitement,. de stockage et/ou de transmission de l'unité virtuelle définissant une-capacité globale exploitable de l'unité, sous la forme d tn profil de capacité. Ce gestionnaire d'infrastructures virtuelles est en outre associé à une troisième structure de données, dans laquelle un identifiant d'unité virtuelle est associé â un groupe d'identifiants de ressources et, par J à , :aux suites de valeurs datées dee: capacités correspondantes.

Les première; seconde et troisième structures de données définissent ainsi conjointement un objet d'infrastructures virtuelles en correspondance d'un identifiant d'unités virtuelles, pour certains au moins de ces dentifiants touten maintenant une correspondance entre les première et seconde suites de valeurs datées de capacités de traitement; de stockage ët/ou.de transmission, c'est-à-dire notamment entre les profils de. capacités des éld nertts de l'infrastructure virtuelle, ceux de 1 infrastructure elle-même et surtout eéu des égui ew.ts du réseau; ou ressources physiques.

Un gestionnaire de réseau est chargé de maintenir des droits et des,capacités pour les usagers en fonction du temps, Le gestionnaire d'infrastr uctures virtuelles est agencé pour reconf gurer dynamiquement des objets d`infiastractures virtuelles erg fonction. des droits, et capacités demandés, ensuite par exem..ple de requête de. reprovisionnernent ou de réservation.

Toute opération de reconfguration d'une infmsuuctnre virtuelle comprend une opération de reconf guration..du contenu de la troisième structure de données associée â
l'objet d'infrastructure virtuelle et/ou une reconfiguration du contenu de la première structure de données visées dans l'objet d'infrastructures virtuelles.. Ceci permet de gérer l',nfrasttruetüre virtuelle en correspondance d'une pluralité de graphes temporels de capacité de traitement et/ ou de transmission des. équipements physiques constitutifs du réseau exploité.

On a aussi décrit un contrôleur d'équipement capable de faire opérer un équipement physique conformément à un jeu de paramètres de fonctionnement et un stockage de données agencées selon une structure qui. met en relation un identifiant pour-cet équipement physique et, d'une part, un jeu de valeurs datées d'attributs, et, d'autre part, une liste de fonctions de commandes capables de modifier certains au moins des. paramètres de fbnctionnement d contrôleur.

Un interpréteur est adapté pour recevoir en même temps une donnée l'identifia d`equ pemënt et un paramètre d'horizon temporel, et. pour y répedre en é blessent une suite d'évét etn ts.
respectifs à partir des informations du stockage de données concernées par l'horizon t ;rrzpore , quel ?o a appelé sérié ternpor lle d'éVét ments et pour y répondre en établissant", une suite d'événements respectifs à partir des informâtiions dd stockage de données conéerné s par l'horizon temporel, chaque évén vent meti t:en relation une date, un ou plusieurs identlfants de fonctions de commande et un jeu de paramètres pour ces fonctions, établi daprès une valeur datée &attributs.

Le. contrôleur, l'interpréteur et le.séquèneer r fonctionnement conjointement pour:mettre en navre un processus "infini", du moins à l'échelle de vie du. systëme, qui, au moins; pour les parties de ces éléments s'exécutant sur les ressources, s'exécutent en arrière-plan.

Chaque gestionnaire &infrastrl cture physique en combinaison d'un ou plusieurs actionneurs, agencés sur l'équipement lui-même ou à distance, le cas échéant par..tiellement, agit comme un séquenceur qui appelle l'interpréteur et réalise chronologiquement les appels des fonctions de chaque événement de la suite tels que retournés par l'interpréteur. Ceci permet de piloter, de.
commander, de contrôler, d'automatiser, de programmer chou de séquencer l'équipement à
distance. L'appel de l'iuterpréteur peut néanmoins se faire de manière programmée, à<intervailes de temps prédéfinis, ou de manière systématique, des qu!n changement s`est opéré dans. le profil temporel d'un équipement physique..

L'outil d'aide â l'exploitation peut contenir toute con b naison des élénients fonctionnels décrits ci-dessus entre eux, lorsque ces éléments sont cotnpatibles entre eux.

L'outil proposé utilise une représentation logique-de la capacité
fonctionnelle physique de tout dispositif technique composant un réseau, en particulier un réseau étendu tel qu'Internat. Chaque dispositif technique est considéré comme une "ressource" du réseau Et cette ressource peut être virtualisée, c'est-à-dire héberger plusieurs ressources, en général présentant une fonction principale identique en donnant l'impression à tout utilisateur que 14 ressource virtuelle qu'il utilise est me ressource physique qui lui est propre.

Il a été proposé un modèle de, seg tentation logique et dynan'ique'de. la capacité fonctionnelle physique incliunduelle.de chacune de ces ressoùrces, Il été également proposé
d établir des séries temporelles glissantes et bornes d'éw nements de :gestion, de con# guration,et de eontr"cite de la ressource physique, et ce pou tous types de ressource. Ces profils temporels et séries d'événement aident à la gestion des ressources, en particulier en faccilitant les calculs engendrés par les opérations d'attribution de ressources à la suite d'une requête & un-utilisateur;

Ii devient possible d'attribuer, ou da . dédier, une fràcfi.ori logique du réseau ï une infrastructure du. type "best -effort" de l'i'ntemet actuel. Cette infrastructure peut être offerte en, accès publie, sans garantie de performance.

L`outil proposé permet à tout propriétaire d'un équipement informatique. doté
de capacités de traitement, de communication ou de stockage d'insérer cet équipement de manière dynamique, flexible et réversible dans un vaste réservoir global de ressources que constitue rIntemeç de.
segmenter dynargiquementies capacités fonctionnelles=de cette ressource, et de choisir à quels usages sont destinées les sous-capacités fonctionnelles isolées.

Tout opérateur d'une ressource ou d'une collection de ressources telle qu`un réseau; une grappe d'ordinateurs ou un centre de données peut gérer et configurer, dynamiquement-et, de manière.
flexible, ses ressources, à distance, ou leur transmettre-des valeurs de seuil. permettant une gestion et une configuration autonomes, Il permet un suivi rigourei , une comptabilité simple et des analyses statistiques précises des usages des ressources suivant deux grandeurs, :à savoir le temps et la capacité, et de manière plus générale, le temps et tout attribut qui peut être associé à
un équipement physique. Ceci permet d'établir des calculs de coût et de dimensiô-nnement efficaces de capacités individuelles.

L'outil proposé permet. encore une valorisation équitable des investissements d'in frastructuresen donnant de la valeur ajoutée à.l'ensen l'ensemble du contenant; tels que les espaces. de stockage ou, les capacités d'acheminement et taon. plus seulement au. traite ont et à
l'acheminement du contenu comme cela est le cas dans l'internet actuel.

Cet outil peut permettre une transformatizn progressive de 17terneï actuel vers un inter et du futur en offrant un service de cox nectivité universelle, davantage de capacités de services, et des services d'infrastructures â la deiriaiïde, de laures eapacités..et à qu'alité
garantie. L'outil utilisé
un modèle dé représei~tatioi temparelle que Von peut. qualifier de "à grains fins" des capaci s du réseau. Ceci offre un contrôle, une gestion et une valorisation dy iainiques des ressotnr es u réseau enà général et de l'lnternet,en particulier qùi: permettent dlassurer l'ajustemnent global de. ces ressources aux conditions environnementales et aux besoins réels.

l,'outii prüp osé est adapte à tout équipement mettant en ouvre une couche quelconque d'abstraction. réseau (1, 2. et 3) de l hternet actuel ainsi que des mécanismes modernes de virtualisation des ressources informatiques. il est possible de, réutiliser tous les protocoles et logiciens existant, mais également d'utiliser de nouveaux -protocoles réseau, de transport et applica :fs qui pourraient se révéler plus efficaces et-mieux adaptés aux nouvelles appllcà ions.
Tout fabricant de composants informatiques ou de communication peut donner une représentation logique, de la capacité de :l'équipement qulil fabrique et ainsi permettre sa gestion et sa configuration dynamique et flexible à distance, gràce à des protocoles standards tels que Netcônf ou même de manière autonome.

L'outil permet ainsi d'exploiter avantageusement les mécanismes de configurations dynamiques et les plans de contrôle développés ces dernières. années dans les réseaux optiques et les réseaux à paquets tels que GMPLSMMON, MEF, MTOSI notamment..

L'outil permet- surtout le partage de ressot rces entre dit ënts usagers ayant des contraintes et des intérêts différents les uns des autres. Certains usagers tint.: esoîn de garanties en temps ,réel ou. en avance, tandis que d'aunes sont, incapables de prévoir de tels besoins ou n'en ont pas l'utilité. Ceci se fait en oit à l'opérateur eu au propriétaire de la ressource physique la possibilité de valoriser les ressources de son 'infrastructure au mieux.

L'outil proposé est baste sur une représentation du temps continue (temps universel) qui le différencie grandement 'autres propositions dans le domaine desquelles on inanipule ui: temps dit, en "sltts" ou en "tranches de temps" en français>

L'outil n'a pas l'obligation d'utiliser des valeurs discrétes decapae të..Celapermet ainsi d'obtenir des solutions calculables en temps polynomial, ce qui s'avère très avantageux, en particulier lors des calculs d'allocation de ressources ensuite de requëtes d'usagers.

L'orteil permet, en outre, de découper logiquement et dyn,- nigüen ent une infrastructure infortnatique physique distribuée en sons-infrastrr ctU..res contrôlées ind.épendarninent les unes des autres et potentiellement isolées. 11 diversifie et accroît ainsi la valorisation dés infrastructures distribuées en offrant tue sclution de qualité, de service: et de sécurité à.lies usagers prêts à en payer le pri.;

Selon un autre aspect, l'outil proposé permet de décider du lieu et du calendrier d'enracinement d'une i.nf astru re informatique privée virtuelle au sein dune infrastructure physique publique et distribuée géographiquement. Il permet d'accélérer le processus de décision d'allocation des ressources en procédant à des restrictions successves= de l'espace des solutions,.

L'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits ci-dessus,. à
titre d'exemple uniquement irais englobe. toutes les variantes que pourra envisager l'homme de l'art.. En particulier, on a décrit un système fonctiot nantde manière optimale. En pratique;. pour que ce système fonctionne à minima,.: l suffit, que le gestionnaire X500 et chaque gestionnaire PIM200-l maintiennent un objet VPXI. pour chaque sous-inr frac rùcture virtuelle, un objet de type ÇQU pour chaque noeud virtuel et un objet "substrate node" pour chaque équipement physique du réseau. Le système fonctionne alors dans un mode dégradé sans gestion de son .réseaa Pour que. le système fonctionne néanmoins avec un réseau géré; il convient: de maintenir' en outre un objet VX,link pour chaque liaison virtuelle entre nids virtuels, et un objet link"
pour chaque lien. physique du seau.

On. a décrit qu'une ressource physique, n ud ou lien, pouvait servir de base à
une ou plusieurs ressources virtuelles -selon la nature de l'équipement: physique en question.
Il faut comprendre que plusieursressoi urçesphys quesp uventégalementettreuassernbléespourne fermer qu'un seul noeud. virtuel et que de la ernë m plusieurs rrtcëuds vittuel. peuvent ëtre asserrll lés pt}üt ne former qu'un sein et. même noeud virtuel géré de u a è e unique, Les gestionnaires X500 et P1NI2flü-i ont été décrits quantà leurs propriétés fonctionnel tesau sein du système. On.doit comprendre que toute implérnentation de -ces fonctions, quelle quen soit la forme, entre dans la cadre de la présente demande. Ces gestionnaires peuvent être, complètement ou en partie, centralisés ou distribués, en particulier selon les-configurations et les possib lités des équipements disponibles au sein des infrastructures.

L'outil proposé permet de gérer de manière unifiée, généralisée et combinée l'ensemble des ressources, du réseau. Toutes ces ressources, quelque soit leur nature, un ordinateur,. un routeur et/ou des liens, interconnectant ces ressources; à tous les niveaux de contrôle et de, gestion sont traités. de manière homogène. Finalement, il est fait abstraction des éléments physiques pour faire disparaître toutes les frontières entre eux.

La présente invention vise également le code logiciel qu'elle peut faire intervenir, tout particulièrement lorsqu'il est mis à disposition sur tout support lisible sur un ordinateur, L'expression "support lisible pair ordinateur" couvre un support de stockages-par exemple magnétique ou optique, aussi bien qu'un moyen de transmission, tel qu'un signal numérique ou analogique, transitant par un lien matériel ou par voie d'ondes.
L'outil d'aide à l'exploitation d'un réseau d'équipement selon l'invention est adapté pour coordonner et optimiser les ressources informatiques, par exemple hétérogènes, d'un réseau. Les propriétés et les capacités sont ainsi allouées, puis éventuellement modifiées, en fonction des requêtes du client et/ou en fonction des propriétés/capacités disponibles du fournisseur/gestionnaire de réseau.
Dans un mode de réalisation, l'allocation de ressources est en outre réalisée et/ou modifiée en outre en fonction de critères ordonnés par ordre de priorité.
Une telle disposition va ainsi donner lieu à la réaffectation programmée lors d'une période temporelle, pour répondre à une deuxième requête, de capacités et/ou propriétés précédemment réservées pour cette période suite à la réception d'une première requête, si la deuxième requête présente des critères de priorité plus élevés que la première requête, et que la deuxième requête ne peut être réalisée sans cet arbitrage.
Les critères de priorité peuvent porter sur les clients à l'origine des requêtes, et/ou de caractéristiques variées par exemple en fonction des services requis ou des équipements sollicités.Par exemple pour deux clients ayant demandé un service rapide, le client ayant accepté de payer le plus cher obtiendra les ressources au plus près en priorité, si le critère de décision du fournisseur est le revenu. Par contre, si le critère est la dépense énergétique, c'est le client dont le crédit énergétique est le plus important qui sera privilégié.

.Annexe 1 - Structtnes de données A.1..1 - Types d'objets A.1.1.1 F type fenêtre temporelle Structure F-{d.h), avec d :date de début de la fenêtre, en temps universel h horizon de la fenêtre temporelle, exprimé en millisecondes A.1. l 2 type ressource de manipulation de P. înforbiatib^n Structure e (U R4 CBD, type __r, classe-e,. t ni" _c, ram e . trtn,,cgrannulï
nb_grainm , nb_profilrmitxx, nui evLmax}; avec M.- non. universel CBJD : identifiant cryptographique -unique ije_r type de ressource, voir l'ensemble Ri crasse c , cla,s: de capacité pri cipaie, voir -i'enserble Ct unit c : unité capacité, voir objet Ur param e :: liste de prototypes de ::f nctions de capacité déclenchées sur événement capacité
carlin : d tréë ininirnale entre. deux événements de capacité de la ressource egt<anul granularité minimale d'un fragment de capacité exprimé en unité
capacité unit c nb_gra/nrn : nombre max de grains gérer pour la. ressoue nb-_proflmax nombre max: de profils gérés pour la ressource nb evt max : nombre max de d'événement gérés par fenêtre temporelle Comment. La. manipulation d'informations comprend la transmission et le`
raiiernent de cette information.

A 1,1.3 Ek type éne ent de cuité
pour une ressource r, dont la capacité se mesure en unit ç
structure Ek r)tk, tek; çk r), crctiôn$fil {r)} avec tk : date exprimée en temps universel et comprise dans la fenêtre F

type Rk : type d'évêne rient parmi (cep_provisioning, cires retzti iJ
ck: capacité expt née en unité unit -c de la ressource R
) : liste d'actions. et paranétres associés à l'événement Ek(r) action Ek(r actives la date tic en fonction du type d'événement comment. Pour la ressource R, la date tk sert d'index pour la recherche et réalisation des événements.

A.1.lA Se type série: d'événements de capacité pour une ressource r structure Se(r,F) (ek(rk entier dans 0n-1) o où ek est un évéue¾nent de capacité et a vaïëur ces F, p où n est borné par nr evt M az(r 0 où ikG+.1 - a a nin(r]
comment. tmin(r) : il y a un temps minimal, spécifique â:chaque ressource a entre deux événements de capacité

A.1.1.5 Ne type nombre d'événei ents d'une, série d'événements de capacité
structure Ne = cardnal (Se'(rr)) A.J,.1,6 profil (t r,:F) type :profil de capacité

structure profil (t, r, F) = cO +cl hel (t) + c2 he2(t) + c3 he3(tj+ ... + en-1 hen-1(t) o où 0 est, exprimé en cté de capaeitë de la ressource r 0 où ci = n x .egranul(r).. avec rra entier ô où n est borné
o où hër. = l :$ï t dans [tj ti+ 1 C 0 -sinon n o 0ù t est dans F

A.1.. l .7 P-(r, :) type fragment de capacité
structure PH (r, Se) = -Sc (ti+I- ti) o où ci et fi sont a sso,eiés à l'événement e ck Sé(r,J) o où 1. est un entier à valeur.dans j0 Ne-1].

A.1.1..8 R_PROFlL (t, r J) type profil général de ressource structure E .PROFIL (,rF) {CWax(t,. rF), Cbe(tt,F), e po(tr.,F,}
o où Cmax(t rF) est, lepro _fll englobant de la capacité de la ressource r, pour l r né ë temporelle F.
o où Cbe (t, r; F) est le profil d la capacité :best eforf agrégée de la ressource r, alloué â un service correspondant à l'Internet traditionnel, pour la, fenéire temporelle F
o On appelle Cexpa(, r,:F) le profil exposé de la caliac té résiduelle de la ressource r, non allouée à l'1nternet traditionnel non gardée en réserve et exposée â la réservation; pour lafetre-temporelle F.

A:1;1.9 RESA FROF.IL (r,F(1, rF) . type. réservé de ressource structure RESA F2?OFJL (t r,F) _(C7 (t, r,F)r} enter dans [Cl, m- j) o oit in est borné par nbj2roftl =

6.6 A. 1.2 - Propriétés .A.1.2.1 frag rentabilité d'une capacité e de ressource r de prof l-R ROFIL.
o S'il est po sibâ e de définir un profil de capacité (eu. paf ab de langage, .sous-capacité) tel que profil (t, r, F) < C ar(t; r,. j pour au Moins une fen&e temporelle F
o La relation < des profils étant d fuiië parprofill (t, rr F) < profi12 (t r, F) pour tout t dans F
o Une. condition nécessaire est que nb_prof lnr > 1, nb._grainmma c > 1 et egra ui Cmax(t, r. - j pour au moins un intervalle [1k; tk+1J de ravie de. la ressource A. l ;2,2 tsoiatioù d'un fragment de capacité Pil (r, F), o Si, pour tout infra-Palle [ti,. U4 1] de la fenêtre temporelle F, les, vàleurs cel de capacité
aecessibes effectivement pendant cet intervalle sont telles que c9 i (t) = ci N. ou ceci f i+1- ti) = ci (1i+1. ii) o La eapacité' réservée et effectivement accessible esttindépendante dè la eharg"e eifectivè dut système à l'instant t. (U n'y apas d'Qverbo ing de co estion constatée pendant l'utilisation).

A. 1.3 -- Ensembles extensibles A,1.3.1 J Rt Types. de ressource de traitement de t'ittfar ati n exemple Rt = (élément de calcul, élément de stockage, élément de visualisation, élément de détection; élément de transit, élément de transmission,..}

A. 1.3.2 F Types de fonttton élémentaire de ampulatio i de l'information exemple F = (transforming, storing, outputting, rnputtirrg; routing, tr fërring:_.
A.1.3.3 cp Classes de pacit s physiques exemple Cp {ProcessinS' cap acrty> disâ space, band width set of f lambdas, set of ~ .
processing cure; }
comment o Peut être divisé en un nombre non nécessàireinent borné et fini de fragments de capacité variable.
o Est associé i une unité de capacité mesurable de type réel, rationnel ou entier et qui nest pas un làbèl logique.
o Une capacité physique est isolée en performance;
A.1.3.4 Cl Class de capacités logiques exemple Cl = (ensemtble de machines virtuelles, ensemble de 1104,Y' virtuels, ensemble d'écrans virtuels, ...}
comment; o Peut être segmenté en un nombre fini et bornés d'unités logiques.
o Est associé .une unité de capacité c entière ou booléenne nommée logical Ia1el".
o Une unité de capacité logique-est non isolée en. perfômaance:
A. 1.3.5 C J Capacités de manipulation de l'i fra citation exemple c Cp U Ci comment; La manipulation. d'ïnfonnat ons comprend la transmission et traitement d'informations.

A.1.3.6 U c Unités de capacité
exemple U _c (Hertz, Brt/seconde, Byte, . frime/seconde; logical label, ... }

Annexe 2 - ponctions A.2.1 location .
Description Retourne un attribut de localisation d' une ressource h nique ou vimielle.
A.2.2 Tatenc Description Retourne une valeur rnaxin ale de latence d'une ressource Physique ou virtuelle.
A.23 latin , Description Retourne one valeur minimale de latence dde ressource ph r ue cru virtuelle A.2.4 bandw d'thmw.
Description Retourne lame valeur maximale de bande passante d'une ressource"
physique ou vida eUe..

A.2:S b nâ idtiimin Description Retourne une valeur minimale de bande passante dune ressource physique on virtuelle.

A.2:b netiott Description Re outre une liste de fonctionnalités identifiées associe a ün composant individuel. ou de ou e.

A.2.7 stars Descri ion Retourne, fine valeur de date de début de disponibilité pour un, composant A.2.8 end 1?cseri ""n ri Retourne ne valeur de: date de fin, de dis nïbil te jnw un m v sant.
A.2.9 çtm Descriptions Retourne une valeur maximale de capai processeur pour un composant physique ou Virtuel.

A.Z.lO rrnïnO
Description Retourne une valeur rrxinirnale de capacité processeùr pour un composant _physique ou virtueL

A.2. il ramm Description Retourne une valeur maximale de capacité de mémoire vive pour un, composant physique au virtuel.

A.212 rammïn Description Retourne une valeur- minimale de capacité de mémoire vive pour un composant h s ue ou virtuel.

A.2.13Zdirr Description Retourne une valeur maximale de opacité de stockage sur disque pour un composant _ h si que ou v'irtue.

:A..2.14 hdmi s Description Retourne une valeur minimale de capacité de stockage sur disque pour un corn _ osant It st ue ou virtuel.

A.2.15 sizerrxa Description Retourne une valeur maximale de taille, en nombre de .ressources, pour un composant Physique ou, vi tuel:

fsizem() A2.16 Description Retourne une valeur minfinale de .taille, en nombre de ressources, pour Un cent osant sît : ue on vitre,.

A.2.17 vr node Description Rzteurne un nombre maximal de machines Vielles qui peuvent être allouées un I 55ol1CCe S!t ue sur A.2.18 Lallocated' Descri ion Retourne un nombre de machines virtuelles allouées. s ir une r ssQurce ix..s ue..

Claims (10)

Revendications

1. Outil d'aide à l'exploitation d'un réseau d'équipements communicants possédant chacun des capacités de transmission, de stockage et/ou de traitement d'informations numériques, comprenant:
- un gestionnaire de ressources (401, 500) associé à un stockage de données de situation de ressources (402, 502) agencé selon une structure de données (273:
2740;
2750; 2760; 2770; 2780) dans laquelle un identifiant est mis en relation avec des valeurs datées de grandeurs quantitatives; le gestionnaire de ressources étant agencé
pour enregistrer certains au moins des équipements du réseau en tant que ressources dans le stockage de données de situation, avec:
- comme identifiant, un identifiant d'équipement, - comme valeurs datées de grandeurs quantitatives, une première suite de valeurs datées, de capacité de transmission, de stockage et/ou de traitement définissant une capacité globale exploitable de la ressource, et une ou plusieurs suites de valeurs datées de capacité de transmission, de stockage et/ou de traitement définissant des capacités de ressource temporairement attribuées;
un sélecteur de ressources (1700) comprenant:
- un premier outil de sélection (1704) adapté pour retourner un sous-ensemble, d'identifiants de ressources sélectionnés dans le stockage de données selon des données d'identification fonctionnelle, - un outil de planification (1710) adapté pour évaluer une condition d'acceptation à
partir d'expressions de comparaison de dates qui portent sur une capacité
fonctionnelle datée et sur les suites datées de capacité de transmission, de stockage et/ou de traitement maintenues en relation d'un ou plusieurs identifiants de ressources;
un allocateur de ressources (500) agencé pour recevoir une requête identifiée de réservation temporaire de capacités fonctionnelles, comprenant un jeu daté de données fonctionnelles, et pour y répondre en :
- appelant le sélecteur de ressources pour chaque donnée fonctionnelle de la requête, - appelant l'outil de planification pour certains au moins des identifiants du sous-ensemble retourné par le sélecteur de ressources,et en - retournant un ensemble d'identifiants de ressource comme réponse à la requête de réservation.

2. Outil selon la revendication 1, dans lequel ladite structure de données (2730; 2740;
2750; 2760; 2770; 2780) met en relation chaque identifiant de ressource avec des valeurs de données de localisation géographique, et dans lequel le sélecteur de ressources comprend un second outil de sélection (1702) adapté pour retourner un sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnés dans le stockage de données selon des données de localisation géographique tirées de la requête de réservation.

3. Outil selon la revendication 2, dans lequel le sélecteur de ressources (1700) est agencé
pour répondre à la requête de réservation en appelant le second outil de sélection (1702) et en appelant ensuite le premier outil de sélection (1704) avec les identifiants de ressource retournés par le second outil de sélection(1702).

4. Outil selon l'une des revendications précédentes, dans lequel ladite structure de données (2730; 2740; 2750; 2760; 2770, 2780) met en relation chaque identifiant de ressource avec des valeurs d'attributs de ressource non fonctionnels, et dans lequel le sélecteur de ressources (1700) comprend un troisième outil de sélection (1706) adapté pour retourner un sous-ensemble d'identifiants de ressources sélectionnés dans le stockage de données selon des données d'attributs non fonctionnels tirées de la requête.

5. Outil selon la revendication 4, dans lequel le sélecteur de ressources est agencé pour répondre à la requête de réservation en appelant le troisième outil de sélection (1706) pour un ensemble d'identifiants de ressources retournés par le premier outil de sélection (1704).

6. Outil selon l'une des revendications précédentes, dans lequel 1e gestionnaire de ressources est associé à un stockage de données de liaison (402, 502,2760,2730) agencé selon une structure de données dans laquelle un identifiant de lien est mis en relation avec une donnée d'origine et une donnée de destination dudit lien, et dans lequel le gestionnaire de ressources est adapté pour enregistrer certains au moins des équipements du réseau formant lien de communication avec:
- comme identifiant de lien, un premier identifiant de ressource correspondant à
l'équipement en question dans le stockage du données de situation, - comme identifiant d'origine, un second identifiant de ressource correspondant à
l'un des équipements directement connecté par l'équipement en question dans le stockage de données de situation, - comme identifiant de destination, un troisième identifiant de ressource correspondant à l'un des autres équipements directement connectés par l'équipement en question dans le stockage de données de situation.

7. Outil selon la revendication 6, dans lequel le sélecteur de ressources (1700) comprend un quatrième outil de sélection (1708) adapté pour recevoir un sous-ensemble d'identifiants, de ressources et pour retourner :
- dune part, uniquement ceux des identifiants reçus qui sont maintenus dans le stockage de données de liaison comme second ou troisième identifiant de ressource en relation avec un premier identifiant de ressource, - d'autre part, chacun des premiers identifiants en question.

8. Outil selon la revendication 7, dans lequel le sélecteur de ressources (1700) est agencé
pour répondre à la requête de réservation en appelant le quatrième outil de sélection, (l708) pour un ensemble d'identifiants de ressources retournés par le premier outil de sélection.

9. Outil selon l'une des revendications 7 et 8 prise dans son rattachement à
la revendication 5, dans lequel le sélecteur de ressources (1700) est agencé pour répondre à la requête de réservation en appelant le quatrième outil de sélection (1708) pour un ensemble d'identifiants de ressources retournés par le troisième outil de sélection (1706).

10. Outil selon la l'une des revendication 7 à 9, dans lequel le sélecteur de ressources (l700) est agencé pour répondre à la requête de réservation en appelant le quatrième outil de sélection.

(1708) pour un ensemble d'identifiants de ressources retournée par l'outil d'allocation de ressources (1710).