CA2417420A1 - Leurre artificiel de peche avec effets sonores, lumineux, magnetiques, electrostatiques, electriques, a emission d'odeurs et de saveurs ayant une forme reelle de poisson existant - Google Patents

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Claude Levesque
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    • A01AGRICULTURE; FORESTRY; ANIMAL HUSBANDRY; HUNTING; TRAPPING; FISHING
    • A01KANIMAL HUSBANDRY; AVICULTURE; APICULTURE; PISCICULTURE; FISHING; REARING OR BREEDING ANIMALS, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR; NEW BREEDS OF ANIMALS
    • A01K85/00Artificial bait for fishing
    • A01K85/01Artificial bait for fishing with light emission, sound emission, scent dispersal or the like

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  • Environmental Sciences (AREA)
  • Marine Sciences & Fisheries (AREA)
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Abstract

L'invention concerne un leurre artificiel pour la pêche destiné à reproduire un poisson réel, lors de sa traction dans l'eau. Ce leurre possède un réservoir contena nt un fluide attractif avec saveur et odeur muni d'un dispositif de contrôle pour la libération du fluide dans une conduite permettant à l'eau de circuler lors de sa traction dans l'eau, d'un dispositif d'émission de bruit à l'aide d'un générateur d'impulsions basse fréquences sur une micro enceinte acoustique piézoélectrique, d'un dispositif d'émission de lumière à l'aide d'un générateur d'impulsions sur des diodes émettrices de lumière couvrant le spectre de l'infrarouge au bleu et violet lointain, d'un générateur d'impulsions électriques basses fréquences, d'un générateur d'impulsions magnétiques créant une variation du champ et d'une fonction de maintien d'une charge électrostatique.

Description

MEMOIRE DESCRIPTIF
La constatation de la multitude des différents leurres sur le marché ainsi que l'étude des différents brevets antérieurs, américains et canadiens, m'indique que les réactions aux impressions multiples émanant du milieu sont extrêmement complexes et difficiles à
analyser. Même la diversité des leurres pour une même espèce en démontre toute la plénitude. C'est d'ailleurs ce qui rend la pêche si attrayante, malgré
l'intelligence limité
du poisson (Intelligence de type instinctive) .Comme tout animal sauvage, conscient ou non, il agit avec extrême circonspection, étant toujours partagé entre l'état prédation et/ou victime. On peut tout de même admettre sans trop de difficulté que, malgré les apparences, tous ses sens sont en alerte. Cette invention se veut en quelque sorte une extension des sens utilisés par cette faune aquatique. Dans la multitude des leurres sur le marché, je peux affirmer, en m'appuyant sur la physiologie des poissons, que lorsque l'un d'eux se laisse prendre ce n'est pas la perspicacité qui le distingue.
Cette invention découle des études récentes en physiologie des espèces aquatiques ainsi que sur l'expérimentation et l'observation par trente années de pêche sportive sur différentes espèces, en différents lieux, cycles et périodes. Cette invention se veut une amélioration complexe, mais réalisable de nos jours, compte tenue de la miniaturisation de l'électronique et des commandes électriques aux différentes fonctions conduisant à
l'utilisation de tous les sens dont les poissons sont pourvus.
Les sens mis en cause sont la vue, le sens cutané, l'audition, le sens de la pression, ïe sens vibratoire, l'odorat, le goût, le toucher, le sens électrique, électromagnétique, magnétique et finalement le sens bio-neurologique ou reflex spontané dans les périodes et cycles biologiques.
La vue Comme chez les mammifères, on abserve des espèces dont la vue est excellente et d'autres qui sont pratiquement aveugles. La truite et le saumon voient la différence entre des mouches fort semblables et d'ailleurs peuvent saisir, même hors de l'eau, des insectes minuscules. La lentille de l'oeil du poisson communément appelé
cristallin est pratiquement sphérique et concentre donc les rayons visibles au maximum. Les images se forment au devant de la rétine, le poisson, par ce fait, s'approche de la myopie. Ils ne peuvent déformer leur cristallin; l'image est donc au point focal pour des objets rapprochés, mais l'accommodation permettant la vue à distance nécessite un effort sur les muscles lenticulaires . La rétine est constituée de cônes pour la perception des couleurs et de bâtonnets pour les contrastes et la quantité de lumière. Le mécanisme de l'ceil réagit aux conditions de lumière abondante et dans la pénombre. La vision des couleurs est un fait bien connu; la coloration dans le milieu aquatique et le marché des leurres le démontre. Par-contre, les couleurs tel que le rouge, l'orangé et le jaune sont absorbées les premières, suivi du vert, du bleu et finalement du violet qui pénètre le plus profondément.
On peut prendre en exemple, l'invention canadienne CAI225845 datée du 25 Août de Monsieur Loren G. Hill sur la sélection de leurres en fonction de la profondeur. Cette pénétration varie rapidement lorsque les eaux sont troubles ou chargées. A
mesure que le poisson s'enfonce, les objets lui deviennent invisibles. Pour un être aquatique, à une certaine profondeur l'obscurité peut être complète alors que le soleil brille encore à
l'horizon parce que les rayons étant trop obliques ne pénètrent plus dans l'eau selon les équations des Lois de la Réflexion et de la Réfraction de la lumière. Par contre, le poisson possède une vision binoculaire de 300 degrés qui favorise l'effet 3D ou de profondeur de champ et, de ce fait, distingue et localise tout de même les objets avec grande précision.
Mon leurre possède donc une forme représentative d'un poisson réel possédant les couleurs réelles et/ou complémentaires du spécimen réel ou semblable pour l'espèce convoitée tout en possédant des diodes émettrices de lmmière couvrant le spectre visible et même au delà, dans l'infrarouge et du violet lointain. L'idée d'utiliser une lumière dans un leurre fut émise dès 1904, tel qu'indiqué au brevet américain No 757,077 de F.B.
Whipple délivré le 12 avril 1904, ainsi qu'au brevet canadien de monsieur William F.
Carlson délivré le 24 novembre 1959 portant le No CA587453. L,'idée de faire clignoter une lumière fut émise par R. L. Barton sur le brevet américain 2,002,135 délivré de 22 juillet 1930. La technologie modifia cette idée par l'incorporation de diodes émettrices de lumière tel qu'indiqué au brevet américain de Michael E . Northeutt No 3,940,868 délivré le 2 mars 1976. La technologie évolutive conduit à l'intégration de transistors ( brevet américain No 3,308,569 d'Oscar Foellner et A1 en 1967 ) , l'utilisation des fibres optiques ( brevet américain No 4,727,674 délivré à M. Garr le 1 mai 1988), de circuits électroniques intégrés qui émettent des impulsions aux différentes diodes ( LED ) tel que décrit aux brevets américains de William E. Ray, No 4,175,348 émis le 27 novembre 1979 et à celui de Ursrey et al. portant le No 4,227,331 délivré le 14 octobre 1980. De nos jours, les diodes émettrices de lumière couvrent un très large éventail du spectre visible, dans l'infra rouge et l'ultra violet et sont la base même des lasers à serni-conducteurs. Le brevet de Barbara A. Camer, délivré le 12 décembre 1989 portant le No 4,885,864 indique l'utilisation d'une diode infrarouge ea le brevet américain de Bruce A.Young No 5,758,450 utilise un laser à semi-conducteur dans un leurre de pêche.
Plusieurs types de mécanismes furent utilisés pour déclencher de la lumière :
l'utilisation de la phosphorescence tel qu'indiqué au brevet américain daté du 3 février 1976 de James B. McCallum; la fluorescence et la chimiluminescence tel que décrit dans plusieurs brevets américains, en référence le brevet américain portant le No 5,190,366;
pàr photoluminescence : irradier par l'ultraviolet, par le soleil , par lampes flash tel qu'indiqué dans le brevet américain délivré à James L. Dolph portant le No 5,388,039; la piézoélectricité tel qu'indiqué au brevet canadien CA 2360862 déposé le 1 novembre 2001 par Cecil R. Spurgeon ; même la phosphorescence à l'aide d'un capsule radio-active de tritium indiqué au brevet américain No 4,741,120 délivré le 3 mai 1988 à
Albert O.Cota et al.; par des images à l'aide de circuit à cristaux liquides indiqué
au brevet américain du 26 décembre 1989 délivré à Johnnny H. Douglas et portant le No 4,888,904 et par simulation bioluminescence du brevet américain No 4,697,374 émis à R.A.
Simms en date du 6 octobre 1987 ,...
Des dispositifs de déclenchement à interrupteur de mercure, à billes , à
batterie mobile, par interrupteur à traction, par réaction chimique d'oxydo-réduction avec le milieu ( pile à
l'eau de mer) , piles solaires, par génération d'électricité par déplacement d'aimants, par différence de potentiel en utilisant deux métaux différents, par circuit magnétique, par la force de 1 'eau, par électrolyse, par circuit électronique tel que le brevet américain No 5,392,555 délivré à S.N. Tingey le 28 février 1995 qui utilisait un circuit oscillateur LM
3909 pour faire clignoter une diode émettrice de lumière,...
L'analyse de tous ces dispositifs très intéressants m'a conduit plutôt à
l'utilisation d'un circuit électronique simple, qui à l'aide d'un circuit d'horloge émet une impulsion vers un circuit cascadeur qui engage des transistors permettant un passage du courant requis aux différentes fonctions complémentaires dont mon leurre sera pourvu .
La Forme et la couleur Tel que mentionné précédemment, la forme sera de type réelle, par exemple, pour le brochet : une perchaude , un doré ou un appât connu du prédateur sera fabriqué
à partir de la technologie numérique à l'aide d'un pantographe tridimensionnel ou des techniques de moulage tel que décrit dans les brevets américains délivré à Joseph R. Thom portant le numéro 4,108,955 délivré le 22 août 1978 ou le brevet américain émis à George Kechriotis portant le numéro 6,012,248 émis le 11 janvier 2000 dans le but de construire un moule primaire.
La forme à toute son importance, puisque tel que décrit précédemment, la lumière ëclairante du soleil se perd rapidement et le poisson doit donc se fier à sa vision monoculaire, c'est à dire de voir dans deux directions, sans pouvoir faire le point avec les deux yeux sur le même objet en même temps, par contre le poisson peut le faire de plus loin car la vision 3D et les contrastes sont mis de la partie. La couleur du leurre sera produite à partir des technologies de peinture au fusil par masquage des zones en couches multiples et/ou par sérigraphie et s'inspirera de la méthode indiquée au brevet américain No 4,693,028 délivré à Loren G.Hil1 le 15 septembre 1987 et au brevet canadien portant le No CA 1225845 relatif aux conditions du milieu pour choisir la couleur du leurre. Il est à noter également que certains leurres possèdent un recouvrement par réflexion et diffraction des technologies holographiques. Une étude sera effectuée sur la faisabilitë de générer un moule avec recouvrement holographique en relief, afm de respecter Ia texture du poisson appât, ou par moulage en relief des peaux. Une émission de lumière est requise pour marier cette technologie puisqu'un hologramme ne fait que réfléchir , réfracter ou diffracter la lumière reçue. Une étude sur les composés thermochromiques n'est pas exclue tel qu'indiqué au brevet américain No 5,222,3220 délivré à
Nels E.
Erickson le 29 juin 1993 ainsi que la technologie des couches diélectriques tel que décrit au brevet américain No 6,018,902 délivré à Clyde S. Gudermuth le 1 février 2000. Cette technologie est maîtrisée dans les procédés de fabrication de miroirs diélectriques pour LASER...
Sans ignorer les selles â base de guanine composés sous la peau rendant leur coloration irisée.
Le son Le son provient d'une impulsion sur un milieu tel que l'air, l'eau ou d'une matière solide. En général, plus le milieu est dense, plus le son le traverse facilement.
D'ailleurs, le bruit produit sur le fond d'une chaloupe ou: même celui des pas sur une berge (transmission de l'onde sonore ou d'une vibration du solide vers le milieu liquide) se communique facilement â l'eau. Les poissons fuient spontanément. L'eau propage le son merveilleusement et plus facilement que l'air. Les paissons comme le brochet, le doré, la truite, le barracuda, le requin,.... entendent fort bien et réagissent avec une grande vivacité.

Les cyprinidés, sont particulièrement douées : ils entendent les vibrations de 1 Hz à
5000 Hz et distinguent les écarts d'un ton ou même d'un demi-ton. L'oreille du poisson comprend deux parties principales. Premièrement, une partie triangulaire :
l'utricule portant trois tubulures servant à l'équilibre. L'autre partie est constituée d'une appendice inférieure ovale qui est le véritable centre de l'audition ( la saccule)et la lagena ou petit bourgeon qui ressemble à notre colimaçon. L'appareil auditif, bien que rudimentaire en comparaison du nôtre, n'indique pas sa surdité. Par contre, il faut noter que nous sommes dans un milieu beaucoup plus dense et plus conducteur des ondes sonores et que cet organe est relié avec la vessie, véritable caisse de résonance acoustique.
L'idée d'émettre des sons par un leurre est d'origine assez lointaine également. En preuve, le brevet américain No 726,020 de T.A. Bryan délivré le 21 avril 1903 traitant de faire bouger la queue par un électroaimant ainsi qu'au brevet américain de Samuel J.Carnes du 20 août 1949 portant le No 2,577,229 émettait un son à partir d'un vibrateur à
lame èa l'aide d'un électroaimant. De ce fait, mon leurre possède un générateur d'oscillation relié à une enceinte acoustique piézo-électrique émettant une gamme ajustable en basse fréquence du solide vers le milieu liquide selon l'espèce convoitée.
Plusieurs brevets antérieurs ont traité de cette fonction, tel que le brevet américain de 3.I.
Pankove portant le numéro 2,757,475 émis le 13 mai 1954 relatif à un oscillateur transformant le signal électrique à mécanique, le brevet américain 2,784,399 de T.P.
Smith qui déplaçait un diaphragme semblable à une enceinte acoustique, le brevet américain de Clifton J. Dugan No 4,583,313 émis le 22 avril 1986 utilise un circuit d'horloge 555 seul, le brevet américain de Gabriel S.F. l~uentes et al.
portant le No 4,805,339 relatif à une enceinte à plaque vibrante activée par un champ magnétique aux fréquences comprises entre 50 et 300 Hz., les brevets américains No 5,237,771 et 5,485,697 daté du 24 août 1993 et du 23 janvier 1996 respectivement de Teddie G.
Watson et al. relatif à un oscillateur agissant sur un plongeur créant en même temps un mouvement, le brevet américain de Jaims N. Kim et al. délivré le 8 août 2000 portant le numéro 6,098,331 qui émet plutôt une onde sinusoïdale à fréquence de 1,8KHz ou entre 3KHz et 4,2 KHz , le brevet américain No 6,108,962 de Thomas J.Barron qui possëde un système amovible pour changer la fréquence en remplaçant différentes composantes ayant une émission programmée pour attirer ou repousser telle ou telles espèces, le brevet canadien de Michael Lucas et al portant le No CA 2,231,124 et américain 6,108,963 qui utilise un champ électromécanique en faisant frapper une bille d'acier sur une autre pièce d'acier pour attirer ou repousser certaines espèces, le brevet américain US
6,192,617 B 1 d'Adolph L. Lyles qui utilise un microcontrôleur seul pour activer une émission sonore et des diodes émettrices de lumière, un moteur, une résistance pour chauffer une plaquette afin d'émettre l'odeur.
L'analyse des divers brevets pour émettre un son ou une vibration utilise différentes techniques tel que le choc mécanique de billes d'acier, le champ magnétique, l'oscillateur électronique sur une cellule piézoélectrique, une cellule solaire, un vibrateur sur un diaphragme, sur un marteau , un solénoïde, sur un diaphragme, mécanique par turbine, mécanique par ailettes sur roue dentelée ou autres, par hélices qui s'entrechoquent, par parties mobiles qui s'entrechoquent, par électrolyses,' pa~~ un aimant permanent dans un champ magnétique, par moteur tel que décrit au brevet américain No 3,841,012 délivré à
Christopher T. Maled le 15 octobre 1974, la mise en route de ces systèmes par traction, par interrupteur au mercure, par piézo-électricité, par billes d'acier, par écoulement d'un fluide gazeux tel que décrit au brevet No 3,309,811 délibéré à J.T. Wimer le 21 mars 1967 ou aqueux, . . .

L'analyse de tous ces systèmes m'a conduit à l'utilisation d'une enceinte acoustique piézoélectrique et/ou céramique. Le brevet de référence américain porte le No 1,809,713 émis le 7 janvier 1927 émis à Walter Kühnert et al relatif au microphone.
Mes observations de pêche et en rive m'indiquent que la fréquence du battement du coeur est très appropriée et pique suffisamment la curiosité de différentes espèces soit autour de 1 Hz à 15 Hz.
Le sens de la pression Il nous est difficile d'imaginer en quoi consiste ce sens hien que ressentit lors de descente et de remontée trop rapide. Les poissons possèdent des organes qui enregistrent les variations de pression. La vessie natatoire des poissons est un stabilisateur hydrostatique.
Certains poissons utilisent l'air dans leur vessie jouant en quelques sortes un rôle de ballast et compense par l'oval. Cet organe récepteur est sensible à la pression. Certains poissons possèdent même des osselets de Weber ( ensemble de petits os similaire à
l'humain par laquelle la vessie communique avec l'oreille interne). Cet organe agit également sur l'ouïe et la rend particulièrement fine.
L'enceinte acoustique piézoélectrique, selon sa configuration, émet donc un signal détectable de pression pour un autre poisson. Cette vibration attire l'attention dans un banc de dorés ou autres espèces et émet un signal dissemblable au banc et, de ce fait; est perçue comme un étranger ( prédateur ou proie). La meilleure défense en ce milieu est l'attaque. L'invention de l'appeleur de poisson des brevets américains 3,414,873, 5,046,278 et 5,883,858 indiquent bien cette réalité.
Le sens vibratoire Il nous est également difficile d'imaginer ce sens fournil; par la ligne latérale. Ce système est une spécialité des poissons. Il s'agit d'un système de canaux , dont le plus évident est celui qui court le long des flancs et qui s'ouvre par une série de pores incrustées dans les écailles. Le canal latéral se prolonge dans la tête par un petit nombre de canaux, en particulier le long des mâchoires et autour des yeux. Cet organe sensoriel possède plusieurs nerfs reliés au centre nerveux pouvant lui indiquer la position de son corps dans le milieu, sa position géographique, les obstacles et aux charges de type électromagnétiques. Avant, pendant et après l'orage, les prédateurs sont en quelques sortes baignés dans un milieu magnétique et électrostatique chargé
positivement les rendant très vivaces et agressifs faisant qu'ils rejoignent les zones à
décharge rapide tel que la surface, les rives, les îles, les rochers, les troncs d'arbres,...
Certains pêcheurs disent que le poisson est fouetté par l'orage.
C'est aussi grâce à ce système que le poisson ressent les mouvements de l'eau, les courants et les vibrations. C'est le toucher à distance. Certaines espèces sans écailles comme les salmonidés ont donc cet organe à fleur de peau. D'autres possèdent des cellules çilliées ou cupules sensibles en s'inclinant au gré des courants provoquant de ce fait une excitation du nerf pouvant même capter des pulsations d'un voisin immédiat ( Le banc de poisson agissant comme un être unique) et, selon mes observations, les pulsations du coeur d'un autre poisson. D'autres possèdent des cellules appelëes ampoules de Lorenzini. Par exemple, le requin peut détecter un champ électrique généré par une pile de 1.5 Volts dont les deux pôles seraient distants d'environ 1.5 Kilomètre.
Beaucoup d'autres espèces possêdent des cellules à caractère électromagnétique.
Certains brevets traitent de ce sujet tels que le brevet canadien portant le numéro CA 2360862 de Cecil R.
Spurgeon déposé le 1 novembre 2001 relatif à l'émission d'un champ électrique par le principe piézoélectrique, le brevet américain No 4,625,447 de Beverly J.
Buchanan qui utilise une cellule solaire qui transmet un champ électrique au leurre, le brevet américain No 4,970,808 émis à Lewis E. Massie le 20 novembre 1990 relatif au bruit qu'émet un court-circuit dans l'eau, le brevet américain 5,175,950 de Wyck R. Linder émis le 5 janvier 1993 à l'effet d'émettre un champ électromagnétique autour du leurre, la fonction pouvant être programmer par un circuit ROM, le brevet américain émis à
Nicholas A.
Rodgers le 16 décembre 1997 portant le No 5,697,182 et le brevet canadien CA

rendu publique le 2 mai 2002.
Mon leurre possède un circuit émettant un champ électrique et un champ magnétique. Le voltage se doit d'être de 1 millivolts à 3 volts. La fréquence sera fixée selon l'utilisation et la conductivité du milieu et de l'effet recherché. Le brevet américain US
6,389,735 B1 indique bien l'effet du champ électrique sur les espèces.
Très peu d'études furent réalisées dans cette sphère d'activité et encore moins pour le champ magnétique, véritable sens de l'orientation chez plusieurs espèces animales tel que les troupeaux de mammifères, les oiseaux, les tortues, les insectes et les poissons,...
Une légère motion sur ce phénomène est indiquée au brevet américain No 5,924,236 délivré à R. Preston le 20 juillet 1999 .Le champ magnétique terrestre varie entre 20 et 50 micro-teslas. Les variations sont continues à toutes heures du jour selon : la météo, l'activité solaire, le lieu et bien d'autres choses inconnues de l'homme à ce jour,... Il se compose, en bref, d'une composante horizontale et d'une composante verticale.
Le fer, la ferrite et certains autres métaux comme le nickel, le chrome et autres, étant de meilleurs conducteurs magnétiques que l'air, le corps des bobines devra donc en être composé. La bobine aura une dimension de 7 à 10 fois plus longue que son diamètre et seront enroulées par plusieurs spires ,jointives. Le champ magnétique autour de plusieurs conducteurs est égal â la somme des champs créés par chacun d'eux. L'induction créée, contrairement au champ électrique qui lui, se doit d'être rayonnant, est plutôt de type absorbant et interférent. La raison principale est que la densité du flux magnétique est fonction de l'ampérage, mais aussi du nombre de fils composant la spire. Par les équations, on peut tirer qu'une bobine composée de 750 spires jointives de 10 fils de très faible diamètre avec un ampérage de 22 milliampères crée en son centre un flux magnétique de 211 micro-teslas, soit de 4 à 10 fois celui du champ magnétique terrestre.
Partant du principe qu'une faible variation de ce champ attire l'attention du prédateur dans la pénombre, on peut conclure dans le cadre de ce brevet que le but est atteint. Il est à noter également que la micro enceinte acoustique, munie d'un aimant permanent, participe à une orientation déterminée du champ à l'intérieur du leurre et la transformation du pulse électrique en acoustique fait varier le champ résultant et participe à la variation mutuelle lorsque la bobine horizontale ou verticale entre en action.
On peut également prendre en considération qu'un aimant permanent qui se déplace autour d'un conducteur émet une force électromotrice tel que démontré au brevet Américain 3,696,251 délivré à James David Last et al. le 3 octobre 1972.,De plus, la physique indique que deux aimants permanents de pôles semblables qui s'approchent l'une de l'autre par un mouvement provoqué ont une tendance à se repousser l'un de l'autre et génère une variation du champ magnétique. La réciproque est également vraie et les champs s'additionnent alors. De même, un déplacement d'un aimant permanent à
l'intérieur d'une bobine modifie Ia tension induite et son champ magnétique.
Mon leurre possède donc une telle fonction .
Le sens de l'Odorat et le Goûter Les poissons, comme nous, sont dotés de ces deux sens. On ne parle pas seulement d'un unique sens chimique mais bel et bien d'un sens sensible aux fluides corporels, aux hormones, aux phéromones, à la salinité, à l'odeur des excrétions et/ou de nournture,...
Il s'agit bien, chez eux aussi, de deux ordres de sensations, les organes récepteurs sont distincts. Le centre de l'odorat est logé dans la partie la plus antérieure du cerveau au lobe olfactif. Les espèces à l'odorat raffiné ont des narines à double ouverture, dont un des orifices est parfois porté au sommet d'un appendice, chaque narine s'ouvre dans un vaste organe olfactif formé de nombreuses lamelles.
Le brochet possède des fosses nasales presque sans replï.s mais :fermées sans communication avec la bouche.
Quant au goût, il est chez l'humain localisé dans la bouche et surtout sur la langue. Chez les poissons, ils ont des bourgeons du goût sur les lèvres, sur les barbillons, autour de la bouche, sur la langue, sur la tête et même jusque prés de la queue pour les espèces à peau nue. Les poissons goûtent à distance, car ils baignent dans un liquide (solvant) où les substances à saveurs peuvent diffuser, se dissoudre, ce qui peut atteindre à
une certaine distance les bourgeons sensoriels de l'animal.
Le requin peut détecter une goutte de sang diluée dans 100,000 litres d'eau.
Mon leurre possède un système à dissolution de saveur et d' odeur par diffusion et solubilisation lente. La matière plastique de recouvrement du leurre pourrait également posséder un goût et une odeur attractive.
Mon système, à priori, est un réservoir à remplissage selon le besoin relié à
une conduite de passage de l'eau lors de la traînée du leurre. L'eau se heurte à des fibres de plume d'oiseaux enroulées autour d'un ressort faisant office de valve et lorsque ce dernier est étiré, il permet la libération d'une quantité faible et mesurée, d'un attracteur à saveur etlou à odeur . L'attracteur odoriférant et à saveur dilué dans une huile à
viscosité
contrôlée se laisse diluer lentement dans l'eau qui circule dans cette conduite . Les poissons goûtent souvent leurs aliments et rejettent ce qui ne leur convient pas, Ainsi, plusieurs sens interviennent conjointement ou successivement dans leurs choix de nourriture (C'est la façon de goûter dans ce milieu).
L'idée d'un leurre émettant une substance attractive c'est vue conférer le brevet américain No 1,993,990 le 7 mars 1933 à J. Catarau. Depuis cette époque, plusieurs brevets furent émis traitant des procédés d'émission d'odeur et de saveurs par différentes techniques tel que des chambres contenant des solides, des liquides, des matériaux poreux contenant l'attracteur, des dispositifs reliés à la ligne à péche, des matières à dissolution lente soluble à l'eau dans une chambre ou de recouvrement du leurre tel qu'indiqué au brevet américain No 4,875,305 délivré à J.O Bridges le 24 octobre 1989, d'absorption par immersion du leurre dans son entièreté, de bandes absorbantes de l'attracteur, de système mécanique de livraison de l'ariracteur, de microencapsulation sur polymère ou gélatine libérant l'attracteur par diffusion ou solubilisation lente tel qu'indiqué au brevet américain No 4,927,643 délivré à V.T. D'orazio et al. le 22 mai 1990, par réservoirs amovibles et confinements différents pour mélange, par ampoules introduites,...

Mon leurrE distincts s'appuie sur le brevet américains No 3,993,746 émis à
Myron A.
Beigler sur la composition d'attracteurs, le brevet délivré à John D. Hastings portant le numéro 4,589,223 relatif à la composition des plastiques de fabrication des leurres, le brevet No 4,704,286 émis à Daniel Rittschof et al. sur la composition d'additifs permettant une morsure plus longue, le brevet portant le numéro 4,826,691 émis à John A.Prochnow le 2 mai 1989 sur les polymères contenant des attracteurs, le brevet du 22 mai 1990 délivré à Vincent T. D'Orazio et al sur la composition de polymère contenant un attracteur, le brevet de Robert G. Carver No 4,993,183 sur l'utilisation d'huile de bananes, le brevet américain No 5,185,164 pour la capture d'espèces par un atiracteur contenant des acides aminées émis le 9 février 1993, les brevets américains de Solomon Rosenblatt No 5,554,658 et 5,554,659 relatif à des procédés d'injection de PVA, le brevet émis le 9 septembre 1997 portant le numéro 5,664,362 relatif à déclencher le réflexe de morsure spontané, le brevet Américain No 5,664,363 émis le 9 septembre 1997 à
Alexander J. Keenan sur des polymères absorbants pour la recharge de l'attracteur, de la composition chimique d'attracteur relié au brevet américain No 5,827,551 émis le 27 octobre 1998 à John A Prochnow, de la composition chimique des attracteurs au brevet Américain No 5,912,029 émis le 15 juin 1999 à James Spickelmire , le brevet américain US 6,269,586 B1 du 7 août 2001 délivré à Keith Jones relatif à un mélange électrolyte pour provoquer et maintenir la morsure et finalement 1e brevet américain de J.B.
Sebastiani délivré le 2 juillet relatif à une valve à bille pour libérer une substance attractive à partir d'un réservoir.
Aucunes recherches sur les hormones et phéromones et l'émission d'ammoniaque par les ouïes n'est mentionnées dans les différentes compositions des attracteurs dans ces lectures plus qu'intéressantes.
Mon leurre se veut un leurre artificiel aux endroits où les appâts vivants sont interdits et l'avantage certain du leurre artificiel étant d'être récupérable et réutilisable. Il se veut un précurseur de recherches en milieu aquatique en utilisant les différentes techniques énumérées précédemment. Les différentes fonctions peuvent être activées ou désactivées au besoin à l'aide d'interrupteurs contrairement au brevet américain No 4,953,319 délivré
à J.M. Kasper et A1 le 4 septembre 1990 et au brevet américain No 4,823,497 délivré le 25 avril à K.W Pierce. Les composantes électroniques seront fixées selon le besoin du client. Les piles boutons pourraient être de types rechargeables afm d'éviter la mauvaise disposition des piles usagées pour l'environnement sans omettre le rechargement par cellules photovoltaïques. Ce leurre multifonctions n'existe pas tant aux USA
qu'au Canada .
Mon leurre se différencie des leurres multifonctions nouvellement brevetés car le circuit électronique insérer commande toutes les fonctions : le spectre visible sera couvert et même plus, le son et les vibrations sont à base fréquence de 1 Hz à 15 Hz , le champ électrique est pulsé , le champ magnétique est une variation de champ et fait partie d'une fonction distincte de faible intensité , une charge électrostatique est établie par un condensateur en parallèle au champ électrique permettant une extension du champ dans le temps en fonction de la conductivité du milieu et la façon de libérer les odeurs et saveurs n'existe pas de cette manière. Une micro pompe pourrait être également insérée rendant l'émission d'odeur et de saveur automatique. L'ouverture du ressort ou du tube troué
tournant peut également se mettre d'une façon autornatidue avec le circuit par un dispositif de type solénoïde. II est important d'indiquer que la quantité
d'attracteur délivré
doit être de très faible quantité afin d'éviter Ia saturation d'un secteur, car la saturation aveuglerait au lieu de diriger le prédateur vers le leurre. La forme est réelle, les couleurs sont réelles et/ou complémentaires ( l'utilisation des cou:(eurs complémentaires annule le côté naturel de camouflage de l'espèce ) , la structure du leurre est un circuit imprimé
rattachant l'entièreté du leurre ( un brevet Américain s'approche de cette configuration et porte le No 5,175,951 délivré à Russel L. Fruchey en date du 5 janvier 1993).
Ce leurre se veut également un leurre sur commande spécifique. Les fréquences d'oscillation pourront donc être établies sur demande du client soient par le changement des composantes passives mais aussi des composantes actives ( oscillateurs, transistors,...) DESCRIPTION DE L'INVENTION
Voici la description plus détaillée à l'aide des dessins annexés. En fig.l à 3 je décris le processus de mise en solution de substances à saveur et odeur. Le réservoir (1) sert à
contenir l'attracteur qui est ouvert par une conduite (5) composé d'un ressort entouré
d'une plume d'oiseau enroulée (3) semblable au principe de la construction de mouche ou ceinturé d'une capuche perméable au solvant de l'attracteur possédant une caractéristique similaire par de longs fils tel qu'un coton ouaté qui laisse des fibres s'emprisonnées entre les spires du ressort (4) . L'étirement du ressort (7) permet au fluide contenant l'attracteur d'imbiber les fibres et le passage de l'eau dans la conduite entraîne lentement l'huile contenant l'attracteur lors de la traction du leurre dans le milieu par l'orifice de sortie (2).
L'étirement du ressort peut se faire automatiquement par le circuit électronique en activant une solénoïde ( 1 S).
Le processus de libération de l'attracteur peut se faire également par deux tubes concentriques troués et, dépendamment de sa position libérera plus ou moins d'attracteur (8). Un bouton de positionnement (9) permet la position voulue. La rotation du robinet (9) peut se faire automatiquement par un processus similaire en activant un solénoïde qui agit sur un bras de positionnement .
Le processus de libération de l'attracteur peut se faire également par une valve solénoïde (11) activée également par un transistor agissant comme interrupteur commandé
par la base de ce dernier. Ce plongeur (11) peut agir comme valve ou comme pompe aspirante foulante (25) à l'aide d'un jeux de clapets de retenu afm de doser la quantité
d'attracteur.
Une conduite d'équilibre des pressions est requise(14).
La quantité d'attracteurs émis ne doit pas saturer la baie ou le secteur, car une saturation du milieu annihilera cette fonction. Ainsi, on parle de très petit système de pompage et les solénoïdes ne sont donc pas très énergivore.
A la figure 4, une micro enceinte acoustique (20) est activée par un transistor commandé
par sa base par le circuit séquenceur permettant l'émission sonore et la vibration du circuit imprimé dans son entièreté. Un piézocéramique (21) peut aussi faire l'affaire. La commande d'énergie peut être ajuster par le choix judicieux des transistors, de la résistance de limitation du courant et par une source de courant plus puissante.
L'oscillateur est réglable par le changement du condensateur et de la résistance reliée au circuit d'horloge 555. Mes observations sur le terrain m'indiquent qu'une fréquence de 1Hz à 15 Hz est très attirante pour les poissons de notre territoire. Cette fréquence peut être ajustée par le changement des composantes appropriées selon la demande du client.
A la figure 5, le même circuit séquenceur permet également la libération d'un pulse électrique commandé sur la base du transistor . Ce dernier peut également être choisi selon sa puissance ainsi que sa résistance de limitation et sa source électromotrice. La fréquence des pulses peut être réglée de la même manière . La cathode est composée sur la nageoire dorsale dans le processus du développement du circuit imprimé, mais le cuivre résiduaire composant la cathode sera traité afin de protéger ce dernier de l'oxydo-réduction du milieu. L'anode est branchée en juxtaposition avec l'hameçon du ventre. Un condensateur (30) est branché en parallèle avec les électrodes permettant une décharge plus continue et en fonction de la conductivité du milieu. Le voltage se doit d'être entre 1 millivolts et 3 volts. Une résistance variable pourrait être insérée pour permettre cet ajustement. Le bloc énergie (32) peut être constituer de 4 à 5 piles boutons de 1,5 Volts ou d'une pile de 12 volts possédant une dimension similaire telle qu'utilisée dans les démarreurs à distance des voitures.
A la figure 5 A , le même circuit séquenceur est utilisé en actionnant un transistor pour la bobine horizontale (40) et un autre transistor pour la composante verticale (41). Ces deux transistors peuvent être actionnés séquentiellement ou simultanément. Les composantes peuvent être choisies en fonction de l'effet désiré et de la puissance requise. Tel que discuté précédemment , il ne s'agit pas d'émettre un champ malmétique, mais plutôt d'influencer et de créer une variation du champ autour et à l'intérieur du leurre. Le principe utilise la loi que le champ magnétique autour de plusieurs conducteurs est égal à
la somme des champs créée par chacun d'eux permettant de ce fait de créer des champs relativement intenses avec des courants relativement faibles ainsi que la loi de l'interférence par l'utilisation des champs de l'aimant permanent, du champ magnétique terrestre ainsi que des champs générés par les deux bobines.
De plus, on peut utiliser le déplacement de petits aimants permanents (44) à
l'intérieur d'une espace et ce mouvement de ces dernières crée une variation du champ magnétique tel qu'illustré à la section (42) . Le brevet américain 6,301,822 Bl émis le 16 octobre à
J.P. Zernov démontre la faisabilité d'un tel mouvement par-contre dans le cas de ce brevet il ne s'agit qu'émettre un bruit. Ou bien le déplacement d'un petit aimant permanent ceinturé par une bobine {43) générant une variation d'une tension induite exploitable tel qu'indiqué au brevet américain No 4,114,305 émis à A.M.
Wohlert le 19 septembre 1978, ou d'une variation de l'induction sur la dite bobine créant une fluctuation du champ magnétique tel qu'illustré à la figure (43). Ces déplacements peuvent être créés par le mouvement du leurre, par rotation d'un aimant relié
à un axe relié à une hélice (45) ou ailette ou par des solénoïdes reliés au circuit électronique ou à
un oscillateur indépendant ou l'un ou l'autre ou les deux à la fois.
A la figure 5 B , le même circuit séquenceur est utilisé et la commande sur la base de certains transistors peut être actionnée d'une façon séquentielle ou simultanément selon les besoins du client, de l'espèce convoitée, de la profondeur,... Lors d'observations de pêche, il apparaît certain que les yeux des poissons sont très réflectifs à la lumière, une diode émettrice jaune sera donc installée dans l'un des deux yeux et une diode émettrice blanche pour l'autre (50). D'ailleurs, plusieurs brevets antérïeurs démontrent un tel positionnement de la lumière. Une diode émettrice verte dans la zone du gouvernail de profondeur (53) en plastique translucide laissera cette radiation s'échapper du leurre. Une diode émettrice rouge et/ou infrarouge sera positionnée dans Ia zone des ouïes (51), ainsi que des diodes émettrices de bleu, violet et violet lointain seront positionnées dans la zone corporelle (52).
A la figure 6, un circuit imprimé multicouches agissant comme élément structurel recevant toutes les composantes électroniques ainsi que les attaches pour les hameçons avec les trous appropriés pour relier les composantes physiques, mécaniques , électriques et électroniques.
A la figure 7, le circuit électronique de base permettant l'alimentation de toutes les fonctions, les valeurs présentées ne sont que des exemples d'un circuit fonctionnel.
Certaines composantes doivent être ajustées en fonction de la demande du client. En bref, il s'agit d'un circuit d'horloge dont la fréquence est ajustable par la résistance de 47 K et du condensateur d'un (1) microfarad. Cette oscillation esttransmise à un circuit séquenceur ici de 10 sorties activant les bases des transistors permettant le passage de l'électricité aux différentes fonctions. Deux sources de voltage peuvent donc être utilisées. Un deuxième oscillateur peut être ajouter selon certaines spécifications ou pour une activation des différentes composantes utilisant les solénoïdes.
A la figure 8, la forme du circuit imprimé épouse la forme réelle de l'espèce convoitée et représente l'aspect du leurre ici en noir et blanc.
A la figure 9, une représentation graphique des fonctions du leurre, la forme, une représentation noir et blanc des contrastes, l'aspect des saveurs et de l'odorat, du bruit et de la vibration, des lumières, du champ électrique et électrostatique, du champ magnétique et l'emplacement de piles.

DESCI2IPTI~N DE,S DESSINS
Cette invention sera mieux décrite par les illustrations suivantes Fig. 1 Cette figure démontre la structure du réservoir avec la valve ressort activée manuellement, un dispositif solénoïde peut être ajouter pour étirer le ressort permettant à
l'attracteur d'être libérer dans la conduite.
Fig. 2 Cette figure démontre la structure du réservoir avec la valve manuelle à
conduites concentriques, un dispositif solénoïde peut être ajouter afm de créer la rotation du tube permettant la libération de l'attracteur.
Fig. 3 Cette figure démontre la structure d'une valve solénoïde permettant la libération de l'attracteur dans la conduite, le passage de l'eau entraînant ce dernier. Le dispositif à plongeur peut être coupler avec un jeux de clapets formant une pompe aspirante-foulante à piston.
Fig. 4 Cette figure démontre la fabrication du son et des vibrations.
Fig. 5 Cette figure démontre l'anode et la cathode pour l'émission d'un champ électrique et du maintien d'une charge de type électrostatique à l'aide du condensateur qui libérera sa charge en fonction de la constante de conductivité du milieu.
Fig. SA Cette figure démontre la création des champs magnétiques à partir des bobines, l'une horizontale et l'autre verticale et l'interféren:ce entre l'aimant permanent de l'enceinte acoustique et avec le champ magnétique terrestre. U:ne bobine de création du champ horizontal en (40), du champ vertical en (41), d'une variation de champ magnétique par le déplacement d'aimants permanents de type alternatif ou rotatif en phase ou opposition de phase par le mouvement du leurre ou provoqué (42), ou par le déplacement provoqué électroniquement et/ou par le mouvement du leurre d'un aimant permanent ceinturé d'une bobine générant une tension induite en phase ou opposition de phase ou alimentant une autre bobine dans le but de créer u.ne interférence des champs magnétiques à l'intérieur et à proximité du leurre.

Fig. 5B Cette figure montre l'émission de lumière tel que le jaune et le blanc aux yeux, le rouge aux ouïes, le vert par la palette de profondeur en matière translucide, le bleu, le violet et le violet lointain dans la section corporelle.
Fig. 6 Cette figure démontre le circuit imprimé relatif au circuit électronique du leurre. Le circuit imprimé est de type multicouches. Ce circuit épouse la forme réelle que prend le leurre et s'inspire de la forme réelle du poisson appât.
Fig. 7 Cette figure démontre le circuit électronique de base.
Fig. 8 Cette figure démontre le leurre dans son aspect extérieur et des différentes configurations tel que la perchaude, le doré, l'achigan , le brochet...
Fig. 9 Dessin du leurre pour la page de présentation de la demande de brevet.

Claims (2)

1. Un leurre de pêche comprenant:
.cndot. une forme de poisson réelle montée sur un circuit imprimé multicouches et enrobée d'un plastique avec sections translucides;
.cndot. une lame translucide permettant au leurre de s'enfoncer lors de la traction dans l'eau avec anneau d'attache;
.cndot. des trous permettant l'attache de plusieurs trépieds d'hameçons sur le circuit imprimé;
.cndot. des couches successives de peintures offrant des colorations réelles et complémentaires de poissons réels;
.cndot. un dispositif d'émission d'odeur et de saveur contrôlé manuellement ou automatiquement par un circuit électronique;
.cndot. un dispositif d'émission de lumières comprenant un balayage du spectre visible et au-delà contrôlé par un circuit électronique permettant l'intermittence des diodes émettrices de lumière;
.cndot. un dispositif d'émission d'un champ électrique contrôlé par un circuit électronique;
.cndot. un dispositif de maintien d'une charge électrostatique à l'aide d'un condensateur relié à la fonction du champ électrique;
.cndot. un dispositif de variation d'un champ magnétique;
.cndot. un dispositif d'émission de bruits et de vibrations contrôlé par un circuit électronique;
.cndot. un compartiment étanche pour les batteries;
.cndot. un compartiment d'interrupteurs permettant l'ouverture ou la fermeture des différentes fonctions.
2. Un leurre de pêche émettant des substances attractives de type odeur et saveur:

.cndot. Un réservoir de remplissage à volonté composé d'une conduite permettant à
l'eau de circuler muni d'un dispositif permettant le largage d'attracteur à
saveur et odorat;
.cndot. un ressort à étirement manuel ou contrôlé par un circuit électronique avec effet solénoïde permettant de libérer l'attracteur en fonction de l'étirement;
.cndot. deux tubes concentriques troués permettant de libérer un attracteur de type olfactif et/ou saveur par rotation manuelle ou automatique contrôlé par un circuit électronique;

.cndot. un dispositif d'émission d'attracteur olfactif ou gustatif par effet plongeur faisant objet de valve ou de pompe à plongeur avec clapet de retenu genre pompe aspirante foulante contrôlé par un circuit électronique;

Un leurre de pêche émettant des lumières à partir de diodes émettrices de lumière .cndot. un dispositif d'émission de lumière à partir de diodes émettrices de lumière de l'infrarouge à l'ultraviolet contrôlé par un circuit électronique permettant l'émission de divers diodes dans des zones du leurre tel que les yeux, les ouïes, et le corps;
.cndot. un dispositif permettant le clignotement des diodes émettrices de lumière en séquence;
.cndot. un dispositif permettant le clignotement des diodes émettrices de lumière ensemble;
.cndot. un dispositif de contrôle du clignotement des diodes émettrices par un circuit électronique à fréquences variables.

Un leurre de pêche émettant un champ électrique:
.cndot. un dispositif d'émission d'un champ électrique dont les électrodes sont reliées directement au circuit imprimé;
.cndot. un dispositif d'émission d'un champ électrique à fréquence variable contrôlé
par un circuit électronique;
.cndot. un circuit d'émission d'un champ électrique variant de 1 millivolt à 3 volts à
fréquence variable contrôlé par un circuit électronique.

Un leurre de pêche émettant un champ électrostatique:

.cndot. un dispositif d'émission d'une charge décroissante en fonction de la conductivité du milieu relié au circuit d'émission du champ électrique;
.cndot. un dispositif de condensateur relié en parallèle au champ électrique permettant une décharge selon l'équation RC.

6 Un leurre de pêche faisant varier le champ magnétique:
.cndot. un dispositif de création d'un champ magnétique dans sa composante horizontale;
.cndot. un dispositif de création d'un champ magnétique dans sa composante verticale;
.cndot. un dispositif de création de ces champs par des bobines magnétiques à
effet de champ avec noyaux de matière magnétisable;
.cndot. un dispositif d'interférence d'un champ induit par des bobines sur un champ en provenance d'un aimant permanent et du champ magnétique terrestre;
.cndot. un dispositif utilisant les Lois d'addition des champs magnétiques par l'utilisation de plusieurs conducteurs sur des bobines à entrefer de matériel magnétisable;
.cndot. un dispositif utilisant les Lois d'interférométrie magnétique;
.cndot. un dispositif utilisant le déplacement d'un aimant permanent causé par le mouvement du leurre causant une interaction avec le champ d'une bobine, d'un autre aimant permanent , du champ de l'enceinte acoustique et du champ magnétique terrestre.

7 Un leurre de pêche émettant des sons et vibrations .cndot. un dispositif d'émission de sons à partir d'une micro enceinte acoustique piézoélectrique;
.cndot. un dispositif d'émission de sons à partir d'une micro enceinte acoustique piézocéramique;
.cndot. un dispositif d'émission de vibrations à partir d'une micro enceinte acoustique piézoélectrique ou piézocéramique relié mécaniquement au circuit imprimé
organe structurel du leurre;
.cndot. un dispositif d'émission de sons et vibrations de fréquences variables de 1 Hz à 15 Hz contrôlé par un circuit électronique;
.cndot. un circuit électronique à fréquences variables selon les besoins de l'espèce, des conditions qui prévalent et du besoin du client;

8 Un leurre de pêche possédant un circuit électronique .cndot. un dispositif de circuit électronique composé d'un circuit d'horloge 555;
.cndot. un dispositif de circuit électronique composé d'un circuit d'horloge double ou quadruple du circuit 555;

.cndot. un dispositif de circuit électronique composé d'un circuit à décade CMOS
avec plusieurs sorties;
.cndot. un circuit électronique dont la fréquence est ajustable par le changement de composantes passives;
.cndot. un circuit électronique dont le besoin en énergie peut être ajuster par le changement des transistors ou des interrupteurs transistorisés et des résistances de limitation du courant ou par une autre source électromotrice;
.cndot. un dispositif de contrôle des fonctions par différents interrupteurs permettant l'opération de telle ou telles fonctions;
.cndot. un dispositif de contrôle électronique permettant toutes les fonctions ci-haut mentionnées;
.cndot. un dispositif d'intégration de tout le circuit sur .circuit imprimé
multicouches faisant office d'élément structurel du leurre pouvant être assemblé par deux demi-sections possédant un ensemble de cavités permettant l'intégration des différentes composantes ou couler directement dans un moule possédant la forme réelle d'un poisson;
.cndot. Un dispositif d'ajout d'oscillateurs additionnels.

9 Un leurre de pêche possédant une alimentation indépendante .cndot. Un système de batteries intégrées au leurre par 4 à 5 piles boutons de 1,5 Volts chacune livrant une force électromotrice de 6.0 à 7,5 Volts ou d'une pile de 12 Volts tel qu'utilisé dans les démarreurs à distances ou de deux sources distinctes;
.cndot. Un dispositif de recharge des piles à l'aide d'un chargeur à batterie de 12 Volts ou de piles solaires afin d'éviter une disposition anti-environnementale des dites piles;
.cndot. La localisation des piles disposées dans le leurre de façon à
conserver le centre gravitationnel du leurre ou son balancement;
.cndot. un compartiment étanche afin d'éviter les désagréments de l'introduction d'eau.
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Cited By (4)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US7325357B2 (en) * 2004-01-13 2008-02-05 Wiskur Darrell D Acoustical fishing lure
WO2016039699A1 (fr) * 2014-09-10 2016-03-17 Acar Çağdaş Aliment robotisé utilisé pour la pêche
US20180160664A1 (en) * 2016-12-13 2018-06-14 Paul M. Herring Fishing lures with interchangeable scents and methods for embedding scents in fishing lures
CN112772582B (zh) * 2021-02-11 2022-05-10 翟凤平 环保且节能的捕鱼诱引鱼群装置

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